------- .-.-w-I--- PROJET DE WLGkKtSAlXN DU MAIS ...
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.-.-w-I---
PROJET DE WLGkKtSAlXN DU MAIS
OF'ACJJE 2 NJ SENEGAI.
INXI'IUT SMWIS DE REGI-mCmS AGRICOLES
(1.S.R.A.)

I N T R O D U C T I O N
L’agriculture sénégalaise occupe plus de 70 14 de la population
to::alc et reprkente 35 %I de la production intérieure brute et participe pour
l/ 3 aux inrportations~ et 2/3 aux exportations. Elle conn&t une diversification
insuffisante du fait de la prépondérance de 1’ arachide qui occupe encore plus
d’un million d’hectares.
Le déficit ct%alier du Sénegal. est d’env!.rori 4CQ.(XXI t par an dont
XJO.000 représentent les importations en riz. Les ixportations cétial ières
Tntenriennent pour XI % dans le deficit de ],a balance ccmnercliale.
Une politique vr;lontarist.e qui doit conduire à une autosuffisance
alimentaire a éte élaborée par le Gouvermmnt du Sen6ga-l. Cette politique est
ba.& sur une augmentation de la production certklfère par le biais d’une part
de if accélération des programmes de cultures pluviales et une poursuite de
cultures irriguees et d’autre part, par la substitution des produi. ts de con-
so,mmation importés pcar une modification des habitudes alimentaires, des action,r
towhant les secteurs de la distrubution et de la trcînsfonnation.
En fin de VIe plan grâce à cette politique, on devrait limiter les
importations de cetiales à 7L; .OCO t pour une production nationale de 1. X!C.oocj J’
de ckréales dont; 9OO.CO0 t de mil et 365.000 t de maïs, ce qui, combinee al;ec
1~s autres aliments, ik:VrZit apporter 2.430 calories,;~ar personne et par jour
scie Ii., niveau ~nerg&Aque moyen du &p-V~i-t 9 alors que l’apport caloriflqüe
actuel eut de :2.X4 dont 1.513 d’origine cétialière.
La producti.on actuellement de. maïs au S&îegal est d ’ erwiron 78. CNJC t
pwr une superficie ti.e 7î.000 ha. Les objectifs du VIe plan de dkeloppement
kxnomique et social sont d’atteindre 265 .OOO t en 1985. Cl est dans ce cadre
que la recherche agricol% knégalaise a mi s au point des hybrides, varié tes
zyhth&;iques et composites pour &Pondre à tous 1~s types d’,agriculture. Ce
prcjet aussi vient en ogpui pour atteindre le c objectifs définis dsans le
VIe p’lan.
Le maïs est unu plwte omniprésente dan:~ 3.e monde soLIs divers
c :1 imat s ) depuis les tigions chaudes & hautes ou petites pluvior&tries de
1 I \\:frique aux conttiee froides de 1 I IJFES et il4 Canada.
En Afriquee les terres 5 ma&, se renconi;ren.t dans différentes
L-égiolls climatiques, 6gions sahelo-saharie~es A climat sub-désertique,
&gf.c;p*.,> sahélo-soudaniennesà climat tropical, rkgions soudano-guin6snnes
à c1.imat tropical humide Y dgions de la forêt dense à climat équatorial.

Ces maïs tmt des g&nes
~7~tants qu'on ?@pelle op‘aque 2 et floury 1.
(::JL: imixt&icfis a~~~pci~t;it le ttk:kecr en lysine (t. 38 YG par rapport au maIs
ncmal) et tryptcphane (+ 49 9; par rapport au ma% normal) chez les maïs
porteurs de ces mutants. Mai s la combinaison des deux mutants dans le même
&o@pe n'augmente pa-. plus que la prkence d'un seul mutant, la teneur de
ws deux acides amines indispensables.
Les excellents -&sultats de recherche obtenus par le CIMMYT par
lfincorporation dl-un de ces mutants dans des maïs n~ormaux à endosperme dur
grZice à llact;ion conjuguee des gènes modificateurs permet aujourd'hui de
faire difficilement la différence entre un mak normal vitreux et un ma&
~XXt~Ul? de gène rtX&Ut opaque 2. Cet important succès du CIMÎWT devra
permettre aux pays en dkleloppement de disposer d'un matériel riche en
proteines tout en gardarnt une texture vitreuse du grain.
