REPUBLIQUE DU SENEGAL PRIMATURE SECCLTAHIAT...
REPUBLIQUE DU SENEGAL
PRIMATURE
SECCLTAHIAT D'ETAT A LA RECHERCHE
MINISTERE
XIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
DE L'EQUIPEMEI'T
LE POINT SUR
LA PLUWIOMETRIE ET LA CAtjPAGNE AGRICOLE
AU SENEGAL, A LA MI - QEPTEMERE 1373
Lr-! 26 Septembre 1979
Institut Sénégalais
Direction do lû
do Recherches Agricolaa
M6tc3orologie r?ationulz
(I.S.R.A.)
(D.M.N.)
La methode est eas:;ntiellemcnt graphiquo Gt essaya du com-
biner l’aspect purument climatologique St l'aspect bioclimatolo~iquo
a g r i c o l e ; elle ne tien,t pas compte d'autres facteurs importants
qui conditionnent l'et& des cultures z parasitisme, techniques cul-
rurales 9 .,fuwure ekc
. I4.S . ..“.
rkV. Go ~plus e l l e n e c o n c e r n e q u e l e s c u l t u r e s
--.
pluviales sensu stricte;,
LCS rGsultat3 présentes -13 sont qu'indica-
I-w -
tirs, la pluviométrie en zcnc tropicale étant par essence hktt;rn-
g B 1-1 c 1 mOmo localement, Cependant les 43 stations ici présentées
o,ruwcnt donner une assez bonne idée de la réalite agricole. Cette
r5alitE sera cerne6 de plus prbs à partir d 7observations supplémen-
,tairos faites&oc&&,~~hk par tolis les s$Écialistss de la Sacherche
ot du Développement ; Leurs remarques et leurs precisicns complé-
mentaires seront les bienvenues.
a/ - Aspect climatoloyiqyg
--Y
Deux courbes représentent :
- l a premihre, la pluviomfStric normale pour la Geriodu,
ii partir des cumuls mensuels 9
- la deuxi&m:z9 la pluviometrie de l'année en cours, 3
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des donn~vs quotidiennes
fournies r5gulikrcment par le aar-
vice de la Méteorolagit Nationale ct yar les 5 tations agrometi<oro-
logiques de 1'ISRA CU d’autres organismes,
Une concertation ;Jormanente et des echanges d'informa-
tions réguliers sont assurés entre le Service de :La Meteorologie
rjationale (Ministere de 1'Cquipepent) ot lt3 Service Bioclimatolo-
gique du C.bJ.R.A. de Bambey (I.S.R.A.j-,eD.G.R.S.T.)
b/ - Aspect,biaclj
Cet aspect est traduit par 10s courbes de besoins en eau
estimes pour les principales cultures, a des seuils de 100 7; (optimum)
et de t3cI >: (limite). El1 dessous d'un taux de satisfaction do 80 $
de 8 besoins optimum, la production uége:talc peut en effet Qtrc gra-
vement affectée j e l l e e s t e n gSnÉra1
essor peu affecteo pour dos
taux de satisfaction compris antre 100 ‘7; et 80 $ des besoins en eau.
Cn gros, pour les cultures comme le mil, l'arachide, Le
sorgho et le ni6bep les besoins en eau sont essentiellemont Iles à
la durce du cycle do vci.c,Gtation et h la demande 8waporativc d'or-
dre climatique. Le riz, le coton et ii un moindre degr6 le ;naYs
ont des exigences hydriques Particuli5res et nkc::ssiteraient uni-!
anaiyse speciale, ult6rieurcment.
La demande 6wapcrative varie relativemont Peu pou; un2
meme zone, d'une année sur l'autre (estimons ces vaiiatior;s B plus
ou moins 10 $ autour do la valeur moyenne).
La,drzmande éwaporative varie. essentiellemont selon la
zcn~ gcographiquz, Com?te tenu de la latitude d'une part o1T, du! la
continentalit6 d’autre part.
Le gradient de demande evapo$ativo au 36n6gal a rjt6 chif-
,‘,;Y@. à partir de relations existant entfe la pluviométrie moyenne
d’une station et l’évaporation en bac normalisd classe A, pendant
la saison des plzios (owgros situQo eptra les mois dc juin ot oc-
tobre). Des coefficients ont BtB btablls par rapport ti la station
de Gambey où l'on mesure les besoins en eau des orincipalss cul-
tures. Ainsi, si le coefficient affectp aux besoins un eau out
de 1,011 à Bambey, i l c!st d e l’ordre d e 1 ,41 à Podor (extrAme ijord
du 5énr:gsl) et do U,LZ à Uussouyc (extr@me Sud du pays) : un peut
s2 r e p o r t e r à l a cartE! ci-jointe vxtrajte d'une publication en cours
d’i;lpression. Cefgte carte concerne des années 21 pluviométrio défi-
:itai.ro ( 1 9 7 1 5 1976) e t donc & demandb Évaporative plus Slev6e ql;o
;jtiur la normale,, Compte tenu de ces ann&es de sechepasso i?t des
risques de prolongation, il ,vaut mieux se rcférer 3 cettL: derfianc]e
Gvaporative é l e v é e .
