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I- INTRODUCTIDN
Ce rapport a pour objectif de relater les faits saillants des exerci-
ces 80, 81 et 82 ilu CNRA tant sur le plan administratif et financier que sur
celui de la Recherche.
Ces trois exercices khelonnes dans le temps ont eu un aénominateur
commun, la recession9 corollaire d'une conjoncture konoir,ique mondiale difficile.
L'ISRA étant à sa de annëe depuis sa création, avec un R&glement d'Eta-
blissement jusqu'alors non approuvk!, ces trois ann6ks ont aussi été un vkitaole
calvaire en matiare de gestion du personnel pour les Directeurs de centres. Bon
nombre des revendicationsidemeurties insatîsfaites,des travailleurs @tant 146 5
la sortie dudit R6çlemet-k. C'est donc dans un contexte budgetaire et social Yif=.
fîcîle, d'une institution nationale de Recherches (ISRA) encore en gestation que
nous avons eu a gérer le CiaRA de Bambey, dont la réputation internationale a ;X
être préservee grâce à la discipline e t a l'ardeur au travaîl de son personnel.
II - GESTION ADMINISTRATIVE
Apres une année de transition (cf rapport 19793 filarqu9e par de grandri
changements à la t$te de ce Centre, la nouvelle Equipe administrative s‘est, au
cours de ces trois ann8es, evertuke i s'adapter non sans diffîculttis, à ses
nouvelles fonctions dans un Xnstitut Wî pleine gesta,tîon.
2 1 - Effectif du personnel et son 5volutîon
Les tableaux 1 et 2 ci-apres nous montrent :
- une diminution du personnel administratif et de ma intenance au
fil des années, suivie d”une bajsse +$+6s sensihie (apr8s l%D) de 1 'effectif
des services de recherches et d'appui, lequel reste cependant encor e supérieur
par rapport à 1979 ;
- une tendance à la hausse du personnel chercheurs nationaux avec
le retour des chercheurs en formation ;
- un effectif de techniciens et assîr;lil& (Agents de maîtrise,
techniciens et techniciens superîews) en augmentation. Rapport6 au nombre de
chercheurs, le pourcentage passe de 130 % en 1979 à 147 % en lg82, ce qui est
encore insuffisant par rapport aux normes internationales (3 à 4 techniciens
pour 1 chercheur) ;
-- une r&uction numérique du personnel d'exkutîon, les départs
2 la retraite n';tant pas toujours remplactis et pour des raîsons budgétaires.
Seuls les posees jug@s indispensables ont fait 1"objet d'embauche nouvelle, lors-.
que le personnel disponible (issu Su progrartie arrêt@) ne rCpond pas au profil,
22 - Gestion du personnel
C'est de loin le domaine qui pose le plus QC iwoblëmes 6 la Direction
du Cenwe, surtout en Cet;te période de transition 08 1'ISRA bien qu'Etablîssewnt
public n'a pas encore son ti6glemen.t td'Et:ablissement. Avec la circulaire 0130 PIY/
SGG du 20 Septembre 1979, I’ISRA navigue entre le statu quo ante, le decret
764122 et le recours9 hClas, à des textes de l'administration q5n6rale, inapplî-
tables à notre Institut. I)&re le caractke d'încoh&ence qui p&sîde 2 cette
pratique, le pro&5 pose de sérieuses dîfficultês à la gestion du personnel et,,
par voie de consequence,
à l'exkutîon des programmes de recherche.

