Etat des observations et nctécfo logiques ...
Etat des observations
et nctécfo logiques
dans le Delta et la Baswse'w
1Qe du SENEGAL
. .
;. fC -,; ".\\,
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--_ PoDOFi (ASEICNA- PlET&b‘ MT;:). matinée du 16 jan'djier
.: .
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GUEDE (FAO-OWS-AGRHYMET) {apr.ks- midi du 16 ja!ivier
.
“.
orincip:’
aux ’com*mentai3%" .
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..a .
-,
c'
*.- * Les station:;' ci-dessous sont traitées successi-/t:ment sui-
. ,iqrit l’axe, Ouzs1. - Est, repr$sents@t3cn fait un gradicnt de zonti-
t’ .donc. d’aridité croiSsante (aux situations ~2:; climat
ué ou sur plateau :lon .irriguiS
l/, SAINT LOUIS -aAe&$ort
La Station
dépenci rie l’ASECNfi, e n r e l a t i o n ~‘IIC l a ;.letCs
Kationale. Il s'agit d'une station synoptique très inpr;2tante Pni-
sant partie des 11 stations principales sénégalaises. 3 ‘aprks l a
b r è v e v i s i t e
effectuge, c ’ e s t u n e e x c e l l e n t e s t a t i o n , c.i.tuBe donc
3 c ô t é d e l’a6roport e n c o n d i t i o n s shches ( p a s d’i,rrigaLiOn 3 prc>:i-
mité) et à distance suffisante
d'un bosquet d’arbuste?. Lc post?
est tres bien équipé (enregistrements de vent, de pluie qtiotidicnn~,
tous les relevés classiques de température, humidit6 p pression etc., I
Les observations sont horaires, 24 heures sur 24 et transmises aus-
sitôt à Dakar-Yoff. Des ballons sont envoyés en altituds pour le
suivi’ des vents. C'est une station sur laquelle donc on peut enti.$;o-
ment camp ter. Nous souhaitons toutefois que des mesures d'évaporation
en bac normalisé classe A, y soient effectuées, pour urée meilleure
caractérisation du gradient de continentalité affectant la demanda
évaporative et donc les besoins en eau des cultures, pour la zone de
delta située plus précisement entre Saint Louis et Ndiol - Savoiqne-
2/ N~OL (I.S.R.A.)
L a s t a t i o n e s t install6e a environ 25 km à l’Est de Saint?
Louis ; une partie. se trouve dans une zone de cuvette alluviale,
une autre ‘est située au dessus de cette cuvette en sol sableux @ier, ‘i
? ? ??? ? ? ?
..‘&.
*.
16'
pour le moment,
la station n'est pas encore équipée en posta clima-
tique ; quelques mesures trés irregulières ont Qté faites pour ICS
températures Maxi, mini et Evaporation “Piche”, en abri simplifie
de type AMPS. Beaucoup plus important, un bac normalisé classe “A”
est installé depuis un an dans la zone de Diéri D il permet donc,
dans un premier stade, de caractériser la demande évaporative et do
cl-‘iffrer les besoins, en eau des principales cultures pra~Li.quGas dans
la zone en fonction de leur stade végétatif et de la période (a par-
tir de coefficients de végetation).
3
Apres correction de l'année 1979, il ressort que les mesures
sont bonnes dans l'ensemble,.. lorsqu’elles sont effectuéos. Il est
tres regrettable en effet que les relevés ne soient pas effet-tues
lorsque l’observateur responsable est absent (congés, malac!.ies, dirnan-
chcs et jours fériés). pourtant des remplaGants valables pourraiont
&tre désignés ; le recrutement d'un technicien horticole davrait per-
mettre de remédier f. cette situation, Si des observateurs sérieux
peuvent être retenus, l'équipement plus complet de la station ost h
e n v i s a g e r . Toutefois' j'insiste sur la nécessita d’assurer des main-
tenant, de façon permanente et rigoureuse, les releves d'evaporation
B a c a v a n t d ’ q u i p e r c e t t e s t a t i o n . S i n o n il s ’ a g i r a i t d’une .Puito e n
avant,
s a n s profit réel pour les utilisateurs.
Je souhaite d i s c u t e r a v e c 11. SONKO et eventuellement i',. i/li;S!1AL
(FAO-OMWS) et M. SECK (METE'O NAT. ) de l'équipement plus comple-t oc
":LTOL : e n p a r t i c u l i e r , i l y a u r a i t u n a b r i m é t é o h récupérer soit
h Hichard l-011, s o i t si Guede, et du petit matériel à acquérir.
:'/ SAVOIGNE (SOCAS)
- à 11. ou 5 km à l'Est de PJDIOL.
Accompagné de M. R e y n a r d , e t apres a v o i r r e n c o n t r é lo r e s p o n -
sable local, M, FINidOIS, nous avons pu jeter un coup d’oeil par dessus.~
1’enclos sur la station. L'équipement est très simplifie : abri
météo classique, h é l a s a d o s s é à u n a r b u s t e (SUIJMP) q u i l e protbge
sur s a p a r o i s u d , enregistreurs de température et humidité, pluviorilè-
tre et enfin bac enterré type ORSTOM. Les relotiés existent depuis
plusieurs années, mr-iis ï.21 aussi les manques sont fréquents (congds
e t a b s e n c e s d ’ o b s e r u a t c u r ) . A m o n avis, cette station est gcrkrc re-
présentative d o l’ersemblo d e s t e r r a i n s d e c u l t u r e e n particulier
des zones de dieri cultivées en tomate. En effet, le petit parc metrio
se trouve à 20 m à l'ouest d'une haute rangée de beaux eucalyptus ;
au Fiord du Parc sont disperses quelques prosopis et plus loin des
eucalyptus,, . V e r s l’ouest s e t r o u v e n t d e s marIScages o u riziércs et
par ci par l& de nombreux buissons ; enfin les hangars sont assez
proches. S a n s negliger, l o i n s d e là, les précieuses d o n n é e s fourili.t!s
par cette modeste station, il me semble préférable de miscr pluLOt
sur les mesures de bac normalisé classe A de lia station ISIII\\ do FJL:i;JL.
ii.1 RICHARD-TOLL (C,S.S.)
