INSTITUTSENEGALAIS DE RECHERCHESAGRICOLES ...
INSTITUTSENEGALAIS DE
RECHERCHESAGRICOLES
ETUDES ET DOCUMENTS
RECHERCHES DE VARIETES
DE RIZ ADAPTEES
A LA RIZICULTURE
EN CASAMANCE
ET POURVUES
D’UN BON NIVEAU
DE RESISTANCE
A LA PYRICULARIOSE
(Pyricularia oryme (Cav.)
Yamar MBODJ
ISSN 01150-178~
vol 2
N” 3
fM9

ISRA
Institut S6n~galais de Recherches Agricoles
76, rue Mousse Diop
BP 3120
DAKAR, SENEGAL
Tel 21 24 25 / 22 66 28
Telex 3117 SG
Document réalisé par la
Direction des Recherches sy les Productions Vbgétales
Route du Front de Terre
B.P. 2057 DAKAR-HANN
SENEGAL
B
32-53 -03
Yamar MBODJ
Phytopathologiste.
Chercheur à I’ISRA en poste
au Centre de Recherches Agricoles
de Djibélor (Casamance)
0 ISRA 1989

IL ES travaux qui font l’objet du présent document, extrait d’une
thesededoctorat
en sciences agronomiques, soutenue le 18
Avril 1989 à la Faculté des sciences agronomiques
de I’Uni-
versité Catholique de Louvain (Belgique), ont été réalisés au
Centre de Recherches Agricoles de Djibélor, dans le cadre
d’un programme
conjoint entre le Projet CILSS de lutte
intégréecontre les ennemis des culturesvivriéresdans
les pays du Sahel
et l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA).
hi?
Ce programme a été financé par I’USAID et a reçu l’appui technique
de la FAO et du CIRAD/IRAT, ainsi que le soutien documentaire
de
I’ADRAO, de I’IRRI et du TARC.

RESUME
LaPyncul~ose(PyriculariaoryzaeCav.)constitueungravedangerpourla~ziculture
en Casamance, particulibrement en conditions de déficit de submersion et dans les rizières
recevant la forte fumure azotée recommandk, pour une intensification de la culture. D’où la
necessite de sélectionner, pour chaque type de riziculture, des variétés pourvues d’un bon
niveau de resistance stable dans les diverses localitis de la region, d’une annee à l’autre maigre
les fluctuations de la pluviometrie et selon l’intensification de la fumure azotée. Pour ce faire,
une série de vari&5s, par type de riziculture, a Cte mise en place dans diverses localitt!s, années,
doses d’azote et conditions hydriques. Ce qui a permis d’haluer leur stabilitb de comportement
(à la Pyriculariose et pour le rendement) :
+ par appr&ation de l’amplitude de rkxtion a la maladie sur feuilles (stable = 0 24,
moyennement stable = 0 à 6, instable = 0 à 7 ou plus) ;
+ par la méthode d’EBERHART et RUSSEL pour la Pyriculariose sur particules
(stable = rhction moyenne
faible, b et S2d nulles ; moyennement
stable ; réaction
moyenne
faible, b = 1 et S2d nulle) et pour le rendement
(stable
= réaction moyenne
élevée,
b = 1 et S2d nulle). Les variétks
qui se sont révélkes
les plus intéressantes
(ré-
sistance,
niveau de production) par situation de riziculture sont :
riziculture pluviale stricte : Dj 8.341, IRAT 10, IRAT 112 et IRAT 144 ;
l
riziculture pluviale avec nappe : Dj 8.341, Dj 11.509, Dj 12.519, IRAT 133
l
et TOX 728.1 ;
* riziculture aquatique
faiblement noyée : Dj 684 D, et ITA 123 ;
riziculture aquatique moyennement noyée : BW 100 et BW 248.1; Dj 684 D
l
et ITA 123 ;
riziculture aquatique profondement noyee : BKN 6986.38.1, BW 248.1,
l
L’appréciation de l’influence de la fumure, au moyen de courbes de réponse par
environnement (localité-annee), revéle pour le rendement des taux de croissance par unité
d’azote les plus importants de maniére régulibre sur ces variétés, même dans les localitis très
favorables a la Pyriculariose. La maladie diminue les valeurs de trois composantes
du
rendement
(poids et taux de remplissage
de la panicule, poids de 1ooO
grains) mais celui-ci
continue à augmenter
avec la fumure, compte tenu des bas niveaux d’attaque
et de leur sévérité
moindre, comparativement
h ce qui se passe sur les varitt~5s
sensibles.
Ces vari&% peuvent
donc être utilis&s en riziculture intensive sans risque de réduction importante des niveaux de
production, comme cela est le cas avec les variétés actuellement utilisées mais sensibles à la

3
Pyriculariose. Il est néanmoins recommandé, compte tenu du niveau insuffisant de connais-
sance des limites de variation de P. oryzae et de l’effet du milieu physique sur le developpement
de laPyriculariose, d’utiliser un assortiment de variétés à bases génétiques différentes par type
de riziculture et d’appliquer des techniques culturales (construction de diguettes de retenue,
semis précoce, labour profond) leur permettant d’avoir une meilleure alimentation hydrique.
MOTS-CLEFS : Oryzae, Pyricularia oryzae, azote, régime hydrique, résistance variétale,
stabilité, lutte intégree.

4
INTRODUCTION
Le riz est le principal aliment des populations de la partie méridionale du Sbnégal et
plusieurs “Sociétes d’encadrement paysan” tentent d’intensifier sa culture en vue de réduire le
déficit de production et améliorer le niveau d’autosuffisance pour ce produit. Mais, la
Pyxiculariose,
causée par Pyricularia oryzae Cav., constitue dans cette region une grave
contrainte à la stabilité de la production et à l’intensification de la riziculture (30), particuliè-
rement dans les conditions de forte fumure azotee (38) ou de defïcits hydriques (31,32,36).
Les efforts d’intensification de la riziculture doivent, par conséquent, être accompagnés
de l’utilisation de variétés qui ne presentent pas de sensibilité accrue iz la Pyriculariose, aux
doses élevees de fumure azotee (38) et/ou en cas de déficits hydriques marqués (31).
D’autre part, l’étude de la variabilité du pouvoir pathogène des populations de P. oryzae
et de la pression de Pyriculariose en fonction des localites, indique que pour avoir une
production stable de riz dans la région, il est plus raisonnable de constituer par type de
riziculture, des groupes de vari&% d’origines genctiques differentes ayant une bonne stabilité
de comportement vis-à-vis de la Pyriculariose, dans des environnements divers (33).
Le présent mémoire fait la synthbse de l’ensemble des travaux menés en vue de
dlectionner, pour les divers types de riziculture (figure l), des variétés poss&dant un bon
comportement vis-à-vis de la Pyriculariose :
(1) dans les diverses localitis de la région ;
l
(2) d’une année à l’autre, maigre les fluctuations de la pluviométrie ;
l
(3) selon l’intensification de la fumure azotée.
l
2. -TECHNIQUES
ET METHODES :
Trois types d’expériences ont Cte menes de 1985 à 1987 :
+ LWude A a : combine, dans un dispositif en split-plot à trois répétitions,
conduit dans divers environnements (3 localités + 2 années en riziculture
pluviale stricte et en riziculture pluviale de nappe, 4 localités + 2 années en
riziculture aquatique faiblement noyee et en riziculture aquatique moyenne-
ment noy&), quatre doses d’azote (parcelles principales) et dix variétés. Ces
s&ies de 10 variétes. différentes par type de riziculture, ont été choisies au
cours d’etude de stabilite deresistance alaPyriculariose, avec une seule dose
d’azote (100 kg N.ha) sur une serie de localités ou en essais d’évaluation
initiale dansles localités plus favorables àlamaladie, de 1981 à 1983 (33,34,
35,36) ;
+ LVtude B a : associé, suivant un dispositif en split-plot a trois répétitions,
conduit uniquement en riziculture pluviale stricte et dans la localite de

1
I
1
I
I
1
1
I
t
RIZICULTURE
PLUVIALE
S?RKX
I RIZ
1 RIZ AQUATIQUE
FAIBLEMENT
NOYE
;
RIZ AOUATIPUE
1
RIZ AQUATIWJE
PROFONDEMNT
NOYE
’ PLUVIAL
I
MOYENNElENT
NOYE
;
1 DE NAPPE
1
Fiwre
1 : Schéma
d’une
toposéquenw
dans une vallée
intdrieure,
en Rasw
Casamance
Iénéaal).

