Abdou NDIAYE (Sélectionneur) Programe Maïs...
Abdou NDIAYE
(Sélectionneur)
Programe Maïs pluvi31
I
CTEIJR. C E N T R E SUD
station
N.i OrO
BP : 17
ANNEE : 1988
.- --..
..-.. -._--
--
__..-
-..__ --.-- ..-.-.--- I-
i
/

La Sélection du
ïs au Sénégal :
Introduit en Afrique
le mars est cultivé au Sénécgal
principalement pour le grain
- Le Sénégal Oriental
- le Sine-Saloum
- La Casamance
- Le Fleuve
Le climat se caractérise par un
saison des pluies d'une durée de trois mois
et demi (Sinthiou-Malème,
demi (Séfa en Casamance, 12t36mm)
et d'une saison entièrement sèche.
Les sols sont dans
onsidérée,
essentiellement du type1
ferrugineux tropicaux less
o-sableux dérivé du grès du conti-
nental. Ils se caractérise
tage d'argile et une forte
proportion de sable fin da
Ils sont en général très pauvres
en éléments minéraux.
Les études concernant l'intens
des pluies et leur énergie cinétique
mettent en évidence la très grande ag
sivité du climat dans toute cette zone et
particulièrement en Casamance ; il s'
‘re que l'érosion importante est due, plus
à I'agressivité des pluies qu'à la su
ptibilité des sols à l'érosion.
Le développement de la culture
mals au Sénégal est, soit lié au fait que
le maïs y est une culture ancienne d
le produit figure traditionnellement dans
l'alimentation du monde rural, soit à
que le maïs permet de traverser les périodes
de soudure car pouvant être consomme
trois à quatre semaines avant la
récolte du souna.
Les superficies et la producti
de mals se répartissent assez équitablement
dans les trois principales
al, Sine-Saloum, Casamance) . La
région du Fleuve constitue
iguée ne dépassant 10% du total
national.
L'évolution des surfaces et de
a production tant au niveau national qu'au
niveau régional a connu trois grandes
ériodes
(cf fig. 2 et 2) :

SURFACES ET DE LA
NATiONAL
6
80
70
60
50
40

30
20

20 -
90
10 /
10 -
r
O !Ci71 1
,
8 I

I
,
,
1 ,
1
,
I
fi9
7 1
77
79
81
a3
SE& GAL
TOTAL
ATIONAL
F
Filiere Maïs -

2)
/
a) Une première période de s cheresse (1969 à 1973/73) qui a entrafné la
réduction des
réduction
surfaces et une chute im
des surfaces
ortante
et une chute im
de la production ;
b) Une période de stagnation 1 (courbe en plateau) jusqu'en 1976/77
(courbe en plateau) jusqu'en
liée à
la stabilisation du prix officiel du m~~2s contrairement à celui de l'arachide et
du coton ;

c) Une reprise à partir de 1 78 suite à une évolution de la politique
agricole assignant au maïs un r61e pri cbritaire dans l'objectif d
dans
'autosuffisance
l'objectif d
alimentaire.

