- P R O P O S ~%JUS nous proposons, dans ce...

- P R O P O S
~%JUS nous proposons, dans ce qui va suivre, de fàlre pour l’ensemble de Is
région du ETeuve :
.. d’une part, le point des acayis à ce jour en matikre de reqhcx-
che soientifiqyes en &néral et agricciLe8 en partictiier
Poux des raisons de ccumodit6, nous distinguerans les acqxie RIZ
mati&re de rec@rches d*fnt&C!t &k&ral de ceux en matière de recherches p?.r
produit (ou pr&wtion) et système de produotiorq/d8exploitation. Nou r_?s li-•
&$~a pur col,& à la synthèse des résultats de tnxwx àe recherches &e p~irL-
cipales instiU&ions ou organisnes de recherche qant opéré ou ap&nt encore
~UN ?-a r&Lon (IR&@sRB, ORSTCN, Projet de Recherche Agronai c[ue $WUïS&.<)/
QiIvs, aàRAo)e
,

4 -Etudes Plasistiwos et IkOloxiauas
. Inventaire de la Flore adwxtice du lit major du
Flûuvo Sérié@
. Recherches Ecologiques sur lz savane naturelle,
5
. ibtanofwne des cultures 3t du Sétnil
. Lutte anti4ori.dienno
6 -,Wtc&holog&

2,
- l'évaluation des oontl&ntes climatiques (température - va&)
sur les o&&les (riz, blé, sor&o) par Lucide.
A oc jour donc une "banqe " de données climatiques de base a &e
mise sur pied pour la région. Le travail de collecta SO pourait dans 1~ ré-
gion ,-rctce au:: différentes stations météo existant.
2") Besoins en eCu des wltures : les recherches entreprises à cc
jmr dans ce da&ne ont eu trait à des metim,res :
- d'&potrûnspiration max&zlc 6, Ri¢hard-Toll et à Guédé
- d'évapotr? -p
c:;2 iration maxima&3 et r&lle sur plusieuï& esp&;es
(canne à sucre, sozr~ho irriC& et Ae dCcrue, blé, riz, ma!L:b niBb4,
mltures fourr<a&es) à Riohard-ToJl, Kak%i. 2-t Cuédé par i'IP.AT
4-t le projet de Recherche agroncmiguo PNUl@'AO,
L*ensable des résultats de ces recherches ont fait l?o'sjet in rap,-
ports et publications.
Ac@,wllcment, l'I.S.R.A. mène dans la r&ion un proLr%mw de earac-
t&isation hy&x&wiquc des différonks sols &Lluviaux do la ~316~ en vuo
d'une meilleure connaissance des relations eauMol et eau-sol-@ntc o :3? pro-
gramme doit d&oucher sur la détermination des doses et fréquences dtir$.~,~tion
mi.var-& le sol, 1~ plante et la saison de cailture. Des données sont d'o:?es et
déjà disponibles surL1 fréquonoc dlirri@tion du sorgho de casier.
3”) Brise-vent : dans ce domaine, les résultats de rcchcrche ctc;ns
la rQ~.i,an sont plutti maigres. Cependant les résultats Crcqyi.s dXns les :u>rcs
pays du Sahel (cspeces et techniques d'implanta-bion) p3uv::nt sejAr dc! ïwe
pour l'implantation de brise-went dans les périmètres voués au mardck;+e
1.2 - AGRCPELWZIE
l") Proscection et Cadom~hic des:sols
Un large éventail de cartes do prospection des sol: de la r$gLon
existe et il convient de citer :
- les cartes morphologiques, pédologiques et d'aptitudes cul LihxSlss
dos s oh du Delta et de la vallée k.lu S&é@ au 1/50 OCOQ;? 4ta-
blies en 196y.
- la carte des sols et de la salinitd du Ikut-Delta (ccmplm:?
Richard4kiLl -Dicwol.) au 1/20 OOOkgne.
. les cartes à'grande &helle des cuvettes de Niarga (par llT?%T.),
l#a,tm (par 1'ORSTUd) et Dagana (par la SUE)
Vu la ccuplcxité de la ph;tsic+g-aphi.e de la région, il S~E~V&I& in-
disoensable uuc les travaux de c~wto~p~ie srorientent désormais vers bes
ro~pectionsplus fines d6bouchsnt sÜr i~établissoment dc cwtes de cor%&&cs
sal&.i,te, pe~~~bili.té/~ai~bilité oto...) qi sont des documents du %aae
?\\~a la concq:ti.on rz~iorrrelle des a&n&~~&s hydrcagricol.es tiS
!.*
13 ré$.w.
2O3 C$ra&érisations Phvsicucs et C&$&crues des Sols,
&titudes Cultura&cs. Conservation et AmfXLiomtion
de leur Fertilitt$
Si la plupart dos sols de la région,ont été caract&isés_ üu,~oint
de vue phyaiqe ot chimique do façon stûtiqyo (wiLLyses de laboratoire; pm-
tiquent peu de rkultats sont actuellement disponibles sur leur évah.-ian
t

3. :
3”) ckxwtér;lsaticm hydrimo et. h..od-yn2&auc des sf&Ls.
de 1s WUQo en vue &.lauL: Irr$&ion ration,nelJ-l
Cc type d’étude A lmguo éch&nco a étQ entaa par l~I.~&.$, en
1976’s~~ les principaux t~ypc~ de sol de ses stki.ons expérimntrzles de qa.myo
et PDi@. pour une meilleure corwaissance dans un praior tops des relations
"W&Ol" et rtculcol~lantc?". Les travwx devraiont débouoher sur In d;iczmi-
nation des doses et frégxenccs d'irrigation ccxnpatibles avec une moill~~~r &CC
n&e de l'eau suivant lc tygc de sol, le matCric végétal ot la soisar 'ck cdl
turc,
4") Etudes de Scils Particuliers en Vuo de l*J&J.ioraV.icg
do leur PortilitiS Naturelle
Pami ces études, il convient de citer :
- celles entropriscs par l'I.R.h.T. (G. BEZE) et la FAO/O&.~V,S.
(I4utsaars) dans le casier de Bcu@km-Qzest (Delta) et ay&t
permis d'asseoir les techniques de récup&a.tion dr sols s$l,és
nr~giloux (avec une couche d'ar 'le ne d&passant pris 80 or.] par
lessivage et drainage profond drkns enterrés).
r
Los rapports établis à cet effet constituent des documents do base
devant inspirer la SA E.D. pour la réalisation de ses sménagtm~nts de dessale..
ment do cuvettes notsmment l'amdnn~cnt du canplaxe Tellel&rande Digue.
- Collas mcn6es par l'O~R,S.T.O.~. (C, Narius) sur les phén~&es
de toxicité (sulfata-réduction) en fonction de la gostian 6.4 l'cau(
La mise on oeuvre du dessalement et l'utilisation de variél.$s tolk
rgtes au sel peuvont &tre consid&ées & l'heure actuelle c&me
&ant les tochni*cs les plus apprcipriéos pour la mise on t-@our
dos sols sczlins du Delta du moins ceux présentant des aptitudes
aq dessalement.
5’) &iOlZQbi,~O& dos hls : Les 6tudrs cntreprisos dans lc'klta
par l'équipe do rrjcrobicilogic des sols de l'O,R.S.T.OJ', ont
été surtout axées sur les cyoles de l'azote et du souk~c Y-
ditions de riziculture irri~éo, Ces études car-t permis eni;r
autre do d&inir les nonnes de $Lassificoticm des sols $r.Ltr;lYlt
leur susceptibilité à la sulfat~olréduction, Un progrxm~e de IX+*
cherche axé sur l'étude dc lté&lution de la microfwnc do la
rhisoqhère en culture irrigu6à intensive devrait dtre &taborc
pour la région.
-le> $x-maJ,ssance do la naune sal,dUta et Etude des ado@=
3 mettre en oeuvxe mur son cgytrble et scm rabattarpen+
L’es travaux de Audibert-Illy et de 1'lRAT ont permis une mepeurc.
connaissance des fluctuz5.ons dc le nappe sa160 du delta ct do dGtermin@r les
tochniquos a recourir pour le maintion de la nappe stiéo dans les form?&ticms
fluvio&AtaZqes du EautJlelta à un niveau acceptable ne portant pas prCju-
dico aux cultpes (imhxipes dos drains enterrés),
2') Namms de la MO.YWYZ VaJ.lée ot ,duMaestrichien
Une équipe d'hydroJ.ogues de l'O.M.V.S. a eu ri procéder à d& ob-
servaticns sur les nappes de la moyenne vallQc ; ces obscrvatians font ressor
tir que les lentilles les plus ssléos de ces nappes se trouvont 1orxl.i &:s
dans le secteiur de Dagana.

