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II 1
SECRETARIAT D'ETAT
.,A
REPUBLIQUE DU SENEGAL
A LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
PRIMATURE
,
.
c
COMMENTAIRE Of DIAPOSITIVES SUR LES RECHERCHES
.
IEBQ IBQATIERE DE CQf3SERUATl0N DES TERRES El DES EAUX
.;
r
,
Par
MadickQ NIANG
M A R S 1900
Centre National de Recharches Agronomiques
de BAMBEY
' IfJSTITUT SENEGALAIS- DE RECHERCHGAGRICOLES
(1. s
.

i-3, A,)

Los chercheurs de 1'ISRA travaillant au Centre National de
la Recherche Agronomique de Bambcy contribuent au dévelsuocmont do
l'Agriculture sénégalaise en mettant au point des innovations tochni&
qucs et dos méthodes de culture intonsivo permettant d’augmcntor
et de securisor la production agricole. 11s ont cree des varietes de
plantos plus productives que les varietes traditionnellement cultiveos
par 10s paysans, et qui résistent mieux à la sécheresse, aux maladies
ct aux insectes, Ils ont congu des machines permettant de prbparcr lo
sol, de semer ot de sarcler dans 10s meilleurs delais, photo 1
x
x
x
Les recherches qui ont pormis d’arriver à ces resultats ont
pu 8tro menées gr&ce à un restau de stations ot de paints d'essai,
rapartis a travers tout le Senegal Photo 2
X
x x
Pour on finaliscr les resultats, et avant de communiquer ceux+
ci aux sociétés de dévuloppomont,
certaines rechorchos sont poursui-
vies en milieu paysan, dans las unîtes experimcntales du Sine Salourn,~
ahorch<urs ainsi peuvent identifier les contraintes physiques, sociolo-
g~+ques
et aconomiquos susceptibles d'en bloquer la diffusion, les
changements que les nouvelles techniques peuvent entraîner sur lc mi-
lieu et étudier les modifications eventuellos à y apportor pour unu
meilleure adaptation aux conditions ruelles de la production.Photo 3
X
x x
Un groupe d’oncadreurs est entrain de discuter ici avec un
paysan dans son champ photo 4
X
x x
Les paysans des Unites Expdrimentales sont passes on peu d'an-
ndes
d'une agriculture manuelle//, à une agriculture mecnnisec avec
utilisation de la traction bovine Photos 5,6
X
x x
Ce paysan est entrain do faire une préparation du sol B lo
houe sine. photo 7
X
x x
Celui ci utilise une ariana pormcttant de faire un travail
à la dent, de labourer et de soulever l’arachide Photo 8
X
x x
G ~CC
au polycultour à grand rendement on peut semer sur
trois rangs// et sarcler sur une largeur de près de 2 mètres
Photos 9,îO
X
x x
Les traitements insecticides permettent de protéger les cultu-
res contre les attaques de deprédateurs Photo II
X
x x
,. / . .

