y$ REPUBLlQUE+SENEGAL MIYISTERE DU ...
y$
REPUBLlQUE+SENEGAL
MIYISTERE DU DE\\‘ELpPPEhfENT RURAL CTW 4az
ET DE L’HYDRA#LIQUE
A530
&~~PORT ANNUEL
I
1992
r
BP 240, SblNT-LOUIS, -I&l : 61-17-51, F A X : (221)-61-18-27

AVANT -
P R O P O S
Créée en
1991 suite
à la restructuration de l'ISRA, la
Direction des R cherches
sur les Cultures et Systémes
Irrigués
(DRCSI) a pour mandat,
l'étude des systémes de production en
zones
irriguee
et
la mise
au point de technologies qui '
permettent un
production
durable
tout en
sauvegardant
l'environnement
Pour ce faire trois
programmes de recherche ont
été mis en plat
.
.
1).
Recherches sur la Gestion des Ressources Naturelles et des
Systemes d
Production. Ce programme, domicilié au Centre de
Recherches Agricoles de Saint-Louis, regroupe des programmes
de l'ancie
Département
Systémes : Chimie et
Fertilité des
Sols, Hy raulique
agricole,
Machinisme
Agricole et
Technologi
Post-Récolte, Systèmes de Production.
2).
Recherches
sur
les
Cultures
Irriguées. Ce
programme,
domicilié
également au
Centre de Recherches Agricoles de
Saint-Loui I regroupe l'es programmes Maïs,
Riz et Sorgho de
l'ancienne
Direction des Recherches sur les Productions
Végétales
DRPV).
3).
Recherches
sur les Cultures Horticoles.
Ce programme est
domicilié
au Centre pour le Développement de 1'Horticulture
(CDH) et s'est
substitué à . l'ancien programme Cultures
Maraîcheres qui
relev$ait
de l'ancienne Direction
des
Recherchesjsur les Productions Végétales.
L'année
1992 a donc tété pour
les
trois programmes de
recherche
une 'annee de tr(ansition
fortement marquée par une
profonde réflexion sur la cohérence globale des programmes et la
recherche de mé danismes
pouvant assurer une pluridisciplinarité
dans la démarch
de chaque programme.

ii
Les
recherches
dont a hérité la DRCSI ont été conduites
pendant une p criode variable suivant les programmes, ce qui se
reflète sur leur état d'avancement et par voie de consequence sur
leurs acquis fespectifs.
L'objet #u présent rapport est de présenter les activités de
recherche
me ées
Q
en 1992 par les
différents programmes de la
Direction des/Recherches sur les Cultures et Systèmes Irrigues.
Le Directeur des Recherches
Dr. Jean-Pierre NDIAYE

S O M M A I R E
Pages
i
PREMIERE PAITIE :
I
OGRAMME GESTION DES RESSOURCES
TURE&,Llj$ ET DES SYSTEMES DE
a
1,
i
INTf%ODUCTION
II, ACiTIONS DE RECBERCHE MENEES
E
1
2.3. O$zration Gestion de l'eau
1
2.11.1. Objectifs
1
2.11.2. Principaux résultats
2
Conduite de l'irrigation
2
des cultures de contre-
saison sur sol Fondé
irr) .
Essai d'irrigation du mil
2
pendant la contre-saison
chaude
c).
Conduite de l'irrigation
des cultures d'hivernage
sur sol Fonde
d).
Tests d'asperseurs & la
Station de Ndiol
e).
Conduite de l'irrigation des
cultures de contre-saison sur
sol Fonde

f)*
Conduite de l'irrigation de la
tomate sur sol Diéri
9).
Collecte de données climatiques
de la Station de Ndiol
l-1) .
Collecte de données pluviométri-
ques de vingt Stations de la
région Nord
2 1.3. Or,ientations
f
2.2. c ération Systèmes de production
-7
2 2.1. Organisation du travail en double
7
riziculture mécanisée
2 2.2. Organisations paysannes et
10
irrigation privée
2
11
t 2.3. Performance de la gestion paysanne
2+ 2.4. Systèmes 'de production de la Vallée
(PODOR)
2f 2.5. Gestion des ressources naturelles
12
par les Communautés Rurales
2 2.6. Organisations Paysannes Fédératives
12
’ F
2.3. c ération Machiinisme Agricole et
13
7. chnologie post-rkcolte
2 3.1. Objectifs
13
2
14
7
._a e 2.
Activités menaes
2 3.3. iiésultaLts
14
L 3.4. Conclusion
16
2.4. c ération Gestion de,r Sols
18
2 4 ,< 1. Objectifs
18
2 4 . 2 . rb+3ta3d3
18

