RESUME DES RESULTATS OBTENUS CEl\mTRE P O U R ...
RESUME
DES RESULTATS OBTENUS
CEl\\mTRE P O U R L E D E V E L O P P E M E N T D E L’HORTICUL.TURE
C A M B E R E N E - D A K A R
R É P U B L I Q U E D U S É N E G A L
SECR!?TARIAT D’ÉTAT A LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
INSTITUT SÉNÉGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES

TABLE DES MATIERES
--y
Page
KESLXE DES RFSULTATS OBTENUS DURaT LA CAKPXGXE 1982/83
1
JAXAIU (Aubergine locale)
2
GOHEU
3
3A.?xoc
4
OSEILLE DE GUL5EE (Bisap)
5
XALTI: (Chinois]
5
PATATE DOCCE
5
OIGNON
7
8
8
TOM,ATE
10
ETUDES ENTOMOLOGIQUES C@iCER.ZtiT LA MINEUSE DES CULTURES
?lARXCHERES
- Liriomyza trifolii -
II
ETUDE: SUR L'IRRIGATION
14
ACTIVITES ET RESULTATS DE LA SECTION FORXATION ET PRE;VLKGARISAIIO& 15
- Région de Thiès
15
- Région du Sine Saloum
15
- Région de Çasamance
16
- Démonstration au C,D.H,
17
- Documents de vulgarisation
17
- Formation
18
- Assistance aux projets de développement maraTcher
18
ACTIVITES SECTION ECONOMIE ET COMHERCIALISATION
19
- Travail de support
19
- Travail de recherche
20
- Documents mis au point durant la campagne 1982183
21
- Relations avec l'université de Dakar
22

Le programme mené depuis plus de 10 ans avec l’assistance
de la F.A.O. arrive à un tournant avec la fin du projet et l’arrivée
d’une équipe nationale de relève. Les travaux antérieurs ont donné
lieu à une importante production scientifique et à la mise à la dispo-
sition du maraTcher sénégalais d’une somme importante de techniques
qui a permis une augmentation sensible de la production nationale au
cours de la période écoufee.
Le travail s’est: poursuivi en 1982183 dans une double
transition de mise en place de la relave et de constitution d’un
programme pluridisciplinaire intégré, Les principaux rgsultats
suivants ont étê obtenus pour la période considérée.

2.
J.U.AT~ (Aubergine locale)
--
L~es rendementsjha obtenus avec la varigté SOXLz.4, suite à La
réaLisatiC)n de quatre essais répartis sur l’année, sont de :
- 32 t/ha pour le semis du mois de septembre, avec une récolte
en saison fraîche, de janvier à début avril.
Cette époque semble actuellement être la plus favorable à la
cul. ture
- 12 t/ha , 2,5 t/ha et 8,7 t/ha pour les semis respectifs du
mois de décembre, mars et juin.
Aucune différence significative n’a été observée entre les écar-
tements : 0,50 x (0,50 + 1,l m) et 0,60 x (0,60 + 1,lO m), soit 25.000
ou 19.608 pl/ha.
I?n essai de contrôle du Stemphylium solani a indiqué la bonne
-
-
efficaciti des traitements foliaires au manèbe, mancozèbe et captafol,
Cependant,
aucune évaluation des pertes de rendement n’a été obtenue,
en raison probablement du développement tardif de la maladie dans
l’essai,
Le dicofol et le méthonyl ont permis un contrôle efficace des
populations de Tetranychus urticae.
- -
L’endosulfan et le carbosulfan
présentent également une action acaricide assez bonne, ils doivent
être utilisés en traitement préventi.f. -L
Les semences extraites de fruits bien mûrs ont besoin d’une période
de donnance de cinq moisPpour atteindre un pouvoir germinatiE correct,
et le rendement de semences par hectare est de l’ordre de 280 kg avec la
variété SO~WA.
L!n traitement de semences fraîchement récoltdes avec l’acide
gibberilique (200 p.p.m.) a permis une levée de la dormante de 58 %
contre 1 % pour le témoin,
..* /

