RECWERCXS RIXCOLES EN CASAMANCE ...

RECWERCXS RIXCOLES EN CASAMANCE
CONDITIONS GENERALES
_
.
-
D&s cette p~&tie méridionale au climat soucknicn ct subguir&n,
-3:
q1r.i
^
.I
.
ksure:l’essentiellc de la production nationale;l’hivernage l?E‘,C’s *&t stirtDt%
-w
. .
caractéris6 par une plwiom&trie tardive, irréguliére ‘et insuffistinte. &s~
-
. -
conséquences d’une Tulle situstion furent une mise ~SI plat% tardive des lessais
en champ et une alimentation hydrique insuffisante dana les sites où’l’iz:j+
gotion’ d’&pcint;n~~ gu I?tre àssurée. Ls riziculturs de plateau n ‘6t$ p&ti-
culif?rmént pénafi:;Be,
I 1 AMELfORATfQN VARIETALC ;
a-. -.
A - PQiniéres intcr&tion&s i dtobserva tione et essa.is ’ d~avalciati~r 4 + +i;7 c
-- ---------------r---"------I---ILC-I---I-----C-I-Il-~-LI--I---~-ü(_12~1^-_
""""""--------.-c----1-1---------el--------",-------~----------~--~--
A.1 - Riz pl&i& '8trict i
c
,. .
a/ - EEî-ADRAO COMPORTAIT 236 Varie@s ou ligt%es en observatien :
Seules !;7 rknéros ont boklé le cycle chnt principe&tW-kdes IRAT.
Les 8 IX1 qui particip&.ent i% cet essai ont BU un bon comjM5zknt.
Orae kribtés ont été retenues pour une collèction t&t&e j
.
parmi e?.ls9 : IRAT 112, IRAT 133, B$ - ?!%3-3 &r,hrht'e+:W~,
-
Il 11 a eu tr&s peu’ dlatteque de pyriculariose foliaire mais on
.
.
a not4 cwlques ‘attaques de pyricularioae du cou .etl c?hc1mïn?!%s-
parioSe.
.
b/ - Pépinibe ïnter&tior&e riz de plate& fI;U~RiD~k.!)~ Sur Le$ 141
- .
. .
numéros es obsertiation seuls 11 numéros Ont bouc16 leur cycle ?Jais
.
8vec des r:oick de récolte extrèmement faibles.
Le3 4 ~meilleures kariétés sont ;
IR 5260-l
TR-3880-13-14
EPI-76

.I
‘C. 22
f!!?-10.
. . ..-. ._,_.“._
* ?L;di:.*

Ai œ Riz pl&ik de bGs-fond 5 (I,R;trR,D;N.)
Deyx: essiis mis en place’l’un B CjibGlor, ~l~&ixe h Véling&A
(SDDAGRI),
._..
131 -*I;RdL;R;&N; - Djibélor :
Shc les 250 &+i~tis en obser&tion, 13'nront &s bokle
lcùr cycle. 142 ont eü des Irkcoltas tixtréenemènt f&,t?les !a& kiitc
de 1; sécheresse,
. .
. .
3 ;X%!C& ont r5iS complBtement &truites Far lc pyriculariosz
'et 4 ont Ut& tr&s touch8es.
.
Ai totk 14 kriiltés présentknt des caractères ti~t.izP&s&ts
. .
.
de bon& tolérance B.la sécheresse'et :&y. maladies &nsi [iu'une
bonne pottintialiti de renclement, Leur cycle's'cche~oi~~~c tintre 115
et 130 j,r::rs,
bJ -*I:R;L:R;O,W; - Vélingh~ ‘z
Sir ce site, 117 Gr~éros sur les 250 Ont boticl6 lc cycle,
<.
'L%tât phytosanitaire a tsti &tisf&&t, Dr& k.kiétiS trÈfs att&
- .
qu&s par la pyriculariose et deux variétés sensibles 2 F?yowrhas-
porioBe*
Les 7 meilleures sont i
IF&-3646+=3-l
IF-1523-&%?-3
IR-3646&3-l-l
IR-X%l-522;6-9
IF-‘"646~94-1
1%XSO-10
- .
63--55 seuls cette dernièca ~‘+~alcnertt eu un &XI ccngtirtoment
dan-: le fnhe essai à D jibélur.
_.
‘ .
.
Essai 7c1tévaluation initial EEI-ABRAC 3 ‘D$ib8lor, ,Les observation
.-
.
au champ, qui portaient sur 235 varié% ou lign&es,'cK C!C-& les
- .
. . .
+
résultats suijante a
5 \\JaFig%s!n'ont e; a&.rne leke
14 tint eu une tri% mkhise leke ‘et très peu de réctilts sUr :Le
plan phutosanitaire,
.- .
- *
25 varïrSt& se sont mbntrées très sensibles h la pyricalarioso
foliaire.
.
<.
_

