Ii Jan BENIES1 ,, CDH-PNUD .X ...
Ii
Jan BENIES1
,,
CDH-PNUD
.X
B.P. 154 Dakar
TBI. 22.25.06
RECHERCHE DE TYPES D”AUBERGINE A~~i~AlN~
AU SENEGAL
R E P U B L I Q U E D U S E N E G A L
MINISTERE DE LA RECHERCHE SCIENXIFIWJE
ET WUHNIUUE
BNSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRKXXES

Tahle des mati?Zres
Page
1.
INTRODUCTION
..s*...*‘.*...‘,**.....*.*...*,..*..
1
2.
FACTEURS LTMITANT&POUR LA CULTURE DU JAXATU EN
SAISON CHAUDE ET HUMIDE
. . .
..~......~....~~....".
3
2.1.
Principaux parasites du jaxatu, de mai à
octobre
.*~.,.*,.,*.,.~.....*...~~*‘..~~~.~
3
2.1.3,
Les acariens ..*..*..*..*.*....s.*.
3
2.1.2.
Scrabipafpa ergasizua ..,,,rr...r..r
4
2.1.3.
Jacdbiasca lybica .,....,...*.*...s
4
2.1.4.
Méfckdogyne spp. <‘*.*r*.**rc*,‘..*
4
2.1.5.
Phycita sp. .**.*..,.... .*.*...t..
4
3.
RELATIONS PHYLOGEAETIQUES IN'JXA-AEThIOP'iCZf;~ ET EKRE
AETHIOPICUM ET D'AUTRES SO= SPP. DE NOTRE
COLLECTION
. .
..*.*r...**....~**....,...~..**,*.,*
5
3.1.
Relations entre sous-espbces
l .*....‘r,..rr
5
3.2,
Compatibilité? interspécifique
*.rrt.r*.**..
5
3.3.
Exemples signal& de résistances aux parasites
ou autre caractirre d'intéri-t pour l'am$lio-
ration du jaxatu
*,r*rrr.*..r....*r.*.....*
7
4.
DESCRIPTION DU MATERIEL GENETIQUE OBSERVE AU CENTRE
7
5.
RECHERCHE DE RESIS;TANCE AUX ACARIENS, JASSIDES ET
IWMATODES ET D'EVENTUELS CRITERES DE SELECTION
. . .
9
5.1. Acariens
.,,.i~..‘..***...........*.*...*...
9
5.1.1.
Approche et mêthode pour l’évaluation
de i'infestation
..*.*...*e**..**.,*
9
5.1.2.
Résultats et conclusions
. . . . . . . . . . .
12
5.1.3.
Observations sur la pihsit~
.*.*.*.
J2
5,2, Jassides
l *.rt.e.L...**,*...........,*.....”
15
582.1.
Interprdtation des résultats
. . . . . . .
17
5.3. Nématodes B galles ..,....,.....s..........,
17
5.4. Caractéristiques agronomiques supp?&~entairea
de quelques types retenus comme géniteurs .,t.
20
6.
CONCLUSIONS ET POURSUTTE DES TRAVAUX
,......,e,,.
21

i.
L’aubergine africaine ou amke est un des lëgumes les plus
importants de l’Afrique de l’Ouest et Centrale, ensemble avec I’amaranthe,
le piment et le gombo.
Dans certaines régions, comme le Glana, le Togo, le Bénin
et le Nigdria, les Solarium non tub?kif&res sont populaires pour leurs
jeunes feuilles succulentes qui sont consommées e:‘. ESpinard : il. s’zgit
dans ce cas, surtout de Sotanum macrocarpon et de Sr>lanum aethiopicum
subsp. gilo.
Dans d’autres pays, comme le Sénêga. i la C8te d?Ivoire, le
Cameroun, le Gabon et le Congo, ces espikes .;ont c~~l~tiv”ees pour les fruits
de dimensions et formes t&s varizbles, En Côte d’Xy,\\fre et en Afrique
Centrale, ce sont les types de Sclanum aethiopicun 2ubsp. gilo ou de
Solanuin anguivi qui sont répandues, au S-kégal, Ii mbergine arn&e ou
jaxatu ou encore diachatu indique toujours des variétgs de So‘i.anüm
aethiopicum subsp. Kumba. Les fruits de tautes ces espéces 0t sous-esp&.zes
sont jaunes ou rouges !4 maturité, mais sont récoltés bien avant ce st2de,
lorsque la couleur est bleu, vert, vert-blanchâtre à jaun3tre ; 11 en est
d’ailleurs de m@me pour l’aubergine exotique (So2anu.m melongena),
Au Sên&gaZ, sur le plan économique, le *‘jaxatu” occupe une
place importante parmi les legumes de type africain. La consommation
d’aubergines (S. meiongena et S, aethiopicum confondus) serait de 8.000 t.
p o u r 19-5 (Delvaque, ;980), La consomation par faniille de 12 personnes
serait d’environ 100 g de fruits par semaine 3 Dakar (SOF, 19811, contre
I,2 kg par semsine en Basse-Czsamance (Lays, 1983) Selon 1.e meme auteur,
les besoins annuels pour cette zone , peuvent atteir;9re 840 f.
Ces quelques donnks nous 2m,èn~~ht à avancer un besoin annuel total de
5 B 6.000 t. pour le pays,

