/ . h.--i- . T DE RECRE%EES 5+R ....
/
.
h.--i-
.
T DE RECRE%EES 5+R .
SYi5TEME8 AGiMIRES
b1
ET
L ‘ECiMG#iIE AGRICOtli’
DOWBLE CULTURE ET SES EXIGENCES
A VDIAXE/CXApTI du 23 au 25 JAMER lS89
CEN1
DE RECEE.ClHS A@UWLES DE SAINT-LOOIS
pour but de rssu+68eP t8 debit dl4 ft@UW 8t d8 8tOpp8r l'UI?a?&8 d% &l
lan@# 8UIb8. h8’ dbponibilit& p8rWmmt%8 d'ecru douC8 Sont &V8nuBS donc
(Ou te aerqnt tdb %ntbt) choecs &elb dan8 1’81588mbtn ds k Value.
i
“op8?d+t te8 barrage8 d 8uX-88ute 119 8ùffi88nt PU8 QOUP b Zh~tiO-
tien d8 lu cuit* &'l'i@d8. CO t kW'i d&lUl?& (LU ~dht5b t8 de8 WII&q8m8nt8
dont le8 coi2ts d !l %ctare SO?& 8ethds 8ntr8 800 000 8t 4 000 000 F 8uiVant
t@8 tt/pg8 dà #r+tF88.
1
/
&a r8n+biliftatùm d8 tou8 (198 inV88ti888nMnt8 114 peut 88 fuir8 qu8
par un% intensif
ion de8 8u8t&l88 de Ci&l@& Int8n8ifiCUtion dont l88
2'&8UhZt8 Sont
zpnmt Utt8&8 tha le aadm du plan Ch’dUti82’ : 8Ur une
pr&v&don de 1 "
7 ;8 000 tonnes de ah&ales d l’an 2000, lu contmbutùm &s
C&Z'&Z188 ir+&h+ doit &re do 38X, pOU2' 10% 88Uh8nt ds8 824@2'fùh8.
Un8 d8j vo-b8 d~tntena3f~ation
, est 1 1aug3nentation de l%stensit&
oul*al8 par la youbl8 Culttrrs et peut-&re tripl8 cu1tutw.
Si 188 8x&+8nc$s CO-8 &a c8 dOmain m8tt8nt en dVids?me un cm-tain
taombre d8 contrafntes, i l 8mbk qui& l%we aotualte, le8 plu8 ii@88 s o n t
d ‘cwdre organ~a@mn8 1 ou lioe8 d 1 ~&&~m@nf.
i9ou8 abodsrom
n8 ce document les d~ffhwntes 8ucce8sion8 culttudea
+
rdalisub~e en dc&ble cuhuv et &udhvna d travers ~‘exemph! d%ne de 888
canposantse, k'$aiaon s&?h8 chaude, parttculie~m8nt c81kp de 1988, hs facteurs
d8 bkmage et l81 uond-it ion8 & ~alisatùm.
I - LES SVCCESSIONS !mLTU?ALES Qp DOUBLE CVL!RJRE
i
La do+% culttcro 88 defhit p kz WCC888iOn de deus CUttUW8 dan8
l'ann&8 8ur un8 F parce ll8.
Dana kr rbg$O?t d$ fiUV8, 8Uhlnt k8 8Ui8OTl8, ~tustiurCr 8UCC888ionS 8Ont
~ZTlti&Ibl88. &ïl
1 dO?lW~~ll88 & 8Ont ~tiqu&S aCtt48ltem8nt CklnS k8
p0*tree de
-.$ -
‘SIOS CUlTU”;tiS PAATIqllEES ACTU~lltmT OMS IA M6Ioll.
IIrWSorgho MS-S
Rit/lkts - Sorgho
Riz/Rir
Rir/Rir
N
HIV - Hivrr8y~
SSf - hiion SlcAe froide
SSC =.Siiron Sichr Ckrude
La s~ceseia retenue pour un pPrtn&re donn4, est gifn&ralement ddtsnninde,
888 CaYWCtdl’i8ti~e8 p&c&zogique8.
a) Pour le4 p8rimdtre8 installda sur de8 80~8 de forrdg
. Mats b sorgho d ‘hiuernage/ma$s ou so@o de saison S&+U fzvide. Cet te
succession fAdents dans 188 r&iono de titam et Bakel est g&&alement rBserv4e
h de petits p&r/.m&res dont lea sols .tr& filtwxta ne conviennent pas rl la risi-
C U lture. L e goulot d’&mg:lement 8e situs e n &Sobre-Notice (rdcolte d e l a
prmigre cultur#, p&ration du sol et semis de la deuMme), Des sentis de contre
saison effectu&’ audea du mois de Novmbre voient g&&wlement leurs rend@nents
t
.baisser du faitj de la f&con&tion~atu~t~ qui s ‘effectue pendant les p&ioAs de
fmtss chaleurs; ‘Cette dewSlme~‘Cu’ttuzw a $in&uknont un cycle plus long du fait
dea bawes tem ’ ratures en début de &g$tation.
*
‘t”
I
. Ris dilhiverwge/irx& OU sorgho de saMon sD&e froùb.
Capne pour la pyécgdsnte; î?e.;& oruxm3sha-8e rencontre gdY1Bmtment dan8 te8
1
plu8 a& k4X qu+ l e 8 pPk?&~+%nk. ti goulot d’&unglemont 8 2 s i t u e d l a m&ne
p&hde que pOUri la 8ucceadim pdcddente, mai8 le cahdrier est plu8 se294 ici :
1~ ris d fihiverma$e pouvant avoir un cycle plue bng que celui du mats.
. Ria ~‘hivernage/tanate de saison s&he fdde.
/
Cette succa38iori pa*. preth44 actuellement r’est possible que 8ur des p&im&ree
disposant de SO!+8 de pO&cutture, apte8 d r&?eWir Ce8 Sp&?ulattonS. h temps
td8 cri%& entre: la IhOtiS du tir et la prbpimtiO?I du 801 (kdJouP/offsrt jh8
billonnage) r&&$t 888 chancea d@ dussite pour b moment en milieu pausan.
LGS P. 1. Y de la #ogeme Val& par la nature de leur 801, conviennent parfaitement
a ce type de 824Ct/?%SSiO?2, mai8 dan8 oette aona se pose le problème de 1 l&oulement
de la tomate ou’ke sa trrrnsfomrartion sur place. A la place de la tonurte, d’autzxw
Cl<W%?S mah?l~IWS tel8 quS 1@8 C+OUX, 1438 Oi@W%S . . . pMW?lt btl9 l’ddi8&08.
b ) Pour le8jphtitreS d Sots 1Otu’dS et/ou 80%
j
Ce sont te8 phhhH8 de riaicuttum par excel koe, dkux euccessitma
8OHt pOeSibte8 :
. Ria dghiV%P?faQe/?'ia d@ StZiSO% 8&Ch4? fZ't?iag.
Pour la dea&& culture, le ris doit e?tre inp&rativement se& avant la fin
Novembre. Pour cc tte succession, tes pointe8 de tzuvail se situent donc en
Oct0 breilfovembre a Les travaux d# rdwlts et battage du ria de contre saison se
d&muIent en Mai- 4Juin, phiode penhnt laquelle les risques de pluies sont fa2bles.
t%3te~~ contre saieon-ltivernags est a8888 large pour penettrs la z+ali-
!
lUdO% de8 fw%i Cultu?WhTS.
Cette suwession ta 1 ‘avantage de pemttre 1 Wilisation d lune seuls uari$t& de
cycle moyen (120 jours en hivernage, mai8 plus de 360 jours en wntre saison d
cause des bas888 tempkratures de Dhmbre d Fdvrierl pour les deux campagnes.
