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f
Effet du Stress hydrique sur 2 stz&s du cple,
l
c
chez di.ffGrentes variétés de mil
b -
I
par Fatoumata DIOP
:
Réunion de rtifl6xion sur l'amélioration des mil GGliens
(!?Sri?a - 1-6 Février 1981)
Février 1981
Centre National de la RecUche Agronlxxkp&
de liA&B!iY*
.
INSTITUT SEXXALAIS DE RXCHXRCXES LUZtXQ~
(1s S. R. A.)

L’irrigation a été interrompu SOUS dix variétés de mil au stade montaison,
épiaison, et de durée variable d’une part, et à partir de la floraison d Cw*~o part,
pour évaluer l’impaflt du stress survenant à ces 2 stades du cycle. La plupart des varié-
se sont montrées aussi sensibes ,vis à vis du premier que du deuxième cas*
Un dhcallage dans la. dur4e des phases a été noté chez certaines Var:iétés. Quand
les conditions hydriques normales sont rétablies, une reprise a permis .une deuxike
récolte, d’importance variable selon les variétés.
Des mesures de potentiel hydrique des feuilles et de résis.%a::ce stomatiques
ont été faites dans le but de classorles varié-tes en fonction de la regulation de 03s
paramètres au cours d’un Stress, Les résultats exposés n’ont pus éte l’objet de discus-
sion, mais des études et investig?Stions
plus poussées sont en cours,
Le mil Penn.isetum est cultive ùsns des zones où le facteur hydrique est sou-
vent liktant, ce qui lui confère des qualités apparentes de tolérance à la sécheresse.
Afin de mieux adapter le cycle de la plante aux conditions climatiques, une
étude avait éti faite, indiquant un seuil de succès pour la culture des mils dans des
zones de pluviométries différentes.
Hais la répartition des pluies peut
wcir
des conséquences préjudiciables
sur le rendement. Dans l’optique de l’augmentation et de la regularisation du rendemenj,
il s’est avêrë necessaire de connaître lfimpdct du Stress survenant à CIAfférentes pha-
ses du cycle. La réponse des plantes peut différer selon la période et la durée du man-
que d’eau, et selon leur capa.cité d’adaptation. Cette capacité d’adapt&ion Peut &tre
due à différents facteurs dont :
- une bonne exploitation des disponibilit& hydriques,
- une capacit,é de reprise intense quand les conditions hydriques satisfaisantes
sont rétablies.
La connaissance de ces facteurs, devraient permettre une meilleure adaptation
de la biologie de la plante a.ux conditions pluviométriques, là où elles sont mieux
connues .
1Jeanmoins,
il serait utile de mener des études prospectives, pour une meil-
leuro connaissanae de la regulation biologique de la plante,
/
.0.,
.*.

-2-
Au cours de nos travaux, nous aven s essayé de déterminer d,es phases
scnsiblcs au stress, les formes d.'nd:zptation et leurs impacts sur le rend3rnent.
Le dotient que nous présentons est une partie d'un ensemble d'essai
dont certains aspects non communiqués ou analysés ici restent à mieux cerner.
III. YiA'IYZXELS VI' iZWHOI%3
L'essai a étiS mené on saison sèche. Dix varietés ont Me utilisées. et
le semis décalé afin d'imposer le stress au même stade de d6veloppwoaf des
plantes.
L'irrigation 5 'Gté optimale pour les plantes de contrôle, jusqu.'ZL la
maturité. Pour le stress 2 sta$w ont été testés.:
du stade précoce entr e la montaison et la floraison, l'irrigation a
été interrompue pondant 17 jour s sur un lot et 27 jours sur un <autre.;
au stade final c,n.d, à partir de la floraison, l'iirigation a et& in-
terrompue pendant 24 jours.
Pour le prenicr stado, deux récoltes ont été prévues. ïh effet, lors
d'essais préliminkres on pot, on avait constaté une l&ère repriso chez ocr-
t&ings variétes. IYJis le stress trop sévère n'avait permis dtq,T)l?rQitir
,l'i:p;jrct
sur lc rcndement~ en graineso. Aussi avanet,;lo rdtablissement du r&
gime kydriqlue normal, 1~:; tr;lli~s à i;li,tur;ite avuientt/no~~des 3.1; marquées. Ceci
donn&t la pro;--ièrc rkolte, La deuxième: o 4% evaluée sur les talles ayant
repris et les talles axillaires des pkntes qui en produisaient.
Les mesurss d'humidité ont éte faites sur tous les 10 cm juscpl"P A60 cm,
tous les 10 jours et ceci avant, pendant et aprës le stress,
Les mesures biooetriques
Otaiant effectuées en m&w temps qu:? 13s mc-
sures hydriques,
les corApt;agos de talles et d'épis 3 fois par semaine et les
observalions phénologiques tous les jours jusqu'à 75 $ du stade,
Pour un promimer essai de classification des varkétés selon dos para-
nétres physiologiques d'zs mes:mrcs de potentiel hydriquc et de résistance sto-
matiyue étaient effectu4es à i? heures et 5. 16 heures tout au long du stress et
quelques jours aprés le rétablisscrwnt du réginc hydricrue normal.
faites
Les mesures ont kt$/dc?ns un temps trk court pour éviter de fnxtos va-
riations des conditions ambiantes,
.

