&, SEî4INAIRE ORGANISE PAR L'A.C.C,T. ...
&, SEî4INAIRE ORGANISE PAR L'A.C.C,T.
INITIATION AU;: ETUDES ET A LA CI:!JSTITUTION
-
-
DfS RESSCJURCES GCr\\lETIC)UEL; DES PLANTES
-me
8RAZZAVILLE 7-2 1 JA;JWIER 1380
PE
Aminata Thiam iddoye
Juil10 t 1901
Contre PJational de Recherches, Agronomi9u:3s
de BAVlBEY
.
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IKSTITLJT SENEGALAIS DE RECHCRCHES AG'-F'TLCILE'S,
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(1. S. I-i. A.)
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I- I?~JTRODUCTICJ?J
Le seminaire rogional sur las principes, justifications
et mti tt1ocdcs
dletude des rossourcos g6nétigues pour l~a,m6lio:cation
ifss p l a n t e s a Cte orga.nisé ti ~razZa.ville tiu 7 a u 27 j a n v i e r 1380
cians le cadre du projet Amclioration des plantes et Banques de
gènes,
La seance d’ouverture plactie sous la presidence de son
Excellence TATY LOUTARD Jean Baptiste, P,linistro de la Reche:rche
scientific/uo et des Sports du Congo Gtait honorec de la prosenco
du Directeur géndral de la Recherche scientifique, Pionsieur
DTAfiflU AIJGAPJR Joan,
Le seminaire avait réuni i; pays membres de l'Agence de
cooporation culturelle et technique (A.C.C.T.) : la CBte d’lvoiro,
l e /%3li, l e :.digor, 1.o !$néga.l e t l e C o n g o . P a r m i l e s p a y s i n v i t e s ,
dtaicnt absents le Wanda et le ZaZre,
L1animation scientifiouc e t t e c h n i q u e a . 6 te a.ssuree p a r Xe
proftisseur pET:NCS J., Directeur du L a b o r a t o i r e CN3S - CPDP I:if/Y,
Plonsieur CCFlDES 17, Directeur de iiecherche Df7STCi7 et Maclame ïjjCLjYE1;
Van Clisabeth, administrateur de données CNRS.
II - OBJECTIF
L e &minoi.ra avait puur objectif la sensibilisation des
s tagia.ire s sur l'importance et lrurgence de la Constitution des
ressources
gono tiques et leur initia.tion aux méthodes of organisa-
tion des collectes> cl’6valuations e t d e c o n s e r v a t i o n s d e s rosisources
genetiques,
III " DEROULEFCi3T DU SEMINAIRE
Le programme était articul6 autour de conferences
suivi:: J
des travaux diriges et de visites dont les thenes etaient les sui-
vante :
- constitution et ovaluation des ressources s- Etapes i
d e t r a v a i l ;
- introduction a lfoutil informatique y
- definition de la notion de complexe dlespocc ;
(diapositices) - principes de la programmation des bases; de donncJos ;
- domestication des ctSroalos - Ddfinition, de la no-
tion rie centre dlori.gine ;
- construction d'un descripteur du manioc f
- organisation des prospections - Principes dlechsn- 4
tillonnagc ;
- techniques d1 analyses statistiques à plusieurs
v a r i a b l e s ;
- visite? de quelques formes d '6tat de manioc et do
c u l t u r e s t r a d i t i o n n e l l e s d e m a n i o c )
- p r i n c i p e d e 1*6vûluation agronomique hlera.:rchiso:: ; %
- Gvaluation g”n.”
I, ktique par les me thodes biochimii.iue:;;. .<
- informations acquises sur le çomplcxo des riz, ries
cafeiers ..+,. Etude concreto dos donneos de quelques complaxes y

- &Valuation g6n6tique par 10s mBthodes cyto~~6n6ti~~]~~i;;
- suite de lgtude pr6çise de quelques ccmplexcs ;
- tableau
rticapitulatif de toutas les méthoc?~;s di-: 1:.
classification num6iique ;
- relations entre mils sauvages ct mils cultivhs ;
- prusonta.tion dr-i taill6e des problèmes do conservo-
tion ;
- crganisation d'un centre dc? r:ssourccs yérhti.;]uL;s Y
- v i s i t a Ci Loudirna,

h lla~mGlioration dc3s plantes,
Les ressources gGn6 tir] ue s consituent un capital qu'il fat;.t
gérer e t Gconomiser,
A - COi'iSTITUTIOfJ
IJ - Repéraqc
Il s’agit d e s a v o i r dIa,bor~i c e c;ui v;3 constj.tu1zr C:es res-
sources gê nf2 tiques en rep6rûnt toute la famille c;e.-; cspèco~ ( n 0 ti i.3 i-i
do complexe 3'espkccs) avec non seulement les formas cultivêas n;x.-:
a,ussi l e s F o r m e s sauvages,Pu~?1 E?S~ 10 complexe utilisable pour lc
prcsent ou pour l’avenir f?
Ceci est difficile h dCterminE3r cc7r un groupe tres loiri-
tai.3 p e u t 6tr2 explc)itablc
actuellement ou dans u:7 avenir tr&s pro~i;~,
2/ - Collectons
C e s collsct~s sont r6cXiséee ii la sui.& de prospections
C? t d’~CilPng~s
de matGrie1 entre ptiys ou organisrdcs interi3;3,ticna,ux.
A L’heure ~3CtUOllE?, les tect)nigUcs CjtfiuaiUation des rE!L3...
sources c$r-dticluos ne sont pas trZ:ç au point, Cette ovaluatiOn ~2
fa.it e n tieux t e m p s :
- 6 Va:luation a.gronomi!~ue
- 6valuation g6nGtique.
Toute Bvaluation g&nc: t,ic{uû n'est fiable que si allo repos:?
sur uno Bvaluûtion agronomique sorieuse,
11 n’existe pas de me thods qui lie l~~~valuation agronoiiii-
que et 1'6valuation giSnétique,
1/ - Evalua.tion aqronomique
cE?ttC ~~va.lLJôtior? int6ressc diroctemer,t J-e Cher:c:heur,
30 Uj:
proi)lhes s e p o s e n t :
- l'effectif :
It Il s'agit g8rGralement da milliers dfQcotyp~;s
et/sot; trouve vite depasse par le rlombrr,,

i

/’
- LE? milieu :
Le problème est 1i.C 2 la. diversite des miliau;:
e
et la roaction difforentielle dos plantc.a+
CZtto diversit6 écologiriui2 se joue su:: 10s
sols mais aussi sur les saisons,
2/ - Evaluation qenetigue
11 s'agit de classer les espocos h partir dléchan;;illo:l;-ia!jof:
rcpr&sontatifs
do la collection issus des groupas les plus intGri?s- -
s an t s d 1 a p r ù s 1 'dvaluation agronomique en utilisant des met!~odcs bic)-
chimiques ot cytog6nétiques.
On appelle évaluation hierarchisee, le couplement des i;cux
ovaluations
agronomique et g6netiquc,
La conservzStion pose un certain nombre de problèmes :
1/ - La conservation des graines pout se f&re en cha,mbre froi;lo
quand socj.
est possible, Cependant cette méthode de conservat;ion
n'est pas satisfaisante dans 1~1 mesure ou les graines stock&us en
chambre froide
s o n t strtiquas ot n e suivent pas l'~volcrtion du
biotope
dans lequel vit la plante.
%/ - La collection entroposYf2
en chambre f::oide est ent;~etenuo
par multiplication contrlolléo : boutura.ge, cultu;:e in vitro, endoqami2,
Cette multiplication so
fait da.ns 10s centres do recherche en co;rii:;-
tiens artificielles qui peuvent causer lf6volution g6netir~ue du rira-
Griel ot l a
d6rive,
Le problème do la. stabilite des plantes issues de culture
in vitro (exrle fraisier en France) est actucllnment discute,
3/ - Les réserves e t reseaux d e conserva.tior-r dyrra,,mir~rJE~
te mode de conserva,tion est souvent tributaire des: fluc-
tua.tions politiques dos pays,
I l f a u t ClGcouvrir c e qui faisait la i~aleur d e l a domcst.il.-
cation t r a d i t i o n n e l l e , conscrvur c e s mQthodey et a r r i v e r ;t-1 m e t t r e :IL:
p o i n t rlcs mothodes de c o n s e r v a t i o n ufficacos, 11.. s t ag i t tl e r c c ,h e r c / I 12 s
théoriclues mais urgentes,

~fin~ormatir~ue est indispensable & la gestion de lban(:jueS
de qL;nes j cause de l'effectif tre:; élcvO des echantillons mais eusSi
facilite les Cchanges en permettant (!o situer dons les collectinns 1~;s
i .
difforents caractères et de connaître toute la yenoclogie des peili-
J
grtus,
11 faut cependant dire C]ue l~informatigue utilise un ILangag[z
fermti difficiiomont accoeSibl2 par les autres spGcialistes et les
problòflos ne sont pas onçore tout ?A fait rGsolus,
r-? - LI:S GESTIljpjp,JAIEE:; DE BAN$UES IX GIIi'JEJ
plusieurs organismes SI occupent de 1 ~onregistrement tics
ficniers et disposent de programmes de base de cjonn6i2S dr-; rSssources
g6netigues gui Sont i!2s syStbmE+S internationaux de base de dznnéos.
P armi c e s organismes, on peut citer .:
- IBPGR dont le secr:.jtaire eX6cutif est fourni par
1s Fi\\ i3 t Il
C; ’ agit actuellement de T, \\!ILLIi\\FiS rosidant $1 Rama ;
- Dans le Colorado le groupe de Boulder et Fort [:o.I.Li:;:;
ont C~$L! un programme gui a donne naissance par la suitc au systemo
Ta.xir - Exir, Plais ce système demande do gros moyens et est tr&s pou
souple vis-ù-vis des variations de notû.tion ;
. l e s yrands gestionnaires de banquc,s de gicnns:?
ont alors choisi de mettra ~'ti point 13ur pro-
pre programme tir3 Sa.se de donn6c.s spéci fiCluenci3k
ûdq,tQ
& l e u r prtioccupation :
EX : 1'1RF{I pour le riz - les contraintes do mise 6 jour
dus catalogues, liees à l'effectif des collections ont FjClSE très
ra.pidement le problene de la circulation des progra,mmes.
- L’]:CRISAT n'a pas dncore r&so.lu ce problkme ~ilorg3-
nisation dos ressources génetirjues ;
- PI~:[ Cambridge et ~~othamstead ont un SyStkme oui s
clépossé les capacite:; do l'ordinateur actuel ;
- I-Tri France, existe un lanyago ~général concernant
1 1 iii:';\\ gr\\ I; gui essaie de tourner kxtour du CIiiSE (Paris-Sud) ;
- Entre temps, le groupe de Boulder (Colorado) a fait
recours au SystGmo Taxir-Exir pour dol;nnr 1~ syst5me GDil,,
- Il est fortement Cluestion de constituer un réseau
p o u r t o u t e llCurope,
L'outil informatique cast à la fois un outil d'enregistri:-
PIC ri t ot do calcul qui permet d'établir 1L;S règles cl'6valuatioor-1 o-t
d’inturprc~tgtior~ liges gu>:: méthodes U plusieurs variabl~1S.

