._ . . .- - - - i’; IRECTT OK 3F RECHERCHES ...
._ . . .- - - -
i’; IRECTT OK
3F
RECHERCHES
SIIR
LES
CULTURES ET
SYS'T'IWES PLI!VTAUX
iDRCSP 1
Prog!ramme GRN/ZS
2
1 “-mm
Dans le cadre du p:c‘(
ISRA/ARAF financi;
pa1'
le
r
compost ont été realis6s èli 2,<
amélioration dlE '1 a fer1 il i. 6 des
sols et de la
prod\\1cti.\\. i t.+ dle5:sz CU 1 turcs :
init iation
de,s
paysans
au x
techniques de
compostage, ~0' I!l r une meilleure valorisation de la
mat i Ere organi.~ ILIF disponible dans l'exploitation.
2 --BEr-.
Les tests ont été C:onduits par' dis (:LOI paysans: qui
ont comparé chacun, une parc ztelle fertilisée avec du compost à
.I n e
parcelle témoin
non fc31-tilisée
selon un
dispositif en
i
couples.
La dimension des
parcelles
suivies au
niveau de
chaque paysan est de 100 m*.
Les tests ont été
faits sur Le mil, Le suivi des
parcelles a concerné le semi S1
(écartements) et les composantes
fIu rendement (nombre tiges, Il<>mbre d'épis et<:... 1
r
Des enquetes ont 6 é associées aus. tests. Elles ont
r?U
pour
0 bj f? t
la
desc. 1% i- ion
des
sv si:&mes
de
cultures
yt-ati quks durant 1 es c‘inq r trnières
années,
l'identification
des itinéraires techniques a: pIl.iqués au mil dans les parcelles
3 u iv ie ci
et
la déterminatio
des produits utilisés dans la
Fabrication du compost.
3.1 -- Elhnts des systèmes de cultu.mq
Des
elément~
des
systèmes
dl?
cul turek
L rst i.glic"-;
durant les cinq dernières annees, sont ~vnthtSt.ise:, da.ns 1~
tableau 1 . On peut
noter -UP lc?S silc7essionc; Zli.!t ;i!xHIeS SI?
resument
principalement à
deus :
Sc7UlliI /souna.
13 I ,
souna/
aracIiide.
La .jrwhbI-~~ e.st l'are
et
10 parcage titi !lGtn:i 1 en
plein champ n'est pas pratique. Lc. frlnii er et le comp(.sst
sont
donc '1:1 principale sour.:e de ferl.il.ite, flans I.e ca2 0.ù ihs
s 0 1-1 t
disponibles.
Cela confère
aux
sols Iqui du re-:;te sont
dior) une fertilité très fragile.
Les itinéraires techniques apvliqués
--
au mil sont tres
simples (tableau 2). Trois itinéraires techniques se sont
identifiés :
a -
épandage du compost ou du fumier en ,juin t semis
à
sec
au
semoir
super-écc
t 2 sarclaEs t
démariage.
b - épandage du compost ou dlL fumier en .juin t semis
à
sec au
semoir
super-eco t
3 sarclage 4
démariagr.
c -
épandage du
conlpos t o u
du fumier en juin t
grattage-.mé¢aniaue a la houe sine t semis à
sec
a 1.1
semoir
super-éco t
3 sarclages t
démari age II
Le demariage
6.1 x t
tardif. II
es,t lr plus souvent
effectué à plus de 30 jours après le premier sarclage. Or pour
être bénéfique
(favoriser le tallage et/ou le développement
végétatif) f le démariage doit être fait etltre le 10ème et le
15ème jour apr*Gs
la levée (a\\-ant le t.allage). Cependant, il
faut signaler que l'application correl-:te de cette technique
Idate?
intensite)!
peut
être difficile pour le paysan. Il
faudra en déterminer les contraintes.
Les itineraires techniques eIlt.re parcelles compostées
et
non
compostées
chez un
même
paysan, se
diff6rencient
uniquement par l'apport de compost.