-3-
IV. XRYTL'ï~~TS :
-
-
1°> - Impact du stress sur diff6rentss stades
D'uno maniere @n k:,lo 1 l? stress 2.u stade prCcoce cornm? :3,lJ final a
beaucoup affecté le rendement, 'mais la rektion des variétés a ét6 différcrnte
Trofe aspects ont étG analyses : les pourcentw>s du rendement global, do la
première et de 1s dcuxiems reçolte des plantes en stress, par rapport au rende-
ment du contrôle. Les deu;: derniers aspects, concernent le stress précoce (long
ou modére)
1.1.) Ainsi on a décelé les groupes suivants r
a) Souna III, 3,'4 Eeini Ere (HIC), 3/4 Jk-Dornu ont donné uno récolte
globale équivalente pour 2 stades.
b) l# x 143 NC-C75 - 4 Syn D3 - ICTS 7703 eq;IJ 165 ont un rendement
plus bas au stade précoce,
c) Par contre pour DlJ42 cfui mont-t une certaine perforxonce CU stade
précoce, le rendement a bc~xucoup chuté au stade final,
l,?.) Evaluée en $ par rapport au contrôle, la I&re recoltc donno environ
a $ chez 3/4 Ex-cornu - 3/4 ~OUIT~ - m42.
1.3*) Le 3è frtcteur ;a etc considére comme cnpncité de reprise.
a ) On a &,lué aussi chez 144 x 142 et ma42 une 2ème récolte supéri-
eure a la prx!iéro ;
b) Chez 3/4 Xx-%rnu - 3/4 Sounn "- 3/4 Ecini J'Ziro, elle vario entre
50 $ et 80$ et chez 1i 165 - 4 Syn II3 - UC-C75, elle donne jusru'& 50 $,,
c) ICSIS 7703 no donne pratiquemont pas do roprisc et le Souna III donne
une seule rccolte.
1.4.) D'une manière gén&%lc le stress modéré a entrniné ;zusci unc baisse
de rendement mais 144 x 142
4 Syn D3 et ICKS 7703 ont donné un rendement supU-
rieur <au stress s:?vère. Pour les autres, la différence est d'environ 6 $
2O) Croissance et développe@6pt :
2.1,) Croiswnce pondérale :
L'évolution do la matière seche totale roflette l'effet du rcii&.;c hy-
drique sur 1:r croissance pondérale, les autres facteurs élxont négli.gés (nutri-
tion r,:inérale, éclairement). Ceci se reflette aussi sur les dimensions des ts!.les
et epis.

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.

