Colloque sur les Priorit& de la Recherche Agricole...
Colloque sur les Priorit& de la Recherche Agricole 1
@ns le D%vclorTement Economique de l'Afrique
CAREQCES W2QG3ALES
B.CALVET
Docteur vétérinaire, Chef du Service de Physiologie,
Physiorathologie, Biochimie ' Laboratcire national de 1'Elevaqe et de
Recherches vét6rinaires -' 1.EJI.V.T. II DAKAR
Les ,--~pglCGS min&ales constituent uno pathologie menaqante pour les trou-
peaux des zones sah61ienncsG
Dans ces régions, en effet., les conditions du milieu naturel, et en pnrti-7
culier la pauvret6 ou le d6sGquilibre minéral des sols retentissent sur la composi j
tion des fourrages et sur 1% santt: des animaux qui les consomment,
Ces derniers Gagissent Par une 32tptation qui tend à masquer la carence
mais qui se fait au dépens de la productivit6. Cet Gtat, mëme 2. l'état latent; peut
dcnc être tenu, en partie, respcnsable du dcfaut C!e précocitf 9 de la faible produc-
tion laitière, de la morbidité des malasY.ics &Vissant chez les jeunes.
A ces effets d6favors.blcs sur la production s'ajoute la FossibilitZ de
comPlicstions pathologiques tel que le botulisme.
La grave malnc'ie animale skissant dans le Ferlo sCn6gslais.~ constitue une
parfaite illustration du danger que représente, nour les Flcvafes extensifs) l'in
suffisance d'apports en ElÊmcnts mi&aux,

GENERALITES
Les diverses espèces aninnles, en raison de leurs narticularités nhysiolo
giques CU biochiniques, disposent de acyenr
c: différents nour tirer partie des aliments
qui leur sent offerts0 Les problèmes nutritionnels yr&entent donc pour chaque es$ke
w
un cnract&e hautement spécifique.
Dans les zones d"i;levnge tropicales.. les ruminants : bovins, ovins, caprins,
constituent pour l'heure, L-?>ar lce nombre et leur valeur &cno:lique, la partie la plus
importante du cheptel, C'est donc leurs problèmes qui seront envisag6s ici,
L'aniral doit trouver dans son alimentatiFcn deux sortes de principes0 Les
uns fournissent llénergie assurant le fonctionnement I"es m6canismes vitaux, les autres
les cléments ?-lastiques au nombre desquels se trouvent l'azote et les matiGres miné-
rales, Chez le ruminant, en raison du développement imPortant du tube digestif et des
symbioses microbiennes dont il est le si&e,
l,a fourniture d'cnergie est, dans les
conditions naturelles; toujours satisfaisante. Le m&w disPositif lui permet de très
faibles besoins quant 5 la qualité de l'azote in,$r6 9 puisque, à l'opposé du monor
gastrique, le ruminant est capable dFutiliser l'azote inorganique.
Par contre, lorsqu'il s'agit du métabolisme min6rs.1, les bwrins se montrent
aussi exigeants que les autres es&es. L'insuffisance ou le dés6quilibre dans les
apports de ces matières retentit gravement sur leur snnt6 et surtout sur leur produc-
tivité. Les carences minErales apnnraissent -.lors,Z qui constituent un des graves Tro-
blsmes nutritionnels des élevages tropicaux.
A .< CONDITIOBS D7APPARITI'X! DES CA.REr\\TCES MITTERALES
Les carences en él6ments min&aux constituent un chapitre important de la
pathclogie <es Elevages en zones troyïcalcs,
Leur a?writion et leur future extension
tiennent à un certain nombre dc facteurs parmi lesquels on peut citer : le climat et
les sols, le déséquilibre fréquent 4ans les aDports, le changement dans les techniques
pastorales, la nécessit6 d'augmenter la prcduction,
1/ Climat et sols
En zone tropicale et du fait du mode dVClevage ,i. caract&e extensif, l'in,
terdépendance du sol 3 du végétal et de lganimal est encore Plus étroite qu'en r6gion
tempé&e. Un &&quilibre du sol retentit fatalement sur l'mimal par l'intermédiaire
de l'aliment herbacé,
Or 3 fi.?une falon générale, les analyses nortant sur les sols africnins des
zones pastorales rév?lent une grande pauvret6 en él&wnts nutritifs. Les taux d7azote
--

F
1.

