REPUBLIQUE DU SENEGAL .m$$~$*- MINISTERE ...
REPUBLIQUE DU SENEGAL
.m$$~$*-
MINISTERE
PRIMATURE
DE L'EQUIPEMENT
DELEGATION GENERALE A LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
La pluviométrie au SQnégal
pendant la campagne agricole 1978 - 1979
Le 15 FQvrier 1979
Institut Sénégalais
de Recherches Agricoles
Service de la
(I.s.R.A.)
M6téorologic Nationale
(SAN.)
Ce trauail a été rBali.36 en collaboration etroite, entre
le Seruice’ de la MQteorologie Nationale (Section agrom6t6orologi-
qu&) et la Division de bioclimatologie du C.N.R.A. de Bambey (ISRA).
Las chercheurs
et techniciens suivants ont plus specialement
par-
ticipe
à cg. trauail (à sa conception et à sa réalisation) :
1 S
R A
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Sz!!
C, DANCETTE
c bioclimatologiste M. SECK
- Directeur
du SMN
s. #OURS
- observateur
A. NDIAYE - agrométéorologiste
D.
NGOPI
-
-",
Plme D. FAYE- météorologiste
A.S. KANE -
m~teorologiste
Monsieur A.S.
KANE, technicien supérieur
en mét6orologi.e
a 6tQ en 1978 chargé
de la réalisation pratique du suivi de la sai-
son des pluies au Sénégal et assure des liaisons régulieres entre
9.
la recherche agronomique
(CNRA Bambey) et le Service de la Netéoro-
logie BJationale (DAKAR YOFF).
Nous tenons à remercier
tout sp6cialement les nombreux
observateurs dont les relevds
pr6ci.s ont permis de présenter
un
.
apem r43lativement complet et actualisg, et tous
ceux qui ont con-
tribu6 21 la collecte et à l’acheminement rapides de3 donnees, vers
le3 services concernés ./-
LE POINT SUR L'HIVERNAGE AU SENEGAL
La méthode est essentiellement graphique ut essaye
de corrr-
biner l'aspect purement climatologique et l'aspect bioclimaiologiquc
a g r i c o l e
; elle ne tient pas compte d'autres facteurs importants
qui conditionnent l'État des cultures u parasitisme,
techniques cul-
turales, -furaurs ekc,;.
I s ..a-- .- --m
De plus elle
ne conccrne que les cultures
pluviales
sensu stricto.
Los resultats presentes
ne sont qu'indica-
tifs, la pluviométrie sn zone tropicale étant par sssence hétéro-
c@ne,
m@mc localement. Cependant les 43 stations ici présentées
peuvent donner une assez bonne idée de la réalite agricole. Cette
rbalité sera
cernée de plus prbs a partir diobservations
supplemon-
taircs
faiteskoo&mctnr;par tous les s$Bcialistes de la Recherche
et du Developpement ; leurs
remarques et leurs
precisions comple-
mentaires seront
les bienvenues.
a/ - Aspect climatologi_quc
m-
Deux courbas représentent :
- l a premihre, la pluviométrie normale pour la periode,
à partir des cumuls mensuels ;
- la deuxzàms,
la pluviométrie
de l'année en cours9 à
partir
des donneos quotidiennes :' o u r n i e s r6guliCrcment par le ser-
vice
de la Météorologie
Nationale et par les Stations aqrométéaro-
logiques de 1'ISRA ou d'autres organismes.
Une concertation permanente
et des échanges d'informa-
tions reguliers sont assurés entre
le Service
de la Méteorologie
Nationale (Minist$re
de 1'Equipepent) ot le Service
Bioclimatolo-
gique du C.N.R.A. de Bambey (I.s.R.A.,+~.G.R.s.T.)
b/
- Aspect bioclimatolosic, agricole
Cet aspect est traduit
par les courbes de besoins en eau
estimés pour les principales cultures,
a des seuils de 100 $ (optimum)
et de 80 $ ( l i m i t e ) .