5
Pzr contre, l'évolution de l'indice folizire a montré des phases dle stqmtion
OU dr: chute ~111s impoAmtes, pcil- ce?ot::ines v:triétés (kws soit à In sennscence
des feuillc.s,
soit & nn r:~.lentissctnent du dévclop~cmnl; des feuilles. l'J1maiync
2.d ces observations,
m liaimn avec 1'iri;pzct k5vcntu91 sur lc! rendement, scri‘
f:,itc, sur 1 ~ensemSlc des donn5eo des diffërcntes sériez; expérinentsles
2.2. Stress et @&ologie :
- - -
L--
Outre unc b:,issc do production de rmti&c sèche on 2 rcmrqulS un d&z-
lzge de phases cha ccrt:..incs variét Cs (tzblem no 1 ) ~;lobrzlcmcnt, O;i-t,re In mm-
t;:ison et liz florv,iaon,
certaines varié-tés ont rallongr5 lmr cycle, Ainsi, si
dans 1~s conditions d'alimentation hydrique mtisf~ismtes, ce stade z dur6 21,
24 ct 19 jours pour 3/4 Eeini Ere, Souna III et 14.4 x 142 en condition da stress.
il a duré 31, 39 et 29 jours respectivement peur les vmiBt& citks. Lo Jécoup3gc
de ce stndc en Ph:ase contzison &piaison, ct épiTison floraison, montre qur chuz
io Souna III et l'hybride 144 I 142 le rallongement SC produit dès le début, tan-
dis qus chez 3,/4 RE, c'est vers la fin coaod. entre 1'rSpinison et 1s floraison,
Peur lc ntrcss prfkoco, le dfcsalage atteint environ une smainc chez
lc Scum III 9t $0 IX.
3O> c onsomstion en eau :
r--
3.1 *) 1,~s profils hy:!riquc2s ont éti suivis sous I;outes les %tri&tés en con-
trôle come 5n stress,
Pour la plus part (les vmiëtk, à partir do 5)O cm les profils se recou-
pent souvent 5, diîf6ronts yliv:Iaux. Ltassèchment eet net sur les 100 cm pow
toutes las vari&&;. A La 'coco 160 CU, on a eu dc faibles variations du txux d'hu-
rnidité (0,45 à 2 $2) entïi: 1~ 2l/3 et 21/4 (tablom no :,). Ceci nov.:3 Û per.As do
ccnsidércr cette cote comc ccl15 06 les I-.ouvernents d'wu vdrs les profon&urs
citnient négligeables, Dt:~utr;f pmt des ëtudes ant&?.mres avzient montré qu'en
hiv3rmge lo
fFont racirmirc
YI(? dGpcssni+,
pas 140-150 ctz à, ce stade. Ceci
simplifiait ainsi les cclculs.
Sous lea mils en bonne alinentation hydrique les variations &tai.ent
nézinzoins inportmtes. Ainsi les calctils de l'E% n'ont; G-1;;; possibles par notre
nétbodv que pour lna Inils sous stress6 Les dGficiAs hydriques ont été 15vnlu6s par
rapport-à 1 'XT- estimé à partir Wù donn&s cljml;,t iques (63.mpotrmopiration bw) de 1~'s pÊ-
riodo, c-t des coefficients 'cultumux des plmtes. Sur cette baso a été czlcul:5
l.! /! de rcnfie,tlent ;L lW% pcr rapport à celui des plznUes irriguées à :L'?T. esti-
L& (contrôle).