a).
Réponse des cultures aux
18
équilibres NPK
b).
Etude comparative de l'efficacité
19
de la fumure minérale et organo-
minérale
c) .
Etude diagnostique de la fertilité
20
des sols des pr5rimcitres du Delta
du fleuve Sénégal
4.3. cork'lusion
f
20
E”ROGRAl!
M E C U L T U R E S
X RR X C’XJI
1. I?HUTQTEC 3NIE DU RIZ
22
22
1.2. Gtuide du calage du cycle au calendrier
22
cui'tural et Evaluation du rendement
j
1
Conclusion
24
II.
PBYTOTE'CHNIE DU SORGHO
24
i
2.1. Feltlisation minérale
25
i
2.2. Mcc)e et densité de semis
25
2.3. cor/lc usion
26
1x1, CULTU ES DE DIVBRSIFICATION
26
3. 1 . S&ison des pluies
26
3 .2 . Siison sèche fraîche 1992-1993
27
7ib

IV”
SELECT1 N DU RIZ
29
3.1. Tnkroduction
29
l
4.2. Mat rie1 et méthodes
30
1
i
r
ci 1.
Matériel végétal
30
/ 1)).
Méthodes
30
//!
3.3. RBsi~ltats
31
4.4. Di.S'/ ussion et conclusion
32
l
33
.
5.1. Xas:/emblement,
étude et conservation
34
5 ,2 . Crédtion de composites complémentaires
34
!
!.Y; T 3 1 Condaissance du matériel végétal
34
/
VI,
AGROPHY+OLOGIE DU MAIS
35
/
6.1. Esscis d'irrigation différentielle
i
37
i
6.2. Tol 'rance aux foreurs
37
7
6.3. Evol!ution de l'humidité du grain
37
6.4. E~tud~ du comportement variétal en station
38
l
6.5. J?vnl/rration des variétés en milieu paysan
38
7.1. Dyna ique des principaux lépidoptères
38
a
rava eurs

7.2. Me .re des pertes de rendement dûes aux
40
ra
geurs
Site et dispositif expérimental
40
b)
Analyse des dégâts et impact sur
41
I.e rendement
‘7.3. Et
le du comportement variétale
43
dU
lais vis a vis des foreurs
‘7.4. su ri phytosanitaire en milieu paysan
43
YIIP,SITUA'
ON DE LA LUTTE CONTRE LES
MAUVA. )ES HERBES DANS LES RIZIERES
IRRIG1
:ES DE LA VALLEE DU FLEffVE
SENEG,
ïi=ROGRA
[ME C U L T U R E S
HORT I c bLES
.
1 NTROD ZTION
47
1ATION SOLANACEES À FRUITS
48
1 . 1 . 1. Sélection pour l'amélioration de la
48
productivité et de la qualité de la
t o m a t e i n d u s t r i e l l e
1.
2. Criblage pour la résistance aux
48
Méloidogyne spp sur tomate
1.
3. Mise au point d'une formule de
48
fertilisation plus économique pour
la culture de la tomate en sol
argilo-limoneux
1.
4. Evaluation de nouvelles variétés de
49
tomate destinée à la transformation
industrielle (Vallée du fleuve)
1.
5. Renouvellement des lots de semences
49
de piment de type "petit funt"
1. . 6. Production de semences des variétés
50
de tomate et de jaxatu destinées aux
essais en milieu paysan

ifJld I>I J,IACEES ET GOMBO
50
Jpuration de la variété Violet de
50
(;almi (oignon)
Sélection Yaakar x Viloet de Galmi
50
(oignon)
Sélection massale intra-yaakar
(oignon)
51
13valuation des composantes du
51
rendement d'une culture d'oignon
Recherche de procédés de
52
fertilisation permettant de lutter
contre le développement de
la maladie des racines roses
(Pyrenochaeta terrestris) sur oignon
Recherche d'une densité de plantation
53
optimale pour une production maximum
en présence de la maladie des racines
roses (oignon)
Etude de l'influence des pratiques
53
culturales sur le développement de
la maladie des racines roses en
culture d'oignon
Evaluation de variétés d'oignon rouge
54
Introduction et évaluation de
54
variétes d'ail
‘j,
2 I 10. J4ultj.plication et complément de
54
descri,ption de 11 nouveaux génotypes
de gombo
'EKATJ ON RACINES ET TUBERCULES
55
$1
.:> / 3.1 I
Evaluation de clones de pommes de
55
terre adaptés à la chaleur
li * 3 * 2 .
Evaluation du comportement de
56
nouvelles variétés commerciales
de pomme de terre
et mise au point" de
57
techniques de protec:Lion contre la
Leigne de la pomme de terre et le
Rfiysoctonia
s
o
l
a
n
i