10 sont sensibles à Ii pyric&kiose du cou
. .I
23 ont été trbs 'àttaquées p&i Rhynch~sporiose
'
10 sont sensibles a& borers.
1
*
En conclkk5on : 17 G&iét& ont ét& retenùes polr une co1lèction
'tk3t.68.
A&, - Riz immersion profo,nde :
les conditions 1 d’immereion profonde.n'ont !>u se réaliser k
.
_
cause du Sficit hydriquet la lame'dlsau'n'a pss d$ass$ t',Xk,,
Les réshtats des obse&ations son,t: les skk&s ':
5 hk&&3~r~foht eu &ckne GBe.
3 tint eu lek rkti-lte &trhte par les o:ise& è &Use de leur‘
pr&&i+k S
._. .
De tx&re&es k&étis or;t suhi l.a verse ‘et il y avtiit des
. .
m6langes dans les scmenoes reçues
Quatrr? varit5tis sont retenues ;
y E%N 6323
* - F'arn x 126/6S/8 - sensible B
. *-
la verse
. _.
si - Colléction tCst6e rit pl&& i
Un us& B !I%f~ qui comportait 43 &56tfSs ck 3i~f$es &kt
25 DJ le t5noin ét$it 1144 Bj9;
.r -
4 k~iétés'n'tint eb aucune &Colts dans les 3 rX@Etltiofz
4 Var%tis scint
nulles d&s 2 répétcitions
12 &ibt&3 'et Iï témoin ont Une répf$tition

fians récd te
lf &%5t& ont un poids moyen de g&in st&rie& EL :SO.~&
mcyen dti témoin adjacent;
Le meilleh retxkmtint est obten; par lX&525+&J~ &x LT poids
_
.
_.
mayen PLI bottillon de~l.633kq; Le meilleur poids dti txhoin &t 1ScîQ!~g,
. . -
.
.-
.
I
On a .w% une forte 'attaque de pyricuJariose dL! cou SUF Ihhg-%o
et à un ckqré moirdre sur 03-11-512~2.
<
_ . . .

E3j - Colld5oti te:; -A56 r i z irrigu6 ‘0
.
Un essai
‘3jibélor qui camportht 30 &két&~. Ce tin&in 'étG1: IRE,
--
, .
. -
Du point ‘e vue pkiytosanitaire, lé timoin IRE a eu la noucktin~bge
le O~IS 0lek ds coe&s morts ‘et de pyrichariosc du coco
. .
. .
23 VariéEs tint S&i des attaques c!e Rinynhospcriose ; ,?.v ~~c:~~&$nt

.w
dti timoin &i:,~our~l~ensemble de’1 fessai,sup(iriuur aux randerjtink des
.m *
vari Ms.
-
1; moyenrtr: dea poids de grain du tirnain r%t dc'2,!?30ggccUe dos
.
variGt&à f&t cle s’2,625g,
avec un poids du b’cittillon de'3.270g. Le meilleu,- renden8nt bU t6mdin eSk
de 33719,

2,
w+341.
.yy
,,s**
2518
‘)
-.
‘II,’
’ 3?. 344 E/V
-
22l.s

‘4. $RAT 1333
.+
v,*,,
21137 ‘I
.5, y!AT lclv
z,., mi 1927 ‘*
. -
-6, IRAI- 110
.-
>,*,,a
3.828 ”
.7. &1:541
;
..I,,.- . 1817 ”
?Il
nATa.
,-
e,-,.
1745
‘I

.-.. .
.
- Ilauvai~e réptirtition des pluies, ce qui explique lcd f&les
_ .
- . .
2942 ”
2672 ”
252;

‘t
2142
If
173Ls

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IRA-7 K?
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“:.:rf:..

.
.
.
I
-9,
.
.-
“.
Ii 1.44 S/?J a é t é a t t a q u é e pBr l e s borers. Ac!cur,e vari’éti
:nlfi eu m cycle iofériek à 144 EV9 (134 j).
~pressif sur ‘1 tensmble de la parcelle qui a csïMmc i!n niveau
cje rendemmt &sez bas.
.
_
,,
La kriété RU 191 n’a pas eu de J.e;@e,
- <
. -
’ La 9\\4 78 a Étx$ semible à 1; pyrictilrariose du cou,
*-
KT 6?6? et 03.684D sensibles au bronzitig,
-
Lc! S-rroin IRg a eu quelqdes ~tt&&s de bcmrs ‘et de pyr:i&-
Griosc 4 cou,
Lez 5 rnei.lle&s rendementsls tét&.iss~t h;insi I
I .