. Ris dl1 ivemage/tia de saiwn e&he chaude.
t? '88 t h 8UCC888' on la plu8 r&andue dan8 la Agion actuell4ment. Le goulot
d’atrumglement s( situe entre Juin et Aotit, p&iode pendant laquelle il faut
effectuer les r& olte-battage du ris de antre eaiscn et les ptiparat ions du sol
et te8 88VliS du ; Za d ‘hiverntage. L ‘arritie des pluies avec 1 ‘inetal lation de
1 ‘hivernage pende 3nt cette’ @que, rsml difficile 1 ‘ex&cutàon de ces opdrationa.
.
._:
-4-
u
De pari le8 euperfioiee emb lav&ee, et le nanbre de p4rùntZtrea touch&,
la saison 8Me +md8 88 a dtd Un8 de8 plus importantes. Cependant 8a rbalisation
ne 8 'est toUJ*om+ pa8 dhVut& dan8 ts oadre dbe cibuble cuhm. Troie situations
&ffhmtes 88 ~ncmtPent dane le8 p&im&res OS etle a dt$ effectde. L$~T les
1188,s ha, &P t' 8Q4$18 MU8 diSpOW?%% do dOn?t&?8 :
r
- 157,p ha repPd8entent de noutw1014c cmdnage~nte.
- Se#,) ha, de8 phin&tree ancien8, n'aycrnt pa8 &d cultivde
Pen
t 1 ‘hivernage 87.
9
- 43#,/9 ha reprdsentant de8 partie8 de p&rhbes cultiu88 en hiverqge.
I
Except4e la 801181 de Aldioun d t hwmb~ C&M P.I. Y ont requ une &uxi$ne culture,
ta contre eaieonjn~a ooncerd qUe Sd 53% ch8 8a@Wfiaie8 de 688 pdPimhre8.
2.1 - La gdpara~ion i aol
!
OnaP$nc+tr/de~x type6 fieprdparation:
l
tmwil& ~1 Avec 416,#ha, 8Oit pd8 de 40x, cette technique
-L+
semble awirw iu me grunde diffwion pendant lasaiWn84khe 88. Ceci cet Ii4
certainement a ub problkme de calendrier. Il a surtout &d adoptd dane k D8lta
(p&im&tre de Gw Digue Telle11 & de8 g~oUpm$nt8 ou sections vilbageoise8
1 ‘ont &pt& en ba88e.
- k t~wil 8uperfiaie~. &iw?tt 148 p&r&dtres, il est rdati8& manuel-
,
lonent, a ta traktion anbale ou tu tracteur.
Le travail ma?x#il : r&ali84 824~ une euprfioio de 113,s ha, il intbresse essentiel-
,
lenwnt le8 P.I. 4 (A&d Lao ut #atcam).
/
La traction an&&24 : elle a &4 r4ali84e sur un pKm&re nouvellement cr& 8ur
le Ngallenka. Lai 824perfG2ie attribui#e a2ix adMrent8 (0,75 ha) assea importante
pour un P.I.V, 1~8 a conduit cezrtainsment a 88 tmrmer ver8 b cheual a cause de
t'Ub8etlCe d08 tripdeUP8.
Malgr& 1 %tilis~~ion des chezxzwc, cette opkation s'eet &roulee 8ur une p&+iode
a8888 longue : + ,jOUr8 (cf figure 2)) mÛt8 8On dharrage pP8WC$ a permis de
Aaliser 188 tm+8 dan8 le8 ddlai8.
LIoff8bt, il conoerne me 8U~PfÙh de 580 ha. Dans l’ensemble cette
ophtion a d&m&d a8888 tandi~vement : ddht Mars a I;amp8ar, fin Fh-i~r a
- . .._-...-..-*
l Ces rirultrts
d'une cnqu)tr rlrlish prr la ?kki i... +-Q dPI'ISRh
et de 18 !MO sur lr sriron sache ehrude 08.
lhhard-Tot t of elle 8 ‘est btal&e jhqu $2 la middars, dt mi-F&vrier d Nianga OII
L
un taux d ‘@Uip~nt a8888 dhtd a pemri8 sa rdaliaG~!%m SUI’ une cotcrts durde :
les 62,s ha odi dtd tlYZtMillbe par 5 tnaoteurs appartemnt aux StM.
DUPIS le Delta i’l a dtd rdali84 en ~RVIC% partie par de8 entreprisee ptivh :
SO@%, SOCAS, $TIm On note cependant par endroit une participation de lu S@D.
. D&e :l %~emble, la pr¶tkn du a01 a dkarz+ tr8s td et 8’est
étal&e 8ur une ~longue p&riode, 8wtout ii A&& Lao (Zone ds Ndioun).
2 . 2 -
On note C#WX mode8 d%plantation :
Il a &ti prczt àqd dan8 laa sons8 de Bfbane (Riohard-Tel 11,
de Ilthioun
8 Matcn, RcœptP Motawt, les p&pinieree ont &t4 in8tal2Bes
tardivement szubtt a AM Lao d pour certain8 P. I.V on peut wnsidtir qu’elles
eont dqtideu k 1 thivermge.
- Le banis direct. lb18 le Delta, le8 Semi8 ont cwmrenc& tardivement
I
. (2 tir8 d hpqr, 6 Mars a orande Digue et 23 MCZPS a Richard-Tolll et 88 sont
baU8 sur un mois environ, dépassant largement la date butoir du 10 Mars.
Ce dgmarrsge t+dif de8 senti8 est lie en partie au r8tcud accu8& dans la ptipa-
ration du sol. ‘LVtalhment est a, dan8 certain8 pWm#tre8 d de8 prcbZ3mes d’ir-
rigation 1iBs 4 l’etut du rdseau hydrraclique.
L’IKE! a wuvert plus de 80x des ezqerficies, d obtb d’elle on a note
d ‘autre8 varStb8 de qcte wurt : KSS, et KE 998. Lu JAYA a 4td cultiubs atEBsi,
maie 8ur de pe+tee su~rficiea.
2.3-L@ rouijsicmemnt et 1 %tilisaticn des intrants
in a rem$mtr4 diffdrentes voies dtap~vi8ionnement en intrants :
- Ac+t groupd. Le gmqmnent de8 prvducteurs aprb avoir recens4 les
beeoin8 de se8 jzc%&rents effectue une conmnde aupr88 des foumisseuqj, ~'~hat
se fait directgnt (au wmptant) ou par 1 ‘inteddiaire de lu Caisse Nationale
de Cr4dit Agrù?/ole. Cette vois a wncern$ surtout les engmis.
- Ao!/at individtcel aupAs des famiasacre. Cette voie a surtout 4tB
fr@ente dan8 ile Delta. Le r4glement pouvant #tre effectuB dans ltikun4diat ou
*
diff&&. C’est jla wie qui a 4:td la plu8 fr@eamrsnt choisie pour 1 tapproviaion-
nement en herbi@ie, mais pour ce piodtit ) les raglements ont toyjour8 dt6 e f-
fectu&8 QL1 wll+a?lt.
On a notd un ch OQ des dom L? 'wpri~ (~IkIMI et Me m9lmrgb ont otd faits a
C8lrndrier
opt in81
i
1 mpr u
(#dl&-Ndirye)
i
22.~7 ha
213
5/4
bande Digue Telle1
675.1 ha
Richard-1011
7.5 hr - Seais d i r e c t
47.9 - repigurge
llqrilrnkr
45 ha
Wiangr (C)
62.5 hr
13/e
13/8
ACrL l.80 (Wdioui
103.5
natrm
15.3 hr
luie
tam)
30
24
18
R . Blthio
12
Hiv. 68. 224.1 mm
6
1-8 pdpU8tiOn d u aO1 : C ; cortre rrison. H : Hivernyle. T.EO : T r a c t i o n (quine. L.Il. : 18bour manuel
0 6 Se8is pdpiniare
m Seoir
f-1 rqhu89e
~rkoltr
arme1 l
e
m brttrg. l 8nU8 1
_ battage maconique.
- 7-
.
t&w gmupawnte~d8p2vdaetgurs).
c
En plu8 d8 ce8 cgcfiats, on a note une utilisation de reliquat d’engrais des
~@UN3 pdabqlmte8.