La C.S.S. dispose de 2 station climatologiques t station C3 \\:L'
,.,.L ‘
petite Afrique. Elles sont remarquablement bie,i tenues et équipées.
Le dépouillement, la mise en forme et la présentation des donnees
Jont tres soignés. Les utilisateurs peuvent avoir la plus grand con-
fiance dans les données actuellement produites par la C.S .S o :il n’y a
donc aucun problème climatologique pour la zone de Richard Tell ot
01-i p e u t e n c o u r a g e r l e s u t i l i s a t e u r s É v e n t u e l s ?i c o n t a c t e r l a C,:;.C;.
dans ce domaine agroclimatique. Il est intéressant .de constater
q u ’ u n e S o c i é t é v i s a n t à l a p r o d u c t i v i t é e t à l a r e n t a b i l i t é maximaics
attache autant d’intéret & 1 ‘a roclimatologie iappliquée (2 i ‘econor,‘i::
d e l ’ i r r i g a t i o n e n p a r t i c u l i e r 3 o>J et beaucoup lplus d'intCr&t rnt7rni:
qhe certaihs ‘chcir~r5,~cur~
et agronomes... Je ne nom'merai pas l'agr3n;rn~:
qLi m’a déclaré. ~cb<.cdu’~s de cette tournéc qu’il y avait trop de s:Ga-
.
Lions climatal4giqu&5.
.*
cn Afriquo de l'Ouest et qu'une seule pourrait
sLffi.re po&r la zo'ne &dcj Fleuve faisant l'objet de ma tournéi. Inutile?
d'insister pour répond-fc à ce13,
sur 1 ‘importance du gradient cliiiia-
tique le long du Fleuve et sur la grande diversité des cofiditions de
climat local (zone OE .~lûtcau ou do terrasse
c;uvattes ir;ii)u&cs pc?-
tiellame.nt Où en totalitiii dans le temps et dans l'espace,
a;::Bnagemcnt
8 qcic l a C.S.S. scrnble avoir compris le grand intérêt pratique do CG~
,mesures agroclimatiques, surtout pour conduire une irrigation plus
rationnelle et partant plus écoriomique, ou pour faire des introduc-
t:ons varietales à p a r t i r dz zones climatiques identiques ; 'OU sont
deux domaines d'application entre kJeaUCOUp d’autres,
La C.S.S.
projette par ailleurs d’équiper deux autres postez
situ6s dans des milieux sensiblemont diffgrents, en bordure du Il:iuw.;
!:t s u r Diéri ; i l y a u r a i t d o n c ultericuremcnt LI p o s t e s a:jroclimati-
ques dans un secteur très diversifié qui convrira en gros- quclquea
‘IJ 0 0 0 h e c t a r e s . Le souhait de 1'Expert conseiller
perman2r:t du
I:.I.E.
(E.A. Bernard-Avril 191;'7*:) se trouve ainsi réalise, ~rficb2 à la
C.S.S.,
avec la-crgation d'une station principalo à Richard toll ;
rappelons que ce spécialiste de renommée internationale Iccunmandait
des stations agromét8orologiques dans lo delta, à Richard Tell ou
;!OSSO et à Guédé {pour Gu6dC voir plus loin), cutre les stations Sy-
noptiques ASt-CNT\\ de Saint Louis et de podor,
Pour en revenir à la C,?.S. signalons donc les rolavds ek ours-
gistrements de pluie 9 tempgrature, humidité, vitesse et direction du
vent et aussi les mesures de rayonnoment global, 6Wk3pOK’atiGil
cri bac
normalise classe A ('2 bacs avec donn$os complètes depuis Î3'75, dlspoiii-
bios par décades du calendrier républicain de 1793 et aussi par mois)
c t en fin d :2 température dans. le sol à plusieurs profondeurs (2 cc
sujet, la comparaison est faite entre sol/et sol liumect6 constamment,
co qui es-t tres intéressant).
sec
P o u r o n tcrmincr avec 17ichard Tell, il est 2 m o n a1~i.s ii-1u5.i.l~
j
que 1'13RA y effectue des relevés agrométéorologiques 9 tant quo la
r,.s*s.
y pourvoit aussi bien, 2e. recommanderai par contra dc cnrlt.inucr
au m@me emplacement, c'est 2 dire vers les bureaux actuel:;, les :ni<su-
res pluviométriques qui remontent & 1953 et dopt i
conv:i$jr,.t; d lasr;L!-
b
ror la pérennité, Le pluviorn~trc actuellement utilisé devra e^rrt! ilo-
[J 1. i3 C 6
dans un lieu plus dégagé car il se trouve trop pr?s dei; pa.li-;itirqX
c-t beaucoup trop pres du toit de l’abri météo (3 mètres environ)
d'oh
des tourbillons possibles lors des rafales de plu-o, ii propou
de cet abri utilisé par 1'ADRAO pour des contrijles sur son petit
casier rizicole expérimental 6 &*ot6 du campement ISRA, il convid:l-
orait d e discuter RVE!C les intércss6s sur l’intér&t ( o u ~-~on) do 1~
transporter à NDIPL qui ne posskde pas dqabri metéo classique actuel-
loment.