3)
A/
Le point sur la sélection :
Pour avoir la production maxim; .e, l'agriculteur doit, certes utiliser les
meilleures techniques culturales, ma; : il doit aussi choisir les meilleures
variétés. Dans une certaine mesure, j doit adapter les unes aux autres. En effet,,
le progrès économique résulte d'une 1 ;ritable dialectique entre la création varié-
tale et les techniques culturales. D
ce chef, l'amélioration des plantes en
général et du mals en particulier esi une entreprise être conçue pour avoir les
progrès les plus importants possible: à court, moyen et long terme, avec la meil-
leure utilisation possible des moyen; (temps, espace, matériel, personnel).
C'est en effet, dans cette perspectir 8, que nous nous proposons de faire le bilan
sur la sélection du maïs au Sénégal E
vue d'un renforcement du programme de
recherche en cours.
1) Historique :
Le matériel végétal à l'époque
Séfa (Jacquet, 1970) pour entreprendre un
programme de sélection peut être claz 'é en trois séries principales de souches :
- des populations locales, E sentiellement casamançaises, qui forment un
ensemble homogène témoignant d'une CE taine orientation, donc sélection des
agriculteurs à partir d'un matériel I gétal introduit vers le XVIIe siècle. Elles
se classent suivant leur précocité (c cle 75 à 90 jours), selon le texture du
grain (type corné à légèrement denté) et enfin selon la couleur du grain (blanc ou
jaune).
- des populations introduite
de zone tropicale : Côte d'ivoire, Dahomey
(Bénin), Mexique.
- des hybrides doubles de zc e tempérée = France, Etats-Unis, Isra& et
des lignées pures sélectionnées dans
Nette mEme zone.
Partant du principe de la relat on hétérosis distance génétique et/ou
géographique, des travaux d'hybridati a furent alors entrepris avec Comme objectif,
l'obtention de variétés à fort potent el de rendement en réponse des techniques
culturales appropriées (labour et fun 're forte) ; à cycle semis maturité de l'ordre
de 90 jours, ayant une bonne résistar fe à la verse, une taille moyenne de l'ordre
de 2 à 2,20m pour la hauteur totale E
1 à 1,20m pour la hauteur d'insertion de
l'épi et enfin un grain vitreux et ur
bonne couverture de l'épi.
Cette nouvelle orientation a vL paraftre la formule canevas choisie qui fut
celle de l'hubride complexe résultat
"un crc.isement entre des lignées pures de
la zone tempérée et une population lc 'ale.

4)
Les hybrides doubles étrangers, bien que répondant aux objectifs de sélection
(hauteur faible de plant et d'épi, r
dement élevé) ne possédaient que rarement
les qualités de grain désirées suite
la restriction de leur base génétique
ayant limite leur plasticité au mili
C'est ainsi qu'au regard des c
idérations précitées, le choix de la .formule
variétale fut tourné sur la catégori
"Hybrides entres lignées pures étrangères
et population locale" aboutissant à
création de l'hybride complexe :
(A x B) x (C x
x population locale.
des lignées pures.
Il s'en est suivi une nouvelle
"hybride simple x population locale"
à partir d'une extraction de lignées
ur les populations locales suivie de tests
d'aptitude à la combinaison.
Cette sélection a vu la créati
de deux hybrides complexes en l'occurence
B D S III (Blanche de Séfa) et J D S
aune de Séfa).
II) Evolution
Le succès en vulgarisation de
ybride complexe BDS III ainsi que la créa-
tion d'un service semencier national
ustifiant la continuation de l'effort
entrepris, on s'est orienté à partir
e 1972 vers un schéma de sélection récurrente
reciproque (S R R) (schéma 3) pour 1'
titude à la combinaison entre deux composites
créés de telle sorte que l'effet d'h
osis soit, au départ, le meilleur possible.
Le choix du schèma a été basé
lusieurs considérations :
- a) la facilité de créati
deux composites complémentaires en
utilisant les résultats
reux tests d'aptitude à la combinaison
entre variétés introduit
opulations locales ;
-b ) l'intérêt de disposer a
départ, dans chaque composite d'une varia-
bilité génétique important<? conditionnant l'efficacité du schéma et
surtout sa "durée de vie".
- c) la possibilité de fournir rapidement à la vulgarisation des formules
hybrides non fixées du type (lignée Sl x lignée Sl) ou lignée S2x ligniie
5.2)’
le faible niveau d'ho ozygotie assurant une bonne vigueur
des parents.
- c) la possibilité d'une
parallèle des composites de départ
(sélection récurrente par
est de lignées S1 sur composite
local en
particulier).