Ltsnregistrament et la lecture de ce cernier sont suscep-
tibles ij:.! se faire & partir do mini-ordinateurs tandis que lfintnr-
prtitation fait intervcnir de gros moyens.
L’enroyistremont pose l-0 problhc dc 3.3 nature (eonn&ea
-...y
c'est-2i-dire des descripteurs,
R - LCJ DKSCRIPTCURS
Qn a.ppollr? descripteur la. listz
do ca.:,.-acrBristique~; li6u
h chaque collection. On distingue deux typas de clcscriptcurs :
- dcscrip tcurs Je terrz.ins
- descripteurs agronomi~lues,

LIescripteurs de terrains
CI
Gans co typz de descripteurs on trouvi: tout cc! quo 10 proo-
pecteur a pu noter sur le terrain :
- nom de l'espéce
nom vernaculaire
1 lieu, de récolte
altitude, lonqitudc
- nature ciu matBr4ol 0 graine, b;,uture) pollen Etc., ,
Une place mémoiro luopar l'utilisateur du fichier est r(S-
servéc à ce genre ci’obscrvations non codifiables,
@scripteurs de caractkrcs aqronomim
Cc doscripteur renferme tous les ça.ra.ct&ros quantitatifs
ardonnes en kc1iolle (maladies et caractères qualitatifs, note de r; 2
10) ou non ordonn6es (rondemont hautour etc.. .) (,

c - L'ORGRNISRTION DE:S FICHICRS
L rorganisat;ion des fichiers dGpend do la nature des donn6cs
plus précisemont du typa de codago ot do la place disponible en
terme de mémoire et du d61a.i d'utilisation de la. partie fonctionnel.iz
de la. machine,
L’ordinateur par Mme PJGUyE[j van llisabotj2
- Constitution
- structuration de l'information
- langages : primaires, assemblk?urs et E volu6 s (cobol 9

Fortran, PLI, basique)
- circulation dc l'informatiofl .au niveau de la nac;,ii--<;
- utilisation de la machine,

7
1,’ - LE mars sauvaqo
coyx
: plante cultiwoe r:% consorlmbe cn Chino ct zu
Vietnam,
dk: valeur nutritive trCs dle~4(:.
L'enveloppe do la grainu tr2s dure est cultiv2c.
pour faire du3 colliers,
Teosints
- Euchlena rnsxicand : Lo ma213 sauvage,
L'hybride entro Le rnai's cultj.vG ct 1~ mars sauvcge ne
rcsssmble pas au groupt2 tl:osinto,
L'3. F;- Cionnc dus formes sauvages, des cipis de m&is rit tiritrc
les doux 3 o n t r o u v e toutcs 1~s intt'r:i;Gdiairos.
L e s carûct6:ristiqucs qui c\\iffGroricient, le maS:s du t6osj.t;.
s o n t portées ;3zr 7 qhnos dif-férents
regroupds sur un p2 tit bout dt3
Cl~lrOfilOSOfil~’
.
,lu :@xi.(qui;, las champs do maI:s coexist-ont avec las popu-
lati.onc; di! tc:ositi: Et les i1ElySû.n.~
n* arrachent pes les hybrides
réaLisc?s Ontri l e s deux f o r m e s culti:/Zo
c t sauv agc
Le cultivateur mélange la forma courte et 1~ forme longue
dz J.'e;li de mal's pour constituer 58 stimcncc,
%/ - Le café
Coffca exelsa
-
-
PI
: grand arbw de plus Je 10 m LIC haut, qu;*
n'est presque plus cultivé parc:G qt_ro
rava.gS
pnr uil0 malailio, C 'est un caf5 ;1
gros grains qui 20 coxbinc bicri au lsit
CiUi serait trùs intGrc;ssant si o n arrivzit
à am6liorc:r
s a r6sistance 2 c e t t e mela,di~ .
Caf f'ca arabusca:
iSSU du croiscmcnt arabica x robusta pr5.-
SOntE une ciiI't&ne stifirilitg. On GQt oblj.2.:
dz sélectionner beaucoup du viguuu:: hybrLc]r~~
LEr! b o u t u r a g e d e l ’ h y b r i d e a 6tG fait.
Lû. s~qr6qotion ust tr%s f o r t e e t 10s for.,;..::::
IntorrnGdiairas o b t e n u e s pe.r 1~: pay:3û.n 11~;
r6solvEnt pas le problomtj'. ~a descc3ndanc:.>
n'est pas r&qulikro,

'Coffea conycnsis
: son grain ressemblt! 5aaucoup à e.rairJics
et on a pcns6 Cju'.il Pouvait Btra uii
dos géniteurs de ;arabica, Il présk:ntu
beaucoup d'avantages pour les perspev-
tivos d*amSlioration du caf8ieii,
3/ - Panicum
Panicum maximum
: Plantu fourragère dont la rQçolte t?~
graine est tr&s faible, par suite LI~~!;V
amglioration, Ceti;:: I+coltC peut att(?ir;-
dre maintenant 7011 kQ/hs..
La scxua,lité ot 1' apomiXie sort c/-loz
cutte planto des caractbrcs très simples

contr016s par un seul gène,
Pnnicurn infustum
-
-
: 11 existe un hybride maximum x infsstur;;.
!
0. maximum
!
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I
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f
sexuks
2 n = 2 x = qh'
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5/’ - Coffoa x = 11
Caffciers
africains
2 >! = 22
F.
L. ca' Cphora

11
f orrw cul tivG0
c. robusta
il
C. c0ng'L:nsi.s
(Cor1g0,i-x.A.)
c * cxclaa
( A f r i q u e cuntr&c)
C. libari.3.
( I-i b2 ri a >
C. ougonoî[~es
(Régions des Lrcs)I
C, racL'mosa,
Cafoiors malqachcs
:
Masçaro-coffu 3
2. x = 22
Y.;, kiftnjavatensis
i,l. humblotiana
fl. horiloi

Para-caffua
L k ô.pc?&ipa
L 'hybritio avec arabicû est tout & f3i.C; ftjrtils,
Coffra ae.abicû est nutogamo, tous 1~2s eutrcs çafciors sont allo~~~~;;i;ÿ
Ot pdscntent un systér;lu d'inr:ompt:3bilitG,
Trois forrr!cs cuiti.v&cs indBpundantos: Oryza qlabarrinû
7
dont lus centres d~ciriginu sont lr; dclta c e n t r a l d u [\\liyor 521-j piali,
la zone 36h6gambic ai; Ia Guinée,
Oryz 2 ,
variCt6
sati va

dti
type!
i?dica
OryZii: sativa,
vari6tO japonica.
L E S r6sultûtS otonus par 6lcctrophor$Sti e-t l:jS di:~cussi,~,;~
dCS COnft,rii:;jciL:rS
avec 1~:s call15guos chinois ,;lontrt:nt la p«ssibi.Li 1.1
Cif.? GVuX OriyinGs : indienne 0-b cl;ino.iso.
L 0 c 3: 13 i 5 c! m e n t s n t r t2 i : i ri je c 2.
Zt jzponica a étC fait ct 10s formes intE-:rm6diG.ro.s rcsscmbiùnt !:.l.!;s
h Japenica. Or! 10s appSllir: j3vanica,
L a fsrti1.i t é femol o:;t Sat.i:.;&
fai snnte ut l a StGrilitti m91e f,st importanto,
F]our tout ceci, on z. donr-16 des nu;&ros :
1 ---.-...- ~iploT&s
2
------ Autogamos
3 ------ I:nnuols
4 wM-,..-.. Lu1 tiv4S
5 -----.. m@mo gen6mo A.

Ile C; UC 110 pl an tx s a u v a g e p r o v i e n n e n t touts3 C:C~ FOrmes 7
1/ - Pool primûiro : Lfhybridation 92 f-k-t s a n s barri&rG rt,pri:-
ductivc,
L?X
: Euchlcna mvxicana i!t Zca ~ÏIW cl’unc: p a r t , les m i : : :
wwWym.m- ”
v-
cultivés e t l e s m3.ls sauva.gos d) autre part, a p p a r t i o n n u n t 2 . u m6r,;x!
pool primaire,
2/ - P o o l qBnigw sêcondairo
Il tist pozsi bZu dl ohtunir ~.]uolC~uos hybritizs spontarilj s
apr&s franck,issi.mer~~t; :A ‘unt. barrisro ro,pruducti vc simple ( d é termiriissli:
sinplu) D
3/ - P o o l qéni9ue tc!rtiairE:
1/ - -&.xonOmi.e
I:t”rta.inrjç ir-Iformations v i e n n e n t dc taxonomiBtOs mzis 1.;;
principu dirtictcur n’est p a s t;r&s b o n ,
2/ - Bioloqii: mo18culairr:
3,’ - Cytoq$nG tique
L a méthode grossière coi77sistQ cn u n ZOlTl;l tago C t un0 ij bL,<,.!
d u l a r6partition dos chromosomus cn univalonts ,bivalënts E:L~, . .

ir/ - Electrophorbse
Etude d
u

profil dc2c; cnzymus
C!:c3 onzymos nc sn7t
p;3s trBs loin du çGnc c!t pcuvent @tre de bobs .i.ndi.catcurs dc! rc:>-
sè~blancos,
5/ - Comportement rC3producti.f

11 SI agit dij dé finir lo type rlr: do scripteur Cjuc 1:: fiçtiit=r
doit contbnir,
Il CSt numérique; CIU G"';< numeriquo S'il ;-i'y a auXUn mayiiii
C!L codur 12s car2ctèrus.
i3- VOLUME 2ES DONNEES
11 faut.distinguur dans l a :iu~ntité d’informations qu’on ,.:I. :
- lfarchi.vaqti : 1Cs infornatior,s s o n t enragistri2Gs BL;r
hsncihs parc,; ilut: lc moins char (lc stockags sL:r disque c:oQtë tr5:;
ciicr) ,
. 10 pormanont
- ltospûco travail : ust un fit hior tcmporairo g u i .
clurc IIUC 10 temps d'exploitation, Llordinatour dS truit tLIlJt lc ii-
chier dbs la fin dcr!:; aperations informekiquos,
11 cxistz diff6rcnts modes d ’ a c c è s ÛUX T’ict1ii:r.s :
- R~chorchcs sécjuentiollus : ct? qut l’or1 cht;rc/-ic est
compris cntrc: 12s indcxcs 100 ot 150.
- Ro.c:fiorchos condit:ionnollos : k>xOmplo : op domand,:
CIL~ trouvtir toutes 1~:; p l a n t a s dont 10s g r a i n s s0r.t gris, qui o n t IJ:‘ic,
tz1ï.u i;autcur 0 tc., ,I
- Rochorchc it6ratiL’c o u
ri!cursiwz :
CO modo ilc
rcchcrche pcrmct d'extraire 1~;s gén6alogius
EXcmplo : s o i t 10s p.I.antus NIO, 120, il450.

ijour consLitucr l
a

génQalogi.ci Oc Pl5c,on introduit i\\l.,,
d an 0 l a c l 6 rochorcho e t o n dfzma.ncfu do trouver 10s parunts. Dki;‘-’
q 1.1 ’ an
Qtti nt 1'InVOr;fiation, On ~?Fac0 p.1
c .; 18 ClA
c; t 0 ri p z y t,
c.i;; nouv23.u JC ;.?<
at “5 5 d o n t an dc,naniiZGl.l;s
L’n-2
parents oEc,,./
::sns 12s fichiers, u
n

distingua 10s fichiers popu1atior.s
ci; l,;r; fichiers indj-widus,
Ii - f<ich.ior classicjuc
PrGsunti-: bzaucoup d’incon&nionts,
CO Clui. limita s o n u t i -
l i s a t i o n , En affct C:g fichier pr6skntr! ur: sou1 mode ti’ac;c&s : l’ir~~<~:<
e t i l est impo ssiblc dr; rcchcrchursur plusieurs caractciros & 10
f o i s , Lc
fichivr
prrlc;ofitl&
souvont de, t r o u s ,
î/ - Basos d o
connecs
Lbs logisivls dr! base dc! donnUc!s Glininent 1~s: trIsus :
U n loGici.él Est u n cnscnSlu do programmes, ni; pzr:Lc r!ti
3 logiciels : LXIR,
GDM, ADABAS.
C’Gst 1s logiciel utilistl? a
u

contra‘cIo c û mi. c ul d u [: I /~j St: ii ,t;
d o n t lüs cüractéristiquEs sont les s u i v a n t a s :
- absence du t r o u at compression JLS donn6cis
- listu d e s clCs d o s donni:os
- cr6ation dc: plusieurs fichiLx
- misu cn réseau des ficiliars : c’tist-&-diro que cv.;.
indo!; rtiliont l a s f i c h i e r s p o p u l a t i o n s ct les “ichigrs i n d i v i d u : : .t
an peut u t i l i s e r ind6pondammunt l u s f i c h i e r s populations tit indiv.iC1tic
o u l e s d e u x à In fois.
LO fichier damando u1nt7 connaissance ;~SSCL pous&c dr: le
programmation,
Logiciel écrit p a r Qouldor a u Coloredo ba.:;E! 3u.r 1~s F: ct
les rylj, LO l o g i c i e l demande uno tràs g r a n d e pl:xo mémoir(3 tit; n!-
peut travailler Ciuc s u r u n e grosso ma.chinE,
1-o s caractéristiques dc zC l o g i c i e l :;ont 10s suivantos t
vfait l a
compression dGs donneris
- i l n e pcrmut p a s l a crfS?tior, dc pluaiourç fichiurs
à la fais ;
- i l n e f a i t p a s l a y6n6a,logio ;
- i
l

presontc Uiicvantago d u p o i n t da vue c r é a t i o n
çlc; fichiars,
cf3r p o u - t dtro utilis6 p a r nlimport.ü qt~G1 usager, I l
s u f f i t de demandar d ’ o u v r i r u n fici:icr ot dc cILfinir ~E:S dcscript@,urs
- i l n’est p a s trbs char ( 1 2 0 0 FF = 60.013C1 FCFA).