E& cc c&xi concerne le bhos~richien dans la zone du Fcrlo, dfx for;,-
ges ont été oaractérisés tant du point de me débit q.xe salinité et une &udc
des possibilités d(exploitation dc cette nappe est en cours.
&a gé~~graphic humaine du bassin du Sénégal a fait l'objet de ncm-
brouscs études par l'I.F,A.N., l'INSE8, l'O.R.S.T.O.M. et 1'0,N.V.S. Parmi
ces études, les deux ci-dessous nous paraissent les plus importantes t
1") l*enc#to de grande envergure effectuée dans la vc?llée par la
iyyiL~ Socio-&onaniq[ue du Fleuve Sénégal1t (I,N.S.&&,
.'* A, O.R8.T.O&) et dont les résultats sont consignés
(J&&*
z”) l'étude entrepise par une Qquipe pluridisciplinaire de
3”) L'étude socio-Econanigue du bassin du Flcuvo E%négal enkrepri::e
par l~O.M,V~S. entre 1977 et 1978,
En matière drépid&niologio, les travaux ontrepris par 10 labora-
toire Hational dtE3,evagc et do Recherches Vét$rinairos depuis 1953 ont,por-
misdet
3 faire d'une part l'inventaire des différentes affections
parasitaires, bact&iennes, virales et celles liées à la sous-
nutrition et malnutrition.
- d)autre part de mettre eu point les traitemonts et pwph~axies
de ces affeotions en relation avec los oonditions du miliieu.
Des recherches sont cn cours sur la maladie des oedèmeslt, les avortqnents
infectieux dos ruminants, la pneumopathie des petits ruminants.
S1a@ssant de la Branatolo&e il a étB procédé 8 l'étude do la
composition chimique, do la valeur alimentaire et aux possibilités d'utili-
sation de différents fourrages naturels et irrités et de sous-produits agri-
coles et industriels (paillo, fanes, issues). Les études ont abcruti dans la
plupart des cas à la mise au point de rations types,
IvœElBJDFSlj'LOEUSTIQxJIEs EII'ECOLOGIQUES
La flore advcnticu des rizikres du lit majeur du flouvo S&+&a1 e
fait 1rob'e-b. d'un prunier invont&i.re gc&oe aux trawwx de B~&on (FAO) 'et
Suilloux t IRAT). L*O,R,S.T.O.H. a entrepris on 1976/77 un m8ae invcntairo flc-
ristique dans les périmètres hydroagricoles existant dans la régian,
RI ce q~iconccrnela savane naturelle,une équipe de 6 ohdrch~s
de l~O.R.S.T,OJ& vient d*entrcprcndro uno étude sur la croissance et Ila pro-
ductivité globale wnuelle de la végétation nahucellc dc la savane ssh@iennt
du forlo sptentriwal, Une étude est en cours sur l'évolution des patura@s
naturels du delta et du nord Sénw en relation avec les conditions climaiw
logiq~3s et leur exploitation est en coursq

ïkms 1s C%~C du projet special de reUncrcho de l'&D,R.h.O, ins-
tallé à P;ichardJl?oll une op&xtion de rochorchc C$C sur l'inv&,:&e c.4 la
flore adventice du riz irrigue et sa dyna&,que est en cours. Un horLi&dcs
principales udvwticos du riz 2. Gte conslitu&
v - ~IT~CIIOG~E
Les probl6mc s cntcpnologiqw3 (inaectos rn1isiblcs) li&s B l;sgri-
culture d&ans la r&ion ont 6t1.s pour 1~. pyemierc fois &tudiés en 1969 par
1. SCIIITZ. Depuis 1976, un travail impo-+-
-"tint d'invcntairc et d~idontifiçation
do ltcnt~ofaune du riz irrigué nkui que dtis techni~es de 17uttQ con& les
prédateurs dols 10 cadre du projet spbcial de recherches rizicC)les ~~.D.~.A.O./
Fanaye.
lb mati~m ~‘~Ilt~ologic (lu ?$tail, le laboratoire iL'ation.&l ,dtPe-
va@ et de Rochcrchw V&&i~nairos a proc&$ a l'invontcre dc l'e&a&?une e,
a mis cn svidonce les incidences dos tabanidés et des tiques mr la pro&ctim
ilnim,tie,
VI - P-UxT3&fYILOL‘OGIE
D2.m CO dcxncir,o amm~ recherche approfondie n'a et& entrepr$,se
dans la r&ion. L'intensification de in culture ir:niguée qui sera o.ffect$ve
dans la rcigion avec les d;rwr barrages entraincra scas aucun doLte ~lae~m~fi-
cation du pédoclimat et de CQ fait créera des condi.tions prapiocs 5 l'::$-i..
tion de certaines maladies d'autant que les ospCcos et les vnuri&t& :5-. i:ltrw
dufrc pour cctto intensification sbnt g&x$rr,lm~nt peu rusti@cs, Crcst ,dirc
qu'un progrom!mc d'4tude prospective doit d'ores et déjà $tro aia'30::& &n,s ,Y
dcmaine par 1'I.S.R.A.
vL3: " ~OoLOGS$
CIRNITHQOGIE
Oîsqyx miWmteurs : l~O.R.S.T.0.16. en liaison avec J.'%l-
cien projet F AO. &1él& a procéde 2 l'étude des d&!its
causés aux rizières par les divers oiseaux migrateu& 2ux
fins d'une meilleure conne.i$sance des migrations.
b) - Oiseaux g3x4nivoros : las études ont surtout Ote ax6c:s sur
la biologie des &Iélka-@él@ et sur la mise :LU poieit dos
techniques de lutte contra ect oiswu granivore (des~ruc-
tien à l'explosif des nids),
Qu'il sfa&sse d'oiscttw. migrateurs ou d'oise,w granivores les probl&>s di:
protactio2. des cultures domeurent entiers poUr l'ensc;nble des pays d;ï S&el.
Un progrwme do lu-ktti rtgional devrait btre établi pour renforecr celui mis
en oeuvée par 1~O.C.L.A.L.A.V.
VII.2 -mOGIE T LUTTE C!OHTRJ$ LB RGtiGzRS
L'Otude de l’tblogie des rongeurs rentre dans le c&re du Ijrogrzm-*
rnc de recherckc de 1~O.R.S.T.O.M. A ce jour, les csp4cen de rongeurs sont con-
nues ainsi qe 1 es produits (raticidos) pour les contrdlcr, La pour5tit.2 d2s
Qtudrs p=s 1~O.R.S.T.O.M. devait pcraettre de mettre au point les app&!x ti-b
les dispositifs de traitement.
VXI.3 +@@!IX&GGIE
Dans son progrme de recherche à application agro.n&~~; le
Centre O.R.S.F.O.M. de Dakar a eu à procéder :
- 5 un islventtire fautxi.stigw n&natglcgipuo sur diverses culkures
.\\