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Par exemple, le decret 77-080 du 23 Janvier 1977 relatif aux indem-
r:itSs de aé;~lacerw6S, :fYq;& 5 ij ' :[S!#i, freine la bonne exkution des proqral$-
lices. Les frais engag& en cours de mission sont loin d'être conlpens&s i&
l'indemnité journalicre de 2.5130 r ou 3.500 F. La solution qui consiste 2
allouer a certains chercheurs des inder~nil%s forfaitaires de deplacement sur
la base de 12 jours, sous pr&extc qu"ils interviennent dans des Conventions
particulieres ns faïc c,ue compliquer les choses. En r$alit& cet amalgame &
mesures pour tenter de r@soudre les quelques problémes,JuQés brûlants, quj se
posent à I'ISRA n'est pas de nature a crBer un climat oe iraval sain. Bien au
contraire il concour3s 3 rwltiplier le nombre d'aigris et & frustrEs alors
que le maintien dl,ti s'l;atu quo en attendant la sortie du Reglement d'Etablisse-
ment aurait posC moins de problèmes.
23 - Formation per:sanente
La gestion du personnel n'est pa s seulement ce% asyect rebarbatif
et harassant de sat7cfnction des besoins laat&iels des trsvai lleurs$ elle
consiste aussi à placer l'empioy6 dans un environnenren1: socio-professîonnel
lui permettant 6'aw?liorer ses connaissances et de s'Cpanouir intellectueile-
ment. C'est pourquoi,nalgrë des enveloppes budg@taires en rOktion, le Centre
a eu un service charg@ de la formation professionnelle, du recyclage et de
l'alphabétisation fonctionnel?e.
Le tableau 3 fait Gtat des rkultcits obtenus dans ce domaine.
Tableau 3 : FOrridk’iCkfl %YmanenXe : r&ult&s
l- Ca+gorj es
%nGficiaires
-
t
1professionnelles
I
COtV3WliES
/ 1980 1
1981 1
l!G[
Alphabëtisation .Fonctîonnelle
: Ouvriers ef; rr,anoe!Jvl 35 j 14 / 2q1
Stage de $erfectiorinealent
t Ouvriers-Observat. i
1
l
!
?ians des sociG.<s
I Techniciens / 251 51 kii
Cours de seLr&ariat
20 1
15 '
13
Cours d'Anglais
I
1Chercheurs

/
l
/
Techniciens super, 1
30 1
18 1
17
i
I
I
I
I.'ies progrws sensibles ont @te obscrv5s en matiGre a'alphabétisation.
Le sroupe le plus avan& avait Uouclti son cycle parce que sachant lire, écrire
ex calculer.
Le perfecéionneiïlent des ca.dres en A;?glais a fajt l'objet de trois
séries de cours ti'tinr &M?e de 3 iriois chGque, grâce 6 1"appui financier du
projet c&$alier Phase II, d'une part, et du projet CtqS(J Ni$b@, d'autre parc.
En accord avec certaines 6coies spécialisks com6;e 1 'Ecole Hationale
des Cadres Ruraux (E!UX) de Bambey, 1'Ecole des Hgents Techniques d'Agricui-.
w-e de N&;~a-Zigwnchor,
le Centre a pu învoyer certiiins Ce ces agents r&rs-
taries suivre des cours d'agriculture en qualité d'auciiteurs libres.

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III - GESTION FINANCIERE
31 - Budgets prévisionnels
Les trois ann&es ont Ste marquk par une r&ktion budgétaire reelle. A
cela plusieurs raisons :
Y l'enveloppe de l'article 8 de la Convention gtWrale a subi une
baisse du fait de la suppression UC certains programmes etlou de la réduction du ni-
veau de financement de certains autres.
- l'application d e la loi de finance sènëgalaisc instituant une ponC-
Lion de 20 "x sur le budget de transfert, ce qui diminue d'autant tous les programmes
relevant dGs articles 4 et 7 de la Convention g&@rale.
A ces faits, considéres CO~T~ essentiels, sont venues s'y ajouter :
- une inflation galopante qui reduit ci’au moins 10 % chaque ann& lc
pouvoir d'achat ;
- une gestion rendue difficile par une gymnastique comptable, certes
complexe, mais surtout empoisonnee pzr de serieux problèmes de trésoreric ;
- des charges en personnel fort ~lc~v~es, du fait des augmentations
cie salaires de Juillet 1980 et 1982 et de la prise en chwge des frcis medicaux de
l’ensemble du personnel de 'I'ISRA (note de scrviw no 0120 DWISKA du 14 Janvier 1%X ).
Ainsi lu part du budget allouae su fonctionnement Fropre des programmes c
32 très faible durant ces trois tixcrcices, ce qui s'est traduit par une ruduction
très sensible des activités sciantifiques sur lc terr:iin. Aussi nous attcndons,opti-
mistes, le demsrragc du projet de recherches ugrisolcs (PM), dont 1'cxEcution dzvzit
poser moins de groblèmcs budgetsirtis quant aux programmes rstenus. Pour plus de com-
wdite,nous suggérons que les progrenws et leurs budgets soient domicilies dnns le
même secteur gcogrzphique, rnzme si pour des faisons conjoncturelles les chercheurs
sont enc.we hebergés par le CNRA. Ceci nous pr&crvcrait des problèmes de trwsfert,
Gritnble cr?uchemw avec certains Directeurs de CMres. ktcs le problemc rcstwz
encore partiellement rkolu tant que tous les centres d? recherche ne seront pas a
@me d'heberger & les chercheurs et lrs progrwrmes qui y sont domicilies.
T-,bleau 4 : Comates pravisionnels des 3 exercices budyetaires (un milliers F CFA)
-
-
I
I
1980
l
1981
l
1982
I
i
I
// Convention generalc
Ii/
?????
/ Convwtion pareiculièw nationale
! 442*700
? 23.728
! y24*150
?31.014
32.893
1 Convention particuliers internûti~.nnle~ 95.169
1 111*176
I 970461
1 Total Conventions
1 556.537
/ 502.780
i 454.520
/
Valeur pond&& par awrR$
/ Recettes
' 'Total budget
i