-- -_-.---------l-r”-----------“-----

2
et de matière organique sont faibles, les rhxrves minérales sont peu élevées, Cette
déficience est surtout nette pour le phosphore rencontré en g&&ral, à un taux très
faible ou sous une forme inabsorbable en raison de In latirisation des sols,
Cet Êtat tient essentiellement aux conditions climatiques qui, associant
en certaines saisons., pr&ipitntions
et forte chnleur, favorisent la décomposition
des roches. Les bases solubles sont alors rapidement mises en liberté et entraîn&s
en profondeur en raison de l'absence d'une couche imperm&ble proche de la surface.
Quoiquvil en soit., la v&&ation qui recouvre ces sols ne peut être que
le reflet de leur d6ficience. Les animaux, à leur tour, trouvent c?ifficilement les
éléments minéraux indispensables.
La nature des sols en zone pastorale tropicale favorise donc l'apparition
des carences minérales chez les animaux,
2/ Déséquilibre des apports
Les substances minérales en particulier le phosphore et le calcium appor'
tées par l'alimentation doivent répondre à deux conditions :
la première concerne un besoin minima, la seconde implique uu9un certain
rapport variable suivant les espèces, doit exister entre les-éléments.
Or, les besoins particuliers des bovins en yhosphore est un fait bien connu.
Dans cette espèce, la valeur du rapport Ca/P doit être comprise entre 0?'75 et 1,2
(Ferrando).
Les nombreuses analyses effectuées sur des kchantillons de fourrage des
régions tropicales ne remplissent, en génér31, aucune fie ces deux conditionsa Pendant
la longue Teriode de saison sèche, on ne retrouve pas, dans la ration, le minimum de
phosphore indispensable et le rapport phosphocalcique qui souvent supérieur 2 10
offre des valeurs nettement défavorables. Ces deux conditions prédisposent donc les
animaux à des troubles du m6tabolisae phospho calcique.
Mais les problèmes du m&abolisme des matières minér&les ne se limitent
pas à la présence et à I'Êquilibre d n
3 s la ration des él&ents lourds tels qTue le
calcium, le phosphore, le sodium, le notcssium. De rllus en plus- les nutritionnistes
mettent 19accent sur le rôle importn,nt
d'une foule d.vélements à action surtout tata-
lytique qui doivent exister à l'état de trace dans la ration, Les oligo4lénents
dont les principaux sont le cuivre, le cobalt, le rwnqanèse, le zinc, le fluor et
silenium, peuvent en excès produire des troubles ou si insuffisants, donner naissance
à des syndromes spécifiques dont un certain nombre ont ét6 d6jà identifiés. Il est
vraisemblable que pour expliquer la plupart des troubles nutritionnels., on ne peut
plus invoquer une carence en un seul Cl6nent mais une %olycarence" dans laquelle
les oliqo Gléments jouent un rôle important.

3
3/ Chancement Aes techniques r?'6levWe
- - -
DRns le pas& et flans les pandes zones wstorn.les trcFicales, les techni-
ques rZPélevnge 6taient r22cin6cs .;,~,r ies grnndes t&nshumnnces faisant osciller les
tr0upec.w iles p$turaSes de pldw.ux aux rives 52s fleuves.
Du fczit de 1"équi~t:men.t
hydraulique permettant le maintien fies troupeaux
autour des -oints C'eau permanents, les niqrnticns pério?iques ne sont ?Lus une n&
cessité.
Par contre, l'augrzentation des surfaces cultivées et le désir r?e faire pro-
fiter les pcplations y3,stornles d"un juste yrog&s socid et économique implique leur
sédentarisation.
Cette fixation d.es pasteurs est suivie de plusieurs conséquences.
Il se produit dyaborC! et tout au long de L'ar&e une concentration animale
importante sur les mêr?es parcours et les &mcs $turages entra?nant leur "usure"
plus ou moins accentuée.
Les anir%ux ne yeuvent plus, comme pn.r le passé, trouver et stocker, au
cours de leurs $ripinntions, c-lc?ns des milieux c?iff&ents, les éléments nutritifs
indispensables.
L'apyrition des cnrences peut r?.onc constituer, dans r%e nombreux cas, une
rançon de la s&!.entarisntion,
Le cheptel 5es zones trcyicales est réwté cotte étant cf'une Frofiuctivit6
en générsl faible. La carence ou la suh-carence minérale fiont il est menacé peut
constituer une raison de cet 6t2,t,
Tout se nasse,%
en effet, colnme si l'animnl réiiuidt au maximum ses eTor;>
tations de façon à maintenir i'intégrit6 fie son 0rgEnisme. Cette économie se traduit
Far une d.ir?inution du forrwt, une Ctirzinution
;le la féccndit6, un pcic?s réduit des
jeunes et une lncteticn faible.
En raiscn de son rc?n.ntntion au milieu, les carences .minérales se trouvent
en général nasqu&s chez l'anirnl, P,-r contre, tout essai d?rlupentation de la pro-
duction de ces trou-eaux contribuer8 à les faire Eclore de focon be~~.~ou-p r\\lus visi-3
ble et nécessitera lva~ylic~tion c?e mesures Tour les ccmbattre.
B ra SYNPTOP4ES DES CARENCES PIIBERALRS
Les troubles &sultEnt fies carences r&$rales sercnt abordés 2'une faCon
tr?s génfrnle et en prenant copme exemple liz carence en yhosphcre qui semble une des
plus fréquente.
Cette Aéficiencc nutritionnelle se manifeste chez l'animnl. lar une s&ie
de troubles ylus ou moins nccentués.
00 /
00
--