- à um déteminztion au laboratoire des portes de produc U$on
de ri.5 dbos ;tux n&natodes.
Eh ce qui conckne plus spécialwxL les cultures marQchè?rs,
l'O.R.S.T.O.M.,
en collaboration avcx le Centre de Développement Iiorticolo
de CkmbéGno a procédé à lfétudc des nGnatodes do la tanate cultivée sur sol
sc?bleux et à la misc au point dits techniqos de lutte contre ces n&nctodcs
bas&o sur la rotation arwhide/t~atc. Le progrmnr de n&atolcgie do
l*O.R.S,T.O.& devrait se poursuivre dans la region en collabczatian ~vcc
l'I.S.R.A. d'autant
'avec l'intensification de la culture irriguée, Ics pre-
blàocs dc n$natod:?s
du riz notamment) risquent d'Etrc importants,
& matière'd'hydraulicge agricole les dixdes entreprises dans la
région du Fleuve IJa 1WiAT se sont ossentielLcw?nt li.mit&s zu Delta. ChsK:
études ont ou trait t
- à l'irrigation à la raie sur les sols hydramorphes 2 @.$y du
haut-Dolta ; les débits de miso,cn eau et d'entretien, i-p temps
d'arrosr,cc en fonction do la do!o d'arrosage et de la lob++eur -
pente dos r‘aies ont ét6 déterminés.
- 5 la ccm araison dc différents systknes d'arrosage de la canne
à sucre Pwpcrsion, s~3ni=sukfter&lon, raies cloisonG33) ;
il rossork de ces études que la,semi-suk~ersion est la '~ocluti-
cge d'irrigation à préconiser p@r la canne à sucra dans les
conditions de sol de RichardJJ?oil ; cotte technicge est ;actuel-
lcxnvnt nise on oouvcc par la C.S.S.
Dans la perspective d'intensification dc la culture irri,@ée
dans la région, un programme de recherche coh&ent doit ftre rapiduncnt mis
en oeuvre &L~IS la régican axd sur la mise au point de modèles d'exnti<-+$nncr,-'.
hydroagTicoLies stAv?-nt les contrGntos du milieu, la gestion de 1'e.z '(irri-
gation - drainagt).
VIII.2 -b4A@IIBISMEAGXtCOLE
Les résultats des études réalis6es par L'IRAT à Ri.&rd4(jll (2-t
les expériences de 1'ex-S.D.R.S. et de la S.A+E.D, permettent à cc jcqr de
défknir les typas d'engrx3.s ct de machines agricoles requis peur une &i!.turc:
intensive do riz basée SUT la motorisation lawsdo. Des essais de trandfcr-t do
la motorisation lourde en milieu paysan ont été tentés avec succès par TI.~IRAT
su Colonat de Richard-rPoll entre 1972 et 1974*
& ce #ni concerne la petite motorisation (motooul*J.r et récol-,
teusc - lieuse) et le matériel de battage à poste fixe, les 6tudcs sd 1~~s
ossibilités techniques en riziculture entreprises tant par 1'IRAT à $avo.iao
tA. REYNARD) que par le projet F.A.O. -Pay&@as (A. WAUDFRS) ont peqis dc
r&nir une &ommc do donndes techni~os de base.
Vu l'onsenble des données disponik&es, les recherches on mschinis-
me agricole doivent Otre orientées vers des é't;udes de transfert en milieu
paysan (cas do la petite motoris~tian) et de création du C.UJ4.A. (Co$&cative
d*Utilisation du Mat&riol Agricole) expérimenitales.
Un pro,jet d'étude de l'insertion de 1s petite motorisatic~ en
péximètro rizicolo villageois (NfDanbo) a déjb 4x5 élaboré par ltI.S.RA.
en collaboration avec la S&D ; ce projet dcit d&wrrer en 1980.

Divers organismes, laboratoires ct 'soci&tés ont eu à oontrilx~er
à la mise au Paint de la pcmpo solaire, Sous l'impulsion de la D&l.&a&ic:.r
G&&ale à la Recherche Scientifique et Te&niq,xe uno pr&èrc g&&a-Lien
de 3 paüpoa soleixes (à des fins dlalimentation en eau de villages et dw
troupeaux) z 6tté imtall6o au S&$+I. dont une dans In r&ion du Fleuve
(Diaglé). Une deuxi&no &n&ration de panpos solairos plus puissantes GotraiI
dxns un très proche avenir Etre instcJ.l& & des fins cotte fois agrioclcs
(irrigation).
RI matière d'introduction de mat&riol vé&t:~l un travail importnt
a été réalisé et se poursuit dans la région on oc qui conccrne :
l") Jo riz irri& (introduction de variétés à haut gotciléiel d*;
production et observations sur des col'loctions de vari&&
tolérantes au froid).
2') le bl& le triticalo ot les c&ttaros fouxxzwèrcg
3’) Je sor&o ixriau~ (hybrides et cunposites)
4") les autres cultures de divarsifioatian t soja, paixte douce,
hazicot, panmo de terre, tanato ot oison.
Pour toutes ces spekulations vég&xJos un onsemblc de vari&&
pranotteuses sont disponibles ~ju'il convient diactualiscr et dc tcstcr CL~*,
taincs en essai de rendcnent en station, d'autres en eqérimen-Catio.n rdli+.
lOC4.0.
=2 - MULTIPL?CATICE~ DE MTEXIEL VEK$RI!&
1 -iJ e Riz i.tim& 1 jusqu'en 1970, lWU!T et le Centre dc Mültiplj-
cation de semences assuraient lamultiplioation de semences dc
riz à Richard-Tell.
&qui.~ la dissolution du Ccntrc de &iltiplication de Scznence-: cl
la rQorgani&tion du service semencier national, cette multiplication est
ixwréo 2
L d'une pati par la feane semencièrc do 1~A.D.B.A.O. (forme ;I
vooakion régionale)
L d'autre part par la Sm on r4#e au niveau des fcmcs Ecgnzn-
cièrcs dc Sam.i~e et Dagana
2-1eBLg: la multiplication de semences de bld est actuellem&,
assur& par le projet do Recherche Agroncmique 0.M.V.S. à &édé,
3 - Les CUIL~US~S fourra&res t les tochniqyes de multiplicc.tien (vé-
gétative ou &&ative) sont à. présent connues pour la plxp~rt
des espkcs fourragkos introduitos et oo, gr&x aux travr'ux du
Laboratoire National dtRevagc et dc Recherches V&érirx5res,
4 - Le SorsEbo Irrité t 1'I.S.R.A. viont dc mettre au point dxx: lc,
région, la technique de multiplioation de s~enccs de sorgho hy-
bride ; une fiche tochniqge a étd aaborée à cet cffot ct d.ff. -6.
au niveuu de la S.A.%D.

5 - LOS autres etmèocs de div~rsifioatian : sur sa station de
lT'Mol, 1'1 .S.R,h. a mis au poitit la technique de ~>roductPon
de silence dloignon (variété IREC 1 ou Violet de GCM.)
Lcr politique en iilG;tière d'introduction et de multiplioztion de mat&iel v&;~k-
dans la r&ion doit 8-h & notre avis mieux d6fini.o en tenant corrT>tc :
- dkne pr?rt de la nécessité de diversifier intensclsent 1~s oui-
tl.@OS
- d'zutre part du fLtit qu'en mati&ro de.politique de production
do s~ence le sch&na 8. adopter doit 18trc le suivant :
production de souches et de sanonces de base par la re-
cherche
production des wwnct?s certifiks par les soci&és dc
d&cluppanont d des fcrrncs semenoikes soit en régie
soit cvec des producteurs cwkwtuels.
L*I.S,R.A. vient & oc sujet d'élaborer un projet de crktian d'une fao se-
mencière de 50 ha à F2-y~ pour la productia de semences de buse de tcutcs
les cér&alea à produire en irrigrttion dans la région.