-.
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- 5 - ,,
a$....
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32 - ExScution budgetaire
Pour des problèmes de tr&orerie, lc wntrc a eu beaucoup du mal a mobi-
liser son budget, Ccrtzins m~rchk~ notamment celui des vchicules n'ont pas dt$
exécut& ou l'ont tit$ avec beaucoup de roCard.
kpuis 3 ans lc Cen~tr~L (1'2 reçu que deux vahiculcs sur le mzrchi admi-
nistratif, toutes les wtres ncquisitions de cette période provenant de conventions
pwticulièrcs internationalts (CILSS/Institut du Sahel (21 Projet ceréalter
Phase I! (3).
Los ponctions de 20 % opMes sur 1~s budgets initialement arrêt& ;jnt du
dss ccnséquences très fachouses sur le fonctionnement des services. En effet 12
p:;nction ayant eu lieu vers ii> fin du ler semestre (Juillet à Décembre) elle
3 yjrt5 en parttculicr sur 1 e wmptv 652 (percijnnel temporaire). Ainsi la rkolte
dos essais, le mise 2-n place des essais de chntre-saison ainsi que 12 preparatior,
tics campagnes à venir ont pose bcnucoup de di,fficult?s (XI cours des t:xerèicas 30/8?
et 81/92. L'exwcice 82/83 n'ayant dur2 quo 6 mo.is (Juillet & Gkembre! du fait du
ùemarrnge du projet oit Rechcrck agricole, le Centre a connu une p&iode rk tran-
sition longue et très &ffici?e. Ce Janvier à Mai 1983 seuls les services dispcsznt
de conventions Farticulieres
;'nt &Z iwtzises à engager ~22s @pensas tic fonct;i aim,:-
mont (embauche de personnel tilmpwairo, prise ~~'cssence ,, achat de petits matciricls
ce fonctionnement). Ceci s'est traduit par un relachement et un d&ocuvrement total
*lu personnel wx ce que cela c~mportc comme conséquences psychologiques, 11 n'est
pas surprenant que le centre en particulier ct 1'ISRli cn g&wkal Eient connu &s
rêmous.
IV - GESTION SCIENTIFIQUE
4 1 - Prc!yrammes (tablcsu 6)
Les prtigrnmmcs de rrchwches :lomicilicis à 8nmbey se repartissent en 3 caU-
gories dc c~nvcntion :
c la Crjnvention g9n@riilc frAnco-s&@alais~
- lés Conventions particuli@es nationolcs
- les Conventions pwticulièrcs internationales.

L'ïmportancr ntrmkique et bugtg&taire de chacuncs des catcglries a ctmt~
tics variations au fil des nnn&s. La Ccnvëntiûn genkale par exemple e enregistrC
des suppressions et/3 C2s tr3nsferis de prVgri?mm~S :
- lc pwgramïne nutrition minbale des m-ils Qe l'article 8 a Ctii ~TXIS-
fgr3 à l'article 7 du fait du ckipart diz ïvl. Siban;? en 1980.
- le programme amelioration du mil & 5 'article 8 a kts supprime
avx le clepwt de Mmn Lambert en 1981.
- lo programme physique &?s sol a disparu des activitiis du Centw
WCC le ticpart de i:l. Chopar? en '3982.
- 1~ programme physiolagiti de 1 ‘arachide ldc i!. Gautrcau initiniomw:
,& l'article 4 a fi-t2 trnnsfM a l'article i3, en 1980.
- le programma d'hytiruulique agricole de Ivj. Duc s'est vu Cclater
entre Bambey, Richard-ToPl et le Sine-Szl;)um 5 partir ?c 1932.