Cc 1oGiciol oxistc dcpuis 12 mois se+ilement,
Lus cr:roct.Bristiquii s dc I:;[I;< sont lus suivantts; :
- création C!L plusieurs fit hiors 3 la fois (:rcchzrc:.;:-
multiple)
- contr8lo dos donnÉ!os
- Édition CIL:S orrcurs (on asouvent bosoin dl a.ji~ui;,~r
un autre dcscriptour),
- possibilité d'ajoutor do nouvùaux i7nr~gist:ron~i,ni;s
- pos.sibifité d
o

corrigur diroctoment dc:s informr7i;ior
- ,..
4..
à 1'intGrieur d'un fichier
- il ne fzit pas la gtinéûlogic.
CQ loqicial ni domandu pas trop do cunnaissancos informa-
tiques et il no-coClto pas cher,

l\\ D ?A
*
.
.
. m**la-a.
c ha:-{ ut! acide aminij d6pc!n::l dlunu
bCiSC s
base dv lJAC)N,
i
Il cxistc dkfs :
':
acidus amint5 s noutros
AliN
acides
c h a r g é s f$QativLm;,,:1j;
UilinGs
f
(4
protcinos
acide s ami ni! s charges positivomL;zL
1
c1
3
(&)
1-
?
? ? ? ? ? ? ? ?
iur io j3.k pratiguc, la m6thodU
consiste en une uxtract:io!-,
(ii-s cnZymos par broyiq:: duc fcuilllS ut C?~I une révQlati.on dc la
solution teampon obtc~!nus
à l'aide d'un &vrilatcur.
I-ES rnCthodc!s crlzgmatiqucs o n t r6volutionnG lct. g6ni>tiCluL> Ai-:....
populations et 10s idt3eç ol-lt changé dans un sens vraimunt i7tOrc:;sant:
I-L p:~lymorpi;ismc des p o p u l a t i o n s naturcllE?S CSt npperu h~ElU~SOUfl /ilUS
importan t que l’on 1-1~ pensait, EX : cl-,eZ 1~s c;lf%iors, 10s qvariu!:cs
ii~na. ot congunsis ~o.ssBdont 1~s m&mBs icnotyp~s m~.is 2~~72 lu ruc’.;r;sQ-
mznt d e cc3 différcrits génotypcs o n il p u trouvcjr que les fré']ui3nc(Js
ti taiont lGgèré:nznt dif f4 rznts.
P n
E' E'
Rn
E; E;
1 1
R 2
DZ~; diapositives montrsnt i:]ueli./utis rssultats ubtoilus pcr
6lcctrophorZ~st2
et cJc~ ri:: cultiviss et s~uva.ges orIt étQ ;rojot63,
;>s s tc si: s C]G migrations St des tests dc thzrmosensibilité sont III~?~': 2
CI-I côix d*Ivoiro par 130RST(lM,
Pour Nana
Pour Congensis
PElc = P, -k Qc

Cn definit 1”indico dc rossomblance
;lo l
a

j3opulot:ior~
Congcnsis e t n a n a p a r lc r a p p o r t :
I\\insi 1u2rLci CjDuX populations ri'ont pcs 1~2.5 mbmcs 911;:1oe
l e u r r e s s c n b l a n c e 12~1; nulle.
I l est p l u s aisri d o dAfinir dos disscmblanccs yus des ::~'a-
scmblancos i:t o n transf’ornc c c t indicc d e rese%mblanca e n uno d i s -
tance ;
Dcn =
- Log Icn
Intzret dL cc:tt,e conversion : [;ua.nd deux ;)opulatiGns sont Aoi-
g nc.1 t., 3 , l a distance cntrc ces d e u x populntions auymonto reyu.LiUrc::fluni;
avec IE! temps dcouis lcC]uol ollos s o n t separéos,
L’eXpurior,cc a rnontrrl! cjue ,s . est c o n s t a n t e ot d o l’C)r<ii:c
de 10'~
annec (c’est-à-dire 10’7
s u b s t i t u t i o n d ’ acide s; am.inG s ;;çr
!l
annUe),
A y a n t calcule l a distance genu t i q u e , o n pCut detormincr .‘-!2
temps oui a sépare lrs doux populations,
8 USL lo p o u r c o n t a g c d’acides amin6s differcr:t,s entre +A~S
p o p u l a t i o n s moysnncs.
Quand les populations ne sont pas totale,mont skGpa:récs, 03
m o n t r e ~/ue cctto distance:
poutdtre u n e f o n c t i o n tres siinplo,
III Sûl-S séparation =
: #
. . .*_i..
= taux do mutation
= qf6
n
= taux d o m i g r a t i o n = 10 -3
RemaEque
L e s resultats
ci-dossus sont probablement très: proches
d e l a realite q u a n d o n considbre l’eloctrophorèse p u i s q u ’ o n l i t !:!US
relations
y” né tiques. Quand il s ’ a g i t d o mesuras morpholoyiquos, .1!.s
ril!sultats recueillis o n t l a s i g n i f i c a t i o n d ’ a d a p t a t i o n e t n e coil~~~t
-7 I._ - ,.,.. - l.-.- n ---.. 7 r.- -’ .J- --..-

L’oriyino de lrûgriculturo e s t m a l c o n n u e ,
fiu dspart, Oil p e n s a i t c.]I!e toute 1 ‘qjriculturc 6 tait
m~sopotomiunnc c’est; p a r l a s u i t e qu’on a par16 d2 ccntros :
- C!-iinoi s -“...l”-r.. S!lLWSi
- Inciicn
- - - - - - - (S,E. Asi.at.iqui.3)
- !1 thiopie n------
;?fri!]uc)
- l7+3 so-am5 ricain-
ilm6riluc d u Sud),
LL? $2
crit&ri:s dL:s variztés cul2;ivéos s o n t :
- polymorphisme intorvori.6 t6
- polymorphisme intra-vari t&
- polymorpl~ismo port a n t s u r t o u t s u r l e s gènes dom:i:la;lt;
COU~ d e s c:ompl’!xos ~~lesyBcr~s :
- l a
rk?prf2 scntctivitc (fr&L]uanco)
- hy brides ir,to rspé cifi:;ue s
- introgrussion,
Cil g5r-&tiguc d e s p o p u l a t i o n s , l’airo d’une e s p è c e est
cçnsti tuGo d ’ u n e ;iorl;: contralc ot d o zones marginalYs, avec 21 1 tir)-
LB r i e u r de l a zone c:entralo, c c ! qu’on appel15 d2s micrc-contras,
Fcur 1’ agricul turc, o n a . t?td obliyw d e parler d e non-cet-ttros ; c;:
p o u r l e m i l e n kfrii;ue,
l e s g e n s o n t domesti~ufi ind&pcndamment
1~
m i l p o u r e n faire! des mils cultivables au SCnégal, a u kiali, a u
Niger etc., ,

r?otation
gcrminatiun
0
plantulu
staùcr dc tallege
dktaut dL: mûntüison
gonflement dtj l'épi
épiaison
floraison
stade: lai.tGux
stadG farineux
stade p9toux
1/ - Zotation tiZ viquùur (note du bonrlc minu)
- Ext.rawi~ouri;ux
1
- Vigoureux
3
- I:iti2rr;lddia,ire, normai
5
- ;.Îoins vigourt>ux "luo la normal:!
7
2 /’ I
Jptitudc: dc tallaqc
- T'ollagc très prolifi:iuz
1
- Tzllayc bon
3
- Tallagti pauvra
5
- Tallagc très pauvre
6
3/ - Floraison
:/ - L a v(irs2
- pas de vorsc
1
t de 50 $ 1égBrcmant couchas
2
toutc; s 10s plantes sont cûctiGos
9

gzctérius:, champignons, insectes,
Réponso & des :;trCss plysico-c.tïimi~Iucs

Contour des tut;ercule,r:
clarjSformd o u curcilignc
code d o Cc~ulelJr
- bl zncho
- ni blanche, ni jaune sans am1.1iguiti:

- jaune.
Couleur d u s Jermos
- vert
- rollgo viola&
- viol2 t
CclAlour du sommet dos yormes
- vert
- rouge v i o l ac6
- violet
Pilosité des gsrmE:s
Pilosit6 dc :La partit3 moyanno du germe
- aul.
- moyenne
- trBs fort0
Forme dtonscrnblv du garme
- sphérique
- on tonneau 2 coniclue

- c y l i n d r i q u e
Caractéristiques de 1s. tige : pigmontûtion entocy anif-;w
1 : absence d I untocyano
7 : prBscncc
Boutons Ploraux
1 : abst: nt
3 : p&srjlnt
Piçmkntation des boutons florwx
C o u l e u r d o s pi! tales (face sup6ricure)
blanchc
r o u g e à violac6
v i o l e t t e

FCuillus
F o l i o l e s
L’IFIZGR a mis au point un dos crip tcur da 1 a
pcmmc dc terre :
nJ de c o l l e c t i o n
date
II
localit4

i. ati tude

13ngi tuc!o ‘I
l’altitude”
f a ç o n d o n t c e l a a 6t;k rBcolt6 : champ, marc;hkp collection etc, ,,
nom vernaculaire.
4insi li:s d e s c r i p t e u r s d e l a pomma de t e r r e , 9~01s sc:~;-il
l e s caracthres à conserver p o u r lc! m a n i o c 7
n(t d ‘entrgc
1/ - no do prospection
27 - no de c o l l e c t i o n
3.j - date de ccllocte
4/ - localit&
: p a y s , r:Tgion, d i s t r i c t i)u commune, PCV,, villa,:,,
1 ati tuill:, lo:lgi$udu , a1 titude , source de 1 Ii: cj o:‘-.
ti.llon : marché p c h a m p , gronicr, c«llection::
privÉes,
5/ - Type d;3 goïme-plasmc 12~ ust-h-dire tyi2f2 clc p l a n t e (nom
d ‘e spb) .
cultivd
1
sauvage
2
a d v e n t i c e 3
i nd6 tc rmi né d

c;/ - Type d’organe 21 rticolter chef l a pcmnc: d o tcrrt: :
tube rcule
graiw
plante
t u b e r c u l e + grainc
t u b e r c u l e + plants
g r a.i ,iE:
-5 plante
tubercule + graine + plar,te.
chez lc m a n i o c :
g r a,i l~e
bouture
graine + bouture
call;urc (Ii: r&ristC?mo i n v i t r o
c o l l e c t i o n 122 forme n o n vivantE! : suit dos spf.2CirfiGi;n
dl!-,arbier,
soiV d o s photographias,
7/ - 4x0
e/ - S o l
Y/ - Popula.tio~is : ta.illo
densit6
nom vernaculaire : othnid
cycll:
tochni~1uos culturalos
--+ constitution dos semences
goat
diverws utilisation:;
anciannut6 de la variét6
produc:tiv.itG
traduction du nom vornaculairc
comportizmont vis-3-vi.0 des maladies ct dos a u t r e s strcsc
pluviomét:riU a,nnuello
stade ph6nologique.
B- DERCRIFTEUFS AGRONOMI3UES
0 m
Caract6ristiquos de tubercule
C o u l e u r pr6dominanta do lu p e a u
1/ - liège
couleur
11 - g r i s
It- marron clair
L choc01 at
rugositti # - 0
b 1