Les résultats sont ccnsign&s au tablwn no 2
3 .2, td0Y.s r-Vans tWlt5 fi'GVdu?Y 1.r particip~~lion dos tr(anchcs do sol a la
consommation un cnu. Les tranches se situaient entre &5C?, 50-100, IIO--l60 cm
(tableau no 3)
La variatioh du stock d'eau est cxprim6e en $ par rapport 6. oelui dc
l'initii~l;~l4rrêt irri~tio11)~~~~~~r~~che
C-50, les perte:;
_
sont importantas, al-
lant jusqu'à W $ du stock initial,
Pour la trnnche 50-100, les pertes sont très intenses sous 3,/4 Somz,
#L$ IZeini Kirê (jusw'a 60 $> moyennes sous 14 x i42 I 3/4 TX-3orrm (42 s) e-t
faibles sous 4 Syn 93 (5 $). Pour la dernière trzuche, les pertes ont Q-t6 plus
importantes
sous 3/4 Sounn, Grrtout, Far contre certaines variétés comme Souns III
semblent avoir b6neficié d'apport d'eau des couches superieures,
IV. DISCUSSIONS t
--II_
4J0/
9
Stade
IIy
precoce, stadd final :
Le st::de finai semble avoir reins souffert du stress0 Ceci peut
w,;:bler paradoxale wr souvent dans les conditi:;ns hivernales, le stade final est
très d6tarminant.
Cepe...dznt, il faut souligmr diaprès les profils hydricpes des
parcelles de contrôle, lez plantes arrivées à ce stade dèvaient avoir uui'fissm-
izoht de réserves hydric;ws d*s:ztant que le d6veloppeI;lent raoinaire devait per-
mettre d'atteindra les couches profondes du sol. Xotw essai a etd régulieroment
irrigué à l'optimisme avm.t la mise ep stress de la phase finale.
D'autre part, la sé&eresse semble d'autant P:_US marquer le d&eloppe-
ment d'un organe, que cet organe se situe dans sa phase actiw de croissance et
-;LE cette phase est cou.rtc.
C'est le cas de la floraison. Il faut souligner à cet
effet que les vari6tBs pr&occs, sont entrt%s dans la phase reprodactive avant
la fin du stress, Ce qui a dû. sêverement affecter le stade de la floraison et fé-
condation; Ceci expliqucrclit 1 !avantage des vari&& qui retardent leur phase
reyroductive,
Ainsi le SOLIN III et ICEZL, bien qufaccusrmt presque le même défi-
oit hydrique (29,1$ ct 28,'$) se classent diffëremile..~t quant à la chute de rende-
ment par rapport à lfoy,tinrum. Quand le stress est plus court, FI&A~ d'une semaine,
I w
40 fait partie de ceux dont le rendement a augmenté par rapport au stress long,
ceci amène à faire la distinction entri: .$n~i;.~~~:V~ et duree de stres::. Xais nous
soulignerons que 1'6tat de s structures de fc;brication de graines joue 'un r81e
determinant sur le dévelo~~eme.1-C dos structures de stok:kago,
Le rondement dépend
aussi bien de la poteAialit6 des productions c'est-à-dire des ébauches florales
et dont la,formation e,;-i; très brève, qUC 13~ Conditions de r6aliSatioiî. do Cette
potcntiolite.
e.. /
000

11 est gossiblc que ce stade ait Ste moins affecté, cap wc~nt que le strass ne
sévisse le procossIls est déjk trnni.nG c~cst-à-dire 1:: @riode critique dépassée,
La phase de rcq>lissage de graines dt!$endeit cortaine.;1e::? dcns le odrc 'de notre
expérience davant*go de l'état des feuil)es de la capacit& des racines B utili-
ser au rï?ximum
,Y
, les resorves hydriques du sol.
4.2. - L'assèchement est net sur les 100 prwicrs cms, cbte B psrtir do
lL:quelle, les v<ri.tions d'un horizon à un autre sont faiùics, même aprè:s 1~
réirrigation, Les 2rojcts se rocou;:erkt avec celui du 21/.3$ veille de 1'wrVt de
l'irrigùtion (fig. 1 a >*
On note nknmoins pour Souna III et DN42, 4 s;pn";h. D3, g, $ x - %rnu,
2pres réirrig:tion, un. 7 lus intense assèchtiniwt 2 partir de llh&izon 6Ocm, qutw
rmmcnt du stress. Lo profil racinaire n'ayant pas été swvi, il serzit hasardeux
de lier ces observations à une reprise intensive de l'ac-:;ivitG rscinaire, Nikn-
moins ce point reste à élucidas.11 ep ost de même pour la participation dos dif-
ferontes couchas du sol.
-
Nous avons limités dans nos investigations, cotte methode qui a pcr,,!:~~
do détsrminer lcü pcrtcs globales en eau duos à la -transpiratI -n des pl~antcs et
ll&sporC:$ion du sol. T;ais elle nc fournit pas de ronseignoI~:~nts sur les mouvc-
monts r&ls de lleau et la participation dos racines à 1"épuiscment du stock
hydrique.
11 ressort des resultF>ts que le stress prolonge peut e"tre tres défavo-
rablo du rendwcnt, Rcsti: né~anmoins i, élucider les différents stades de ILa pha-
SC! rcproductivc, Ltétudc portera sur les phases :
- de la florCson et la fecondation, période pendant laquelle se forme
potentiello,nent le rcndwmcnt,
- du re.:glissa,+ des graines, période pendedIt lr.quollc se réalise 4~
potentiel,
- de la ms:turation. Il sagira do (
déterminer le durée maximale du
stress que peut subir chacune d'elles.
Les évolutions des profils hydriques ont perrks dtévc,luer les pertes
en eau du sol provoquées simultanément par l'évaporation du sol et la transpi-
ration des plantes, Elois cela ne permet pas d'evelp)r lu ccnoom~,::ti~sn reellr
de la plante. Nous envisageons une etude permettant d!&c?,lucr la capacit4 d'ex-
traction de l'eau de chaque plante, qui servira aussi de cri+éro de Scrocning,
/
.eo