En dejwre du Dslta, la SAED a cltd le pkncipal fourkseur. Don8 certaine
p&im&ree ~quel+uee intrants ont &O pa#e d Dakar. Le8 approVisionnement se.sont
faits dme la p$art des ccrs, apz48 Z’installation de lu culture.
A l’~&&w de8 diff&rentee d&@gation8 (Dagana, tir et titam) On a
nota une forte Fation de8 PkS. L’ordrs & gsw%wr dtant l e m6ne d’une ddl&
gation a MO 42+8.
Aimi pom le 1 +bo, le8 pti Ont V~i6 ds 85 ooo F/TO?tn% a fl4 soo F/zbt?!f2, pOUr
15d6, d8 61.opo FITO- a 75 000 FITCNVW.
L’enq?tr meds -08 de quelqUe agritn4lteure Sur 1 ‘utilisation dos
intrants fait rjeeeortir de8 te?dances 8ur l’application du 18-46-O : le8 groype-
ment8 pwvent /re rsgroup~s e?a 3 Cat&Orie8 : un8 prmi8re OP la tenchce $$t
un8 utilieatiok g&l&aliaks du 18-419-0, un8 deuxi&e, & on note une absence
g&draZe et une, troiei&ne 02 1 ‘utilisation varie de 20 d 80% des pausans. ht cas
d %tili8ation, $ee doses sont trde variables : de 17 d 117 kg/ha.
Pour lQu$e, OA a notb quelquea parcelles 8ur lesquelles il n’est pas apportd.
&n fra&onmpt sst plu8 ou moins lig a~ groupenent, mais n%mp&che que le
nanbre d lapport/8 peut txzrîer d 1 %nt&&ur d’un n&me grvupem8nt.
Le8 dos88 8n ~48 de dewc apport8 sont g&ndrulement plus ble&ss que quand il
8 ‘agit d’un 8Q$ a&WPt.
Le8 do888 dan8 ila Moyenne Val& (Zone de fldiown) sont g&a&u~enent plu8 dleties
que celle8 du +tta. Ceci est Ii& certainement d la tailk des parce1 ks trde
petite, qui va+ entre 7 tlre8 et 34 are8 d ivdiown.
L’utilisation + l’herbicide eet Me faible curssi bien pour le nombre d*ag&ul-
teurs, que pouj k8 doses utilise88 CO,8 d 4 l/ha).
2.4 - La r&colt/e
Elle ;a &B manuelIs dans 1 ‘ensembk de8 p&zindtres. ElZe a &butO en
miJuin pour a/ tsnnimr dana c8rtaiw p&dtre8 du Delta, d La fin Septembre,
eOit 8W’ plu8
3 mois.
+
A #&ga et IEU ;Ipgallenka, h dWlte 8’e8t dh3d&8 8ruS M mOie enVirC%
l&epta Mata& ,on a not& par%% 5 .4, finkmvgdon d Qaae main d twutlre extkriewv d
h fm<lk. Bl!e est I$mWMkd8 +,?& ii ~%c?c.!:~& (1.2 ,000 ‘fv ‘d 16 000 F $uimnt qu$
la nourriture 4-L le logeme& *,.sf 1.1, $Otc,I. *r> t2.C ;-&) &&~~~‘l& ‘j&&&s (450 l?/ jour),
-80
!
2.5 = L e htta$*/
- .^
t-
lt Sui+ d8 tr88 Pr98 tU P&Wtte : d6bUt8 8t S’ach&v$ quelque8 jOIU%3
ap&. oUnS te Dftta et a bhtCa7b it u dtd $?ttibm$?d &ti8d a ta nioit%.
mne le Delta 03~ on a fait intervenir de ta main d’oeuvre 8atari&e, cette-ci a
&Q rdmdrde iu#quU 750 P le 8ac de 50 kg d8 paddy (en hiwmrags, cette r&~-
&ation rit de +SO F d 500 F te et&?).
Au Ngallenka et 4 Nianga, une partie du battage a gtd fait m&zaniquen$nt. Dan8 le
premà%r p$rim&! on a eu une int$rIUnt&m de batteuee de la EMDER, r$mun&r&$a
Qu l/ls$ d8 ta &bth, d&l8 1% SeWnd p&i$t&$, Ce 8Ont 188 batt8l48$8 de8
SWA qui ont &td'utittides : la dmudration est fixde au III& de la production
o u d 2 0 0 0 0 F/’ $eatare.
ta fi$U?‘e~ 2 RIOnt+% Qu4 POUP 1% htttl, 088 Op&IUtias 8 % Sont d&OU~&t?8 au-d$Id
de8 date8 pr&U$~ 8l42’ te C~t%ndrier OptùnUt et qrC ‘a @&ir de &a mi-Aotit, $lk8
84 eont &rouUe+ dmrs de8 condition8 diffici le8 : presque 90% de ,3 p licie tomb&e a dtd
enregistr& entre!le 16 Août et le 21 Septembre.
Dan8 ce8 condit&, te8 chance8 & r8alisation et de rh88ite d’une de&&ne
Ct&+re d %iver&$ 8ont trb8 faibles. De ptu8 k8 perte8 do rendement augmentent
et la quaI$t/ &du )+a ed fortement affectde.
Pour la Moyenne lallde,
i
except& A(I& Lao 0s le8 ~pini&es &alisd$s en Avril-Mai
sont d cheva 1 ençre une campag~ de saison séche et une d’hivernage, on peut consi-
dhr qu’on est &ne le cadz~ m&me d’une ~atieation de double culture,
On peut/ dpnc retenir pour cette eai8on 8dohe chaa4d4, un d4marrage tadif
dQ certainement cd un mtanque de pr4paration, mai8 cecsei de c&dit (approvteionnement
en intI’cVtt8 ap24” 8$mi8). c% dhZZ’lU(Je tcrrdif e8t 8ul’tOut ?‘$88$?Iti dan8 l$ D$&z
où il a Bté accen/tUg par un mrrnque d Vquipanent &ur le battage et une ptisence
d touvriers agri wlle8 faib te (la r&@ lte et le battage sont gHra lement effectuds
par des sala&?8 $enant du Jeeri aprk l%se r&coltss des cultures d’hivemragg).
Dans la ma&ur pa ie des pdrim#trea du Delta oti la wntre aaisa a &d &alisée,
Y
ta culture d ‘Iriv$nage n % pas pu 8e faire.
Ii - FAC!l’EURS DE BL&E ET EXIGENCES DE LA DWBLE CUL!fURE
/
De8 ob8 1 rvation8 tir&es de la wntre ecrieon 8&?he 88 et &8 exptki$?uw8
pa8aQe8, un certal nombre dten8$ignement8
pour la double culture :
FIGURE 3 : FACTEURS IBïFILENçA;HpLE CALWDRIgRCULTURAL
-w
1
:.
ORGANISATION PAYSANNE
/
I
-L-L--- -..___. ._._.. -.-.. ._-. .-. -
STRUCTURE DE
L'EXPLOITATION
,->
06JECT l FS
I> EQUIPEMENT AGRICOLE
.'
\\1
STRATEGIES
(Moyens mobiiimbhr,
CREDIT
dater d’intervention)
lw
I
I
TECHNIQUES
- 10 -
I
L%8 enqu&%8 ulfonnrl~~~ m&88 &?U la Un% fO?It r%88~&ir que 1 tint8n8i)ication
n'88t pa8 tOUj+ h*@ttf dU pCr#8@l, la tendrutce dans Certaine8 801198 88t lu&%
z
acatgnukztiO?t dg terr8 8n maintenant un 8ysthw de culture d faible intend&
au&4rale. + aertainee exptoitation8, l%zgriculture e8t toujours considh&e
cuwne une asti+ $2 subsistance, et non rknhatrice, ce qui la plats au eecond
P&?I, derrihe >‘a~&%98 aCtiVitb8 81FtFII-a@%?0188.