6
Djibélor en 1986, quatre doses d’azote (parcelles
principales),
deux niveaux
de protection fongicide (sous-parcelles),
pour mettre en Cvidence
l’effet de la
Pyriculariose (37) en fonction de la dose d’azote, et les 10 varit%s de riz
pluvial strict (sous-parcelles)
Ctudiées
pour ce tfpe de riziculture ;
+ LVtude C qui a pour but de mieux préciser la souplesse
d’adaptation,
des
varietes sClectionn&es,
aux variations du régime hydrique des rizieres, a
combiné trois essais (en blocs aMoires complets avec 5 rép&itions, une
seule dose d’azote
= 100 kg N.hsl) :
essai CI comportant
10 vari&és de riz pluvial, mis en place dans deux
l
situations de riziculture pluviale (sans et avec présence
dune nappe phréatique),
de 1985 à
1987 ;
essai b comportant
cinq varietés de riz aquatique
a cycles végétatifs
l
courts (< 120 jours), destinées
à être cultivees en riziculture faiblement noyee (lame d’eau
maximale de 20 cm), mis en place dans trois situations de riziculture (pluviale avec nappe,
aquatique
faiblement et moyennement
noyée), de 1985 à 1987 ;
essai c co~mportant
cinq variétés de riz aquatique
à cycles végétatifs
l
moyens (> 120 jours), destinées
àêtrecultitiées
enriziculture moyennement
noy& (lame d’eau
maximale de 40 cm), mis en place dans trois situations
de riziculture aquatique
(faiblement,
moyennement
et profondément
noyée = lame d’eau sup&ieure a 40 cm), de 1985 h 1987.
A chaque fois, les ,variét& ont Cte cultivees dans des parcelles de 6 m2 (10 lignes de
2 m de long à l’écartement
de 30cm) entourées
de trois lignes d’un mélange
de variétés
sensibles
(Barafita, Peking et Se 302 G en riziculture pluviale stricte ; Barafita, Peking et Ikong Pao en
riziculture pluviale de nappe ; Ikong Pao, IET 3137 et Peking en riziculture aquatique
faiblement noyée ; B2360.8.9.5,
CR 1022 et KN 144 en riziculture aquatique
moyennement
noyée) et séparées
par trois autres lignes semies avec une variété résistante (IRAT 10 en
riziculturepluvialest&te; IRAT 133enriziculturepluvialeavecnappe;ITA
123enriziculture
aquatique
faiblement noyée ; BW 248.1 en riziculture aquatique
moyennement
noyée). Ceci
a pour but de realiser des épidémies
homogènes
et de diminuer les risques d’observation
de
valeurs élevées
de coefficients de variation qui contribuent
à des h&rogénéités de variante
résiduelles
d’un essai a l’autre.
Les caractéristiques
dessols sur lesquels les essais ont 6d implantes figurent sur le
tableau 1.
Lespluviométriesannuelles,avec
1262,2mm en 1985,934,4mmen
1986et 1077,4
mm
en 1987, ont eté déficitairesparrapport
alamoyenne “normale” 1931-1960
(1547 mm) ou par
rapport à la moyenne 1953-1978
(1334,5 mm). Ce qui est favorable au developpement
de la
Pyriculariose
(3 1).
Un labour profond a t% realid des la Premiere
pluie et les semis effectues
manuellement
dans la Premiere semaine
de juillet (a la deuxième pluie), sur sol humide, à raison de 100 kg
de paddy par hectare.

Tableau I : Positions sur la topos&uence
et caractbristiques physico-chimiques
de 6 sols de rizières utiLs& en ex&ri-
mentation pluriannuelle (1981-1987) à Djibelor. en Sasse Casamance (S&t&al).
Typa de
Position dans la,
Caractkistiques
edaphiques
riziculture
topodquence
Argile
Lihon
Sables
N
MO
pH
N
P.ass.
K.ass.
sommedesbam
CEC
@.l~)
(p.100)
ww
@lcuJ
(PJOQ
(eau)
@.looo)
(ppm)
@pm)
khw=bl=
(meo/
g
(me9/lW 9)
Pluviale shia
Plateau
9.4
5.3
85.3
0.56
1.0
5.4
0.4
5.1
5.1
2.0
‘28
Pluviale avec
Entre plateau
17.5
33.3
49.2
3.5
6.0
4.5
2.7
6.8
3.0
1.2
15.6
nappe
et VallQ
Aquatique
faiblement
Plaine auwiale
5.7
2.7
91.6
1.3
2.3
4.6
1.1
0.9
1.2
noyee de plaine
sableuse
Aquatique.
Partie Haute
11.0
21.0
68.0
2.1
3.6
4.8
1.6
11.9
3.2
4.1
10.3
faibkment
val&
Roy& de vall&
Aquatique
Partie moyenne
34.1
36.6
29.3
2.7
4.6
3.9
2.1
1.0
1.4
3.9
17.0
moyennemfflt
vallk
noyée de valk
4quatique
Partie basse
24.8
41.3
33.9
3.5
5.9
4.0
2.5
2.1
4.1
3.1
13.4
~OfOnd&
ivall&
nmt noy& de
rallh

8
Le phosphore
(50 Il) et la potasse
(40 U) ont été enfouis, sous forme de supertriple
et
de chlorure de potasse,
avec la reprise du labour. L’azote minerai (50,100,150 kg N.ha) a Cd
apportesousformed’ur~,pourdeux
tiersa2Ojoursaprèssemis(JAS)etpourun
tiers&40 JAS.
Après chaque
epandage,
l’ur&z est immédiatement
enfouie dans la couche superficielle du sol
à l’aide d’une houe manuelle.
La propret&
des cultures
aeté maintenue
par une application
d’oxadiazon
(aux doses de
3 l/ha en riziculture pluviale, de 4 l/haen riziculture aquatique) aprés les semis, suivie de sarclo-
binages manuels a la demande.
La récolte a éd effectuée manuellement
et les poids des
parcelles
btablis aux taux d’humidité de 14 %.
L’intensite
des attaques
de Pyriculariose
a éd évaluée
suivant le système
standardise
de
1’IlW (1980). Sur feuilles, les réactions
ont été notées tous les sept jours et pendant quatre
semaines à partir de l’apparition des premiers symptômës et la note maximale retenue (environ
à la tïn du tallage). La Pyriculariose
sur panicules
a tté évaluée a 10 jours de la récolte, en
prenant
le pourcentage
moyen de panicules
malades
sur 800, par vtuiété, par dose d’azote
et par
rép&ition.
Il n’y a pas d’analyse
statistique
sur ies notes de Pyriculariose
foliaire qui sont des va-
xiablesaléatoiresqualitatives.SurlabasededonnCesobtenuesparplusieurschercheurs(44,51,
52,40,27,34,35,36), nous considérons
que la resistance
variétale est stable lorsque la note
maximale est 4 ; elle est instable lorsque
cette note est comprise
entre 7 et 9. Les variétés
à note
maximale égale a’5-6 peuvent être consid&es comme ayant une ksistance moyennement
stable.
Sur les variables
quantitatives
(Pyriculariose
sur pauicules,
rendements),
une analyse
de
la variante suivant un modele mixte à trois criteres de classification
(azote, variété, repétition)
pour l’étude A, à quatre criteres de classification (azote, fongicide, variété, répétition) pour
l’etude B, à deux Cri&es de classification
pour l’étude C, permet de tester, par environnement
(localité ou annee),
les effets des principaux facteurs
et de leurs interactions.
En cas d’homo-
geneité des variantes residuelles
des analyses
separees,
un regroupement
est réalisé @ar
ANOVA 4 croise mixte pour l’etude A, ANOVA 3 croM mixte pour l’etude C). Et en cas
d’interaction g&otypes - milieux (environnements
et/ou doses d’azote), les analyses sont
orient& vers Mtude de la stabilid et/ou de la relation variable quantitative - azote. Les crit&res
utilish en vue &Valuer la qualite du modkle de relation variable quantitative
- azote (courbe
de réponse) sont la reduction de la variante rhiduelle, le degre de validation de la courbe
estimée par le test F et l’augmentation
du coefficient de dhxhination
(25,56,38).
La technique de regression
propos& par EBERHART et RUSSEL (1966) dans les
Etudes
d’interaction genotypes
x milieux est utilisée pour analyser la stabilite du compor-
tement varietal (vis a vis de la Pyriculariose
ou du rendement)
dans une série de milieux.

9
3. - RESULTATS
3.1- Etude A : Analyse de stabilité de comportement dans divers environa
nements (locaüt4s + années)
et en présence
de quatre doses
de fumure minérale azotbe, par type de riziculture.
L’environnement,
la dose d’azote et la varU ont un effet significatif sur. les taux
d’attaque
par P. oryzae et sur les niveaux de rendements
observts dans chacun des quatre
situations de riziculture (tableaux II, III, IV et V). Il existe par ailleurs des interactions
significatives
génotypesx
environnement,
génotypesx
doses d’azote,
doses
d’azote
x environ-
nements.
Aussi, avons-nous
oriente les analyses
vers l’étude de la stabilite (12,54) du compor-
tement à la Pyriculariose
et pour le rendement
de chacune
des varietés Ctudiées
:
. sur les six environnements
(3 locaIit& x 2 annees)
par dose d’azote
et sur les 18 milieux
constitués
des six environnements
x les trois premières
doses d’azote (0,50,100 kg N/ha) en
riziculture pluviale (stricte et de nappe) ;
sur les huit environnements
(4 localités x 2années)
par dose d’azote
et sur les 24 milieux
l
constitués
des huit environnements
x les trois premières
doses d’azote (0,50,100 kg N/ha), en
riziculture aquatique
(faiblement et moyennement
noyée).
Pour le rendement,
la variété pourvue dune stabilite phtnotypique a une production
moyenne
élevée, un coefficient de regression
Cgale
à l’unit6 (b = 1) et une déviation quadratique
nulle (S2d = 0) (12). Mais, pour le comportement
a la maladie, la variété souhaitée
doit avoir
une réaction moyenne
faible, une pente et une déviation quadratique
Cgales
à zQo (14,16,6,
39,34).Pourcomparerlespentes~l’unitéouàzéro,nousv~ifionssicesvaleurssontcomp~ses
ou non dans l’intervalle double 2 Sb, calculC uniquement
pour lesvariétis dont lar6ponse aux
divers milieux (ou environnements)
est réellement lineaire. c’est à dire dont le S2d n’est pas
différent de zero (54).
(1) Analyse de stabilit4 :
- Riziculture pluviale stricte :
Sur la base de tout ce qui pr&de, on peut observer
(table&x VI à X) que vis-à-vis de
la Pyriculariose
sur panicule-s,
aucune
varieti n’a un comportement
stable dans les environne-
ments à la dose 150 kg N/ha ; la varitW IRAT 144 restant stable dans les conditions de fumure
O-100
kg N/ba et IRAT 10 entre 0 et 50 kg N/ha. Les autres vari&r% n’ont un comportement
stable a aucune
dose. Par contre, six vari&% 6tudihs (BG 367.4, DJ 8.341, RAT 112, IRAT
144, Se 302 G) montrent tr&s peu de variations de réaction a la Pyriculariose sur feuilles en
fonction des doses d’azote et/ou des environnements.
Pour le rendement,
on observe que des
vari&& (Dj 8.341, IRAT 10, IRAT 144) nesontpourvuesdestabilitique
sansapportdengrais
LtZOti.