1.4 . Multiplication de génotypes adaptés
5 8
aux conditions de culture sous
températures élevées
i;i 5
.L. Evaluation en milieu paysan de
5 8
varié-tés de patate douce S&ec-
tionnées pour leur rendement élev4
ek leur adaptabilité large
i .6 . Evaluation en milieu paysan de
5 9
variétés de manioc
IRATIOJ4 ARBORICULTURE FRUITIERE
\\INT-LOUIS)
6 0
‘41.1. Station de Ndiol
6 0
J.#Ll..l.
Agrumes
6 0
i
1.3.1.2.
Bana:niers
6 2
1
1 _/ 4 . 1 . 3 .
Autres fruits
6 2
/
l1
.
j ;1.2. JaJ:din d'essais - Sor Saint-Louis
6 3
l
1 i$.2.1..
Activités de production de plants
6 3
lp4.2.2.
Plantation de vergers
6 4
1~4.3. Uiversification, associations
6 5
i
/
culturales
i iI 4 r 4 . Appui am développement
6 6
i
i i 4.4 il 1 , Installation de vergers 21 BANG0
6 6
1
l /, 4 . 4 . 2 . Inskallation d'une bananeraie
6 6
1.i 4-d-3,
6 7
1
Organisation d'une journée de
/
rencontre avec les paysans
i EHATION DEFENSE DES CULTURES
6 7
1. .5.1 . Virologie
6 7
i
:li.5*1.1.
Pirnen t
6 7
/
IL 5. 1.. 2.
Tomate
6 7

69
/
1 *i;j.?.l.
Contriile des nématodes par
69
i
cultures associées
l
3
/
. 51. 3 * Entomologie
69
1
1.!y. 1" 7 *
Incidence des dégâts de la
69
/
l
mineuse sur le rendement des
cultures de haricot et de
i
t
tomate dans les conditions
1
du Sénégal
3 . 5;. 3. 2.
La dynamique des populations
70
de I&:iomvza trifolii
1 r,: -4 3
'. " Y- - * *
Les stratégies de lutte contre
70
I
Liriorny
- - -
trifolii
j
A'I'XON GESTIC1N DE L'EXPLOITATION
71
1 f Gestion de l'exploitation horticole
71
Cadre g&&ral
Suivi du marché légumier dans la
71
région de Dakar
Comparaison entre le Skxtégal et
72
ses concurrents sur le marché
i
international horticole
. ;! . Economie de la production
72
maraîchère
/
1 ~ ‘) . ;‘. .1 .
Position du probleme
72
i
1. . q . 2 . 2 .
Approche méthodologique
72
l
1 . (1 . 3 . E-tude des possibilités de
74
i
l
transformation des produits
i
horticoles
l
:RATION PREVULVARISATION-FORMATIO?f
74
. i . Formation et information
74
/.' 7. 3s Demonstration
75
/

RAPPORTS,
77
UTIONS SCIE~NTIFIQUES
PRflGRFM ?if< CUJ,TIJRE$ HORTICOLES
83
f
IONS, ATEL#IERS, SEMINAIRES,
83
ONTRES INTERNATIONALES,
CES D'ETUDE
SOL~.OCITATIONS~ AU NIVEAU NATIONAL
84
85
ON MULTILATERALE
85
ON INTERNATIONALES
85
ONGi
86
STWJCTURES ET ORGANISMES NATIONAUX
86
i
SO+TES PRIVEES
86
87
MOUifEMENT DU PERSONNEL
87

ME GESTION DES RESSOURCE
99
LES ET DES SYSTEMES DE
Fr;, REUNIONS INTERNES
89
93
AUX SEMINAIRES,
93
94
95
95
l
CULTURES IRRIGUEES
96
REUNIONS
96
97
98
99
UVEMENT DE PERSONNEL
100
101
STRATION, FINANCES
103

GRAMME GESTION DES
OURCES NATURELLES
EB
TEMES DE PRODUCTION
i

Ixmc
de Recherches
sur la GESTION DES RESSOURCES
SYSTEMES DE PRODUCTION
est
le ,résultat de la
rogrammes Syspro-Fleuve,
Hydraulique,
Gestion des
ni. me
agricole.L'année
1992 a été une phase de
quée par
une profonde
réflexion sur la
coherence
rogramme
malgré la
reconduction des
anciens
c)pérations
de recherche, et
par la
recherche de
dc
mécanismes pour developper de maniére efficace
e;l equipes interdisciplinaires.
ix11 des moyens mis en oeuvre l'Équipe de recherche a
par l'arrivee d'un zooéconomiste
mais elle a connu
e qui concerne le machinisme agricole.
.
f3i, t. .i. f s ~1~2
l'opération de recherche pour
la vallée
ude
de la gestion et
l'économie de l'eau dans les
agements hydraagricoles.
ude pour les différents types de sol, de meilleures
t .I ons culturales qui valorisent l'eau d'irrigation.

