MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL 1 INSTITUT...
MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL
1 INSTITUT SENEGALAIS
DE
Ffs
w
RECHERCHES AGRICOLES
LA MODELISATION DE LA GESTION
DES RESSOURCES PASTORALES
DANS LA ZONE NORD
DU SENEGAL
Par
Dr Amadou Tamsir DIOP
COMMUNICATION PRESENTEE A L’ATELIER TENU A NIAMEY
DU 6 au 15 FEVRIER 1989
SUR LE SUIVI DES RESSOURCES PASTORALES AU SAHEL
(Pays du CILSS)

SOMMAIRE
1.
Introduction
II.
Présentation de la zone nord du Sénégal
III.
La Gestion des ressources pastorales dans la zone nord du Sénégal
IV.
Justifications et objectifs du programme de modélisation
IV- 1 Les justifications
IV-2 Les objectifs
V.
L’approche méthodologique instaurée dans le cadre du programme
VI.
Résultats obtenus et discussions

2
1. INTRODUCTION
En zone sahélienne sénégalaise, la productivité pastorale est dans de larges proportions
sous la dépendance de la pluviométrie variable dans le temps et l’espace mais aussi de
considérations socio-économiques qui font que les modèles de prévision couramment utilisés en
matière de gestion d’entreprise ne sont nullement pas applicables.
Le programme que nous présentons tentera d’intégrer ces variables socio-économiques
en vue de la mise en place d’un modèle de gestion plus adapté aux réalités de la zone
sylvopastorale.
Après avoir présenté la zone nord du Sénégal et le mode de gestion des ressources
pastorales, nous avons listé les conséquences écologiques et socio-économiques de la trans-
humance à titre de justifications du programme et fourni les objectifs à atteindre. Par la suite,
nous avons donné l’approche méthodologique et fait état des résultats obtenus pour enfin
discuter sur le fonctionnement de la stratégie de collecte de données utilisée dans le cadre du
programme.
II. PRÉSENTATION DE LA ZONE NORD DIJ SÉNÉGAL
La partie du Sénégal que nous avons appelée zone nord est celle limitée au Nord et à
l’Ouest par le Fleuve Sénégal, à l’Ouest par le lac de Guiers et au Sud par la Vallée du Ferlo et
l’axe Linguère-Matam (figure 1). Appelée encore Ferlo Nord (Barral, 1982), elle couvre une
superficie de 30 000 Km2.
Les sols sont divisés en deux grands ensembles morphopédologiques, le Ferlo sableux
et le. Ferlo latéritique.
Le climat appartient au domaine sahélien délimite par les isohyètes 250 - 300 mm et 500
- SS0 mm (Trochain, 1940). Il faut cependant dire que la pluviométrie au même titre que pour le
reste du Sénégal a connu une forte tendance à la baisse de 1943 a 1985 (tableau 1).

c
Fig. 1 : Le Nord du Sénégal ( zone d’étude du programme
sur la gestion des ressouces pastorales )
16"
I
I
I
16"
I
1
14"
12"

4
Tableau 1 : Moyennes pluviométriques au niveau de quatre stations de la
zone Nord du Sérkgal (Le Borgne, 1988)
1931 - 1960
1961 - 1985
1931 - 1985
Dagana
321,5
238,9
284,6
P o d o r
333,5
215,6
279,5
Matam
537,7
363,9
458,8
Ling&e
533,l
392,0
465,2
La végijtation se présente sous la forme d’une pseudosteppe arbustive et arborée dans la
partie sableuse et d’une savane arbustive dans la zone latéritique (Tappan, 1985).
Les populations du cheptel au début des années quatre vingts (tableau 2) sont estimées A
418 500 UBT soit une densité de 7,2 UBT/ha.
Tableau 2 : Populations du cheptel dans le Fer-10 Nord des années 80
(SHARMAN, 1983)
I
Effectif (nbre de têtes)
Espèces
_______-_---__--___-----
Petits ruminants
737 000
Bovins
300 000
Anes
19 000
Chevaux
7 500
Dromadaires
2 500
L’alimentation en fourrage se fait essentiellement sur les pâturages naturels. L’abreuve-
ment a lieu au niveau des ouvrages hydrauliques en saison sèche et au niveau des mares dès leur
remplissage après les premières pluies.
La population humaine a été estimée à 70 000 personnes en 1976 soit une densité de 2,3
habitants/km2 (Barral, 1982). Elle est composée en majorité par des peuls dont l’activité princi-
pale est l’élevage.
Cette vaste région dont la vocation est essentiellement sylvopastorale connaît une baisse
très importante de sa productivité tant végétale qu’animale. L’homme à travers son mode de
gestion a été kargement mis en cause.

