RI1:'!J8LIqUE DU SENEGAL SECRETARIAT pi 1 y 1...
RI1:'!J8LIqUE DU SENEGAL
SECRETARIAT
pi 1 y 1 5; -j-E 2 E L;E L 'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
A LA RECHE:<CHE SCIENTIFIQUE'
ET DE LA !?ECHERCHE SCIEKTIFIQUE
ET TECHNIQUE
dIMUtATIBN DU BILAN HYDR1Qt.E DE L’ARAC34IDE EN
VUE D'UNE MEILLEURE ADAPTATIW DE CETTE
CULTURE AUX CUNDITIQNS TROPICALES
1‘
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. OANCETTE
F. FORE9T
13 i v i s j. 0 n d c Biocliinatsiogia
Division fiecherche -DEv~iQ~J139:;,r;i‘i~
CriRA de BAMBEY
IFIAT/GERDAT B,P, 5035
SENEGAL
34032 Nontpellior - FRAi;i(':E
1:JSTITUT DE RECHERCHES AGRONuMZQUES
Ti1ffPICALES ET DES CULTURES VI~R:!E~:E~
(1JKA.T.)
~a divisj.on de ~joclinatoloqie du c.N~R..A. de Banbey (fSYti)
a traval.ll& pendant plusieur&+ annGes pour préciser dkne part Ie
gradient de demande évaporative (essentiellement Nord e Sud) ii'or~%:-
climat&ue au SBn~&$al et d'autre part les besoins en eau de FlUsik?urs
va.riGt5s d'arachide dont le cycle variait de 30 2 I.23 jours,
De son cbtE, la division d'hydraulique agricole de -'.ont-
@lier (~RAT-GERDAT) a mis au point un modi?le de bilan kydrirrue
permettant de tirer parti des connaissances agroclimatiques acquises
par ailleurs. outre le coefficient de demande Zvaporative et les
besoins en eau inturvicnnent 1~;s facteurs suivants :
- la canacitE de r6tention en eau des solsc que l'on peut esti-
mer $, partir des travaux actuellement conduits pour caracttkisêr les
*rincipaux sols sénfqalais
- la pI.uviom4tri.e quotidienne, :r,ezwrée r@uliGrement denuis ije
nom~amw2ô ann6es : on retiendra ici un- pbriode de quarante annWs
dr; rekvës 7 les chiffres sont Wentuellement c(c3rrigéis par un cozffi-.
ci.ent de ruissellement.
.A partir du modele on peut chiffrer sur des p&iodes
successives de 5 jours, la consommation hydrique r6olI.e (&ayorr?-t; .:+-,
rklfe ou Em) y le taux de satisfaction des besoins en eau9 les
riscrues de drainage et de ruissellement, les doses dsirriqatfon Ae
com~plCment qulil conviendrait d:apporter.
Pour tester la validité du mod;lle et en montrer l'int&rW '
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auteurs ont analy& sur quarante ann?es, 3 variEt6s d'arachide
4iffGrant surtout par leur dur(zxlc de cycle vég6tati.f : 90, 105 czt
120 -joursB s u r 3 types de sols diffkents et enfin dans 3 zones ?IX
pI.uvi.ositt" croissante c Loucg (420 mm en moyw~ne) , Dambey (64:)) et
Nioro du Rip (260 mm),
Les resultats de l'analyse peuvent conduire
.
à des choix fnporCants
::OU~ le développement : chagx de la dur& d,e cycle B adopter, choix C~C
la date de semis, recours a l'irrigation ùnappoint.
LA premike vue,, leanalyse montre quV3 Lcuga, m8me une
varj.été de 90 jours est mal adaptt?e et gu'iJ, faudrait recourir .S
17irri-ation d'appoint, qu'a Bambeu, une variBt6 dormante de 33 jours
semée à la date voulue (c'est-à-dire pas trop t8t) peut assurer une
meilleure sécurbte sur le plan de son alimentation hydrique, que ries
Vari&és plus tardives, en particulier si on considke la periode Uh
stscheresse subie depuis plus de 12 ans, et enfin quq$ :3iaro du Xip i?
n'y a pas de problème grave d'adapt3tA-x vxi@tale : toutefois, :?o~r
In @iode de sBcheresse 1968 - 13%0, la vari.6tG de 105 jours es%
moins stressée sur le plan hydrique que celle de 120 jours$ notarnrr:ér:t
SI phase de maturation, ce qui est partfculi&rement important pour 1~.
qualité des semences et pour l'arachide de bouche.