10
- Riziculture pluviale avec nappe (tableau Xl)
Sur les 18 milieux (constitués des 3 lo&lit& x 2 anndes x 3 premières doses d’azote),
une seule vari& (Peking) montre un comportement instable (réactions O-7 et plus), trois
(Barafita, Ikong Pao, IR 934.450.1) une stabilité moyenne (réactions O-6) et six (BG 367.4, DJ
8.341, Dj 11.509, Dj 12.519, IRAT 133, TOX 728.1) un bon niveau de stabilité (réactions O-
4), vis-à-vis de la Pyriculariose sur feuilles. Sur panicules, cinq varietes (Dj 8.34 1, Dj 11.509,
Dj 12.519, IRAT 133 et TOX 728.1) ont une stabilité supérieure a la moyenne (réactions
moyennes faibles, 0 < b < 1, S2d = 0) et les cinq autres (Barafita, BG 367.4, Ikong Pao, IR
934.450.1, Peking) des comportements instables (S2d + 0, ou S2d = 0 et b > 1). La réponse du
rendement est de type quadratique avec chacune des variétés étudiées. D’où l’intérêt dune
analyse par courbe de reponse (régression polynomiale).
- Riziculture aquatique faiblement noyke (tableau XII)
Sur les 24 milieux (4 localités x 2 ann&es x 3 premières doses d’azote), la variété IET
3137 montre un comportement instable, Ikong Pao une st.abilitR moyenne et les huit autres
variét&s (BG367.4.C 1322.28, Dj 684 D,Dj 11.509,ITA 123,ITA212,Kau
1661,TOS 103)
un bon niveau de stabilité vis-à-vis delaPyriculariose sur feuilles. Sur panicules, deux variétbs
(Dj 684 D, ITA 123) ont une stabilité supérieure h la moyenne. La réponse du rendement est
de type curvulineaire sur chacune des variCds ttudiées.
- RizicuZfure aquatique moyennemenf noy&e (tableau XIII)
Sur les 24 milieux, trois vari&% (B 2360.8.9.5, CR 1022, IR 442298.3) montrent un
comportement instable, deux (KN 144, IR 2071.586.1) une stabilité moyenne et le reste (BG
90.2, Br 51.46.5, BW 248 .l, IR 1529.680.3) un bon niveau de stabilité vis-a-vis de la Pyri-
culariose foliaire. Sur particules et pour le rendement, par contre, aucune variété ne montre un
comportement stable ou moyennement stable (reaction faible, b = 1, S2d = 0).
(2) Analyse par courbes de rdponse par environnement :
- Riziculture pluviale stricte (figures 2 et 6)
A l’exception de la variete IR 934.450.1 dans la localité de Teubi en 1986, les taux
d’attaque par PI oryzae sur panicules augmentent de maniére significative avec la fumure
azotee, mais avec des niveaux initiaux (param&re a) et des taux de variation (b, c) qui diffèrent
d’une localite a l’autre. Les vari&& les plus attaqu&es, même sans apport d’engrais, sont Ablaye
Mano, Bar&@ lR 934.450.1, Pelcing, Se 302 G. La relation qui associe leur rendement a la
fumure azot& peut être n+ative ou non significative.
En moyenne, les dpidemies depYnculariose sont, B toutes les doses d’azote, plus fortes
~
_- ~!!&%iruwrlP.n~~~t~malnrliaaetsurna&ulBaniana--
12

13
3.3 -Etude C : Analyse de la stabilité de comportement dans différentes situations
de riziculture et au cours d’années successives
:
Les pluviom&ies annuelles
variables en fonction des années
(1262,2 mm en 1985,
934.4 mm en 1986 et 1077,4 mm en 1987) ont permis de maintenir des conditions épidémio-
logiques diffhentes le long de la toposéquence
et selon les trois années
d’étude.
Ceci a permis
d’apprkcier
et de comparer
les differences
de comportements
entre variétés (tableaux XVI,
XVII et XVIII).
Avec chacune
des trois séries
de variétés,
les epidemies
sont plus faibles en 1985 (année
pluvieuse)
et en regime hydrique plus favorable,
plus fortes en 1986 (année
moins pluvieuse)
et en regime hydrique moins favorable.
Ceci confirme l’influence du déficit hydrique dans le
sol sur la gravite des symptômes
de Pyriculariose
(48,24,31). Elle est due à une plus grande
mobilisation d’azote en régime exonde (24,32), condition favorable au developpement
de la
maladie (38).
Vis a vis de IaPyriculariose
foliaire, six vari&es pluviales (Dj 8.341, Dj 12.519, IRAT
10, IRAT 133. IRAT 144, TOX 728.1), quatre varietés de riz aquatique
à cycles végétatifs
courts (Dj 11.509,
Dj 684 D, ITA 123,) TOS 103) et quatre variétés de riz aquatique
à cycles
végétatifs moyens (Br 51.465, BW 248.1, IR 2071.586.5,
IR 4422.98.3) ont une réaction
stable.
Sur panicules,
aucune varieté n’a un comportement
stable (reaction moyenne faible,
b = 0, S2d = 0) mais Dj 8.341, Dj 12.519,
IRAT 10, IRAT 133, IRAT 144 et TOX 728.1 pour
le riz pluvial, BW 248.1, Dj 11.509,
Dj 684 D, ITA 123, IR 2071586.5 et TOS 103 pour le riz
aquatique,
ont une stabilité de comportement
suptkieure
à la moyenne (réaction moyenne
faible, 0 < b < 1, Szd = 0). Les variék%
Ablaye Mano (riz pluvial) et IR4422.98.3
(riz aquatique)
montrent un comportement
moyennement
stable (réaction
moyenne faible, b = 1, S2d = 0).
Egalement
pour le rendement,
aucune
variété ne montre un comportement
stable. Mais
on peut observer
que sur la base des réactions
moyennes
et des valeurs de F, Dev./Erreur (34),
les variétésDj 12.519et
IRAT 133pourlerizpluvial,Dj 684DetITA 123 pourlerizaquatique
~cyclesv~gbtatifsmoyens,IR2071.586.5etIR4422.98.3àcyclesv~ggétatifscourts,ontlesren-
dements
les moins instables.
Il est intéressant
de remarquer
cependant
que malgrt son instabilite de production, la
variete BW 248.1 a le rendement
le plus élevt! dans chaque
environnement
(type de rizicul-
ture x annk), parmi les variCtis à cycles végétatifs
moyens. Ce qui est Cgalement
le cas de la
varled TOX 728.1 pour la plupart des environnements
de riziculture pluviale. Mais il est
important de noter sa legere contre performance
en 1986 (annee skche) qui confirme sa
sensibilitb au detïcit hydrique (35). C’est donc une variété a ne recommander
que pour la
riziculture pluviale avec nappe.

14
4 - DISCUSSIONS ET CONCLUSIONS
LaPyriculariose
constitue un grave danger
pour lariziculture en Casamance
(30). Et la
principale méthode
de lutte contre cette maladie est la sélection
et l’utilisation de varietés
de riz
résistantes.
Mais,vueI’inefficacitedelarésistance
verticale (complète
mais efficace seulement
vis-à-vis dune partie de la population de P. oryzae) à assurer la régularité d’une bonne
production, partout où la maladie est présente
de manibre permanente,
avec la variabiliti du
pouvoir pathogène
de P. oryzae (42,20), les efforts sont partout orientes vers la sélection de
variétés de riz pourvues
d’un haut niveau de résistance
horizontale (9).
NOTTEGHEMetal. (1980)ontobtenucequ’ilsappellentla”résistanceho~zontale”par
preuve historique
ou de non similitude avec laresistance
monogénique.
Mais il est difficile de
dire si la resistance
obtenue
est horizontale
(efficace vis-à-vis de toutes les races du parasite)
(49,SO) ou non, car le spectre
de virulence dans une région ou dans un Cchantillon
de souches
utiliséesesttoujoursdéterminé.Descaractenstiquesderbsistancesuggérantàpremi~revueune
résistance
horizontale
comme un faible nombre de lésions de type “sensible”,
un grand nombre
de lésions de petites dimensions
et sporulant
peu, une résistance
observable
seulement
après
tallage, se sont révélées
variables
en fonction des souches
de P. oryzae utilisees (13,42,5 1,41,
29). C’est pourquoi plusieurs termes sont proposés
pour décrire les types de résistance
stable
obtenus. Ainsi, il est difficile dans la littérature de distinguer la résistance “au champ”
d’EZUKA (1972), la résistance
“quantitative”
de OU et al. (1975), laresistance
stable de AHN
et OU (1982a), la résistance
“slow-blasting” de VILLAREAL et al. (1980), la resistance
“dilatory” de MARCHETTI (1983), la résistance
“adult-plant” de KOH et ai. (1987).
Dansunerevuecntiquedesdonnéessurlar~sistancedunzàlaPynculanose,OU(1984)
montre que les variétés à large spectre de resistance
ont un très bon niveau de résistance
quantitative
qui s’exprime comme une resistance
de type horizontal. Ce type de résistance
est
caractérisé
par une stabilite dans différentes
conditions écologiques
face adiverses
races de P.
oryzae et par une aptitude
à ralentir le developpement
de la maladie en presence
de races com-
patibles (44,51,52, 1,2,55).
Il existe donc une importante contreverse
sur la nature de la résistance
stable et sur la
manière
de la sélectionner.
Malheureusement,
cette contreverse
semble négliger le fait que l’uti-
lisation durable d’uneresistance,
ce qui est l’objectif du paysan,
ne dépend
pas de son type (23),
bien que l’on admette
plus generalement
que laresistance
“partielle” a la Pyriculariose
est plus
durable (9,52,55), mais de beaucoup
d’autres
facteurs (23, 8). Parmi ceux-ci, nous avons
montre (33,38,31,32), pour la Casamance,
l’importance
de la diversité locale des groupes
de
races de P. orytae et d’indicesde
pression
de Pyricuhriose,
des conditions de regimes hydriques
et de fertilisationazotke
des rizières. D’où la nécessité
de sélectionner
des vari&% aresistances
stables
dans ces milieux.
Dans la presente
Ctude,
nous avons apprécié
cette stabilitb par évaluation
de l’amplitude
de réaction a la maladie sur feuille et par la methode
d’EBERHART et RUSSEL (1966) pour
la Pyriculariose sur panicules dans une Serie de milieux constitues de plusieurs ann6es,
localités, doses
d’azote
et régimes hydriques.
Il apparaît
ainsi que les va&t& suivantes
peuvent
être recommandées
:


16
+ le semis dès les premikres pluies afin d’&iter les sécheresses de fin d’hivernage,
favorables à la Pyriculariose sur panicules.
En ce qui concerne le rendement, il est important de signaler que même s’il est instable,
en réponse aux variations locales et interanuelles de conditions de submersion et de niveaux de
fertilitédessols,ilesttoujoursleplusélevC,danschacun destypesderiziculture,surlesvari&%
résistantes retenues. Ce qui est finalement l’objectif de l’etude. En effet, si notre but est d’avoir
des variétés insensibles à la variation du niveau de pression de la Pyriculariose, pour le
rendement, par contre, nous voulons avoir des variétés qui répondent bien à des techniques
culturales améliorées comme l’irrigation et la fertilisation. Ainsi les niveaux de rendements
obtenus en riziculture pluviale sont aussi élevés que les meilleurs observes dans d’autres pays
quand les techniques culturales sont bien appliquées sur des variétt% productives (22,10,17).
C’est également le cas en riziculture aquatique a submersion intermittente dans les vallées
intérieures où les sols sont bien pourvus en matière organique comme cela a déjà été constaté
par d’autres auteurs (45,4,5,21) dans les mêmes conditions. Ceci montre que lariziculture non
irriguée peut également contribuer à la réduction du déficit de production au Sénégal,
moyennant l’utilisation de variétés de riz résistantes aux maladies et de techniques culturales
adaptées.
Un autre fait intéressan t à souligner pour le rendement, c’est l’effet défavorable des fortes
pluviométries comme en 1985, particulièrement en riziculture pluviale stricte. Cela est dû au
lessivagedes nitrates,leplusimportantfacteur deréductiondel’effïciencedelafumureazot6e
en riziculture pluviale pratiquk dan; des regions à forte pluviom&rie (7,3), mais peut-être
aussi dans les rizières où la submersion est intermittente (21).
En conditions exondées en effet, l’effet protecteur (contre l’oxydation et l’influence de
la température) de la lame d’eau sur les réserves de matière organique devient à nouveau
disponible pour l’oxydation microbiologique. Un des produits de cette oxydation est l’azote
min&al qui s’accumule dans le sol sous forme de nitrates, en quantités importantes (3). Egale-
ment, l’azote ammoniacal appliqué par exemple sous forme d’urée, se convertit très rapidement
en nitrates. Et cette nitrification est très active en régions tropicales à cause des températures
élevées favorables (15,46).
Les nitrates ainsi formés quittent facilement le profil du sol par lessivage vers les
couches profondes où ils peuvent être dénitrifiés en cas de fortes pluies (19,15).
En riziculture aquatique, on observe également que les rendements sont plus bas en
an& très pluvieuse, mais augmentent globalement sur les variCtés résistantes quand on passe,
en année sèche, des rizières de nappe aux riziéres moyennement noy&s. Par contre, en atm&
moyennement sèche, ils sont plus bas en rizières profondément noyées et plus forts en riziéres
moyennement noytks, puis en rizières faiblement noyées. Ceci est dû a l’effet du rdgime
hydrique sur l’efficience de la fümure azotke appliquke. L’uree apportée sur un sol drainé ou
portantunetrésfinelamed’eau (5-10mm)contribueàaugmenterletauxd’utilisationdel’azote
par les plants et donc les rendements (11). Sous submersion continue, les plus hauts rendements
sont observés avec une lame d’eau de 5 cm d’t@tisseur (20). Par contre, les inondations
par fortes pluies et les déplacements d’eau quand la lame de submersion est importante

1 7
entrainent d’importantes pertes d’azote (47). En effet, la plus grande partie de l’urée appliquée
est retenue dans cette eau de submersion dont la profondeur décroît son hydrolyse. Cet effet joue
fortement en riziculture profondément noyée ou en riziculture moyennement noyQ au cours
des années pluvieuses.
En riziculture faiblement (années séches ou pluvieuses) et moyennement noyéc: (en
années sèches) par contre, c’est l’effet d’une faible submersion intermittente qui joue pleine-
ment. D’où les niveaux elevés de rendements obtenus, confirmant les resultats de PATRICK
et al., (1967), de BEYE et ai., (1978, 1979) et ceux de l’IRRI(l987) qui montrent un effet
favorable de la submersion intermittente sur sols bien pourvus en matière organique comme
ceux des valICes interieures de Casamance (3 1). Mais, cette performance de la submersion
intermittente ne pourra être maintenue que si les déficits hydriques sont moyens et limités à la
phase vegétative, avec une alternance de périodes d’humidite et de sécheresse.

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Tableau II : Etude du comportement B la Pyrkxlarioaa wr paniculea
et du rendamant
d a 10 vari&& da riz phwial strict, an p&anca d e 4 doaea
croissantes da fumun mir&ale azotOe (0,50,100,160 kg N.ha’). cuttMea d a n s 6 anvlron
nements dtff&wtta (localMa + antir), d a la Caas+
manca (SnQal), da 1966 B 1967.
Analyse de ta variante de t’ensemble des rhuttats
T
Source de variation
De@ de liberte
Somme des carrés des
&a&
curcsmoyew
F. observé
A. Pyrkelartose
soi jmnknks (%)
F.tkmmemmt(Euv.)
5
76833,49
15366.69
1132*40**
Répétitions dans Env.
1 2
162.95
1 3 5 7
Doses d’azote
3
81817.99
27272,66
2233.91**
Env. x szote
1 5
30522.12
2034.80
166,67*+
J?ilux (a) commtmc
3 6
4 3 9 5 1
12.20
variétés
9
87184.10
9687.12
63991*’
Env. x variétés
4 5
32914.33
731.43
4832**
Azote x variétés
2 7
19467.85
721.03
47,63+*
Env. x azote x vsliétés
135
20950.84
155,19
10.25**
Eneu (b) commune
4 3 2
6539.76
15.13
Eminmkemeut(Euv.)
5
4411625833 B. Rendements (kg.ha~‘) 98823251.66
5012,87**
RépUons dans Env.
1 2
236566.88
19713.90
Doss d’szote
3
320758883.23
106991%27,74
7623,31’*
Env. x azote
1 5
8+533562,37
5842237.49
41655**
IsTew (a) commtme
3 6
504913,05
14025,36
Variétés
9
17948101753
19942335.28
98555**
Env. x vatiétés
4 5
118995305.20
26444340.11
130,68**
Azote x vsriétés
2 7
7 1 3 4 7 7 2 3 3 0
2864730.49
14157**
Env. x azote x variétés
32.44**
-
135
88628059.10
656504.14
** : signification au seuil de p = 0.01.
A:CV(a)=18.6%;CV(b)=18,7%;B:CV=4.8%;CV@)=5.8%

ANNEXES

Tableau III : Etude du comportement à la Pvriculariose sur panicules et pour le rendement de 10 variétés
de riz de nappe, en presence de 4 doses croissantes de furnure minérale azotée (0, 50, 100, 150 kq.N.ha-‘1,
cultivées dans 6 environnements différents (localités + années), de la Casamance (Sénéqal), de .1986 à
1987.
Analyse de la variante de l’ensemble des résultats.
-r
Deqré
Sommes des
Source de variation
i de
carrés des
carrés movens
F. observé
liberté
é c a r t s
t
A. Pyriculariose sur panicules f%)
I
Environnement (Env.)
I
30890,92
6178.18
303,44**
Répétitions dans Env.
;
1;
244,39
20.36
Doses d’azote
86609,18
28869,72
1241,70**
Env. x azote
I
;;
I
9182,97
612,19
26,33**
Erreur fa) commune
837,Ol
23,25
Vari&es
9
148291.92
16476,88
1144,05**
Env. x variétés
45
27565,32
612,56
42,53**
Azote x variétés
27
54600,94
20?2,25
140,41**
Env. x variétes x azote
135
16448,31
121,83
8,46**
Erreur fb) commune
432
6221,75
14,40
B. Rendements (kq.ha-‘1
Environnement (Env.1
5
l
i4189108,25

587,47**
Répétitions dans Env.
I

7og4554’f26
289830,35
1
24152.52
Doses d’azo4 e
I

‘3
1 176058507,04
1 58686169,Ol
1310,41**
Env. x azote
1 5
I
92020234,90
1
6134682,92
136,98**
Erreur (a) commune
1
1612239,58
1
44784,113
Vari&es
I
‘9
1 784123829,95
1 87124869,99
2490,40**
Env. x variétés
l

87in3222,i5
I

1935627,15
55,46**
Azote x variétés
I
2:
l 270944379,95
I
10034977,03
287,53**
Env. x azote x variétés
135
I 131209751,86
I
971924,08
27,85**
Erreur U-J) commune
432
1 15076879,40
1
34900,18
** : siqnification au seuil de p = 0.01.
A : C V (a) =
26.1 % ; CV (b) = 20.5 % ; R : CV fa) = 5.4 % ; CV (b) = 4.9 %.

Tableau IV : Etude du comportement à la Pvriculariose sur panicules et pour le rendement de 10 variétés
de riz aquatique à cvcle court I< 120 jours), en présence de fumure minérale azotée (0, 50, 100, 150 kq N.ha-‘1,
cultivées dans 8 environnements différents (localités + années), de la Casamance fsénéqal), de 1986 à 1987.