C'est en 1963 que le Dr NER'I'Z et a1 de ltlJniversité de FERDUE (USA)
ont découvert que les maïs opaques 2 étaient plus riches en lysinel et
tryptc@-xne que les maïk dits ricrmaux,
Ces deux acides aminés sont indispen-
sables .& l'organisme qui ne peut les synth&.ser. Si on considère l'aspect
rendement, les maïs opaques avec gènes modificateurs ont les &tws rendements
que le:; ma% sans le gene mutant.
La vulgarisation d'un tel type de mûis est très importante peur
le Senégal, car sa richesse en protéines fait qu'on pourra diminuer dlune
l'acon not&lc la défiscience en protéines au niveau des populations.
Le projet dans sa première phase dtirera 2 ans et comprendra 5 volets
qui intéresseront :
I- PRODUCTIW DE i%IS GPAQJE-2 PAR DES PAYSANS lZNCAD%S
L'encadrement sera assuré par une équfpe responsable du projet.
Ce volet &permettra de sensibiliser les paysans ii la culture du nouveau type de
ma% très riche en proteines. Dans un prwier temps, les quelques paysans
choisis par le projet seront en nombre limita et ce seront des producteurs
intkessés par la culture du maïs. L'expérience bien entendu I:#e deroülera.
dans la zone maïsicolo du Sénégal. Dans .une seconde phase, on pourrait
élargir le nombre de paysans par cercles concentriques pour limiter les
contaminations du maïs opaque 2 par du maïs normal et ensuite pour accroître
les superficies cultivees en maïs. Le projet au départ devra être modeste.
I I - ALIMEZNTATION ET l'iUTRITICN DU MAIS OPAQUE 2
Le deuxième vo1c.t aura trait à l'utilisation de ce maïs riche en
prctéines au niveau des populations rurales (enfants et vieillards particu-
lièrement) qui sont souvent carencées en protéines. Pour cela, nous ferons
,ppel au Professeur SAIVOKHO, Pédiâtre à l'hopital Le Dantec et llORANA

III - TECHNOIXXXE
DU I!&IS (fabrication du pain de ma%)
L’utilisa-tion technologique qu’on pourrait faire avec ce maïs
rep.$sente le troisieme volet du projet. L’Institutde Tec’hno1.ogi.e alimentaire
de Da!m~ fera des e-c
...3ais d1 incorporat:ions de %P%X de ma% dans le p:& 5.
&:s tcux dif+%rents
..*
.
: 30, 15, 20, 35 et 30 56. Le taux d’hydratation du pain
de meiïs 6tant de 7’7 Y;, cela représente un avantage sui* le plan du rendement
au hiveau de la boukngerie industrielle. Ltavantagr nutritionnelle qu’on
pourrait en -;;i; ‘ci”. \\ brait dl avoir un pain riche en protéines donc suff isam-
mfmt rourriss,ct sans toutei.‘ois altérer la couïew et le goût.
Ce volet i;~~téresse la Bbrication du ïiz de ma% qui devra
permettre de diminuer les importations de riz qui cDnstitucnt une &rit~ab.le
hemorragie de devise::: pour le Sknégal . Dans 1. ’ 6tat ,actuel du maïs o il eut
8 -Ji’nil moins consommé que le riz > mais avec les objectifs de développc.ment
de cette culture, on pourrait ai&ment substituer la semoule de maïs a~1 m:il
eI; au sorgho en zoric: i-urak et au riz en zone urbaine. Des te?jts de degus-
-t:Mon de riz cde mai3 10~rs des foires internationales de Dakar dc 1978 et
*%3c orït ?iàit beaucoup dl adeptes, car on a noté un excellent accueil. par le
public pour w-t: te &.::r+e dont la présentatior, wt proche des brisures de riz
dolk l e Sénégalai s est Wiand. Un nombre de 17 recettes culinaires de mtis
a eté mis CU’* point par 1 :ISRA, ce qui démontre, que d’innombrables possibi-
lit& d’utilisation du maïs existent.