3/ ” Wli)‘! (çouleLIr)
>
- jaune
- b l a n c
Pu1 p !2
& 1~2 r&coltt? (fibrosit6)
n1
h/ - rormt: g6 nClri3J.c
c 0 ni.4 u e
fUSC?ld C
cylindrique
autre form
5/ - Longue ur du pQ d 0r:culc
0
ebscnt
1
c o u r t
& pr6 ci sc r
2
long
c:
6/ - Dimension des tubercules
10ngueur
diamètre (partie 10. p l u s l a r g e )
poids
nom brG
v - Disposition dss tubercules
trqante
pl ongu an te
LH TIGE
‘j,/ - Jeunes plantes issues dc, g r a i n e s
- c o u l e u r d o s tiges
uertL?
rouge
vi 01 ac6 0
- cotyl6dons (2 dBfinir)
- nombre de lobes dc l a prcmièrc f o u i l l e
- c o u l e u r prc@ii.E:ro fouille :
wart
j auna
vi.0113 t
- c o u l e u r petsole prcmi&re f e u i l l e ,

‘<,
,
L. :>
- gris
- brun
- jaune
- bïunc,
vorti &trc
- CUiVf~~:~

l/' - 0b.jccti.f s
- Lcc:umulc!r 1'3 rnû~.irnUtTi
dc! variabilite e t
d’informa-
t i 0 II s 9”
- l.$t;ormi.ncr les mbcanismes g é n é r a t e u r s d e c e t t e
v a r i a b i l i t é .
?
i:/ - Localisation
- Déf’inir l a l o c a l i s a t i o n e n e s s a y a n t d e se dirigrzr
vers l e s c e n t r e s d ’ o r i g i n e .
31 - F\\Jaturc d u mat6 riola
- Var.iF té s
amClior6oc
- VariétCs t r a d i t i o n n e l l e s : amCliorati.on d e typé
paysan plus ou moins empirique
- I:o~rrne s sauv ayo s,
CI/ - Lieu d *obtention
T
- variétés
traditonnellcs ----. p a y s a n s ( p r e n d boaucuc;;.:
plus de temps)
- rnl antes sauvages nn1n11nn-nn b o t a n i s t e s - ;Ye.i:; .zP(~>:-
ci connaissent tr&s pi:;;
l a variabilitg h l’in-
thrieur de ces plantes,
La recherche dc p?- zntcc;
sauvases pr!3;ld encow
plus de temps que 13s
tra3i tionnelles.
En dY?initiua,
o n n e p e u t p a s s’occ-Iper ;; 13 fois des t:crL.~
types de ma.té rie1 .
[]a,ns les o b j e c t i f s , i l fuut dufinir 1-u t y p e d’informatiocz
qu’on u e u t obtenir a u c o u r s d u d6piacomcnt, I l f a u t connaîtra lI:!s
plantes dans leur n;ilicu
Ceci e s t lie a u x en-]u&tes f a i t e s d a n s Lf2-v
*
viliages.
Au c o u r s d e cus’anquétes,
i l e s t importznt dB connaîtrv
les mouvements des variét6s traditionnelles,
Guillaumet rlitllla n a t u r e d u b u t e s t fix6 p a r les moyens
ciue l’on a . U n e p r o s p e c t i o n d o i t btro totalo, ullc d o i t t e n d r e v e r s
oes i n f o r m a t i o n s lo~plus 1argc;;possible.
On doit ramasser ie ma::imuri
dlinformations .I1
s/ - pr6paration de la prospection - &rces d’irlforrnatioI;
a/ - 9iblioqraphie

L a plupar:; dr?s h e r b i e r s se trouvent en Europe;
F:ruse~lm de Pari-s ( F r a n c o 1
G2 névo

FlorencEj
Kt2li.l

(Angle t e r r e j
4 - Florf?s
--
12. faut hilisor 1Es florüs i1voc p r é c a u t i o n s c a r ]-os ki~‘k,rJ-
nistes ;léfjli.gEnt toute varic;.bilitG :jui p e u t etre liée ti u n e esiJ&[;:;,
11 fûut a v o i r u n rn.1.ni:;ium d o
con,nk.ssances d e ï.a. p l a n t e ,
Ceci. e s t tinWrc p l u s importa.nt p o u r ies p l a n t e s pérennes d o n t
il faut
c o n n a î t r e 1~ s i; t ade :; v6 gé t ati f s e t 1 i:
hi 01 og ie
d o I a rcp r oducti C:C .
LI c3nsult;ation d e s o u v r a g e s g6n6raux SUI le p a y s dc rti-
colto p e u t d o n n e r uno id6e
d o s modes d e vie d e s p o p u l a t i o n s humzinc::;.
6/ - Prospectic~
I-‘idoal e s t d e fc-ire d o u x ;;rospecticns :
- luno
prospection gGn4ral.c suivie d’une m i s e a u pciint
- uno p r o s p e c t i o n p o u r prti!ciseI c e r t a i n s a s p e c t s 22
2-a. premi9re p r o s p e c t i o n ,
Lottu prospection id&alo bien que scluvont d i f f i c i l e 8
ri!ussir j e s t possib:Le s i . l e s prospecteurs s o n t ; s u r p l a c e
f! t
d i sp 0 sk j-! i,
Ljr: m o y e n s ùo le fûi;:o,
Orqanisation
7/ -
d e l a prospcc.ti,orl
a,/ - PU riode
-
- : 11 e s t p1us importani. d e
FrCciser l.!épo:~jut:
d e la p r o s p e c t i o n p o u r u n e pla;ltc herbac6e znnuella que! pour une
plante ligneuse, Il s e r a , difficile rja raT;lass:;p & 13 fois des variL:? i;s:-,
pr4 cote s
ot t a r d i v e s s i o n n o pc~.sr;e cqu*unc soc:Ie f o i s .
b/ - Equipe : L’Vquipe p e u t etrc constitu6e ci::2 :
- gé 116 ticie n
- b o t a n i s t e , syst6;na,ticic?n e

n

particulier
- ethrlologue o u u t h n o b o t a n i s t c
- phytopathoiogistc,

Il i m p o r t o b e a u c o u p qutz l e s m e m b r e s dz l~équipo aient 6~
b o n s rapports entre eux *, ,
c/ - Maté rie1
- d o u x v& h i c u l c s
- sache
rie , p a p e t e r i e (régistro)
- mat6riel c o m p l e t d e canpernent;.

4 - Cchantillons
. graine:;, b o u t u r e s , SOUC’lE:12,
ri~iLomE?s p o u r IL:S
plante s $ ronne s
, gra,ines, boutures, Pragilents d e rzi.meaux,
cultures i n v i t r o p o u r J-es p l a n t e s ligneuc-.T>.->
L3-J d,
. pollen si celui-ci se c o n s e r v e b i e n : BX, ICS
p a l m i e r s .
y/’ . Ij uanti tt: ou volume de lFochantillon
i]il l e
prh2iso a u d6part c n foncti.oL des c a p a c i t é s d e ::t?@-
kag0
e t d e t r a n s p o r t . pans Ic za,s de:-; graines, orI r a p p o r t SOUVC:~‘,:~;
:;oo a 500 g p a r échantillo,3.
g/ - Rgpartition
13 est important d
e

s’entendre des lu prdparation dB !.L
p r o s p e c t i o n
s u r l a f a ç o n d e répa.rtir le matériel e n t r e l e pays jiTc~s--
pccté e t les ressources ~énetiques,
h/ - Bilan de prospection
81 - L e s p r i n c i p e s d’&chantillonnaqe (pzr J e a n F;CENES)
On dispose du p e u d o donnevs uxperimentales, L e s Z o n e s
centE’ales
donnent 1 ‘impre Jssion c1’une certainI2
homogenQi,té
apparsnte
du f a i t d e s nurnbrc!usGs Gchangcÿ gGnir;ucs onlrs p$ar,tcs, ~-Janaly:;~~
détaillee montra cBpE;ndant ciulil y

a

une div,ziaitG
e
t

une trks fcrtz
uariabili t6 cacheo.
Dans les Zones marginales, 1res~bc3 8 conquis de nouvêau::
territoires,
1 1 hé te ragé né i tti tac!-de eXj.stE a u s s i A?ns c e s Z o n e ; ; m2i.s
clic est moindre, C’est p o u r l e sGIection,neur u n nilicu d o prospos-
tion intéressant,
La. prospection do plusieurs zones narqinalos donne
Ui.iO
variabilit6 p l u s i m p o r t a n t e et ut-w coilcction p l u s divcrslfiéc ou2
l a p r o s p e c t i o n d’une s e u l e zonr: c e n t r a l e ,
L’adaption e s t etroito d a n s l e s isoiats e x 0 les r,jil:j
d’oasis,


- ChE:- 10s mothèrun, sur 3 (i pilpula.tions ct 20 i.i::.;i
jtudi&j., la tiiversi-s6 moyenne c-:>t de 22 $
- chez Iiordoum (I'urgc) sur 2 0 popu;ations et 2~ .!.:.,c:~
étudiés an IsraP& 12 diva>,rsité moyenne est de 11 y:,
- CtWi LyCopErsicum avec 43 popula.tions E:t 23 lOCi,
on a obtenue une diversit6 moyenne :jo 74 y; ;
- chE?Z Un PhloX dU Taxas, 1'6tLcio de 16 p~pul~ti~>~,;
Ci; 16 Loti 8 , rnontrc uno diversité moyenne de 11 $;
- chez Stephonr?ao 9 sur 11 popuiations et 14 loci
fjt;udic 3, on a tzouv6 une divvrsitB moyenno du 30 $,
Ut-INITION ET CATEGORIES D'ALLELES
a.,/ - A1lL;l.c~ communs C
La fr&quence dans un echantillon est supérieure ;J qi] :;?,
I-k! s
all3iss 2 SC: r6pertissent en :
- allèlos dispfzrs6s 0, citiand ckux-ci so;-it observUt>
dans plus do deux rggions ;
obscrvks
- alloles sporadiques S quant 31s/cjans seulcr;:;~~ik
deux regions ; - allèlcs localisés L 9uand ils sont obsarvbs dan:: uns
ssule region,
b/ - Leci ::.llàlcs R/' y
- L.us ElUtrO:j cat6çories dlall$lcs sont les all&los r a r B rj
I-1 , Leur frti!quence tic;% toujours inférieuru & 1~) 7;. on distingua d;^I.ls
cette catdgorie :
- l
e
s
alléles D, obserj&s dans plusivurz r6gions ;:
" les: alloles L, observ6s dans une sculc r6gion,
Chez Hordeum spontaneum (orgo
,
sauvage), 1'6tUdL: dw 28 j:;;lJjU-
iations dans sept regions en Israël donrro las rrisultats suivants :
!
!
f
C
R
-“--“~“~l~“---“L-l-L--------------””-~~-””--”.”-----“----
I
IVoci
i
Il;
s
I
/-)
I
!
L
1
""--~-""----""-""~--"------"-~--""--"--------‘-"---------
i
L
I
22 ;<
t
t
I
28
f
; 2 1 >: I 33 y; I
6 $
!
f
12$
1
Chez la forme spontanuo de Lycopcrsicum pour 11 populations
et 11 loti ctudics, les r6sultats sont les suitiants :

,’ .!
La pTospecti.on pour btrc efficace, 1IrJi.t recouvrir un
;~o~~brs importar-tt dc hgiuns. L1eXploitation
d'un tel r;iatlGriel c:.I;
pl~!.r; i,q!ort..ar,t; i]ue .l’expI~Jitation ?! f’and d'ut-, met6rieJ. d ' u n e n~.:~ii;-'
c.J _ \\..L -
‘-one
1-
prospectCc.
t/ - [..a veriabilit6 d o i t c?tro conr;tit&e s u r d e s e f f e c t i f s
~i:oclÉ rC s St dos po;lulations t r è s dispersees,
3/ - i;E?ls^tiOnS
antre formes spontanhes et formes cultiv6os
L'dtudé port;2 sur les cieux I’urmes cI~lt.ï.&o~. et sauvago :.Ji:
diffhrentcs pln,:tcs : orgo, t0rna.t~~ riz.
L!oIxIeum cultiv6 277 popLilû.tions, 43 aï.lf?les diffc:rent;t:
:~orcioum spontonti 20 populations,
3 loti dlostcrpso
L.yCoiI"?~si~:uni cuitiv0 47 populations, 49 allèles
Lycopersicum spontane 43 populationa, 13 loci
Cryzû c u l t i v é 17 allk.lcs,
Les r6sultat;s sont les suivmts :
. $2 ;: de s al.l,èlos nlexistcnt que c:icL: les cultivées
- 1 !j ;( des al.Lèlcs
n'existent qua c.lci: les s~ontarj6e;;.
Riz .cultiv6 :
- r;3 :'!' allèles commun,c.

