r blG/KF REPUBLI~DUSEIWAL SECRl3TARIAT D'$I%T ...
r
blG/KF
REPUBLI~DUSEIWAL
SECRl3TARIAT D'$I%T
~~ZNlZl??RE DF, J,'l?ZNSEIGNEMEMT SUP2RIEUR
--.,
A LA RECEERCHE SCIENTIlFTxQUE
ET DE LA RECEERCHE SCIENTIFIQUE
! ggQ!& *. ~;+b:: fi*,:
ETTECHNIQUE
REUNION DES OOMLTES SCIIZNTIFIQUM NATIONAUX
DU 1 AU 6 ESEVRIER A TARNA (Niger)
H.GALIBA
.
Février 1982
Ceuim ETaWmal de la Recherche Agrazmmi~e
de BAM;EIEy
INSTITUTSENEGALAISDE RBZBR~AGRICOI;ES
(1, S. R. A.)

Les essais coordonnés CILYS concernant le sorgho ont été mené par deux
services distincts : Sorgho-Hard (S.N.) dirigé par 3. (IXANT&tiAU et s ‘in t ére s San-t
aux sorgkios précoces, SorghoSud (S.S,) dirigé par 3, G&IRA et s’intéressant aux
sorghos tardifs.
La constitution du mcttcriel vegétal n’a pas permis cette scission entre
sorghos précoces et tardifs, ainsi les deux services ont travaillé sur 1-e m8me
matériel, mais à des sites diffërents.
Ce rarqort regroupe les résultats obtenus pzr les deux services, Trois
lieux ont fait l’objet des essais : Esmbfjky pour Sorgho Nord, Nioro et S4fa pour
Sorgho Sud. Une analyse oombinée des rétiultats a été faite partout oû. cela était
.’
C.’
possible ; dans le cas contraire, les résultats sont présentés par site.

1
1 - INTRODUCTION :
L*importance des céreales dans les pays du CIL&! n’est plus à démontrer.
Le s;jr&o, toujours associ.6 au petit mil, occupe dans bien de ces pays souvent la
première place. L8inadéquation du matériel végétal local aux nouvelles contraintes
édapho-climatiques oblige & la recherche de materiel stable et performant. La plu-
viométrie erratique de, ces dernières années s’avère un des problèmes majeurs dms
l’expression optimale des cultivars locaux et les rendements obtenus sont loin de
combler le déficit céréalier que connaissent les pays du CILSS.
Les essais coordonnés CILSS devraient répondre à cette situation impérieuse
(en permettant une large diffusion du matériel existant et donner l’opportunité à
chaque structure de recherche d’&valuer ses acquis,

2
11, HATERUL ET MtQTHOD3S :
Le mst&iel végétal se composait de 25 entrees, plus un témoin. b la
charge de l'expérimentateur, Ainsi en plus dos varietés fournies dans le wadrc
de l'essai : CI po par s. N. ; 51-69 AT et CE I?i-6 par S. S, ; différents te-
moins ont ét6 ajoutés, CA 145-66-v, CZl’jl-262-Ai et NK300.
Il est à noter que l'hybride NK.300 a 634 choisi pour évaluer les per-
formances du matériel.
Le dispositif choisi était celui des blow randomisés, L'essai a &,;;~y
comprenait 3 lignes de 12 metres par entree sur trois répétitions, L'ecartoment
était de 8Ocm x 30cm et le démariage à 3 plants par poquet, Les essais à Nioro
et Séfa comprenaient 4 lignes de 5 mètres par entr& sur deux répétitions.
L'écartcmegt était de 80 x 20 pour un démariage à 2 plants par poquet. La densi-
ts de population par les trois essais s*élovait à, 125 000 plants par heotare.
La fertilisation a 6té uniforme pour les trois essais. L'engrais de
fond N.P.K (:;$?~~) a Cité apporté à la dose de 15Okgbha et 1 ‘urée à 112 dose
de 150kg/ha repartie en deux doses au démariage et à la montaisono
Le nodële d'anakyse de la stabilité de Perkins et Jinks (1969) a été
employé. On y a associé hméthode de Mande1 (1961), citée pax- Eagles et Al
(1977) gui Permet d'extraire de l'hétérogénéité entre les regressions, une com-
posante à un degré de liberté afin de tester la convergence des droites de regres-
sion. Le test d'homogénéité des variantes de Bartlett a été employé awznt d@
combiner les rhultats.