4
- On ncte fréquemment dans les trmpwmx atteints s un ccm~orterclent
alinentxire
snorm~l , un a&tit ?.6yrr?vir qui ~DUSSC 1'a.nim-d 2 rechercher les déchets organiques
de toute sorte avec me x+Xlecticn pur les csserwnts +levés SUI les C?.?dVrcS
6.îanimmx mrtse Le syn&me B qui constitue le cice,; est &3&-alement la consCquence
d'une ~olycnrcnce int6rcssnnt Flusicurs
6lé-,cnts ou cligo &5ments minéroux oc lx
&ficience en yhos?hore joue ccynclnnt un rôle essentiel,
Le pics revêt?,nt scuvent chez l'ani7ml 7.m csmct&e cbsessionnel, c?iminue
l~m+tit pwr les nmrritures
habituelles et entr&e ainsi une baisse de lv6tat
-h
2:cntretien. i+,is sn con?lic~tion lu @us grwe et lri plus frkquente est le botulism,
toxémie souvent r-m-telle, qurt les mimux contractent en ing&ant des d6chets nrga-
niques en rutréfnction souill6s ?e germes ee type $lostrir'im botulinm&. C'est 1:2
mrbic7itiJ ?c cette affection qui n attir6, en Afrique, l'zttenticn des s$cielistes
sur les carences min6mles.
- A ce stde nlus accentd-
on rencontre des troubles fiu squelette. En effet,
les animaux pr6liivent'lc ihosph@re indis-enmble sur leurs &Serves, eSSentiellement
constit&es ou niveau c?es cs. Il en résulte d.cs troubles "d?ost6omlacie"
entraînant
une fragilité sp&iale des os et une plus c;rnnde frfquence 6cs fractures.
<- L'animal est ensuite touch6 &ms ses fonctions c?e reyro?mzteur. La frigir?i-
te neut -Faraftre aussi bien chez les &les que chez les fenelles entrnînant L'esTa--
cmient ou la dispariticn ces geststims,
Les jeunes missent en 6tat r?e déficience et
sent alors réceptifs 83 toutes les affecticns microbiennes ou ~erasitnires, d'autant
que la ym!uction laitière r?es feI?elles cn,rencGes est trCs nauvnise.
En ?!6finitive, les carences rGnlr&zs jcuent un rOle essentiel dans l'ex'
ploitation 6cononique :7u cheptel, Elles cntmînent,
en effet, une diminution sensible
de In prducticn 4e vimr1e et fie lait, et pouvmt se con@iquer de graves mlacJ_ies
secon?aires. Ces fieux facteurs ccmprnmettent le croît normal du troupeau.
C '1 FREQUEKX DES CMFXCES P?INERALES
Les carences r?i.n6mles, en Afrique, et ?.ms le mnr!e ne constituent pas un
phéncdne pathrlcgique nouveau. D?s 1120, 'XEILER et ses collaborstcurs étufiient une
rzsla~ic animle Gvissmt en Mrique ?u Sur? eu l'asscciaticn ??Une carence en phos 1
phare et du botulisne pren- le nom fie Lwisieke, 3n Australie, et tout narticuli&e-
fient au Queensland,
me d6ficiencc nliPenteire en El&wnts r?in&mx entraîne ?!es
conszquences Dath?logiques ifientiques.
La r&w assr?cin,tinn
yAhol?giquc
est signalée en
Ncuvelle Zélnnde et en Lcuisiane.
Enfin zu S&égal, l'ephosyhmose
et le botulisne ont 6t6 &crits 3 la suite
fies étuc?es
effectuées par le Labwatoire national r?e l'Elem.ge et de Recherches vét6-d
rinaires fie Dakc?r, sur les trcu>cnux ?u ?TTorri Sénégal,
Cette r;3alaflie constitunnt une y33fGtc illustration des consid6rations
prBcéd.entes sera évoquée succinctecent.