En dessous d'un taux de satisfaction de 80 $
des besoins optimum, la production vegetale
peut en effet @trs gra-
vement affectée J elle est
en ganéral assez peu affectes pour des
taux de satisfaction compris antre 100 $ e t 8 0 $ d e s b e s o i n s e n e a u ,
En gros, pour
les cultures comme le mil, l'arachide, le
sorgho
et Xe niébe, les besoins en eau sont essentiellement liés à
la duree
du cycle de vbgetation et h la demande évaporativo d’or-
dre climatique. Le riz,
le coton et 5 un moindre degré le maïs
e
ont des exigences hydriques particulières et ndccssiteraient une
a n a l y s e s p é c i a l e , ultbrieurcment.
La demande Bvaporative
varie relativement peu pour uns
m@me z o n e ,
d'une année sur l’autre (estimons ces variations à plus
ou moins 10 4; autour do la valeur moyenne).
La, demande Bvaporative varie
essentiellement selon la
zone geographiquo,
compte tenu de la latitude d'une part ot do la
continentalité d’autre part.
Le gradient
de demande évaporativo au Sénegal a eté chif-
fre a partir
de relations existant entre la pluviometrie moyenne
d’une station et l’évaporation en bac normalise
classe A, pendant
la saison des pluies (en gros situee entre
les mois de juin et nc-
tobre).
Des coefficients ont 6te etablis par rapport
à la statian
de Ijambey où
l'on mesure les
besoins en eau des principales cul-
tures.
Ainsi, s i l e c o e f f i c i e n t a f f e c t é a u x b e s o i n s e n e a u e s t
de ?,OU à Eambey, il est de l'ordre do 'l,41 à Ç~odor (extr8mo idord
du Sén6gal) et de O,GL. à Oussouye (extreme
Sud du pays) e on peut
. .
si! reporter 21 l a c a r t e c i - j o i n t e extraite
dlune publication en cours
d'impression. Cette carte c o n c e r n e d e s
annees 21 pluviométrie défi-
citaire (1971 21 1976) et donc a demande Qvaporative
plus Blevoe que’
pour la normale.
Compte tenu de COS années de sechefasso et des
risques
de prolongation, il vaut mieux se reférer
à cette demande
dvaporative Blovée.
A p a r t i r d e l a connaicc
Jtiance du gradient de demande
é v a p o r a t i v e , l e s c o u r b e s do besoins en eau peuvent Atre établies
[pour les principales zones climatiques du pays (graphique
joint)
Les courbes des besoins en eau cumulés ont ét6 traceas
tres schématiquement pour des durbes
de cycle allant de 75 a 1513
jours
(selon les zones) et pour Y
zones du Sénegal. Ces courbas
sont reportées sur le
meme g r a p h i q u e ( e t à l a meme Bçhelle) q u e
Cel;le? des pluviometries normales
et de l'année en cours, pour cha-
que station retenue.
La courba des besoins en eau est cumulGo à partir du
jour de d8marrage de la culture.
Le jour de dgmarrage
d'une culture
peut @tre variable
selon que cette culture
est sem6e en sec ou en humido sur
unr,
premiSra
pluie. Des raisons diverses (temps de travail, pvbpara-
tien.,. ) font que le semis est parfois retard4 par rapport ü l a
date optimala. Pour bisn faire, il faudrait donc, dans chaque
cas particulier, faire partir la courbe
des besoins en eau cu-
mulésg de la date effective de semis en hurr;ide ou do la date do bon
dornarrage
d'une culture
sembe en sec. Il y a aussi le cas parti-
ctJli.er
du riz
de mangrove qui est repiqué
unE fois que lzs rizié-
ïes ont Bt6 déksaléca par une quantite de pluie variant entre
400 et 530 mm.
Pour simplifier le tirage
de cotte note, leâaf;urbrs
de besoins en eau partent le plus souvent d'une seule~%imalc,
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que nous avons retenue au vu de la pluviom&trie, pour chaque poste.