Tableau
1
: Earaa=térïstiaues des
-____ sast"~s de
----- ---- cult..ailre
PAi:~ANs
TSPE DE SOI iUCCESSlO%s ,CLiUKAL':
fP.A?1bALI.
)ES 5 DPRhIRES ANNEES
-~---
Periode/iype
cm1
I
-.
--..~-
---......“-.---.
+--
De&-Dior
SOU?rA ; SOi'NA
2tdé"~ariaa~r!O.ciOx0.65
!
I
Dior
2tdenrarlagf?, i 0 ~ 90x0 ~ 90
I
hsor
Dioc
SCYE
Dior
ACHERE-AR%Cf:i !it/ -.&Nî
Itdf”l!!a?. rags,oi .35x1 ‘25
1
Arona
Dior
SOUNA ! AR.4CHlDE
Juinfcompost
i
3tdeeiaria~e,0,90xOt95
sou
I
Mbassa
Dior
SOUNA f SOUNA
Juinlcompost
i
3tdémarlage,0.90x1,15
FAYE
/
Mbave
Dior
SOUNA r' ARACHIDE
Juin,lcompost
Ztdea~aria~cr,O.YOx1~05
PAYE
!
Jean
Dior
~OIJNA!AHACHIDE-SOUNA,/
Juin!com_wst
I
Ztdéotaria~e,0.85~1,70
Pierre
SOUNA
FAYE
/
Mbave
Dior
SOUNA / ARACHIDE
Juin/com-post
1
Ztdémariage!,0.95xl.00
Diéne
SARR
I
j
Da1.y
Dior
SOUNA ! ARACHIDE
Juin!compost 3tdémnriage,l.O7xO,RO
NGOM
Les écartements de semis sont presque conformes aux
recommandations techniques vulgarisées (0!90 m x OS90 m).
--
-------.-
_-_--a
PAYSANS
PREPARATION
1
S E M I S
SARCLAGES
DU SOL;
-
-
- - -
I
i (Date, Mode? Ecartement:1
4
(rn)l -
-
.-
Gorgui DIOUF
NEANT
j 19/06/94-Iriécanioue-@t80v0,,65 2tdémariage
Mbakhane DIOP
-"-
I 30/06./94-Manuel-0.90x0.90
Ztdemariage
j
Ngor SENE
- " -
19/06/94-Mecanique-0?95x0,85
Z+démariage
/
Antoine MENDY
-'le
15/05/94-
7
-0,85x1,25 2ttlém:iriarge
/
Arona SOW
-"_
I 27/05/94-Mécanique-0,9OxO!,95
Stdémariage
Mbassa FAYE
GRATTAGE
i 16/06/94-Mécanique-O!Y0x1,15
3tdemariage
j
Mbaye FAYE
NEANT
18/06/94-Mécanique-0,90x1,,05
Z+damaciage
j
Jean P. FAYE
-"_
] 15~06/94-Mêcaniane-O!85x1!,70
2trlémariage
Mbaye D. SARR
-“-
07/06/94-Miecanique-0,95xl,,OO
Ztdémariage
/
Daly NGOM
-“_
i 30/05./94-Mécanique-1,07x0.,80 3ttiémariage
i
- -
La superfic.iF des parcelles compostées val<ie de 0.12
ha à 1 ha. Les surfaces se répartisselit conme suit :
_ - _ _
“ 1 1
_ - _ _ _ _
_ - _ - ~ _ - ~ - - - - _
- - - - I _ . - -
- - - . - - - . . -
_ . - _ .
. . _ I
- - 1 .
surface compostée
Vombre de paysans
Frequence
(ha)
(ou parcelle)
relative (%!
1
1
10
0,s
4
4 0
0,30
1
10
0,25
3
30
OF12
1
10
--
- ---
10
100
-
-
-_--_-.--.-.----
Toutefois 1'1~stimation I.les quantitGs apportées est
I a g u e
(nombre de charrettes).
Les doses devront être plus
p.6~: ic,c:s.
L)e même, l:r date d ' épandage est précoce et peut en
favoriser des pertes. étant
donn4 que
le compost n'est. pas
enfoui . La pratique (7rlnsistant $ f%ssocier l'épandage au semis
du mil ! pourrait être reconsidérée.