5
III. LA G&STION DES RESSOURCES PASTORALES DANS LA ZONE NORD
DU SENEGAL
La découverte de la nappe du Maestrichtien (en 1938) et son exploitation par les
ouvrages hydrauliques représenteront un tournant très important dans la gestion des ressources
pastorales du Nord Sénégal.
111.1. Avant l’implantation des ouvrages hydrauliques
Avant l’implantation des premiers forages dans la zone sylvopastorale, les contraintes
d’abreuvement faisaient que le Ferlo était une région de parcours et de terrain de culture unique-
ment pendant la saison des pluies ou tout au plus tard deux à trois mois aprb.
Les rapports des administrateurs coloniaux (in: Barral, 1982) y recensaient au début du
siècle une population d’environ 50 000 personnes avec un cheptel bovin de 30 000 têtes et
approximativement 100 000 petits ruminants.
Selon les mêmes sources, la zone était densément boisée et la faune sauvage abondante.
En fonction de leurs lieux de transhumance, les peuls, éthnie dominante dans la zone
étaient divisés en deux grands groupes : les peuls “Walo” et les peuls “Diéri” (Bat-ml, op. cit).
Les peuls “Walo” passaient la plus grande partie de la saison sèche sur les parcours de la
Vallée du Fleuve.
Quant aux peuls “Dit%“, ils gardaient leurs animaux pendant la saison sèche à la limite
“Walo - Diéri”. Ainsi leur abreuvement se faisait un jour sur deux au fleuve et le jour où ils
n’allaient pas boire, ils s’enfonçaient dans le “Diéri”.
En saison des pluies, les deux groupes regagnaient leur campement d’hivernage
(TUITMIZO) dès le remplissage des mares pour y semer le mil.
Les peuls “Walo” y restaient Sauf si les pâturages aux alentours de leur campement
étaient insuffisants ou de qualité médiocre pour les petits ruminants.
Quant aux peuls “Diéri”, une partie transhumait avec le cheptel vers la basse vallée du
ferlo pour la cure salée ; le reste du groupe demeurait pour garder les champs de mil.
Les déplacements des éleveurs dans la zone nord du Sénégal étaient donc liés à la
présence de l’eau. Le Ferlo se vidait de sa population et de son cheptel, dès l’assèchement des
mares qui représentaient les seules sources d’abreuvement.

6
111.2. Après l’implantation des ouvrages hydrauliques
Il faudra attendre dix ans après la decouverte de la nappe du Maestrichtien (en 1938)
pour voir s’implanter le premier forage dans cette partie du Sénégal.
Depuis lors, le nombre d’ouvrages hydrauliques forés a plus ou moins régulièrement
augmenté (figure 2) pour atteindre 78 en 1983 dont 46 motorisés.
Le développement de ce programme hydraulique va permettre à l’éleveur d’avoir de
l’eau en permanence. Aussi au niveau de la Vallée du Fleuve les aménagements hydroagricoles
vont rendre difficile l’accès a l’eau.
Progressivement, les mouvements de transhumance vers le Fleuve vont diminuer. Aux
débuts des années quatre vingts, Barra1 (1982) indique que seulement 3% des éleveurs du Ferlo
ont maintenu cette transhumance.
Le campement d’hivernage (rumano) s’est donc transforme en lieu d’habitation perma-
nente. Cependant, selon l’état des parcours, l’éleveur peut changer de lieu d’habitation. C’est la
pratique du sédano (campement de saison sèche).
Ces mouvements se limitent en année de pluviométrie normale autour du forage. Ce sont
les mouvements circulaires signalés par Barra1 (1982).
En année de pluviométrie très déficitaire comme 1984, des déplacements d’amplitude
plus importante et le plus souvent en direction du sud sont enregistrés. Ainsi l’éleveur peut aller
jusqu’à 250 km de son campement d’hivernage (DiopJ 987) et il n’y retournera seulement si la
situation se rétablit.
Certains éleveurs peuvent aussi transhumer en direction de zones de parcours plus ou
moins Cloignées si la qualité de l’herbe aux alentours de leur campement ne couvient pas à leurs
animaux (cette année, nous l’avons constaté à Tatki où les grands éleveurs de petits ruminants
sont partis vers le sud à la recherche de pâturages meilleurs pour leurs animaux).
IV. JUSTIFICATIONS ET OBJECTIFS DU PROGRAMME DE MODÉLISA-
TION DE LA GESTION DES RESSOURCES PASTORALES.
La transhumance semble donc de façon globale être une stratégie très adaptée à la grande
variabilité des ressources pastorales de la zone nord du Sénégal.
Toutefois, les multiples conséquences écologiques et socio-économiques font qu’il est
nécessaire de mieux la maîtriser.