B (debut l i g n e 9) : avec ou sans brise vent etc. .). Je constata tout
simplement
-------------.------------------_-
-3---tZZt*!' -------__" _---------_-1----- -1---_--11
;:.A. Bernard "La determination des pertes d'eau par évapotranspira-
tion dan? les projets d'amdnagement intégré du tjassir:
du Fleuve Sénégal comité Inter Etat pour 1 'am::nago:iiii-:t
du Fleuve Sénégal - Avril 1967,
::/ FANAYE (ISRA)
L ’ é q u i p e m e n t e s t l i m i t é ; t o u t e f o i s u n p e t i t p a r c méteo a 6.~6
inst,allé, bien placé au milieu de la cuvette, mais suf f isammont decage
( u n problemc se posera p l u s tard avec le développement K!C La Ligne
i.J ’ c u c a 1 y p t 1.: s
plantés
le lono du chemin voisin), Un abri meteu classi-
r-jUC a Qté récL~p&~é ,t plac&
sur cc parc mais n’est pas encore equi-
p”. IJous avons installé un bac normalisé classe A en janvier 1979 ; les
relevés sont excellents et sans aucun manque depI7i.s le dsbut; nar rap-
F!Clrt, à
ijDIoL C 'est donc une r6ussite
complbte.
Il y a aussi un pluvio
m1,tre binn sûr dans CE parc et aussi yirouettc e t i n d i c a t e u r d e vit,oss~;
du ue n t 0 Compte tenu ci e l a qualite d e s o b s e r v a t i o n s a c t u e l l e s , i i Con-
Gendrait donc d'6quiper un peu mieux ce poste et nous pouvons recom-
l~iandor pour l'abri meteo classique : un I'!iaxi, un Mini, un psychromktri: 9
31-j cnregistrcur de température et un d'humidité et un évaporom2tro
Gictia
Je souhaite en discuter avec 1s Directeur ISBA du Secteur Fl.suwu
.;t
L.c awec l a
MéteoXationale qui envisage une aide matérialle d'aprks
~CC! q u i m’a é t é r a p p o r t é p a r l u D i r e c t e u r d u S e c t e u r Fleuve, iJI-1
116 1. i (3
graphe étan t disponiblesil conwiondrait donc de l’installer et je vais
envoyer les instructions nécessaires
car cette installation ost assez
délicate (horizontalité du support, affichage de latitude, détcrmina-
tion exacte du Sud géographique à partir du Sud magnétique et de ,la
declinaison c o r r i g é e p o u r le lieu). Les perspectives sont donctreS
encourageantes pour Fanaye, Pour les données qui manquent les utili-
sateurs pourraient se baser sur les relav6s très complets de Richard
Ïoll (C.S .S. ) et de PODOR (ASECNA) : par exemple vent, rayonncmont
température du sol...
i;/ PODOR (ASECNA - iwEc NAT.)
La station est assez complète et les relevés sont tr&s sérieux.
On geut la comparer c3 celle de Saint Louis p toutefois elle nc poss3do
pas d'cnrcgistrement do vitesse et direction du vent. (tel6vo;jt seulement)
L 13s observations sont horaires pendant la journee, plus espacecs pen-
dai;t la nuit et les données sont transmises par radio à Oakar-Yoff,
Outre toutes les observations classiques, Les tsmpératureç dans le sol
suc à p l u s i e u r s n i v e a u sont rle;IL?eb
(ÎE,ZU,50 e t 100 c m ) . On rogra-tto-
rû seulement l'absence de bac normalise classe A et ceci pourrait etrc
discuté avec la Météo Nationale, Notons que la station nc: SC situe ni
on bordure d’aeroport 9 ni on cuvette irriguée,mais sur un terrain
t3SS82 b i e n d4gegcS e n v i l l e et e n s i t u a t i o n d e p l a t e a u , e n c o n d i t i o n s
relativement arides donc, L'existence de cette station sera oncore
v a l o r i s é e a v e c l a c r é a t i o n d o s n o u v e a u x c a s i e r s a g r i c o l e s i3 proximito
d e Podor.
7/ GUEDE (FAO-OMVS et depuis peu ISBA)
Le poste FAG-ûMVS crée on 1971 par D-RIJK$i' a été le fleuron
de l a r e c h e r c h e a g r o c l i m a t i q u e sénegalaise sur Le Fleuve et faisaiL
psrtied.es 3 g r a n d e s s t a t i o n s r e t e n u e s p o u r le p r o j e t FAa-QMVS, avec
Kaedi en Mauritanie et Samé au Mali. Installé en zone de casier
(sol ltfondé'l), Ce poste qui datiblait l'encicn poste installe pres
de l’aéroport a vecu, et bien, pendant 8 ans, et a étQ abandonne en
1978, c e q u e j ’ i g n o r a i s ; les observations sont faites maint,3nant d
,nolveau près de l’aéroport sur l'ancien poste,
On peut très bien justifier le retour à un seul parc lmbtéo pres
de 1 ‘aeroport 9 c a r l e s c a s i e r s i r r i g u é s s'étendent maintenant jusqu'21
1 ‘aéroport et les conditions metéo n e d o i v e n t p l u s etre très différentes
en’t,re les 2 sites. Par contre, i l e s t trés r e g r e t t a b l e q u e 11e oostc
m6téo ."fond,Bllait eté purement et simplement abandonné, sans [que 1;:
%rii?s b o n m a t é r i e l q u i , s ’ y t r o u v a i t ( e t s’y t r o u v e e n c o r e ) n e f û t
transfaré sur le poste de l’aéroport,
? ? ??? ? ? ?