L e s c’16meiits d e d e s c r i p t i o n p a r u n bistogramine sont ;
- la moyenne
- l a dispersion
- l a . v a r i a n c o e t l ’ é c a r t - t y p e
- l’atendue
: l a tlistance e n t r e la P~LI~: potitc si: ici
p l u s g r a n d e valeur de llèchantiilon,
le ‘6 t e n d u e dépend beaucoup d e l a dimc~i-
sion d e l a p o p u l a t i o n
- -la médiane : la population ‘::;t ,fivi&g en 2 partiof;
cigales
- 10 modo
: e s t asscc decalii.
2/ - Infé rcnce
C lest; 1 I<~c-,
C-atimotion (16: 33 p o p u l a t i o n d e dt?;3art & p a r t i r .it.c:
d o n n é e s r e c u e i l l i e s ot l a compa.rai.son des difl’ércntes population:;
( t e s t s ) ,
DC c e t t e e s t i m a t i o n e t di: c e s t e s t s , o n d6duit l a p j-o &sio:., ‘
cnCorE a,ppelee i n t e r v a l l e de c o n f i a n c e .
La technique e s t l a mbmc p o u r les nulti.wariablcs, s a u f ‘ iqu’!!;:
i n t r o d u i t Un n o u v e l élbment : l a c o r r é l a t i o n ,
On substi-tut egalement a u x i n t e r v a l l e s d e confiance duc
6lipse.s d e confiancl,
PALES
q/ - îine.l)i sc d ‘une FI i s s u e de :
- F. mofiissimum
- Tiotande
- P. vi 01 ace um
- ;.,;pJyJc
-230 B
- L i g u i
- 3 104
- Sanio
- ]~jFi,r; SlJt?
- Drao
27 caractbres s o n t etudids.
L t ana,ly se e n COClpOSE3llt(~s p r i n c i p a l e s e s t gcsciblc & c~lCf:iCi,..;
f o i s I?l.@ l’on peut prendre les variablcc deux Q deux,


4 - Les axes : 11 Faut savoir les dGterniner ot trouvar
dos cornbinaisonsnencires
dans .l~1~sp3c~,
X1 = a1 PP +
bl LoD +
Cl F
CG! PP +
b2 LeD t
c2 F
*2 =:
FP, Lon, F sont de c; v a r i a b l e s (caractkres) Port&s c h a c u n p a r 1 axu.
b/ - dLÛ part
e ;L d o s variabi.litBs t o t a l e s p r i s e . o n
compte pour chaque axe
LX : le qc axe
e x t r a i t
25 y; de la variabilite
le 20 ”
1 1
20 $
II
- -
l e 2; 2
‘1
II
1 Il 7;
-1’ .”
/
Cl - Le s axes que l’on va sortir sont orthoqonaux et
indgpcndants
d/ -
zst une combinaison J.ir@airE de 27 variables.
*,
I _
C'est des nombre9 sans aimenslon,
4 - Leckurc des caractères qui. sont les plus d6terninz:tifs
d-tlaxe
LECTURE ET INTERPRE:TATION D'UN LISTING
Dans un :Listing on trouve :
- num de l ’ u t i l i s a t e u r
- données
p o u r chaque v a r i a b l e pp, le listing indique le nombre
de Tnesures faites (0X 93 plantes), les valeurs maximum et minimum
(BX : 0,20 - O,39), la moyenne, 1’6cast -type du caract&ro et lu
coefficient de variation,
- c o r r é l a t i o n s
(coefficients de corrélation)
- valeurs propres et vecteurs propres (on en a pas
besoin pour l’interprVta.tion)
;
- classement dos valeurs proprcs.
EX
: qc axe
40,CT
' les deux premiers axes contiennent
f
2e axe
d o 1:1 rnc1iti.É d e l a variabilit!?
17,39 j p1us
30 axe
e,a5
4o axe
5,97
5e axe
5,131

36
Tableau de reperaqlr des individus
jlx :
* I
I n d i v i d u s I
IF
!
rcu;
I
1
CPF
I
I
!
----"I---"I------,"----~-------~-~---"-~-----.-------"--------
f
1
!
1
i'lolli.
1G
f
-
61s'O
i
4 a 5
1
1 D
- 3813
f
P-101
2G
3717
ii01
20
f : 45 .‘3
u
i
1
I
1
1
1
i
l
I

1
1
i
i
1
i
I
I Ligui
l
1
I
+ 5062
i
:5 0 7
I
1

2 .5
! !
f
Ligui
2
!
+
3483
1
2 90
I
'12
1
1: F
indiqua le position sur l'axe des individus
1 COS dL;finit un cosinus entre l'axe et le scgmcnt qui joint un
point reprgsentatif
ZPF
quantifia la part de charlue individu pour earactc~riser 1!;7;:jk ?
Plu<3 10 cosinus est fort, plus le segment co13oo1'né se
ra.pproci-iera du l’axe (couchG),
Tableau dos caractàrcs
1
1
1 Caract.1
1 F i 1 COS ) CPF
I
1
1
1
.-“--~--------I”““--------“------
PP
a2 7
!
689
1
r
; 62
I
fin d6 termine las principaux caractkres
qui dt>finj.ssep,t la:3
axes et la position dos hybrides par rapport aux parents partant ios
offcts gCniciues. etc.,,
(cf sch6ma).
TEST DE SIGklIFICA-l-TON DES AXES : L'HELICC DE COKFIANCC
Ce trust pose des probl2mes a u délà d e t3 v a r i a b l e s e t i l
est trés fragile quand les variables ne sont pas normales,
knalyse de la dispersion d@- famillE
- m'at6 rie1
: Îk101 x Ilassuo “S-I-...a
F,
il01 x 23 d ~rj "..-"1,0. $’
ii01 x Ligui
?
-"--'- '2

37
a 6 PIC1 9 N3SSU0, 2
3
d FJ, Liguj-
- 2 séries d e F 1
- 3 5 c a r a c t è r e s : forme ct couleur du grain, caractkre de
v i t r o s i t é , présenclu d c glumes, aristation, siledrling etc.. ,
Ll~nalyse faito unioucmant sur dr;s individus F2 permet
d ’ a v o i r d e s v a r i a b l e s directes,
L a totalite d e l a variabilit6 (100 $) e s t à d i v i s e r entre
5 caractères ( ter .il s ’ a g i t d e v a r i a b l e s r é d u i t e s )
'~IGN~IfICATION DE3 AXES
le axd
: est dkcrit p a r ij. caracteres
- ZTP : epiaison talle principale
- HGD : r a n g d e l a dornii;re fuuillc - (chapt:au)
- RGM : rang de la feuille la plus longue
+ 3 F T t é c a r t t a l l e p r i n c i p a l e e t tallos primaires
(mesure do la synchronisation des floraisons).
2e a x e
domestication
- Shcd
ugrenage s p o n t a n é )
- ENVE
prtssence d ’ e n v e l o p p e
- A R
prBsence d’arietation
t PGCP
poids de la chandollc principkle
en i4F
s a u v a g e
t TRC
remplissage
Le deuxikme aXE mentionne que les FI2 sont structurées
For 10 souvenir qu’il y a une hybridation entre forme sauvage c!;
forme cultivGu,
30 a x o
t FG
forme du grain
- Va
vitrosit du grain
- P! T i\\ R
tallagc aGri’3n
t LjFiIT
de.te dl apparition de 13. lère talle
t IJFIT
nombre de fe:klles au moment OC! lu
Ière t a l l e apparaft,
Comment se situent les fa,milles 3 travers ces axes ?
- la dispersion des F2 est beaucoup guidée par l’ari-
gino des parents,
- l'essentiel do la voriabilitr: vient du fait qu'on a
confront cultive et sauvage,
3/ - Situation des parents
Oh se trouvent, les parents dans le.,qraphique y
P o u r situar 10s parents, on les projette en variables
supplementaires (cf. schéma),


3 9
III - CoîdcLusIo~~
/Jr1 ~~chantillonnage de points aussi petite que ces ,F
permet Cie voir qu 'il est possible de truuvor des plantes qui 2
ont des caract&res de type cultivl.5,
Ceci signifie qu'on P:?ut exploiter la variabilit6, la
ric;mssG allélique dzs spontanas sans perdre ics c;aractùres culti~*C,s,

1/ - Evaluation q6 n6 tique
!)onno u n e c l a s s i f i c a t i o n u n i v e r s c l i c m o n d i a l e e n gsoupus.
2/ - E v a l u a t i o n aqronomiquo locali,&e
Est faik Sur u n %ChEXitillOn représentatif mais .LimitCi LIG
1.a c o l l e c t i o n , Ceci. pt!rmo t t a n t a u chercilcur intgress6 d ‘8 tablir ~:IL!
correspondance entre groupes o t caract6ristiques agronomi.Cjues.
3/ - Evaiuatian aqronomique des q r o u p e s intoressants
Importance dss t e s t s m u l t i l o c a u x ot de ltanalysc dt? la
stabilité - L’6loigncment e n t r e gcniteurs ( d i s t a n c e ) n o p e u t etrE
estimée r6ellement q u e s i clie k:st i n d é p e n d a n t e d e s c o n d i t i o n s CGR-
logiques mais concernant profondément les yenas.
Il f a u t a c c u m u l e r t o u t e s l e s donnGcc; morphologi~ucs ot c..n-
zymatic;ues e t é v i t e r d e t o u t mettrE d a n s 1~s a:nzymcs,
a./ - E v i t e r d a n s c e t t e i3valuatior1 l u s redondances
(offets plGistr=
d ‘un merne ghne) , pour ne pas oIa.gutr artiF’icic;-j.-
lsmcnt l a collection.
moyen = calcul des corr61ation:;.
b/ - linalvse s i m u l t a n é e
L a n o t a t i o n d e s c a r a c t é r i s t i q u e s esr; très diff6rentc :
me sures
(caractgras
Cluantitatifs)
classas
(maladie)
n o t a t i o n 9ualitetive.
pour l e s 13nZymss, i i fauk u n e bonne: e s t i m a t i o n d e l a teneur
es: pr0tcSii-G autrems,-.lt d i t u n :milieu p a r f aitemcnt contrf3ld.
zux/
cc s o r a a u x BtekSkistiuns u t /informaticiens d e construiïc
pour le s g6 n6 ti c:io ns d e s mod&lcs et des ;3rogrammc!s.
4 - :!nalyw dkscriminantc
a pour bu-t de distinguer des groupes,
L e p r i n c i p e e s t l e sukvant :
Soient 10 grands groupes fondamentaux dé terminQs par la
rSglG d e l a classification “universlle”L:
A, 0
. . . . . . . . . .
3

41
On riemandE quelques 6chantillons t?X : [jr]0 lignees appa*-
tenent aux dif'f6rents groupes qu'on obsorvs dans un essai d'évaiuz-
tion agronoriiiriuc! pour des
caractbrcs qui prc,,
Tp~?ntant de :llintti:re!t
pour 1C sélcctionnuur - prdcocLt5, rt5sistance:, ronciomci7t etc.,, I:ii
fait 33 mesures dans chacunc do:: 500 lign6es,
I- ’ anal y se discriminanto pormct
d
e

rotrouvor 12s groupas
suicque1s appartia2n~2nt ces 500 plantus B partir de ces mesures, $7
C!ira per exomplo C]ue LE g r o u p e ;‘i corrc;s;2ond & tc:1 enscmbla çic? c2,rcv-
tbras tardif, grain à mauvaiss maturation, ticnaudage otc,,,
L.C groupa J corraspand & I!n zutro c -\\sembln de caract&.c..:s,,,
pour les CnZymGsj il faut une estimation très bonne.