3
III, Ri%UL~ATS ET DISCUSXICN :
Y-
3.1 - ,$volution pluviométrique et Caracterisation des c;-vironiwments :
A Dambey, les semis ont e-té faits la première semaine de Juillet
(5.7.81)- CoQwrant les besoins théoriques optiidaux d'un sorgho de 90 Jours 3,
l'évolution pluviométrique (fig. l)? Oil note que, comptant pour certaines pério-
des sur les reserves du sol, les besoins sont assez bien remplis surtout pour
la période qui suit la demi-épiaison. La seconde semaine de Septembre, avec un
cumul de 1781~ aura perwis de boucler le cycle, Cependant il est à noter un stress
en début de cycle, de la seconde à la quatrième semaine de Juillet (environ 12
:jours). Ce stress a éte ressenti par les plantes qui venaient juste d'amorcer
leur développement. D'ailleurs sur cerkines parcelles, il a eté déploré 1s pré-
sence de certains insectes (Jassides), Comparant l'hivernage 81 à cel+i de 80,
on peut s'estimer heureux aussi bien par la quantité d'eau reçue et le nombre de
joura de pluies,, Wis dans l'absolu, Eambey se révèle une zone à gr& risque
surtout pour les variétes tardives et photosensibles, car 479mm en 31 yxws de
pluie demeurent tres en deçs des besoins reels d'un Sorgho même précoce.
A Nioro et Sefa, les semis ont eu lieu à la seconde semaine de Juillet,
ALZ semis jusp'à la semaine ;:r&Gd,>i:t IL dcr!i-épiniaan d'une vafiété de 129 jours
(fig. 2) les besoins en e:w. ont éte largement couverts. De In trois?.&mesemaine
de ;~e
tei:ibre à 1s fin d'Cctobre les prêcipitationaont beaucoup diminw$ (en moyen-
- P
ne de 50$), Ainsi In;:lgrG les réserves hydriques possibles, pour les variêt& 10s
plus tardives, par exemple celles qui ont fait 85 à 99 jours de demi-é$iaison,
coi'ncidant ainsi à ltarr8t des pluies, les rendements ont ét6 très bas. Ainsi
malgré un cumul de 785rnr:l & Nioro et 1 Oamrn à Sifa, les résultats n'ont pas êté
des meilleurs et ceci d8 (5 une mauvaise répmxt!ition de ces quantités d'eau. D'ail-
leurs il est à noter que ces cwuls dépsct',-ent le cumul théorique pour une variété
de 120 jours qui est de 71LiOm.~.
Ainsi, en comparant le rendement moyen à l'hectare au niveau de chaque
site et la plrviométrie reçue, on note que la liaison rendement = f (pluviométrie)
n'est pas toujours vraie, .Bamhey présente un comportement normal, car ayant une
pluviométrie infêrieure à la moyenne des trois sites et aussi un rendement moyen
infêrieur à la moyenne des uites, Nioro se comporte de la &me façon, mais de sitw
dans le quadrant II, i. e., pluviométrie supérieure à la moyenne et ren.dement
supérieur à la moyenne.
. . . / . . .