. _ ,

. . , . . . ,
# ~

, - 10 -
.* I
.”
IRE ‘( laloin) ""y;W
. 4986 kg/hé en 79 owpiit.le 2k Pang avec 4756kcg.
', - IR 3454.&=3-2"; 4935 w tl
~oütes ces &ié%m ont ;n cycle s&Srjie& à cel~~TdtIR8 (126j)
.
Comportiit 6 GAiétés en comparaison
tes rtssh&ts ‘sVblissent ainsi :
1: B b! 78
I,...
ii
4791 kg/ha
‘2. 8r 52&:Zj
,.I,,
4
4097 kar'h;
.r.,.
‘3, Br 5;tJJ.w
=y- 3650 " rl
-5, r33,5-1[l6-4
.,,,- -
3456 "
"
:6, 6r fj~i!&&
""Ai..
3415
"
"
.
On fotro&e encore ici 1; Er 51-46-5
6 VarïSt& m comparaison,
Les résilt&s sont les sùiiants i
-1’ i3r fl&-5 :
*,.,. 3 2 9 9 ka/h;
-
: 2, DJ ’ 5-106-4
e..,,y- 3088 tl "
'3, IR 4816+0-1..."~
3060 " "
'4, 8r 522-l
I,.,..ii 2872 'I "
'51 I!? ,1529-680~3*~~
2771. " “
.
. 6. B u El
S,.,I>
,- 2524 H '
-
On &t comtiter qüe s& 3 sites tiffértints Rr'51-46-5 Lent soit
- 3
L.
~Oit en l" Mit en 3,O gosition. Cette varïbtfi est Cx +etcnir.
L
ci - &isei &étiil ri7 immersion profonds :
-.
ES~& &&iétrl- coordonti AORAO, immersion profonde,'i3jZbBlor. il c~m-
portait '3 &ïét&3,
. -
-..
Les condition tifëctueuses de 1; pluviolhtrie ‘et de 3; I.&e (dfe&
(0,30m) Ont été la c&tse du bas ni&& des rendem&&
De& k&Stés BHADOIA et BKN 6383'rPont eu i&&e le&e'et Ont'Bti
rmpl~cées resp&ti&m&nt par ROK 5 et RH2. Ii r8cdfte de tlAOIc;tiJJ AIL ;
été cmrnplii3bmé~~ &tr&te p8r les ois&& à cake d! sa précoCiti'(lOf~ 9).
. .
L
. .,
De nombreuses var.%& ont Qgalement subi la verso,
Les 5 nail~e&es rendements sont I
. .._..
'1, ROK T".'++ ~3184 kg/hi en 79 ockpait le 40 rang i;ec 3Ii45 EQ
_ .
.-
‘2. DA 2Y"'+. 1;312d![ '1
l1 en 79 occugaït le SO rang a&c 2303 kg_. c . - . .

I
, : 11 -
.^ . . .
:3. IR 2071-56~.“+ 23913 @/ha
-4, ADNY 301 ","L 2886 " "

. . . .
_
* *,
*,*,.,
:5, RH2
- - 2 2 8 1 f' I' en 79 occupait le 2O rang avec rt422 I:ç! ” e.
.
_,
ROK 5 reste une varik?ti intéressante pour cf! type de rizic&ime, <
Q - Tests sgéçificjms '2
m--L-"-
--- w-e
,,,,,..",=-a..,-s.--,
- Tests pyric&&.ose IRBN ??z
Di
Ces &iX I;I%~ compcirtaient 347 nknérosr Ils Ont ‘ét& impl&t& & 1;
.
fois & DjikLor ‘et CI Sef3 en conditions pl&h.es ‘sWct&s, .
...
-
Akme récolte’n’a pu ‘Btre effectuée ? c&ss de la sMmresso ‘et.&~
. ,.
.
. -
c
‘tittaques s&&res en &but de véggtation, Des prGmxk$ka Ont ‘éti ftiit;r, per
le service phytc&t;iologie
. .
‘L’échelle dc notation ‘utilis6e va de 1 B $1
(1 pis1 dr~ttiiqie, Y trés iit&qué >
Variétis
N o t a t i o n
!-7%-i
!T!
IT!
, - DJ 684 D
9
2
8
' - IR 1820~$212-41
1
3
2
’ i Br 51>6d
5
7
5
* - IR 1529-6$0-3

5
2
’ - Br 51-118-2
7
8
3
e
.
Le cckkrblc <e:l’infestation devait pernièttre une *étude phs ri,&;
.- .
muse de la résïstarm aux borers,
0; - T&t de résistance ci 1; s&init~ -,I;R;S;A;T;O,
CC t&t cmpcir&t73 h&ét& en O&de, 16 bhoin résïs~ntiSt&t
POKXALI, lè t;émoin sensible f?I - 48. Les plùi? ;&nt d&&i$ t&dikrMt net
I .
~sff%int artibties pr&ocme~t,on a procé& & ‘llir:ricjation de la parc&!liJ ;
1; pression de solkionln~a pas pG'sfexercer 'et '2e pertiet pEis &~interp&
tation cosrticte des r&&ti;ts.

r
-12:.
E - Sélection des descend&ts~grhybrides b
-----------------r-i*,*
-------------------------a”
- - - - -
-1-“--e-
. .
Ei - Sél&tion de S'Sfa :
Il restait 3 Sbfa en fin de si516ction :
_.
8 Lignées et 5 fkkifles Q cribler.
-
<-
. .
Nous avons x!eten; 3 nu9éras cpi serDnt dam les prochCkms cmpag7ea ;
ce sont :
t)J 14-122~1~1-2
1)3 14-l%Lkl-3
_
.
DJ 14-1~9=2%1
11 rtistait B Djibélor en fin de s6lGc~ior! :
mg jcurs
W""N :
"m.-....--
'. .'-
'Ltinci&mce du phosphate tric&9.q&,1drun m&mr;a rCtir&
.
som aDPi. Il resstirt d e s résulEats que l e s o l “tirtificicl*8.dc iobor

