‘. -‘,,-’ ,, . . . ...
‘.
-‘,,-’
,,
.

.

.
‘,!:!: ] “: ‘. ;
!!
E T A T D E R :CH ERCPI E
S U R L A
ii
FERYl
LLiLSRT1.ON
i!
j!

M I N E R A L E : E ’ ORGAN L Q U E I > A N S
!I
L. E
B A S S I N ALZ .CLE T &R DTJ S E N E G A L
!/
.: Y zzz--Ez7~-=~==.~ 2: ;:L
_.._.. !i

si
.
L'amélioratiorl c
:iu 1 ‘;
a
toujours
6té
UI
agr~onomique du Sénégal .
La réduction de:
jiiclièr.es
voi i-c
leur totale disp,a-
ri t~ion,
la
non-restitu
.i on
d c: s
rc<sidus
de
récol te >
1 'accentuation
du
désc Juilibrc
minera1
résultant
de
! 'augmentation des rendem nts
011 t,
suscite la recherche d'une
fc r.t< il i sation minéra1.e et
rga~t i (4t1tt l) I 115 sat isf‘aisante.
A .- I;~RTILIS&lYlION MINERALE
~----
Les premières é udes
sur la fertilisation minérale
étaient axées sur l'arach: le et, les cérfiales en rotation avec
elle.
Elles.
ont permis à la définition de formules NPKS très
peu concentrées pouvant ai croître dc faqon significative et à
fa i Mes
coûts
l a produc ion
agricole et
familiariser
les
p a y s a n s à
l'utilisation
des
engrais
minéraux.
Plusieurs
formules
tenant
compte
les
situation
é c o l o g i q u e s e t
des
caractéristiques des sols
Lvaient été définis pour l'arachide;
pour
les
céréales (mil,
sorgho)
une
formule
unique
était
établie.
A partir de 197
après
une décennie de sécheresse,
une
nouvelle
orientation,
tenant
compte des caractéristiques
des
sols,
des niveaux de
.echnicités,
des capacités d'équipe-
ments
et des moyens
maté. iels différents
et coexistants dans
le 'monde rural, .a éti: C ifinic a v e c
3 niveaux d'intensifi--
cation:
-_
Le niveau J?O
caractérisé
par
une fertilisation
légère pour les systèmes
de culture pas ou
très faiblement
mécanisés.

Tout cri
souci~r:L
du mai ;1: It.11 voire 1 'amél ioration de
!.a
f<-br.Ljl it& des sols :CI~
;ouv~~:~~ll.
;LIJ
maximum 1 es besoins en
l
is 1 Grueri t,c;
fe1.t; 1 isants
(!C:L; i cul turcs,
c e t, t e
nouvelle
orientki-
Lion St 'inscrivait par a i. I,lt~urs dan>; 1 c\\ cadre d'une agriculture
l
susceptible d'assurer 1 ';\\utlosuffis.i~lc:~
a1 imentaire.
a(:q.u.is
s u r .!-a
fertilisation
C'est a partir
t:
196 1 , que
la proposition de la
i'
fertilisation dite
légère( a t?f,G mise t:n application dans le
monde
rural
avec
1 ' acc #kit
sur
le
facteur
engrais
pour
7
augmenter les rendemenl.:;. i
I~II(: <*a:.tc: dt: fumurc a été établie
ci-dessus :
I_-
-~-
Vultures
Zones
Formules
Roses kg/ha
~-
_-. .- .-.
-.-
-
-
Yil
unique
dans tout

1 5 0
Sorgho
I_-
-
-
Louga
12.-10-10 i- 12s
150
w
Tivaouane
1.
Thiès
Zrachide Bambey-Diourbcl(
G-20-10 + 8s
.t
Sine-S'aloum
G - - 2 0 - 1 0 + 8s
(1
Sénégal Oriental
6-28-10 + 8s
.I
Casamance
Z - 2 8 - 1 0 + 10s
I,
.**, ’
.y
I