La durée de fabrique du compost, la date et le mode
d'6pandage sont des pratiques déterminant.es de la qualité du
compost sur 1esquel.s il doit, être possible d'agir.
La synthèse des résultats est faite dans le tableau
3, Le test de student à montré que l'effe-t du compost sur le
rendement et ses composantes (tiges/m*? épis récoltés/m2) es':
Lrès
significatif. Les parcelles fertilisées au compost ont
produit en moyenne?
197 poiir cent
du rendement des parcelles
témoins. Les rendements moyens respectifs sont 785 kg/ha et
399 kg/ha.
La c0mpara.i son
f'aite au
niveau
de chaque paysan
(couple de parcelles) entre parcelle compostée et parcelle
témoin, aboutit à la meme conclusion pour le rendement Cfjgure
i), et les composantes
nombre d'épis et nombre
de tiges
(figure 2 et 3).
A l'avenir, le suivi des composantes supplémentaires
(nombre moyen de grair;s/m2! poids moyen d'un grain) permettra
de mieux expliquer l'effet du compost sur le rendement, et de
compléter les informations fournies par les figures 4 et 5.
-_
--
‘---7-
VlLLAGES 1
PAYSANS
avait,
EQLS
Epis
Pds Epi
Rendt:
i
i
RÊc.m2 plein!
pleins
kg/ha
A------
m=
m2
~-
LAMBOCK
IGorgui
compusi
147
ï35
IDIOUF
1
j
- *t -
,ilbakhane
composl
67
300
!DIOP
2
!
GUINCUENFOjArona
com-posl
214
1500
I sow
3
j
k’Al,Ol.AN&
,Mbassa
101
520
i PAYE
4
!
LAMBONEM !Mbaye
composl
130
910
!PAYE
5
- '. ._
/Jean Pierre
97
680
IFAYE
6
Gossas /"" Diène
composl
275
870
village
7
!
- 1' -
IDaly
i
, Nom
8
122
670
+
-
-
LAMBOCK
Gorgui
témoin
70
310
I DIOUF
1
- 1' -
IMbakhane
tépoin
55
320
IDIOP
2
i
CUINGUENEO~Arona
temoin
102
770
I sow
3
i
IALOLANE
jmassa
c-in
55
260
!PAYE
4
!
.AMBONEM Inbaye
t&noin
60
440
(suite tableau 3) '
-- --
?--
!
I
-!-
1
riges/e2
Epis
E-is
Epis
!Pds Epi
Rendt !
Réc.m
plein!
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kg!ha !
m2
1
m7
----l
!
i
)
IJean Pierre !thmoin
6
3
1
45
240
j
iFAYE
6 !
j
i
!
j
iCossas
Inbaye Dièye Itémoin
i
1
475
ivillage
!~ARR 7
!
1 g5
i
!
i
‘1 -
1
1
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IDalp
Itbmoin
3
5 5
380
i
!N~om
i
i
8 !
-
-
--j-
:k----- '
---A
I Moyenne compost
i
1:s
.144
785
i
i
j
8
+-
!
/
Moyenne témoin
k
6
3
3
3,6
1 69
399
i
------A
Variante
0,0714 1.011~ D:l69L
l,0E25 i300,312!
143gTg5i
i
i
I
- - - + - - ------A
j
T. student
'0,05l
1 > oooi
1).003f
1.3506 1 O.O03!
t,oooï i
i
i
- - - + - - - /
TH.S
TH.S
TH.S
N.s
i
TN.S
TH.S i
j
-
-
A
-
-
9
L'effet bénéfique et
immédiat
du
compost
S U I
l e s
rendements
du
mi 1.
es1
i!et, et
n 9 est.
PlUFi
à démontrer,.
Cependant,
il est possible d'améliorer. la qualite du compost
ou son effet sur les cultures.
En effet q il serait pert 1 rient.
de réorienter les tests vers les actions suivantes :
- date d'épandage *du compost :
- dose de compost appl.iql,ée (fonnes/ha) ;
mode
d'epandage
(en
surface,
enfouissement.
etc... 1 du compost.