. -
(sulfO.ts acide)
-* -* -.
?
est celw quz abrite le plus do condition adverse :

. . . .. .-
. . .
;
:-
,
_“._ _.... ---
.
, i 13 :
- w
_.
’ -’ une &liriité éleÜée (plus de 19 tnmhos/w en fin. de s&narsfon)
’ -
, . un pH t.rEs &x!e (4,4 en fin de slr$mersion)
,- des’ tcre& en fer soluble ‘atteigntkt des poZntes de 1000 ppm,
. .
._
A&& traitemtintlnta pi Üi&iliser ce sa1 de Tobsr, lL’ïnfltreExe des
. .
. - .
amendembAs sur les différens parambtrm chi@iques ‘et élèctrachiniques a
_.
été tr&s &9&le.
.
_
Elle i DWZ& &r fi pairita Si&% en &Ont dk b&&e &Q-sel. Les
“.
.:
- .
r0sùlEats artal:+ques permettbnt de faire une r0piktitian en deux grq2es:
’ - lé ler g:*o& est carlstit& de sais sûris i%jé>tjtior; (led t&me~
.*
.
vifs dent: les principaux facteurs’ Litiittints rGsif%nt dam lr
.
.
*
.-C
.
farte zc.idit& la saliriiti élevt2e ‘et dans 3a paMet;b ‘en ziots
‘et en p3asphare.
- <
: B- ‘FERTI~WATION ; . .
Bi - Régorqe 3’1 *azo~ 9 de 2 &riété~ ti h&tes
==“==“=========r”“““”
“““““-a- I”“----““” gof&t&ïil$s
. . ..~““““““““““““-“““““-““““-~“~“=-~..~”=~
;
‘1.1 k Sur sa1 a: @le& de b&+fand @z
- .
. L
. .
I- Pas de &f Yirence significative entre doses,,
* -
.
.
,- Srpério~it de 1; Br 51-118 (4,46t&) et drsqPIRV (4,qS t&) s;r
IR 1523 (3 41 i/hs) &J ni;e& des renc&&&~ en gr&m, .
- . - - .~,
.
‘142 w Zh.tr sol dal %IX de plaine ;
*. - Pis d e diflkence signifi&ti;e entre doses,,
,i S&riotiitC d e 1; 8r 51-46-5 (5,4Ot/ha)
: - sbr 1; f>3 GMI (4,06 t/h& ‘et’l’IR 1529 (3ft&t/h&

-
.
*.

l2.3 i
%,3 -‘Sur riz&?. arqileuse de b&s-fand :
.Lca dif-‘éienccs entre sourcss nc
L
êst dclm&nr? !2our Les doses,
.v
.
.

.
. _
‘.
-
.
de phaspholee, Les dîffkrantx?s éntrti &iibx&ks- avac ou sans phb+
* .’
phora 90nL da’lfardre de l,X/ha,
. . .
E$ i E~S&
m . ..w. co~~~nn8~d~amkliof~tion
.œ.“--
des sols
“1_---~_--“1--_-_----“-------
t~b~nt& &C!C~
MA.w..A~-.ti~
;
,,,--------------.-“-----------I-------------~----“-------=
CONCLIISION ;
.#
t.
-m
C0mim ‘or-î peut le constater à travers .Icu rt5slil.iktx3; tk?3s aouvnnt les
* ’
. -
‘.
s
/ .
'effets deS triiltsmonta acint maaqu& par das fcicteur~J cxotj&%s’Ln4uffi&w.~
-’ .
_
I -
.- I
. *
ment mtiftris&. Lu marquaqdlaau a bté un des ftict-,:xw cl&. dc Ic! dh?patiiM
.
èntro ossais.
1
III : ENT~?GLOGIE R,IWXLZ :
. -
. I
. . -
.
I;e noabrew ~khantillons 1 dftirthropo&s epptirtetint aulc nuisMes du
*.., -
.
-
-
.
. .
riz (ravagau-s) ou 2~ 3~3.~3 ennemis Raturelo (Wxmophages, @cbteurs) Ont
-.n
_ .
6ti r&xilt&, ck-?terminés ‘et Fia cn coll&tiOn, Ces (-13nkcs Qtizt souvènt n&h
- . . . .
.
6
velles pour la Casamance'et coricerntint tiotammtint :
‘. .
A ;- Po& les rzkgeks dlff6rtintes cspèces1dtac&.ane(3 cspùces dcht'&e
J.
. -
--
m&kiontie pour le prenihc fois du Sontinènt ‘Af:icnit! ,+’ irn& nouvel.le
. .
-
espece'd!31Eqr?ychus),
. .
de Chrysomelidae, Al&odi&& Eic~dGX,d&, ‘et
delpf;aci&e,
‘”
A;z -

,
i

L
.
_

Cl ,,Ciilf=urB. ouhmcrqb$-:
-Ic-
.
. .
DeS tr&itrrrrents au carbafuran Ont'é25 cml;arés Z’Uti Main non
.
.