SCHEMA DE SELECTION RE
ENTE RECIPROQUE FCU)UR
t APTITUDE A LA COI BINAISON
SCHEMC
Composite B
d e depart
L igrhs
F a b r i c a t i o n
Combinaison!
i
S, (A) x S
Lig&es S
0
1
Test multilof
Combinaisons S,
\\
1
Recomb inaisc
jes 1 ignées
Développeml
de fo mule
Recombinaison des lignees
S, e n t r a n t d a n s les
S2 IA) x
(B!
S, e n t r a n t d a n s l e s meilleures
meilleures combinaisons A (R,)
combinaisons 6 (R,)
t
H y b r i d e s
ir
3es
Lig&es S 1
xSoE (R,)
a1 d e s
)xS *d
0
1
./’
./”
Recombinai!
des 1
des 1 ign8es
ignbes
d e fo:nule
//
t
Recombinaison des 1 ign&js
S , e n t r a n t d a n s les meilleures
du type S
combinaisons
S , e n t r a n t d a n s les m e i l l e u r 3s
A (RZ)
Combinaisons B (RZ)

C'est ainsi que le programme
élection fut axé sur les actions suivantes :
- Création d'un composite
1 A à large variabilité génétique. Ce dernier
se composait d'un mélange à part égal
de 6 populations locales représentatives
des maïs locaux.
- Introduction de matériel
gétal et test de son aptitude à la combinai--
son avec le composite local A ;
- Création de composites d
riétés introduites : B1 et B2.
Le composite Bl comprenait huit (8)
ées pures mélangées à partir de 28 hiybrides
simples réalisées entre elles. Après
certain nombre de générations de brassage
seize (16) nouvelles lignées sont aj
Le composite B2 est composé à
'un mélange à part égale de vingt-trois
(23) populations ayant une bonne ap
la combinaison avec les maïs locaux.
A la quatrième génération de mélange, trois (3) nouvelles populations entraient
dans la composite.
Compte tenu des différences entre hy
ides pour la résistance à la verse et a la
taille des plants, c'est le composi
fut choisi comme composite complémen-8
taire.
A l'issue des divers croisement
et tests de descendances S(A) x $ (B) on
a retenu :
1) les quatres meilleures co
inaisons dont les rendements sont signifi-
cativement supérieurs (P=O,Ol) au té
in BDS III. 11 s'agit de A10 x BlO ;
Al 2 x BM2 ; A106 x B106 et enfin
L'exploitation directe du crois
en-t Al0 x B10 a donné naissance à l'hybride
variétal HVB~. (voir tableau II-l).
2) Les trentes meilleures co
inaisons pour reconstituer, à partir des
lignhes parentales, deux composites
s A (RI) et B (RI)
Hybrides retenus pour la sit
: test S2 (A) x SIB
5(Résultats Campagne 1975)
I
ème
!
!--
Qlbrides
---a&
BDS III! Analvse !
! consizituée!
1
1 p 0 dl1 RD~,lJ&
132
;
95 ;
76
;
127
;
*JC
!
!
115
i
95 i
64
j
113
1
**
1
119
i
105 i
65
i
121
i
**
E.
!
63
;
47
!
116
1
105 ;
69
;
123
!
**
!
!
.
! !
!
!

6)
11s serviront de point de départ à un nouveau cycle de sélection récurrente
réciproque pour l'aptitude spécifique
la combinaison.
III)
Créations
La vulgarisation avait proposé
variétés sélectionnées :
- ZMlO : pqpulation 10
le améliorée et vulgarisée depuis 1973.
- BDS III : Hybride CO
lexe dont les caractéristiques ayxonomiques
ont fait que son aire d'utilisation s' st $tendue sur toute la zone climatique
favorable à la culture du maïs.
- JDS : Hybride comple
ayant été créé dans les mêmes conditions
que BDS III.
Au niveau des créatio.ns
récentes
il faut noter trois axes .=
-Création d'hybri es variétaux : HVBI et HVB2, issus de cxoise-
ments interplants des tests
S2 (A) x
1 (B) du schéma de sélection récurrente
réciproque.
-Création de vaxi tés synthètiques et de composites dont JDB
ou Tocumen 7635 du Cimmyt,
C issu de variétés introduites et CP75.,
Entre autres, les variétés-,
du Cimmyt QPMl, QPM2 riches en lysine et
trytophane et les variétés
es de 120 jours EVC Blanc et EVC jaune furent
mises au point.
vert à un mouvement d'introduction
de matériel vé
t l'objet d'essais de comportement
réalisés dans
Ces essais variétaux ont été développé
dans le cadre d'accord de coopération avec
e SAFGRAD, le CILSS, l'INSAH, et
1 'IRA!r,
En somme, la recherche en matièx
de création variétale a connu depuis quel-
ques années beaucoup de problèmes.
a été mal interprété et par la
s composites de travail n'ont pas
étiS conservés.
t de renouvellement, mais sont
fil des ans.
n'ayant pas été reconduites et consex- 1'
faculté germinative quasi-nulle.