dt? 1'4 r~riyntion des cultures de
contres saison
~1. fond65
Les ess-is ont éte
réalisés à la Station de Fanaye pendant
P
1i-i cont.rc
s(3ison
1991/'1992
et portaient
sur
les espèces
suiviintcs : Ii&.
f-rarioté Jaya), tomate
(variété Rossol) oignon
f i'oL- i ,Li-& ic',o; C_b.p!. (j-2 f-&,.i.fr$j. ) et pomme de terre (variété
cl' !3 i L.nllC3 ) .
!
d'irrigation par gravite ont été testées pour la
roeme
d'apport d'eau. Les
essais comportaient quatre
repétitions.
L ! infl~u'ence d'une
variation des doses d'irrigation sur le
i
rendc:rnenz II ':a éto
observée que sur
la culture du riz, mais de
t
f iii, 01-t
rlloinc'L1
aiarquée par
rapport à
la campagne d'hivernage
preccdcr! te. i;Tas rendements obtenus
pour les autres cultures sont
i
faible; et zjcraient
dûs en partie
aux conditions difficiles de
Io~r ~nlse
place-: et à l'inadaptation de certaines d'entre elles
terre à ce type de
sol.
Ce t
ec’s;ii
a
éte réalisé
à Thiago en collaboration avec
19 .
Saliou
IANGAR , Agronome au C.N.R.A. de Bambey.
Le but de
4
l'essai étcli;t la détermination de la meilleure combinaison
entre
deux fréquei ces et
deux doses d'irrigation par gravité pour la
i
cill-bure du
(~~~iKi~b5 !ifm x PI L S). L'essai comportait quatre
répétitions
2

i
L'analyse e
la variante sur
le rendement en grain montre
idde différence significative (P = 0,05) entre les
mais le
meilleur résultat a été obtenu par
fois par
semaine à la dose égale CI 75 % des
b5:soi.m en eau
e la culture.
l
f- I’
c;.?:icfr i : :3 4s)
7 'irrigation des cultures
d'hivernage sur
SQ F E1 or\\<l6
/
Lct;
e 5 5; a .;' 2.;
0a.t été
realisés à
la Station de Fanaye en
I~iti~rririg~ ek pi rraient
sur les espèces suivantes :
riz (varibté
1
,i: Lt;f*13 1, rmïs {j+ b :t:t 6 Esrly Thaï ) et sorgho (variété CE 151-262).
Trois dod se d'irrigation par gravité ont été testées pour la
m&ne f-requencei d'apport d'eau. Les essais comportaient quatre
répétitions.
j Les
essais
ont
subi
d'importants
dégâts
psincipalemerd~
les cultures de
maïs et sorgho
suite aux fortes
i
p l u i e s d’Aoû-t
t Septembre. La variation des doses d'irrigation
r
est corr&lee p sitivcment 2 celle des rendements
pour la culture
t
du riz.
ce qu"
confirme les résultats
antérieurs. Les volumes
P
d'eau apylj.quép pour
l'ensemble des cultures sont beaucoup plus
faibles que pr/kédemment.
1 : ,z$;skli ci '5té
réalise sur du matériel nouvellement acquis
'1
&ms lu cadre ;dc? la réhabilitation des installations hydrauliques
(te la Station be Ndiol. (I
/1
Le
bL.klr
/de
l'essai etait de déterminer
l'efficience des
dsperseurs et l'uniformité de
l'irrigation par aspersion suivant
cli f fer ente:; cr nditions d'utilisation.
!
3

j
seuss sont d.u type R B46AW Havecunebusede
sont montés soit sur un traîneau
de 70 cm
rat3 tmu Leur s
o
i

‘-sur’ trépied1 de 2 m de hauteur.
t
L‘3
Kt?SC?t3
d' irrigation
comprend
cinq
antennes et
chaque
1
cliliionn2 est. cc'1stittlee
d'un système de vannes plus un manometre
1
5 u i *J si e 5
de d.qK
hui”c
sorties espacées
tous
les 12 m pour le
i ~Kançfi~elnent
&s
asperseurs.
Les tests
ont
consistés à faire
J'onci;ionnes
tc s les asperseurs d'une même antenne à une pression
r
cior11~0c .y-mdan t 1 i;rn temps déterminé et à recueillir la pluviométrie
dU
prerÏ!ier
et! d u
dernier asperseur dans des récipients placés
i
:;uivart un
maillage de
3 m x 3 m autour de l'asperseur pour
i
L:ouvri I-
'un C&C~. e dont
le rayon
est supérieur à la portée de
/
!. ' asperseur .
t
.
%'rois prcjssions ont é-té testées : 3,0 ; 3,5 et 4,0 kg/cm2 et
/
deux mai 1 les ~j'irrigation
ont été reconstituées
: 12 m x 12 m
l
et 12 m x 9 m.i
J<e;;
valt\\ur-; üe I'efficience de l'asperseur sur trepied sont
pI.lis LaiSlos ~lu~z celles de
l'asperseur sur traîneau et dépassent
!
5 peiile 50
!&J t;;e
qui veut dire
que pres de 50 % du débit de
1
1.! r cispcx seur
:c
OUI
trépied
sont
perdus' par
évaporation et
~-r:i~a~.nemen-t
gouttelettes par le vent entre le trajet buse de
1 ' nspc?rseur e
surface du sal.
!&!S
mei /leures valeurs de
l'efficience sont
obtenues sur
i'aspcrseur &.jtr,aîneau à la pression en tête d'antenne de 3,0
i
2 m ~'9 m a la pression en tête d'antenne de 3,0 kg/m2.
4