Ces actions devront être appuuées par un suivi plus
approfondi
sur la
culture
(phénologie.
composantes du
rendement pertinentes), et sur :La pratiyue du démariage (date
par rapport à la levée et nombre de pieds par poyuet).
La
diversité
des
produits
utilisés
dans
la
fabrication du compost. est favorable à son développement? car
différentes matiGres organiyues sont disponibles à cet effet.
L'intérêt du
développement de la
pratique et de
son
amelioration,
est renforcé par 1.a fragilité des s>'stèmes de
culture (pas de jachere,
pas de parcage de bétail en plein
champ,
successions culturales
très simplifiées). Le fumier et
le
compost
sont
alors la
pririripalc
ressource
naturelle
renouvelable,
pouvant
constituer
11 n
support
durable à
la
fertilité des sols et à la productivité des cultures.
ri
.
(i)d-cVOCJ3~*c\\I
0
0 0
0 0
0 0
0 0
0 0
0 0
0 0
0
c> 0 t Q 0 CO +J
.
.
l
II
II
1:
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I
I
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.
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”
0 0 E Q 0 CO $-J
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0 0 E Q 0 CO =P
-I--.-l
1
:
4
I
1
-+------ ---L-l
.
.
E
Figure 5 :
Essai compost
.
--_----..-I ., ___-_ -.- -_.-
- i
1 '-.'. Epis / m2 sans camp
/+Tiges/m2 sans camp
240 260 320. 380 440 475 510 770
Rendement (kg/ha)
i’; IRECTT OK
3F
RECHERCHES
SIIR
LES
CULTURES ET
SYS'T'IWES PLI!VTAUX
iDRCSP 1
Prog!ramme GRN/ZS
2
1 “-mm
Dans le cadre du p:c‘(
ISRA/ARAF financi;
pa1'
le
r
compost ont été realis6s èli 2,<
amélioration dlE '1 a fer1 il i. 6 des
sols et de la
prod\\1cti.\\. i t.+ dle5:sz CU 1 turcs :
init iation
de,s
paysans
au x
techniques de
compostage, ~0' I!l r une meilleure valorisation de la
mat i Ere organi.~ ILIF disponible dans l'exploitation.
2 --BEr-.
Les tests ont été C:onduits par' dis (:LOI paysans: qui
ont comparé chacun, une parc ztelle fertilisée avec du compost à
.I n e
parcelle témoin
non fc31-tilisée
selon un
dispositif en
i
couples.
La dimension des
parcelles
suivies au
niveau de
chaque paysan est de 100 m*.
Les tests ont été
faits sur Le mil, Le suivi des
parcelles a concerné le semi S1
(écartements) et les composantes
fIu rendement (nombre tiges, Il<>mbre d'épis et<:... 1
r
Des enquetes ont 6 é associées aus. tests. Elles ont
r?U
pour
0 bj f? t
la
desc. 1% i- ion
des
sv si:&mes
de
cultures
yt-ati quks durant 1 es c‘inq r trnières
années,
l'identification
des itinéraires techniques a: pIl.iqués au mil dans les parcelles
3 u iv ie ci
et
la déterminatio
des produits utilisés dans la
Fabrication du compost.
3.1 -- Elhnts des systèmes de cultu.mq
Des
elément~
des
systèmes
dl?
cul turek
L rst i.glic"-;
durant les cinq dernières annees, sont ~vnthtSt.ise:, da.ns 1~
tableau 1 . On peut
noter -UP lc?S silc7essionc; Zli.!t ;i!xHIeS SI?
resument
principalement à
deus :
Sc7UlliI /souna.
13 I ,
souna/
aracIiide.
La .jrwhbI-~~ e.st l'are
et
10 parcage titi !lGtn:i 1 en
plein champ n'est pas pratique. Lc. frlnii er et le comp(.sst
sont
donc '1:1 principale sour.:e de ferl.il.ite, flans I.e ca2 0.ù ihs
s 0 1-1 t
disponibles.