I-ÇEREALE,S
Les zccpis en matière de rccherchos rizicolcs dans 1:: rigion
sont considérables notam3nmt en cc qui concerne la riziculture d%ivcrnage ;
ces acquis ont osscnticllemont trait à 1'~amélioration variétalc, la fertili-
sation, les tochniqxes culturalcs et la defonse dca cultures.
l-&4@iIORkTICNVARIIT!.ALE
Les trawux d'introduction et de sélection entrepris par 1tIRAT
à Ric~rd-Jl'oll ont pcnr,is ltidentification et/ou la creation d'une gcae de
variétés do riz akptées à la riziculture d'hivcrrx~c, à plus ou moins haut
potentiel do production et ad3;ptécs aux diffdregtts typos dl.omé.nagoment hydrocgx
ooles existant en son tunps di?xs la r&ion. C@OS~ ainsi qw parmi ootte gemme
de variétés, certaines ont &6 préconisées au développament pour la rizioulturc
d%ivcrnage tel qa'indiqé dans le tablwu ci-desscxls :
TY'FED~A?dRUGJXfBT
.l
VARIETpf;lsP~~~S~
t
f
RYDR~GRICOLE
f POUR LA RIZIC~?~RE
1
1
D'HLVERMGE
i
!
I
1 Aménqp3mcn-t samnairo sans Lau-
1 Vsxiétés h3ticpos
1
I curie maittise de l'eau
I D52-37 ; L 5 ‘-26 ; kbidcat
t
I
I
t
1 Améniigemat sccandrzirc sans
I
1 maBrise de l'eau à la tidonge t
w!-37
t
!
1
f
1
1
1 Am&ageanent tertiaire avec mat- 1 1~8 IKP, TN1, JAYA,
i triso de l'c;Lrm
t Dj&J), Dj 346 D
f
Devant la politique affirmée de la S.A.E.D. de ne créer d&som:;is d:;ns la r,c-
gLcn ~1" dûs périmètres hydro-agricolos avec maitriso ccmplèti: de J.'w et en
prévision de l*intensificr.tion de la riziculturc irriméo (double riziculturo
cgi sera randue possible gr&o aux.deux bcxr~es), les recherches en Am6liora~
tion Vari6taJ.e qxî s'étaient jusqJ'ic.i Jimitées à la saison d%ivernago se So;?t
étonduos aux deux autres saisons de culture possi3los dans la région et c.e d;.,is
ltoptiqc dc la pratique dc; la double riziculture irriguée annuollc :
- @. 3c;ison sèche froido : il s'Z+yit pour cctto saison d'in-
troduire ou de s6loctionner dos variétés do riz à haut poten-
tiel de production tol&antos aux basses temp@tures au stade
floraison.
- la wison sèche chaude : pu cette saison, il Eta@t do sé-
lectionner des variWs de riz à haut potentiel de producticn
& cycle court tol6rantcs aux basses températures au. stade plca
le ot aux hautes températures au stade floraison.
Les rechcrchcs en matiérc dramélioration variétrslc pwr ces da-::
s-&urns de culture oxkx&cs par l'I.S.R.B. en 1975 ont été Confi&es à partir de

10.
1976 zu Projet Sp&i& do Rechsrches Rizicoles ADRAO/Fanzye. Des criblzges de
mattiiol végét~wl introduit(lO0 w?xiBtés au totti) des Philippines (IRRI), du
Bengladesh et d'Australie oat pexmis de s&Lectianner une k-e do vxri&&
pranctteuses. La ccqxx&.san de ces vzri&Gs prcmetteuses on essni de rcndanent
au cours des deux cnmpagnes précédentos a permis de ddgager qwtrc vari4tés di-
gnes d'inté& pour leur tol&ance nu f-raid nu stade floraison qxi sont t
KB 998, "&$ggg& $alu Oz, Fuii&a 5.
Ces wtre vari&& seront testées à pzztir de la campagne 1979 en nilicu paymx
sur le pér&n&!ze hydro.%gricole want leur proposition à 10 vulg&.sztion.
Une Jtudc mon60 en 1978 sur l'effet de la canbimison N4 (Azote-Phosphoro) sur
la tolérace du riz aux bnsscs tmp6raturf.x mantre que d'uno manière gGnW.lo
pour une variité de riz donnbc la tol&acc au froid est dtautunt moillrurc que
le rz;ppcat N crpporté/P apporté est voisin de 1/2.
2 - F~WILI&TIC .
Los trawux de rccherchcs en matière df; fcrtiligcztion du riz conduits IX 1tIRAT
tan-t à Richzrd4'oll l'à Boundoum et Kassock cnt été d'zbord ay,és sur In dbtor-
minztion des fomules de future opti.ma&e par le lniz d'hivernage et ce ;~acu: lta?s
zoto, le phosphore et la pc&~ssc. Les r&ultats de ces trwwc ont pcrn,is do prl
coniser a.z d&el pomcnt les foxalos de fumure ci-desscxls on fonction de 1~ vi?-
riété et du type"tl tc^m&x3gcanent :
1
Typa
l VLmiétés de Riz I
Fotios de fumure ar5coni&es
f d“am&îzgcment
1 Préconisées 1
Azote
! Phosphore !
Potasse
1
!
!
! &n&aganent primai-! D52-37, LT-26 ; f 7kxN/b t
1 re ot secondzirb
! (Perlur6s)!
Frzcultntif
1 s<1~1sm&txise de
!
;
1 lte‘w
1
1
-_-. ~.~~~
i
9
t Am&zgunent ter-
: IRb 1 K P %Ml f 120 à 130 t 60 k@205/hzf 60 kg K20/ha
1 ticaire .wcc mai-
1 JA& ;Ij& ot'l Kg N/ha
1 (Phospb%to ! (Kchl)
i trise pcxfnite de t IV346 D
l(Perlurée) 1 dtAmmoniaqx$
& l'ocru
!
f
f
1
Depuis 1976 ct cc dans 10 cadre du Projet Spécial de Recherches Rizicolos ADRAG~
Fanayo les Btudcs en mztièrc de fertili&ion du riz se sont focnliséos sur :
- ltét;ude do 1~ fumurc azotée et 10s modW.t& de son frzctioxxtwaon
cn conditions de riziculturc de sciscn sèche froide ot s::isai1 s&
che, chaude,
rla canparaison de diff&entes sources d'azote dans l'qtique d'un
meUleuro effioience de lit fumwo azot&
- 11étude des techniques dtcVpport de lteng@is azoté.
- l'étude de lc fumurc potassique en conditions de riziculturo inte:
siw.
Los études SUT la fwnure azotée et les m&lités do son fractionncrncnt sw sol
flfondétl entreprises en 1977 et 1978 mcmtrent we le meilleur frzctienncmcnt est; :
50 % qrès repiq@go, 25 % au stade tr?llage ct 25 % au stade initiation pmicu-
ldxc et ce paur une dose totale d'apport do 130 k&~ de N,
de 13 capaz%&son de différentes sources dtcngrczis azotés 1~ pcrhré
au scu cn ri7iicLiLture sur sol "f andé" L?u cours do lrd cmpqnc