Le Centre a diffusé dans *le milieu rural,‘entre le I/l /S3 et le
.,_,
.I
31/10/83, 15 kg de semences sélectionnées.
Une enquête réalisée chez les producteurs de la rêgion de Thiss a fait
ressortir qu’ils mettent la culture en place en fin d’hivernage
(sept-oct) à partir de leurs propres semences, Les écartements utilisés
varient entre 60 x 60 cm et 1 m x 1 m. Le rendement est de l’ordre de
9 t/ha. La vente se fait au volume et le prix au niveau du producteur
varie entre 75 et 150 F/kg.
Les variétés PCS0 et POP 12 ont durant la saison chaude et
humide (cycle 150 à 160 jours) produit des rendements de respectivement
29 et 32 t/ha (313.333 plts/ha). La production en saison sèche n’a été
que de 14 a 16 t/ha pour la variété PUS0 et de 12 à 16 t/ha pour la
POP 12. Le cycle de la culture varie en fonction de la saison, il a
été d’un mois plus court en saison fraîche, La récolte doit se faire
tous les deux jours pour garantir un produit de qualité, compte tenu
de la croissance des capsules qui varie suivant la saison, entre
1,5 et 2,5 cm par jour.
La meilleure qualite a été obtenue en récoltant les capsules de la
POP 12 entre 16 et 2Q cm et celles de la variété PUS0 entre 12 et 16 cm.
Les deux variétés sont sensibles aux attaques de n&natodes
à galle (M’l
e o’idogyne SP.), mais la variEté PUS0 s’est montrée signifi-
cativement moins sensible aux attaques d’oïdium (O’idium ahelmoschi)
e.I_ ---...-
à la Cercosporiose (Cercospora abelmoschi),
, --w-
Une étude réalisée sur la résistance variétale aux attaques
de LiriomE trifolii fait ressortir que la variétE PUS0 semble être
plus tolérante â la mouche mineuse que la POPULATION 12. Ces résultats
demandent à être confirmés.
Le Centre a diffusé dans le milieu rural, du 1 janvier au
30 octobre 1983, 56 kg de semences sélectionnées.

4.
L’évaluation des clones introduits de l’I.I.T.A. (Nigéria)
s’est poursuivie.
En saison sèche (plantation novembre) et sous irrigation par
aspersion, ces clones ont produit entre 16 et 22 t/ha avec un cycle
de 9 mois 1.
Durant l’hivernage (plantation août), les rendements ont été
plus élevés et oscillaient de 34 à 45 tfha pour un cycle de 8 mais i.
Une récolte peut être effectuée à partir de 5 mois, mais les
plantes ne sont pas assez lignifiées en vue du bouturage,
La coLl_ection a été élargie suite à l’introduction de 2 clones
de l’I.I.T.A. (issus de culture de méristèmes et exempts de virus),
ainsi que de 9 clones collectés localement au cours de prospections
ponctuelles.
L’épuration du matériel a Sté assurée et les plantes en cours
de multiplication ont été maintenues pratiquement indemnes de Phenacoccus
manihoti.
Un nouveau matériel a été obtenu par voie gênêrative et les
meilleurs clones ont pu être sélectionnés.
Suite à une enquête dans la région de Thiès, il semble que la
culture est souvent réalisée dans les bas-fonds, à des écartements
compris entre 70 et 120 cm, sans fumure, ni traitements phytosanitaires,
que les rendements varient entre 12 et 14,5 t/ha et que la plupart des
champs sont virosés et attaqués par la cochenille.

5.
OSEILLE DE GUI?iEE (Bisap)
psI.-----C---
Le maximum de croissance des calices est atteint entre 22
et 24 jours après la floraison qui débute environ 130 jours aprss le
s e m i s .
La maturitg des graines se situe 28 jours après la floraison.
Le maximum de croissance des calices a êté observg 22 à
24 jours après floraison.
Qualitativement,
le stade idêal de rêcolte des calices se
situe 10 jours après la floraison.
Au-delà de ce stade, la teneur en matiere sèche, en vitamine C et en
sucres totaux diminue.
L’aciditê est la plus 6levee quand le calice est récolté à 20 jours.
NAVET (Chinois)
-
-
Le cycle d!une culture complète du semis à la récolte de
graines est compris entre 120 et 140 jourst
La floraison dêbute déjà 40 jours aprks le semis et la pleine floraison
est atteinte 14 jours plus tard,
PA-MIE DOTJCE
La variétê NDARG~ semble bien adaptge â la culture dans la
zone des Niayes. Elle est hâtive et s’est montrée moins sensible aux
nêmatodes (Xélofdogyne SP.). Bien cultivêe, elle peut p-roduire après
-
-
90 jours
un rendement de 36 t/ha. En allongeant le cycle â 110 et
130 ,jours, le rendement moyen/ha peut augmenter respectivement de 35
à 69 %.
Dans la rêgion du Fleuve Sénégal (Ndiol), le cycle est plus
long (120 Zi 140 jours)zt les rendements sont nettement moins élev&
(cycle 140 jours, rendement moyen/ha 16 t) ,
La variété WALO figure également parmi les moins sensibles aux
nématodes, Dans la zone des Viayes, elle peut produire après 90 jours
un rendement de 34 t/ha? En allongeant le cycle â 110 jours et 130 jours,
le rendement moyen/ha peut augmenter respectivement de 43 et 77 %.