Cela confère
aux
sols Iqui du re-:;te sont
dior) une fertilité très fragile.
Les itinéraires techniques apvliqués
--
au mil sont tres
simples (tableau 2). Trois itinéraires techniques se sont
identifiés :
a -
épandage du compost ou du fumier en ,juin t semis
à
sec
au
semoir
super-écc
t 2 sarclaEs t
démariage.
b - épandage du compost ou dlL fumier en .juin t semis
à
sec au
semoir
super-eco t
3 sarclage 4
démariagr.
c -
épandage du
conlpos t o u
du fumier en juin t
grattage-.mé¢aniaue a la houe sine t semis à
sec
a 1.1
semoir
super-éco t
3 sarclages t
démari age II
Le demariage
6.1 x t
tardif. II
es,t lr plus souvent
effectué à plus de 30 jours après le premier sarclage. Or pour
être bénéfique
(favoriser le tallage et/ou le développement
végétatif) f le démariage doit être fait etltre le 10ème et le
15ème jour apr*Gs
la levée (a\\-ant le t.allage). Cependant, il
faut signaler que l'application correl-:te de cette technique
Idate?
intensite)!
peut
être difficile pour le paysan. Il
faudra en déterminer les contraintes.
Les itineraires techniques eIlt.re parcelles compostées
et
non
compostées
chez un
même
paysan, se
diff6rencient
uniquement par l'apport de compost.
Tableau
1
: Earaa=térïstiaues des
-____ sast"~s de
----- ---- cult..ailre
PAi:~ANs
TSPE DE SOI iUCCESSlO%s ,CLiUKAL':
fP.A?1bALI.
)ES 5 DPRhIRES ANNEES
-~---
Periode/iype
cm1
I
-.
--..~-
---......“-.---.
+--
De&-Dior
SOU?rA ; SOi'NA
2tdé"~ariaa~r!O.ciOx0.65
!
I
Dior
2tdenrarlagf?, i 0 ~ 90x0 ~ 90
I
hsor
Dioc
SCYE
Dior
ACHERE-AR%Cf:i !it/ -.&Nî
Itdf”l!!a?. rags,oi .35x1 ‘25
1
Arona
Dior
SOUNA ! AR.4CHlDE
Juinfcompost
i
3tdeeiaria~e,0,90xOt95
sou
I
Mbassa
Dior
SOUNA f SOUNA
Juinlcompost
i
3tdémarlage,0.90x1,15
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/
Mbave
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SOUNA r' ARACHIDE
Juin,lcompost
Ztdea~aria~cr,O.YOx1~05
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I
Ztdéotaria~e,0.85~1,70
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SOUNA
FAYE
/
Mbave
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SOUNA / ARACHIDE
Juin/com-post
1
Ztdémariage!,0.95xl.00
Diéne
SARR
I
j
Da1.y
Dior
SOUNA ! ARACHIDE
Juin!compost 3tdémnriage,l.O7xO,RO
NGOM
Les écartements de semis sont presque conformes aux
recommandations techniques vulgarisées (0!90 m x OS90 m).
--
-------.-
_-_--a
PAYSANS
PREPARATION
1
S E M I S
SARCLAGES
DU SOL;
-
-
- - -
I
i (Date, Mode? Ecartement:1
4
(rn)l -
-
.-
Gorgui DIOUF
NEANT
j 19/06/94-Iriécanioue-@t80v0,,65 2tdémariage
Mbakhane DIOP
-"-
I 30/06./94-Manuel-0.90x0.90
Ztdemariage
j
Ngor SENE
- " -
19/06/94-Mecanique-0?95x0,85
Z+démariage
/
Antoine MENDY
-'le
15/05/94-
7
-0,85x1,25 2ttlém:iriarge
/
Arona SOW
-"_
I 27/05/94-Mécanique-0,9OxO!,95
Stdémariage
Mbassa FAYE
GRATTAGE
i 16/06/94-Mécanique-O!Y0x1,15
3tdemariage
j
Mbaye FAYE
NEANT
18/06/94-Mécanique-0,90x1,,05
Z+damaciage
j
Jean P. FAYE
-"_
] 15~06/94-Mêcaniane-O!85x1!,70
2trlémariage
Mbaye D. SARR
-“-
07/06/94-Miecanique-0,95xl,,OO
Ztdémariage
/
Daly NGOM
-“_
i 30/05./94-Mécanique-1,07x0.,80 3ttiémariage
i
- -
La superfic.iF des parcelles compostées val<ie de 0.12
ha à 1 ha. Les surfaces se répartisselit conme suit :
_ - _ _
“ 1 1
_ - _ _ _ _
_ - _ - ~ _ - ~ - - - - _
- - - - I _ . - -
- - - . - - - . . -
_ . - _ .