~oique la Porlurée, par suite de son effet starter ait un meilleur effet sur
le dévolqpc4lcnt v&%atif ti riz notamment on dé ut de végétation.
S12&isa:'at de la fumure potasci~c, 12, caaparaison de 1s fwre potassipe a~'-
port60 sous forme minérûJ.e (Kcl) et celle apport8o sous fonne de paille et de
ocndxo ftit kosuortir :
-un offot ddprossif de In paille sur 1~ production
- un cffct bénéfi~c dc l?. cendre
- cauoun offot dc l'owis potassique.
Il est vraisocmbl~blc que d2na les conditions cctuollos do rizicultwc dws 1 1,
r&ion (une scale culture de riz par a) l'apport de potasse doit Etre consi=.
dérQ canmo facultcltif.
Les tcchni~nos de pr6pamFion du sol en soc (au kL2cta-a) et en
humide (Uotocultcur) ont été &Mi&s par 1'IRAT et 10 Projet Intcrnation?a
et Coordo-nné de Ruchercho FAO en conditions de rizicultwc i.rrQuée du Dclts,
Ces twxwx ont permis de d8inir la technique do prkpcmtion du sol lit plus
efficientc pour zsmror une bonne I~V& du riz en sani.s direct et les @pc+8
d'engrais à utilioer. Stagisszn-b de la Moyenne WLlC-o, 1Q.S.R.A. mène depuis
1976 SUT la station dc Fax~ye un ossti de ccmpnraison de diff&cntcs techniq:~+
oulturalcs en condition de rizioulture irrigu6o intcnsivo jur sol 'tholl~ldég',
Il ressort des r&ult&s de trois campa@es successives qu'en conditions de
riziculture sur sol lard 13 lcbaur profond n'est pas indispensable et que dr:;
façons supo~ficicllos oxécutQcs &au RotoWtor ou à l'offset suffitient poux as-
surer au riz une bonne levée.
Ei1 mcrtièrc de malherbologk, les t~aaux effectu& rtnt&ieurcacnU
sur le riz wt ou trait & t
- l'inventaire dc lr: flare adventice des rizières ; travwx de
la F.k.0 (BOCIUZ), 1'IRAT (GUILLOIXC) et do 1'ORSTW (CORN22)
- l'étude des tec&.~eo à mettre en of%vro (technicgx2s cultunle8
et horbioides) pour le oontrble et 1~éxxMiction des advextices
durizirri~6.
L'enscablo de ces tr?Uvxcc mt permis dluno pc& de constituer une colloc-lion
de r&fWnce dladvcnticec du riz (herbier) ot d'axtro part de précatiscr la
ccmbinaisan de la tochnic;uo de prépar&ion du sal û;p&s pr&x&@ion et
l'utilisution des herbicides (STAR F 34 T au stade Z-3 feuilles des adveniicc~
par las crdventiccs annuollos et &@warttc axant scmis par l'&xlictian du
riz à rhizcws) pour l~tkadiotion des adventices des rizi&ros.
Les trwaux de recherches SC poursuivent depuis 19’77 dans le cadre du Proje";
SpécioJ. de Recherches Riziccrles ADRAO/Fwyo anvue t
- d'une meille~e connais~ce de l*ensûnblc de la flore adven-
tice des rizièros de la vallée et de si dynamique
- d'une r&ctualiso.tion de la foxmulrrtion d'herbicides ncxw?aux,
4.2 -E~#TO~OLOGIE
Juscyu'en 1976, les trcwax r&U.sés cn mati&re d',entanol~~ie
dans la région sc'sont limités à dea missions d'observations et d'identifi-
catiar, d'@aectos du riz (10s borers notaamont). Depuis 7976, un prog?%xmo
de recherche en entanalo@e rizicc&e est oxéouté tins le ca3.m du E'mjet
Sp&i.al de Recherches Rizicolcs .kD%O/Zkaaye le+01 progranmc est xxé sur f

4 l~&u.dc de ltcntc&ofakme nuisible &a2 riz cultivé dam 1% ."ulXo
du Fleuve Sénégal
.
.. le criblagc d'insecticides
- l~&aluaVion dos dé&ts dl!& wx insectes en milieu paysan*
a) R-I ce qui conccrne ltcntmofaune du riz les études ont essenfiellem~~t po&E
depuis biontbt doux ans sur aa conposition et son importance et cc g23~~ U
des capturcs au piègu lumineux. Il ressort des collectes, des idcntiïca-
tions et des observations gue les insectes les plus dcstnrctcurs du &Z
tins la ré,-ion a~partienncnt aux groupes : borcr,. d&foliateur et suwur :
, Borers des tirrcs àe riz::cinq espèces sont présentcs dont trois
dlcllcs pr&wntcnt un danger potcntiol pour la riziculturo &c*ns
la vallée t IGXl.iarpha separatella Rag, &ilo sp et sesiotia sp.
:
UT : quztre insectes sont de loin les plus fréquents t
' &f"ior&i, Diacrisia sp crut onotus 1euoanOrdes et P;;rnL,ra
Sp, Le Mytimna Loreyi. est de loin lc défoliateur le plus impor-
tant.
rsuoeurs: treize espi&~s d'insectes sucours appartenant à lbrdre
dos Hemipteres sont les pl
fréquemment rencontres. Les cinyi
espèces les plus
"5:
ixportwte sont : Alourooybotus Sp, indicus,
Nephotettix Sp, Somtella Sp, Easarcoris inconspicus et
Fiezodorus punvyiventris. Nephotettix étant très abondant surtout
sur le riz en fin de cycle durant la p&iodc d'Cctobrc à 1:ovmbrE:.
b) Stagissant du criblage d'insecticides, les résultats dos travaux mends CU
oours des c~mpagnos 1977 et 1978 montrent p1c le Carbofuran à 1,5 kg et 2 kg
de matière active à l'hectare assure une meilleure protection du riz cûri;trc
les insectes.
c) Dec obsewations et des évaluations de porte de rcn&aent dues aux a-ttay-es
d'insectes sur des parcelles de paysans (p&imEtres de Dagana ot de Gu&é)
so& cn CWS. Des prmiers rbultats, il reaort lr présence d'uno forte po-
pulation dtacariens sur lc riz de saison sèche chcude notamment à C&$d&
I** - S~O+US -BLE
1 - SORGHO : Les recherches en matière de sorgho de casier dcns la r&ion
ont ~essontiellement axées sur 1~Lm41iomtion vari&ale, les SG.SGIIG de
culture, lus techniqes culturales et fabrication de semence.
1.1 - &fIi!fdwTIa irB'iImj&E t Xh ce qui concerne le sorgho do décrus, les
traveux de s&lection an-tropris par 1WUT ont abwti à la vulgarisation dus
dcwr variét& RT13 et RT50. SlagissaM du sorgho irrigué les pruniers tra--
vaax entrepris par 1'IRAT et la F.A.O. portant sur des tests comparatifs CCTP
prenant des variétés locales =éliorOes et des *brides d'@ortetion ont
abouti à des résultats plut8t d&ovants du point do vuo produotivité des
vuiétés ixstécs. A partir de 1975, un progr?wnc très important dfam&liora-
ticm variQta1e du sorgho de casier a été entré dans la r6gio.n dans 12 cadrr
de la Recherche d'Acconpagnement pw la mise en wleur du pbrimétrc 3e
Drtgana. Ce progrcanme mené sur la station de Fanayo est basé sur le test de
varietés do sorgho précoces et de taille courto (lignées et hybrides) in-
troduites ou créés à. Bctmbey. Le synthèse des réER1ZtatL: do 4 ~~~~pagnes SUO-
cessivcs peirmettont de préooniser d'ores et d&jà au dévoloppancnt

t
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Saison de CuJ.kar.8
Pohntiel d
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1 t CE 90 3 CE 67 ; t1 n-d35
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J! 2235
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Hybrides
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Qc612 x 7445
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1
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1
% tenant cangte d’une part des potentialités de rendanent de oes variétés et dIaatre
part du ccdt des amwents de la S.A.23.D~ les 1iGlées sont k canseiller pour les
petits périmétres alors que les hybrides contiendraient mieux aux o;rand,s p&$m&trss hy-
drcqgicoles type Dagwa et Nia,nga,
Les re’cherches menées sur la station de Fanaye SUT leo dates de sanie montrent q.lz les
meilleurs rendements en Soqho sont obtenus pour les dates de semis de j~juillet (CT;.
turc d’hivernage) et début Octobre (pour la culture de saison sèche froide) i
Des recherches ont ét4 enfmprise s sur la station de 3knaye en ?y77 et 1978 BU~ las état
tements de semis du sorgho de casier et ce pour les deux saisons de culture hivernage YX
,sa$.aan sèche froide. Jl ressort des résultats des deux campagnes gue :
- pcax les semis d’hivexnwe L1écartws& 0,6O m x CI,30 m convient aux li.-
gnées &l.ors c@e 0,80 m x 0,30 m semble préférable pçur les hybrides
- pwr les sanis de saison s@he froide l’écartwznt O,6O m x 0,15 ~1 est
préférable patr les liqées tandis qe O,6O m x 0,30 m est pref&ahle
pour lep hybrides.
1.4. -
B
Les r&ul.tats des essais de fertilisation du sorgho de casier menés à Fanays
en 1977 et 1978 font ressortir que la ftanure optimale B4US du sorg!ho est de 11 115~8ar~G~:.
I,Ic,ippart d’azote doit 8tre fraction& camme suit t
- au seuis ou après dknariage : 23 kg M/%a
- au stadb tsJ&age
: 46 kg N/%a
- au atads montaisoai
: 46 k$'N/ha
1.5. - -de des Fré~onoes d’Irrk@tian du Sor&o de Casiez
Les résultats de carsot ériscztion hy&i que et hydz+odyns&~e de sol rVfond@@ de Fanaye n ,.&:
on-t pexmi d’entamer à partir de l’hivernage 1977 l*&ude des .$r&uences d’apport d’eau
oour une cdture de sorgho de crsier. le tableai ci-de-
-nos donne les résultats m0yer.c
<bt onus au cours des deux campagnes 1977 et 1978.