LP&talem8nt de j&z r&?Olte-batta$e dan8 le Delta montre aussi que cerfakee $htilles
n'acceptent pas! toujours le tmvail 8uppUmentairr ou laborieux gh#raZem+t omj%
d de8 OuVFi%l’8 lagricob8.
. Faible ~~eohnicit8w : si la plupart des ohef8 d'e3q,loitation ont ma$tri8b
- te8
teab+%8 de prodwt ion, i 1 8e pose a %ux h plu8 souwnt , un prob &e
d~organieation bt de ploming, ou globalement de MNAGWENT. Peu d’spM$atim
a@&~?~8 ont + plan dlu’ilisation bien d&finie, dan8 h temps de kwa terres
(la mise 8n p
8 d ‘une CU ltur% de cw ntre saison est 8OUWnt dhid8 tz$8 ta&.
Dans ,le cadre di, la.double culture, 1 Qriculteur doit Btre ug bon manager, il lui
devient de plutien plm indispensable d’avoir un calendrier qui d&age le8 princi-
PauJt Ql&l%nts 4 la caqa$?le : stcperfiaie 11 emblaver, date8 d'intervention et
mO#@W%8 n&Oe88t+M.
/
. L'&quip+mBnt : il cet indiepewable dans le cadre dbne agriuulture
mOti%~~, car ~'1st le seul nwyen d'effectuer Certaine8 Op~t~n8 dans 108 d&lais
et de respecter / le calendrier oultuml. Cet &uiptment doit 8% fa$re Cz dexc
I
nitwacx ;
- Nivh $mq?emnt ou eedon Vilhga&se pour le groS mat&rhl,
ew et difficilensnt ghble au niveau individwl.
- lit+4 exploitation pour le petit mUtMe (pulv&risateur. ..) pemet-
tan4 d 1 tagricu lteur d’avoir une certaine autmanie.
. L88 d&nibilit&8 finmCib8 et k Cddit : IZS 88nrbht avoir &lJ d
l’origine du retbd ptis dans le d&narmge de la sais cn 88Chs chaude dhs certains
@+Il&~8 du Deilta.
Dans le cadre del t1 application de la Nouvelle Politique
1
Agricole, 1 ‘existence de
ddit en dbt k campagne set indi8pen8ab~ pour la dalisation de certains
eavaux fpAparal ion ch4 801) ma2s surtout pour lk~&8ition de8 intrants. LM
disponibilitda fjinanai8rss sont également ~a888air88 pour le paiement de oortaine8
pr%Btations db 8 rvices en fifi de camp- : le paiement de la Aaolte (15 000 P/ha)
et du battage (3l0 F le sac)’ est &.hal-ement beauaoup plus avantagause que ‘Ze
pcahrmnt m mtwb (80% de La prc&ctGm pom ‘k? moimmeuse-;bClttause, 10% -pota
to battag8). j
- 11 -
Lea focteure c/d8 &d~8SU8 influenoe>ti directement ou indirectement le
ca2endrier cultfra~~ maia en plus de ceux-ci, on peut noter eur la figure 3,
deux autres 4l+ta qui inturviennmt.
- L5ilmqagenent : De par eu conception et 1 Wat du rtkeau h&zuliqus,
1 ‘am&Ulgement iifluenCe le CUlendr~r cultuY%xl : la taille des parcell%$ est
dgterminante 8uJ certaines ~echniquae, 1 Wat du rbeeau joue surtout la gestion
de 1 ‘eau en deb+ de cycle et 1 Vtalemnt des semis.
-Lec1*t:
Il joue surtout le d&veloppement &g&tatif (C@e dee
plantes) maie a.&ai eur le nanbre de joure de tmuait en debut d’hivernage.
3.2 - tee edge&ea de lu cib&te aulture
!
Four +e rbalieation oorrecte de la double culture, un certain nombre
de mnditione eo/nt donc d r-tir : cf figure 4.
Figure 4. Conditkons ad&quatea de r&tiaatàm de la double culture.
Respect ocrlenhkr oultural
XWUEEE CULTURE * OBJECTIF
*EXIGlNCES
Equipement fonctionnel
Te&&.% & pouee&e
Exietsnos de d&wh~e
Lu double cultw# &it ktre un abject if : elle nhaaite 4 la foie des intrants
/
oouteux, mobiliab la main d%euvrB en perwznence avec des pointes de tmvail par
manent. Ceci doil &re accepte par 1 lexploitatim.
~4s conditions d) Aalieation sont :
. Amh/zpne* appmprti : Une bonne m&riae de 1 ‘eau est un plamge
correcte sont de+ pr~alablea 0 remplir pour une intensificatàon dea eyethwa de
culture irri@aj
Lea interce& hiuernage-eaieon sache froi& et aation a&he chaude - hiuernage
sont aouuent tr&(a courts. L~am&w~emertt dIaires de battage peut aesouplir lee
calendmers cul~raux. Des pistes d’ac& e& &alement nheeaires pour 1 ‘Ocou-
tement de Eu px+ction.
. Reepfct du Cah&ier eultural : Des d&calages sur le calendrier opt 4nal
ae traduisent to#oure par une afrute de rendsment (les oonditione cl+natiq+e
deviennent d4fav&ablee d 1~ matw~i~:~~ OR gffe&ent la qmlit& de ta pm&co<~
ris en pl&.zi .+i.r~emq:,:),
- 12 -
&
Si la cbuble c: lture doit 88 Aa1 ieer avec de8 calendrier8 ddcaU8 par rapport
I
a ceux prdcon~ de pour le marient, il est prdfdrable de ne faire qu’une culture
par an awc un bon calage 4fin de faim un rendmmt optimal permettant de dégager.
une murge brut, ?W@h.
. Un &uipement foncthnel : C’est un de8 dlhente fondtmentawc pow
le respect dei3 calendrier8 culturaux, Il &4t surtout viser le mat&riel pour le
tmtdl au 801 et pdsenter une gmm varide pour diffhentee Con& tion8 (eec,
hweùle . ..I.
. Te IMitO pouee&e : IR ohef d’exploitation doit mahhsr lee
technique8 ou1
ulee maie ddtenir aussi et ddvelopper de8 technique8 de gestion
moderne pour a
exploitation. Ce wmaganent devient indiepeneable d partir du
tnornent od “1’Ex trieur” tintmate, main almwm et &uipment extm familiuux. .,)
wtant dan8 la prcduction.
. &i :ence ds d#OuahbS ,: L’intoieification ne peut se fa-h que si le
tzTwai1men&ou
riveau & l!clxploitation eet r&nundrd. Pour cela le8 agb0dh
repdesntent un tail Zen indi43psneable, car conetituent a ta foi8 un point d8
depart bat=
I revemte) et a ‘amivde fbcoulement de la pzvduction) .
Lad0 de culture reste une voie d%ttmeification et de rrntabi liefat ion
de8 0dnogemmt h&wagricolee. Cependznt, e ‘il reste encore des mbldmee
techniques d rd wdre (adaptabilitd de certaines variMe ou esphee au froid ou
d la chaleur) 1 I probUmee li4e d I~o~anieation, d ll&uipenent et au crédit
eenblent 4tre p ~3 pertinents actuellement.
ELle doit reste un ob,jectif national, mais ea gdndralieation dans les pdridtres
hydroagricolee
wa un tratkzil de longue haleine qui ndcessitera entre autms une
eeneibiliaat ion ,t une fomhtion eouter~ee des agriculteurs.
Si sa rdal ieati I doit se faire dans un cadi diffdrent de celui pr&onie$
actue 1 lement (r rpect de8 calendrier8 cultauuux), les rdeultate attendus ne seront
pas atteinte et Gequent &3 placer les exploitations dan8 une situation difficile.