.

trait& tes 2 contr&+s effëctués aLi ccxrs de la v&jétation Ont
. _
._
.
mtintré uti taux~dlàttaques par les irs&tee pTatlqtr~é~t’Inexista’nt
. ,
(éntrc ci *et 3,5x). Ces
- .
résultats sckk S. rapprocher ‘de ‘ctxx &tenus
,lee k$es ?rk4dGntes sur r i z
pl&i&
2i
) ’
Eamoalaoo ‘UT*
‘et %Ca_ ‘et nosèrt
, .
* .-
1; qiestion de’llimpcr~nce réelle des ':ittaqucs ~d~ins~c-kcs en
.
champs paysans.

,
crintrtXév afin'dlavoir une i&e plus prhxce de la sensibi-t’iti en
_
.
résistmx dss diff&Mtes vari'dtis à!l*bgar? des borezx;@ci Ilm-
-
I. .
plique la mise en place'dlk t51evage de Ghilo E~D labor;atoiTe F,&&
--
-
-
pouvoir procéder h une telle ét&ee
C - ORSERVATION CONCER"!AP.!T LES INSECTES NUISIBLES DC SC& ;
Une p&celle de ~+oje’d~en&on 3c1’3 m2 de 1; k&ti XCA i;l: A/73 n.ét.6
. .
tenue sür le plan tintomologiq~e à li SGtion de9,jibélor. Les prwihscs
r .
""
. . .
obsertiations de &itte année ont mdntrd grossi&xxMnt Qu'il y av3it 2 ~rowes
. *
~dtinsectcs suscept2olcs dWre nksibles au soja :
lj - des d&li&e62s c&. stint représentis p& de3 chenilles ~-&Grtctint à
_
-
.-
-
b..".'.
plusimx espf?ces de lépi&pt&res svec .I)iacrisia.
.-. ,
, -
immacul’atal 'Ltfctheisa pulchekla, Coelisdes fcrtisa Sgti&@t~:s'X~tti-
,
ralis 'ot 2rarMs cardai,
. -
. *
. -
21 - de8 piqueurs de grains avec des HBtiropthr~s appàrtsna’nt aux .gcwbs
F-irperbs, Cc$ tcsma,
Le ccintrtk de tiktte &nOe p pegmis ‘d’n&r &c prcw%rc ick5a ides
.“. -
. .-
,,.
-’
ravageurs susceptibles 9 d’attaquer le soja en ICasamawe, Xl &&.c$tt de
- --
.
.
poursuivre Cet invfhlkre qui est forc6mènt incomplet ûpr&s'unc seule
, .
-
I -
campagne"dlobswiation'et dans des conditions de ctilture isoE6e qui
. .
~rob~bl~&k cowourent à sous estimer 1s probl2me ins&tos~& Cdtto
Cùl tLll%,
_
-
'. .
- .-
Gnns la rVgio:; Sud du pays, principale prodtickricc du riz, Xn ~~;~rirula-
. .
rioso causée par PYMCULARIA ORYZAE CAV est la principale maladie st'r ctitix
"-
* .
"-
_
plante, pàrtict.S&ram&t dans les années où il y a unfi forte pluviotij.t6 cand0i-
.
sant Er une accunul’aticn de roséo sur les feuilles. Appasemmtint; comn:e~lrG-k in-
diqub'd'&tres &te;ss aussi (3, 4, 5, 13, 14, 15, 14), 1; qkkiti d&r da
. . . _ _
rosée, p&t Étrc co~3l&rde comme étsnt le principal f&2tcur du &veloppctiènt ds
_ .
la pyricularioso, lD&kreG f&te&s qk. fakrisent 1; m&dics stin'c i .les h&tcs
*
* . .
quaMit& 7d’aiote ‘hilisdes, les tress hydriques qk-?ewvtint s&ticnir'en &b&
- <
..
de 1; skson des &ics. Il est h&it~el!d%bserver la pyriculnriosc ati*s&&
plcintule du riz 'et de'I1itiitGtion p&c&&e & li m~t&+z.