Fig. 2 : Evolution du nombre d’ouvrages hydrauliques forés
dans le Ferlo Nord de 1948 à 1984 ( DIOP, 1984 )
Nombre d’Ouvrages*
70
60
50
40
30
2 0
1 0
i Années
L 4 sont sans date

8
IV.l. Les justifications
Les conséquences écologiques
Surpâturage des zones pourvues en herbe : l’utilisation libre des parcours fait
l
que trés vite après la saison des pluies, les zones à bons pâturages sont assaillies
par les animaux des éleveurs locaux et krangers. Il se crée un gaspillage de res-
sources fourragiires par pidtinement et utilisation abusive des ligneux par suite de
l’affluence des animaux.
Diffusion de certaines maladies : c’est à la faveur des grandes concentrations
l
d’animaux d’origines diverses qu’éclatent ou apparaissent certaines maladies.
Les cas de clavelée augmentent dans la zone nord avec l’arrivée des troupeaux
des pays voisins. De même, la Fièvre de la Vallée du Rift, pathologie
jusqu’alors inconnue au Sénégal s’est rapidement répandue à la faveur des ani-
maux transhumants,
Les conséquences socio-économiques
0 Conflits fréquents entre pasteurs résidants et transhumants, entre pasteurs et
agriculteurs.
Mortalité et morbidité du cheptel dues à l’effort de marche.
l
Grande fatigue de l’éleveur par suite des longues distances à parcourir et du
l
gardiennage obligatoire des animaux.
Déséquilibre dans l’utilisation des infrastructures hydrauliques, scolaires et sa-
l
nitaires d’où impossibilité de mettre en place une politique socio-économique
valable.
IV.2. Les objectifs
Le présent programme aura donc comme objectifs .
Au niveau écologique
de mieux discerner les inter relations entre les différentes ressources :
l
- fréquentation des forages et charges réelles en animaux de leur aire
d’influznce

9
- pâturages herbacés et ligneux et fréquentation par les différentes es@-
ces animales
- déficit fourrager/composition floristique et amplitude des mouvements
des 6leveurs
- déficit pluviométrique et activités agricoles
fréquentation forage et occurence de certaines maladies
l
type de sol et fréquentation par les différentes espèces animales.
l
Au niveau de l’éleveur
de mieux comprendre le comportement de l’éleveur qu’est la transhumance
l
notamment dans ses causes et ses modalités.
Les causes de la transhumance que nous avons relevées sont les suivantes :
manque d’eau : panne de forage pour diverses raisons [panne sèche, panne de
l
moteur, “mort” du forage (ensablement par augmentation des crépines)]. Dans
chaque cas, il faut tenir en compte la présence ou non d’une solution de rechange
(ouvrage hydraulique à exhaure manuelle ou animale, céanes, eaux de surface
etc...).
manque de pâturage :
l
.biomasse faible à la suite d’un déficit pluviométique (1984) ou de feux
de brousse (1988).
. absence d’espèces appétées par une ou plusieurs espèces animales.
problèmes pathologiques : apparition de vecteurs de maladies ; en 1987, les
l
zones de Mbar Toubab, Vidou Tengoli et Amali ont Cté désertées selon les éle-
veurs résidants du fait des tiques et des rats. Les biomasses issues de la paille de
la saison des pluies précédente atteignaient parfois 800 kg M.S/ha (Diop er Coll,
1987).
tradition : c’est le cas des éleveurs qui transhument chaque année dans des
l
zones où ils ont des parents.
Selon le nombre de personnes et le cheptel du gallé et selon la situation écoiogique, la
transhutnance se fait suivant différentes modalités qui seront caractérisées p,ar :
- la fraction de la population et du cheptel intéressee au niveau du galbé
- la direction
- la localisation des différents sédarm
.m et la durée (date de départ et de retour de la population et/ou du cheptel.