7)
Néamoins,
une exploitation in irecte des populations et lignées récupérables
peut ktre entreprise en relation ave
le nécessaire élargissement de la base géné-
,tique dont l'étude de la variabilité
'avère indispensable pour la définiticln de
nouveaux objectifs dans le cadre de
a programmation régionale.
B) Perspectives :
La Nouvelle Politique Agricole vise
atteindre une autosuffisance alimentaire
de 80% en l'an 2000 (actuellement 50
. pour ce faire, les superficies en m;$s
pluvial devraient doubler,
ction tripler grtice à un accroissement
moyen des rendements de 50%
7/ha). Ces objectifs, ambitieux en terme de
production, mais réalistes en terme
e rendement espéré, constituent le cadre dans
lequel la recherche doit intervenir.
- Problématique :
La première question qui se
e au sélectionneur concerne le niveau de
rendement espéré en milieu réel car
1 ne peut espérer, du moins pour le mai's,
proposer une variété passe-partout.
Pour une agriculture peu intensive
dement inférieur ou égal a 20q/ha, il.
convient de minimiser les risques, e
privilégiant les facteurs de rusticitii et
de régularité du rendement,
triment des potentialités. Un paysan
pratiquant une agriculture p
ve (rendement espéré de 20 à 40q/ha
souhaitera à la fois cour.ir peu de
ques par un certain contrdle du milieu et
voir ses efforts récompensés : la
larité du rendement reste importante mais
les potentialités doivent être plus
evées. Enfin, en agricuJture intensive,
i:'importance des dépenses engagées
ose des rendements élevés (50q/ha), le
cont:rBle du milieu permettant de li
er les risques : l'aspect potentialité deviel ît
primordial.
En terme de sélection,
liera surtout sur des variétés locales pour
des rendements jusqu'à 20q/ha
sur des variétés à pollinisation libre
fortement sélectionnées (cible 2)‘
cours aux hybrides ne se justifiant qu'en
culture réellement intensive (
La seconde question concerne
a précocité. On sait que les plus forts rende-
ments sont obtenus avec des va
dives mais des contraintes climatiques,
agronomiques ou sociales imposent so
nt des cycles plus courts.
La réponse à ces deux questio
permet de définir les caractéristiques des
variétés à créer. Evidemment, cette
finition
doit être le fait d'intervenants
nombreux : le Gouvernement pour le t
e d'agriculture visé et les régions de
développement, le Développemen
conditions de culture, contraintes liées au
système et enfin les disciplin
la connaissance du milieu physique ou
huma:in (climatologie, pédologi
onomie, agronomie, pathologie et
entomologie...).

8)
le sélectionneur intégrant les divers
léments pour définir la variété,
Dans /e cas du Sénégal, la priorité va
comme les sociétés de développement l'ont
perçu / 2 la recherche de vari& pour
a cible 2, précoces à intermédiaires, à
grain corné blanc ou jaune. La grille
riétale peut donc être présentée comme suit :
!
LIUlt: 1
CL’ /3
ZM 10
!
!
I
!
! ( 20p/ha) !
!
Tiémantie !
?
!
!
!
!
!
!
!
!
!
-1
!
!
!
Synth c
!
!
! Cible 2
!
?
!
J D B
!
?
!
! ( 20-40p/ha)
!
!
!
!
! Cible 3
!
I
! (
J UP/
'"-/ha)
!
!