-
5
APHOSPROROSE ET BOTULISXE AU SESIXAL
Depuis plusieurs années~ scvit dans une large rcgion d*élevage du SWgal,
le Ferlc, une maladie animale à allure enzootique qui, en raison 4e sa localisation
géographique et du csract&e vague et ind6terrinc' qu?elle a lcngtemps revêtu, a reçu
lsappellation Ce "maladie c2es forages“.
.
Les pertes dUes & cette affection, bien que difficilement chiffrables dans
la totalit6 du Ferlc, sont imncrt.antes et font de la 'maladie des fora+ges" la plus
.
grave endémie qui frappe à l'heure actuelle, les troupeaux du sahel s&Ggnlais, cau-
sant un dommage certain à l'&onoaie du pays.
La "maladie des forages" se présente sous des aspects divers dans ses formes
et surtout flans ses évolutions avant en cow02n des parfisies ou des paralysies inté.
ressant surtout le syst?me locomoteur dans les formes chroniques et plus spécialement
la &gion pharyngée dans les cas aigus.
L'6vclution des formes aiguës ou suraiguës est tnujcurs mortelle. Dans les
c a s chroniques,
on peut observer 3~s rt%.ssions,
lvaninal se relevant apr?s un temps
plus ou moins long et rejoignant le troupeau. En g&&al, les rescapés d'une première
atteinte font une rechute le plus souvent fatale, lors de la saison &che suivante,
D& la premisre prise de contact nvec la maladie, un fait avait frapp6
tous les observateurs, le pica et particuli&ement
l"ost&@.agie
qui semble attein.3
dre tous les animaux vivant dans cette région. Cette aberration du goût, cette rechcr-
che des os, cles fragments de peau animale et de fibbris ?e toutes sortes sont telle
ment uniformes et probablement anciennes ) que la plupart des éléveurs la consid&ent
comme un comportement normal des animaux.
A la suite des recherches entreprises par le Laboratoire nations1 de l'Ele--
vage et de Recherches vét6rinaires $e Dakar, 1'Ctiopathologie de cette affection a pu
être 6luciGe et a permis les conclusions suivantes :
a/ la maladie Observ$e au S&&a1 est cornuarable au T,amsieke 6tudi6, de nombreuses
années auparavant, par TRRILER et ses collaborateurs en Afrique du Sud.
b/ deux composantes étiologiques sont 3 190rigine de son apparition :
. un trouble nutritionnel responsable du pica et de l'ost6ophagie 6 à
une polycarence au sein de laquelle l'él6ment phosphore joue un rôle
important,
une tox6mi.e bc8tuliniquc contract& par les ,n,nimnux ingérant des d6bris
l
cadavériques contaminés de Clostri?ium botulinum.
L'hypophrsyhorose plasmatique F! T?U ètre mise en évidence à la suite r?'une
large enquête biochimique dans la zone endémique.
L'isolement du ,germe et de sa toxine a 6t6 r6alis6 ?ar la suite.
La maladie est combattue, à, l'heure actuelle, par 1~ distribution du SUT@&~
ment minéral et par la vaccination des troupeaux par l'anatoxine botulique C0
.
.-_
,