Ainsi, les Paysans Peuvent faire tous les travaux dans les
meilleurs delais et s'aeeurer une bonne récolte Photo 12
X
x x
Les céreales, une fois battues seront conservées dans des
sillos comme celui ci, à l'abris des insectes,dos rats ettif'w phcto 13
Malheureusement,
ilsn'ont pas toujours utilisé de façon convenable
lùs nouvelles techniques
X
x
x
Par exemple, pour utiliser efficacement., 10s machines agrico-
~OS, il faut enlever toutes les souches d’arbres présentes dans les
champs Photo 14
X
x x
Et en contre partie , planter tout autour de nauveaux arbres qui
on g r a n d i s s a n t vont s e r v i r d e b r i s e v e n t e t protb@r le sol contra
l’erosion é o l i e n n e Photo 15 x
x x
Peu de paysans l'ont fai,t et leurs champs ducouverts sont ba-
layés par le vont Pondant touta la saison seche Photo 16
x
x
x
La plupart n'ont pas tir6 tous les avantages possibles de la
traction bovine pour augmenter la productivite de leurs terres à
l’unité do surface, mais ont pr6fero augmenter les superficies cul-
tivocs. C e c i a entrait-&, avec le non respect des conseils de l’enta-
dromont,
une ddgradntion des torrcs, dont l'aspect le plus remarqua=
blo est l’orosion pluviale qui se manifeste de plusieurs manières,
X
x x
Sur ce versant roccmmsnt dofrichb 10 ruissellement on nappe
ontraine du sable préleve à l'amont, et l'abandonne dés qu'intervient
10 moindre obstacle. Photo 17 x
x x
Dans CO champ oh on
v o i t cncoro des t i g e s d e c o t c n n i c r ,
les cultures ont éte emportkZes sur uno largeur d'au moins 20 mètres
ot 10 sol en place est surmontd d’une coucha de sable epaisso do
20 cm, Photo 18
Ici l'eau a emporta sur son passage de jeunos plants de maïs
ot on a recouvert d’autres d'unc couche de sable Photo 19
X
x x
Certaines plants ont Ote litdralcmont couchécs Photo 20
X
x x
L o r s q u e l ’ e a u s e concontre, clic creuse à la surface du sol
dss rigoles Photos 21 et 22
X
x x
Leur
profondeur
eut atteindre la taille d'un homme au bout
do
t:
quelques années Pho o 23 ~
x
‘X

3/
Des semis tardifs, sur un sol dejà pruparé expose celui-ci, à
l'Urosi.on, Sur ces champs, la couche superficielle du sol, amcubl,ic
par les travaux de preparation, a Btti decapée, Les cultures ont et6
emportées et il SC cr6s un3 hydromorphie, CO PhQnomgno est favoris6
par la création d'une discontinuité due à un travail superficiel à
unz profondeur constante
X
Photo 24
x x
Dans d'autres cas, il so produit unTglaçagr;ltqui favorise la
stagnation de l'eau
X
Photo 25
x x
Un travail profond comme le labour aurait permis uno bonno
infiltration de l'eau qui accroitrait les reserves dont les jounes
ijlonts Pourraient bén6ficior.
Photo 26
X
x x
Un sol mal recouvert par une vegétation qui demarre lontomcnt//
est particulièrement sensible & l'action de l'eau photos 27 et 28
xx x
Unc végetatiori recouvrant bien le sol assure une bonnc protoc-
tion contre l'impact direct des gouttes de pluies et le ruissollcmant
Photo 29
X
x x
1; ,d5btiTs>mznt constitu.: un autre factoùr do d5clk!nchzmunt
dd 1!6rosion *
La satisfaction des besoins quotidiens on bi-;~s
Pour la cuisine et.les outras usages domestiques amène las paysans à
detruire la végétation arbustivu qui Prot8gc les versants ot Los som-
mots de plateau, surtout à la wcillo des pluies où il faut constituer
dos stocks de bois pour l'hivernage, Ainsi, le sol est diroctcmont
uxpose B l'action do l'eau
Photo 30
X
x x
Voilà le spcctaclc nuquol on peut aboutir au bcut du? quolyuos
annQcs.
Ceci n'est pas un cas isole dans l'Unité Experimcntalr. La
restauration de tallos torrss dzmandora des efforts très ïmpzrtante.
Photo 31
X
x
X
Ces zones dacapécs constituent de véritables bassins do rG-
ccption qui alimentent un ecoulement important. Lo relief jouo un
rfilc déterminant dans ce processus. Il est en effet constitus par fi
dos depressions où se raccordant ci de longues pontas (1 à 2 km) dt?
1 à 1,5 $. Ces plateaux constituent de v&ritablas impluviums à partir

dasqucls l'eau descend vers les depressions ou le long dos Pontes,
suivant les chemins et les pistes qui sont progressivement transformes
en ravins
Photos 32 et 33 x
x x
Les paysans deplacent les chemins rendus impraticables Par
10 ravinemont sur les champs dont la surface 88 r6duit d'anneo on
année
Photo 34
?
X
# des Plateaux qui dominent ' '
. . / .,