Par
Jean
P E R PJ E S
L'evaluation biochimique pri!sente ;? priori ull grand avo,nti
tage dans lc mesure où il existe peu d'intermGdiaire entre les ro-
lations ggnotype et expressio:; du caractere.
Elle a permis d'identifier dos variétes notamment dan:; le
~ionoino de la protection des v6gdtaux ~;lais elle presen@ des diffi-
cultGs liées aux facteurs :
- coclt
- debit d'analyse : vient de la limitation des
appareils disponibles (gen6ratours de courant, cuvetj;); temps (il.!;;.,
entre le dopart et la. rovelation, nombre dlcnzymes 3 rBvelsr),
- anal y se (36 nb tiq u”c!
a moins qu'on se contente uni-
ouernont de lire 10s immogrammcs, et identifier J.::r; varietes, ce +tii
ne suffit pas pour quantifier r~cllarncnt les effets genioucs.
l/ - fGgratior
2/ - Activitg (épaisseur de la bande)
31 - Chronologia do production,
Il est possiblo d’intdqrer ces troi:j caractdristiqucs Inais
sous r6servc d'une analyse hértiditairo approfondie,
II - ETUDE PCS HODES D'1iEREC)I-T.E
Il existe doux cetGgoric:s d’cnzymcs :
- des enzymes (lui ont uno merne fonction : les iso-
syrn.ez3
;
- des isozymos ciui sont CO~~S
par ic mQmo locus :
les a11oZymes.
Le trûvzil g6né tique consiste G voir dans une série
d"i6ozymos 1~~~1~~1s sont dos allo~y~nes gt do 6étzrnine2 comment sont
contri s ces ellozymes,
Dans la pratiouc, on a deux lignoos différentes, on fad.t
u n e F
e t u n e F2, on 6tudi.c la F2,
1
Exemples :
1; - Soit pour l'ostérase C!i- la situation suivante :
Parents
1
2
F1
1
x
2
F(lX2)(1
X
2)
mw.u-o-.w-em-
-
-
"...-.m-l--m.-r-
&-- 3j4
-
c4
absence
présaricc
pr6 senco o'sk do-
m nar; c' sur abscnca
Euh(1 x 2) x 1
,-

/3/ - Lt2 cas 7/16 et 9/16 (2 g8nes) 3st :zrriwi: cllùz lu mil pour
une pfSroxyd?sk:,
i/ arit tC
:23dg ++ -Me-).
phBnotypo
( -
-
f t
J
Liguj- z = ---J
( wm.-wL.-...l >
+
;qassue = = -n-J)
( -w.m.~I,"."." >
23 d B x Ligui ---/ 2 +
-----3 phénotypo (-)--- 3/7
23 d B >: [~~L~~UE- ----; -t 2
-..---W.p
(-)- Qf1
Ligui
:: pje.ssue ---> P -.
,..o,,-d2i
( w--3< )-.- C/l
(23 d :j :< Ligui) x M2isk
--w---T 3//1
Une meme
situation n'est pas forctiment le fait d'un seul
gène,
On peut penser quo dans 10 fonctionnemont, un dc.s g&ncs est
20 st~ucturC
J l.dautrc de rGgulation,
3/ - i-lans les cas précGdcr,ts on a lu rT"4' Il. est possible 3~: lira
si~multanément i: 4 et C3'
1
2
1
x 2
F2(1 x 2)( 1 x 2)
F
/Parents ----
1
I/i$ ----
1 /Ci. -
1/2
Le3 c,;
- -m-w...
-
-
--.a.-
-
%CC3
I/ii y3 I/ii c4c4 A/2 c4c3
lana.lysC: g5rkti~uc montre quIon a un seul gknu avec
doux ullélt3s codominants,
4/ " ;,utre exemple
1
2
1
X
2
( 1
x 2)(1 x 2)
parents
-wII
-
-
FI
F9
-.œ--w--m
-
-

-
"-4am-a..
L
-
m--w.
--
"b---m.
-
-1-m-
-
3 3
-

7
n
16
16
16
Ii:
1-e système E?st rbgi par 2 couplus do g&nes indépendants.
5/ - AVCC c3 et Clc
1
2
1
x
2
( 1 x
2)(1
x2)
c,, rn”“...N --
parents'
--w---L-
"m-w--.
-mm--...
F2 ;
c3
F 1
c3
Cln a 1 'uno
ou l’autre esttjrasa mais pas les deux sirnu:.tz-
ntiment.
11 r-l3 peut y awoi r aussi absoncr
des deux à le fois

6j - C e s oh i:. y a un gtsne tia msturatiofi (m)
P a r e n t s 1
FI
f
+
(1) x (2 ) i. -
F2
1
(+)
+
-
-c
-
3 n
1 rii
-a..
-
4
4
L ‘CyjLyne ne ré vèlc pas forcCmE3nt le ç&nu de L’enZyme lui-
r;vZmc mais autri: gel-je (jui m o d i f i e 1’enZyme.
7/ - Exemple cileZ 30 mil
1
2
1
:< 2
C
--a.-
-
-
.,.-mm.--
4
Pa.rents
Fl
i2 -
. ..-1.ma.m
I*I..“-
c3
1/4
Ii4
1 //;)
Dans cc sas on a. une dirrière ‘-’L3 c3
L f hy bride est hétéromère
C 3 C& - ~~l-&t6rozygote e s t C!~~L;-
blée v i s i b l e .
G/ - Les hutcromkres p e u v e n t su fairs 2 partir do produits d’u::
m8ne giinc m a i s aussi à pa.rtir des produits dc d e u x g è n e s difftsront::.
Zoit ui~ parent (1) et un p2rent (2)
n
1
L
1
x 2
,!
li
1
-
3 --
Al -
A2 -
(84)
(03 >
(@)
(81)
rIest
,
le
systSrr;e é tucliC chez IIGI chez le ri.7 :
a s s o c i a t i o n entre produits de g à n e
11
assnciation e n t r e p r o d u i t s de gbne
C
association entre A e t C p o u r 1‘. gène 5, c’est-G-dire
LCS
gGno,types s o n t l e s suiva.nts :

Cas .de 1’ADH chez le mi.1 (a,lcooi dos !lydrogenax)
On a l a ~~Orne c h o s e (lue précodemment s a u f ouc A 1 e s t trc;u
a c t i v e , El1 moyennement active
e t ‘y
n*appara.llt pas.
1
Dr.ns l a ;Iratioue, o n a c r o i s e :
-l
2
1 x
?
F x
s x
s x
F x
SX
F x
t@torozygote homozygote
FF
- FS
---,-:F un gkne
SS
F-X
-----) un gène
SX
L ’ a n a l y s e a p u montrer ouli.l e x i s t e b i e n u n e prutoine---xx
En c o n c l u s i o n , l a lscture
d e s immogrammee e s t tras commode
pour mesurer des taux dlallogûmiu chez une plante.
L' ADI1 CY tom
a.- /
. UE!.
*
JusCu’Ci presant i l etait q u e s t i o n d e PADI\\I n u c l é a i r e , ~1r-1
8 ai. t cependant q u e l’AON cytoplasrniciue ( mitochondries ou chioroplasa
tes), peuvent coder pour les AR:]& ct A[:;jr.Ceci. permet C!C mesurez
les e f f e t s cytoplasmioues maternels,
A P il ?
fi il r\\j mitochondrial.
Ru fil P = enzyme photosynthe tique (carboxylase) A c
‘1 1
IA3 c3
l a R u B P a d e u x sous-unites : la petite est cod&e par le noyau,
l’autre p a r l’i\\DF! chloroplastioue.
sylvoctris X tOlÏlcnt0Sif0l3nis
Chez Micoti+na,
c1
-1
o n a p u determiner le sens du croisencnt /
sylvestris migre pour F ---: parent
P
tomcnto-siformis migre p o u r S ---i. p a r e n t ci
Les enzymes lie r e s t r i c t i o n
L e s e n z y m e s d e r e s t r i c t i o n (EX. ECOFI) c i r c u l e n t d a n s
1’AGN, l a c o u p e n t e t 1-o resoudent, Ces enzymes existent dans 100
systèmes do dGfense b a c t é r i e n n e .

01-1 pzrle! d e mol6cules rie precessing d e LtADN.
E n t r e u n e e s p è c e 1 et une espèce 2, il est possible que
l e s e n z y m e s tic r e s t r i c t i o n n e s o i e n t p a s a u meme endroit,
- pour 1*espèco 1, o n a d e s m o r c e a u x qui dEcou1etn.k
d ‘une c o u p u r e e t ‘lui s’étagent.
- pour 1 ‘espèce 2 , on a aussi des ruarc~aux un étages
d ’ u n e zutro coupure.
O n Compars l e p r o f i l d e s 6tagoment.s d e s morceaux d’Ai]l,~,
E n Am6lioration des plantes, ces m6thodes ont des sous-
protiuits : ~111 p e u t d6terminer le sens ~E+S croisements des parente.

TECHNIQUES 2'ANALYXS STATISTIQUES FlULTIVAkIEE:~
ANALY SE EN CORIIGjD,P,NCES AVEC DONNEilS EIJ%Y:-MTIQUES
Par
Jaan
I’LRNES
1/ - Exemple : le riz
Problhe .bioiogiquc posé sur LB riz
A travers lranaLyse de la collaction do riz cul.tiv~s,
les auteurs ont voulu savoir comment sont situ4cs les formes
cultiv6os africaines Glderrima ut les formes asiati:iues indica et
japonica les unes par rapport aux autres.
A ces formes ont <St6 akjout6es :
Oryza
Bre~Jiligulata, plante ennuello
0,
longistaminata , plante P&renne au:;ta.J.ien.
Clayton a &Visé la collection des riz G Kew (Taxonomi:;)
Cette kvision 3 a.boutit 3 une a,mbiguité par ‘ca,pport 5 l~i$tucie ci::
r3KA.
C leay ton
II K A
0. barthii
0, longistaminata
Les 9Gniticiens pour uchapper a ceti;e ambiguitE n'ont pa.s
suivi les syst(:rnatisiens,
Staphii est ut-i@ Forme spontûn6e d6rivant des formes
culti&es.
Flat6riel
Le travail a port6 sur le matèriol suivant :
41 indica
41 sativa
1% gJaderrima.
4 1 0 ng i s t ami n a. t a
4 austalien.
Methodes
12 bandes couvrant des estérasos
12 e nzyrw s.

LRP (Ltiucine amina-pect*da,se)
IDI-I
1270 I-I
Phosphatose .. acide
GDH
GCiT
Ca.tarases
PGA,
Ktisultats
Siqnificûtion d e s a x e s
En ellalys@ ci@ c o r r e s p o n d a n c e s , le pre,lier a#@ s o r t
2 6 ;,’
df2 13. vuriabj.lité,
Donc on a :
ûn constato qua l e s t r o i s p r e m i e r s axes d é c r i v e n t 1s
moiti6 d e c e riui a S dbcrire d a n s l e n u a g e ut il e s t Stcnnant de
v o i r que guolqucs enzymes seulkZfW?nt scrvt2nt ii dQcrirt! l ’ e s s e n t i e l U:3
C E 9ui 8. c3. d6cri.m d a n s le nuagr:,
;lnaly,se d e
corrtispondances das don&esenzymatiques chl3Z l e s L’iL
Ll?S
qdnotyqcs q u i poss3dsnt 1::
qui possèdent EC de llnutre,
1 s e t r o u v e n t dlun cBt6, taux
‘1 =
indica
Cf.
figure ‘2
J =
japonico
J av =
Javûnica
13 =
Br6 viligul atn
Ii =
Gladerrime.