leur
total i Cl? :
dirc;souc~lagc~ ,
phosphatage de
fond,
I.abi:!ir~
p r o f o n d Jt: débu! :Ic Cycl~e ;
variétés
sélectionnées
à haut
potentiel
c!c
rt!I:(l!~ilIl2tlt,
f umure
forte,
protection
phytosa-
nitaire,
c11Lre t. Ier:
d t s
c 1t,ures,
restitution des pailles t:t
amendeme II ?,
cal c iqile , (3t,c . 1D i v e r s e s
contraintes
(techniques,
soc: iales
e t.
6(:tj~1c)m i ques )'
ont
i n d u i t à
u n e
dérive
d i.~n 5
l'application de i't:s
thèmes
cntrainant
une
mise en
OC?UVI-C
s&lective
dc s
61 Gmi~rits
if2
paquets
technologiques
définis.
mi se
e n
o e u v r e
séle !
tive
des
éléments
de
paquets
1
technologiques définis.
1
Des
études
Sur( l
a
d y n a m i q u e d e
pénétration et
d'application en milieu ~
rural
des
thèmes
définis
OrIt
i; t c
conduites
pour
I.es c a u s e s
de cette dérive.
Les
résultats obtenus sont- rés~umés ci-dessus :
- Les labours d$ début de cycle ne sont généralement
pas effectués ;
-
Les
rotationq
céréales/légumineuses n e
sont
pas
toujours menées ;

1.
: <t
correction de la carence en potassium peut sc
f ;i i 1.c
p;i r'
II il
renforcement de
1 a
f'umure
potassique
tlC!
1.'ar;~C;hide c:t une rcstditut,ion intégrale par enfouissement des
yaill.es de mil.
l
-- un apport, de
kg/ha de K20 sur la culture de .mil
est souhait&e pour un obj
de production de 2 tonnes/ha de
mil--grains.
iXr1
1 9 7 6 ,
LI ne
mise
CdU
point
des
formules
cl c
fert,.i1. isa!,ion avec dc!s
sources fertilisantes à moindre coût a
été init;iÉi:.
Le super1.riple le supersimple et les phosphal ont
été
utilisés.
Le phosphate de Matam (30% P205) a été irlitié
aussi
dans
Loute
l a
zone
centre
N o r d , d e B A , l e
Sénégal
Oriental et La
moyenne
Casamance.
La caractérisation de ces
phosphates au laboratoire/ ont
abouti
à la détermination des
doses à apporter pour Les systèmes de cultures.
- Dans la zone
entre Nord (Thiès-Diourbel) un apport
de 100 kg/ha de
phosphat
de Matam à 30 % de P205 est à même
i'
de satisfaire les
l
besoins en phosphore du mil ou de l'arachide
pour des niveaux de
de 1500 kg/ha de gousses ou de
1000 kg/ha de mil-grains.

Au
1 C:c;
r o t a t i o n s
2 -- Résultats 2aqlluj.s
a) Phosphatagt> d
fond
Tous
les
t r‘avt3.11x
effect.ui:s
sur
l-es
phosphut es
nat,u:.els (Shlamm, Bayl ifo: ;>
Sc:ories,
phosphogypse, t.r-icalciquc
de Taïba brut et broyé, p hclsphal,
etc) ont abouti à la recom-
mandation du phosphatage cl e
fond.
Celui --ci consiste à 1 ' apport
à la. lère année de mise
e1 '1
CU1 turc,
pour les systèmes semi--
intensifs du tricalcique <;e Taïba (37 % P205) à raison de 400
.kg/ha p o u r
les
cu1t>ures
pluviales
et.
1000 kg/ha pour
1 e s
cultures en conditions sub
'rgées.
Ce phosphatage
e: fond a pour but. de corrigt-r la
carence initiale du phosph801-e quasi-genr?rale dans l e s ~0.1 s .
b) Amendement calciq GE
I<n 1973, une est i IIlation des zones acides a et,& faite.
Il
e n
résultait
que 40
0 0 0 h a
nécessitent un
chaulage
immédia t. A partir de ce ( i agnostic,
des études ont été menées
P
sur les différentes S~U~C< S de calcium tels que le silicate'de
I
chaux ou
ciment
(34 % de
C:aO),
les coq.uillages broyées, Les
calcaires phosphatés,
la
Ckiaux
magnésienne
(45 % de CaO), le
phosphogypse (26 % Cao) ( t
la chaux agricole (70 % CaO). La
conclusion de ces travaux 10 1It été résumés aussi :
.__-_~-
^ -_-------
-+-
-~
--
-