5; (J I’_ î,(l! fondé
LPL: essa?s sont réali,sés a la Station de Fanaye pendant la
ctmt1.e
sais01I 1992/1993 et portent sur les
espéces suivantes :
i CJIR?l Le
(Il;~r‘i~~ ;I:;:;.li;; !%XI-: VF), Oignon (varj-dté Red Créole) et riz
es d'irrigation
par gravite
sont testées pour la
d'irrigation. Les essais sont en cours.
.
à ].a Station de Ndiol pendant la contre
saison
1992/'!993 et porte
sur
l'etude de deux
fréquences
i
d ' i il i'js'tior, #l:z- aspersion sur la culture de tomate (variété Roma
I
VF ) .
L'essai ks"i en cours.
t
I
l
Li:.:; dorw.c!es climatiques de la Station météo ont été relevées
l
Crcii; tL!.is &Gxl jmtr, Les principaux résultats sont présentés dans
?.c r;~p;~~-t~

1'Opération de Recherche.
ne de contre saison froide est caracterisée par une
rrraique moyenne
égale à
22,2 "C,
une
vitesse
mcq ei1l-l~ 1 -j ü u rn lierre du vent de 1,9 m/sec et une évaporation piche
liére de 10,6 mm.
5

Celle de i la contre saison
chaude est caractérisée par une
l
(amplitude t:he?mique moyenne égale A 20,s "C, une vitesse moyenne
1
journ;rli~rc
I du vent de 2,8 m/sec et une évaporation piche
1
Celle d /hi vernage est
caractérisée par
une
amplitude
Lhermique
m'ytrnne
égale à
15,2 "C,
une
vitesse
moyenne
:
jo:lrn;nl iGre di p -ien-t de 2,2m/sec et une
evaporation piche moyenne
journalière dc 6,O mm.
l
i
i'C?S donn ?t?S
t
recueillies auprès de 1'Inspection Régionale de
I t Ayr i.c.uJ. turc; d;3
Snint-Louis sont
présentées
dans le rapport
ljntllyI:ique de/ !. 'Opération de Recherche.
l
L f hivern g2 13?2
a démarré
pendant la
deuxieme decade de
Ju i 1. .l et avec
ec; pluviom&tries variables suivant les stations. Il
1
;; ' (2s t
poursupJi avec
des périodes de
sécheresse principalement
clans les
de Dagana
et Podor jusqu'au
début de la
troisième dec de d'Août.
L ’ année 119 9 2 mont 3-e un
déficit pluviométrique important par
rapport à celle de 1.991.
! I. 1 <, 3 .
CJri~ntations
Po 'rsuite des essais
sur la
conduite de
l'irrigation
"i
de$ cultures en station (Ndiol et Fanaye).
1
I
des
données
climatiques disponibles
de la
ré ion Nord.
i

: )C‘ 1 3. (3 tle ’ !.a cmtre saison
chaude est caractérisée par une
: '[ii ,l. j ! :pjp khr~m iqiuc moyenne égale à 20 , 5 "C, une vitesse moyenne
j~~t~r.n~~l~ j C:i.&:
' du vent de
2,8 m/sec et une évaporation piche
woyenne journblièrc de 10, 6 mm.
1
i
Cc~1 Ic drhi.vernage
est
caractérisée par
une
amplitude
1~hcrmique
mi3yenne
égale à
15,2 "C,
une
vitesse
moyenne
-journal i ére d
vent de 2,2!m/sec et une
évaporation piche moyenne
journalière d
6,0 mm.
i
:,;
<Y!?? ,f.i:;;!:i: 11c
dOll~~t?eS pl u~.ri.ombtriques de vinqt Statinns
1
(1~ I.G .r&~ion Nord
1
LtI? 5 cIonn %ts recueillies auprès de 1'Inspection Régionale de
1
i ’ rlgriculture: de
Saint-Louis sont présentées
dans le rapport
analyi-.i.yue de 1 'Opération de Recherche.
ge 19!?2 a démarré
pendant la
deuxième décade de
:rt: i 1 12 :, ciucc tics pluviométries variables suivant les stations. Il
‘.. t i, c‘ c-
I .i .<L 1.
poursupi avec
des périodes de
skheresse principalement
da:~, ! es dépa
et Podor jusqu'au début de la
troiçiéme déc
L '
l
dIIi'1CC
j1992 montre un
déficit pluviométrique important par
t
Puu/rs~ite des essais
sur la
conduite de
1 'irrigation
des/ cultures en station (Ndiol et Fanaye).
1
.
/
Syn~thèse
des
données
climatiques disponibles
de la
ré ion Nord.
i
l
6
l