5Q
Les esterases s o n t t o u j o u r s d’intoressants m a r q u e u r s de :.a,
diversite e t d e l a pilylogénie.
Indica et Japonica sant plus voisin:; que ne le sont ler;
espkces a.f’rica.ines,
Gladerrima ost un peu plus proche sur Ifaxe 2 paraissant
issu du groupe des brevili2ulata.
Javanica. est plus proche râla japonica bien C;~C dlrivant
d’une hybridatltn entre l e s d e u x , Quand on croise Japonica et rndica,,
O n Se heUrtE? a une st6rilité pollinioue m a i s comme i l s’agit s u r t o u t
d lune st6 rili te gU nique) le back-crossage e s t p o s s i b l e . O n l a fait
sur Saponica et par androgencx
o n a p u obte:Cr des plantes fertiles
ori Chine.
s : Staphii
Ci’,
figure 3
P! : Brcwiliyul eUe,
G : Gladerrins.
L. Longistaminata
r,
rj ‘
Australien
sontj
l*\\ e t L /2 f o r m e s perennes o u i somblont asse;: proches,
2/- Exomnle : l
e

caf6
Le matériel de travail est issu de 12, prospection de ca-fOs
~~~~~~~r;s allogames f a i t e e n f o r e t s en l%puhlique Centra.fricaine
.
P l u s i e u r s p o p u l a t i o n s o n t et6 anallsees :
Soit 1
= cxclsa ( g r a n d a r b r e a g r a n d e s . F e u i l l e s )
X
=
congensis (espece o u i a d i s p a r u les collections et i:ui
existe sous forme de tci:moins dfherbiers,
cl =
n a n a
( f o r m e particuli4rc d i t e c:af6 d e l a riviere ‘,]anaj.
i;j =
c a n e p h o r a (caf4 d e l a i?.C.A,> .
Problème pos6 cilez le ce.fe
- On a voulu savoir si ces quatre e s p è c e s s o n t vra.i-
ment diffërentes ou non,
- Introgression entre congonsis e
t

canaphora ?
Lrl woore c ’ e s t l ’ a n a l y s e enzymotiouc qui a p e r m i s d e
repondre aux questions posées c a r i l f a l l a i t attendre ;’ a n s (fllJraj--
son> z f a i r e d e s croisements p o u r proceder a l’a,nalyse ~~orphogUndti:;u~~,

- 382 individus Spartis Comm3 suit :
2 2 0 canephora (rd)
60 i?XE!l S3.
)
50
(0)
(I
20 congensis (X)
j'#thodc
3 9 ~nzymas : 39 t;a.~-ics (prJso;ico, a.bsence),
1-'6tude d e s ca,i’Cs p o s e p l u s do problbmcs que c e l l e d e s
g r a m i n é e s à c a u s e dE 12. pr6sencc de polyph6n121s
q u i r e n d e n t
difficile la Lecture.
Siqnification des 21x0s
est /
P o u r a u t a n t d e pa.rants o n f”EYrivd h t i r e r les 1;: SuiLrz.ni:;
de la variabilit6 :
IC 3xe “..rn..“rn” 73-J ;,,;
ic axe -II-“-” 10 y,:;
3e axe m--m...-- 6 j,;
4e a x e -----L.m
5 r.'/"
5e axe I-B-mm"
4 ; ;
hou :
39 C h
1. a c u n e des bzndes
peu-l; contenir
3 7; d e l’inf’ormation
L’exancn d u t a b l o a u d e s caractkres montrb q u o lo prerisr
3xc j.nt&ressê t; i!n;oyries
: Fil (4e bande) A2 (3~2 Sande), Ee; (2e bznde) 9
C6 (9Q b a n d e ) ,
Donc quatre bandes sur lus 33 servent 2 1’i.~lenti.fir30.tio-;
dcSp c a r a c t é ï e s ,
L e dauxième EXO int6rcsse lb b o n d e s (1 + 3 mineurcis) st j-c
troisihie a x e inté resw 5 bandos.
L’~~dyse ~;e d o n n e pas 4 ~roupos d:lffUronts. Cependant il
n’y û p::s d lintermédiaire e n t r e oxeisa ot 10:; eutres, La, &pa,rati3,:
dt: consensis, n a n a e t canephoro. est difficilL?. 11 n’y 2. aucun0
barribro r e p r o d u c t i v e ontro e u x ut I-S,
i. 1 i? i 0 :j i3
ast parfaitement
rGgulit!re p a r c o n t r e l e u r croisement o.voc exr:lsû. m b n c ,& uns st6rii.i t,.Ll
partieile,
On r e t r o u v e unû C@rtains fertiliti.; erï f a i s a n t des back-
crosscs OU en c!oub.lant le nombro de chromosomes c’est-h-dire e;l fa-
bricant une sorte ~rf ‘allotb traploj-de.

),, __ _ <.. ...

CVI\\LUATIONS GENETIQUES : METHODES CYTOGEidETI4UES
ii. Ccrnbos et J. Pornbs
Comme pour l’aspect biochimiquc, on se rapproche le plu;;
possible d u matGrio1 héreditairo m a i s o n u t i l i s a n t d o s tochniqucs
differentes ( m i c r o s c o p e , chromosomes),
On obsorvc le nombre ot la structura des chromosomes,
Dons la littérature, o n cita e n p a r t i c u l i e r l e l i v r e dr?
93rwington.
- EtudQ au niveau de la mitose faite sur des pointes de racine.
!Cette Studa a s s e z d i f f i c i l e c h e z les graminées est rendue possible
p a r l ’ u t i l i s a t i o n d e p e c t i n a s a s q u i d i g è r e n t u n p e u l e s p a r o i s .
- :,wiowç mcCtle a u n i v o a u cEas cellules-meros d u p o l l e n
- iÏmj&j;,r
femelle plus difficile È1 c a u s e d u n o m b r e limit:; du
cellules-mères nu niveau du sac embryonnaire. L’etude du nombre de
chromosomes psrGet do SO faim uno ir:Be de 1~ ploïdic, On distingu::
dl>UX
t y p e s d e p10Pdes : ,
- e u p l o ï d e s : le nombre de chromosomes est multiple du nombr?
d e baso : x , 2 x , 32: 4 x e t c . , . .
E?X : l e blé
x = 7, 2 x = 14, 3x=%i, 4x=28, 5x=35, 6x=42
LCS 6~ sont les 1~16s tendrasot l e s 4 x s o n t l e s blbs d u r s
P a n i c u m x=8
2x=Î6
8XZc,II
3x=72
- AneuploXclos
trisomiquo
2x+1
rullisoniqua
2x-2
(2 exemplaires o n t d i s p a r u )
monosomique
2X-l
(1 exemplnire o d i s p a r u )
II - LA STRUCT!X~L D~~CHRO~IO~ O?;IES
( c f . f i g u r e s )
LlQtudc e s t f a i t e s o i t sur la mitoso ou la tVéiOSC3
1/- Etude sur la mitose
Elle permet de définir 1rj.s caryotypes.
Le CaryOtypS est 1s schema repr6sentatif
d
e
s

chromosomes :

r .
., 4
nombre, dimension, position du ccntromere, constsiction secondaire
(organisation nucléaire), Il est intéressant s'il y a des variatioris
au niveau des chromosomes homologues, S'il n'y a pas de variations,
on se contente du schéma haploîdn.
3ans un caryotype, on range les chromosomes par ordrc do
longueur croissarite oÜ dhcroissante;
i>onnoes de Yasui et de Seri chez le riz
Donn&es de Yasui
FonnCoo de Seri
ch,r,
_n
pp_sition
'1
II?,4
sm
1
;5,5
2
10,3
sm
2
Il,7
3
10,l
sm
i
ilIl,8
4
p/,4
sm
4
10,l
5
Y,2
sm
5
9;s
,
8,7
6
8 5
Y
76
7
7:;
u
7 , 4
8
6,G
(7
792
9
5,B
10
G,4 -----porte la satellite
10
5,5
11
5 ,h
Ii
595
12
WJ
12
?,8
Le bandinq
Cette technique a la propri.etS de faire apparaftre sur 10
chromosome des bandes sombres et claires.
Les techniques de mise en évidence des handes sont les suivantes :
G banding
G banding
,-
Ii
Ls-*
II
';
II
RG
II
Le G. /oandin&: @St luno coloration & la quinacrine, L’olJservatior;
cl !J
nliCroscope 8 fluorescence donne des bandes claires riches en AT clui
sont des bandes fluorescentes et dss bandes sombres non fluorescente:;
richec I!n C.G. Ces dernierus sont ilos zones particuliàrement ricihcs
oo proteines.
La coloration se fait au giomva et l'observation B la lumi~re
siinele. L'alternance entre bandes sombres et bandes claires est plu3
nette.
Cette tcchniqua fait apparaftra lrhdt6rochromatine inter-
calaire,

La chromstino sot coristituGk! de :
- EuchromatinE
- hAt5rozhrcnetinu
condons en m6tai3hose
t-
Le giemso contient do 13 thiazinc chary positivement et
qui se fixe sur !T;-;li-
de l*I;f?N chargQ n~5yativemcnt.
Le i:. bandinq : il pour but de mettrs en Svidcncc :'h~tVrochro;i~ati~;a
cuntromérique, zones zaract&ristiqi:es de certains chromosomes. CotLz
technique ne diff5ro pas tellement du G, Sanding sü*df que l'incu'batio~,
vst plus longue : on débarrasse las chromosomes do 20 :II, do leur i:Gi:.
La coloration 5c fait Bgalemcnt '3.u Gicvsi;,
l-0 2, bandinq : on u mis en 6vido:.lcu le bandir.9 oppot6 au G. bandirI~.
Lti 'Y. bandim:
on colore exclusivoiw?;it lus extrEiiG,tGs des chrornoc;oI:;:;;
10:; tGlom&res,
2/- Etud2 C!L la structura tiu chromos~~.~~
au niveau de 2.3 moiQço
prophase 1
Dès le dt?but do ia K.z~.os~?, chaque I:hrc)rncrsonu ot sous i-arr;:::
deux chromatido s
soeurs.
1.0 r,,+~aphüse f
I_ 1 ;; r-i up i-1 z,s8

1.
j_ 0 -j2 1 I-Jp 1’1 352
1
l-85 ::.j-~:rr~ltio,?2c h r o m o s o m i q u e s
- DBlr?~til~ns
~‘03t .ls.tc~ pertea de segments chromosom:i:,ui:c;
- duplications certains segmants chromosomiques se dt$doublock
on peu-t avoir des kriplications +, etc.,,
- Les inversions
- Les translocations : Fi~tGI?OZygOtSS d e translocation
Lczs appariements chromosomiques
I!n puut 2l:joir chez les tr?trCploïdes un r!Qadrivalant, tjei~::
i?iv~.ilants ou 3n tri.valent et un univalont,

5 6
Le. doubLement chromosomique
2n=23
X
2nt
= 23
;Ixian javatansis
C o l c h i c h i n o
--------y#22 II
IF3 ex ,: 10 blé : on a 3
GBn8nes c h e z l e bld
L e s fil?32 s o n t les bl6:; d u r s et 1~:s I:fi, 8 ;,
Di)
s o n t Los
i-) 1 !.r! r; tzndros qui c o r r e s p u n d c n t à 2.1 II ( b i v a l e n t s ) , :;aiz c e s ;Il 11
r-10 s o n t pas t o u j o u r s réûlis6s.
G 1.
c
IC
%L*..;c
30 0X : l e p;;iaiçum
:
Le.3 t)lrJGS
peut rencontrnr s o n t l e s s u i v a n t s ;

L 1 H:irijditt: do 1 r apomixic-
On pzut faire d e s X

Gonr: ddns une population, 103 apomintiquns nc: psuvent
qu'augmantcr ut tant qur! fi f - 1
3 -,; $ 10s aponictiquec éliminci7t
10s
2
SOXlJ6S.


:y;
.’

.
;9
H
L /
+.mn-“I-v -DIy-
TI’“p-- emw-.-‘

;Jar
JEAi PERidES
Pour cette organisation se rappeler de quatre Points
essentiels :
- Dynamique de 1 r 6v:Aution des populations
- R é s u l t a t s d e l a génetique d e s Populations -
/Dérives al6atoires s i l e s e f f e o t i f s s o n t l i m i t e s
- V a r i a t i u n d e s p o p u l a t i o n s - Bquilibro m o b i l e ----y
soloction,
- c o n s e r v a t i o n : - c o l l e c t i o n s uivantos
réserves
reseau de simulation de variations
t r a d i t i o n n e l l e s .
I- CYNAi4IQUF D EL
,c-
‘“VULUTION CES POPULRTIUNS
S o r t i r d e 1 ‘ e s p r i t d e u x c h o s e s :
- q u e l e s c o e f f i c i e n t s d e s é l e c t i o n s o n t F a i b l e s
- q u e l ’ é v o l u t i o n d e s p o p u l a t i o n s e s t tres l e n t e
En effet ces coefficients de s8lection p e u v e n t étre p:-us
forts que l’on a i m a g i n é j u s q u ’ i c i ,
3 A
Ra
a3
1 +s
1
l - s
S
= coefficient de sélection
L e genre 2 e s t avantago par rapport a a ,
IJn autre modèle AA
RC:
:; s
‘1 -s
1
0,X
iln n e p e u t P a s d u t o u t raisonrer e n d i s a n t q u e l e s popu-
lations traditionnelles ne bougent pas du tout ;quron retrouvera
p l u s i e u r s a n n é e s p l u s t a r d l a meme chose. Cm l e b i o t o p e a u r a chani; :,
aura évolué pendant tout ce temps a l o r s q u e l a p o p u l a t i o n nfaura p a s