14.
<I
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1
f
Campaeie 1977
1..
@q?4P@ 1978
-1
; TRAITIilvUBT
1 Nb total f QWntité IRendement Cycle
II?b t otall@antit&Rendemeni
f
&cle Id’irriga- Itotal
fen k$hat(jours) Id’irri@ t o t a l 1 e n
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l(ja.us) 1 t i o n Id’eau(m3) 1
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1 tiens ld’eau(m3] kg/ha i
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I
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i
VaaM-t&i t hybride ~1~612 x 6W9
De ce tabloaq il ressort qe 18augne.ntation des fréwences d’irrigatim taJ.longe le cycle
de la culture mais n’a aucune incidence eigeificative sur le rendement,
1.6 FABRlXATIC&J DE SZW$XE DE SORGHO H-&RIDF
l
Los travaux dans ce draine ont d’abord consistB j, la mise au point de la technige de fa-
brication de semence en station. A pcartir de 1977, la technicge de fabrication de somenco
le l’hybride ~8~612 x 68~29 (hybride à potentiel de production de 6 tonnes/ha) m&triséo a:
&Mon a été testée sur le périmètre hydro=agricole de Dagana, Le test a étB très oonclw~~+
:u coum des deux &mpa@es et un lot de semence (enviran 1 tonne) récoltée au cours de 1~
~apagne 1978 est actuellement placé en chambre froide a~1 C.N,R.A. de Bembey à la disposi.-
fion de la @LED. Une fiche technique de fabrication de semence d%ibride de soqho a 6té
tilabor6e et diffua6e auprès de la S.A.E.D.
S~a#a~t du ma!& les travaux de recherche dans la r&ion en son% twjcws
zu stade prospection et introductions de canpoeites df origine indienne, de synthètiqw et
d’hybrides. Ces travaux entrepris SUT la station de Cu6dB par la Recherche Agron&que CQïVS
font ressortir des vari&& dignes d1int&8t du point de vue potentialité de rendaent. Il
convient de citer parmi ces vari&& :
- Bouaké et Penjalinan dont le potentiel de rendement
l !tzFqyT&Zha
.
t Sy$g, Sy 57 et Sy 66 dont le potentiel de rendaent est do
, &ybrideg t J.D.S. IV dont le potentiel de rendanent est de 5 tonnea/ha
vu les potentialités do la régicm, cette culture devrait faire 1 I objet de recherches plus
Lltensives notment en matière de &loction.
De nanbrfxlses exp&zimentations portant sur les variétés, les dates de scrmis, la fumure et
les tecjmi*es cultur;7fi@t étf5 r&lisées dans la rf$$on tant par lTRA!P q;re par le projet;
_._
PXCTh@WS d e RecheZëiio Agrananicpe. lh matihe de va.rit5t4.a les naillauces introc3,wtiart.s

itü COMMIT se sont révëlées avoir dans les conditions écologiques de lu.&-
@on un pote~;~tiel de rondaent en stûtion de 4 à 5 tonncs/ha oe cgi s'a.v>re
encore insuffisant pour routabïliser les em&aganents hydroagricoles do lg
S&?D. Depuis 1978, l%S,R.A. suit sur sa station de l?anay~ une oolleoti3n
de 100 variétés de blé. tendre prunett~scs provenant du CJMKCT, Une ditilne
de vari&& $ntéresswtea extraites 6e cette collection seroxt test6ee c:
essai de rendement au cours de la campagne do saison sèche froide.
*
Les d&es de SE&.~ optimales du blé dans la région sont à. ce jour CO~~L& c-5
situent dans la fouxxhotte premiore auinzaine de Xovmbro - 7xxmière ci*îzaii
de D@cq~bre. S'agissant de la fertilisation, les trawxx réalisés à &-.~d;~
cours des oatppagnos 1976, 1977 et 1978 ont abouti à la üéternination i.'u.;e
fosmulation optimale ~?lOGP8CK60 avec fractiono6m& de l'azote sur la ba.:c d!
23 kg H/ha au semis, 23 kg N/ha au stade tallage et 54 kg H/ha au staca n,on-
taiSOn.
Les études d@ techni@es c~rlturalcs entreprises tant à Gudde que sur la s-ta-
tion de Fanaye ont été essentiellement ex&s sur la donsité et lo mod( d3 se
mis. Des résfitats de oes Études il ressort ego t
-le densité optimale pour le semis du blé dans les ccx&.tio::
de sol de la Valléo est de 2100 kg/ha de semence.
-la technique du yr6gcxmé donne des résult&ts int&e::sents
dam 10 oas dc la culture dtz blé sur sol hollald&
4.MILS
La pluvianétrio très déficitaire de la r&ior,f&it qu:: l*runé.
lioraticm dc la cul,?c;uro traditionnelle du mil sur sol sableux dunairo IX xx
se faire qu'en agisn~ant sur le cycle et 12 tolérance à la séoheresse clc Ii:
varieté, Dos, travaux de s&l.ection de variétés de mil nain à cycle trè:: court
à besoins en eau limités et résistantes à la sècheresse sent en cours &
CNRB de Bambcy ; ces trawux devraient aboutir 3 la création de vari&;& de
mil adaptéos à chacge entit6 6cologique du paya, Pmr 13 réç;ion par eX3i ?le
uu mil'de 6G à 75 jours do cycle serait souhaitable.
Les travaux de recherche entreprises depuis qwlqucs années par la SC?%',
1'I.S.R.A. et le Centre de DévclopptPaent Horticole de Cambérène ont px!;é
entre autre sur la mise au point dos techniqes de production de la ttite,
de l'oignon'& de l&xnes divors.
Les acquis à ce jcur pour la tcmate de l'oi@& peuv& se résumer oorrim(:
suit :
. sélection de variétés adaptées eu milieu et résistc;ntes'a?ut
nénatodcs notemment on ce qui concerne la culture de 1~ tw
mate sur sol sableux par aspers&on.
, mise au point des dates de semis, des techniques culturalx+
(semis direct et repiguago) et des techniques de tGitct$elts
phytosanitaires (for@cides, ir&eo>id.des)
. adaptation des formules de fuwre préconisées dans d>at&rs
pays à écologie voisine. 1