4l
Un programme de recherche pour la lutte contre I’Grosion a
6t6 6laborB ct connait un début do réalisation dans l’unit6 oxperi-
mentale de I'hyssb Kaymor. Pour lutter contre un mal, il faut connoitrû
ses differentes manifestations et son ampleur, c’est $3 dire, faire on quel-
c
que sorte un diagnostic, Dans.10 cas prescrit deux possibilites s'af-
fraient :- soit recourir à des mesures sur parcelles d’Yrosion, deman-
dant des moyens très importants , pendant plusieurs anndcs//Photo 35
- soit utiliser la cartographie, avec reprdsentation des
differentes formes d'erosion, ot de leurs conséquences sur 10 sol
ët les cultures, Cette méthode permet de voir comment le phenumo
s ‘inscrit dans l’espace, et peut servir de point de départ à 1’6-
laboration d’un schema d'amenagament, Elfe est par ailleurs moins
COûteUSC,
C’est celle que nous avons choisi Photo 36
n
X
X
Le schéma d’amenagomcnt retenu comporte des tachniquos de
lutte au niveau do la parcelle, mais aussi à l’echolla du bassin
versant.
11 comprend à la fois des methodcs biologiques faisant appel
QUX plantcs et à des mdthodos physiques comportant differents tra-
veux d’aménagement du terrain. Il a étQ discute avec dos paysans
,lcIur qu’ils puissent participer au travail efficaccmcnt,Photo 37
x
x x
Un levé topographique B lfOchcllo du ?/IIJCD à permis de mate-
rialisor sur le terrain, les lignes directrices pour la culture en
courbes de niveau. Dans un premier temps elles ont et6 marquGos /par
dss piquets remplacés par la suite par des lignes continues do ,.)ois
Li'Angolc // Photo 38
Photo 39 xx x
et de Bauhinia rufwCos 2 csipèCc?S o n t éte c h o i s i e s i33o’JlZ leur
rosistance à la séchoresso ct on espère qu'elles se maintiendront de
maniéro permanente.
X
x x
Les paysans ont fait leurs semis on suivant les courbas
ainsi tracées
Photos 40 et 41
X
x x
Sur les terrains dqnt la pente dupasse 1,5 $ des bondes cnher-
becs ont et6 aménagées
perpcndiculairemont Si celle ci pour entre
couper la longueur on VUEJ d’Gvi.ter la concentration de l’eau. Los
bandes cnhcrbécs SO comportent comma des poignes qui ralentissont le
ruissellement sans 1 ‘arr&ter,
mais ;jar c3ntre maintiennent Los SOdi-
monts. Ainsi, des banquottos vont SS former progressivement 21 leur
;;lac:r!,
Photo 42
X
x x
La culture en bandos altcrn9os ou stkip-croping de plantas à
dûtos de semis différentes (par exemple un mil semé en sec ot uno
arachide après une pluie utile) uvitc de maintenir le sol à nu sur
tzute la pente en début d’hivornagc, D’autre part, la cli.ffGrcnco dz
dansitQ ot do recauvrcment du sol ;Jcrmet d’éviter une concontratian
do l’eau sur toute la ponto, La rotation des culture permet di: compon-
sor 10s phGnom&ncs do rcmanicmcnt suijcrficicl Photo 43
X
x x
/