En effet,voic i la situa.ti.on a c t u e l l e s u r le p o s t e agrogort :
. Bac normalisé classe A
-Support s u r l e p o i n t d e slcffondrer (il est r o n g é p a r les t e r -
mites) et cage complétement rouillbc et ouverte aux animaux pertur-
bateurs.
. Abri délabré, à repeindre
y,ofor,dent il en reste un pratiquement neuf sur l'ancien poste
II
. Nesures classiques
Maxi, Mini, Insolation, I-lumidit6 etc.,, températures dans 1:;
sol à ID,20,5D et 1DD cm (soi sec) pluviométrie (p.Luviom?;trc e t pluvi~.)-
graphe hebdomadaire) : rien à rcdirc
Deux observateurs continuent à faire do bons relcvbs, mais se
serltent un peu abandonnés et peu soutenus, scientifiquemnnt, materiiil-
lement et moralement,
Sur le poste "f'cndért abandonne doivent C?tre récuperes en par-
ticulier :
. Un ananograph:?
lambrecht de qrando valeur actuolloment inutili-
26 (sens bandes) dont les données seraient précieuses; trous souhaitons
q u ’ i l s o i t i n s t a l l é s u r l e p o s t e de l’aéroport.
. un bon abri mdtéo
;il est souhaitable que cet abri soi.t
installé dans le parc de l’aéroport en remplacement de 1 ‘ancieri qui
peut être recupéré (par exemple pour !qDIDL)
. un bac normalisé classe A, précieux lui aussi et inutilisa,
qui pourrait être proposé pour un autre site, par exemple PnDOi‘\\ ou
Saint Louis (ASECNA) qui en sontd8pourvus.
P a r a i l l e u r s un pluviographe et un hGili.ographe, tous deux
f o r t p r é c i e u x s e r a i e n t e n stock et utilisables avec profit sur d’autres
sites. Sans etre encore catastrophique, la si-tuation rnéteo h GuCd6
s'est donc beaucoup dégradée et il devient urgent de prendre les me-
sures qui s'imposent : support do bac, cage, renovation de l’aüri,
remise en marche de 3. ‘anémographe,
installation d'un 6ua~Jarc~rd~trz
Piche. Il convient de mieux valoriser le matériel actuellomunt inutlii-
sd et d’envisager son
transfert dans les stations qui en auraient iJr1
besoin urgent. Enfin, i l e s t i m p o r t a n t q u e l e s observateurs en ;>lacc:
soient bien suivis par les chercheurs utilisateurs et en particulier
par ceux qui interviennent sur la station.
A l a s u i t e d e c e t t e t o u r n é e t r è s f r u c t u e u s e d a n s Ic secteur
Fleuve, qui a pu mettre en évidence des hauts et des bas mais qui
laisse entrevoir de nombreuses solution d’amélioration (à rclativc:-
;i:::nt peu de frais et de moyans supplémentaires), je serai heureux
dc discuter sur les bases de ce compte rendu avec le Directaur du
secteur Fleuve do l':[SHA et avec le Directeur de la Méterl 1‘1atir.~nale,
pour qu'on totale collaboration les mesures voulues puissznt être
prises, en vue d'une amélioration simple et rapide de cette situation
agroclimatologique. Un trouvera dans le tableau ci-joint un rGsum6 do
cotte situation ; on remarquera qu'il y a entre Saint Louis et Suede
quatre stations comp:Ldtes et tres fiables (mais deux ne oossedei;t pas
de bac normalisé claes é A permettant de conduire rationnellement
1’ irrigation), Heureusement 9 cinq postes ou stationsen tout sont
munis de bac d'évaporation (dont 4 de bac normalisé classa A ci; 1
d o b a c e n t e r r é ; ce dernier est assez p e u represcntatif mais j3f3lJt
bb / db
f.*,
1
.
ü ,;
.
‘L r..
etri. co;n’plGt’& ;
voire remplas6 par sor.1 voisin d
e
I\\JDI[)L), Lt3 conpts
2enlI,nkst p a s exhausif et comporte certainekeflt rIes omissions i)ti
i;npreci5ions d a n s c e dom-ginc ; j“ai a i n s i e n t e n d u p a r l e r di: ncuvslï~
s-kation,:fie la 5 .A .E ,t?, (vers Savoignc o u Fibss-Béthi.0) e t du c5té
,;;auri ta&en
i l e x i s t e certairiement d e s s t a t i o n ‘titilisables &cJUr
12s 2 riues d u SGn&gûl (l,o~so p a r e x e m p l e e t Kaédi’ plus [3:-l a m o n t )
11 s e r a i t d’ailleurs*trhs u t i l e que. p o u r ;zssur~r
IJ 17 2 CO 0 r;i i -
natio;fs sérieuse et pour valoriser au mieux les.données de cc rt:soau
finalement assez dense, u n agroclimatologistc
fh:; i n s t a l l e en perma-
r;on’c:e dan2 la région du Fleuve (en rajoutant la moyenne ~~116~) tout
e n t r a v a i l l a n t s u r l e s b e s o i n s hydriques d;s cul’:uros e t 1 ‘Econo,niG
dd 1 ‘ccfu e n génkra’l.