Le tableau 6 montre :
- une tendance 5 la hausse du pourcentage des conventions particu-
lii+es nationales dans les programmes, ce qui traduirait l'accroissement de 'I'intZ-
r2t que les Societés de la place accordent a nos structures de wzherche.
- un niveau acceptable des conventions particulier-es internationales
dans nos programmes9 situation qu'il convient di HlCOuri3gW autant quo faire s,
pazut, parce qu'elle contribue a une meilleure connaissance de notre institut ti
1'wUkieur ,?t renforce par consëquent notre cooperation internationalë.
- une r@duction progressive mais réguli&e de la part qu'occupent
1~s programmes dc la convention gen&ale, donc en grande partie 5 la suppression
cl,> certains prograsnrws relevant d e l'article F, tfinancement 100 % français).
Tableau 6 : Programmes domicilies à Rambey
Convention gCnbr./ Conventions part.1 Conventions part.
nationalos
' intcrnationalcs
I
I
I
, Total

lubre / % 1 tibre 1 %
!
1 W80/81
I
2 7

1
7?
I
i

I
1
3 8
1981/82
( 27
1
fjb
1
;
; 1%
1
29
I
41
198il83
/ 24
1631
4/lljlti/
2 6
3 8
I
42 -. Documentaéion
scizntifiqwe ;jt publication
Le C,tintrt- a reçu en moycnrw 161 docurnwts scientifiques (bulletins, pério-
diQUËS) par an,dont 57 (35 %! en l?nyues @trang&es tmajorite 2nglzise). Par r:ppori
CM nombre moyen ww~l de programme, lc nombre de periodiques par programme est oc 4.
A cette liste il fcut bien sûr ajouter differents rapports techniques et livres w-
voyës ju centre ou oommfindes par les services.
Lc: centw a publie de 1983 â 1982 en moyenne 117 rapports ct notes tKh-
niques pur ans diffusës ztc niveau d 2 kifférents services (technique - de recherches
;t dr developpemunt) agricoles et para-agricoles, du pays et ài l'etranger.
Afin de 1imitc;r la spoliation intullectuollc dont souffrent nos chercheurst
du fait de l'absence d'un; revue scientifique pour l'ISRA, nous avons cree au niveau
du Centre 1.3 collection Etudes techniques du CNRA ,G les chwcheurs pourront publier
1~s resultats de leur Recherches wrivecs à terme. Nous insistons encore une fois
sur 1~ necessite quasi absclue dc crëw un periodiquz pour l'Institut, 211 appli-
cztion d'une- des recommandations f;li!;es lors au seminsiw des Directeurs de Centres
tit. Chefs dc w-vices de 12 [9~cuments,tion, tenu Z Saint-Louis du 25 Novembre au
5 Ikkembrc 1982.
43 -' Visites d'etudcs et contacts scientifiques
En plus du contwt quasi permanent avec les utilisateurs des resultsts Cie
ncJs
trwaux dc rechwchc (12s SOCi@iS, rGgi9n;:les dk d~wloppement un l'occurrcnc, 1:;
SOWAi, nous organisons des visites d'informatisn
au niveau dès sociétés et insti-
tutions industrivllks ou de rëchwchcs. Ainsi durant les triris annCes, 12s chercheurs
du Cen?zre ont eu 6 visiter :

- le Cent~ de X~herches OcGanagraphiques de Dakar Thinroye
- 12 Laboratairc d'Elevage et de Gdecine Vetsrinaire
- l'kole Natim-.lc. Supkieure Universitaire et de Technologie (EWT)
- l'Institut de Technologie Alimentaire (178)