Les objectifs de la rechF-,rchw et du d&M.oDuemcnt
e ,.
pourrtai.ent
Strc de tendze vers une meilleure rEgularit6 de la production au:!cl:i-~
diere y plutôt que vers des rendements record ~luç nlhtoires : d"as--
curer une meilleure valorisation des ressources hydriques en a@.i-
qusnt une gestion agricole de l'eau plus rati.owM.le en vue non E:WP
I..tirr:ent de la rfussite des cultures annuelles, mais du maintien dr:
couvert arbor@ et de la r&limentation des nappes souterraines ; enfin
d'nccGl&x la multi~îication des vari&ti-s s&lectionnées et 1% satura-
tion de leurs zones d'adoption. Pour ce dernicx objectif, on peut
rrotenir des zones -rivilGgi6es de production :;cmenci&re ( 3 risques
?iuviomZtriques r&Nits) ou encore lJirrigation d'appoint en cours
~:IL rlsc $rim&tres I.rrigablês amt5nagGs pour la production rnara&3,Sr~~
de saison sEche.
En effet, la culture de l'arachide pendant la saison des
-lui.~~ constitue un trgs bon pr&4dfnt aux cultures maraXch$!res en
facilitant par la suite une wi2leure naetrisc des nematodc;s et c,n
r&duisant les risques .de hausse trop rapide &I ,@.3, La multi#.icat:lor,
,Ae la vari9tc haitrive et dcrmante (v. 71 -0 30) devrait surtout 4trti
,acc6l6r6e peur les zonep3 critiques du centre du pays
09 unc vari;:tG
a<2
. . 9(-j jours non dormante (v. 55 ,337) prBsente des risques non nVgli--
gca?-les en fin dc cycle et 03 1-c
L* variGt& de 105 jours ne sont :xs
j.déalti:s au point de vue hydrique, en cas de sWhereese.
Ce type d"analysc ayroclimetique I basde sur la cXtermina.ti~:n
dçs principaux termes du bilan hydrique, étandu (3 un grand nombre, n.
'Q Y*:
stations, permettra d'opErer un meillnur zonaqe ;t7&~oc1imatigue pour
les principales variRz<s d'arachide. La zone centrale oit se poscnc les
problèmes les plus cruciaux sera étudibc en prioritz r aile en alr?he
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Les r@gions de Diourbel, de ThiGs et du Cap Vert, tout en intbrqc-ant
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3
ic Sud d.& la r&~ian de I,ou~n et le Kwd de la. r6gion du Sine Salauds.
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INTRODUCTION
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INTSIODUCTION
La production agricole des pays de la zone soudano-sahëlionne
est, dans la quasi totalite, basée sur la pratique dcune agricklture
pluviale aussi bien pour les cultures vivrières que pour les cultures
d'exportation.
Ainsi, la production arachidiere au Sénégal connaît, depuis
quebques ann&es, une baisse de volume imputable 3 juste raison 2 une
reduction de la pluviom&rle : raccourcissement de la durée de la
saison des pluies utile et apparf%tion de plus en plus fréqwntc de
périodes de sécheresse au cours de la période de culture.
En effet, malgrb d'importants efforts de développement qui
ont, notamment contribu à l'intensification de la production :
semences s6lectionnkW3, fertilisation, culture attelee, il convi.ent
de s'interroger sur l'effet de la pluviométrie sur le rendement de
la culture arachidière, comme le suggke le tableau 1 explicitant
1'5volution de la production totale nationale et les pluviom&ries
utiles survenues dans la Agion Nord, Centre et Sud, reprGsent&s
spécifiquement par les stations de Lauga, Eambey et Nioro du Rip
(CL carte).
Les productions maximales atteintes en 1975 CorreSpondant
Li= une alimentation hydrique satisfaisante pour les zones centre et
Sud qui contribuent pour 80 & à la production arachidiare.
Inversement, la sécheresse de l'année 1972 a entrafné une chute {le la
production de prés de 100 % par rapport 3 lDann5e précGdente.