Analyse de la variante de l’ensemble des résultats.
I
Degré
Sommes des
T
Sources de variation
d e
carrés des
Carrés moyens
F. ohservé
liberté
écarts
I
I
Ï-
A. Pyriculariose sur panicules (55)
I
Environnement fEnv.1
7
73605,36
1
10515,05
Répétitions dans Env.
1 6
113,32
1
7.08
Doses d’azote
3
50568.39
1
16856,13
2748,73**
Env. x azote
2 1
4995.16
1
237,86
3a,79**
Erreur (a) commune
4 8
294,35
1
6,13
Variétés
3625,78**
Env. x variétés
I
;;
20646
74408,44 3.17
1

22940,35 1181.08
186,67**
Azote x variétés
26257.20
1
972,4a
153.70**
Env. x azote x variétés
I
189
15843,55
1
83,82
13,25**
Erreur (hl commune
576
3644,36
1
6,32
I
R. Rendements (kgha-‘1
Environnements
7
362396411,62
51770915.94
2695,48**
Répétitions dans Env.
1 6
307304,63
19206,54
Doses d’azote
,3
531491441,66
177163813.88
12459,a2**
Env. x azote
2 1
32324716.28
1539272,20
108,26**
Erreur (a) commune
4 8
682502,83
1 4 2 1 8 . 8 0
Variétés
9
678637951,ll
75404216,78
5000,06**
Env. x variétés
6 3
406178225,19
6447273,41
427,52**
Azote x variétés
27
127739005,60
4731074.25
313,72**
Env. x azote x variétés
189
89240912.88
472174.14
31,31**
Erreur fb1 commune
5 7 6
8686466,53
I
15080.67
.L
-!
** : siqnification au seuil de p = 0.01.
A : CV (a] = 13.9 % ; CV (b) = 9.9 % ; B : CV fa) = 4.2 % : CV (b) zz 3.9 % .

Tableau V : Etude du comportement à la Pvriculariose et pour le rendement de 10 variétés de riz aquatique
à cycle moyen (125-l 30 jours), en présence de doses croissantes de fumure minérale azotée (0, 50, 100,

150 kq.ha-l), cultivées dans 8 environnements différents (localités + années), de ta Casamance fS&&qal),
de 1986 à 1987.
Analyse de la variante de l’ensemble des résultats.
T
Deqré
S o m m e s d e s 1
T
I
I
Source de variation
1 de
l
carrés des
I
Carrés moyens
l
l F. observé
t
5 liberté
é c a r t s
A. Pyriculariose SUT panicules (46)
t
-1
Environnement (Env.)
7
173329,22
24761.31
1796,90**
Répétitions dans Env.
1 6
220,50
13,78
Doses d’azote
3
97351,23
32450,41
2lH35,99**
Env. x azote
2 1
15845,OO
754,52
67,10**
Erreur (a) commune
48
539,72
11;24
i
V a r i é t é s
9
7 5 4 1 6 . 6 3
8379,62
1463,10**
Env. x variétés
63
66669,95
I
lO58,?5
1a4,77**
Azote x variétés
27
7223.55
267,55
46,72**
Env. x azote x variétés
189
14861.1 1
78.6 3
13,73**
Erreur (b) commune
576
3298,93
5,72
B. Rendements (kq.hC’)
Environnement (Env.)
7
620704133,76
88672019,lO
411,02**
Répétitions dans Env.
1 6
345170,67
21573.16
Doses d’azote
3
333322628,26
11107542,26
7231,01**
Env. x azote
2 1
46325375,50
2205970,26
143,57**
Erreur (a) commune
48
737540,87
15365,43
V a r i é t é s
9
623815958,30
6 9 3 1 2 8 8 4 . 2 5
5837,86**
Env. x variétés
63
316287670,77
5020439,21
422,84**
Azote x variétés
27
38 134412,8 1
1412385,66
118,96**
Env. x azote x variétés
189
I 115279090,01
6 0 9 9 4 2 . 2 7
51,37**
Erreur (b) commune
i 576
1. 6838849,80
11873,OO
L
** : signification au seuil de p = 0.01.
A : CV (a) = 13.9 % ; CV (b) = 9.9. % ; B : CV (a) = 4.2. % ; CV (b) = 3.9 %.


Tableau VI : Analyse de la stabilité du comportement
(a la Pyriculariose,
rendement) de dix (10) variétés
de riz pluvial dans des parcelles sans
fumure azotée dans six (6) environnements différents (années +
localit&) de Basse Casamance (Sénégal).
A. Couposantes
de variante
I
Degrés
Carrés moyens
Variations
I
I
Pyriculariose

I
Rendements
I
I
1
slr panicules

.L
I
I
I
I
Erreur
I
108
I
5,25
9689,15
I
Total
I
5 9
I
52,42
29724,41
!
1
Variétés
I
9
I
142,08**
109056,89 N S
I
1
Env.et Var. x Env.
I
50
l
36,29
331118,40
1
Régressions moyennes
1
912,38
12026480,OO
I
Entre régressions
9
72,29**
184741,00**
I
Déviation coimnune (Dév.)
4 0
6,28 N S
71669,72**
I
I
I
I
- -L
I
B. Coqmsantes
de la variation environmnt
x vari6té
-----I_-
I Pyriculariose foliaire
I
Pyriculariose sur panicules
I
Rendements
l
I
I
I
1
VariPtOs i Réaction
I Variation
i Moyenne I Pente I Sb
S2d
I
oév./
I
Movenne I Pente I Sb 1
S2d
l

Mv./
I
I moyenne
I
de(;&jtion I
I
l
1 (O-9)
1
-
1
(P.100)

I

b
I
L---l-------
I
l
erreur
i
kgha
1

b
1
1
erreur

I
I
I
I
I
I
/
I
l
I
Ablaye Mano I
3,5
2-5
I
12,21
I
1,89
1
0,lO
0
I
0,17
t
1 3 0 9
1 0,83
1
1 56424,25
18,47** 1
Barafita
I
3,5
3 - 5 .
I
9,05
I
0,56
I
0,32
0,08
1,80
1 1 551
1 0,26
1
t 33654,28
11,42** 1
BG 367.4 1
1,l
1-2
1
3,8
1
0,53
I
0,ll
0
0,23
1 1 292
1 1,64
1
1 46987,42
15,55** I
Dj 8.341 I
133
l
1-2
I
5,Ol
I
0,41
I
0,16
0
0,43
1 1 570
1 0.85
1 Os09
1
0
0,81
1
IRAT 10
192
1-2
I
1,90
I
0,17
I
0,09
0
I . 0315
1 1 283
1 0,81
! 0,lO
1
645,22
1.20
I
IRAT 112 I
1,2
1-2 :
I
5348
1
0,40
l
0,13
0
0,32
1 1 2 4 2
1 1,07
1
1 21455,53
7,6**
1
IRAT 144 I
1.2
l-2
1
1,61
1
0,08
1
0,05
0
0,05
1 1 425
1 0,97
I 0,ll
I 1129,03
1,35
I
IR 934.450.11
2,0
I
l-3
I
9,30
I
2,07
1
0,34
1,74
1,99
1 1 265
I 1,53
I
I 19504,72
7,04** I
Peking
1
2.8
I
l-5
1
16,33
1
2356
1
6,88
4,93**
1 1 163
1 1,21
1
1 5089,38
2.58*
1
Se 302 G I
1,6
l-2
I
11,70
l
1,33
I
0,33
1,56
1,89
1 1 4 2 4
I Os83
1
1 22314,02
7,91** I
I
I
I
I
I
I
I
I
1
I
Moyenne
7,64
l
1.00
;
Sbi
=
!
0,18
I
1 352
;
1,OO
;
Sbi
=
t 0.10

Tableau VII : Analyse de la stabilité du comportement
(a la Pyriculariose, rendement) de dix (10)
variétés de riz pluvial cultivées dans des parcelles ayant reçu 50 kg
N.ha-1 dans six (6) environne-
ments différents (anndes + localités) de Basse Casamance (Sênegal).
A. Cqmsantes de variante
I
Degrés
Carrés moyens
Variations
de
I
I
Pyriculariose

I
Rendements
liberté
l
sur panicules
l
l
I
1
I
I
I

Erreur
108
12,71
l
235X1,87
I
l
Total

59
X1,20
l
780457,80
I
l
Variétés

9
I
487,56**
I
1182435,60**
l
1 Env. et Var. x Env.
50
l
102,46
I
708101,80
I
I
Régressions moyennes
I
1
I
2639,24
294924080,OO
I
Entre régressions
I
9
I
147,59**
855840,89**
I
D&iation commune (Dév.)

I
40
I
28,89**
c39437,75**
I--~-~
I
I
I
------------------------------~---------__-________
B. -santes de la variation envimnneœmt x variété
________________________________________----------------------------------------------------
.I
1
Pyriculariose foliaire I

Pyriculariose sur panicules
I
Rendements
I
1
I
____________-_____~--~~~~~~~-----_--------__--_---_____---~_____~_____~--____________________I__
I
Variétés I
I
Réaction
I
Variation I Moyenne
l

Pente
I
I
I

Dév./
I
Moyenne I Pente I
I
I

Dév./
1
I
moyenne
I
1
I
I
I
I
I
I

‘1
l
l
1
(O-9)
1 de(l;2jtion 1 (P.100)
Sb
1

S*d
1
erreur

1

kg/ha
1
b

1
Sb

1

S*d
1
erreur

- - - - - - - - - - - - - -. - I -- - - - - b-- - - - - !
_-----_--- ___------___------l-----------------------
I
I
I
I
l
I
I
I
I
I
I
l
I Ablaye Hano I
4,7
I
3-6
l
18.51
1,02
10,68
I
7,52**
I
2 2 9 5
I
1,22
I

1 33621,38 1
5,28**
I
Barafita
1
4,8
I
3-7
I
17,58
0,94
0,17
0
l
0,63
I
2 1 5 5
I l-10
I

1 72298,14
I 10,21’*
1
BG 367.4
1
1,7
1
l-2
7,65
0,66
0.08
0
0.12
I
3 015
1 0,56
1 0 , 0 8 1
0
1 0,65
I
Dj 83.41
1
1.7
1
l-3
13,08
0.89
6722
#I
2,47**
I
3 3 5 0
1 0,23
/