6.
Parmi les variétés testées, elle produit la plus grande quantité de fanes.
En ce qui concerne le programme de sélection, 7 clones ont
Sté retenus sur les 61 issus de croisements naturels, Au cours de
l’hivernage 198J+, le choix des meilleurs se précisera,
Parmi les clones introduits du Nigêria, le c1oc.t: 2531 semble
s’affirmer vis-à-vis de NDARGU.
Enfin, en ce qui. concerne les variétés locales, la XB3 se
détache assez nettement, en raison de ses qualités nutrit:ives et de
consetvdtlon . Son rendement reste néanmoins tres inférieur à celui de NDARGU.
Des essais ont êté mis en place pour tester l’efficacite de
diver:;es formulations insecticides contre la mineüse de la patate douce
au Sénêga, Acrocerccs sp.
-11
La deltaméthrine et le dimsthoate permettent un excel.lent
contr$le du ravageur7 L’endosulfan, quant à lui, donne des résultats
assez satisEaisants,
Une enquête merise dans deux zones de production de la région
de Thie”s, a permis de constater que la culture se fait sur billon, mais
également ZI plat, en décrue dans les Niayes et sur sols salés.
Souvent les paysans ne disposent pas de boutures en nombre
suffisant pour la mise en culture de leur champ en début de campagne,
Pour la culture à plat, l’écartement varie entre 20 et 50 cm en tous sens.
Les bilions ont 0,60 à 1 m de large et se situent à + 50 cm au-dessus de
-
la nappe phrêatique. L’êcartement entre les bilions est de 60 2 80 cm
et sur le billon, 15 x 15 et 30 x 30 cm,
Aucune irrigation, ni traitement phytosanitaire n’est effectué.
Une fumure minirale variant entre 0,200 t, à 2 t/ha d’un engrais ternaire
disponible est parfois appliqu<.
Le cycle de la culture varie entre 3 et 8 mois et les rendements
varient entre 6 et 45 t/ha. Le prix de vente au niveau de la production
oscille entre 6Q F en avril/juin et 125 F en hivernage, Les variétés à
tubercules blancs sont les plus apprêciês,

7.
OIGNON
-
-
i
Le matériel sélectionné sur l’absence de besoin en froid chez Y.AAIUAR
\\
a u ,cours d’une et même deux gênérations a donné lieu à une production
. .L
de semences et de bulbes.
’ J.‘) *’ ’
‘ LC
_,
Des croisemrnts réciproques entre YAAIQXR et VIOLET DF, GALML ont été
effectués selon différentes techniques.
.4
r
La gamme de matériel génétique de la collection sélectionnée dans
.<’
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certains cas depuis 1975, améliorse par “selfing and m,:issitlg” ou issu
47
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de divers croisements a été maintenue. Il s’agit de re;;sourct:s en gènes
/
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4
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IntZressantes en vue d’éventuels travaux qui pourraient voir le jour.
,) ’ ;?
. .
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&
‘3
') 'i'
ii*
L’attaque importante de Stemphylium botryosum au niveau des hampes
- -
-
-
-
flor.ales des porte-graines d’oignon n’a pas pu être contrôlée avez
les traitements au manèbe, mancozèbe, captafol et autres fongicides,
L’étude de la pourriture des racines rose a êté approfondie. Trois
pathogènes ont été isolés en vue d’effectuer des tests de pathogZnie.
Vu l’impcrtance de la maladie provoquant la pourriture des racines
dans certaines régions du Sénégal (Gandiolais), i l e s t absolumenî n%essair$
d’établir les pépinières de plants et de bulbilles d’oignon sur des
terrains vierges,exempts de la maladie, afin d’éviter toute infestation
nouvelle.
Le centre a produit plus de 500 kg de semences d’oignon, VIOL,E’I DE GALNL,
dont: 200 kg ont $tê vendus aux producteurs d’oignon hâtif pour la
production de bulbilles. La production de semences de la variété
YAAIUAR, tolérante aux thrips et de bonne conservation dépasse 250 kg.
Les résultats d’essais comparatifs ont démontré que les deux s;lections
CDH de la variété VIOLET DE GALMI peuvent être utilisées indiffêrenment
pour la production hâtive à partir de bulbilles (rendement 56 t/ha),
par contre la variété WWR ne convient pas à cette technique.
. . * /