1,’ .m- II~FOR.MfiTION
E?’ P~LICITE
Le volet publicitaire quoi qu’on di:-:e peut reprksenter le scubas-
5F:11er;-l; du prGfet,
1,’ information est la meilleure meihode pour introduire une
n~wvel! e culture ~1 un nouveau produit dz! consonmation au niveau des popula-
t4 on::. % connâît bif-‘n le mak au Sénégal, mais pas ce nouveau mais riche en
proteines qui, ,a-gec les possibilites lde trozsfonnationns
9 permettra dl avoir iies
produits directeme:Yc CGIlSOmn&leS par les populations. Il faut une bonne :i:en-
sibi! isation du prockncteur au consmateur par 1 I intermédiaire de demonstr.+
tiens et &?s rr&ia: . Ce volet très important est nécessaire pour la promot:ion
de ce r-lGu<e~A typ? de, maïs,

par des paysans encadres
Les paysans b&&ticiaires du projet serortt originaires des 3 prin-
c ipales ?TégimS maïkicoles du SenégEiL. Ces régions qui sont le Sine-Saioum,
ie SCnégal Oriental et la Ca%ananc? correspondent aux :i.sohyei.~s dCcj & : : :::!:I!J cm
Four 1 a première phase de 2 ans , cn chcisira 10 paysans par ré@.or
t3- t POU.~ la seconde phase le nombre cjera augment6 en fonction de la. ;-+us~j.tr:t
$2 13 pmiére phwe. Chaque paysan disposera dl1 ha et du matériel adéquat
pour- la culture du maïs opaque 2. L&E; paystms seront encadrk par le perscrxiel.
du pro jet et les techniciens dos societés d’encadrement et de développement,
ils prztiquw-wtt ! w techniques cuiturales préconisées peur optirnaliscr leur-
rendement .
Certains matcriels achetés par le projet ,seront individuels en
fonction des contrai.ntes de crilendrier de labour et J’ eiltretien de la culture
d.: autres seront communs tels que les matériels de traitement. %w niinimi:.~:~r
1.W 5W.s de diplaceznent et de trans,fert du materie: à. 1’ interieur c1~~u.t~ i:&fllC
Ux?e > il est p&%r~ble pour la première phe~% du p::cJjet de regrouper les
paysans d’une même r&gier,. Ceci permettra également d‘ woir un calendrier
de. cul turc homog&x ct .facil i tera 1 1 encadrement,
Chaque paysan disposera d’un paquet .i~.ci-ü~~.Ilc;~i,~ue qui comprendra
drs ::ernencei, , de 1’ r;r,grais p des insecticides, des herbicides. Les thèmes
semi-intensifs pour la culture du rniiX*-3 seront appliqués par les paysans.
a) Le dess~3uchage pourrait être une ccntrairite assez serieuse pour
1 I ex.tcns.ion des superficies à clause du droit; Coxier tr~adi-tionzel qui TIC
garantj t pae le droit de propriéte et une Organisation du tralVrail pas tr&
elfixiente. lW.s une fois le bcrnage du cixamp eEect& 9 la contrainte drc,i$;
!:‘orxier peut être Icvée et 1 ‘extension des champs serait facilitée.
b) Le labour pourra se Laire eh fin ou debut de cycle. Four les
sols sénég.&&s, le labour est un préaM11c indisperxxable à la culture du
wgj;>-c; .: il peut entr&xr une augxentztion de rendement de SO Y; qui peut
s’expliquer par :
- une neilleure structure et porosite, d’où pènétration plus
ais& des racines et une meilleure a6ratiûn :
- uno meilleure conservation de l’hum.idité du sol par emmGaga-
sinage des E;~UX de pluie et freinage de 1 l évaporation ;
une Iutte plus e Micace contre les adventices et les
“S
o;irs.zi :-P c

d) Le but;-ixl&
se fera 40 jours après le semis. Il a 1 ‘avantage de
r:Et:tre à 1 ‘ahri Ici: plantes rJ I un &teufÎement par exc&+ cl’ eau car p ilans certains
L;Ol.,: i3-l. Sé.nCgeJ. 9 l.C drai;XYze se :Lait très mal. Le buttage est également ‘une
manière de lutter wnt;?: les ;nç2~~zisw herbes.
QJ?:t qnas cons idé rat;! cl>:.; economiques
:
Avec l I application de 1’ amélioration Ci-nc:i&e comne c’est le cas ici
la valeur ajc.;nt:ee brute peut être multipliée pz~ 4 par rapport à la me-thode
traditionnelle -?I- %ncti.on du nombre d’Cannées cl1 application de la culture
intensive .
En matière 44; personnel, le chef du projet sura un volor:!$,ire du
r’,..
,J-fps de la paix, Il scrg. bCa& au Sine-Saloum <:t travaillera etroitemcnt av5.e
lrr> sociétes d’encadrement e-t de d6veloppemwt. Le ch& du projet sera assisté
dircEtement par 1 technicien dans chacune des 3 régions. Ces technicicrs
u i ir%égreront égalernen2: aux Sociét&s tigionale:; de développement rural . ie
chercheur responsable du programme ma% de 1 1 TSI& servira de c~nsei~~ler à
:tl~~~uipe chargée de .tL:‘.:2:!‘. 3. ;.)ien 1~ pi~;~;:.