. . _ I
- - 1 .
surface compostée
Vombre de paysans
Frequence
(ha)
(ou parcelle)
relative (%!
1
1
10
0,s
4
4 0
0,30
1
10
0,25
3
30
OF12
1
10
--
- ---
10
100
-
-
-_--_-.--.-.----
Toutefois 1'1~stimation I.les quantitGs apportées est
I a g u e
(nombre de charrettes).
Les doses devront être plus
p.6~: ic,c:s.
L)e même, l:r date d ' épandage est précoce et peut en
favoriser des pertes. étant
donn4 que
le compost n'est. pas
enfoui . La pratique (7rlnsistant $ f%ssocier l'épandage au semis
du mil ! pourrait être reconsidérée.
La durée de fabrique du compost, la date et le mode
d'6pandage sont des pratiques déterminant.es de la qualité du
compost sur 1esquel.s il doit, être possible d'agir.
La synthèse des résultats est faite dans le tableau
3, Le test de student à montré que l'effe-t du compost sur le
rendement et ses composantes (tiges/m*? épis récoltés/m2) es':
Lrès
significatif. Les parcelles fertilisées au compost ont
produit en moyenne?
197 poiir cent
du rendement des parcelles
témoins. Les rendements moyens respectifs sont 785 kg/ha et
399 kg/ha.
La c0mpara.i son
f'aite au
niveau
de chaque paysan
(couple de parcelles) entre parcelle compostée et parcelle
témoin, aboutit à la meme conclusion pour le rendement Cfjgure
i), et les composantes
nombre d'épis et nombre
de tiges
(figure 2 et 3).
A l'avenir, le suivi des composantes supplémentaires
(nombre moyen de grair;s/m2! poids moyen d'un grain) permettra
de mieux expliquer l'effet du compost sur le rendement, et de
compléter les informations fournies par les figures 4 et 5.
-_
--
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VlLLAGES 1
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9
L'effet bénéfique et
immédiat
du
compost
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rendements
du
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i!et, et
n 9 est.
PlUFi
à démontrer,.
Cependant,
il est possible d'améliorer. la qualite du compost
ou son effet sur les cultures.
En effet q il serait pert 1 rient.
de réorienter les tests vers les actions suivantes :
- date d'épandage *du compost :
- dose de compost appl.iql,ée (fonnes/ha) ;
mode
d'epandage
(en
surface,
enfouissement.
etc... 1 du compost.
Ces actions devront être appuuées par un suivi plus
approfondi
sur la
culture
(phénologie.
composantes du
rendement pertinentes), et sur :La pratiyue du démariage (date
par rapport à la levée et nombre de pieds par poyuet).
La
diversité
des
produits
utilisés
dans
la
fabrication du compost. est favorable à son développement? car
différentes matiGres organiyues sont disponibles à cet effet.
L'intérêt du
développement de la
pratique et de
son
amelioration,
est renforcé par 1.a fragilité des s>'stèmes de
culture (pas de jachere,
pas de parcage de bétail en plein
champ,
successions culturales
très simplifiées). Le fumier et
le
compost
sont
alors la
pririripalc
ressource
naturelle
renouvelable,
pouvant
constituer
11 n
support
durable à
la
fertilité des sols et à la productivité des cultures.
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Essai compost
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/+Tiges/m2 sans camp
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Rendement (kg/ha)