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*.- * Les station:;' ci-dessous sont traitées successi-/t:ment sui-
. ,iqrit l’axe, Ouzs1. - Est, repr$sents@t3cn fait un gradicnt de zonti-
t’ .donc. d’aridité croiSsante (aux situations ~2:; climat
ué ou sur plateau :lon .irriguiS
l/, SAINT LOUIS -aAe&$ort
La Station
dépenci rie l’ASECNfi, e n r e l a t i o n ~‘IIC l a ;.letCs
Kationale. Il s'agit d'une station synoptique très inpr;2tante Pni-
sant partie des 11 stations principales sénégalaises. 3 ‘aprks l a
b r è v e v i s i t e
effectuge, c ’ e s t u n e e x c e l l e n t e s t a t i o n , c.i.tuBe donc
3 c ô t é d e l’a6roport e n c o n d i t i o n s shches ( p a s d’i,rrigaLiOn 3 prc>:i-
mité) et à distance suffisante
d'un bosquet d’arbuste?. Lc post?
est tres bien équipé (enregistrements de vent, de pluie qtiotidicnn~,
tous les relevés classiques de température, humidit6 p pression etc., I
Les observations sont horaires, 24 heures sur 24 et transmises aus-
sitôt à Dakar-Yoff. Des ballons sont envoyés en altituds pour le
suivi’ des vents. C'est une station sur laquelle donc on peut enti.$;o-
ment camp ter. Nous souhaitons toutefois que des mesures d'évaporation
en bac normalisé classe A, y soient effectuées, pour urée meilleure
caractérisation du gradient de continentalité affectant la demanda
évaporative et donc les besoins en eau des cultures, pour la zone de
delta située plus précisement entre Saint Louis et Ndiol - Savoiqne-
2/ N~OL (I.S.R.A.)
L a s t a t i o n e s t install6e a environ 25 km à l’Est de Saint?
Louis ; une partie. se trouve dans une zone de cuvette alluviale,
une autre ‘est située au dessus de cette cuvette en sol sableux @ier, ‘i
? ? ??? ? ? ?
..‘&.
*.
16'
pour le moment,
la station n'est pas encore équipée en posta clima-
tique ; quelques mesures trés irregulières ont Qté faites pour ICS
températures Maxi, mini et Evaporation “Piche”, en abri simplifie
de type AMPS. Beaucoup plus important, un bac normalisé classe “A”
est installé depuis un an dans la zone de Diéri D il permet donc,
dans un premier stade, de caractériser la demande évaporative et do
cl-‘iffrer les besoins, en eau des principales cultures pra~Li.quGas dans
la zone en fonction de leur stade végétatif et de la période (a par-
tir de coefficients de végetation).
3
Apres correction de l'année 1979, il ressort que les mesures
sont bonnes dans l'ensemble,.. lorsqu’elles sont effectuéos. Il est
tres regrettable en effet que les relevés ne soient pas effet-tues
lorsque l’observateur responsable est absent (congés, malac!.ies, dirnan-
chcs et jours fériés). pourtant des remplaGants valables pourraiont
&tre désignés ; le recrutement d'un technicien horticole davrait per-
mettre de remédier f. cette situation, Si des observateurs sérieux
peuvent être retenus, l'équipement plus complet de la station ost h
e n v i s a g e r . Toutefois' j'insiste sur la nécessita d’assurer des main-
tenant, de façon permanente et rigoureuse, les releves d'evaporation
B a c a v a n t d ’ q u i p e r c e t t e s t a t i o n . S i n o n il s ’ a g i r a i t d’une .Puito e n
avant,
s a n s profit réel pour les utilisateurs.
Je souhaite d i s c u t e r a v e c 11. SONKO et eventuellement i',. i/li;S!1AL
(FAO-OMWS) et M. SECK (METE'O NAT. ) de l'équipement plus comple-t oc
":LTOL : e n p a r t i c u l i e r , i l y a u r a i t u n a b r i m é t é o h récupérer soit
h Hichard l-011, s o i t si Guede, et du petit matériel à acquérir.
:'/ SAVOIGNE (SOCAS)
- à 11. ou 5 km à l'Est de PJDIOL.
Accompagné de M. R e y n a r d , e t apres a v o i r r e n c o n t r é lo r e s p o n -
sable local, M, FINidOIS, nous avons pu jeter un coup d’oeil par dessus.~
1’enclos sur la station. L'équipement est très simplifie : abri
météo classique, h é l a s a d o s s é à u n a r b u s t e (SUIJMP) q u i l e protbge
sur s a p a r o i s u d , enregistreurs de température et humidité, pluviorilè-
tre et enfin bac enterré type ORSTOM. Les relotiés existent depuis
plusieurs années, mr-iis ï.21 aussi les manques sont fréquents (congds
e t a b s e n c e s d ’ o b s e r u a t c u r ) . A m o n avis, cette station est gcrkrc re-
présentative d o l’ersemblo d e s t e r r a i n s d e c u l t u r e e n particulier
des zones de dieri cultivées en tomate. En effet, le petit parc metrio
se trouve à 20 m à l'ouest d'une haute rangée de beaux eucalyptus ;
au Fiord du Parc sont disperses quelques prosopis et plus loin des
eucalyptus,, . V e r s l’ouest s e t r o u v e n t d e s marIScages o u riziércs et
par ci par l& de nombreux buissons ; enfin les hangars sont assez
proches. S a n s negliger, l o i n s d e là, les précieuses d o n n é e s fourili.t!s
par cette modeste station, il me semble préférable de miscr pluLOt
sur les mesures de bac normalisé classe A de lia station ISIII\\ do FJL:i;JL.
ii.1 RICHARD-TOLL (C,S.S.)