1 0
Au niveau du décideur
de donner des éléments d’informations complCmentaires pour un choix judi-
l
cieux de l’implantation des ouvrages hydrauliques (tenant en compte non seulement la dispo-
nibilité en eaux souterraines mais aussi l’aptitude de la zone aux activités pastorales selon le type
de sols, les espèces végétales, la fréquentation par le cheptel et l’occurence de certaines patho-
logies etc.)
d’informer selon les années, des zones potentielles de transhumance en vue de
l
permettre la mise en place d’un encadrement adéquat (renforcement socio-économique des
zones d’accueil).
V. L’APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE INSTAURÉE DANS LE CADRE DU
PROGRAMME
Deux niveaux d’étude sont adoptés dans le cadre de ce programme : le régional et le
_
local.
L,e niveau rbgional a comme cadre d’exécution le Ferio Nord mais aussi les zones
d’accueil des éleveurs transhumant notamment le sud du département de Ling&e.
Au total, 25 sites de collecte de données qui sont des postes vétérinaires et des sous
sectews de l’élevage (figure 3) sont choisis. Au niveau de chaque site, nous avons pour
l’instant déposé une trentaine de fiches d’enquêtes sur l’exploitation des ressources naturelles de
même que des fiches d’inventaire des mares et des ouvrages hydrauliques et de relevés journa-
liers du nombre d’heures de pompage des forages motorisés.
Ces fiches une fois remplies sont retournées au LNERV(*) par le biais des services
départementaux puis régionaux de l’élevage.
Pour le niveau local, des zones relativement limitées (aire d’influente de forage)
feront l’objet d’une étude plus approfondie au niveau de l’inventaire et de Ia détermmation des
modes d’exploitation des ressources ; celle de Tatki a été faite dans le cadre d’une convention
FAO/ISRA et la zone de Mbidi est entrain d’etre étudiée sur financement CR.DI/ISRA.
Nous comptons poursuivre ces études au niveau des forages de Mbar Toubab, Labgar,
Boki Dial-loubé, Yono fere, Barkedji et Thiel.
* LNERV : Laboratoire Nat.ionaI de 1’Elcvage et de Recherches Vétérinaires de
Dakar-Hann.

Fig. 3 : Localisation des différents services de l’élevage impliqués
dans le programme de suivi de la gestion des ressources
pastorales dans la zone Nord du Sénégal
1, ..--
. . -- l .,** l -
I =--5--v ThilB Boubacar‘j Ndioüm\\R+-
,,,,,. $Lir*.-
‘.‘.
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::,
;
LEGENDE
-.---,- Limite de Région
0 Sites d’étude ( niveau régional )
I!N Sites d’étude ( niveau local )
Axe routier
- - - P i s t e

11
Par cette mkthode, nous espérons pouvoir obtenir les détails nkessaires pour un meil-
leur suivi des ressources naturelles et une meilleure interprétation des données collectées au
niveau régional,
Ces données collectées au niveau régional et local vont permettre dans un premier temps
la constitution d’une banque de données sur la gestion des ressources pastorales au Nord
Sénégal.
L’élaboration d’un modèle de gestion se fera par la suite en utilisant la théorie des sys-
tèmes complexes élaborée par le professeur Peter Allen du Centre d’Ecotechnologie de
Cranfield (en Grande Bretagne). Ce modèle a déjà permis d’étudier les mouvements des
pêcheurs en mer et les migrations des populations au niveau des villes. Il va être appliqué pour
la première fois aux déplacements des pasteurs. Il faudra par conséquent du temps pour le
rendre opérationnel.
Cependant des contacts sont déjà pris avec le Professeur Allen qui a même effectué une
visite au LNERV/ISRA au mois de Novembre 1988.
VI. RÉSULTATS OBTENUS ET DISCUSSIONS
Le nombre de fiches remplies et retournées au LNERV n’a pas pour l’instant répondu à
nos prévisions. Certains agents ont pu exécuter le travail rapidement tandis que d’autres n’ont
pas encore réagi.
Pourtant au moment de la mise en place des fiches et lors de nos deux visites sur le
terrain, aucune difficulté ne nous a été signalée.
Les changements d’agents au niveau des postes et sous-secteurs n’ont pas été pour
arranger la situation de même que leur manque de moyens auquel nous avons essayé de
remédier en fournissant selon nos possibilités du carburant.
11 faut également signaler que pour l’instant l’agent d’élevage, vu sa formation axée
davantage sur la santé et les productions animales, n’a pas encore acquis le réflexe de collecter
des données relatives aux ressources naturelles.
Nous pouvons toutefois affirmer que I’ISRA à travers ses structures notamment le
LNERV a une ferme volonté de mieux maîtriser la gestion des ressources pastorales dans la
zone nord du Sénégal afin de fournir au “Développement” et aux producteurs les éléments d’une
gestion améliorée de ces ressources et de lutte contre la désertification.
Pour cela, il a jugé nécessaire de collaborer avec les Services de la Direction de l’Ele-
vage pour mettre en place au réseau de collecte des données.

4
12
Certes le dispositif ne fonctionne pas comme nous l’aurions souhaité, mais comme dans
tout travail collectif le dkmarrage est parfois difficile. Nous sommes certain qu’avec la mise en
place de moyens complémentaires, nous parviendrons à le rendre fonctionnel.
BIBLIOGRAPHIE
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000) ,4 parties.
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