5/
On peut ggalement associer sur une même parcelle une cérealc
ot u n e l é g u m i n e u s e c o m m e l e m i l et l e Niébé. A i n s i an obtient un
recouvrement maximal du sol et une utilisation optimale des rossuur-
ces en eaux, En plus, la légumineuse , par la fixation de l’azote
c
atmosphbriquo c o n t r i b u e à l a n u t r i t i o n d u m i l . photo 4 4
X
x x
.
L’Agroforcsterie, c’est à dire l’association de cultures annuel-
losset d’arl;rtis n u ,
p e u t a u s s i c o n t r i b u e r ci l a l u t t e c o n t r e
l ’ é r o s i o n . A u d é b u t , n o u s a v o n s rocommand0 d o s p l a n t a t i o n s puros
1~s pentes dans lo cadre J’une mise en défendspour limiter l’tixton-
eion Oas culturps s u r 13s ommots r!~ vocsants pnrtiçuli&roment s e n s i -
bles a l ’ é r o s i o n , P h o t o 4 5 xx x
P a r l a s u i t e p o u r amener l e s p a y s a n s à e f f e c t u e r l e s t r a v a u x
d’entretien nous leur avons permis d’introduire des culture sous
l e s j e u n e s a r b r e s e n eçperant q u ’ a u b o u t d e q u e l q u e s ann&es (4 5. 5)
cdlles ci ne seront plus possible avec l’effet d’ombraga, et
les arbres suffisamment développes pour s’alimcntar dans las cou-
ches profondes du sol.
X xX
Photo 46
C e t t e c o u v e r t u r e d e niébe protège officacsment le sol ct
conserve bien 1 ‘humidite,
on reduisant 1 ‘évaporation par rapport
à un sol nu,Ello permet égalemont de mieux valoriser l’eau
Photo 47
X
f- --%
x x
La concurence hydrique y est moins forto qu’avec
l a
jache-
re qui consomme beaucoup d’eau, au détrimont dos jcunos arbres dont
l a c r o i s s a n c e d e v i e n t t r è s l e n t e P h o t o 4 8
X
x x
Ces arbustes ont etfi plontés en merno temps que ces grands
arbres q u i o n t bénoficio indirectemont des l ’ e n t r e t i e n dos cultures
e t d e l ’ e n g r a i s residucl, A i n s i , ce p a y s a n nIa pas l’impression
d’3tro d8possfidG do s a t o r r o , au profit dos arbres tout ou moins
dans les premibres annéos,
Mais viendra un jour où leur ombre l’o-
bligora à u n e p l u s c u l t i v e r e n d e s s o u s , L a m i s e e n defonds doviendra
a l o r s effective,
E n a t t e n d a n t chaqua année i l p l a n t e d e j o u n o s iïlants I
à l a p l a c e d e COS p i q u e t s , P h o t o 4 9 e t 50
x
x x
Nous avons déjà vu qu’un labour profond peut contribuer à la
l u t t e c o n t r e ltérosion, O n p e u t aussi aménager la sol en crGant u n
micro-reliof constituer par dos billons destinés à rotonir l’oou
d a n s l a p a r c e l l e P h o t o 51
L e s b i l l o n s c l o i s o n n e s s o n t p l u s efficaces d a n s cc? d o m a i n e
Photo 52
X
x x
S u r l e s zones décapéos d o s d e m i l u n e s o n t éte a m é n a g e o s Gn
v u e d e c a n a l i s e r lc ruisollcmont vers les jeunas plants d’arbres
placés d a n s d e s potcts remplis do terre à moiti.8 pour stocker L/e
l’eau. Photos 53 et 54
X
x
x
/
. . . .

. .
Y.-
..
.
-.-

..,,r..