2.
Selon des rolevEs de prix effectués sur ~tn mrché ingort;r~t
de Ilakar (voir fig. 1)’ celui-ci varie de 180 B 600 I? CFA et Est Éleyv-Z
de ?i.ai à Octobre (ce qui c o r r e s p o n d a v e c ia p é r i o d e d e s rendeEcrits Ici57ec
dG au parasitisme intensifié).
Pr ix/kg F CFA
JAXATU
Rendement t/ha
t
If
‘1
t
\\
/
\\
/’
\\
i/
\\
Prix en F CFA
.“--’
\\;
- - - -
/-----
Rendement t /ha
\\
i- - ‘) --w-.y-v-y---
J’
s
A
;---g--.--
-I-f- -7-----------t-
K
b
J
F
n
l------
.
tl
lItOiS
Evolution des prix sur le march6 de Castor (Daka,r) pour 3983
(P. Seck - non publié) et rendements obtenus au CDB en í%2/83
(Benvenuti, 1984).

3.
La valeur wr~iti.w des fruiizs de jaxR:-..: est 63.evIe en ce
qui concerne : taur dc prnf&es, f $6 % (i *9 % ,pour 3.2 haricot vert),
glucides, f ,2 % et vitamine A (175 wq/ 1CO g) ) mais S~~~ez faible paur
la vitamine C (9 meq/lW’g.).
2.
FACTEURS LTMTTAi?"POUR LA CULTURE DU I'AXAL'U EN SAXSON CHAUDE ET HUMIDE
Les chutes de rendc;mcnt de Juin Zi Septembre furent initialement
expliquées par des attaques intensifiÊes de Stemphyiium solani et de
LeveiLlula taurica du feuillage.
IJous avons cependantï c’bservé que le dF?eloppement de ces
maladies 6 ‘intensifie â partir des mois d’Octobz:e et 8ovem:k~e 05 le
potentiel de rendement Cvo’suc ~ver.~ un Maxime J-I (I îlte Jarwier-Mars).
QUOiCpE!
S’aspect phytosanitaîre jolie sa1 s doute le r8l.e
le plus important, 13 chuta du wndement en sailion chaude est Egale-
ment lige au cycle réctuit par 11~:s tempkatures GievGes et une floraison
avancée par 1’ allon.gemcnt des .i ours6e.s.
2.1.
Principatix. parasites clü je~ztu, de &L â Octobre (sai.son chaude
-
-
-
- -A.%.
- I C I - -
et humide)
2.1.1.
Les acari-3s
c--.#--l.m-.s-.m
Ce sont su.rtsu i. les T :..+ran~~oh~ms ~pp w a.lrrl. S:ont importants
â côtG de Pol>pk~go: ~irsçet:i 9s l.a~:~s.. Les jeunes fer;illes sont dbform$es
et ne s’étaient p‘ïus ; lea feuilles ait;.lltes prbs;:-;tent des taches jaunes
au-des sus des wlofiies et f iniseent -ar tomber pour les variét6s sensibles.
Les fortes ï;;.ti-iiqueS de -',
j< .~i7p~agola~sonent’ls provoqur:nt des dlformations qui
font penser a:~:< viroçes,