Ces vïsites, outre leur caractère d'information, permettent de nouveaux liens de
cwpGrati w. et d'%hangi: fructueux. L2 Centre reccit izn moyenne 200 visiteursSan
de diverses provw~unces k:t de disciplines vuriks. Ains7 les chercheurs conscwznt
un;2 part zpprkivbl2 de leur temps a ces contacts qui qucjiqu'm en dise constitucnl
des vtlctcurs importants d'infcjrmtim mis aussi de diffusion de ncs travaux et
rkultats tic recherche.
44 - Kkultats saillarrts
L'objet des rapports dc Directeur de Centre n'est pas de fournir des
infzmatii,ns scientifiques d2teillks sur les r;tç
LJ~ltat~ dc recherche mais plut&
dc: Wtt-w- un apwqu sur les o?nditians climatiques qui ont prévalu au cours de la
csmpsgnc rt ltiurs incidences sur l'&lution d~?s cultures,
Sur les trois (3) hivernages concerrks 4~s ont eu une pluviomStrie de-
ficit?ire pc?Ï rappert a Ta n:Jrma’lc et suÏ 1 :énscmble dc- nos Stî&ions et Papem. Ceci
s'est traduit pr.r un2 mwvaise sstisf::ctim des besoins cn eau des espèces culti-
~5~'s dans 12 zone iarac~idè-mil--niable)
sauf pour Bambey, ThiGnaba et Ndicmane zn
1980, uù mzlg rë un d6m41rrcgz i:ss;:z twGf de l'tiivwnngc, 1'alimentati:;n hydriquc
3 dzé &îns l'enseiïrblt; c>rrécT;C.
En 1481 et Ii2 ,â 12 Station rie Louga gar ;:x;zmp1e9 seuls les niébis üe C~C~C:
c:wt (75 jj :;nt pu b6wclsr correctement leur cycle, les autres espkes syant beau-
wup s<,uffert d6~ l'c.rrGt. prGc:,cc &s pluies. L'hivernage 82 .8 cté aussi marqu.I par
un FarasTtismc iAmsac"cz) <J'uw raw int?nsit$ sur niZbG, dans la zr;ne de Lr,uga s-t
dc Thllmakha (bsauc,.up & chs~ps :nt G-t: enti&c:wnt tlZtrui:s! ; Lillwrs le mil i?
ScJuffiirt d'attaque & cantharides Gt de f<,rficules en pcjri;;d;- & flr:jrzis:dln, ct !!d

mincuscs & chandelles à rrlaturit6, cc qui i. bQauck.up affcctS ta pr;jducti,~n en cettk
cer&le. L "arachide !k cycle c,wt, la 55-437, nün &,rmantr, a par c5ntrc su "tirer
sss apingles tiu jeu", cc qui explique ~:XI extcnsi$n -.ctuellt3 h,,rs :ie se z<+ne <'em*
prise avez t:*ut cz que col-, comp;'#rte c:jmme risque. Lz Recherche disptiswt d'une
v':riW: iI.:rmzntz ;jë cycle idwtique, (12 73-301, l'sccwt devra perter sur sa imul-
tiplic:ti:4 erI vus li'unti lwgc diffusii3n c-n 23ne plus m$riCiiJnalr (Nc;rd du Sine-
SC.1 i.Jum) ;eJ l'zxt?nsi.;n de 1:: 55-437 peut pcscr â trrmc C?G prLibl&nzs, les c:;:n4itir;ns
climatiques aimant.
En cznclusisn ;..w pzut CI"re que les trcis cnmpagnes, consid&-fies s'inscri-
vent cncr:r~,helas!~~~ns la @rio& skhrressti qui suvit dans le pays depuis bien-
tOt un2 quirwine <i'ann&s, tant par la faiblessu des quant1* & (-j'cau t--lflj&q.ls y(&
pnr leur m:uvzisë Gpartition. Ceci wilitt; encore en fnvzur Yz va&& hatives,
c-.;iibles 22 tirtir ,mei 1 leure prrtï Ze faibles pluv-i-!mMrïes et ckns un laps ik 'tumps
rt-13ti ‘YWiYlt ccurt. L';i.ccen t I-kvrd par c;;nsGquM, ;slirtc?r sur une multi plicatim
plus lvge ck tels types sic wt&lcls en vut: 4~ leur Gffusirln sur une gran3e
MXllc, éri res$entant, 4zutant qw gcssible, leur cwnctCristiquc-s physi:jli:giquas :
~lirmanc~ î 3hsWsensibilitG, rcsist3nce â la skhowsse...

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