.*.

Ces études devront Ctre iIienGe;I wec une etude de l'enraciona~;lont, -Elles devront
aussi Elucider la question de savoir Sri.1 y a une corrGla*;ion C?ïltK! la longueur
et le dynamique de llenrxi~emento Ly:wzploitaticn matio~lo des ressources on eau
iapliquc aussi un enracinement prkoce. Ce travail est eï1 cours sur les stades
de l'installation de la plantule.
5.1. - Les etudos sur les sensibilit& des stomatus seroilt affinées afin
do se servir de méthode de screcning. En effet on trouve de nombreuses don&es
sur la reaction des $ornn,tus lorsque 10 d6ficit hydrique s'installe dans les plan-
to~~(%rger 1976), T-ancr 2nd Al (1969) cfc.,, Dans le schtsmas classique de la cir-
culation de l'eau entre le sol et lfatz:osphèrc a travers ILL plante, les s-tomates
jouent un r8le im:ortctit d.:!ns la r&@.stion des pertes en eau par leur jeu
drouvcrture-fermeturc,
Cec;i peut donc servir d'indico, de l'état hydriquo des plxt-
tes, bien que d'autres fxtcurs intcrvienne,ît sur cette r6gulation.
Ltaffinemet~t de notre mithodologie devrait permettre de dégager un moyen
de screening, c?ar elle fait intervenir deux paramètres C~I:L jouent un rôle essentiel
d:ans lc régulation du statutde Ireau dLans la plante, Ceci est l'objet de trxsux
en cours.
c0uIxus10w :
L'étude menee pour une meilleure connaissance de la toleranoo du mil
vis-&-vis du ctress, a so&ré differenixs formes de tolèrznce chez diffkxntes
vn,Fiét&~.
Le stade entra la mont;ison jusqu'a la floraison est très sensible au
stress hydrique. La phase -terGnale de se stade peut Etre même critique, Les va-
riét& qui arrivent 2 raloiztir leur cro$ssance et rullongz lr: durée de ce stade
ont plus d'aptitude & 6vit.x le stress à la période critique.
Pour certaines vzriétés, une prolifération de tiges tardives rapide après
un stress permet la oompensation des pertes subies par le:; ta.lles primaires. Cette
production atteint jusqutà, 205 de oelle des plantes pouss=nt en conditions hydri-
qucs setisfaisontes,

9
Tableau no 1
Vsriation durée di- phase en fonction ~du traitement
(cn nbre dt j)
Phase c y c l e
!
:
M - E
!
E - F
:
:
:
!
3/4 HK
!
15
:
14
:
21
!
8
:
17
1
10
!
:
:
!
:
:
3/4 ExB
!
13
:
13
:
22
!
8
:
8
:
10
!
:
:
!
:
:
3/4 Souris
!
13
:
16
:
15
!
8
.
9
:
7
!
.
:
!
:
:
s I I I
!
18
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25
:
19
!
6
:
14
:
r
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:
:
!
:
.
.
bl 165
!
10
:
9
:
8
!
9
:
10
:
‘3
!
.
:
!
:
:
ICMS 7703
!
8
;
12
:
9
!
7
:
7
:
7
!
:
:
!
:
:
Qv! 42
!
12
:
15
:
16
!
9
:
3
:
8
1
:
:
!
:
:
vGc75
!
12
:
11
:
13
!
8
:
9
:
8
!
:
:
!
:
.
*
4 Synt D3
!
10
:
12
:
14
!
7
:
8
1
:
6
:
..
!
.
.
:
i44 x 142
11
:
23
:
17
!
8
:
6
:
7
:
:
!
:
:
:
:
!
:
:
1
Contrôle
2
Stress précoce 27 j sans irriqation
3
Stress précoce 15 j sîns irrignticn
M
50 % montaison
E
50 % épiâison
F
50 % fl3rsison