L'id6al est que les courbes de
besoins en eau soient
dessinêes sur un calque que l’utilisateur puisse superposer au gra-
phique des pluviom6tries,
en choisissant lui-mSme sa dato do d6mar-
rage de la culture
et aussi son niveau initial de réserve
hydri-
que
du s o l ( z é r o le FILUS souvent, mais parfois plus lorsque dos
techniques de dry farming ont étb
adoptées). Des raisons pratiquas
de dessin, r e p r o d u c t i o n e t t i r a g e ,
font que nous n'avons pas Pu
adopter cette dcrniàre solution et
que nous avons tiû regrouper
sur
le m@me graphique, les courbes pluviom0triques e t c e l l e s d e s b e -
soins en oau.
Pour des raison de vitesse d’information, les graphiques
n'ont pas et6 dessinés par des dessinateurs professionnels, a-t nous
nous excusons auprès des lecteurs
de l a m6diocritQ des tracos o u
dos légendes manuscrites.
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Remarques
Générales
sur la saison des pluies 1978-1979 au Sénégal
1 - Résiun d u
F l e u v e
-w -.x-.,.-e.--"-..--
De Saint Louis à Matam,
la pluviométric varie lc
plus sou-
vent entre 200 et 300 mm ;
elle est donc insuffisante et mal repar-
tie, mais toutefois proche de la normale assez souvent. C'est la
sécheresse
habituelle,, cndémiquo [JOUr cette zone d’agriculture Plu-
vicle m a r g i n a l e . Par contre Matam a été très défavorisée
cette annuc
et pouvait espérer
davantage de pluie. Les cultures
pluvialos ros-
tcnt médiocres, mais non négligeables ou nulles comme en 1977 : on
signale du mil,
du niQbé et mgme de l’arachide pour toux qui avaient
tenté le semis on limiti!
Nord do la région
du Flou~e, La production
d’herbe est
moins décovanto que d'habitude. La crue a par ailleurs
été correcte et le lac de Guiers
s'est bion rempli. On a
noté des
pluies genantos pour
:Les stocks, fin Novembrelt la mi-Janvier 1979,
II
- F??qion de Lousa et
zone sylvo eastorale
1-e--11..-- sm”.sLl”.l--11 -.œ-I “.--c--l-
La pluie y varie
le plus souvent entre 300 et 450
mm.
La situation s'est rer r>ss
o en fin de saison
des pluies, par rap-
port à ce
qu'on avait’j8!1A!ût
ot
en Septembre.
Les besoins en eau
des variétés
à cycle ::ourt
ont souvent été tout juste satisfaits
entre 70 et 80 s9 ce qui a pormis toutefois d'avoir des résultats
pas trop
mauvais, surtout pour les mil F+ a r a c h i d e s et niebés. IX y a
eu cependant de sérieux
degats do sechcressa
à l'épiaison des mils
( ü Linguère notamment) : les arachides, h floraison etaléo, ont
moins souffert,
de m6rne que Los niébes. Los mils scmes en rotordou re-
semés ont pu évitar la sécheresse do floraison ot s’en tirer oaaucoup
mieux que les premiers
semes. La production
d'hcrbc est moyenne,
Il y a eu des pluies tr?>s
néfastes pour
le stockago on plein air dos
récoltes (mil,
arachide,
fourrages) on
fin Novemôre si; à la mi-
Janvier : voir les 2 avant dernières
colonnes du tableau récapitula-
tif.