8.
A Ndiol, pour un semis au mois de novembre, la varisté VIOLET DE GALMf
s’est montrée significativement supêrieure par la production et la
conservation à la variété GOLDEN CREOLE. La variété WURL’S ne convient
pas. Les tests entrepris dans les zones de production des régions de
Dicurhel, Louga et Gandiolais pour la production tardive (semis fin
janvier) ont révélé que la variété YAA!&QIR était la plus productive
vis-à-vis des variétés RED CIiEOLE, GURUS et VIOLET DE GALX’.
Une technique
simple d’extraction de semences a 6té testge
pour la variété SALMON. Elle pourrait remplacer l’extraction manuelle
ggnéralement pénible et lente à cause de la capsarcine, substance
irritante,
concentrée aux alentours des semences. La période de dormante
des semences peut aller jusqu’à 4 ?i 5 mois et au-delà de cette période,
il est possible d’obtenir un pouvoir germinatif de 75 %. Les variétés
StiTAKA et SALIION sont sensibles aux attaques de Xanthomonas campestris P.V.
vesicatoria et Leveitlula taurica, tandis que la variêtg SAFL’est
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-
,
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__ ..“A
Gsistante ad Leveillula taurica‘ a +La variêtê SAFI, peut dans de bonnes
L.-
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conditions de culture et au cours d’un cycle de 290 jours, produire
un rendement de 25 t/ha. Une quantite de 31 kg de semences de base de
la variété SXL?lON a été produite. Le rendement/ha a été de 375 kg.
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POLfME DE TE:RRE
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Un premier test pour rompre la dormante de semen;es produites
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localement, dans le but d’étaler l’utilisation de semences locales
sur une plus longue période a donné un résultat encourageant pour les
%-
variétés BARAKA et DESIREE (respectivement 81 et 98 % de tubercules
prêts a la plantation, 25 jours aprss le traitement 3 la Rindite) .
Un test mis en place à Ndiol, a montre qu’ il est possible
d’utiliser des semences locales de la variêtê PREMIERE d’un calibre
inférieur 3 ~28 mm provenant d’une culture mise en place le 5 novembre
et récoltée 2 70 jours ; après avoir arrêté l’irrigation à 60 jours
et avoir défanê à la main, le même jour. Le rendement a étê de 33 t/ha.
..a/

9.
Les semences locales de la variété DESIREE conservées durant
la période chaude et humide en chambre froide ou conservées à l’air
lihre, ont don& à Ndiol, des résultats comparables (33,5 et 32 t/ha).
Comparse à la variété PREFIIERE d’importation et traitée B la Rindite,
cette dernière a donné un rendement significativement çüpéricur (34,6 t/ha).
A Cambérène, pour une plantation du 27 septembre, la variété
PREXERE d’importation traitée à la Rindite, a également été la
meiY,leure avec un rendement plus faible (26,5 t/ha), tandis que la
variétg DESLREE de production locale a été aussi performante que
d’autres variétés d’importation, en considérant le produit commt:rc ial
(18,2 e t 17,4 t/ha);
Le prix des semences d’importation, traitées à la Rindi :e, deuand~ â être
connu pour pouvoir en tirer des conclus ions pratiques et économiques,
La culture mi-hâtive (plantation 15 novembre) à Parti_r de
semences locales des variétés BARAKA et DESIREE conservks à l’air
libre peut donner respectivement des rendements de 26et 34 t/ha. Pour
la m&e période, les meilleures variétés (semences d’irc&Irtation) produi.sent
entre 28 et 34 t/ha.
En culture tr&s tardive, des rendements corrects ont étiez!
obtenus à Cambérène (plantation mi-avril, mi-mai), mais le pourcentage
de tubercules de qualité comm.erciale diminue généralement pour les
variétés les plus productives
de 40 à 50 %, ce qui exc‘lut actuellement
la production en milieu rural pour cette époque de l’année.
Il a été observé une différence de susceptibilité variétale
au ‘Xanthomonas campestris P.V. vesicatoria,
-
-
-
-
les variétés claas&s des
-
moins aux plus sensibles
étant ALPHA (1,5), NMTAAKGE (1,75), B.ARJXA (2,5)
DESIREE (3,25) et CARDINAL (4).
Une production de semences locales des variEcês BARJIG?I et
DESïREE a été réalisée sur environ 1 ha, en vue de fournir 15 tonnes
au projet SEN/82/001 - Centre de Production de Semences certifiées
d’ o ignon9 et de pomme de terre et de certains légumes africains -
.
et le restant des semences (5 ?i 10 tonnes) sera diffusé aux producteurs
pour la culture hâtive.
. . l
/

10.
Le programme de sélection d’une variété fix$e rêsistante aux
nématodes en saison chaude et humide, a permis de retenir 9 lignees F2
homczygotes rjsistantes aux Méloïdogyne sp.
La sélection par la méthode Single Seed Descendance -pédigrée-
a été poursuivie et après deux autofécondations, une centaine de plants
seront s~lectionn6s pour leur adaptation à la saison chaude et humide
et leur tolérance aux maladies foliaires.
La sélection généalogique des variétés de tomate “Romitel”
et “R.otella” résistantes aux maladies a été continuêe.
Les résultats des essais de tri-variétal ont démontre que
l’hybride SHALL FRY VFN a toujours été le plus productif vis-à-vis
de la variité XEEWEL 1 XAWET qui se place en seconde position, sans
différence significative pour le semis de début juin. En 1982, la
sensibilits de l’hybride SK4LL FRY VFN a été nettement plus Prononc;e
en ce qui concerne l’attaque de Xanthomonas vesicatoria sur les fruits :
--
21 % contre 11 % pour la variété XEEWEL 1 NAWET (sensible aux nématodes).
L’étude du TYLCV sur tomate a été poursuivie concernant la
distribution et l’incidence de la maladie, en même temps que l’étude
de la dynamique des populations du vec’teur Bemisia tabaci.
-
-
Les essais de lutte préventive contre l’attaque du TYLCV n’ont
pas donné des résultats satisfaisants, dûs à 1’ incidence trop réduite de
la maladie au moment des essais.
La collection des variétés de tomate-cerise ou 3 fruits moyens
intéressants pour la production en hivernage, a été maintenue,
Me production de 9,8 kg de semences de la varii-t8 ROMIIEL
et 5, S kg de ROTELLA a été réalisée,