Les conditions rqPa??parition
de cette malnilie au S6nCgal serzblent liges à
une évolution recente des techniques fi ?&vage. En effet, du fait de l'implantation
des forages g-ofonds qui ,e&liorent trxs sensiblement les con,?itions de l'ahreuvemeRt,
les Eleveurs du Ferlo réduisent lgamnlitude de leurs transhumances et tendent 2 se
fixer dans le $rimEtre d"influence r'es differentes unités hydrauliques.
.
Les animaux consomment alors un fcurraqe insuffisant yendnnt toute la saison
skhe, alnrs que dans le passé, dès la disparition des mares, ils quittaient le Ferlo,
devenu inhospitalier, pour gagner les rives du Pleuve S&&a1 ou celles du Lac de
Guiers,
CONCLUSIOTJ
Les carences minérales constituent Tour les troupeaux des zones tronicalcs
une pathologie menacante, Leur existence d6jR constat<e
dans certaines r6qions est
responsable
de col?nlications morbides graves tel que le botulisme. Mais m&.c à lv&at
latent, elles contribuent à, la faible productivit4 des trouy>eaux souvent soulign6e0
Toute a&liorat,icn de la production dans ces régions nasse donc par l*iden-
tification exacte de la nature des carences et ensuite nar 17aF3crt dans 19alimenta
tion des troupeaux des %l%ments minFraux qui font dÉfaut,

7
BIBLIOGRAPFIIE
BARNES (J.E.) et JEPHCOTT (R~R,)
Carence cn nhosnhore Ces bovins 3'I;ustrnlie du
Norcl (?hosphcrss eeficiency in crtttle in the Forthern Austrolia). ' Aust.
vet .J. 3 1955, 31 : 302 ,312
BREDOB (R.3.) Besoins min&raux cles bovins r!e l'Est Afrie-n;n (h%neral requirements
.
of cattle in East Africs.)..' Ist.Afr.Re-;.Meetini: on Anim. Pro?,& Health,
Addis-Abeba 1964, Work paper 38.
BRINON (A.) et PAGOT (J.) i' Les carences alimentaires 3-u bétail dans leurs rapports
avec la pntholcgie animale. 0 Rev.Elev.EICr'.viit.Pays
trop., 1955, 2 : 223 ~76.
CALVET (H.) et PICART (P,) Aphosphorose et botulisme au '%néSal. a @me Jou&es
m6dicales
9 DAK!a> 1965.
CALVET (H.).. PICART (P,), DOUTRE (M.) et CHAYBRO?J (J.) > Aphosphorose et botulisme
au S&&gsl,
. Rev.Elev.MEd,v6t.?ays
tron., 1965,) 3 : 249-82
Anonyme -- Compte rendus &s la conférence sur les sols en rcgions tronicale et sub tro,=
picale. (Procee<ing of the first Commonwcalth Conference on tropical an6
sub-tropical soils).:- Publ.Commonwealth Bur.of scils sci. Harpenlen. Eng1.1949
CRAVEN (C.P.) -- PrG?hyl%Xi.e d'une malac'ie ?e typ e botulique fians le Queensland
septentrional (Control of a cotulism.-like disease in North Oueenslani!).
Austral,vetoJ., 1964, 40 : 127-30.
DROULISCOS (%J.) == Besoins minéraux des bovins (Minera1 rea.uirements of cattle),-2
I st Afr.Reg.MeetinS on Anim.rrod.& Health; Addis 4bebn. 1964, Work Paper
35.
DU TOIT (P.J,) , RALCEY (A.I.) et GROEt?W$LD (J.W.)
. Etude du m&zbolisme minéral.
Besoins min&aux minimum 6es bovins (Studies on minera1 metabolism XXX1
rdinimum. minera1 requirement of cattle), 2 Onderstepoort J., 2$ 565 .,606.
FERRANDO
- Les bases de l'alimentstion 1 Viaot 1959
FERRANDO
. Les bases cie l'alimentation if Vigot 1959
HENNI!IG (H.W. ) I Les malarlies animales en qfrique i?u Sufi (Animal discases in South
.
Africa),.s 2 nd edit.Central news ngency South Fifrica, 1349.
*
PEREIRA-BARRETO (S.) .> Reconnaissance p@.olo-;ique du Ferlo Sui? - ORSTOM Centre
i
Pé?ol.Hann, Rap.nission, l?@c,
SCOTT MILLAR (J.W.) Le botulisme en '%frique du Sud. (Botulism in South :qfrica), -s
South Afr.med.J., 1964, 38 : 31.0 150
TBEILER (H,), VILJOEN (P*R,), GREE~J (H.H.), DU TOIT (P.J,), POILER (H.) et
ROBINSOY (E.FI.) =1 Le Lamsiekte(narabotulisne)
?rs bovins en Afrique 15u Sud..
(Lsmsiektc (Darabotulism) in cattle in South Africa).- 12 th Ann,Rep,
Director vet.Res.South Afr., 1927, 12 : 821~31361.