La C.S.S. dispose de 2 station climatologiques t station C3 \\:L'
,.,.L ‘
petite Afrique. Elles sont remarquablement bie,i tenues et équipées.
Le dépouillement, la mise en forme et la présentation des donnees
Jont tres soignés. Les utilisateurs peuvent avoir la plus grand con-
fiance dans les données actuellement produites par la C.S .S o :il n’y a
donc aucun problème climatologique pour la zone de Richard Tell ot
01-i p e u t e n c o u r a g e r l e s u t i l i s a t e u r s É v e n t u e l s ?i c o n t a c t e r l a C,:;.C;.
dans ce domaine agroclimatique. Il est intéressant .de constater
q u ’ u n e S o c i é t é v i s a n t à l a p r o d u c t i v i t é e t à l a r e n t a b i l i t é maximaics
attache autant d’intéret & 1 ‘a roclimatologie iappliquée (2 i ‘econor,‘i::
d e l ’ i r r i g a t i o n e n p a r t i c u l i e r 3 o>J et beaucoup lplus d'intCr&t rnt7rni:
qhe certaihs ‘chcir~r5,~cur~
et agronomes... Je ne nom'merai pas l'agr3n;rn~:
qLi m’a déclaré. ~cb<.cdu’~s de cette tournéc qu’il y avait trop de s:Ga-
.
Lions climatal4giqu&5.
.*
cn Afriquo de l'Ouest et qu'une seule pourrait
sLffi.re po&r la zo'ne &dcj Fleuve faisant l'objet de ma tournéi. Inutile?
d'insister pour répond-fc à ce13,
sur 1 ‘importance du gradient cliiiia-
tique le long du Fleuve et sur la grande diversité des cofiditions de
climat local (zone OE .~lûtcau ou do terrasse
c;uvattes ir;ii)u&cs pc?-
tiellame.nt Où en totalitiii dans le temps et dans l'espace,
a;::Bnagemcnt
8 qcic l a C.S.S. scrnble avoir compris le grand intérêt pratique do CG~
,mesures agroclimatiques, surtout pour conduire une irrigation plus
rationnelle et partant plus écoriomique, ou pour faire des introduc-
t:ons varietales à p a r t i r dz zones climatiques identiques ; 'OU sont
deux domaines d'application entre kJeaUCOUp d’autres,
La C.S.S.
projette par ailleurs d’équiper deux autres postez
situ6s dans des milieux sensiblemont diffgrents, en bordure du Il:iuw.;
!:t s u r Diéri ; i l y a u r a i t d o n c ultericuremcnt LI p o s t e s a:jroclimati-
ques dans un secteur très diversifié qui convrira en gros- quclquea
‘IJ 0 0 0 h e c t a r e s . Le souhait de 1'Expert conseiller
perman2r:t du
I:.I.E.
(E.A. Bernard-Avril 191;'7*:) se trouve ainsi réalise, ~rficb2 à la
C.S.S.,
avec la-crgation d'une station principalo à Richard toll ;
rappelons que ce spécialiste de renommée internationale Iccunmandait
des stations agromét8orologiques dans lo delta, à Richard Tell ou
;!OSSO et à Guédé {pour Gu6dC voir plus loin), cutre les stations Sy-
noptiques ASt-CNT\\ de Saint Louis et de podor,
Pour en revenir à la C,?.S. signalons donc les rolavds ek ours-
gistrements de pluie 9 tempgrature, humidité, vitesse et direction du
vent et aussi les mesures de rayonnoment global, 6Wk3pOK’atiGil
cri bac
normalise classe A ('2 bacs avec donn$os complètes depuis Î3'75, dlspoiii-
bios par décades du calendrier républicain de 1793 et aussi par mois)
c t en fin d :2 température dans. le sol à plusieurs profondeurs (2 cc
sujet, la comparaison est faite entre sol/et sol liumect6 constamment,
co qui es-t tres intéressant).
sec
P o u r o n tcrmincr avec 17ichard Tell, il est 2 m o n a1~i.s ii-1u5.i.l~
j
que 1'13RA y effectue des relevés agrométéorologiques 9 tant quo la
r,.s*s.
y pourvoit aussi bien, 2e. recommanderai par contra dc cnrlt.inucr
au m@me emplacement, c'est 2 dire vers les bureaux actuel:;, les :ni<su-
res pluviométriques qui remontent & 1953 et dopt i
conv:i$jr,.t; d lasr;L!-
b
ror la pérennité, Le pluviorn~trc actuellement utilisé devra e^rrt! ilo-
[J 1. i3 C 6
dans un lieu plus dégagé car il se trouve trop pr?s dei; pa.li-;itirqX
c-t beaucoup trop pres du toit de l’abri météo (3 mètres environ)
d'oh
des tourbillons possibles lors des rafales de plu-o, ii propou
de cet abri utilisé par 1'ADRAO pour des contrijles sur son petit
casier rizicole expérimental 6 &*ot6 du campement ISRA, il convid:l-
orait d e discuter RVE!C les intércss6s sur l’intér&t ( o u ~-~on) do 1~
transporter à NDIPL qui ne posskde pas dqabri metéo classique actuel-
loment.