c h a n g e 8on systume adaptatif.
II - LES DERI VtS
Les populations sont entretenues par endogamie : petites
P a r c e l l e s isolees de 20 a 50 pieds, panmixie par mélange de pollen
de tous les pieds males d a n s un sac et badigeonnement de tous les
stigmates des pieds femelles.
Ir
,

Que se passe t-il ?
LCS populations évoluent très rapidement en perdant lel.lr
h6t6rozygotio,
En 2 2 o6nérations
.J
, on a perdu plus rje :La moiti.6 de 1lhMi;8-
rozygotie,
Si l'effectif est N,, la probahilit6 de fixer un gCne rar2
p=
12N *C’Ji ri= 20, cela signifie quo 11allhlf3 unique a 1 chance sur
4C de se fixer, c'est-h-dire 2,:; ;.. Les effets de durive sont cumu-
la ti fs si tous le:; gènes sont soumi à cette tivolution.

LSS effectifs des populations Evoluent ; uno annde rd,,, uTi2
autre annec N2, G2,,,,,
L'effectif i?! efficace est Ne.
iv e 2 s t cal c ul Q sur k gënGrstions successives.
Tupposons que PIK soit un effectif de l'ordre de IOOn et
qu'en un ioment donné devient Mi = ?CI,
FJ e z l O
=:a2
9
+
1.
? 00
1 0
Il y a 9 ann6es où il y a eu 1000 et 1 annQc où il n'y 2
eu que 1ct.
Donc dans les phQnom5nes de d4rive aléatoh9, l'impact
d'un goulot d 'Stranglnment trclis
fort comme l'Cinn&e 0U il n'y a eu
que IU individuo
sont énormes. ‘Tout ;iE: se passe cornmc si chaqub
annae au lieu d'avoir eu IiIlJc), on a eu que /2,,

Lxernples de derives systèmatiques
-
l/ -
C:n perd la sexualité en multipliant par panmixie. Il faut
à chaque fois regarder les sacs embryonnaires et mettre de cBtQ les
SBXUéS.
2/ fiDi-4
F/.S
13 est désavantage au niveau du pollen mais dans les geno-
types diploïdes, lors des stress hydriques L'~équilibre F/S est favo-
risé,
3/ Gèn,e de sterilite m$le
Le millet très interessant pour ses qualités nutritivns
et résistances à la sécheresse.
C'est une plante trLs autogamo 3+0
Le genre <de sterilitr? mele tend à étre en equilibre avec
une fréquence do I;i, à 1>C80,
Il faut chercher le gène de sterilite mâle dans les vari.i:tCs
traditionnelles au lieu des collections où il apparait B la frequoncc
d'une mutation,
En conclusiqn
- fairo des conservations de ressources g6nétiques avac
des techniques les plus proches possibles de celles des paysans.
- réseau massa1
-----5, banques de genes
. r8ssau des structures variétales types, gdré par un
technicien,
- collecte e introductions
- Evaluation agronomique hiérarchis6e

- évaluation génetique -c réseau multilocale
- conservation

- grainos en chambre froide
- collections vivantes
- réseau de conservation dynamique
- Service de documentation
possibilit6 d'utilisation des données informatiques

- Service de transfert des échanges de materiel
J/- Vcjçation région:218 (toute l’aire do culture) pour
1 tévaluatî.on aussi, il faut un r6seûu régional,,
l-z/'-
Plusieurs sous-contrffi avec dez outils informatiques
Is/- I n i t i e r de5 noyaux de ressources gfinbtiques
4/- ResponsabilitC dos gestionnaires du ces centres
de ressources genstiques. Il faut que la vocation
regianale
soit bien comprise,
vocation rogionale
.,x
r”!\\
/--,
j.
-+Y
r”
-+-.. .
,./
I
‘Y.., %‘$garantie ssni t3iro
maintenance ‘4
quali?é de
1 ‘information
!Y/-Relation avez 1 ‘amalioration des plantes
- dissocier las activites ressources génétiyuos
et Amélioration des Pla?tes au point de vue
des respansabili tes et du financement.
- pas de c omputition.
Il faudrait peut-@tro mdme d i s s o c i e r l e s ministeres d e
tutelle.
- Formation du personnel
Il y a une période transitoire pondwt 12quolle on fornc
le personnel. Pendant cette phase, des chercheurs se datachent pendant
un mois de leur travail de s6loction pour participer aux prospections,
- 11 existe à Burmingham,
une formation un ressources
g6netiques.
_
[i
k? a r i :;
au ïlEA d’amelioration des plantes de 1'1JniversitG
df L’rsajl], il y a une option rcssousccs g6nCtiquds.
- riu niveau de l’IITA, il y a des séances destinees au
ramassage et non pas à une camprehonsion des res’sources genetiques.

. .-...
I-. ._ .I
- . . . _ . . _II .._.. **._ ~--“.< _ _. ,,-_ “, -_ ._.___ _.._

*l/ - ?escripti.ons s.yn
tiques sur des carac&os no- :
- 9nûlysa en composantes principales pour les mesures
- ?\\nalyse des correspondances pour les rangs et les notes,
2/ - Etablissement des classifications
-
-
CVtcrminer dans 1 ‘ensemble d5s individus un cloisonncmenz,
des classes sans recouvrement de ces closes,
La mathode n’est pas rr:tsolue do façon satisfaisante, Ce
qu’il faut c’est juxtaposer plusieurs methodes et tirer de chacune
ce qui est cohilrant.
a>- analyse de groupements ascendants :aboutit B des graphiq~laz
de forme d’arbre appelle des denchogrnmmes,
b)- mbthode a centroïde ou nodale.
Il s’agit de regroupements autour des centres typiques.
4- methode des nuées dynamiques a pour but de classer touto
la collection en fonction du nombre de groupes que l’on
a B faire à priori dont le principe est de maximissr les
distances intergroupes relativement aux distancesintra-
groupes,
a/
3/ - Quand on/construit -13 classificat.ion, il faut classer
de nouveau les groupas de la classification déjà etablie : Ce sont
toutes las methodes d’analyse discriminante.
Documentation :
l/ - Etude de la structure et de la variabilitÉ génetique des
cûfeiers.
RQsuLtats des Etudes et des expérimentations realisbos PLI
Cameroun, en Cdto-d'fvoire et à F:adagascur sur l’espece Q&fB
arabica L. collecteo en Ethiopie par une mission GASTON en 19Gi;.
IFCC, no 14
Zeptembre 1978
page 68.
2/ - Organisation évolutive d'un groupe Agamiqua : la section
dos ~ûxima.o
du genre Panicum (Graminées), Nemoires ORSTON p. 15.

7/ i Stockage des graines
Graines récalcitrantes : faculte gorminative diminue
temperature =-ÎU"
HumiditG
=-2 5;.3
Le taux de germination prés de 80 j; chez l!hévna et le
caf%, la conservation ne dépasse pas un an.
vi\\,.-;
2/ - -cc
JL,o.cker les plantas elles-mêmes- sou:; forme de collections:
- plantes P&rennes (ex chez le café)
Il feut assurer des dizaines d'hectares
- plantes annuelles
on les multiplie par croisements contr&es, Etude des
ph3nom5nes de dérive qui déroulent de cette méthode.
3/ - Stocker le .pollen È1 froid ou sous vie
tX
: le palmier ci huile or-1 C8te-dl1 voire, LFI prospection
du palmier à buile se fait en deux temps :
- rcpiirage dos dates do floraison, recolte de polltzr:
- rbcolte des graines,
CI 'est ce qui est fait par l'Ii?ACHD dans les prospections
qui se font en Amdriqus Latine.
4/ - Cléments oe multipli.
uéqetative
5/ - Culturu in vitro
- cultures de simples boutures : on mot on collection
des plantes en miniaturisation,
_ culture de moristéme,
Dans les plantes
, i, - ;.
il y a un taux elevé de mutation lu-'
au lieu de ?2-'" normale,

- culture de suspensian de cellules
cellules isolées chez I'osparge. Ces cellules
donnent des cals qui sont rBgE;nbrBs,
- protoplastes
d/ - t!Sservc! de mat6ri.el telle ou simulf!k
m-1_
c - 4
Gvoc Aangenot on distingue :
es:pecesrnicrobiotic]uc
+<* 3 ans
espèces mésobiotiques K: 15-29 ans
esp3ces macrobiotiques > 20 ans
l/ - Les orthodoxes
Pour conserver les graines il faut les cqnserver & lltitcjt
deshydrata avec des teneurs en eau infbrieures a 5): et des temp6..
ratures proches de iloC.
2/ - Les rGcalcitrantç
La teneur en eau 12 à 31 $ - cas de l’hév6;~, des cafEj.ers,
du cacaoyer, du colatirr.
Dans le groupe des orthodoxes, on a des techniques de
conservation
tallos que l’azote liquide. Ceci a QC,6 cnvisag8 pour
le riz. La meme technique marche aussi chez 1-e bl6 tendre et la
luzerne, Il y a un inconvénient : In congélation peut arriver CI faire
éclater la graine.
le
Chez mil (DR"sTOM) 1~ technique de lyophilisation n’a pas
donP9
r’
beaucoup do succàs, Quelques graines seulemont ont germé,
3/ - Fa.cteurs autres_ que la tompgrature ot l’humidité
- 1-o qon.otype
Chez le riz, on possède un cortain nombre d’informations
et une Btudo est faite sur le maZs et l’orge,
Les courbes de lonqévitd sont Valakles pour un gf5notypo
donnd.

- L e s c o n d i t i o n s d e m i l i e u
.n.t la .récoJ&
Il semble que ces conditions influent beaucoup sur 1 ‘état
des semences. ‘Certains ont pu mettre en é v i d e n c e e n p a r t i c u l i e r l e s
facteurs tels que la pluviometric,
l a tempéraJzure
e t l a n u t r i t i o n
minerale. R6le s u r l a t a i l l e d e s grains et leur maturation,
n s d e milieu au moment de :La recolte
.---.P-
T r i a g e mbcanique, t e c h n i q u e d e sechaye.
- Environnen=t qazeux d a n s d e s boltos harm6tiques e n atmocPhère
-
d ’ a z o t e O U sous vide.
- l a dorma,nce
C h e z l e riz o n a montrri q u ’ i l y a v a i t independance entra
l a c a r a c t è r e dormante e t l e caractbre longévitb. Chez leci forms
Cultiv&es
: dormarce et viabilitd plus faibles.
4/ - L a v a r i a b i l i t é genetig_ue (StabilitQ) des semences. conservees
Il est c.lair q u e n o n seulornent l a facult0 g e r m i n a t i v e
diminue mais aussi il y a une multiplication des anomalies :
- C:bsarvations chromosomiques : faitos:
en anaphase
fii itotiques.
- Kutations,
On a pu observer jusqu'à 1 à 4 $ de
m u t a n t s é q u i v a l e n t à u n t r a i t e m e n t R y. de lO.Oû8 ;t, C e t t e perto de
viabilite ‘se manifeste au niveau des membranes.
T/ - L e contr8le d u t.a-ux de. qe.rmination
-WI-
On le fait tous les 5 ans.
61 - Le-s. concliti.ons d e qermina.tion
La germination se f a i t e n bottes de pQtri, L e t a u x d e germi-
nation en b o î t e d e ptitri est different d u t a u x e n cham,,.
III - CONSERV/‘iTIO[t
DU POLLEN
-
L a durde dc: c o n s e r v a t i o n d u
- goyavier
4h
- c a c a o y e r
1 l? I-1
- graminoes 24h
L e s c o n d i t i o n s d e c o n s e r v a t i o n d u p o l l e n s o n t Qquivalentes
de celles des graines.
- f a i b l e t e n e u r e n e a u
- sussion d’C12 reduite
- température de stockage basse. une
Il existe des espbces q u i nécessitent, 4
humidite f o r t e . L e s
especes à pollen binuclée se conserve mieux ‘que les trinuclees.
C o n s e r v a t i o n = lyophilise