11.
ETUDES EXTOMOLOGIQUES COXCERN~Wr. LA FfIsEUSE DES CULTURSS W&XT.CHERES
-
-
- - - - - - - - - c -
..~ __._ --__- -.---’
- Liriomyza trifolii -
-
-

-
-
-
-
Le programme de la section Entomologie a été orienté essentiel-
lement sur l’étude du Liriomyza trifolii, mine.use polyphagr des cultures
_._ -
maraîchires.
La mouche a été recensêe pratiquement dans toutes les zones
maraîchères du SénsgaL.
Le niveau de pullulation du ravageur est plus
éLevé dans le Cap-Vert que dans les autres rêgions, Des infestations
réduites ont êtê observees ?i Kaolack, Dj ibélor (Casamnn,:e) , Saint-Louis,
Bambey (Caritas), Diourbel et dans la région de Thiès (Beer ‘Cila,ne, Pout,
Gandigal, Xboro, e t c . . , >. Dans la plupart des cas, les inEestations
étaient 1ocalisSes principalement. dans les champs où de; traitements
insecticides sont pratiquss, tuant systématiquement les parasites
indig$neù,
Au Sênêgal, on trouve la mouche sur :
- cultures maraîchgres
21 esp&es - 10 familles (6 Solanacées -
2 Ombellifêrac,ées - 4 Légumineuses -
1 Compo aacee - 3 Cucurbitacées - 1 MalvacZ
1 Alliacée - 1 Polygonacée - 1 Br&ssicaçét
1 Chenopodiacêe)
- cultures florales
1 espke - 1 famille (1 dstéracée)
- adventices
6 espèces - 6 familles (1 Cesalpinacêe -
1 Amaranthacée - 1 Acanthacêe - 1 Légu-
mineuse 1 Euphorbiacée - 1 Solanacée)
Le tableau No 1 indique la liste des plantes-hôtes maraîchères
recensées et leur sensibilitê relative aux attaques de la mouche.
. . . /

12.
Tableau No 1 Sensibilité des espèces légumières aux attaques de
-
-
-
-
-
L. trifolii
-
-.-
..-
_ . I _ I _ - _ - . .

_ I
- - - -
!
Dégâts
Espèces
Dégâts
Dégâts
I
três
mineurs
non
!
impostants
moyens
attaquées
I
1
-w--m- --._ - -_-..- -
--CI ---.-_.--_ ---_- ..- /!
Diakha to u
Tomate
Pastèque
Bisap
I,
Pomme de terre
Haricot
Niébé
Patate dowze
8
Indéterminé
Gombo
Pois
Courgette
,
/
Céleri.
Navet
I
Poivron
i
Piment
,
,
Concombre
Melon
Oignon
Carotte
i
Aubergine
1
Betterave
/
,
Lai tue
Haricot sabre
l
/
J
Une étude du cycle évolutif de la mouche a étS suivie s+s
conditions contrôlées 3 24-30’ C :
- oeufs
: 2-3 jours
- stade larvaire
: 3-4 jours
- stade pupal
: 6-7 jours
b «
4 cycle complet
:
environ 13 jours
Les études sur la résistance variétale des différentes sp%culation
maraîchères ont montré une certaine .tolérance aux attaques de la mouche.

13,
- pomme de terre :
ALPHA, CARDIXXL, DESIREE, GRACIA (dans
l’ordre dScroissant)
- pour le gomb3, la vari,étê PUS0 semble plus tolérante que la
POPL;LATIOK 12.
L’étude de la dynamique des populations de la mineuse n’a
porté que sur une année et a été r5alisêe à l’aide du piège jaune
Rebell (tropisme colors), Le comptage des mouches est ht:bdomadaire.
Les pics les plus importants sont enregistrés en janvier - dsbut février
et en avril. Durant la saison des pluies, le nuisible accuse un très
bas niveau de pullulation (action néfaste des pluies).
Les sites ombrag$s et assez humides semblent être pr$férSs
par les mouches.
Huit parasites indigènes ont gtê recensis, deux sont en voie
de détermination, six sont bien connus :
Elasmus sp.
-
-
-
(Hymenoptera, Elasmidae)
Cirospilus nr. cinctiventis
(Hymenoptera, Eulophidae)
--1.-
--.--
Hemiptarsenus semialbiclava
_---
- -
(Hymenop tera, Eulophidae)
Diglyphus isae
(H-ymenoptera, Eulophidae)
-..
Chrysonotomyia nr. wocera (Hymenoptera, Eulophidae)
.-
Chrysonotomyia groupe formosa(Hymenoptera, Eulophidae)
Le niveau de parasitisme varie d’un champ à l’autre et d’une
saison à l’autre. Le niveau de parasitisme est plus élevé dans les
champs non traitgs aux insecticides que dans les champs traités.
Le taux de parasitisme actuel des larves de la mouche varie entre
50 et 60 %.
Des lâchers de parasites exotiques ont étê effectues en
milieu paysan, Le parasite exotique le plus efficace semble être
Opi.us dissitus (Hymenoptera, Braconidaej.
--.
Depuis quelques mois, nous avons enregistre un faible niveau
d’infestation de la mouche. Cela s’explique en grande partie par
l’a.daptation des parasites indigènes:

14.
ETUDE SUR 1’ IRRIGATION
-
-
Le programme d’irrigation qui était prévu n’a pas ét6
réalis&, faute de financement.
Néanmoins , une étude comparative de deux technique:;
d’irrigation (micro irrigation et aspersion) sur tomate, variete
ROYKIEL (semis ni-avril et repiquage début mai) a êté eEfectuêe dar7.s.
le but de tester le matériel -goutte ?i goutte- qui existe au C.D.H.
en vue d’une meilleure utilisation des ressources hydriques, surtout
en cette période où les hivernages deviennent de moins en moins pluvieux.
Cette étude consiste d’abord à déterniner pour la micro-
irrigation,
la distance optimale entre le goutteur et la ligne de
plantation sous différentes doses et différentes fréquences d’irrigation
ensuite 3 évaluer l’efficacit< des deux techniques pour des opérations
culturales identiques (densités, fumure ; traitements pf-?ytosanitaires,
e t c . . . ) .
L’analyse de la forme du bulbe hydrique conduit au choix
de La distance de 0,20 m entre le goutteur et la ligne de culture,
Les rendements obtenus sont de 36,480 t/ha pour l’aspersion
et 21,127 t/ha pour le goutte â goutte et les volumes d’eau consommle
sont de 410,70 mm et 362,40 mm respectivement pour 1”aspersion et pour
le goutte 2 goutte (correspondant à 93 jours d’irrigation), L’aspersion
montre donc un net avantage pour la production, malgré un léger surplus
de consommation en eau,
Il est a noter de nombreuses obstructions des goutteurs dues
au sable et limon apportés par le vent et au développement rapide des
algues favorisé par un climat propice,
En outre, un suivi quotidien de l’irrigation des essais menês
en station a été effectué pour assurer une bonne gestion de l’eau
d’irrigation et un contrale du fonctionnement des installations
hydrauliques t

15.
ACTIYITES ET RESULTATS DE LA SECTION FORYATIO~ ET PREVULGARISXTIOX
-
-
-
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-.-.---e---m
Région de Thiès
-
-
Le programme établi entre le C.D.H. et la SOI)!:i’,l. pour la
campagne 1982183 a Conti nua dans la mesure des possibilités de la
SODE6‘3. et de SO~I intérêt pour le maraîchage,
Deux stages de formation y ont ét6 organisés et deux jardin; de
form2tiot-1 o n t fonctionnZ polir deux départements sur tri) i .Q.
Une quinzaine de jardins de dênonstration,
soit un jardin par village,
ont fait l’objet d’un suivi régulier dans le but d’inEor-;ier le Centre
sur les prkblèmes qui se posent au niveau des producteurs en preconisant
les techniques et variétés du Centre. L’action de diffusion de semences
de VIOLET DE GALMI pour la production de bulbilles a été environ cinq
fois supérieure aux ventes de l’année passée.
Le C.D.H. a vendu directement aux paysans pour 650.000 i CFh de semences,
vente qui a touché environ 350 cultivateurs. Ceci constitue une
preuve de la portée des efforts de prévulgarisation du C.D.H. dans
la r6giGn de Thiès. Un rapport a été rêdigé sur les activitss de
pr5vulgarisation dans la ‘région, pour les campagnes 1981/82 -
982183.
Une enquste a été réalisêe dans le milieu rural, sur les
cultures maraîchères de type africain, afin de m.ieux sitfler 1’ mpor tance
de ces légumes, de déterminer les techniques culturales et les rendements
obtenus, en insistant particulièrement sur le manioc et la patate douce.
Cette enquête a été dépouillée et a fait l’objet d’une com~lunication.
En outre, l’expert-associé responsable du programmera fourni
des conseils dans le domaine du maraîchage aux différents organismes
ayant d?s actions de production légumière.
son du Sine Saloum
.-, - -
L’expert-associé affecté en janvier 1981 à Kaolack, a quitté
définitivement le Sênêgal après un séjour de deux ans, ‘Ila redigg
son rapport technique final ainsi que les résultats de deux enquêtes
. . . /