I
25964,43
I
4,31**
I
IRAT 10
1
1.3
1
1-2
'4.62
0.15
0,lO
0
l
0,22
1 2 652
1 0,46
1 0 , 0 8 1
0
I 0967
1 IRAT 112
I

1,3
I

1-2
I
9.47
0,36
0,18
I
0
I
0.67
I
2 5 3 9
1 0.67
!
I

12479,55

I

2,59**
I
l
IRAT 144
I
1,3
I

l-2
1

3,22
0.14
0,06
0
I
0,05
1 2898
1 0.58
I 0,ll
1
2764,17
I
1,35
I
1 IR 934.450. II
237
1
l-4
I

17,28
1.80
7,00
!
2,65*
1 2065
I
l-77
I
0,09
I
0
I
0,80
1
1 Peking
I

3,2
1
l-5

1
31.24

2,39
39.74
I
10 > 38**
I 1 980
I
1-88
I
I
14480,71
I
32,59**
1
I
Se 302 G

I
1,5 l-3 25.44
1,65
0,31
I
4,29
I
2,Ol
1 2473
' 0,53
' 0,08
1
0
l
0,77
I
l
I ___~------~-___-____ ------
I
I
l
I
/
I
--__--_____________--_________--_______-----~-----------------~-------------------- 1
-1
J
1
I
Moyenne
I

2.4
14,81
1,OO
'
'
Sbi
=
: 0,15
2 542
/ 1.00
/
Sbi
= t 0.09
I
I
~____I-_____----__---------------------------------------------------------~.---------------------------

Tableau VIII : Analyse de la stabilité du comportement (à la Pyriculariose, rendement) de dix (10)
variétés de riz pluvial cultivées dans des parcelles ayant
regu 100 kg N.ha-l dans six(6) environne-
ments différents (années + localités) de Basse Casamance (Sénégal).
A. Ccqosantes de variante
I
I
I
Dearés
Carrés moyens
I
Variations
--
I
I
Rendements
I
liberté
I
Pyriculariose

I
I
I sur panicules
I
I
I
l
I
Erreur
108
22.55
23403,45
Total
59
445,69
1938330,60
Variétés
9
1365,57**
4229611,11**
Env. et Var. x Env.
50
2280,ll
1 5 2 5 8 9 9 . 6 0
Régressions
moyennes
1
8146,23
5 1 4 0 6 2 0 0 . 0 0
Entre régressions
9
.381,93**
1882366,70**
I
Déviation commune (Dév.) I
40
60,55**
198685,93**
l
B. Caqosantes de la variation environ-nt x variété
I
Pyriculariose foliaire i

Pyriculariose sur panicules
Rendements
Variétés i Réaction i
Variation 1 Moyenne I
Pente
i
I
I
Moyenne

i
Pente I

I
I
de(;?;tfon I

l
I
i
Sb ,

S2d
l
1
(p-100)

1

b
i
kg/ha 1 b
1
Sb
1

S2d
1
erreur 1

I
I
I
I
l
I
I
I
1’
I
I
I
I
Ablaye Mano
I
5,7
1
4-7
29.76
1,39
I
0,21
I
3,85
0,51
i
1 932
I 1.43
i
i 5 5 8 4 9 . 5 2
i 7,16*’ i
Barafita
l
5,7
I
4-8
23,95
O-67
1
0.19
I
2,19
1,29
I 2 017
I
1,33
I
1 64289.18
I 9,27** I
I BG 367.4
I
290
I
2-2
18,88
1,61
1
20,50
3,73**
1 3 848
1 0,88
1
1286278,82
I 37,70* I
I Dj 8.341
t
138
I
l - 2
16,88
0352
1
20,50
3,73**
I 4 186
I 0,04
I 0.07
I
I 0.97
I
I IRAT 10
1.8
1
l - 2
8,97
0,42
1
0,07
0
0,16
1 3518
1 0,40
1 0,08
1 27109,69
I
1,35
I
I IRAT 112
230
2-2
I
16,35
0,33
l
0,20
l
3,54
1,47
1 3 142
1 0,64
1 0,09
1 6295.14
1
1 . 8 1
1
I IRAT 144
I
2 0
/
2-2
5,21
0,07
l
0,05
I
0
0,ll
1 3 481
1 0,42
1 0,09
1 6690.28
I
1,86
I
I IR 934.450.1 1
415
1
2-7
30,69
1,39
l
I
17,80
I
3,37**
1 2 483
1 1,83
1
1 54122,68
I 7,94* l
I Peking
i
438
1
3-7
56,22
2,17
1
1
69,04
1
10,18**
1 1 951
1 1,61
1
1 91268.18
1 12,70**
1
I Se 302 G
198
1
l-3
38,88
1,43
l
0,19
l
2,19
I
1,29
1 2 429
1 1,42
1
1 16957.27
I 3.17* I
I-
I
I
l
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
l
l
l
I Moyenne
3.2
I
=
=
I
I
24358
;
1 , 0 0
;
Sbi
2
0,15
;
2 8 9 9
;
1 , 0 0
f
Sbf
+ 0,08
l
/

Tableau IX : Analyse de la stabilité du comportement (a la Pyricularï'ose, rendement) de dix (10)
variétés de riz pluvial dans des parcelles ayant reçu 150 kg
N.ha-l dans six (6) environnements
différents (années + localjtés) de Basse Casamance.
A. Coqmantes de variante
-______ - - ---I - - - - - - - - - - --0---v-----1-- - - - - - - - -
l
1
I
Degrés
Carrés moyens
l
l
l
Variations
I+~--d~--4~*--+44 - - - - -
I
de
r
t
I Pyriculariose
I
Rendements
I
liberté
I
t
1 sur panicules
_____~___~____1__________--_---~--1~~1~~--~-~----~-~~~~~--
I
r
r
I
I
_I
l Erreur
l
108
I
20,03
I
24309,56
I
l Total
r
59
I
854,08
I
2894566,lO
l Variétés
l
9
I
1954,94**
I
3991416,70**
1
I
Env. et Var. x Env.
I
50
I
655,93
l
2697132,OO
f
I
Régressions moyennes
I
1
I
24086,04
1
105553600,OO
f
l Entre régressions
I
9
I
415,48**
l
1303665,60**
I
Déviation commune (Dév.) I
4 0
I
124,28**
I
439249,25**
i
I
I
I
I
1
_-_ll- __l_l---__--_-__---
- - - - - - - - -~---
FL Cqmsantes de la variation environneront
x vari&é
-
-
-------4--4---d
I
I
I Pyriculariose foliaire
Pyriculariose sur panicules
Rendements
I
I
1
---_- yIx_ ___2__-
I
I
Variétés
I Réaction
I Variation
1 Moyenne 1
Pente
l
l Dév./
I Moyenne l Pente I
I
l
Dév./ l

I
1 moyenne
1 de réaction j
l
I
1
^
I
1..
1
I
1
I
I
I
1

(O-9)
1
(O-9)
( (P-100)
1
b
1
Sb
1
S'd
erreur
-
J- Wha f b
L Sb
I
S2d
I
erreur 1

I
I
I
l
l
I
I
l
l
1
f
l
I Ablaye Mano
1
5,8
1
2-8
1
39,72
1
1,24
1 ‘,*
1
16,34
3,45*
2 547
I
1921
I
1 108492,82
I
1 14,39**
/
1 Barafita
1
6,O
1
2-8
I
35,70
l l,oo
l
o-12
I
5,82
l,87
'2 341
f
1,05
l
I 159148,65
1 20,64**
1
1 BG 367.4
1
2,0
1
2-2
1
28,68
I
1,63
1
l
37,90
6,67**
3 884
i
1,ll
I
1 500487,48
1 62,76**
1
I Dj 8.341
l
2,2
I
1-3
1
27,38
I
0,78
I
1
24,84
5,26**
4 112
1 0,56
I
1 70909,81
1.
9,75**
1
l
IRAT 10
I
2-O
1
2-2
l
14,44
I
0,51
I
0,03
I
0
0,12
3 8 9 5
I 0,51
I 0,04
1
0
1 0162
1
1 IRAT 112
1
2,0
1
2-2
1
25,73
I
0,67
I
l
27,14
5,06**
3 238
1 0,83
I
1 61671,08
1 8,61**
1
I IRAT 144
1
2,0
1
2-2
I
12,31
I
0,35
I
0,08
1
0
0,80
3 7 8 5
1 0,62
I
I
29929,48
1 4,69**
1
I IR 934.450.1
l
4,7
1
2-7
1
52,02
I
1,40
I
1
86,40
,l
13,94**
1 2731
I
1,53
I
1 1 5 8 1 5 9 . 3 2
1 20,52**
1
1 Peking
I
5-2
1
3-7
I
69994
1
1,09
I
1
73,32
1 11,98**
1 1 875
1 1,27
1
1 222255,15
1 28,43**
1
1 Se 302 G
1
2,0
1
1-3
I
57,ll
l
1,33
l
I
79,28
1 12,87**
1
2 520
' 1.31
1
1
75201,81
1 10,28*
1
l Moyenne
l
36,30
I l,oo
I
Sbi = : 0,08
I 3 057
I
l,oo
I
Sbi = + 0,04
l
.,l
-,..... !

Tableau X : Analyse de la stabilité du comportement (à la Pyriculariose, rendement) de dix (10)
varietês de riz pluvial dans dix huit (18) environnements différents (2 années + 3 localitês
+ 3 niveaux d'azote) de Basse Casamance (Sénégal).