A partir de la connaissance du gradient du domandc
&vaPoratiue, les courtles dz besoins en eau peuvent Atre établies
1.1 0 u r les principales zones climatiques du pays (graphiqu:>
j o i n t )
Les courbes des besoins en -pU cumulCs ant. étti tracess
Crks sch&matiquement Pour des durges db cycle allant de 75 2 'l5ij
jours ( 1
se on les zoncu) et pour 9 zones du Sdnégal. Ces courbes
sont reportoes s u r l e mBme g r a p h i q u e ( E t à la meme é c h e l l e ) quo
CO~;~Q,: des pluviométrios normales ut de l'année en cours, pour cha-
que station retenus.
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La courbe des besoins en eau est cumulGo h Partir du
jour de demarragc de la culture.
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L~ jour d e demarragc d'une culture peut etra variable
s e l o n que cette culture est semee en sec ou en humide sur une
;Jrorni&ro pluie. Oes raisons diverses (temps de travail, prepara-
tien... ) font que le semis est parf0i.s retarde par rapport 23. 1s
date optimale. Pour bien faire, il fûtirait donc, dans chaql:v
cas particulier, faire partir la courbe des besoins en eau cu-
mulé,, de la date cffeckive de semis on humide c'u do la date do bon
demarrage d'une culture sames en soc. Il y a aussi le cas parti-
. .
Tulier du riz de mangrove qui est repique une fois que les rizie-
r~ç o n t 6tQ dessalees par uno quantité de pluie variant entre
400 et 500 mm.
Pour s i m p l i f i e r l e t i r a g e d e cotte note, leJafeurbus
dz besoins en eau partent le plus souvent d'uno seule-fifimale,
que nous avons retenue au vu do la pluviométrie, pour chaque \\JOS~.
L'ideal est que les courbes de besoins en eau soient
dessin&s sur un calque que l’utilisateur Puisse superposer au gra-
Pttique des pluviométrics, an choisissant lui-m&me sa data do dsmar-
r a g e d e l a c u l t u r e e,t aussi son niveau initial de réserva hydri-.
que du sol (zéro le plus souvont, mais parfois plus lorsque des
techniques de dry farming ont et& adoptées). Des raisons pratiques
de dessin, reproduction et tiragc, font que nous niavons pas pu
adopter cotte dorn.iC!re solution et qwc nous avons tiû regrouper sur
l e neme graphique, 10s c o u r b e s Pluviométriques et celles des b e -
soins en eau.
P o u r d e s r a i s o n d e v i t e s s e d ’ i n f o r m a t i o n , l e s g r a p h i q u e s
n'ont Pas GtC dessines par des dessinateurs professionnels, St nous
n o u s
excusons acprbs des luctours de la medioc:c$te des trac6s ou
dss légendes manuscrites.
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REMARQUES GENERALES SUR LA SAISON DES PLUIES
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III - Ccntrc . NORD (Cap-Vert, ThiGs t?t Dinurbol)
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Pour conclure
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PRIMATURE
SECCLTAHIAT D'ETAT A LA RECHERCHE
MINISTERE
XIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
DE L'EQUIPEMEI'T
LE POINT SUR
LA PLUWIOMETRIE ET LA CAtjPAGNE AGRICOLE
AU SENEGAL, A LA MI - QEPTEMERE 1373
Lr-! 26 Septembre 1979
Institut Sénégalais
Direction do lû
do Recherches Agricolaa
M6tc3orologie r?ationulz
(I.S.R.A.)
(D.M.N.)
La methode est eas:;ntiellemcnt graphiquo Gt essaya du com-
biner l’aspect purument climatologique St l'aspect bioclimatolo~iquo
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qui conditionnent l'et& des cultures z parasitisme, techniques cul-
rurales 9 .,fuwure ekc
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--.
pluviales sensu stricte;,
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I-w -
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g B 1-1 c 1 mOmo localement, Cependant les 43 stations ici présentées
o,ruwcnt donner une assez bonne idée de la réalite agricole. Cette
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,tairos faites&oc&&,~~hk par tolis les s$Écialistss de la Sacherche
ot du Développement ; Leurs remarques et leurs precisicns complé-
mentaires seront les bienvenues.
a/ - Aspect climatoloyiqyg
--Y
Deux courbes représentent :
- l a premihre, la pluviomfStric normale pour la Geriodu,
ii partir des cumuls mensuels 9
- la deuxi&m:z9 la pluviometrie de l'année en cours, 3
jJi3itir
des donn~vs quotidiennes
fournies r5gulikrcment par le aar-
vice de la Méteorolagit Nationale ct yar les 5 tations agrometi<oro-
logiques de 1'ISRA CU d’autres organismes,
Une concertation ;Jormanente et des echanges d'informa-
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gique du C.bJ.R.A. de Bambey (I.S.R.A.j-,eD.G.R.S.T.)