BIBLIOGRAPEIE
- - -
JAuIif J . Y . - : ?6 : propos it ions d ‘aatione de redret?che et de dooelopp~~t
pour un8 meillut4-e amdf3aan8~ et une mi6 Ilww
utilieation au tniliuu mturr,t de hz ValUe ~44 Fhvr SlhrigaZ
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h.--i-
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T DE RECRE%EES 5+R .
SYi5TEME8 AGiMIRES
b1
ET
L ‘ECiMG#iIE AGRICOtli’
DOWBLE CULTURE ET SES EXIGENCES
A VDIAXE/CXApTI du 23 au 25 JAMER lS89
CEN1
DE RECEE.ClHS A@UWLES DE SAINT-LOOIS
pour but de rssu+68eP t8 debit dl4 ft@UW 8t d8 8tOpp8r l'UI?a?&8 d% &l
lan@# 8UIb8. h8’ dbponibilit& p8rWmmt%8 d'ecru douC8 Sont &V8nuBS donc
(Ou te aerqnt tdb %ntbt) choecs &elb dan8 1’81588mbtn ds k Value.
i
“op8?d+t te8 barrage8 d 8uX-88ute 119 8ùffi88nt PU8 QOUP b Zh~tiO-
tien d8 lu cuit* &'l'i@d8. CO t kW'i d&lUl?& (LU ~dht5b t8 de8 WII&q8m8nt8
dont le8 coi2ts d !l %ctare SO?& 8ethds 8ntr8 800 000 8t 4 000 000 F 8uiVant
t@8 tt/pg8 dà #r+tF88.
1
/
&a r8n+biliftatùm d8 tou8 (198 inV88ti888nMnt8 114 peut 88 fuir8 qu8
par un% intensif
ion de8 8u8t&l88 de Ci&l@& Int8n8ifiCUtion dont l88
2'&8UhZt8 Sont
zpnmt Utt8&8 tha le aadm du plan Ch’dUti82’ : 8Ur une
pr&v&don de 1 "
7 ;8 000 tonnes de ah&ales d l’an 2000, lu contmbutùm &s
C&Z'&Z188 ir+&h+ doit &re do 38X, pOU2' 10% 88Uh8nt ds8 824@2'fùh8.
Un8 d8j vo-b8 d~tntena3f~ation
, est 1 1aug3nentation de l%stensit&
oul*al8 par la youbl8 Culttrrs et peut-&re tripl8 cu1tutw.
Si 188 8x&+8nc$s CO-8 &a c8 dOmain m8tt8nt en dVids?me un cm-tain
taombre d8 contrafntes, i l 8mbk qui& l%we aotualte, le8 plu8 ii@88 s o n t
d ‘cwdre organ~a@mn8 1 ou lioe8 d 1 ~&&~m@nf.
i9ou8 abodsrom
n8 ce document les d~ffhwntes 8ucce8sion8 culttudea
+
rdalisub~e en dc&ble cuhuv et &udhvna d travers ~‘exemph! d%ne de 888
canposantse, k'$aiaon s&?h8 chaude, parttculie~m8nt c81kp de 1988, hs facteurs
d8 bkmage et l81 uond-it ion8 & ~alisatùm.
I - LES SVCCESSIONS !mLTU?ALES Qp DOUBLE CVL!RJRE
i
La do+% culttcro 88 defhit p kz WCC888iOn de deus CUttUW8 dan8
l'ann&8 8ur un8 F parce ll8.
Dana kr rbg$O?t d$ fiUV8, 8Uhlnt k8 8Ui8OTl8, ~tustiurCr 8UCC888ionS 8Ont
~ZTlti&Ibl88. &ïl
1 dO?lW~~ll88 & 8Ont ~tiqu&S aCtt48ltem8nt CklnS k8
p0*tree de
-.$ -
‘SIOS CUlTU”;tiS PAATIqllEES ACTU~lltmT OMS IA M6Ioll.
IIrWSorgho MS-S
Rit/lkts - Sorgho
Riz/Rir
Rir/Rir
N
HIV - Hivrr8y~
SSf - hiion SlcAe froide
SSC =.Siiron Sichr Ckrude
La s~ceseia retenue pour un pPrtn&re donn4, est gifn&ralement ddtsnninde,
888 CaYWCtdl’i8ti~e8 p&c&zogique8.
a) Pour le4 p8rimdtre8 installda sur de8 80~8 de forrdg
. Mats b sorgho d ‘hiuernage/ma$s ou so@o de saison S&+U fzvide. Cet te
succession fAdents dans 188 r&iono de titam et Bakel est g&&alement rBserv4e
h de petits p&r/.m&res dont lea sols .tr& filtwxta ne conviennent pas rl la risi-
C U lture. L e goulot d’&mg:lement 8e situs e n &Sobre-Notice (rdcolte d e l a
prmigre cultur#, p&ration du sol et semis de la deuMme), Des sentis de contre
saison effectu&’ audea du mois de Novmbre voient g&&wlement leurs rend@nents
t
.baisser du faitj de la f&con&tion~atu~t~ qui s ‘effectue pendant les p&ioAs de
fmtss chaleurs; ‘Cette dewSlme~‘Cu’ttuzw a $in&uknont un cycle plus long du fait
dea bawes tem ’ ratures en début de &g$tation.
*
‘t”
I
. Ris dilhiverwge/irx& OU sorgho de saMon sD&e froùb.
Capne pour la pyécgdsnte; î?e.;& oruxm3sha-8e rencontre gdY1Bmtment dan8 te8
1
plu8 a& k4X qu+ l e 8 pPk?&~+%nk. ti goulot d’&unglemont 8 2 s i t u e d l a m&ne
p&hde que pOUri la 8ucceadim pdcddente, mai8 le cahdrier est plu8 se294 ici :
1~ ris d fihiverma$e pouvant avoir un cycle plue bng que celui du mats.
. Ria ~‘hivernage/tanate de saison s&he fdde.
/
Cette succa38iori pa*. preth44 actuellement r’est possible que 8ur des p&im&ree
disposant de SO!+8 de pO&cutture, apte8 d r&?eWir Ce8 Sp&?ulattonS. h temps
td8 cri%& entre: la IhOtiS du tir et la prbpimtiO?I du 801 (kdJouP/offsrt jh8
billonnage) r&&$t 888 chancea d@ dussite pour b moment en milieu pausan.
LGS P. 1. Y de la #ogeme Val& par la nature de leur 801, conviennent parfaitement
a ce type de 824Ct/?%SSiO?2, mai8 dan8 oette aona se pose le problème de 1 l&oulement
de la tomate ou’ke sa trrrnsfomrartion sur place. A la place de la tonurte, d’autzxw
Cl<W%?S mah?l~IWS tel8 quS 1@8 C+OUX, 1438 Oi@W%S . . . pMW?lt btl9 l’ddi8&08.
b ) Pour le8jphtitreS d Sots 1Otu’dS et/ou 80%
j
Ce sont te8 phhhH8 de riaicuttum par excel koe, dkux euccessitma
8OHt pOeSibte8 :
. Ria dghiV%P?faQe/?'ia d@ StZiSO% 8&Ch4? fZ't?iag.
Pour la dea&& culture, le ris doit e?tre inp&rativement se& avant la fin
Novembre. Pour cc tte succession, tes pointe8 de tzuvail se situent donc en
Oct0 breilfovembre a Les travaux d# rdwlts et battage du ria de contre saison se
d&muIent en Mai- 4Juin, phiode penhnt laquelle les risques de pluies sont fa2bles.
t%3te~~ contre saieon-ltivernags est a8888 large pour penettrs la z+ali-
!
lUdO% de8 fw%i Cultu?WhTS.
Cette suwession ta 1 ‘avantage de pemttre 1 Wilisation d lune seuls uari$t& de
cycle moyen (120 jours en hivernage, mai8 plus de 360 jours en wntre saison d
cause des bas888 tempkratures de Dhmbre d Fdvrierl pour les deux campagnes.