I I I -
Ccntro Nord (C~E VertA
T h i è s , Diourbeli et Centra
S u d
---1-11-n-m-11- em--- ---e.-... w...""-..--" ".---""I---ll-"
(Sine Saloum)
--*mm-----'-
La pluviométrie 3
et6 faible à Dakar,
ce qui est préjudi-
ciable a la recharge des
nappes de surface
(NIAYES) ; en général,
la pluie varie
sauf exception (Mbacké et Dakar par
oxemplo) untro
500 ci; 700
mm, ce qui est voisin de 13 normale
et juste suffisant
p o u r l e s v a r i é t é s d e
cycle adéquat (surtout 90 et ID5 jours) j au
Nord de cette zone, les cycles
de 90 jours restaient
dans l'ensem-
ble préférables a ceux
d,e 105 et 120 jours.
Le secteur
Bambey -
Diourbel a Qté favorisé avec plus
de 600 mm.
Les mils et arachides
sont moyens à bons mais il y a eu
pour le mil des problQmes d ’ a l i m e n t a t i o n a z o t é e ( l e s s i v a g e d e l ’ e n -
grais
azoté dans les sols très sableux) : aussi le paillage épais ot
ancien (en station expérimentale) et le fumier ont
pu avoir des effets
favorables.
En genéral,
il n'y a eu très peu de problèmes d'alimcn-
tation hydrique
dans cotte zone surtout
3u Sud de la ligne Thiès -
Bakel et par ailleurs
les pluies tardivos
et hors saison ont Bté bQ-
néfiques aux niébés dtirobés et aux repousses d’herbe. Ces pluies
h o r s s a i s o n o n t p a r
c o n t r e é t é tres p r é j u d i c i a b l e s p o u r l e
stockago
. /
. . .
des récoltes (chandelles, gousses, pailles), surtout au niveau dos
champs
fio Rovcmbrc o-t au niveau dtis seccos, ti la mi-Janvier.
Cependant,
ces pluies trUs fines et Stunducs sur plusieurs jours
de
suita laissaient le temps do m e t t r e l e s rbcoltos ti l ’ a b r i (ba-
<‘2 /le S
a n t r e p o t s e t c . . . ) merno s i l e s previsions
iilBtiSCJ ri e p 0 u v 0 n t
+as &trc
effectuées longtemps à. l'avance ; encore
faut-il quo ces
moyens de protection (et de transport s'il le faut) existent, Il
faut savoir que ces pluies hors
saison ont souvent
ca6
m6mcs ca-
ractéristiquzs d’etre tr2s
fines ot
de durw
longtemps : il nd Taut
donc pas trop compter sur un sgchagu naturel
& l’air
libre (manque
d'insolation,vent faible,
air
trGs humide et
basses tompératuros
pendant plusieurs jou:rs : jusqu'à une semaine de suite en Janvier).
Maïs et
coton devraient fiire
bons dans le Centre-Sud, surtout
en se
a
rapprochant
du S6nGga.l Oriental.
Conformément d ce quo nous disions
début
Octobre, l e
Sinu Saloum sauf exception (Darou par
extimplc)
reste
nettement en dessous de la pluviomGtric
normal2 1930-196G.
IV-Sr?négal Oriental a-t Casamance
--II _-_-_----L---I---I------
Dans cotte partie
d u SGnBgal,
on retrouve
un hiverna92 nor-
mû1
; les pluies sunt
abonda;itos
St bien répartius
ut les besoins
e n Eau
d e s p r i n c i p a l e s culturc?s
sont très largomont
satisfaits : aas
dz problème
donc au peint dc! vuo alimentation hydrique, sauf au ni-
VCÛU des excès (lessivage9
ruissollum2nt et érosion
pluviale). C '0:3t
une bonne annéo pour
le riz
tant inondé (do mangrovc) que: pluvial.
L2 coton aussi aurait
dû tftre favorisé
par ce type d’hivernage dans
l a mesure o ù l e s c a r a c t é r i s t i q u e s
p h y s i q u e s du sol lui pormettaiont
d’avoir
un enracinernznt normalement d8vcloppé
en profondeur et do
vaZorisor ainsi les rescrvcs hydriqucs
du sol. Enfin le SénQgal
‘Jriontal
a Gté moins touché par les
pluies hors
saison du Novornbrc
et Janvier,
que le reçti-
du Pays o c e c i e s t int&russûnt h noter p o u r
la
constitution d'un capital aanlencier
de quali Yé.