2.1.2.
Scrobipalpa ergasima
--1--1--111-11--~“~*”
Microlépidopt&e ,imporrant depuis fin i983, L”adu:te pond tr8s
t?it sur le bouton floral. La petite chenille se d&eloppe en se nourrissant
de l’ovaire qui s’hypertrophi-c avant la chute de la fieur,
En Juillet 1984, ce parasiteainduit des pertes allant de 90 B 100 I
sur la varigtê Soxna, Il importe de tester dans 1’ immnlsdiat des insecticides
de courte rémanente (pyréthrinorde ou mevinphos, p.e.) pour L”utiïisation
pendant la rkolte qui s’effectue tous les 3 2 4 jours.
2.1.3.
Jacobiasca lybica
‘~.,.-“.“m..m-~wm..-amm‘.~
HomoptZ-rc important au dgbut de la sai;jon chaude et humide
(de Mai ?i JuilLetj. Une attaque sêw2lre peur fortemeYc st?duire ie ren&-
ment suite au jaunissement des bords des limbes suivi c!’ un enrozdemenic
en cuillke, avec brunissement, La lutte chimiql.- est simple et efficzce
(acêphate ou dimêthoare) *
2.1.4,
Mêla?dogyne spp.
c’w.-..“l...--“L......”
Ces nêmatodes endoparasites causeur des dlg&s bisez faibïes
en saison skhe, mais peuvent h.>duire un arr”i5t de vGgétation prononcé
chez S. aethiopicum subsp. Kumba, var. Soxna, en saison chaude et humide
en sol infesté. Solarium macrocarpon (Collingwoad, i981) cl Gtr? rapporté
résistant.
2.1,5.
Phyci ta sp c
-m---..b-w-
LZpidoptke nouveliement apparu sur taxatu dont Les chenilles
dëfoliatrices sectionnent partiellement les feciilles qui sont ensuite
utilisêes comme enveloppe du cocon, Les dégiits peuvent fr,tre importants
sur une jeune plantation, peu aprss reprise.

5.
3,l.
Relations entre sots-eor&..is
a
-
-
Sur 7e plan intrasp&zifique, Choudhurry, 2982 et Lester, 1982
ont rappor t6 ?‘interferti.litê encre S. aathiopicunl (probabienzent Rumba)
e t l a sous-espke giI.0, liao (!919> avait conclu h une ceiraine forme
d’incongruité entre les sous-es$ki-s S. aethiopicm subsp, gi,lo et
S, aethiopicum subsp. aculeaiun (mî.ien S. integri.foZivm) ; j:X. obtenait
des semences qui rie germaient pas (entagonisme embryon-albumen ?)&
Les perspectives d’amélioration 3 partir d’hybridisation entre les
sous-groupes seEblent donc rZk12es.
Akinro, 198: a mis en évidence un %>ffet ~‘h~%frosbs
prononcé (+ SO Z d’au~entarien de producti XI) ti. re diff Crentes formes
de S. aethiopicum du groupe giSo La possibilitc G.c. pouvoir cambiner des
génes de rÉsistame dans certaims hybrides et de yo.woir expLoites
simuftan&ent l ’ e f f e t d’i;et&osj.:f qz,,vre @videmiaeue. des persp!::&vcs
suppl&nentaires,
3.2. Compatibilits inter~~&.$~~
Le degré de rozpa~ii~~litG varie selon les espikes et les
auteurs :
- interFeréi.litE rxlstera.it entre S, aethiopicuoo et S. anguivi
(+I*esr:sr, i r,22)
. e * /

it
t
*.
.
4

.
4

.

.

.
.

.

ir. Q . k
.

.

.

.


.

.
.

.

.
.

,.
.
.

.
-4
.l
“!’
.

.
i
! i i
/
1
i
.’
I
t.

.

.
. . .
.
..;
.

.
I
I 3 8
/
! ! 1 l ]
i l
r /
I
!
! I I
/
/l
/

j
! j
I
i
1 :
j
I
,
!
*.

.

.

.1

.
.

.

.
.


.
.
/

.’
..’
..i.,

, I
.

f
18
, i i
.
. /
I
I
j
I
j

.
*

G

.

.
i

.


.
.


.

!
.
.


.
.;


r j
I
i.
:

‘.i
!


.
:..
.


.
1

.
6.
,,
.


.

.
.


.
.

*,
.

.