rage de l'étude de 1.a conception et la gestion des
gements privés.
rage de l'appui à la
Gestion de l'Eau des
gements transférés.
recherche
initiees
en 1991 se
sont
prévues en
1992.
Les deux
premières
1-e
courant de l'année
I-993 ; alors qu'il
est
prévu _j. ' cxteus OFI des autres actions.
1
i

.’
‘1, jll‘“‘j.:;:lLL«1L dt::
:- cava II.. en dauùle riniculture
m& xn.isCe
.
L-,s j
i
activ't&s menées ont couvert les points suivants :
Relebi! des
calendriers culturaux par parcelle
sur les
amén gements de
Thiagar et Diawar,
1
t5 des performances des
moissonneuses-batteuses et
eurs utili&s sur ces amenagements,
/
Nise' au point
d'un modele de ressuyage des sols après
ge dans le cadre d'un essai conjoint avec I'ADRAO,
suivi de deux stations
en parcelles paysannes
re-saison chaude et hivernage),
i
Eval'ation de la qualit& du paddy récolté
en fonction
r
de
il- 'organisation des
chantiers
de rkolte (contre-
chaude et hivernage),
ce des processus de
prise de décision collectifs
paysannes) et individuels,

Ela oration
d'u.n
Système
Interactif d'aide
L
à la
7
Déc'sion (SIAD) adapté au thème étudié.
1
l'analyse des
résultats sur l'aménagement de
d'occupation du sol de 122 % en
1991 et 148 %
(‘II 199;1, l-7
c,crsble
i
culture parait s'être développée
avec succès
i'11T t--P
_ -
site .j Une
analyse
des calendriers de travaux montre
,
cependant que !les paysans n'ont
pu respecter leurs objectifs de
swnis rl'hi.ver Ji
age avant le 15 a0û.t: 20% des superficies emblavées
C!Iit-: étb
sem&s
Ci apres cette date en 1991,
80% en 1992. Ces semis
t iartli fr, oi,t
ftavorisé une baisse des
rendements de 800 a 1800
kg,/ha ji? r
i
rapport
aux parcelles en
simple culture.
Sans une
pl uvi omi;tri c
'.Faible chaque
année en
juillet-août,
les risques
cl ' b?chei:
i
étaient: memc importants.Les problèmes rencontrés par les
paysans sont ce plusieurs ordres :
:
*
/
*
“$‘(.:~-l?,$ ; rp;r> 1 :
il
apparait globalement
que
les différents
l
i !Iti>rvcn;Xn ts
ht une
mauvaise maîtrise
technique des
élements
doiiii i 1 s
o n t; .l a
responsabilité. Les
récoltes sont declenchées
./
tardivement, R 1 'échelle
de l'aménagement parce que
l'on attend
1 a
maturi
t é
jdes
dernieres parcelles
semées,
individuellement
p a r cc
que la f plupart des
agriculteurs calent
les vidanges de
leurs parcelles sur les panicules tardives, Une grande partie du
l
paddy est réccjltke & sur-maturité,
d'autant que les performances
quotidiennes xioycnnes des
moissonneuses-batteuses sont
faibles:
dc 3
A 4 ha
ar
jour travaillé, de 1,5 à 3 ha en incluant les
i
jours 31031 utilisés pour
causes de pannes, repos ou
travaux hors
de 1 ' amenagemqnl.
~,a nréparation du sol est plus rapide: de 6,5 à
9.5 ha par jordr travaillé, 4,0 à 7,2 ha par jour calendaire. Mais
I ?S
p<tysans attendent géneralement la fin de toutes les récoltes
1‘.
g"'i!Ir dhTEIrrf?r il offset, d'où des pertes de temps supplémentaires.
T*a tri tC:?S?f?
dei m i s e
en eau est
également lente (de 15 jours h
-1. i 0 f s
Semaine/s quelle que soit la superficie emblavée): ceci est
.
1 i é. i? 1 a
et l'entretien de
l'aménagement. La variété
(7 s-3
, q;:'c" :'
(A:i.wu) est peu appréciée des paysans, qui
l
8