9)
Travaux d'Arklioration Variétale :
La priorité doit être donnée aux
echerches de variétés à pollinisation libre,,
de précocité inte
étant donné que le Plan Céréalier
prévoit qu'un pourcentage non négligea
e (20%) des planteurs sera encore, en l'an
2000, au niveau FO, soit un rendement
ne peut faire l'impasse sur
rioritaire,
d'autant que ce volet
sera développé sur le fleuve, pour le
ai's irrigué et que l'on peut raisonnablement
espérer des retombées en pluvial.
Vu toutes ces considérations et; tant entendu que tout Programme d'Amélioration
traduction ; évaluation du
matériel rassemblé ; amélioration et/o
création variétale), le Programme de
recherche se doit de :
ns adaptées à nos conditions
pédoclimatiques,
en l'occurence les p
ulations locales ;
- se donner les moyens d'ét
e et de conservation de cette variabilité ;
t d'utilisation de cette variabi-
lité en sélection ;
sation de plasmes germinatifs
Ce programme de redynamisation e de renforcement du patrimoine génétique
se présente comme suit : Voir tableau.
1) Source de variabilité
tions exotiques
- Etude en valeur
ropre des populations adaptées
- Etude des valeu
au combinaison :
ction massale puis par sélection
LIAISONS :
dence, rester replié sur lui-
les plus v&ites :
- au Sénégal m&me
ans la filière maïs
x de sélection de maïs.

TABLEAU. 1.2.3 : PROJET
REDYNAMISATiON ET DE REN
ERCHE SUR
. Prospectio
de populations locales
Sortles
;- P.
Populations “bri.-
1”
*
Etude en valeur du
Format i or (1~ “poola
( p a r precocitk e t
Pools non s6lectionn8
grands groupes de c
?
En!rbe de nat&riei
rtl~s s&ection
Ame1 ioration par
ection recurrente ?i
f a i b l e intens ite de selection
croisement Prkcoces
x Tardifs
I
Pools faiblement
Pool8 Kénéraux
st3 1-t ionr&s
P o o l s sp6!cializ3&
0 ’ thématiques
on
L ignks hybr ides
Fabrlca i o n d e lignérs

10)
- les liaisons avec le Pro
ame maïs irrigué
- les liaisons avec les E
es systèmes de I'ISRA et les cellules
Recherche
-Développement des SDR et ce
mettre sur pied un véritable réseau
d'évaluation.
Cette démarche implique une
cipation à tous les niveaux de plusieurs
intervenants et débouche, à partir d'un
seau national d'évaluation, sur une
,poss.ibilité de choix variétal par les pa
ans eux-mêmes pour une situation donntie.
CONCLUSION :
Somme toute, un tel projet néc$ssitera des moyens importants et une action
commune de recherche pourrait permettre sa réalisation de telle sorte qu'il conduise
à une meilleure utilisation possible des moyens (temps, espace, matériel et personnel...)
Enfin, la bonne compréhension
t le soutien sans réserver aucune de toutes
ces recommandations feront du programme
e sélection un maillon très important dans
la recherche de l'autosuffisance aliment ire.
t
BIBLIOGRAPHIE
l- DUROVRAY, J : 1'Amélioration
ariétale du maïs au Sénégal,
Agr,on. Trop. 1 76, N03,
2- Historique de la sélection d maïs au Sénégal,
i
Annonyme.
3- JACqUOT, M : 1970, Améliorat
n variétale du maïs en Casamance
(Sénégal), Agron
4- ARIEL, Yung, 1985 : La Filiè
5- NDIAYE, Abdou : La sélection
u maïs au Sénégal et étude de la
variabilité
nétique des populations.