. Ris dl1 ivemage/tia de saiwn e&he chaude.
t? '88 t h 8UCC888' on la plu8 r&andue dan8 la Agion actuell4ment. Le goulot
d’atrumglement s( situe entre Juin et Aotit, p&iode pendant laquelle il faut
effectuer les r& olte-battage du ris de antre eaiscn et les ptiparat ions du sol
et te8 88VliS du ; Za d ‘hiverntage. L ‘arritie des pluies avec 1 ‘inetal lation de
1 ‘hivernage pende 3nt cette’ @que, rsml difficile 1 ‘ex&cutàon de ces opdrationa.
.
._:
-4-
u
De pari le8 euperfioiee emb lav&ee, et le nanbre de p4rùntZtrea touch&,
la saison 8Me +md8 88 a dtd Un8 de8 plus importantes. Cependant 8a rbalisation
ne 8 'est toUJ*om+ pa8 dhVut& dan8 ts oadre dbe cibuble cuhm. Troie situations
&ffhmtes 88 ~ncmtPent dane le8 p&im&res OS etle a dt$ effectde. L$~T les
1188,s ha, &P t' 8Q4$18 MU8 diSpOW?%% do dOn?t&?8 :
r
- 157,p ha repPd8entent de noutw1014c cmdnage~nte.
- Se#,) ha, de8 phin&tree ancien8, n'aycrnt pa8 &d cultivde
Pen
t 1 ‘hivernage 87.
9
- 43#,/9 ha reprdsentant de8 partie8 de p&rhbes cultiu88 en hiverqge.
I
Except4e la 801181 de Aldioun d t hwmb~ C&M P.I. Y ont requ une &uxi$ne culture,
ta contre eaieonjn~a ooncerd qUe Sd 53% ch8 8a@Wfiaie8 de 688 pdPimhre8.
2.1 - La gdpara~ion i aol
!
OnaP$nc+tr/de~x type6 fieprdparation:
l
tmwil& ~1 Avec 416,#ha, 8Oit pd8 de 40x, cette technique
-L+
semble awirw iu me grunde diffwion pendant lasaiWn84khe 88. Ceci cet Ii4
certainement a ub problkme de calendrier. Il a surtout &d adoptd dane k D8lta
(p&im&tre de Gw Digue Telle11 & de8 g~oUpm$nt8 ou sections vilbageoise8
1 ‘ont &pt& en ba88e.
- k t~wil 8uperfiaie~. &iw?tt 148 p&r&dtres, il est rdati8& manuel-
,
lonent, a ta traktion anbale ou tu tracteur.
Le travail ma?x#il : r&ali84 824~ une euprfioio de 113,s ha, il intbresse essentiel-
,
lenwnt le8 P.I. 4 (A&d Lao ut #atcam).
/
La traction an&&24 : elle a &4 r4ali84e sur un pKm&re nouvellement cr& 8ur
le Ngallenka. Lai 824perfG2ie attribui#e a2ix adMrent8 (0,75 ha) assea importante
pour un P.I.V, 1~8 a conduit cezrtainsment a 88 tmrmer ver8 b cheual a cause de
t'Ub8etlCe d08 tripdeUP8.
Malgr& 1 %tilis~~ion des chezxzwc, cette opkation s'eet &roulee 8ur une p&+iode
a8888 longue : + ,jOUr8 (cf figure 2)) mÛt8 8On dharrage pP8WC$ a permis de
Aaliser 188 tm+8 dan8 le8 ddlai8.
LIoff8bt, il conoerne me 8U~PfÙh de 580 ha. Dans l’ensemble cette
ophtion a d&m&d a8888 tandi~vement : ddht Mars a I;amp8ar, fin Fh-i~r a
- . .._-...-..-*
l Ces rirultrts
d'une cnqu)tr rlrlish prr la ?kki i... +-Q dPI'ISRh
et de 18 !MO sur lr sriron sache ehrude 08.
lhhard-Tot t of elle 8 ‘est btal&e jhqu $2 la middars, dt mi-F&vrier d Nianga OII
L
un taux d ‘@Uip~nt a8888 dhtd a pemri8 sa rdaliaG~!%m SUI’ une cotcrts durde :
les 62,s ha odi dtd tlYZtMillbe par 5 tnaoteurs appartemnt aux StM.
DUPIS le Delta i’l a dtd rdali84 en ~RVIC% partie par de8 entreprisee ptivh :
SO@%, SOCAS, $TIm On note cependant par endroit une participation de lu S@D.
. D&e :l %~emble, la pr¶tkn du a01 a dkarz+ tr8s td et 8’est
étal&e 8ur une ~longue p&riode, 8wtout ii A&& Lao (Zone ds Ndioun).
2 . 2 -
On note C#WX mode8 d%plantation :
Il a &ti prczt àqd dan8 laa sons8 de Bfbane (Riohard-Tel 11,
de Ilthioun
8 Matcn, RcœptP Motawt, les p&pinieree ont &t4 in8tal2Bes
tardivement szubtt a AM Lao d pour certain8 P. I.V on peut wnsidtir qu’elles
eont dqtideu k 1 thivermge.
- Le banis direct. lb18 le Delta, le8 Semi8 ont cwmrenc& tardivement
I
. (2 tir8 d hpqr, 6 Mars a orande Digue et 23 MCZPS a Richard-Tolll et 88 sont
baU8 sur un mois environ, dépassant largement la date butoir du 10 Mars.
Ce dgmarrsge t+dif de8 senti8 est lie en partie au r8tcud accu8& dans la ptipa-
ration du sol. ‘LVtalhment est a, dan8 certain8 pWm#tre8 d de8 prcbZ3mes d’ir-
rigation 1iBs 4 l’etut du rdseau hydrraclique.
L’IKE! a wuvert plus de 80x des ezqerficies, d obtb d’elle on a note
d ‘autre8 varStb8 de qcte wurt : KSS, et KE 998. Lu JAYA a 4td cultiubs atEBsi,
maie 8ur de pe+tee su~rficiea.
2.3-L@ rouijsicmemnt et 1 %tilisaticn des intrants
in a rem$mtr4 diffdrentes voies dtap~vi8ionnement en intrants :
- Ac+t groupd. Le gmqmnent de8 prvducteurs aprb avoir recens4 les
beeoin8 de se8 jzc%&rents effectue une conmnde aupr88 des foumisseuqj, ~'~hat
se fait directgnt (au wmptant) ou par 1 ‘inteddiaire de lu Caisse Nationale
de Cr4dit Agrù?/ole. Cette vois a wncern$ surtout les engmis.
- Ao!/at individtcel aupAs des famiasacre. Cette voie a surtout 4tB
fr@ente dan8 ile Delta. Le r4glement pouvant #tre effectuB dans ltikun4diat ou
*
diff&&. C’est jla wie qui a 4:td la plu8 fr@eamrsnt choisie pour 1 tapproviaion-
nement en herbi@ie, mais pour ce piodtit ) les raglements ont toyjour8 dt6 e f-
fectu&8 QL1 wll+a?lt.
On a notd un ch OQ des dom L? 'wpri~ (~IkIMI et Me m9lmrgb ont otd faits a
C8lrndrier
opt in81
i
1 mpr u
(#dl&-Ndirye)
i
22.~7 ha
213
5/4
bande Digue Telle1
675.1 ha
Richard-1011
7.5 hr - Seais d i r e c t
47.9 - repigurge
llqrilrnkr
45 ha
Wiangr (C)
62.5 hr
13/e
13/8
ACrL l.80 (Wdioui
103.5
natrm
15.3 hr
luie
tam)
30
24
18
R . Blthio
12
Hiv. 68. 224.1 mm
6
1-8 pdpU8tiOn d u aO1 : C ; cortre rrison. H : Hivernyle. T.EO : T r a c t i o n (quine. L.Il. : 18bour manuel
0 6 Se8is pdpiniare
m Seoir
f-1 rqhu89e
~rkoltr
arme1 l
e
m brttrg. l 8nU8 1
_ battage maconique.