L'amendement
_’ i (lucf
n ’ e s t . cfficacc q u ’ a u x valeurs
<jr: pIJc:au < à 5 > 5 .
i
1, ’ amendeme ri t
;: 3. ! ( i q u c
a
s u r t o u t ,
des
effets
s i grti f i cat. i f‘s
s u r
l e s
.. ctndtsrnents
dr
1 ’ arach i de
et
tl u
C:C) t.0r111 i e 1’.
L e s d o s e s d e
c
‘1’ t?c:t,j o n p o u r
1 c’s
pr i rit i pales zones
af fet:t,ées e t , 1 e s p l u s v i 3.
0 s o b t e n u e s s o n t , p r é s e n t é e s d a n s l e
t,~bT~~Liill
SUi Vl*Ilt. :
--
71 one
)Ose de ch:
( 7 0 % Ca0
Plus values (kg/ha)
en kg.
2 ans
~_------.---.-
gousses : 200
200
Panes : 100
gousses :
500
100 f
1 ’ . M (
1
Fanes
: 350
_..~_
Haute
Casamance
200
c:o ton,
g r a i n s
:
200
- - -
~..--~. -~
- -
gousses
: 250
Moyenne
100
Casamance
Fanes
: 100
gousses
: 400
100 t
i’ .R (2)
Fanes
: 250
-
-
~.~---~
_ ..-
(1)
Enfouisse
p a i
le de‘ mil.
(système
mil-
arachide).
(2) Enfouissemc
paille de riz (système r i z pluvial
et arachide).

ri
i
13
- !I'ERTIL LSA'I‘ I O@.._Q.@.G!Q~~Q1
1, ' an16 1 io rat. i on c)Il
sols const i tue
1) 1 11 s
qLlC?
c-! Lé
expériment6cts.
I,'~:nf~
Vël”t.
cul 1. i vé
i’f
d
e
s
pai
d'une part,
et. d ' autre
plus ou moins Glevé (fuml lii
c: 0 n5 o i vent
<3VCC.
1 e
trav:
matière
organique
car 1'
.
l'efficacité de
la matii
comportements
néfastes
enracinement superficiel
Les principaux i-
tl e s
paill es
de
céréall ‘1
accroissements de rcndemt1
m i 1 et,
l e m a ï s .
Plus ta r
vers les formes de matièr
ayant
des
effets
i,rès
chimiques,
la matière org.
L'apport de mai ière
organique
étant
un
amendement, ,
ses effets ne sont généra lement notables qu'à court, terme. Les
résultats
expérimentaux 1btenus avec
le fumier, montrent
que
les doses élevées de Sot, ha donnent, des
effets si.griificat,ifs.
Mais
la dose
apportée e: t,
supérieure 2
celle
que l'on peut
apporter dans les condit ons actuelles du monde
rural (1 à 3
t/ha respectivement du No d au Sud Est du pays).

i,
1 ii
r.c(:hcr-che
s'est,
attelée à
(' f f i ~:iic i t,6
agronomique
de
faibles
}I:I tic
fllrll i I‘I‘) >
d'apport dc matigre
(‘OIllj~!,:; t
1: ] ,)<i'
,nz o u
dc
compost,
tl c
i: j sterit, t:t:r.t,i:s
en milieu
réel >
ma.i s
;agér:s.
I):I~. exemple :
la confection
Il
h i V<:I‘lldgC
p o u r
1. c s
besoins
de
;ouL‘s et
: t‘s
résultats obtenus sont
.
>üySarlS
darls le centre Nord utilise
1 f.?
f 1.1 m i (2 I’
t.J,;l<l.i t, Lonne
.is
1 e s
pr'oblèmes
rencontrés
sont
divers d'ordre.
Le fuoii er
s t,
charg6 en
sable et non composté,
il
est de mauvaise quali
et ut, il ise
en grande
échelle par
les maraic:her-s de la vall<
d u S i n e .
nposition chimique est la suivante
:
~_~. .-- .._- -~
~-
Humidité
(7
N
P205
K20
Matières
minérales
C/N
%
% M.S
Totale
Fumier
de