IL!.~ prél:&elltj 3 il Jaya, vari@té de cycle moyen dont l'utilisation
:-Ii conLre--sai on chaude réclame des dates de
semis précoces (ler
E~VI:i“I.f . Lc
ystème actuellement pratiqué (Aiwu en contre-saison
1
3'd i"$ip_ de Jaya
en hivernage) favorise par
ailleurs les mélanges
variétaux.
3: I{t ,(j,IrLll;li.:.~lkjl j:
la double culture souffre des dysfonctionnements
i
ou inadaptati'ns de la
filière rizicole en matière de crédit et
P
ccjinirte.rcjai:isat:ion.
i
Elle s'intègre
mal aux
stratégies actuelles
des
dg.Cicult&urs,
qui
visent
essentiellement à agrandir
les
gées et se fondent sur
un système "deux cultures -
ageant un certain nombre de facteurs de production
(t.au, m;.mjri& I capital), les agriculteurs doivent travailler et
y é 1-i-3 3, cilsembi~e . L'organisation en place est complexe car il y a
rnulf;ipl.;c.ii:& des niveaux et centres
de décision (Union des GIE,
villages, cm', individus) qui tous interfèrent plus ou moins dans
1
ïc? dt?rcïulcmer't des opérations.
Cette dépendance a paradoxalement
1
pour corollaijre une autonomie certaine des individus
et GIE, qui
peuvent
ndo'tcr des stratégies contradictoires. Dans ce contexte
d i f f i c i l e ,
lts organisations paysannes rencontrent des problèmes
important- 1ce coordinnation,
alors que
les decisions prises
doivent êtrt'
le
fruit d'un consensus visant
8 préserver
1
l. ’ harmonie
de l'ensemble, et
particulièrement des
v i l l a g e s .
i
9:
CtigI3 LLi.i ; :
l'anticipation des événements,
base de toute
programmatior', pose problème aux
responsables. On peut y voir
t perception particulière du temps, mais également la
difficUlt&
leur
ensemble
la complexité des
relat.ions
opérations,
milieu
naturel, et
envirohrkemen
socio-.économique.
L'étroitesse
des
réseaux
d r échanges
t-t
d'informations est
également un
obstacle h
l.'enj.ichisserteut dos processus d'apprentissage.
t
9

nnr
1- _. .7
;~11-c&na.t7~~~3
techniques existent en matière de variétés
f.: 11 de d a t e li
i
CT+2 semis, de rnodalités de récolte et de préparation
(1 [j T 0 1 . Xta:i s 1 iE.1.n ef Ficacite
et leur transfert supposent,
outre
!CZ
bon
1.
fonctjionnemcjnt: de
la filière
rizicole,
l'élaboration
i pe 3 la décision adaptés
et capables de faire
!s acteurs
vers
une
meilleure
maîtrise de leur
STAD actuellement
testé va dans ce sens.
Il est
/x modules:
le premier, conçu en collaboration avec
ED-KU Leuven et I'ORSTOM, permet de prévoir la date
e parcelle
sera récoltable (mûre
et portante) en
a variété,
de la date de semis et de vidange. Le
scr le
logiciel OTELO mis au point
par l'INRA-SAD
: il permet de modéliser les règles, indicateurs et
ilisés par les paysans en matière d'organisation du
batir de nouveaux à partir d'innovations techniques
onnelles, et d'en évaluer la pertinence par rapport
dr)nné et
plusieurs scénarios climatiques.
Le but
t pas d'offrir une solution toute faite au problème
stimuler
la réflexion des acteurs autour de leurs
s des problèmes et des actions qui en découlent. Ce
s t.é
pour la première
fois
avec
les paysans de
dc 1~1 préparation de la récolte de contre-saison et
tien de l'hivernage 1993.
technico-oconornique a été poursuivi en 1992 sur six
e Une
synthèse de ces
deux années de suivi a été
d'une conférence internationale (Le Gal, 1992b).
Depuis 3 989,
18.000 ha ont
été
aménages par des GIE
~:amiliaux ou 1 rivés.
Dans le même
temps la Caisse Nationale de
Grëdit
Agricc 162
du Sénégal a vu
ses
encours
augmentés à 5
Ml
1991, m#ai.s titis taux de remboursement diminues
I 500. Les rbsultats economiques observés sur notre
10