A. Coqmantes de variartce
1
I
r
t
Degrés
Carré5 moyens
l
Variations
I
I-,
I
de
I
l Pyriculariose
I
Rendements
I
' liberté
I
I sur panicules
I
I
I
l
I
I
I
I
Erreur

I
3 2 4
I
13,51
I
11876,49
I
1 Total
I
179
I
265,81
I
i433588,aO
I V a r i & é s
I
9
I
1639,81**
1
3437504,40**
I
I
Env. et Var. x Env.
I
170
I
193,07
I
1327498,80
1
1 Régressions moyennes
I
1
1
20429,14
t
16702320,OO
1
1 Entre rêgressions
I
9
l
856,73**
I
479937,78 NS t
I Déviation commune (Bév.) l
160
l
29,27**
I
339577,25**
II
6. Coqmsantes
de la variation environneront
x variéti
I
I
I
' Pyriculariose fofiaire I
Pyriculariose sur panicules
Rendements
I
I
Vari&és
I Reaction
l Variation
I Moyenne
I

Pente
I
l
I
EV./
IMoyenne I Pente 1
Dév./
l
I
j moyenne
1 de reaction
l
I
I
I
1.
j (O-9)
(O-9)
j
(p.100)
;
b
; Sb
/
S2d
I
erreur i kg/ha l b
1
S2d
I
erreur l
I
I
I
l
I
l
l
l
I
I
I
I Ablaye Mano l
6,4
2-8
1
20,16
1
1,22
1
0,ll
1
4,38
1
1,97
1 1 845
1 0,93
1 115433
00 1
19,34**
I
1 Barafita
l
638
; 2-8
1
16,86
I
0,78
1
0,08
I
0,40
1
1309
1
1 908
!
0,X
1
11g4g&
1
19,99** I
1 BG 367.4
1
2,3
1
l-2
I
10,ll
I
1314
I
1
9,96
1
3,2i**
1 2 718
t
1,22
1
14$!293,60
20,73**
1
1 Dj 8.341
I
2-3
1
l-3
1
11,67
1
036s
I
I
6587
t

2,52**
1 3 0 3 5
1 0388
1
201691,OO
/
33,05** 1
1 IRAT 10
2,l
I
l-2
I
5-27
I
0,39
I
0,02
I
0
I

0929
1 2 4 8 4
i
0,90
1
81181,87
1.
13,90*
I
1 IRAT 122
1
2,.1
I
l-2
I
10,43
I
0,47
I
0,08
l
O-13
I

1,13
1 2 308
t
0,94
1
l
34493,14
6,56** 1
1 IRAT 144
I
2,l
l-2
l
3335
I
0,14
I
0303
I
0
10
1 2 6 0 1
1 0,89
t
59654,87
io,48**
I
1 IR 934.450.1 1
4,6
I
1-7
l
19,20
I
1,41
I
1
8,OZ
1

2,78**
1
1 938
1
i,2g
t
108022,17
I
18,17** 1
I Peking
I
5,3.
I
1-7
I
34,59
I
2930
I
I
28,23
1

7,27**
1 1 6 9 8
1 1,13
1
138273,97
1
22,97*** I
l Se 302 8
/
2,2
l
1-3
l
25,33
I
1,52
l
0,lO
I
1,79
I
1340
1 2 109
1 1,06
1
60958,84

10,69**
1
I
I
I
i
I
l
I Moyenne
I
336
I
1
15,70
t
1,oo
l
Sbi = f
0,07
I

Tableau XI : Analyse de la stabilite du comportement (a la Pyriculariose, rendement) de dix (10)
variétés de riz de nappe dans dix huit (18) environnements difffrents ( 2 années + 3 localités + 3
niveaux d'azote) en Basse Casamance (Sénégal).

A. Capasantes de variance
I
I
l
Degrés
I
I
Carrés moyens
Variatipns
I
I
de
---------------------~-~- i
I
I
I Pyriculariose
liberté
I
Rendements
. L----+..-
l
I
sur
--_-__-___------------------ panicules

I
---------3-_~ 1111-d-
l
l
I
t
I Erreur
I
324
f
13,18
I
39391,26
I Total
I
179
l
327,47
I
1541473,ZO
I Variétés
/
9
!
2339,g7**
I
13315011,00**
1
Env. et Var. x Env.
1
170
l
220,97
l
918168.24
1 Régressions moyennes
I
1
I
19044.12
I
76094310.00
l Entre régressions
l
9
I
1385,75**
l
1271242,20*f
I D&iation commune ( D é v . ) I
160
I
37,80**
l
428455,06**
I----1----111
I
l
-----------------------~---- l
I
8. Ccqosantes de la variation environmnt
x Vari&é
I
Pyriculariose foliaire i
Pyriculariose sur panicules
Rendements
I
I
--..A----
I Variétés
1 Réaction
l
Variation I Moyenne

l
Pente
I
I WV./
I Moyenne
I
Pente
l
1
Di!t!./
I
l
1 moyenne
1
de réaction 1

l
I
I
I
I
I
l
1
(O-9)
1
(O-9)
1
(p.100)
I

b
1 Sb
erreur
- w - - 1 - - + -
1 erreur 1
kg/ha
1
b
;
S2d
I
l
I
l
I
I
l
I
I
I
l
1 Barafita
1
432
I
2-6
t
10,98
r
a,71
I
I
13,oo
1 3,96**
l 3 094
l
0,58
1 38395,98
3,92**
1 BG 367.4
1
2,3
I
2-4
t
8,87
I
0,89
t
l
11,05
I 3,52**
14719
t
1,36
f 42912,57
4,27**
I Dj 8.341
1
231
I
2-4
I
5,42
i
0,40
I
0,03
I
0
I
n,lG
14193
t
1,25
1 45634,75
4,47**
1 Dj 11.509
1
232
I
2-4
I
8,36
1
0.56
t
0,06
1
0
’ 0.49
I 4 509
I
1,28
1 54294,15
5,13**
1 Dj 12.519
1
291
l
2-4
l
6,66
I
0,47
I
0,07
l
0.74
I 4 411
I
1,29
l 74954,95
6,71**
1 Ikong Pao
1
392
I
2-6
I
29,15
1
2.53
t
t
3:,24
I
8,57**
l 3 055
1
0,47
1504751,25
39,44**
1 IA 934.450. 1 1
3,5
i
2-6
1
17,48
l
1,44
I
I
7374
t
2,76**
l 3 344
I
1 . 2 7
1 47864,91
4,64**
1 IRAT 133
1
231
2-3
1
6,50
l
0,34
l
0,08
1
0
l
0,85
1 3 465
1
Il,95
1 73713325
6,61**
1 Peking
1
4-4
I
2-8
1 38,19
1
2,43
1
t
28,42
1 7,47**
t 2 156
I
0,27
!3763?2,25
29,69**
l Se 302 G
1
2,2
I
2-4
l
4,33
I
0,23
1
0,03
I
0
i 0,16
I

4650
I
1,2P
I 37533,88
3,88+v
l
1
l
-
I
I
----.
1
i
I
l
-----_LB-
I
/-a.-.1
l Moyenne
Sbi
=
1
!
13,60
,-
1
1900
j
+ 0,05-
-
!
3 750
-1

Tableau XII : Analyse de la stabilité du
couportement (a- la Pyriculariose, rendement) de dix (10)
variétés de riz aquatique de cycle court dans vingt-quatre (24) environnements
diffgrents (années
+ localitt?s + doses d'azote) de Casamance (Sénégal).
A. Ceqmsantes
de varfance
ml~s
Carrés moyens
Variations
.I
de
Pyriculariose
I
Rendements
liberté
I .sur paniculés
I
l
I Erreur

432
5,51
I
1 4 3 6 7 . 6 9
1
Total

239
359.19
2 0 2 1 3 4 9 . 4 0
I
Vari&és

9
4176,14"*
1355361.10~
1
Env.

et Var. x Env.
230
209.84
1 5 7 0 0 7 9 . 1 0
I
I
RQgressions moyennes

1
23131.52
t
22a9o4800.00
I
Entre &gressions

9
1290*39f*
I
741767.11 NS
I
I Déviation comune (WV.) I
2 2 0
61.44**
I
570616.8P
I
I
l
I
1
B. mntes de la variation envfrwmmen t x varf&ds
I
' Pyriculariose foliaire '
Pyriculariose sur panic$es
I
Rendements
Vari&és 1 Réaction
I
Variation

I
Moyenne I PeTte I
I
Dév./
I Moyenne
1 Pente
I Dév./
I
I moyenne
1 de r8action
I
I
I
I
I
I
,
(O-9)
,
(O-9)
, (p.100) ; b
, Sb
S2d
i erreur
1
kg/ha
I
b
S2d
I erreur
l
I
I
I
I
I
I
I
l
l
I
BG 367.4
I
299
l-4
I
1 7 . 1 3
1,13
I
I 19.12
I 11,4o*
I
3 5 0 1
1
1,08
I 111275.17
I
25,23*
I
C 1322.28
t
219
l-4
l
11.39
I
0,85
1
I 11,57
I
7.29**
I
3 4 0 0
I
1210
I
41225.57
1
9,60**
I
Dj 684 D
1
2,9
l-3
I
5,93
0,52

0.06
I
1303
1
1.56
I
4 545
I
0,86

67343.64
1
15,06n
1
IET 3137
1
6.1
f
i-a
l
45,ll
2,la
l
i
92.18
1 51.16-
1
2 194
l
0374
I
86408,44
i
165,20*

Ikong Pao
l
4.3
1-6
I
31.75
2,4a
I
I 40,69
1 23.14**
1
3 247
I
1315
, 423298.77
,
89,38*
,
ITA 123
1
2.5
I
l-3
I
4,05
0.27
I
0.03
l
0
1
0.46
I
4 7 7 4
I
1333
I 1 1 9 9 8 6 . 4 7
I
26.05*
1
ITA 212
I
3.1
I
l-4

7,64
0,56
1
i
a,48
l
5.61**
I
3 8 1 3
i
0,al
1 96299r50
1
21,10*
1
K a u 1 6 6 1
3.0
1-4
I
10,49
0.65
1
I
6,96
!
4,78*
1
3 937
I
0397
I 75650.20 I
16.79*
I
TOS 103
I
2.9
i
2-4
1
6,75
I
0.46
I
1 1.46
I
l.ao*
l
3 8 2 9
I
l,O5
I
57625.44

13,03*
I
I
I
L
I
I
l
I
I
I
I
I
Moyenne
15,ll
L
1;oo

Sbi = +
0.04
’ 3 770
; l,oo
1

Tableau XIII : Analyse de la stabilité du comportement (à la Pyriculariose, rendement)
de dix (10)
variétés de riz aquatique de cycle moyen dans vingt-quatre (24) environnements différents (années
t localités + 3 niveaux d'azote) de 8asse Casamance (Sérkgal).
A- Ccqmsantes
de variante
~~l-L------~l---------~---~------~---~I--~-I-~~-_~
- - - - - - - - - - - -
l
I
1
f
Degrés
Carrés moyens
I
Variations
I
I
de
-------- -------------------- __---_ l
I
I Pyriculariose
1
Rendements
' liberté
I
1 sur panicules
l
----~-4-1-111--1---1_1---______I-I------------------------------------ ---_ i
l
I
I
l
l
I Erreur
l
4 3 2
l
5,19
I
11939,35
I
Total