,
,
.
‘-191
cE!panfint,ia pyri.c&iase’n’est pas t&&3 g&?Qralisée ctilns 10s longs
. .
. -
riticoles, probablem6t-k 3 csuse des &i.ffÉrences &na lea conditians MxxxI$
. -
- .
." .
tiatiques, le9 types de Sols ou les quantit& 1 dlaiote ‘utilisées, les vari‘6tia
-
-
*
.*
. ”
.
. .
c~ltiv&s 'et p&M?tre aussi ?I cause de 2a distribution cku p'aWo@n~?'~t~cle a=
.^
Les autres m&adi.rss &servQw, mais Q une incidence Scunonique wxk~drc bien
qie certknes &$5i$s oet?;ent Btre &&remtint &fëctx%s, stint i
. -!l~helminthosporlosc due B HELti,1NTHOSPORilJM OF+'?!& ;
- 1; rhynchosporiose d;e ci RHYNCHOSPORIUM CRYZAE~ ;
- la eercosporiose due B CERCOSPCRA ORYZAE ;
.
.
des séldctionneurs ‘et a ‘bt6 axb 3 la fois sur des introdtictions ‘et sur &s
I.
hybriihtione &r p&ce.
’ . .
Cs’n*est &I!~I pirtir de Cètte kx$e (19811, .6ec 1; corjstr&tionid~un
lnboratoire de pathclogie &jét&e, q;e les tnkidies ck riz comicmekcht & ‘8tk
. -
I
sy!? t??ma tiquement ‘c? tldm?s . Na& &nnans cependant les r&G.l.tat$ frac$Mtaires
_ _
ju@ulB ce jouir tibten&,
- .
_ <
.
11 - Recherchs de vari6tis résistintes 21 la pyrictiarkosc o
Les premi8res &ries ~drhyk.&tions et7 rizic&.t&c y?.Ck.rlle
_ .
.
1.
.”
- .
'n'tint pas rASOuti
mi ,' à des rfzW.iltatx tangibles, TcMes 7ea v3r36M3
-- v
. .
.* 4
retenues Ont vu~teur r&iskwce chuter trks rnnidemtint. $tLx~ ava.iEnt
.
*
. ’
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une résïsta~nco vMxkalc qui, ‘c’est connu, ‘n’&t pas 'éfficacz ctintrc
,a
-. . .
I
".
un champignon aussi variable que‘?. km, w .

I
20
ï
i
êst kàsïstde pA des p~l&i&tions $8 fcngicides dar~.l~s charnos dr?
_ .
- _ *'
ntilti~li~aticn recevant le@ t!7Gmes Intensifs rie ctGtu~e,
-


-

.
La difficuli$ principale pour ch~trbier la pyrlci.hriose du riz
. ."
_ - .
- .
. .
par I@ voie chimique eu parjilamG1
.,.. .,
Ahtioh var~~6~~c;rEstc'SrextrQse
-r
. .-'
_.
variabiXit6 du pouvoir patho@ne cl0 SOL! ageEt c~~~~l~'~r~ 'dffet;P. tryz&
. . .
est capable de se diffBrencier en plùsie&s
~..
- - _ -
rckes physioloaiqucs diff&
. *
r&tCs. F!cus f.vom cbnc vnulu v6tiifier c!eIa' en Cisn5ame car de C&te
'6 &e , d$mxi lai 'stAtf$ie de r&Cstmce &ti.c&~ OC; da r&ïsGme
.
hcrizMxh.e, c!e lAte chiniq~e oQnk7
c .dSbe _
0L1 de ..
:iM32 chimi.qYc r3isoi?i4e,
-
. .
Ainsi, ’
il a ’BM idantifi6 12 races &nt uw &t conrk~r,e aux 2 locaPitis
.
ob les &hintillona ont et6 sécol..tis :
, - 1C races B Djibélor
' - .3 races b Manp&go
lL;imyht&ce Ub~L~helmïnthoç~o~iose
du ziz &,w Ics riziére!s
-
.
7d~Afriauo &t un sujet trEs ctintuover$é, 'En eÎfcéJ, Ctirtiitïs ticteurs péri-
.'
. .
*. .
stint que'c'er,t Line maladie des ~~ritiCres paumasse, (s&s expliciter .1~
- -
.-..
, -

.
5% - #utres acjdab $dhog&nes ickntifiés Q1l’~ccas?on ~$23 bros9tictj.~~
‘.’

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’ - 22 -
-
_
G/- *tkili&tion rÛisonnke c!es fongicides *io:r Ititter ct-jntre,:cs z:Pin-
. .
.’
*
cipales maladies ;
I
81 - in~esticj~tions int6grt5es (hotes x pàthlx$nes x er&ror?r?cm$k)
ou ekpdrim&tition multilofxle.
A'- TEST HêRB‘iCIDE :
Ai - Rizick tire pl&&
On :; nct6 quo be&o& de traitements'~*ont pas 'ittelnt le
. . .
. .
. . m .
stade de niaWit6 par suite de manque c?eru, Les mauvnises he&es c;y&t
."
rt5sisiS aux herbicides ont ét6 skz.o& : Cen&s biflork$ Ete~i:w
indien,, D&.AyIocteritk aegytik, Pkpalun o&ic&ri~, !?orerin .
~vtirti-
&ta*
A&&I produit nc‘srest r&lé réellirnènt efficûce, Pc& CC!
qui est c!e la ghytctoxicit6, nn a remarqk qile ta& les pro&ts &Ii-
-
qks &J stc?de 3 feklles des adventices ont pro~oqG5 kne !&lYre s&
des plkts en &b.Ut de cycle.
.
_.
A2 - Riticulturc submcr&e ;
._-
.
. .
Les aawaises herbes ayant résis@ aux pro&its tint ‘éti
.-.
surtout Ceersia luxpn&a, Sphesantus senegalensis, Cyperus difYormàs,
Fkrei imbellk&, Eleocharis complatw&.
Lo rendement grains montre une diff6rcnce sk:nibi&t:;e
&+ttre Les cliffdrènta traitements. Les meilleurs rendemtints neyeffi tint
éb5 c!onrk% &1
Trkorir sber
.
f 4,88 kg
Désharbage manuel 2 fois b 4,4% !<g
C&m -t 'S&m F 34