SoLaxi~;m Inacrocar~on
: r-6sistnnce aux acariens (physiologique ?)

ibiIil& (2) .ux
8.
-
3
3
2
t
2
: -2
2
2
1-2
L
t-2
2
1-2
3
!-2
i-? u. plsc oYrrJ%.
2
ve*t
1-Z
3
1-z
2
h-7
1
I-2
I
b-5
0
2-3
0
2-3
0
,
2
I
0
t-4
0
I-7
0
3-8
b
J-2
0
1-Z
0
0
I-5
0
1-4
J
3-h
t
i-4
I
S-Mi
0
-
-

9.
5i
~CHERCHE: DE W$ISTAMCE Ai..?X ACA’RIENS, AUX JASSIDES ET AUX NE:MA’iUDEz
DANS LE MATERIEL DISPONIBLE ET D’EYENTUELS CRITERES DR SELECTION
5.1.
Acariens
5.t.1.
Approche et m&hade pour l~&aluation de la rÉsistance
C”~l--~-rrr-r-------~--“~--~-~-“---~C--LP-L-UI--~-----
Comme nous avions consta& tr&s tOt qu’il y avait apparemment
une relation positive (en ce qui concerne S. aethiopicum) entre la pilcsité
du feuillage de certains types et ?.a persistance di feuillage sur ces
mêmes types, ainsi qüe la r-6duction des symptômes an g&Gkal, nous avons
essaye de mettre en évidence cette relation entre fa densit& des populations
d’acariens d?une part et la pflositd des feuilles, d‘autre part,
Les premi8res observations nous ont fait croire e:. la prQsence de trois
types diffkents d’acariens parasitaires. Hou; les avons provisoirement
détermin&s comme suit :
Tetranychus urticae
Tetranycks cinnabarinus 3
Polyphagotarsonemus Istus
Un acarien predaceur a également êtê observé, Des bchantillons
ant &ê prbpar$s paur identification et envoyiss au fisde de Tervuren et 2
l’Université de Gand en Belgique.
Nous n’wons pas pu d6terminer des differences de nuisibilitG
entre les diff&ettes espkes, mciis il est certain que les d&$ts provoq&s
par l e s Tetranychus SP?‘ étxient- de lsan l e s p l u s j.mportants.
Le but de natre G.:marche était donc de quantifier par comptage
les diffêrences d’attaques enrre Ses types de Solan: -!I ohservês dans le
temps et d ’ essayer 6. Y exp?icw~: 32~3 X’&iUltatS en fonction de la pilosité des
feuilles, sa.ns tenir comprc? d autres facte:.rs, p& . ceux d’ordre physiologiquea

P~ur chaque comptage, ent étê priSlev6es six Eeuillet6 :
2 prè, du sol
: nivkku 1.
2 3 mi-niveau de la v”cgêtation
: niveau 2
2 jeunes feuilles dêployhs
: niveau 3
Chaque lot (par type ) co3.siste en lignes de 9 plante; randomisées
par une variéte sensible : Soxna <I Les comptages ont OtZ? ef fect&s sur les
5 plantes centrales de la ligne. Les acariens furent: comptbs sur 25 cm2
par feuille. Le chiffre-indice de la densit6 est la moyenne poux les 2
f euifles recalcul6e. sur I cm2.
Pour Les comptages, ‘nous avons seulement retenu. des types
prikentant des caractéristiques agronomiques (forae et dimension des fruits,
rendements, etcr ,.> pas trop illoignh du type Jaxatu (Soxnajà afin de faciliter
le progransne pour le transfert des g&nes, sauf MM 284.
Tous les stades de dêveloppement des acariens ont ér6 comptés,
sauf les oeufs. Vu le travail consid&able, les ~I?ri~s de comptage ont
à chaque fois aSf être echelonnEes sur plusieurs jours,
. *. /

If.
Tableau 3.
Gsultat des comptages par date et niveau [sur la plantej
Nambre moyen ciqacariens/cm2
T = Tetranychus s p p .
P = Polyphagotarsonemus sp,
Type
de Solacum
Date comptage
Acarien
Bot loa
T
6,13 e t 20/8 P
pzs i&? 3e comptage
- - - - - - “ w - w - - - - -
-as ds 3e comptage
i
-...l-
--
>
SM]
T
pas de comptage I
II et 20/8 ’
--“---.LIII<
-SC....“*..
MM 284
T
14!8
P