En conclusion
---"----L-w--
La situation rcstz m8diocro
à mauvaise localo:-nent dans le Nord
du pays et jusque vers
la lign:: KébBmcr
- Platarn : mais il s'agit dc
la sachcressc chronique
do cette zone sahélienn:>. Les rtisultats sont
toutefois mcillours qu ’ en 1976 et
1977 ot rujoignont toux
du i975.
La Sécher~~ssu
do r'in !Août
dobut Septembre aurait pu avoir
des con-
séquoncos plus néfastes et a îinalemont t5t6 assez bien surmont5c: vers
Louga (sauf vers Linguère).
L ‘amélioration
est trés
nette entre
l e s l i g n e s Kéb~mer41atarn
ut Tivaouanc-Bakel où les vari8t6s
de 90 jours ont 6.~6
cn gtineral
assez bien adapËées,
-tant pour 10 mil
quu pour l’arachide.
Les ni6b6s
se sont avéras très
intéressants (de m@me que dans le Nord
du pays
d’ailleurs.
Au Sud de la ligne Tivaouanc - Bakcl, la production des prin-
cipales cultures est
b o n n e ;jour les variét0s d< 9 0 à 105j d a n s 18
C e n -
tra Nord ot pour celles de 90 21 12Oj dans le Centre
Sud,
Pas do prohlènc
hydriquc
(sinon par cxcËs) en dessous do la
ligne Mbour - Gossas
(exception de Fatick) pour toutes les cultures
semées en tamps voulu . Enfin la campagne devrait t)tre
borins au
Sénégal Oriental et cn Casamance.
. /
. .*
Il faut signalcr la gravite oxcoptionnello dos pluius hors
saison de la fin Novembre 73 et
de la mi-Janwicr 79 : il s’agit la
du' trait d6faworaGle 10 plus mazquant do cu-ttu câm+ognz agricole!
1976-1979 qui va
hélas réduiru notablement les as;~Granc~s et qui
r i s q u e a u s s i d e porter préjudice $1 l a future campagne lY79-1980.
Il
conviendra donc do survzillcr de tr3s pr&s la qualité des pro-
chaines semences (tasts de germination) ot d’etro trt;s sévère sur
leur
provenance. Il
conviendrait d'avoir encore
davantaga do run-
seigncments sur
toutes cas pluies hors saison
notamment colles dz
mi-Janvier ci; de choisir les
szmcnccs en rapport avec la gravit.2 des
prbcipitation reçues.
T o u s 10s productouas do donneos pluviométri-
qucs dcwrzient on transmzttrc trés rapidemont
le détail pouz I'Jovambru
e t Janvier à
la météo nationalu, s-ils n o l’ont pas cncoro fait. Il
faudrait rotonir 10s zonas qui ont totalisé le moins d'eau on PJovumbro
ct
en Janvior, pour
y constituer un capital scrncncior do qualit
(SBnBgal Oriental par
cxcmple o Kedougou, Tambacounda)
D'aussi graves pluies hors
saison remontent il Ddcombre 1356
(du 12 au 20 Decombro)P FGvrior 1954
(du 6 au ID), ~&~r!~~
.-7 .w. - -.-
vs- a.
du
'16 au ZO), pour citer 1~s plus importantes. Il
faut tabler sur
dos probabilites de pluie préjudiciable
(supéricurcs 2
1 0 mn) v a -
riant
selon les zones entre
10 ot 75 $ des années.
Il conviendrait d:2 faire & leur sujet uno étude trL;s
detailldo
sur
toutes 10s ‘bnnécs - Sttitians” oxistantd-
: quantité, doto, du-
rLo ot intonsit6 (on.gEnCral tr&s finos) pour
un dfiduiro l'importance
dos moyens IL!L: protection à prendre.