\\ 4,25 kg
Hedxkide ~OC&
: 4,24 k g
. .
Le rendement le plus fiible dtxkt 1,5fJ &TII+ p& LC t&oin
abs01 U.
-
Qmnt & rendement paille,“lless&~nfest pis sigii.ifi&tif
.
mais kes moyent?es de rendement vont dans lo!mi?me ardrc que Le rendorr;ent
grain.
.
. . . . . .
1 %di#.

-23
-
B - ESSAI ECARTEMEINT X DESHEZQAG~ : ;
L"essai avait ét6 pr&u en condit:ions pluviales et submergifs
mais vu la plwiome'trie, l'essai en pluvi&Le n'a donné aucun r&sultat .
En submersi$ :
. ,
Pour ce qui est du rendement grai:ns 9 il n’y a pas de di f
férence entre les traitements (fourchette de rendement B,2 et 8,‘~ kg/
parcelle él$mentaire) 9 ni d’intéraction.
Quant au rendement paille, il n’y a pas de différence entre
les traitements ddsherbage 9 ni dr intéraction (écartement x désherbe& >
Par contre, il n’existe une diffirence entre Ecartement (le rendlement
paille étant plus grand avec 20 cm qu’avec 30 cm..
VI. ECONOMIE ET SOC
IJ3
:..< RLJRATJE .... : .-. . . /. .._ .
1, Objectifs
.
A. @s objectifs. g&&aux
_.
-.
f-la démarche, en mati&e de dévelclppement rural, au Sénégal
a toujours consisté à plaquer sur le monde rural des modsles prè-.
établis qui doit s py adapter. Cette démarche, dans la mesure oj elle
ne respecte pas les besoins réels des. populations, a été Ei l’origine
de plusieurs échecs d’opérations de développement. Ainsi une struc-
ture de recherche en Socio-économie se voudrait pour tache principale
de fournir aux organismes de développement les donn6es de base indis-
pensables 8 la mise en place de tout programme de développement. Dans
cette opti.que elle s’assigne pour objectifs :
-e d’assurer une meilleure connaissance du monde rural
-m d’etudier les structures réelles de production du milieu.
-= de disposer d’une connaissance exhaustive et approfondie
des principales contraintes au niveau des structures é&
mentaires du village et de la région.
-. de définir des mod&es .d’exploitation agricoles conformes
aux réalités et aux besoins des agriculteurs de la r6gion.
-- de disposer ds616m@nts suceptibles de contribuer à la défi-
nition d’une strategie de déve:Loppement
rural.
B. Les objectifs spécifie
_ .
.-.
~
~..
La recherche d’accompagnement faisant l’objet du protocole
d’accord entre 1’ ISRA et le PRS a pour ob,jectif principal “de tirer
dans chacune des collectivités villageoises des informations pri:: -szs
et fiables, permettant de faire un diagnostic global des syst$mes
de production, d’appréhender toutes les contraintes et les freins 2
1 O adoption de nouvelles techniques” (- 1)
. . . .
.:

-

24.
-
I*
* : . : ,,.,,
c
:,‘,’
.
_
A ctit cajf*gc~i.~
prir_ci;::l
D 1 ajoute-ut quelques sous objectifs qui
;.
. ..*.
,. “’
sont :
- l’analyse qualitative de l’exploitation
- l’étude du système foncier ..
- lfanalyse quantitative comportant des données techn,‘. &ono-
miques sur l*exploitation.
Elle concerne cinq villages du &partement de Sédhiou, actuel-
lement encadr6s par le P,R.S e
II, LES REALISATIONS :
_..
1. Rappel
.
Avant dIaborder Conc&ernent la partie concernent les r&lisatio~
nous faisons un bref rappel de la démarche qui a été utilisée. 1.” -.wci se
situe â deux ni.veaux :
- global : approche syst&ique s sur lensemble du village consi-
d&& comme un système. Cette dernière permet de? connaître les ressources
du système (capital, terre :. travail) facteur-3 sur .lesquels peut agir le
système, d’une part) et les facteurs dsenvironnementJ généralement fi.xes,
qui influencent la décision des populations, dlautre part.
- micro-6conomique
: la cible est ici l’unité de production agri-
cole assimilée au carré dans une premike approximation (2).
Ainsi dans chaque village un ichantillon de carrés a été prglev6
et fait l’objet d’un suivi plus rapproché - (Ce.sont les‘carrés suivis).
2. Les réalisations
.
_
2 . 1 . Recencement : d&no&raphie. et mat&iel de culture.
Il permet de. connaitre :,. .
- la structure de la population
- les structures sociales
- les taux d’activités de la population, et situer ainsi l’impor-
-7 .-
tance du facteur travail
- les mouvements :L2gratoires : importance et signification dans
le système social
- l’équipement en matériel mécanique : origine 9 dates d’acqui-.’ _
sition s répartition
-_ 1’ équipement en matériel traditionnel
- le cheptel de traction (nombre 4 origine, âge) +
Les résultats de ce recensement ont d6,jà fait l’objet d’un pre-
mier rapport qui montre une organisation.sociale teintge dsune forte
hikarchisation selon lqiige et le sexe 3 une certaine homogeneité ou
uniformisation du système ds exploitation d’un village à l’autre> une popu-
lation jeune,. en pleine croissanc.e, comptant un grand nombre dP emmigrés .