16.
sur le maraîchage au Sine Saloum, La première publication est intitulée :
“Sote concernant une prospection sur le mararchage au Sine Saloun”.
La seconde publication traite de l’enquête technico-sociale du
maraîchage dans la ceinture verte de Raolack,
Les travaux de prévulgarisation et formation que l’expert-associé
a menss durant son séjour au Sénégal, sont à poursuivre par les
encadreurs et formateurs de la SODEVA de la région, Le C.D.H,, % travers
scn expert en formation, maintient le contact avec les formateurs de
la SOD-ÈYA qui, à leur tour devront poursuivre l’action ds vulgarisation
horticole,
Il est regrettable que la SODEI’A n’a pas rSpoadu aux nombreuses
demandes dl1 C.D.H. pour mettre un homologue auprès de l’expert-associé.,
ce qui aur,ait permis de mieux assurer la continuité de l’action
entreprise,
Région de Casamance
--.------Y-.-
L’expert-associé en poste à Ziguinchor depuis decembre 1980,
a quittê dzfinitivement le Sénégal, ayant été recruté par l’assistance
technique belge
à la fin du mois de mars 1983. Il a rédigé un rapport
final technique sur ses activités, ainsi qu’une note concernant les
résultats d’une prospection maraîchère dans la région de Basse-Casaman‘ce,
L’expert-associé en poste à Thiès, a Eté affecté à Ziguinchor
dspuis le mois de juin 1983, afin de continuer les travaux ayant pour
objectif de recueillir des informations pour l’établissement d’un
calendrier de production. Les tests de comportement de tomate, chou,
piment, jaxatu, aubergine, gombo, pastèque, patate douce, oigwn, manioc
et pomme de terre se sont poursuivis.
En outre, des parcelles de production de semences ont étê
mises en place pour les légumes de type africain : gombo, jaxatu,
piment et bisap. Une production de boutures de patate douce a été réalisée
et plusieurs milliers de boutures ont été diffusés dans le milieu rural.

17.
Durant la période chaud2 et humide, trois points de démonsr
tration ont été mis en place dans le département de Bignona,
L’expSrt-associé a assisté la SOXIVAC dans la préparation de la c.ampagns
maraîcGr2, spéci.alement dans le domaine de l’approvisionnement en
se32;.cts, selon les zones de production et les marchés potentiels.
Pour la saison sèche, un point de démonstration est en
ré.?lisation dans chacun des départements suivants : BignaiW, Ou;souye,
Zigui.nchor et Sédhiou.
Une assistance a égalemt-nt été fournie sous forme de conseils,
à toutes les autres organisations ou groupements de producteurs
travaillant dans le domaine de la vulgarisation des cultures légumières et
fruitières.
Démocstration au C.D.H.
-_-.--v--m IIe-
Les cultures de démonstration ont été mises en place comme
prévu. Elles ont spécialement été orientées sur les variétés de tomates
(ROLHïEL, ROTELLA, l’hybride SXALI: FRY VFN), de patate douc2, jaxatu
et bisap. L’oignon a été cultivé en production tardive avec les variétés
YAAK~M et RED CREOLE.
En outre, les deux variétés de gombo, POP 12 et PCSO,ont fait l’objet
d’un test orientatif de forte densité de plantation en lign2 simple.
Documents de vulgarisation
--...-m_-..---_
- - -
La section a préparé plusieurs fiches techniques d’information
faisant le point des connaissances actuelles pour les cultures de
grande consommation : oignon, tomate, chou, pomme de terre ainsi qu’un2
fiche technico-konomique concernant les charges culturales pour un
hectare d2 maraîchage en sol sablonneux (cultures oignon, tomate, chou,
po;rran2 d2 terre) et le coût de production de plantules en pépinière.
En outre, un cours de maraîchage pour le Sênégal est en
f réda,ction, le tome No 1 est actuellement terminé, ,, <.
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Formation
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La section a participé à 22 s&ainaires regroupant au total
98 responsables de la vulgarisa tien-formation des régiocs et ceci,
en collaboration étroite avec les organismes de développsment
(SODt:VA, SOXIVAC, S.T.N., CARI-, GANTAS, AJAC, etc., .).
.
Ces recyclages sont acconpag&s par un progran’i2.z de dinono;-
tratlon et de visites sur le terrain, spéci.alement dans Les regions
de Thièz, Casamance et Sine Saloum.
Ces cours de formation, à travers les formateurs et les
eniadre,ur:; touchent environ 570 encadreurs et 22.509 paysan-.
/.
Asi is tance aux projets de dév?LoLpement maraîcher
.-_--.. -.---
--<------- *
..---.
En dehors des grandes sociétés de d&eLoppement (SODEVA,
SO?I1 VAC > S.T.E.),
une assistance est fournie à de nodreux petits
projets de production, ainsi qu’à des producteurs individuels.
Cette aide est faite sous forme de conseils sur les technique;
cu?turaier, la distribution de matériel de démonstration (bulbilles,
sezerces, boutures) et de documentation et des visites sur le terrain.