L'examen des ann&es récentes met en Evidence une persistance
de la skheresse qui tend, notamment, E! s*accentuer dans les zones
Centre et Nord en impliquant des productions C[c plus en plus faibles
au niveau nfl'cional,
TABLEAU 1
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PRODUCTION TOTALE SENEGAL ;
PLUIE UTILE (mm)
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1978
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- CHA;IOY. J : "Les cultures iri.iguUc:: ûu l,/i.ger -- Rilsultats do 7 anni:i::;
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, _ l-j r e s ct d'exp~ri;~:cnta.~ion~ (1$63-,]97G)" St[-jA TARNA in Agro,
Trop. vcl, XXVI ~\\JO 9 Stqtembrr~ 1971,
- CHA!?REAU C : "Dynamique de l'ezu dans doux sols du Sé;idgals'
Agr,;. Trop, XIX NO 2 1963.
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SECRETARIAT
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SENEGAL
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1:JSTITUT DE RECHERCHES AGRONuMZQUES
Ti1ffPICALES ET DES CULTURES VI~R:!E~:E~
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~a divisj.on de ~joclinatoloqie du c.N~R..A. de Banbey (fSYti)
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gradient de demande évaporative (essentiellement Nord e Sud) ii'or~%:-
climat&ue au SBn~&$al et d'autre part les besoins en eau de FlUsik?urs
va.riGt5s d'arachide dont le cycle variait de 30 2 I.23 jours,
De son cbtE, la division d'hydraulique agricole de -'.ont-
@lier (~RAT-GERDAT) a mis au point un modi?le de bilan kydrirrue
permettant de tirer parti des connaissances agroclimatiques acquises
par ailleurs. outre le coefficient de demande Zvaporative et les
besoins en eau inturvicnnent 1~;s facteurs suivants :
- la canacitE de r6tention en eau des solsc que l'on peut esti-
mer $, partir des travaux actuellement conduits pour caracttkisêr les
*rincipaux sols sénfqalais
- la pI.uviom4tri.e quotidienne, :r,ezwrée r@uliGrement denuis ije
nom~amw2ô ann6es : on retiendra ici un- pbriode de quarante annWs
dr; rekvës 7 les chiffres sont Wentuellement c(c3rrigéis par un cozffi-.
ci.ent de ruissellement.
.A partir du modele on peut chiffrer sur des p&iodes
successives de 5 jours, la consommation hydrique r6olI.e (&ayorr?-t; .:+-,
rklfe ou Em) y le taux de satisfaction des besoins en eau9 les
riscrues de drainage et de ruissellement, les doses dsirriqatfon Ae
com~plCment qulil conviendrait d:apporter.
Pour tester la validité du mod;lle et en montrer l'int&rW '
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4iffGrant surtout par leur dur(zxlc de cycle vég6tati.f : 90, 105 czt
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Les resultats de l'analyse peuvent conduire
.
à des choix fnporCants
::OU~ le développement : chagx de la dur& d,e cycle B adopter, choix C~C
la date de semis, recours a l'irrigation ùnappoint.
LA premike vue,, leanalyse montre quV3 Lcuga, m8me une
varj.été de 90 jours est mal adaptt?e et gu'iJ, faudrait recourir .S
17irri-ation d'appoint, qu'a Bambeu, une variBt6 dormante de 33 jours
semée à la date voulue (c'est-à-dire pas trop t8t) peut assurer une
meilleure sécurbte sur le plan de son alimentation hydrique, que ries
Vari&és plus tardives, en particulier si on considke la periode Uh
stscheresse subie depuis plus de 12 ans, et enfin quq$ :3iaro du Xip i?
n'y a pas de problème grave d'adapt3tA-x vxi@tale : toutefois, :?o~r
In @iode de sBcheresse 1968 - 13%0, la vari.6tG de 105 jours es%
moins stressée sur le plan hydrique que celle de 120 jours$ notarnrr:ér:t
SI phase de maturation, ce qui est partfculi&rement important pour 1~.
qualité des semences et pour l'arachide de bouche.
Les objectifs de la rechF-,rchw et du d&M.oDuemcnt
e ,.
pourrtai.ent
Strc de tendze vers une meilleure rEgularit6 de la production au:!cl:i-~
diere y plutôt que vers des rendements record ~luç nlhtoires : d"as--
curer une meilleure valorisation des ressources hydriques en a@.i-
qusnt une gestion agricole de l'eau plus rati.owM.le en vue non E:WP
I..tirr:ent de la rfussite des cultures annuelles, mais du maintien dr:
couvert arbor@ et de la r&limentation des nappes souterraines ; enfin
d'nccGl&x la multi~îication des vari&ti-s s&lectionnées et 1% satura-
tion de leurs zones d'adoption. Pour ce dernicx objectif, on peut
rrotenir des zones -rivilGgi6es de production :;cmenci&re ( 3 risques
?iuviomZtriques r&Nits) ou encore lJirrigation d'appoint en cours
~:IL rlsc $rim&tres I.rrigablês amt5nagGs pour la production rnara&3,Sr~~
de saison sEche.