12.
5.1.2,
RésuItats et conclusions
__IYIU-_I------^LMI-_I-)
- Il est clair que les dëgâts les plus importants sont cüiise~ par
les Tetranychus spp.. LFesp8ce Polypbagota +j(Jn-s ‘--rzjît
pu
Y?,&?
moins mobile (attaques isolées).
- Pour les Soianum aethiopicum, l a Gsistance nara?t ft3itement
Liée 2 la pilosité des différentes formes : Bot,, Bot !Oe, Rot 10
L<
a’
Bot 10g et fso: 10 .
c
- Pour Le3 autres Soj-anum sgp,, S, nacrocarpon et S, sisynbrifclium
présentent des &sZstanccs remarquables. Le fait qrz” ii y ai.t peu
d’acariens et pas de d6f tliation chez $5, macrocarpon i SM ) pGU’l3CCii.i
! ’
ê t r e e.xpliqué par ~DE to.!iSrance physiol,ogLql,e, puis-;u’ i.1 S’ - .f’
d,&k L
d’un t y p e B feuilles g?abres, la situation est pluu :Etire i:hCZ
Solarium sisymbrEfoliu:n (MM 284) oh nous avons observe des poils
simples et des poils éioilês sessiles. Tous les poils p0rte.n: B
leurs extrsmités des gouttes miswscules d”une substance gluante
qui, comme nous ?‘~vons observé, empêche lPGvolnt50n des ;zcariens
et d’autres insectes, fi’z autre aspect tr& int5ïessant est que
la forte spinosité du calice protèg.2 les fruité wntre l e
lGpidopt%re S:%robipalpa erg::sima. il e s t Zgalewni: intkessant d e
signaler ici, ‘une borne Asistance d-u Bot 10 a ce même papillon
$
5.1 .3.
Observations sur la pilosité
-1-.,--.-e.---- I...-I-IIIC--L”.----.,.
Comme il est bren coanu que lû pi lcrsi;..f des Lcai: Ses pou;. cons-
tituer un facteur de rêsistance morphologiq,ue cc ntre les i?îsecteç ou les
acariens, afin de pouvoir d&wntrf::r les +elatiûua entre ia ticnsirt? des

13,
populations d’acariens et le degré de pilositg, des comptages de densité
et de dimension ont ét6 effectues sous microscope binoculaire, a l’aide
d’une écheSle graduee, sauf pour Iles types Soxna, Bot1 Lt et S, macrocaxpon
qui ont des feuilles glabres. Tous les types poilus ont des poils étoiT&
nonsessiSesr sauf S. sis-ymbrifolium qui posséde des poils si:mpIes et
étoilés, mais sessiSes. t”6toile est constituée de branches uinplcs et une
extension pointue de la base verticale.
Les réscbltats de In densitg sont exprimés .:omrw la moyenne de
six comptages, la hauteur des poil.s et leur 1E;rgeur totale, y compris
1’ étoile, comme la moyenne de deux observacioi,s.

g
s ‘1
i?
3
-------7
m

-

-
r
CCI
---.--T---
r-

-
-~..-T-.--‘
9

--“-
In
_.--.-1
-T-
U
--------
m
c-4
..T
w

-.-.-_-

^._.


15.
Tableau 4.
DensitiS de la pi’loaitd 8uF les feuilles de dif&&ensta types
de Soianum non tuIGrPS%es (en nombre/m2)S longueur et
largeur (en u) *
365
540
f
425
li
24,34
I
470
33: 3'7
I
4x5
ï-34 284
/
XI,94
I
409
t
i
‘il existe une corr&lation négative significative entre fe na~bre
de poils par mi 2 et le nombre d’acariens par cg;2 sur les jeunes feuii.les,
80 jours apr.&3 le repiquage,
P * -0,695*
;
Y e 27,18 - 1,39 :c
La relation entre la PilositQ et ltinfea-ation par les acarlens
est chi.re~Fjrll: i’ilirstrk dar,a Za figura 2.
Y.. /

,--.
--..
.-*
r
Niv 1
CL<.---%“--
3
>
a
1

17.

Concl~w3ions :

25
0
32
‘?
18
3
41
23
$3
41
56
6
74
10
47
:3
SO
4
59
4 6
0
0
0
0
4 3
0
18
a
5 5
5
31
0
56
..$
Sb
0
20
0
50
25
3 0
25
12
2
i
i:.,
:Ca
13
$2
29
50
0
40
35
48
4
19
0
a5
0
3?
c

----------Y
N’ambre ;
de
réco*rss
;

2?.
Pour ces deur: derni.ers parasitrs, un. lutte cli.imiqi:e ctficace
existe ou est envisageable et à mefrtre au @int pc~c;r Skre~~ipalpa,

1.
2.
3.
Lc. .
c
2.
6.
7.
'1Lt
9
*.
10.