B (debut l i g n e 9) : avec ou sans brise vent etc. .). Je constata tout
simplement
-------------.------------------_-
-3---tZZt*!' -------__" _---------_-1----- -1---_--11
;:.A. Bernard "La determination des pertes d'eau par évapotranspira-
tion dan? les projets d'amdnagement intégré du tjassir:
du Fleuve Sénégal comité Inter Etat pour 1 'am::nago:iiii-:t
du Fleuve Sénégal - Avril 1967,
::/ FANAYE (ISRA)
L ’ é q u i p e m e n t e s t l i m i t é ; t o u t e f o i s u n p e t i t p a r c méteo a 6.~6
inst,allé, bien placé au milieu de la cuvette, mais suf f isammont decage
( u n problemc se posera p l u s tard avec le développement K!C La Ligne
i.J ’ c u c a 1 y p t 1.: s
plantés
le lono du chemin voisin), Un abri meteu classi-
r-jUC a Qté récL~p&~é ,t plac&
sur cc parc mais n’est pas encore equi-
p”. IJous avons installé un bac normalisé classe A en janvier 1979 ; les
relevés sont excellents et sans aucun manque depI7i.s le dsbut; nar rap-
F!Clrt, à
ijDIoL C 'est donc une r6ussite
complbte.
Il y a aussi un pluvio
m1,tre binn sûr dans CE parc et aussi yirouettc e t i n d i c a t e u r d e vit,oss~;
du ue n t 0 Compte tenu ci e l a qualite d e s o b s e r v a t i o n s a c t u e l l e s , i i Con-
Gendrait donc d'6quiper un peu mieux ce poste et nous pouvons recom-
l~iandor pour l'abri meteo classique : un I'!iaxi, un Mini, un psychromktri: 9
31-j cnregistrcur de température et un d'humidité et un évaporom2tro
Gictia
Je souhaite en discuter avec 1s Directeur ISBA du Secteur Fl.suwu
.;t
L.c awec l a
MéteoXationale qui envisage une aide matérialle d'aprks
~CC! q u i m’a é t é r a p p o r t é p a r l u D i r e c t e u r d u S e c t e u r Fleuve, iJI-1
116 1. i (3
graphe étan t disponiblesil conwiondrait donc de l’installer et je vais
envoyer les instructions nécessaires
car cette installation ost assez
délicate (horizontalité du support, affichage de latitude, détcrmina-
tion exacte du Sud géographique à partir du Sud magnétique et de ,la
declinaison c o r r i g é e p o u r le lieu). Les perspectives sont donctreS
encourageantes pour Fanaye, Pour les données qui manquent les utili-
sateurs pourraient se baser sur les relav6s très complets de Richard
Ïoll (C.S .S. ) et de PODOR (ASECNA) : par exemple vent, rayonncmont
température du sol...
i;/ PODOR (ASECNA - iwEc NAT.)
La station est assez complète et les relevés sont tr&s sérieux.
On geut la comparer c3 celle de Saint Louis p toutefois elle nc poss3do
pas d'cnrcgistrement do vitesse et direction du vent. (tel6vo;jt seulement)
L 13s observations sont horaires pendant la journee, plus espacecs pen-
dai;t la nuit et les données sont transmises par radio à Oakar-Yoff,
Outre toutes les observations classiques, Les tsmpératureç dans le sol
suc à p l u s i e u r s n i v e a u sont rle;IL?eb
(ÎE,ZU,50 e t 100 c m ) . On rogra-tto-
rû seulement l'absence de bac normalise classe A et ceci pourrait etrc
discuté avec la Météo Nationale, Notons que la station nc: SC situe ni
on bordure d’aeroport 9 ni on cuvette irriguée,mais sur un terrain
t3SS82 b i e n d4gegcS e n v i l l e et e n s i t u a t i o n d e p l a t e a u , e n c o n d i t i o n s
relativement arides donc, L'existence de cette station sera oncore
v a l o r i s é e a v e c l a c r é a t i o n d o s n o u v e a u x c a s i e r s a g r i c o l e s i3 proximito
d e Podor.
7/ GUEDE (FAO-OMVS et depuis peu ISBA)
Le poste FAG-ûMVS crée on 1971 par D-RIJK$i' a été le fleuron
de l a r e c h e r c h e a g r o c l i m a t i q u e sénegalaise sur Le Fleuve et faisaiL
psrtied.es 3 g r a n d e s s t a t i o n s r e t e n u e s p o u r le p r o j e t FAa-QMVS, avec
Kaedi en Mauritanie et Samé au Mali. Installé en zone de casier
(sol ltfondé'l), Ce poste qui datiblait l'encicn poste installe pres
de l’aéroport a vecu, et bien, pendant 8 ans, et a étQ abandonne en
1978, c e q u e j ’ i g n o r a i s ; les observations sont faites maint,3nant d
,nolveau près de l’aéroport sur l'ancien poste,
On peut très bien justifier le retour à un seul parc lmbtéo pres
de 1 ‘aeroport 9 c a r l e s c a s i e r s i r r i g u é s s'étendent maintenant jusqu'21
1 ‘aéroport et les conditions metéo n e d o i v e n t p l u s etre très différentes
en’t,re les 2 sites. Par contre, i l e s t trés r e g r e t t a b l e q u e 11e oostc
m6téo ."fond,Bllait eté purement et simplement abandonné, sans [que 1;:
%rii?s b o n m a t é r i e l q u i , s ’ y t r o u v a i t ( e t s’y t r o u v e e n c o r e ) n e f û t
transfaré sur le poste de l’aéroport,
? ? ??? ? ? ?