En effet, la culture de l'arachide pendant la saison des
-lui.~~ constitue un trgs bon pr&4dfnt aux cultures maraXch$!res en
facilitant par la suite une wi2leure naetrisc des nematodc;s et c,n
r&duisant les risques .de hausse trop rapide &I ,@.3, La multi#.icat:lor,
,Ae la vari9tc haitrive et dcrmante (v. 71 -0 30) devrait surtout 4trti
,acc6l6r6e peur les zonep3 critiques du centre du pays
09 unc vari;:tG
a<2
. . 9(-j jours non dormante (v. 55 ,337) prBsente des risques non nVgli--
gca?-les en fin dc cycle et 03 1-c
L* variGt& de 105 jours ne sont :xs
j.déalti:s au point de vue hydrique, en cas de sWhereese.
Ce type d"analysc ayroclimetique I basde sur la cXtermina.ti~:n
dçs principaux termes du bilan hydrique, étandu (3 un grand nombre, n.
'Q Y*:
stations, permettra d'opErer un meillnur zonaqe ;t7&~oc1imatigue pour
les principales variRz<s d'arachide. La zone centrale oit se poscnc les
problèmes les plus cruciaux sera étudibc en prioritz r aile en alr?he
c
Les r@gions de Diourbel, de ThiGs et du Cap Vert, tout en intbrqc-ant
c .Ld..'i
3
ic Sud d.& la r&~ian de I,ou~n et le Kwd de la. r6gion du Sine Salauds.
.
.
S 0 iJ1 M A 12 E
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INTRODUCTION
‘il - ~I~LiOCRAPl-lIE ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ???
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a
INTSIODUCTION
La production agricole des pays de la zone soudano-sahëlionne
est, dans la quasi totalite, basée sur la pratique dcune agricklture
pluviale aussi bien pour les cultures vivrières que pour les cultures
d'exportation.
Ainsi, la production arachidiere au Sénégal connaît, depuis
quebques ann&es, une baisse de volume imputable 3 juste raison 2 une
reduction de la pluviom&rle : raccourcissement de la durée de la
saison des pluies utile et apparf%tion de plus en plus fréqwntc de
périodes de sécheresse au cours de la période de culture.
En effet, malgrb d'importants efforts de développement qui
ont, notamment contribu à l'intensification de la production :
semences s6lectionnkW3, fertilisation, culture attelee, il convi.ent
de s'interroger sur l'effet de la pluviométrie sur le rendement de
la culture arachidière, comme le suggke le tableau 1 explicitant
1'5volution de la production totale nationale et les pluviom&ries
utiles survenues dans la Agion Nord, Centre et Sud, reprGsent&s
spécifiquement par les stations de Lauga, Eambey et Nioro du Rip
(CL carte).
Les productions maximales atteintes en 1975 CorreSpondant
Li= une alimentation hydrique satisfaisante pour les zones centre et
Sud qui contribuent pour 80 & à la production arachidiare.
Inversement, la sécheresse de l'année 1972 a entrafné une chute {le la
production de prés de 100 % par rapport 3 lDann5e précGdente.
L'examen des ann&es récentes met en Evidence une persistance
de la skheresse qui tend, notamment, E! s*accentuer dans les zones
Centre et Nord en impliquant des productions C[c plus en plus faibles
au niveau nfl'cional,
TABLEAU 1
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PRODUCTION TOTALE SENEGAL ;
PLUIE UTILE (mm)
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495
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1971
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1972
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!
.
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376
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718
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!
1977
!
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154
!
371
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474
!
!
!
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!
1978
!
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950
293
!
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!
652
!
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1979
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189
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!
771
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1980
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120 j
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Desoins en eau
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!! Production par région
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50 %
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! Autres régions : Casamance )
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SBnégal
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, _ l-j r e s ct d'exp~ri;~:cnta.~ion~ (1$63-,]97G)" St[-jA TARNA in Agro,
Trop. vcl, XXVI ~\\JO 9 Stqtembrr~ 1971,
- CHA!?REAU C : "Dynamique de l'ezu dans doux sols du Sé;idgals'
Agr,;. Trop, XIX NO 2 1963.
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