4
TJioro aurait mieux rentabilisé sa pluviométrie. Quant .$ Séfa c’est un compor-
tement aberrant, les rendements sont presque identiques a ceux de Bambey, pour
une pluviométrie double Ce comportement :Pourrait s’expliquer par une rëparti-
?
tion erratique do la pluviométrie qui a brutalement cesc:é au moment de l’épiai-
son du matéticl. %n somme Nioro aura ét$ le meilleur environnement, suivi de
Bambcy puis Séfa,’
3:2 - Caract&risation
des G6notypos :
Les sites ont présenté une énorme vcrit\\tion comparée aux geno-
types. La variancc liée at~ environnements est 5,6 fois supérieure à celle liée
aux génotypes e PJéanmoins les variantes de 1 ‘erreur à 3 ravers les sites sont
homo g6no s ; le test do Dartlett donne une v>Jeur du X d.e IF76 pour deux degrés
de liberté. Donc on a une probnbilite de 95% pour que les variantes soient homo-
gènes o
La table d’analyse de variznce du tableau 4 montre des différences
hautement si&ificatives entre les variétés de même qu’entre les sites. eeb(ç
&&W. Les variétés pféçoces se classeraient parmi les meilleures entrées à
travers les sites. Il est à noter cependant l’entrée 20, L 30, variété ,tardi%e
qui a donné de bons résultats. L’effet des sites srest beaucoup fait sentir :
des veriét& qui n’ont pas épié à Damboy donc Qyant un rendement nul, SI-. retrou-
vent dans les autr::s sites, en bonne position. C’est le cas de la varié,té
Ouédézouré qui à 1Tioro donne 1 219kg/ha, contre zéro à Bambey,
. . .
B..
/


,*
:*
I
!+y

-.-

-a
h,
1
d..

d.
--
.
.

.

Tableau 1. : Résultats ?3ambey 81
1 Dobonyo
277
101
83
20
2 33551
162
85
481
Y
3 vs 702
7 7
71
a-4
8
4 SI3
78
63
452
10
5 Mcmgonsoba
230
85
313
12
G SI0
150
85
266
13
7 S29
212
85
88
20
8 57
173
97
102
19
9 SC,
153
90
117
17
10
Gmf ing
0
24
Il Ikilcan
0
24
12 Q?g.I gag ?&
305
116
0
24
13
271
0
24
14
X~II-Dl
297
85
440
II
15
Ga,c'~iitba
190
81
906
5
1 4 SHI-ïI3
231
102
50
2 3
17 SB2-D2
283
100
i8-1
15
18
Tiémarifing
267
99
111
1 8
Ii,
137-62
188
85
,157
7
20
L30
160
81
1 032
3
21 $ E!SB
120
84
260
14
22 A4 D4 8-2-3
-13;
S O
824
6
2 3 'j1-69 AT
193
75
'1 74
1 6
24 CïxII-6
123
103
70
22
25
cT?lyo
128
78
1 143
2
26
CElfpj-66-v
123
7 7
1 491
1
27
ca 51-262-u
9 3
'61
1 019
4
Eoyenne Essai :
181 ,o
85
479
Lo S. D à 5%
4&77
3,26
524,6
c. 7.
18,25
2,34

9
Dobonyo
31s
85
413
2 0
E35-1
155
'77
750
12
vs,702
1oy
GR
1 750
4
s 13
11s
5Y
1 563
5
$Jongo;woba
241
7 2
657
15
r; 10
196
75
1 282
7
Y 29
210
76
219
24
s7
165
79
375
21
S8
179
77
682
14
Gnofing
214
8U
769
11
Frikan
3oo
86
532
Ici
Ouéd.ézoure
235
Y G
1 219
Y
271
158
80
250
2 3
SH 11 -D7
30 9
7 2
688
13
Gadiaba
315
81
450
19
SHl - D3
246
81
269
22
SI-12 - D2
275
82
500
1 8
Tiémarifing
296
81
519
17
13'7 - 62
168
73
1 407
6
L 30
215
67
2 250
3
-2 RI. S. B
183
7 3
I 282
7
A4 - D4 - 8-2-3
198
6 8
1 126
10
51 - 69 AT
32Y
6 2
6 3
2 6
CE III - 6
185
8 5
119
2 5
m 90
182
61
3 553
2
NIÇ; 300
170
62
4 094
1
Moyenne iSsr,d :
216
'76
1 03c
L. S. D à =$
66,13
41
g15,16
c. Ve
15102
28123
4 3