I
.
pour contribuer à la satisfaction des besoins des paysans en bris,
on a essaye d'introduire dans chaque exploitation, une plantation
d'arbres d'un quart d'hectare Photo 55
X
X
X
?
Si les premières actions de reboisement ont porté sur l’eu
calyptus e n r a i s o n d e s a rosistance 21 l a sbcheresse e t so rapidite
de croissance, depuis 4 ou 5 ans, on essaie de diversifier, avec:
10s essences locales comme le Combretum glutjnosum (Ratt on Ouolof),
le jujubicr o u l e D a r k a s s o u (Anacardium Occidcntalo).photo 56
X
x x
Pour la reussite do ces plantations, on est souvcnt obliqb
d’avoir recours à la protection individucllc, qui ravicnt tr8s cher.
Photo 57
X
X
X
S u r 10s torros d o n t l e SGL a eté d é c a p e l ’ e a u s’infjltrc
tres p e u et l e s résorvcs d ’ e a u r e c u e i l l i qritca à l’amenoqemont cl2
grands potots ne suffit pas à assurer la survie des jeunes plants.
p h o t o 58
X
x x
Chaqua annee, uno p&piniioro est miso en place pour les besoins
iiu programme
p2ur .ln fourniturc Ii.* jeunus P l a n t s zyx ;.:cy;2ns
Nous avons aussi recours de plus on plÙs au semis uircct,
i;nur c e r t a i n e s ospeces, tn vui !1,, rJ,lu.iro las co0ts ;I'im~2lznto-
tien* Photos 59, 60
X
x x
D'autre osphccs comme euphorbia bnlsaniféra utilisbc pour les
h a i e s v i v e s s o n t implantéos pnr b o u t u r a g e ,
;,h.l,t:: 64-ï ..A 62
..
~--
X
x x
P o u r r e t e n i r 10s oaux de r u i s s e l l e m e n t o n provonatic cizs im-
;)luvium en dchors dos champs cultives on contre bas, dos bassins
de retenue ont ét6 aménûg68//
Les eaux ainsi rccuoillics pourront Otre utilisés pour l’a-
brcuvemcnt des animaux ou ;Jour certains usagesdomestiques
comme
lu lavage du linqo Par les femmes photo 63
I
X
X
X
Chantier d'am3nagoment d'un bassin par des manocuvros recrutes
,
parmi l a p o p u l a t i o n l o c a l e Photo 64 et 65
.I
A
x
x
Uno vue du bassin aprLs s o n amenaqemcnt
P h o t o 6 6
X
x x

Il a fallu aussi procéder à l'aménagement des chemins d'eau na-
turels pour permettre un écoulement en sécurité et vers les points
les plus bas,
et éviter leur surcreusement, Certains champs sont
parcourus par un réseau de ravins qui les rendent pratiquement in-
cultivables. Il a fallu en sélectionner les principaux, et les amb-
nager an chemins d'eau, e t t e n t e r de r é c u p é r e r l e s a u t r e s . P o u r c e l a ,
dos petits barrages en pierres ont btéconstruirz au confluent des
r a v i n s s e c o n d a i r e s e t de l a v o i e d’eau p r i n c i p a l e , 11s o n t eté p a r
13 suite comblés avec de la terre, photos 67 et ,58
X
x x
.
X
X
X
Afin de réduire l’énergie de l'eau dans les chemins d'eau des
patits
8nt été faits à l'aide de piquets et de branchage, ou en
cuphobes, en travers,
x P h o t o 69
x x
On a eu aussi recours à l’enherbement pour fixer les chemins
d ‘eau photo 70
X
x x
Des ravins ont pu Qtrc stablisés et mis en culture. L’horizon
supérieur du sol aux endroits où ont 6t6 creuses les bassins a ét6
utilisé pour combler certains ravins, Ensuite on a semé du ni6bb
là dessus, comme plante dc couverture pour fixer le sol. photo 7-,
X
X
X
Un autre aspect non moins important de la lutte contre L'cZrosion
est la sensibilisation et l’information des parsonnes conccrncies à
tous les niveaux
Lo responsable du programme osi e n t r a i n d ’ e x p l i q u e r i c i t o u s
ces aspects à un groupe d’encadreurs qui à leur tour porteront le
message aux paysans
Photo. 72
X
x x
Ce groupe de visiteurs est composé de responsables de la rochcr-
che agricole Photos 73 et 74 x
x x
Ainsi, nous espérons contribuer à la conservation de cotte
terre si précise pour les paysans de dcmain. photo 75