10
. . __._ _” ___._“: ____ -.-._:~--.~.
:
:
:
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e
.
.
:
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:
:
YJYl global :
:
:
:
:
:
:
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:
:
sstimé
:316,13 :255,07 :316,1.3 :255,07 :255,07 :255,@7 :255,iJ7 :316,13 :310,13 :316,13
*
.
:
:
:
:
.
:
:
.
.
.
:
-
-
-
-
ETR global :
:
:
.
.
:
SVFilUé
:109,97 i- 06 0
/?, 8 i154,22 i 92,19 : 76,98 :113,71 : 73,:29 :121,98 i 92,06 :124,95
:
.
.
:
:
:
:
.
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:
:
-
-
Déficit
:
:
.
.
:
:
:
:
hydrique
: 34,8
: 37,7
: 4t3,E3 :
: 0:
: 33,6 : 29,l : 3??5
?
?
? ? ? ?
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Rendement :
:
:
:
:
:
:
:
E
:
d?lns les :
:
:
:
:
.
.
.
.
:
:
:
conditions : 4 , 3 3 3 :5,666 :4,51l :3,366 :4,711 :5,088 :4,500 : 5 , 6 2 2 : 3 , 4 9 6 :4,444
proches de :
:
:
:
:
:
:
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:
d
.
1’ETM
(t/ha)
:
:
:
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:
:
:
-
-
-
-
Rendement à :
:
:
:
:
:
.
.
:
1’ETR (t/hô) 17522 :2,099
:2,077 :1,045 :0,860 :2,911 :0,615 Il,776
:1,172
IO,915
:
:
:
:
:
:
:
:
:
.
-
-
.
‘%
Rdt-: : : --
:
:
.
,
.
.
:
:
:
:
à l’ETR:Total:35,1
: 37,O :46,C
: 3 1 , 0 :18,3
:57,2
:13,7
:31,6
:33,5
:20,6
plr rap:
:
:
:
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.
.
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:
Tab, no 2
Déficit hydriqua et baisse de rendement; chez des varistés soumisos
à un stress firécosse long.
, . .

11
Tsb. no 3
Variation du stock d’eau à différent;-s&p A~F snl, cnllc,
.
plusieurs variétés de mil soumises au stress hydri3.
(En FA par rapport au s&ock initial)
: wc-
:3 Synt : DN
: ICGSX i 3/4
:Sauna : XI 165
:Sauna : C 7 5
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: 7703 : HK
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: 78,53 : 73
: 81,16 : 77,15 : 74,5 : 65,Ei : 70,5
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: 5,2 : 38
: 32,85 : 68,23 : 28,68 : 3,7
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Tab. 4
Evolution Indice fo .iaire en fonction des traitements
Surface foliaire d’l !slante
Surface occupée par 1 planta
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.
Contrale
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:
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10/4.
:
2114
:
515
:
Parc 1 B 10
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irrigation perma-
! 3/4 HK : 3,847
: 1,706
: 3,381
: :2, 165
*
I 3,316
:
rien te
! 3/4 ExB : Q,571
: 0,909
: 2,409
: 1,475
3,919
:
! 3/4 Souna 0,468
: 1,045
: 1,731
: 3,836
: 3,146
:
! hi 165
: 0,766
: 2,428
: 1,734
: 3,131
: 3,407
:
!Sauna I I I : O,hOT
: 1,433
: 2,078
: :2,010
: 2,574
.
.
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ICMS
F, 0,627
: 1,24Li
: 1,347
: 3,831
: 1,165
.
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!144x142 : 0 , 3 7 0
: 1,323
: 1,698
: 1,121
: 2,108
.
.
! DM 42
:: 0,220
: 0,8CS
: 1,173
: 1,139
: 1,434
:
!wCCx75
D 0,255
: 1,240
: 1,267
: 1,202
: 0,987
:
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: 2,001
: 1,547
: 1,481
: 2,311:
:
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: 1,825
: 1,867
: 3,273
: 2,967
:
793
Stress 27 jours
!3/4 EXQ. z -
: 1,254
: 1,467
:
.
: 2,300
: 2,169
590
sans irrigation
! 3/4 Souna’:
a) -
: 2,0%
.
: 2,695
: 2,780
.
.
1,s
!Pd 165
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: 1,654
: 1,267
: 0,901
: 1,215
:
0,6
!Sauna I I I : ? -
: 0,358
: 1,681
: 2,768
: G,820
l,‘?
0
:
! ICMS : 0 -
: 0,5Y,
: 0,181
: 0,465
: 0,926
:
292
! l&ix 142
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: 1,170
: O,G73
: 1,4x
: 3,624
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: 1,534
: 2,029
: 2,028
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: 0,631
: l,E93
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: 2,109
2,5
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!GSynt.D3 :
-
: 1,103
: 1,631:
: 0,639
: 1,761
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Stress 17 jours
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: 2,110
: 2,933
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sîns irrigstion
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: 1,986
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: 1,872
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4.