I
2 3 9
l
357,93
1
1827748,lO
I
l Variétés
I
9
r
1665,52**
l
15431422,00**
t
1
Env. et Var. x Env.
r
230
I
306,77
I
1295430,OO
I
1 Régressions moyennes
I
1
I
52996,R4
t
210482800,OO
l
1 Entre régressions
I
9
1
470.46**
I
1002051,60 N
S

l Déviation commune (Dév.) I
2 2 0
I
60,57**
l
356576,82**
1
I__~ __--_- - - - - ~ - -I- - - - - - - - - - - lI - - - - - - - - - - - - -l - - - I - - -
8. Ccqosamtes
de la variation environneront
x variété
_
-
--_--~----_-I---------------------I----
I
'
Pyriculariose foliaire

I
P.yriculariose sur panicules
I
l
Rendements
I
! - -
l
___------~ --"---------1-1--11--
- -_
1
I
)I Variétés
1 Réaction
I
Variation

1 Moyenne
1
Pente
I
I
OéV&
IMoyenne
I Pente
l
I
oév./
I
1 moyenne
1 de réaction )
I
‘I
I
I
I
l
I
I
I
I
I
(O-9)
I
(O-9)
1 (P.100)
l
b
- - - - - - - --_---_- 1
S?d
erreur
-
A
-
I kg/ha
) b
1
S2d
1 erreur
1
I
I
I
I
l
I
I
l
l
I
I
I
1 BG 90.2
t
2,4
23,07
1,02
25,Il
1
15,68**
1
4 4 1 0
I
1,06
I 95532,55
25 ,OO**
l Br 51.46.5 I 2,~
15,04
0,86
4,98
I
3,91**
I
3 152
t
1 . 0 5
’ 61573,42
16,47**
' BW
100

155
14,23
1
0,75
7,84
I
5,59**
I
4 991
I
0,73
t 136191.42
35,22**
1 BW 248.1
1
1,5
7,86
t
0,46
1,53
l
1,89*
t
5 0 6 3
t
0,64
t 63391,42
16,93**
1 B 2360.8.9.5 1
3,7
33,22
1
1,52
18,38
I
11,75**
I
2 777
I
1,26
11715564.58
44,11**
I CR 1022
I
390
14,05
1
0,84
42,92
1,28
1 177401,02
45,57**
1 KN 144

238
32,82
l
1,31
40,04
I
I
26,10**
24,42**

1
3
2 6 1 3
434
I
1,20
1 184636,82
47,39**
t IR 1529.080.31
2,0
23,53
I
1,ll
19,20
l 105451,35
27,50**
1 IR 2071.586 1
2 . 1
1 5 . 2 5
I
l,oo
15,7;1
i
10,21**
12,23**
t1
3 3 854 166
’ 1
0381
1,Ol
’ 92670,15
24,28**
t IR 4422.98.3 1
2,7
19r36
I
1,13
9,Of
I
6,30**
t
3 543
l
0,96
t 60376,78
16,17**
1.
l
I
I
Moyenne


294
19,84
I
1,0t
3760
i
1,oo
1

P. Pmlculoira ( plo0)100 i
t
Rendement (kg/ha)
9
90 i
BO00 l
6 .
(A)
7000
(Cl
7-
i
6om-
6-
60
AFFINIAY
ISB6
BADIANAtS87
5.
00
ARIN6ALAlSB7
_*-- 0JIBELORlS66
DJlBELORiSB6
4000 _
.-----
ARlNOARA1967
40
WIBUOR 1967
r\\l=FfN&N ISBô

-es+BADIANA
lS86
30
BADIANA 1 9 6 7
AFFINIAMlBB6
ZOOO-
20
BADIANAIS67
IOOO-
10
‘al,g
h a
FiatIre 3 : Influence movenne,
sur les dix variétés étudiées, de la fumure min&ale azotée sur le développement de
Pvric-lariose foliaira (A) et paniculaire (R), ainsi que sur le rendement (Cl, dans six environnements différents
(localités + années) de rizic&ltt,re pluviale de nappe, en Casamance, au Sénégal,
de 1986 à 1987.

(Al
7
(B)
Figure 11 : I n f l u e n c e moyenne, sur les dix varietes kturliées , de la fumure minérale azot6e sur le riéveloppement
rfe la
Pvriculariose
foliaire IA) e t panicuilaire,
ainsi vre sur le vndement (Cl, ~Ions h u i t e n v i r o n n e m e n t s rlifférents
(loralités + annees) d e rizic!lltw-e ?qt:atique faiblement novée, e n Casamarx?,
a u Sénéaal,
rie 19X0 à 1987.

P. Po*ulolrs
(p.100)
P . Foliolr,
1 0 0
(0-S)
Rendement (K&O,
90
6000
6 l
0
ARw3ALAD66 6000
ANAYBE 1 9 6 6
160 KgN/ho
Fiaure 5 : Inflrience
movenne,
sur les clix variétés étudiées, cle la fumure minérale azotée sur le développement rie IR
Pvriculoriose foliaire IA) et paniculaire (RI, ainsi sue sur le renrlement (C), rlans Inuit environnements
rlifférents Ilocalités A annt+s) C]e riziculture aquatique movennement nov&, en Cosamance, au Sénéaal, fie
1906 .a 1987.

Fiwre 6 : Influence de la fnmwe minérale azotée sur IF riéveloppement de la Pvriculariose foliaire (A)
et paniculaire (RI, ainsi qw sur le rendement (CI fie dix variétés de riz pluvial
strict, à Séfa
en 1986, bcalit4s très fnvorohln A la malarlie.

a
(A)
7
..-.. -..- PEKIN0
6000
t K k J 0
+ooo
3 0 0 0
-
-
- - -
2000
1000

(A)
*
80
4
3
o4
P
.- .-.-. -OJ,, c.09
t
0
00
100
110
Kg N, hO
Fiawe R : Influence C(e la fumuro min&alo azotée sur le d&eloppenwnt de la Pvriculoriose
foliaire IA) et pobiculaire (RI,
ainsi que sur le rendement CC.1 de dix variétes de riz aouatique 1 îvcles v6aétatifs courts rc 1 Zfl ioursl, à
Djihélor en 19117, localité D~US favorable à la maladie.

BO
a
(A)
(8)

000 I
ON111 BAVl5V
0002
OP
9Nllad -..-.--
9Nl)lad _..__. -..--’
0009
06
QIIdQlV~
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:
ONVII 3AV3Q
Q:-zoP 36
/
tUldVNQ8
/
.’
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‘E
. 000-ù
./
SNiX3d
/‘
r-
O S
- 9
/
-1
- a
- 6
(5-01
~61 ~NWZW =P lN3113WOUIAN3
r
WlWlOi ’ d
iO0 l’dl
IbllUltlDlNVd’d

P.FOLb%lRC
L
IO-SI
.-
O-
(A)
, -
s-
5-
+-
3-
Fioure 11 : Influence de la fumurc m i n é r a l e a z o t é e sur l e rikvelcppement
de la Pvriculariose foliaire (A) et paniculaire [R),
ainsi que SUT le rendement ICI de dix variétés de riz pluvial de nappe, à Badiana en 1987, localité moins favorable
à la maladie.


Figure 12 : Influence de la fc,mw-e minérale aPot& sur le déwlonoernent *je 13 Pvriarlariose foliaire (Al et paniculaire (RI,
ainsi que sur le rendement (Cl r!e dix variétés de ri7 anllatique ;3 CVCIPS vé&tatifs c o u r t s f< 120 iours), à A n a m h é
en 1986, localitf moins favorable à la maladie.


(A)
(B)
Fiwtre 1 ? : I n f l u e n c e d e la flimtrre minaraIe azotée sur Ic dkveloppement
rie la Pvriculariose
foliaire (A) e t paniculaire (R),
ainsi que s11r le r e n d e m e n t fC) dc dix wriét& de riz aqllatiow à cvsl~s véqétatifs movens (> 120 iours) à Anamhé
en 1986, localité moins favorohle à la rnaloriie.


Fioure 14 : Influence mwenne, sur les six environnements, de la fumure minérale azotée sur le df%eloppement de la Pvriculariose
foliaire (A) et paniculaire (R), ainsi que sur le renrlement fC! de dix variétés de riz pluvial strict, en Cosamance, Sénéoal,
de 1986 à 1987.

P. PAWICULAIRE P %) 4
P.FOLYRE 1
(P.100,
100 j
(0-S) 1
si
SOj (6)
.! (A)
1
7;
,/”
IKONO
PAO
6oii
/" /.'
50-j
,/.
;'
lkP”
-
-
--------. IKONB PAO
-
-
- - - .- IET3137
Fiaure !O : I n f l u e n c e mouenne sur l e s h u i t e n v i r o n n e m e n t s , r(e la furnure minérale azotée sur le rléveloppement
de la
Pvriculariose foliaire (AI e t paniculaire (~1, ainsi que sur le ranrlement CC) de rfix v a r i é t é s d e r i z a q u a t i q u e
à cvcl13 v é q é t a t i f s c o u r t s (< 120 illlrs!,

en Casamance,
au Sénéqal, de 1986 à 1987.


P.
FOLIIIRE
(
(O-91
(A)
SO
(B)
70 !
Fiaure 17 : Influence movenne, sur les huit environnements, rie la fr~mure minérale azotée sur le développement
de la Pvricirlariose foliaire (A) et paniculaire (RI, ainsi que sur le rendement (CI de dix variétés de riz
aquatique à cycles véqétatifs movens (> 120 jours), en Casamance,
au Sénéqal,
de 1986 à 1987.