Le travail dans la section Economie et Commercialisation s’articule
auicur de deu,x points :
.- traIrail de. support
- t-rarail de recherche
1
-
Tra.r:sil de support
p_I-.X-...w_-.I
C’est l’ensemble des tâches permett2nt d’acquérir d:?s éléments
utiles d’ information, en vue d’une meilleure orientation de la
recherche maraîchère, IL s’agit :
.- du sufvi du marché local des légumes
- du suivi des exportations en tonnage et en valeur
.- de l’assistance à des sociétés de développement
- d e l ’ a s s i s t a n c e CI d e s maraTchers
- de la participation au comité de suivi de la com.mVzrcialisation
de la pomme de terre locale,
Ce comité regroupe les présidents des unions de CoopSratives du
Cap-Vert et de Thiès, le Ministère du Développement Rural, la Direction
du Comwrce Intérieur et des prix, la Direction du Comwrce Extgrieur, . , . t
Ce comité a pour tâches :
.- de proposer aux autorités une date d’arrêt des importations en vue
de protéger la production locale
- d’élaborer annuellement un projet de modification de la circulaire
rég:emsntant la commercialisation de la pomme de terre locale
- de notre participation à la commission chargée de la déterminer
du prix au producteur de la pomme de terre locale.
Cette commission a été crSGe par le comité de suivi de la commer-
cialisation de la pomme de terre locale sur demande des unions de
coopérative qui souhaitent une augmentation du prix au producteur,

20.
La commission a soumis ses travaux et il appartient à la Direction
du Co;nraerce Intérieur de fixer le prix au produc leur pour cet te
cam;>+.g-~e sur la base des prix
de revient dégag’s par l’étude.
- - ________
Travai 1 ---
de recherche
--.-<
Le prograrmie commersialisation des légumes - zone des Xiayss -
SS fixait: pS2ur objectif; lors de la première annes d’ex$cution :
- le recensement de; marchss significatifs en légumts
- le relevc journalier des prix au détail, prix de gros dans les
ma%:chis retenus
- l’étude de la structure du marchê des légumes dans la zen- des
Niayes i
. filières des produits
. formes de vente .
. processus de formation des prix au détail
Pour la matérialisation de ces abject ifs, deux voies s’of Eraieni à
n3us ;
- I è r e v o i e
: parti/“des zones de production pour atteindre les
marchés
-- 2e voie
; parti#‘des marches pour remonter la chaîne jusqu’aux
zones de production,
C’est la deuxième voie qui a été retenue avec les Gtapea que voici :
- Ière Gtape ;
choix de la zone de consommation à considérer pour
retenir les marches d’études. L’axs Dakar/Thiaroye
a été choisi
- 2 e é t a p e :
choix des marchês dans le troncon Dakar!Thiaroye.
Trois critères ont ét6 retenus pour faire ce choix :

21.
. disposition socio-économique de la clientêle
. rôle du marché pour l’approvisionnemen: d’autres marchés
. emplacement ggographique
- 3 étape :
identification des agents économiqws évoluant
dans les marchés de détail
- 4e é t a p e : visites des zones de production.
Les acquiç peuvent s’énoncer ainsi :
- les marc.hés significatifs en légumes ont été retenus
- les agents Pconorniques évoluant dans les marrhSs sont conws
et une tentative d’élaboration d’une typologie faite,
- les différents modes d’écoulement des produits maraîchers ont
été recensés
- le prix au détail , prix de gros des march6s retenus ont ét4
relevês journal isrement
- l’inventaire des coûts de commercialisation a également été fait
Ces différents points sont l’objet de deux notes qui seront publiées
prochainement :
“Etudt de la structure du marche des Légumes”
l
T “Impact du coût de transport sur les coûts de
commercialisation”
e.
Documents mis au point durant la campagne 1982/53
2,
-
v..-i---.-- _
a) Documents parus
.-m--e-.---- e--w
Production,
stockage et commercialisation des racines et des
Y
tubercules T Atelier CRAT, 22-26 novembre 1932
. Commercialisation intérieure et marché de gros 1- Comité des
grands produits, octobre 1983
. * . /

LL.
. Détermination du prix d2 revient de la pomm2 de terre Locale -
Groupe de travail du comité de suivi de la commercialisation de
la pomme de terre locale, décembre 1983.
bi Documents 3 paraître
_-__-__.--_. -_ ---.--_ -
. Etude, de la structure du march6 des légumes
‘Impact -111 coût de transport sur les coûts de co~eri;a?lsation.
l
i
-
Rcla!: ions avec 1’ Université de Dakar
--.-----
-.-l-----I.,m---I
. Du Ier au 30 avril, un stage d’un mois a été fait dans la section
par un Étudiant en 4e ann&z de Sciences Economiques.
. Un étudiant en 4e année de Géographie a be%fici6 du concours de
la section. Celui-ci avait un msmoire de fin d’études intitulé ;
“i’approvisionnement
d2 Dakar en légumes 3 partir des Kiayes de
Pikine” = Faculté des Lettres et Sciences Humaines - Annie Univer-
sitaire 1982/83.