497
8,6
0 > 4‘4
0,25
0,36
80
19
cheval
-1
-
-
L'autre type dc
fumier
utilisé
est le fumier dit
"amél ioré"
par
la fert,il
ation
des
cultures,
la stabulation
des
animaux et.
Les
:iElpO 1 ;s d'eau pour le compostage et les
apports de matière vegét .le.
Ce fumier est produit dans un
élevage partiellement.
SéC 2ntaï.re.
Trois
types de fumier sont
définis selon les matière S
végétales
apportées.
Le fumier de
foin de Jachère est plus
riche
en phosphate .(P205), potasse
(KZO) e t
l e c a l c i u m ( C a 1)
mais le plus pauvre en azote ;
inversement le fumier de
pailles de
céréales (mil
et sogho)
est
plus
riche
en
a4 >te
mais
plus
p a u v r e e n
éléments
phosphatés et potassique.
La valeur fertilisante d'un fumier
peut donc
varier grandemc at selon la nature de la titière et
la fer.tilisation des culte r-es.
‘:
.

:‘:i!i., .:a F
;,,i
a
conccnl. r*at, i o n

cn P et.
C a résuLte
scu3 cment
d e s
pertcts e r
ma !, i ~5 1.f:
s è c h e .
L e s
avantages du
c o m p o s t sorit n o m b r e u x :
F a i r e d.isparaE
r-e 1'~ffet, dépressif des pailles sur
cultures
A u g m e n
:sistiir~~~ du parasitisme des pla~Jt.es
qu du c;ompost :
C\\ rendement engrais ;
. Maintenir'
'1.1 élever le niveau de fertilité des
sols ;
Les
recommanda
ions
émanant
dans
nos
travaux
preconisent 3 t/ha en mi
eu paysan tous les
ans $2 !i d@faut
tous les 2 ans 1,5 à 3
_ MS/ha d'un compost
fini.
Le mode
d'application
préconiseé
est
l'enfouissement en
d é b u t d e
cyc1.e *

;,Ilorli.i (4uc‘
;i 11
S é n é g a l i i m i s a u p o i n t .
~!y i ;;ilt’
(’ f
.sc- i rnt if i quct
<‘ï-l
L’UC
<if?
I ! 1 , 5
tl t > !i
!
::, 1 s
p<r r
le bjais de la
j c 4 ,1 i' .
I,CS
fi i veaux tl ' iriterlsifitr~it,ion
< . ')
f 0 1‘1111.l 1 ffS
d'engrais
<:ompc->s tants
r'
va-1 i d i 1.6
sauf
probablement.
i;c.rn!.I.Rs par l a z o n e N o r d (r6gion tl<a
i'!.;lrlttr baisse
pluviométrique
limite
'r f'iillh
de
r,end ement
escomptés.
LAC? s
1 i sant.s préconisés pour les diverses
c:.ul :.:1 :'t'i; ~:~~111i,I.<~nrlent~
il ïl i q .~meril. 1 es f>xpor‘tations minérales par
1 <ts
r.C:t;:j 1 ! es.
Devant,
1;
iiaussc
siir1s
c e s s e
des
prix
cl e s
é 1 é m c n t.. s
fe rti 1 i sants ,
.J“ .___~ réduction
du
coût
d e
la
f-e-rttj:l .i-sat.i.on- ._.devien.t-- ~~ u
objectif_ _py,ioritaire.
Ce
qui a
condujt 1.a recherche à VE oriser I-es
ressources locales telles
q u e l e s p h o s p h a t e s nature
les >
Les résidus de récolte ,et .1 es
herbes de jachère.
Il importe de
ouligner qu'à l'heure actuelle,
l-es
surfaces amendées restent
faibles et beaucoup d'effort res t 12 n t
à faire
pour généraliser kphosphatagede fond.
Certes
beaucou
de
choses
r e s t e n t à
faire
pour
solut,iorlrler
l e p r o b l è m e
ie l'amendement organique en milieu
paysan,
i l
n e
semble pz ;
exister d'autres alternatives que
1 ' impuls ion
de
J'in cgration
élevage-agriculture
et
__- ..--..
Deux principale ; axes de recherches pouvaient être
effectués dans la zone du Bassin Arachidier.
1)-
Etude
iég
onale
de la
fertilisation
organo-
minérale
des cultures.
2)- Regénératio
des sols dégradés s'appuyant sur une
valorisa tion des ressourc
's naturelles disponibles (résidus de
réco.lte,
phosphate.n&A
)

r e c h e r c h e s v a
nous
c:onduire à
une
"Co111.t~e
de
r(:ponse A 1 i3.
mati;5rc
t

_-.--_.-.
_.