- 7-
.
t&w gmupawnte~d8p2vdaetgurs).
c
En plu8 d8 ce8 cgcfiats, on a note une utilisation de reliquat d’engrais des
~@UN3 pdabqlmte8.
En dejwre du Dslta, la SAED a cltd le pkncipal fourkseur. Don8 certaine
p&im&ree ~quel+uee intrants ont &O pa#e d Dakar. Le8 approVisionnement se.sont
faits dme la p$art des ccrs, apz48 Z’installation de lu culture.
A l’~&&w de8 diff&rentee d&@gation8 (Dagana, tir et titam) On a
nota une forte Fation de8 PkS. L’ordrs & gsw%wr dtant l e m6ne d’une ddl&
gation a MO 42+8.
Aimi pom le 1 +bo, le8 pti Ont V~i6 ds 85 ooo F/TO?tn% a fl4 soo F/zbt?!f2, pOUr
15d6, d8 61.opo FITO- a 75 000 FITCNVW.
L’enq?tr meds -08 de quelqUe agritn4lteure Sur 1 ‘utilisation dos
intrants fait rjeeeortir de8 te?dances 8ur l’application du 18-46-O : le8 groype-
ment8 pwvent /re rsgroup~s e?a 3 Cat&Orie8 : un8 prmi8re OP la tenchce $$t
un8 utilieatiok g&l&aliaks du 18-419-0, un8 deuxi&e, & on note une absence
g&draZe et une, troiei&ne 02 1 ‘utilisation varie de 20 d 80% des pausans. ht cas
d %tili8ation, $ee doses sont trde variables : de 17 d 117 kg/ha.
Pour lQu$e, OA a notb quelquea parcelles 8ur lesquelles il n’est pas apportd.
&n fra&onmpt sst plu8 ou moins lig a~ groupenent, mais n%mp&che que le
nanbre d lapport/8 peut txzrîer d 1 %nt&&ur d’un n&me grvupem8nt.
Le8 dos88 8n ~48 de dewc apport8 sont g&ndrulement plus ble&ss que quand il
8 ‘agit d’un 8Q$ a&WPt.
Le8 do888 dan8 ila Moyenne Val& (Zone de fldiown) sont g&a&u~enent plu8 dleties
que celle8 du +tta. Ceci est Ii& certainement d la tailk des parce1 ks trde
petite, qui va+ entre 7 tlre8 et 34 are8 d ivdiown.
L’utilisation + l’herbicide eet Me faible curssi bien pour le nombre d*ag&ul-
teurs, que pouj k8 doses utilise88 CO,8 d 4 l/ha).
2.4 - La r&colt/e
Elle ;a &B manuelIs dans 1 ‘ensembk de8 p&zindtres. ElZe a &butO en
miJuin pour a/ tsnnimr dana c8rtaiw p&dtre8 du Delta, d La fin Septembre,
eOit 8W’ plu8
3 mois.
+
A #&ga et IEU ;Ipgallenka, h dWlte 8’e8t dh3d&8 8ruS M mOie enVirC%
l&epta Mata& ,on a not& par%% 5 .4, finkmvgdon d Qaae main d twutlre extkriewv d
h fm<lk. Bl!e est I$mWMkd8 +,?& ii ~%c?c.!:~& (1.2 ,000 ‘fv ‘d 16 000 F $uimnt qu$
la nourriture 4-L le logeme& *,.sf 1.1, $Otc,I. *r> t2.C ;-&) &&~~~‘l& ‘j&&&s (450 l?/ jour),
-80
!
2.5 = L e htta$*/
- .^
t-
lt Sui+ d8 tr88 Pr98 tU P&Wtte : d6bUt8 8t S’ach&v$ quelque8 jOIU%3
ap&. oUnS te Dftta et a bhtCa7b it u dtd $?ttibm$?d &ti8d a ta nioit%.
mne le Delta 03~ on a fait intervenir de ta main d’oeuvre 8atari&e, cette-ci a
&Q rdmdrde iu#quU 750 P le 8ac de 50 kg d8 paddy (en hiwmrags, cette r&~-
&ation rit de +SO F d 500 F te et&?).
Au Ngallenka et 4 Nianga, une partie du battage a gtd fait m&zaniquen$nt. Dan8 le
premà%r p$rim&! on a eu une int$rIUnt&m de batteuee de la EMDER, r$mun&r&$a
Qu l/ls$ d8 ta &bth, d&l8 1% SeWnd p&i$t&$, Ce 8Ont 188 batt8l48$8 de8
SWA qui ont &td'utittides : la dmudration est fixde au III& de la production
o u d 2 0 0 0 0 F/’ $eatare.
ta fi$U?‘e~ 2 RIOnt+% Qu4 POUP 1% htttl, 088 Op&IUtias 8 % Sont d&OU~&t?8 au-d$Id
de8 date8 pr&U$~ 8l42’ te C~t%ndrier OptùnUt et qrC ‘a @&ir de &a mi-Aotit, $lk8
84 eont &rouUe+ dmrs de8 condition8 diffici le8 : presque 90% de ,3 p licie tomb&e a dtd
enregistr& entre!le 16 Août et le 21 Septembre.
Dan8 ce8 condit&, te8 chance8 & r8alisation et de rh88ite d’une de&&ne
Ct&+re d %iver&$ 8ont trb8 faibles. De ptu8 k8 perte8 do rendement augmentent
et la quaI$t/ &du )+a ed fortement affectde.
Pour la Moyenne lallde,
i
except& A(I& Lao 0s le8 ~pini&es &alisd$s en Avril-Mai
sont d cheva 1 ençre une campag~ de saison séche et une d’hivernage, on peut consi-
dhr qu’on est &ne le cadz~ m&me d’une ~atieation de double culture,
On peut/ dpnc retenir pour cette eai8on 8dohe chaa4d4, un d4marrage tadif
dQ certainement cd un mtanque de pr4paration, mai8 cecsei de c&dit (approvteionnement
en intI’cVtt8 ap24” 8$mi8). c% dhZZ’lU(Je tcrrdif e8t 8ul’tOut ?‘$88$?Iti dan8 l$ D$&z
où il a Bté accen/tUg par un mrrnque d Vquipanent &ur le battage et une ptisence
d touvriers agri wlle8 faib te (la r&@ lte et le battage sont gHra lement effectuds
par des sala&?8 $enant du Jeeri aprk l%se r&coltss des cultures d’hivemragg).
Dans la ma&ur pa ie des pdrim#trea du Delta oti la wntre aaisa a &d &alisée,
Y
ta culture d ‘Iriv$nage n % pas pu 8e faire.
Ii - FAC!l’EURS DE BL&E ET EXIGENCES DE LA DWBLE CUL!fURE
/
De8 ob8 1 rvation8 tir&es de la wntre ecrieon 8&?he 88 et &8 exptki$?uw8
pa8aQe8, un certal nombre dten8$ignement8
pour la double culture :
FIGURE 3 : FACTEURS IBïFILENçA;HpLE CALWDRIgRCULTURAL
-w
1
:.
ORGANISATION PAYSANNE
/
I
-L-L--- -..___. ._._.. -.-.. ._-. .-. -
STRUCTURE DE
L'EXPLOITATION
,->
06JECT l FS
I> EQUIPEMENT AGRICOLE
.'
\\1
STRATEGIES
(Moyens mobiiimbhr,
CREDIT
dater d’intervention)
lw
I
I
TECHNIQUES
- 10 -
I
L%8 enqu&%8 ulfonnrl~~~ m&88 &?U la Un% fO?It r%88~&ir que 1 tint8n8i)ication
n'88t pa8 tOUj+ h*@ttf dU pCr#8@l, la tendrutce dans Certaine8 801198 88t lu&%
z
acatgnukztiO?t dg terr8 8n maintenant un 8ysthw de culture d faible intend&
au&4rale. + aertainee exptoitation8, l%zgriculture e8t toujours considh&e
cuwne une asti+ $2 subsistance, et non rknhatrice, ce qui la plats au eecond
P&?I, derrihe >‘a~&%98 aCtiVitb8 81FtFII-a@%?0188.