, i@entifi.caticn de vari&& d'oignon ayant de bonnes e,~ti-'~k.c~
à+ ocolservatim (ex t vmidtd Vicilet de Colmi).
. @se eu peint de la techniqe de production de sanenc : 6 :Ic
gn/on (Vwi6td Violet de Galmi).
Les actions de recherche en ccurs aussi bien au nivesu du modèle d'::x::; jita
tion femilisJ,e Etudiée par 1'I.S.R.A. que des facteurs de producticx :xfi&
aa C.D.& sont kéos sur :
L l'&ude de la possibilité d'étalanqnt de la producti~l CYr;ls
l'année de la tomate et de 18cxi.gnon en jouant sur ler d? '2s
C$e semis.
-la diversifioation intense en mati*re de producticn C 2 f j ;UL~
0, tr8s haut potentiel de production et à bonne aptitr Le -1 la
t@nsformation industrielle.
- l'étude des causes de baisse de rendement enregi.stréc,; : x tc;.“' .,
&ltivée sur fondé et la mise au point des techniqe: à -.jt>rc CI
ckuvre pour maintenir la production & des niveaux oox.~e~~~~l;e~,
Eh ce pi concerne l'étalement de la'producticn et la diversificr?tiJn ;.rixxr~:ve
en matière de production de l&une lcétude dtassolement, do successIc::' dG'Ll-.-
raies et de dates de semis entreprises à N'Diol par 111,S.R.A .à pc;% - de -:'Y!7
permettent à ce jaxc de proposer paur la mise en valeur des sols sc%lc:.: de n
vallée du Lempsar par aspersim les rotations suivantes pour une ex$: x x&i:.~
de 7 ha de solsableux.
: Ni.1 Souna. hivernage (semis on jti.13 \\;> Z- il
saison sèche froide de haricot (semis en Octobre) 2-t; -)a&< ?
terre (plantation QI jantior).
t Patate douce plantée en juin suivic àt ;~IIE!~
n) et de pamne de terre plantée en j~!..r, :; ex-
8 gcznbo et mil souna 3 on juin suiviL d" :Q&c.
et d'oignon en aen$.s direct cn Novenlrc,
Arachide semée en juin suivie Ce t~zmr,~:~ r;:-
.
II** -
Le$ résultats des travaux de huit années de rechcrohes ,3rL-: '2 y:.t}ri .'
par 1'IRA'I' à ~charWI'ol.1 et port&nt 'sur les vari.étBs, les' d&ce dc. p1 :,-i+,ai,iol
la fumure, les techniques titurales, les modes d'arrosage ct d*amwa;,:?wwi c,
servi do données de base pour la mise en oeuvre du complexe agr+ir~u; trie1 Y:-
crier. La C.S.S. effectue actuellement par elle-+$ne des recherche:- ~ïu-~Zs:i: GX
ltsm61iorat~or'dos techniples d'%n&agement et d'irrigation ccznpa.tiUli~z :zr5 : :,
dessalement et le drainage des sols salés. S~agiss‘ant de lt&udc dc! l:,:qec;
phytosanitaire des variétés de canne à sucre intkoduites, un prototol:. :iac;c-C
entre ltI.S.R,A. et la C.S.S. a abouti à la mise sur pied depuis b:eni.?t dcL.2
itns d'une ante$ne de quarantaine 9;o C.H.R.A. de Bembey,
DC.&~ la région, les recherches enmatière d'espèces foxzr<';;iihec )i ,
été essenti.ell&nent menées à Guédé par le projet PNoIWAMMVS do 1:;~: :roh
Agronaaiqe pti, à pa&r d'introduction a r&ss$ à constituer une CJ:::&& :
de réf&encc dBesp&ces pranettcwes.

@lOi@G 1CS tW%Ki~GS C-t ~JE&&iyX dC prG&l&iOX rù&nt à mctkrc a~ p~j II,, .1
est d'ores et d4jà possible d'utiliser 10s r&ul.t~ts obtenus :
- à SCXQXUOZX PC~: 1~ Laboratoire National d'E;Lovage et d; Rc i, .; a...\\b-
V&tQrinairvs ~OUI~ la production de fourrwcs dans le E~s-1 3':
- $i C*N.R.L do Bcembey SUT sol dior paur la productial C:C I IL."~ +:.
su sol di&i par rspersion.
1 -3oVINS t A pdrt d6s missions dc pros?wtions et dtcnqubtos (miss; n: :: J
permis d'-voir WR id6e des probl~os de l'&Lovage dzms 1:; &$On) E CXUY 2 I( l
cherche dc Pan&e onver~urc en matière dc production anima10 n'c, <t; eni :C~?I .sic
dans la r&$an. Cependant, à partir dos résultats d: recherches obtc;?11; ,c 0 F!
Laboratoire .EJational dfELevzq2 ct de Rdchorchos kti&inairGs à Song.lk:~+'CJ ,..u;T
tout 10 Contre âc'Ethra (recherches poti&wt sur 1: rGproducti.an, la ~.&lc,:t,i(~.,
ltalimentatian, lf3wage d-s vwux ot lfhy@ène des troupeaux) il c:;t p~sdble
dtcnvisager dos expérimcntntions d'adaptztion drues lu r&$caz notûmmc:?t lx3 :czt
d'ateliers d'oabauchc et de production laitiére ks& sur l'utllisat.,.o;l IL: îr7.
turcs fourragkos et des sous-prockits de rdcolte et agm-i&ustricl;, D?~E c ucli:
2XéCS sur cs enp&tcs 6pidkniologiques (Bilharzioge animlo, Bruceli..,se ,k:z II;,
nminants) et suc des tests do digootibilité do oortrins fourrages (I~rac*..;;ia
nutica notament) sont en cours dans la r6gicm par le Laboratoire N;t:.ior 3 ( &
levage et de Re@erchos Vétérinaires.
2"uvINSRr*NS
CC dmaine 1~s seules actions de rochercho ont éto l,rltl !g +i ,::
au Centre de D&z. Q'n pzo,r;rmme de recherche à b&tir à parti2 des y..~$.: :c 1~
Centra et CLW de certainas pays du Saho tels que le &Q.i, et le Ri;.,r d*;%':; ,
production dos ovins et cap3zi.1~~ &XL~ 7‘
I~~a~!boriculture frui.ti&re
plus trait& en lfp;mnt pauvrc'l par la recherche bans le vouloir d,ar.r, la I ::,m II.,
quoique certainos uctious aient déjà 6té entrepri$aS en matière d'ir:'.rG~..L&m
d'atigtmes, dattiers et espèces fruitières.
l-AGRU4.W: Il convient de oitcr ;
- les essais d'introductions dfcspèces fruitières d;sn.s lb ~~~'2
des jardina d'Et?;t (ex ; Jardin d'essais de $3~ & Sabt;-Lr i.9:
/
-1os vergers de Diourbel
- les rechercheo sur 1x3 qyxmes entrgprisos par 1~IF.K ::n 1; u;.:? .
t4nie.
2 - JJ,A~W ; dans ce donaine, les :zcplis nms viennent des travxz de :E .i ;L*
&m cntropris par 1'I.F.A.C. B Karikos~ en kuritanio.
VI -QWXKZIOH~PQBESTIZRFS
Il oonvicnt tout d'zbord de sigmJ.er que les pniplcuent:. f3U:x ;i, YL
nztureln de la vallée du fcrlo ont fait l'objet de nmbreusea dtudez Ç'i q;r .
taire.
& matière dc: rochcrches sylvicolcs, les travaux de rebczstn;:qtL
expérimentaux erkrepris par le C.T.3.T. à Ross-B&hio ont pc~~& de dQ$i.d:
10s techniques $c pkntatian ~11 sec et d'idcntier des esp&s parva~t fo r ;
du boiS de sGrvicu ou du cmbustiblc st adzwpt&es ;QX sols lourds (~1 St c ( j
dos variétés dfl&ocllyptus an provenance du Nord-aest de l*AuStx%lj.~~ )