.

.._

-

-...-__

._-

._..
r-
t--
&
ri tl!j
4
-. t-
‘! .
PI C-
î-1 c-

s
il t
al 1 9 6 1 : Deuxième contI.it)uj i o n à l ’ é t u d e d e la
Fumure d e s
t f:' r r e s
2
arach i dc
(11:
S é n é g a l :
e f fef,
r.ésiduel des fornules NPK sur la deuxième année de
culture.
DO~.
Zones,
CNRA/BAMBEY.
s (1954) :
I,'emploi d e s
phosphates de Thiès dans
l'agriculture
sénégalaise ex!.rai !. des comptes résidus
de la 5è
Int,criifrici~ine
des
soxs
Léopoldville 9-14
CHAIEi~llA1~, C ; Poulain ,
J.F 1963
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sorgho Agro. Trop. extrait du n
1.1.1963.
. .
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Problè es posés par l'utilisation agricole
des sols
tropica x
pour des cultures annuelles. Dot
Rones (Séminaire
:
sur les sols t,r-opicaux à Ibadan).
C T S S E , 1,.
(1980) :
Etud
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quelques culture- pluviales
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Roneo-CNRA/BAMBEY
CTSSE, L., 1981
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sableux exondés du Sénégal : Processus et correction.
CISSE, L., 1984
t e c h n i q u e s à
rendements
des
principales
c e n t r e - N o r d d u
Sénégal.

1 -1
:.
1J. 1
1985 :
Val.dl risation
agricole
des
ressources
naturelles.
Etude des effel

de l'acidification ,partielle sur
l'cfficacite agr
iomique
du phosphate de Matam. Dot.
Ronéo-CNRA/BAMBE
F.
et Siband, I'.
374
: Fertilisation, production et
gestion du milie
en zone tropicale sèche. Séminaire
régional FAO/DAN
)A Dakar g-21/9/1974.
F ; Feller, C
1. 9 7
- Effet de la fertilisation azotée
(urée) et de 1':
endement organique (compost) sur la
productivité du
11 et la-stabilisation de la matière
organique en mo
culture de mil dans les conditions
des zones tropic
les semi-arides.
Séminaire Régional
BUEA (Cameroun E
.4/12,'77).
F.
1985
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Quel -7’ les
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le milieu paysar1( 1CSRA (ed) pp. 108-119.
F-1985.,
Hamon,
Ft.
: L'habitat
des
'-
animaux
et la
production d'un
umier de qualité en zone tropicale
sèche (bilan de
I années d'études) Agron. Trop. 27,
592-607.
1970
Thèmes
lég
S
-
Thèmes
l o u r d s -
Systèmes
intensifs
-
roies
d i f f é r e n t e s o u v e r t e s a u
développement
:ricole
d u
Sénégal
Dot.
Ronéo
CNRA/Bambep.
IRAT, 1975 - A propos du
jle de la matière organique dans la
fertilité du SC
*
Synthèse,-des résultats 1969-1974
Dot. Ronéo - CNI
/BAMBEY.
t
NDIAYE,
J.P - 1977-1979
Etudes de l'efficacité du- phosphal
sur
quelques
<.
cultures
p l u v i a l e s d u
Sénégal
.
.f
~
q:
Orientai.Doc. RC
I/,
L
é0
- CNRkBAMEEY.
':
;. ,F i
..^
#,'. *. .

1’ r r‘: :! ! ,
c
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1976
-
L’A ci dification des terres de cultures
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Trop.
vol. xxx1 II0 4 pp 3:39-
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3’ ’
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1979
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cngra
CNRA/BAMBEY.
a ‘i
! td
SCII.X:LI>I?iG,
R-1973 - Etud ei
du sol.
Actes des <jour ré
1
vulgarisatiori.