b/ - Aspect,biaclj
Cet aspect est traduit par 10s courbes de besoins en eau
estimes pour les principales cultures, a des seuils de 100 7; (optimum)
et de t3cI >: (limite). El1 dessous d'un taux de satisfaction do 80 $
de 8 besoins optimum, la production uége:talc peut en effet Qtrc gra-
vement affectée j e l l e e s t e n gSnÉra1
essor peu affecteo pour dos
taux de satisfaction compris antre 100 ‘7; et 80 $ des besoins en eau.
Cn gros, pour les cultures comme le mil, l'arachide, Le
sorgho et le ni6bep les besoins en eau sont essentiellemont Iles à
la durce du cycle do vci.c,Gtation et h la demande 8waporativc d'or-
dre climatique. Le riz, le coton et ii un moindre degr6 le ;naYs
ont des exigences hydriques Particuli5res et nkc::ssiteraient uni-!
anaiyse speciale, ult6rieurcment.
La demande 6wapcrative varie relativemont Peu pou; un2
meme zone, d'une année sur l'autre (estimons ces vaiiatior;s B plus
ou moins 10 $ autour do la valeur moyenne).
La,drzmande éwaporative varie. essentiellemont selon la
zcn~ gcographiquz, Com?te tenu de la latitude d'une part o1T, du! la
continentalit6 d’autre part.
Le gradient de demande evapo$ativo au 36n6gal a rjt6 chif-
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d’une station et l’évaporation en bac normalisd classe A, pendant
la saison des plzios (owgros situQo eptra les mois dc juin ot oc-
tobre). Des coefficients ont BtB btablls par rapport ti la station
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tures. Ainsi, si le coefficient affectp aux besoins un eau out
de 1,011 à Bambey, i l c!st d e l’ordre d e 1 ,41 à Podor (extrAme ijord
du 5énr:gsl) et do U,LZ à Uussouyc (extr@me Sud du pays) : un peut
s2 r e p o r t e r à l a cartE! ci-jointe vxtrajte d'une publication en cours
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;jtiur la normale,, Compte tenu de ces ann&es de sechepasso i?t des
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A partir de la connaissance du gradient du domandc
&vaPoratiue, les courtles dz besoins en eau peuvent Atre établies
1.1 0 u r les principales zones climatiques du pays (graphiqu:>
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Les courbes des besoins en -pU cumulCs ant. étti tracess
Crks sch&matiquement Pour des durges db cycle allant de 75 2 'l5ij
jours ( 1
se on les zoncu) et pour 9 zones du Sdnégal. Ces courbes
sont reportoes s u r l e mBme g r a p h i q u e ( E t à la meme é c h e l l e ) quo
CO~;~Q,: des pluviométrios normales ut de l'année en cours, pour cha-
que station retenus.
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La courbe des besoins en eau est cumulGo h Partir du
jour de demarragc de la culture.
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L~ jour d e demarragc d'une culture peut etra variable
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date optimale. Pour bien faire, il fûtirait donc, dans chaql:v
cas particulier, faire partir la courbe des besoins en eau cu-
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. .
Tulier du riz de mangrove qui est repique une fois que les rizie-
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400 et 500 mm.
Pour s i m p l i f i e r l e t i r a g e d e cotte note, leJafeurbus
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que nous avons retenue au vu do la pluviométrie, pour chaque \\JOS~.
L'ideal est que les courbes de besoins en eau soient
dessin&s sur un calque que l’utilisateur Puisse superposer au gra-
Pttique des pluviométrics, an choisissant lui-m&me sa data do dsmar-
r a g e d e l a c u l t u r e e,t aussi son niveau initial de réserva hydri-.
que du sol (zéro le plus souvont, mais parfois plus lorsque des
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de dessin, reproduction et tiragc, font que nous niavons pas pu
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l e neme graphique, 10s c o u r b e s Pluviométriques et celles des b e -
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P o u r d e s r a i s o n d e v i t e s s e d ’ i n f o r m a t i o n , l e s g r a p h i q u e s
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REMARQUES GENERALES SUR LA SAISON DES PLUIES
Au ~EIUEGAL, A hA F~I ~EPTEMI~RE 1y79
III - Ccntrc . NORD (Cap-Vert, ThiGs t?t Dinurbol)
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IV - Centre - SUD
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Lr; long (CC a u Sud) UC 1 :~X~E routier Kaolack . Tambacr-;und~
12 s i t u a t i o n plUV.i.OiJG triC/UL! cc+, satisfûisûntc ÛCtUCllGiTlO~it dU ;.l,:iii-1:;
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Pour conclure
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