lb matière dlaction de reboisaneat à ~~LU%C échelle, 2~ sig+Qm
les deux opér;ttious de plantation autour des fomges en oours 3MQiddi cL
.
Tatki.
$*agiasmt du gusGer, le service national des &ux ot Fc&;;
entreprend des essais do comportemont de divcrsos souches àM'Biddi &J 3 '.e
cadre d~unp;l-ojct'CRDI.
Signalons enfin q9.m vaste progmme de recherche sur les )x '-'
ductions forestières dms le bassin du fleuve Sénégal vient drdtrc 4l-?t 1: _I
par 1'I.S.R.A. & la demande du Rwt CanmissariS;t de l'O.?,LTJ.S. tititu-(
dam
--, m.. 1 '.
VII"
$a division Pdche et Pisciculture du C.T.F.T. a entrepis dz.,
la rkgion des études axaes sur ;
-le potentiel halieutique de la Basse Vallée et sur In bio.c$e
des principales espèces g ceci qyant pemis do proposer ~1.1 igf'
.un soh&ua d*a&x~ment halieutibc du Bas&$né~.
-10s imxidenccs do l'~m&nagement &ydroagricole du bassin dl éu
gai (effet des barrages) sur le potentiel halicutiqe di : '1-u;
.
- des oncgEtea stntistiquos en vue.d'une ~eilleuro connnissx:o
de la pro&otion pisoicole de lq vallée.
s'@sSWt des poissons d'eau douce, un progmume de rech~x:k~.
Emrleur écologie s-Ulescoursmoyen
et inférieur du fleuve S&nSgal p.2 lc
laboratoire de Zoologie-Reohcrchcs Piscicoles &U Dépc&anmt do Xolo,-l, ni
nale de la F&ulté des Sciencoa do 1'Univemit~ dc Dz&ar est oil cours.
Ipn raison des imidcnces néfastes &LS deux bzrro.@s sur 1: :,COCL. a
tiel halieutiwe (notamment c8t6 Sénégal), les actions dc recherohc 8. erltre-
prendre à l*&onir dans la r&ion devraient Itye focalisées SU 10s é'>u, c: i
pranotion et 'de développment dc la peche continentalo (Etudes des po;s;itla-
lit&, misc ‘au point des techniqxs d'e&nagement des lacs et étm@, s ;l;c-
tion des ospÈicas ûdaptées à la pisciaalture). Tsn projet de progzmne de zz-
cherche a &a 3uboré dans CL‘ sens.

LEFi ACQJIS FNMATIBEDESY@!F&QB
DZ PROUJCTICN E.Q D'EKPLOITATICH
Los acguis on mati.&rc de riziculture irrigués d'hivarnago ct
saison sèche chaude (contre-saison) et en matièxc de culture do divorsir":
tion (bit:, sorgho) ont servi de bas<, à 1s mise au point dans la r&on il;
tknes de prodtiction suivants : riz d'hiv
a'p+d; (d:ble ~iziculture an.~~~~~~~
ale
2 on secho froide, riz d%ivernage
-
-
-
-
froide.
Ces syst&os do production ne peuvent évidemment btro introd~.its
dans les périm&tros hydroagricales de la région ~ple moyennant des di::ponibii-
lit& en eau douce toute l~annéo (c'est le cas du périmètre de IJiangn ct des
périmètres villageois créis actuellaricnt par la S.A,&D,).
S%gisaant dos syst&cs de protiction basés soit sur u:l ris r !hi-
vcrn~ago suivi 'd'un riz ou de tomate do saison skhe froide, les Btudos 81 pou.,-
suivent paur la mise‘au point dos variétés et dos tochniqucs culturclv:.: /
:.a~-
t&3s.
Si~alons égalancnt pl.kn progremme dc rcchercho est en-tropr!s dea
puis le début dü cette année par le ccntro I.S.R.A. de Richard~cill an c.Jls-
boration avec 'llC.R.S.T.O.&l. axQ sur t
-J.e diagnostic dos systèmes de -procJuction ot de culture do I..
S.A.E.D. (idcntificntion des facteurs fcvorables et dos c.o;l..
traintos tins le procossus de production, hiérarchisation Ye
facteurs limitant le rendwxnt des cultures, évaluation Uc!..,:.ctis
44
- la modtslisation et l'évaluation do nouveaux syst&ncs de g?.cSc-
'tien (propositions de modifioations dans les ayst&mes de p'.:o-
duction irri@s et dtimplontatio$ de nouveaux systèmes :=d-:l>tCa
au milieu (physiqw et humain) ot répo:ldant aux objectifs :x&o
n~~~dc? dévoloppomcnt et S la technicit6 des producteurs,
La mise au point de systèncs de production dans CO dcmaine S'~po-
se la maitrisa préalable des fnctcurs de production (vi*riot&, fumurc, t.c.ohni:L.
CuMJrcles, adsalement et rotations). Les recherches sont en cours s~1r 1:) sto
tion du Fanatye dopuis biont$t d.-rux ans a;-ées sur les études dc prkédontu ~1
tuzaux et les rotations.
1.3 -
Ekî vue de la mise au point d'un systkne de production et d;ci;?loi
tation & pr&ni.ser pour la r&Usation du projet %ED do mise en vi-lwx ,-le
100 ~I,G de sol,sableux bordant la vallée du Lsmpsar (projet dit Di~b.3 ,
l'I.S.X,A, cor@lit depuis 1975 WI: sa station de EfDiol dtis c%udcs C&~L sw
la mod:ILisctiçP1 d'un systkne dr roduotian fe&lialo bas6 sur dos ck&..l-.:
d%ive,w (mil ossentiell,xe:lt j on rotation &CC aes cultures mzidclr:&~~:~ e
i.xxig@iot-~ pm? aspersion (tanato, oignon, panme de terre, haricot, pal&.\\
_ _ .-
. --
. -*
. . -

les &udcs &o+vent se poursuivre on t
- canbinmt système de production sur aol sableux avec ce'iuj
sur cuvette argileuse (riziculturo d)kiivernage et ao?-c :a~-
=%a4
+.nt~~ant l'animal au sein de l'exploitation pour la UC!.~;: -.
sation des sous~roduits de rljoolto,
w en testant le modble mis Cxu point en station en mili.2u pa;Tx?.
4 matière de systàne de production intensive de fw-rr,zgr> 01:. ir-
ri& GP sein: des pkimètres hydroagricoles de la S.A.E.D. 2xlcLlrx! ch.Yk? I 'a
été oratrepriso 8. ce jour, Seul. un projet d'étude de la production 1.2 cT&.ture
fwragkro d,a&s le ferlo autour dos forages ~7, &6 élaboré avec coninc ;~t::~ctu:-:
d'ewkution ld station de recherches zootechniques de Dahra.
Dans ce domaine las r&g.Ci,tats dos &udes réalis6es de ?3: 1') 'no.ni:
devraient pehettrc la mise en place dans la r&ion do systèmes dc ~rcdi~-~ia~
oxpiirimenta~pour1 'adaptation des tcchn.i.oues et 1'4tudo de 1-î rcntn%iji%é.
-
I
f&&.que aes rcchomhes dans cc danaine n'cicnt pas $tC entF:;risW
dw la r@ic@, des acquis tistcnt au niveau national grhco aux tra-Cxx: du
Laboratoire &tional d'Eleva,-e et de Recherchas VOt&inairos (à SE&T!~;.% et
Dahra) ot du ;C.M.R.A. de Bçembey et portant sur :
7 la conduite dtctcliersd~ombcx&x3 et de troupeeuX d'tlev-*g>
/ bovin, ovin et wprin
3 la mise au point de rations.
si les oomqssances tcchrLi.~c s sont suffisantes pcxlr coxovoir et i:wtXlel?
des ateliors,d'unbouche cxpérimcntaur dans la rGgion, uno strat&$e en m :Q.8?k
de produotiq animale est à definir pour ln r&$on du FlwVT: et lc zrno ;-?.v: v
pastorale. q est unanime à penser .?2 ce sujet quton mati&re de IJrcduc;i? bc-
b
vine 1~ fer10 doit Etre yno zone de naissa,w ot 1s valléu du fleure ix:.~ "(X~C
de r&lovage par dostockage dos jeunes voeux produits dans le fer20.
III -m D'ZPLOITATION
$09 étudos entreprises à ce jax dans cc danaine par l'IFdi-2' -6;
1'I.S.R.A montrent que 1es mod&lcs d'exploitation sont non CC%~L~& "6~1 ;';icl.
& système dç produ&icm rchrru mais aussi et surtout du type de c-.&&s :;icr!
et de 1'orgarFusaCion dos producteurs (parcelles collectives (~1 px~c~l~~~s in-
divi&Uséc$). Les études oo poursuivent,
-8 ". " '.. .-I_,, "_ ._ .