- 25
-
Cette population est repartie- dsLts des- ëarrés dont ia taille moyenne est
de 18 habitantn, composée de ménages independants et de dependants.
Le ti3UX aséquipement agricolereste encore tr& faible. On note
de plus en plus de charr.uesg qui combinées avec l’existence de troupeaux3
aiderait à la pénétration de la traction bovine dans le milieu.
2.2. Cadastre (î-s villa= :
Ce üernier. combing avec les résultats du recensement demogra-
phique permet d’évaluer lsimportance de la pression sur la terre en don-
nant :
- les disponibilités foncikres
- le rapport Homme-Terre
. . .
- l e p3.rcellaire
- les appartenances foncières.
2.3. Connaissance du milieu
Dans le souci d’appréhender 1’ ensemble des contraintes aussi,
bien techniques) économiques, que sociaLes, on sPest int&essé Èi. :
,
- 1’6tude historique
- la structuration du carré et la notion. dPexploitation
- EUX relations sociales au niveau du carre (hiérarchisation
et pouvoirs de décision)
- le travail : organisation, diff&ents modes de prestation
et leur importance dans le système de production
- le système de production : composantes végétales et animales
- le système foncier : mode de tenure et de transmission*
2.4. Suivi tec:nique et économique de -cw&s
Ce suivi a conc,;rné :
- le: fiches de culture
- les listes parcellaires
- les relevés de temps de travaux
- les revenus agricoles : étude. des flux de revenus et des
dép,znses au niveau du carré > permet; ds appréhender le poten-
tic:- dP investissement ou encore le niveau de l’épargne du
carré.
2.5. Parcelles de démonstration
“...
.
Four mieux saisir la dynamique interne du système et ses réac-
tions face a= changements, un certain nombre dfinnovations ont %té intro-
duites dans ledit syotsme. Il s’agit
. de parcelles de démonstration pour le sorgho : trois systemes
.
techniques sont analysks :
- un système dit intensif avec l’ensemble des techniques cul-

‘- V:Q système traditionnel avec. cependant apport d’engrais
.
- un s@$me traditionnel respectant les pratiques habituelles
de 1 Y agriculteur s
. des parcelles de maîs : introduction de plusieurs variét6s
t dos essais herbicides sur riz et arachide.
Ces essais ont dans 1 5ensemble donnd satisfaction, surtout le
sorgho et le ma& qui ont di%iné un intérêt particulier chez les paysans
de la zone malgré une mauvaise pluviom&trie. L’ensemble des informations
recueillies font actuellement l’objet d$ d6p ouillements LI et seront con-
finées sous peu dans un rapport O
III. LES PERSPECTIVES :
.-
l*/ La poursuite du suivi dans. les villages couverts par la
convention ISBA-PRS, dans le but de v&ifier la fiabilité des données
de ja obtenues 9 en les étendant sur plusieurs ann6es. Il sPagira aussi et
surtout r en fonction de l’cxp&ience .tirée de ces deux années de suivi 4
de réorienter au besoin ce suivi* Une attention particulière sera réserv&.
à la rizicultwe, composante dominante du syst$me de culture dens la
r6gion.
2*/ La mise sur pied d’un programme de recherche pour la
Basse Casamance~.
Ce programme vise une caractérisation du milieu en dégageant
les spécificitA5 techniques 3 économiques et sociales 2 une connaissanc:e
des besoins des; populations 9 et la cueillette dy informations pr&ises et
fiables, premiÈirc étape, à la dgfinition de normes et à 1’6laboration de
modèles pour la, zone. Il comporterait une phase pr6liminaire dite “d’idenl-
tification des points de chûte” * Elle se ferait. de concert avec les orga-
nismes de d&l,oppement intervenazrt dans la sous-region; et ceci dans le
cadre de programmes de développement en .cours ou iz venir.
. recensement des villages concernés
. découpage de la sous-région en zones homogènes
. choix des villages.