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DESI<;l{,;,‘i’I@J
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! AX’JIZE~ 1 ; N@?EEII;
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i 1 -- EiFzxmEL
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3. chef du projet
! 1.5û0.000! 1.500.000! 3.000.0cJ0!
!
1. technicien
!
KK! ,000 !
6oo.cno! 1.2oc.030!
!
1 chauffeur
I
500 d 000 !
500.ooo! l..oocI.mi
!
Total
! ---?6Em! Z.G00.000! 5.7ociX!
!
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i
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: 2) Yraction :
!
I
. 10 paires de boeufs
, 1.500.m~
! b) Mattiriel de cul.hw :
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i
mancherons
!
10 ariana ccrnprenant chassis, /r@ula- i
!
I
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??
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teur c3î ,341.O s J roues - ch&e de
;
!
!
!
régulation et traction + 1 barre
;
I
I
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d’extension, 1 equipement canadien ;
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!
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6 dents 40 x 8 comprenant 6 socs 160 ;
i p
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7 o SOC~ canadiens ; 2 demis-socs D
;
!
!
!
!
et 2 demis gauches ; 6 brides, 6 vis ;
!
!
!
f
à oeilletons,,
1 charrue simple dépor-;
!
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!
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tée corps de 10”, 1 équipement butteut
ailes mobile+
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! 1.5OGJGGj .
! :.500.000~
I
.lO herses zig--zag tupe SISCOMA
i
450.OGO!
!
450. GGG!
10 semoirs super-k0 (disqufz? &ïs )
!
?
!
!
4oo.GGo~
!
4OG.000~
t
; c) Materie de traitement :
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!
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10 appareils UZV + piles (herbicides)!
4OO.OGO!
!
4OG.c!&!
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! . 3 appareils a dos (insecticide)
!
9O.o00!
!
9o.uoc, !
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! d) Matériel de transport :
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. fG charrettes cheval gquip&es pour
i
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traction bovine (essieu de 40) charge i
!
!
?
t
1 tmne
! 1.ooo.cJoc~ !
; 1.000.000~
e 1 camionnette
! 3.çoo.ouc ‘!
! 3.500.0001
c
!
!
1 e ) Séchage :
!
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!
. 10 oribs à ma& locaux (ZO.000 f/ha) !
300 .GGG!
!
3OO,,GGG!
! fi Egrenage :
!
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!
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!
1
!
. 10 égreneüses GM à volent à manivelle!
9oo,,ooo!
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9oo.oooI
1
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; g) Fi&es détachées pour rnateriel agri- I
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colr: (w S)
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650 .GOGf
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65G.000;
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Total
!10*690,ooo!
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1 I I I *- FcNCTIoNNEEIIEN?
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1
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Fournitures de bureau
,
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5o.GOO;
Carburan t et lubrifiant
i 2.000.000; 2.or;o.m~ 4..OGc;.GOG;
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Entretien e-t réparation
!
50.KQ;
50.000;
l~.oao;
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Assurance véhicule
12o.OGo;
!
12o.cuo;
24o.coo;
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Engrais
2GO. 000;
400.000;
? ? ? ? ? ? ? ?
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Pes.ticide
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28.500;
28.500;
57.000;
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Frais de déplacement
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Divers
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2g.oQo;
4OG.000;
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DES eT(;iiJ,ql j-Q,:
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. 1 chef du projt-: L
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EJ. il!. !
p. m.
! p. m.,
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. 1 technicicr
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6cX1.000!
600. (100 ! 1 . ZOO. 030 !
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. 1 ch;:ui'f~~~,$~
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p. I!l. !
pc xl.
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6~jo.000; 12:00.0Oc>j
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! 1.2oo.ücL’;
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CO~S de chai-xue
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de t~wtion et r:ha?ne de cui.Lure avec:
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crochet, ccqs butteur
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7oc~.000~
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. 1.0 herses zig-.zsg type SISCOMA
!
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c
u-50.000 !
r:
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! * 10 barres ex,tensior: houe sine +
den-F;s suppl&w+kai~s
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2.00. oi/o ;
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. 10 semoirs supe~wko (disque ma%)
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4CCl,(;iicj!
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, c: > Matér~iel de t~na.i.t~mer.t :
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! . 10 apparei1.s ULV -b piles (hfx.%icide) !
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400 PCÜO'
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2 appareils A dc;s (insecticide)
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i Cj f4at&iel de txan:;port :
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. 10 cherrette:~ 2. cheval équipées trac-!
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