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PROGRAMME DE _PHYSIOLOGIE DU MIL
I- INTRODUCTION
L’objectif du programme d8 amelioration des mils est l’augrnen-
tation d e l e u r p r o d u c t i v i t é t o u t e n l e u r a s s u r a n t la rkgularité dos
rendements, Le rendement en graines est le resultat de tous les proces-
sus oui se déroulent au long du cycle de la plante, en somme une inkQgr:T-
le des reactions i n s t a n t a n é e s d e l a p l a n t e a u x f l u c t u a t i o n s d u milit;u
ambiant,
Le developpcment des graines necessitent l?accumulation de
photo-syntats et d ‘élément mine raux dont les sources principales sont
l a p h o t o - s y n t h è s e l a t r a n s l o c a t i o n , Sur les processus primaires de iCBS
phenomènes jouent de nombreux facteurs dont l’eau.
L a t!khe d u selectionneur c o n f r o n t e à d e s p r o b l è m e s d’augmen-
.r’ tation de rendements, dans des zones où le facteur hydrique est souvent
/- ’
a.
l i m i t a n t , p o u r r a i t @tre f a c i l i t é e ) par une meilleure connaissa.nce du
comportement de la plante vis-à-vis du stress hydrique, Le programme
de bbysiologie s ’ i n s è r e a u s s i d a n s le programme général d’amelioration
des mils dont l'objectif principal a eto cité.
II - PROGRAMME DE PHYSIOLOGIE DES MILS
!-es mils succeptibles de satisfaire de tels objectifs devraiL;;Ik:
- a v o i r u n s f o r t e capacite d ‘absorption des elem~nts
mineraux ;
- u n e f o r t e capacite de photocynthèse e t d e t r a n s l o c a t i o n
vers les siles d e f a b r i c a t i o n d e s g r a i n e s ;
- a u t r e s tolerûnts au stress hydrioue.
Dans cet optique le programme comporte :
++ une étude df amelioration hydrioue ;
* une e tude d * amelioration mine raie.
Les modes d’investigation sont multiples tant au niveau do lo
p l a n t e clue d e s t e c h n i q u e s ,
D'une m a n i è r e génÉralo,
i l o s t e n v i s a g é d e c o n d u i r e :
la/- d e s t e s t s d e tolerance à l a s6cheresse e n v u e
d levaluer an maté rie1 tale rant, e n c o l l a b o r a t i o n a v e c l e s selectionnours,
2 O/- des études prospectives pour une meilleure connais-
s a n c e d u phénomene d e l a toloranco au stress hydrique, a f i n d e dotermi-
nor des critères de sélections,
3’/- u n e etudo dtalimentation minBrale e n l i a i s o n a v e c l:j
facteur hydrioue,
4O/- d e s otudes dlarchitecture, e n l i a i s o n a v e c l e s
f a c t e u r s h y d r i q u e s e t 13 rgpartition de l’energie dans le couvert,
Certains aspects de ce progremme sont en cours de r6olisation.
L e t e x t e que I"I 0 U S Cl ré .5X3 n t. n n 5: 12 Q t ,,nn îll,l~tn~t;P.~ AF., ,-'*.n, ,-Y..,.._