1 0
Bbleau 3 : Iiesultats Séfa 81
-
--a
?
IDENTIFICATION
0
XAUTBJR
!
CYCLE
!RDTPG !
HANG
--
Donbonyo
210
93
625
3
235 - 1
132
98
516
7
vs - 702
7 6
75
625
3
SF’ !
s 13
84
1 ,i
250
“ 5
Nongomssba
166
83
547
5
s 10
108
8 3
297
:'2
s 29
î56
86
235
I 6
37
114
9 5
79
2 3
S8
128
91
328
‘1 1
Unofing
203
97
281
'14
Frikan
192
97
172
24
Ouédézour6
204
105
547
5
27 1
118
113
26
SH II - DI
151
86
1 8 8
'19
Gdi aba
159
5 8
360
Y
SH 1 - 133
199
go
219
,17
SH 2 - DL:
192
92
282
'1 3
Tiémtwifing
181
90
329
,lO
137 - 62
130
7 6
1 266
1
L 30
125
8 2
1 063
2
4 L. S. B
.a
98
8 6
516
7
A4
100
7 0
157
21
- D4 - 8-2-3
51 - 69 AT
182
10-I
141
2 2
CI-G III - 6
04
104
3 2
25
Cd y0
84
78
7 9
23
NI; 300
813
82
204
~18
&yenne Essai :
143
89
359
L, S. D 5%
4b26
13,6
?03,6
c. v.
1414
7t56

II
La présence de 1 rinteraction génotype-environnement
est étabfie <I Le rési-
duel n’étant pas Signi:ficatif, le modele de régression linéaire expliquerait les
relations entre lfinte:raction génotype-er;lvironneinent
et les environnements, Z-I
d’autres termes, les grandeurs des interactions G x E seraient une fonction lin&-
aire des effets envirowementaux,
Les coéfficients de rogression du tableau sont ceux de Eberhart et Russe1 :
la stabilité moyenne serait équivalente a un coefficient de regreskon de 1. On
note que les meilleures performances globales (V20, ~25, Vj), ne sont pas liées
‘1 Lune grande stabilité, Plutàt, Ies meilleurs indices de stabilité se retrouvent
chez des variétés peu performantes,
Ceci rappelle beaucoup le oomportement des sor-
ghos locaux qui bien que peu performants (400 :J’ Rendement C800 kg/ha) ont toujours
présenté une stabilité superieure à La moyenne, gage de récolte certaine même en
période de stress sèvère, En d’autres termes, les variétës les plus performantes
seraient caractérisées par des adaptationb spécifiques orientées vers des sites
riches. D’ailleurs cet te Lanalyse statistique rejoint de très pre s les observations
visuelles où la grande majorité des entrées rappelait le matériel local : i.e.
rS?ande taille, panicule lache , présence d ‘mthocyane, photosensible, type Guinéa,
Cependant la variété 20 dénommée L 30, malgré un coéfficlent de regressii:n de 2,41 :
présenterait des cû/rac~téristiques intéressantes.
D’une fagon genérale,
les performances sont basses, certain.es variétés se
sont révélées carrément inadaptées et ceci est souvent dLi au caractkre photosensi-
ble dans une zone à stress hydrique marqué, La moyenne gênerale des entrées a tr?~.
.1‘. .:a
vers tous les sites, exception faite des témoins (par exemple NK 3OC) rejoint à
peine la demi-tonne, performance très en dessous des possibilités moyennes du sor-
gho. Ainsi,, ce matétiel est loin de crever le plafond dans nos sites et de nous
permettre de résoudre le déficit cérgalier. La voie est encore ouverte pour du
materiel plus performant et plus stable.