LP&talem8nt de j&z r&?Olte-batta$e dan8 le Delta montre aussi que cerfakee $htilles
n'acceptent pas! toujours le tmvail 8uppUmentairr ou laborieux gh#raZem+t omj%
d de8 OuVFi%l’8 lagricob8.
. Faible ~~eohnicit8w : si la plupart des ohef8 d'e3q,loitation ont ma$tri8b
- te8
teab+%8 de prodwt ion, i 1 8e pose a %ux h plu8 souwnt , un prob &e
d~organieation bt de ploming, ou globalement de MNAGWENT. Peu d’spM$atim
a@&~?~8 ont + plan dlu’ilisation bien d&finie, dan8 h temps de kwa terres
(la mise 8n p
8 d ‘une CU ltur% de cw ntre saison est 8OUWnt dhid8 tz$8 ta&.
Dans ,le cadre di, la.double culture, 1 Qriculteur doit Btre ug bon manager, il lui
devient de plutien plm indispensable d’avoir un calendrier qui d&age le8 princi-
PauJt Ql&l%nts 4 la caqa$?le : stcperfiaie 11 emblaver, date8 d'intervention et
mO#@W%8 n&Oe88t+M.
/
. L'&quip+mBnt : il cet indiepewable dans le cadre dbne agriuulture
mOti%~~, car ~'1st le seul nwyen d'effectuer Certaine8 Op~t~n8 dans 108 d&lais
et de respecter / le calendrier oultuml. Cet &uiptment doit 8% fa$re Cz dexc
I
nitwacx ;
- Nivh $mq?emnt ou eedon Vilhga&se pour le groS mat&rhl,
ew et difficilensnt ghble au niveau individwl.
- lit+4 exploitation pour le petit mUtMe (pulv&risateur. ..) pemet-
tan4 d 1 tagricu lteur d’avoir une certaine autmanie.
. L88 d&nibilit&8 finmCib8 et k Cddit : IZS 88nrbht avoir &lJ d
l’origine du retbd ptis dans le d&narmge de la sais cn 88Chs chaude dhs certains
@+Il&~8 du Deilta.
Dans le cadre del t1 application de la Nouvelle Politique
1
Agricole, 1 ‘existence de
ddit en dbt k campagne set indi8pen8ab~ pour la dalisation de certains
eavaux fpAparal ion ch4 801) ma2s surtout pour lk~&8ition de8 intrants. LM
disponibilitda fjinanai8rss sont également ~a888air88 pour le paiement de oortaine8
pr%Btations db 8 rvices en fifi de camp- : le paiement de la Aaolte (15 000 P/ha)
et du battage (3l0 F le sac)’ est &.hal-ement beauaoup plus avantagause que ‘Ze
pcahrmnt m mtwb (80% de La prc&ctGm pom ‘k? moimmeuse-;bClttause, 10% -pota
to battag8). j
- 11 -
Lea focteure c/d8 &d~8SU8 influenoe>ti directement ou indirectement le
ca2endrier cultfra~~ maia en plus de ceux-ci, on peut noter eur la figure 3,
deux autres 4l+ta qui inturviennmt.
- L5ilmqagenent : De par eu conception et 1 Wat du rtkeau h&zuliqus,
1 ‘am&Ulgement iifluenCe le CUlendr~r cultuY%xl : la taille des parcell%$ est
dgterminante 8uJ certaines ~echniquae, 1 Wat du rbeeau joue surtout la gestion
de 1 ‘eau en deb+ de cycle et 1 Vtalemnt des semis.
-Lec1*t:
Il joue surtout le d&veloppement &g&tatif (C@e dee
plantes) maie a.&ai eur le nanbre de joure de tmuait en debut d’hivernage.
3.2 - tee edge&ea de lu cib&te aulture
!
Four +e rbalieation oorrecte de la double culture, un certain nombre
de mnditione eo/nt donc d r-tir : cf figure 4.
Figure 4. Conditkons ad&quatea de r&tiaatàm de la double culture.
Respect ocrlenhkr oultural
XWUEEE CULTURE * OBJECTIF
*EXIGlNCES
Equipement fonctionnel
Te&&.% & pouee&e
Exietsnos de d&wh~e
Lu double cultw# &it ktre un abject if : elle nhaaite 4 la foie des intrants
/
oouteux, mobiliab la main d%euvrB en perwznence avec des pointes de tmvail par
manent. Ceci doil &re accepte par 1 lexploitatim.
~4s conditions d) Aalieation sont :
. Amh/zpne* appmprti : Une bonne m&riae de 1 ‘eau est un plamge
correcte sont de+ pr~alablea 0 remplir pour une intensificatàon dea eyethwa de
culture irri@aj
Lea interce& hiuernage-eaieon sache froi& et aation a&he chaude - hiuernage
sont aouuent tr&(a courts. L~am&w~emertt dIaires de battage peut aesouplir lee
calendmers cul~raux. Des pistes d’ac& e& &alement nheeaires pour 1 ‘Ocou-
tement de Eu px+ction.
. Reepfct du Cah&ier eultural : Des d&calages sur le calendrier opt 4nal
ae traduisent to#oure par une afrute de rendsment (les oonditione cl+natiq+e
deviennent d4fav&ablee d 1~ matw~i~:~~ OR gffe&ent la qmlit& de ta pm&co<~
ris en pl&.zi .+i.r~emq:,:),
- 12 -
&
Si la cbuble c: lture doit 88 Aa1 ieer avec de8 calendrier8 ddcaU8 par rapport
I
a ceux prdcon~ de pour le marient, il est prdfdrable de ne faire qu’une culture
par an awc un bon calage 4fin de faim un rendmmt optimal permettant de dégager.
une murge brut, ?W@h.
. Un &uipement foncthnel : C’est un de8 dlhente fondtmentawc pow
le respect dei3 calendrier8 culturaux, Il &4t surtout viser le mat&riel pour le
tmtdl au 801 et pdsenter une gmm varide pour diffhentee Con& tion8 (eec,
hweùle . ..I.
. Te IMitO pouee&e : IR ohef d’exploitation doit mahhsr lee
technique8 ou1
ulee maie ddtenir aussi et ddvelopper de8 technique8 de gestion
moderne pour a
exploitation. Ce wmaganent devient indiepeneable d partir du
tnornent od “1’Ex trieur” tintmate, main almwm et &uipment extm familiuux. .,)
wtant dan8 la prcduction.
. &i :ence ds d#OuahbS ,: L’intoieification ne peut se fa-h que si le
tzTwai1men&ou
riveau & l!clxploitation eet r&nundrd. Pour cela le8 agb0dh
repdesntent un tail Zen indi43psneable, car conetituent a ta foi8 un point d8
depart bat=
I revemte) et a ‘amivde fbcoulement de la pzvduction) .
Lad0 de culture reste une voie d%ttmeification et de rrntabi liefat ion
de8 0dnogemmt h&wagricolee. Cependznt, e ‘il reste encore des mbldmee
techniques d rd wdre (adaptabilitd de certaines variMe ou esphee au froid ou
d la chaleur) 1 I probUmee li4e d I~o~anieation, d ll&uipenent et au crédit
eenblent 4tre p ~3 pertinents actuellement.
ELle doit reste un ob,jectif national, mais ea gdndralieation dans les pdridtres
hydroagricolee
wa un tratkzil de longue haleine qui ndcessitera entre autms une
eeneibiliaat ion ,t une fomhtion eouter~ee des agriculteurs.
Si sa rdal ieati I doit se faire dans un cadi diffdrent de celui pr&onie$
actue 1 lement (r rpect de8 calendrier8 cultauuux), les rdeultate attendus ne seront
pas atteinte et Gequent &3 placer les exploitations dan8 une situation difficile.
BIBLIOGRAPEIE
- - -
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/
OSA - CIRAQ - 16-18 lldaembe 1866.