En effet,voic i la situa.ti.on a c t u e l l e s u r le p o s t e agrogort :
. Bac normalisé classe A
-Support s u r l e p o i n t d e slcffondrer (il est r o n g é p a r les t e r -
mites) et cage complétement rouillbc et ouverte aux animaux pertur-
bateurs.
. Abri délabré, à repeindre
y,ofor,dent il en reste un pratiquement neuf sur l'ancien poste
II
. Nesures classiques
Maxi, Mini, Insolation, I-lumidit6 etc.,, températures dans 1:;
sol à ID,20,5D et 1DD cm (soi sec) pluviométrie (p.Luviom?;trc e t pluvi~.)-
graphe hebdomadaire) : rien à rcdirc
Deux observateurs continuent à faire do bons relcvbs, mais se
serltent un peu abandonnés et peu soutenus, scientifiquemnnt, materiiil-
lement et moralement,
Sur le poste "f'cndért abandonne doivent C?tre récuperes en par-
ticulier :
. Un ananograph:?
lambrecht de qrando valeur actuolloment inutili-
26 (sens bandes) dont les données seraient précieuses; trous souhaitons
q u ’ i l s o i t i n s t a l l é s u r l e p o s t e de l’aéroport.
. un bon abri mdtéo
;il est souhaitable que cet abri soi.t
installé dans le parc de l’aéroport en remplacement de 1 ‘ancieri qui
peut être recupéré (par exemple pour !qDIDL)
. un bac normalisé classe A, précieux lui aussi et inutilisa,
qui pourrait être proposé pour un autre site, par exemple PnDOi‘\\ ou
Saint Louis (ASECNA) qui en sontd8pourvus.
P a r a i l l e u r s un pluviographe et un hGili.ographe, tous deux
f o r t p r é c i e u x s e r a i e n t e n stock et utilisables avec profit sur d’autres
sites. Sans etre encore catastrophique, la si-tuation rnéteo h GuCd6
s'est donc beaucoup dégradée et il devient urgent de prendre les me-
sures qui s'imposent : support do bac, cage, renovation de l’aüri,
remise en marche de 3. ‘anémographe,
installation d'un 6ua~Jarc~rd~trz
Piche. Il convient de mieux valoriser le matériel actuellomunt inutlii-
sd et d’envisager son
transfert dans les stations qui en auraient iJr1
besoin urgent. Enfin, i l e s t i m p o r t a n t q u e l e s observateurs en ;>lacc:
soient bien suivis par les chercheurs utilisateurs et en particulier
par ceux qui interviennent sur la station.
A l a s u i t e d e c e t t e t o u r n é e t r è s f r u c t u e u s e d a n s Ic secteur
Fleuve, qui a pu mettre en évidence des hauts et des bas mais qui
laisse entrevoir de nombreuses solution d’amélioration (à rclativc:-
;i:::nt peu de frais et de moyans supplémentaires), je serai heureux
dc discuter sur les bases de ce compte rendu avec le Directaur du
secteur Fleuve do l':[SHA et avec le Directeur de la Méterl 1‘1atir.~nale,
pour qu'on totale collaboration les mesures voulues puissznt être
prises, en vue d'une amélioration simple et rapide de cette situation
agroclimatologique. Un trouvera dans le tableau ci-joint un rGsum6 do
cotte situation ; on remarquera qu'il y a entre Saint Louis et Suede
quatre stations comp:Ldtes et tres fiables (mais deux ne oossedei;t pas
de bac normalisé claes é A permettant de conduire rationnellement
1’ irrigation), Heureusement 9 cinq postes ou stationsen tout sont
munis de bac d'évaporation (dont 4 de bac normalisé classa A ci; 1
d o b a c e n t e r r é ; ce dernier est assez p e u represcntatif mais j3f3lJt
bb / db
f.*,
1
.
ü ,;
.
‘L r..
etri. co;n’plGt’& ;
voire remplas6 par sor.1 voisin d
e
I\\JDI[)L), Lt3 conpts
2enlI,nkst p a s exhausif et comporte certainekeflt rIes omissions i)ti
i;npreci5ions d a n s c e dom-ginc ; j“ai a i n s i e n t e n d u p a r l e r di: ncuvslï~
s-kation,:fie la 5 .A .E ,t?, (vers Savoignc o u Fibss-Béthi.0) e t du c5té
,;;auri ta&en
i l e x i s t e certairiement d e s s t a t i o n ‘titilisables &cJUr
12s 2 riues d u SGn&gûl (l,o~so p a r e x e m p l e e t Kaédi’ plus [3:-l a m o n t )
11 s e r a i t d’ailleurs*trhs u t i l e que. p o u r ;zssur~r
IJ 17 2 CO 0 r;i i -
natio;fs sérieuse et pour valoriser au mieux les.données de cc rt:soau
finalement assez dense, u n agroclimatologistc
fh:; i n s t a l l e en perma-
r;on’c:e dan2 la région du Fleuve (en rajoutant la moyenne ~~116~) tout
e n t r a v a i l l a n t s u r l e s b e s o i n s hydriques d;s cul’:uros e t 1 ‘Econo,niG
dd 1 ‘ccfu e n génkra’l.
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