12
$bleau
4
: Analyse de la rcgression coii2bin&f3
-us --
Source de Variation
!
d. L,
?
Ccq-&,kyyen
Génotypes
24
483r7WC
Bnvironnements
2
2 TO-i,1
Gktotypes g XnvircmnemnUs
48
Hetérogénéité entre r6grcssion
24
201,01**
Convergence
1
3 928,i **
lion Convergence
23
122,5
Résiduel
24
71,3
Erreur Cumulée
150
65,l

13
Tableau 5 : Paru~&res de stabilité
I Idantificntioti!
..<l.-.e..&--I-
hmbey ! LNioro 0 Sefa
!Moyenne ! rang 1 bi
!Sd2 x 103
33
413
625
375
1 5
0,lO
144,3*
481
750
516
582
9
044
O,?
644
1 750
625
1 006
4
186
091
452
1 563
250
755
5
2,12
19,2 .;'
313
657
547
506
1 2
0,4o
27,6
265
I 282
297
615
7
1,76
0,6
38
219
235
181
21
0,lO
10, Q+$
102
375
7 9
185
2 0
0,5o
0,2
117
GB2
328
376
14
0,31
2‘2,7
0
769
281
350
16
1,lO
4or4
0
532
172
235
19
0,79
1512
0
1 219
547
589
3
1,G.G
152,2
0
250
0
3 3
25
0,44
090
440
6%
188
439
1 3
0,6G
31,3
906
450
360
572
10
o,32
l49,5
5 0
269
219
179
22
0124
14,4
131
500
282
321
17
o,47
512
111
519
329
320
1 3
0,52
24,1
757
1 407
I 266
1 143
3
o,69
130,5*-
1 032
2 250
I 063
1 448
2
2,ll
0,7
260
1 232
0
514
Il
2,03
32,3 *
324
I 126
0
650
6
1,26
336,6
'174
6 3
141
126
23
0117
0,G
7 0
119
0
95
24
o,15
294
1 143
3 563
7 9
1 595
1
5119
550;7
304,71
895,~
401,33
52996
+$
= Significztif L 5s
hi = Coéfficient de rcgrcssion
cd;; ct = Déviation 5 lc r&rcssion

CONCLUS1O.X GXikSN,ZII
La imjeur partie du matériel v$@al
stest révélé par le cycle et la
hauteur,
inadaptées b, nos coilditions 5vc~lc,iiq!~~s f surtout 7a zone Co.:ltrc Nord,
-Ce materiel en plus de Son inadaptation, s’éloignait de beaucoup de no-.
trz &d<o,i; i-e gui ,,p: ‘: 1 ‘accent üur la qualité de la graine a so,voir absence de
c o u c h e brune 9 absence d 7enthocye,ne, graine propro ,,
-Les rendements obten@ sont trop faibles pour qu’ils puissert interesser,
Si le prix de In stabilité est lié à la faiblesue des performances, mi.en vaut
alors les adapt3tions spécifiques très perforin.iitOs.
-11 est demande pour l’annee prochaine de faire une nette distinction
eiltrû
matkriel précoce et matoriel tardjf.
-L’inclusion de nouvelles entrees dans le protocole serait bienvc luea
Sorgho Nord proposerait; CE 145 - 66 - ,fi et CL: 151 - 262 A1 et &orgho *iud propo-
serait 7607456 265 - 2 et 7410 kil.

‘15
il
W M % X Z,
~bservntions co.i~>l+entnires

16
!
!
Nombre de
!
Nolrlbre de
! Poids Panicule
--a 1
I; .
Identification
! poquct/pnrcelle
!panicule/parcelle I en grs/parcelle
!
!
1
1
Dobonyo
21
20
,450
1; 35 - 1
77
134
2 767
VS 702
81
179
3 157
s 13
7 5
129
2 117
Kcmgomsoba
70
112
1 ,450
s 10
39
71
I 283
s 29
3-l
47
,483
s7
29
47
,517
S8
46
49
1583
Gnofing
0
0
0
Frikan
0
0
0
%&dézotiré
4
0
0
271
0
0
0
SI1 11 - Dl
79
131
2 433
Gadirzba
8.5
155
4 ,350
SH 1 - D3
12
21
i-33
SH 2 - D2
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5 7
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