i~chant i..1 1 on la .ssertt penser que ces dysfonctionnements du systeme
f
bancaire
Son/t a
rapprocher de ce développement
rapide et
1 3.r gcmen t-
i.ncfzmtrôl&
de l'irrigation privee dans le Delta du
f 1 euvc
Sénéga!l ,
En effet les
rendements
moyens
obtenus sont
Ioibles (de I ' brdre de 3,4 t/ha) pour un niveau des charges éleve
(245.000 Fcfabha), conduisant à un coût de production du paddy
(75 Fcfa/kg) pkoche du prix officiel actuel (85 Fcfa/kg).
C?S
mauv is résultats
b
s'expliquent
d'abord par
la taille
importante de
attributinons
foncières
ramenées 23 la main-
d'oeuvre
qui
rend
difficile la
maîtrise de
d. ' enherbement
la fertilisation. De plus
les amt-nagements,
installes à
oindre coût (environs 50.000 Fcfa/ha hors moto-
nt des conditions
défavorables a la
riziculture
nce de planage
et de réseau de drainage). Enfin
J ~"3 paysit,ns 3~
tendance à négliger les dates optimales de semis,
~-:'cxp~s~:~~~t:
._
à Czs pertes de production par sur-maturité des grains
(
ou stérilité. ,
Les cayric lteurs
ont en fait profite de la conjonction de
~:lusiw..lJ.~
facteurs
favorables pour
mettre en
oeuvre
des
~
:.; L. K a t: c 3 i e $3
:1 * ,;!x. ~~Up3 L ion
dEJ
l'espace, extensives
malgré leurs
<:()Ci ts a -e s..! v 6 s . ic<.- fi-,
1.e contexte physique et
économique du Delta,
l
{w'(A$; s t t‘;1 kéc, j,cs' Te^ so?lt pas durables et soulignent les limites des
llroduc tcura
E!fl
matic?re de
gestion
technico-économique.
Si le
&?veloppcment ,dc 1"irrigation privée reste
a l'ordre du jour, il
impliquera
urie
meilleure
définition de
l'organisation des
filières
agi,icoles,
l'amélioration de la
qualité
des
ménage.rnents,
Iet. l'intégration des producteurs
dans un reseau de
conse j. 1
efficace.
Celui-ci
devra
être
alimenté
par des
i IPIlova t i uns et/ des methodes d'aide % la décision adaptées.
a débute pendant
la contre‘saison
1991. Elle
d l'Eau et le fonctionnement des G.I.E.
11

__
5; u 113 i
de
la Gestion de l'Eau
dans
le perimetre de
/
Thiabar ;
--
tes sur les stratégies
des G.I.E.
de Thiagar par
à leur
environnement durant
les périodes de
, battage ;
s S(I poursuivent. Les resultats des suivis sont en
cours d'exploi ation.
I.;, _S'.'
~>..,
ZilCjU
t e s ont été réalisées depuis Février
1992. Elles
Ct.>l\\C119. nc;it
3 c
villages de Donaye et Diatar.
L'exploitation
pi'u-;Jis:-i 1-Q i-(-.s
rksul. tats
a permis de mettre en évidence
les
~;~'rxm.i i,ut?s
12i.-rationnel. 1.es t-r@%
diversifiées.
La saisie et
1 ‘ mal y33
sont en cours _)
ressources natu r-elles
par les
Ce.[ _ t-c
. .
t.x-Jzp.lête a
démarré
en 1991.
Les
résultats ont été
i
trai-tciis
tf t
iilysés. Ils
ont
fait
l'objet d'une Animation
.T’
Scientifique
llo 16 Juin et d'une restitution auprès des Conseils
i
.
Ruraux ri du [Sous-.-Préfet, un rapport
de recherche a été rédige
Los
#' t-! ii agnos t i c 'l
des Organisations
Paysannes
?.
Fédératives s
poursuivent.
12

iérç? typologie a été
faite et soumise a
des
Organisations
Paysannes.
Des
enquêtes
sont.
en
cours.
iJne
base
de donnees a été
~::onr;tamment
consultée
par
les
Organisations
i.cole et Technologie Post-
d'étudier des solutions et
pondant à aux conditions de culture dans la vallée
e des résultat-s et acquis :
&ter et mettre
à jour périodiquement
les données
ico-économiques
sur la
mécanisation dans la
e.
er
des
al-ternatives
techniques
(types de
3. 62 1 s i
techniques d'entretien des aménagements,
*
.L I ..plE! s
culturales et de récolte) dans les cuvettes
L diéri;
er 1 es
organisations paysannes et les
privés qui
ris en charge les travaux agricoles mécanisés;
:. et:
identifier des matériels *et des
techniques
gcoises et semi-industrielles de transformation du
dans une optique "qualité".
13

s ,
appui s,
analyses
technico-economiques
des
rentes formes
de gestion de la mécanisation: au
u des
Vill#ages de Diawar,
Thiagar,
Ndiaténe,
i Ndombo, Thiago sur
les tracteurs, moissonneuses
I.lSES,
batteuses et rizeries ;
sement
de lmateriels
agricoles et
de pompage:
onneuses
batteuses,
batteuses,
tracteurs,
tiqueurs, moulins et rizeries ;
c; de
la chaine de mesures du CEEMAT: en traction
1. i? (en partisculier
avec le projet buffles)
et en
isation dans I.e delta, à Bambey et à Djibélor ;
2i;s obtenus sont les suivants :
zures
connaissances
des
expériences
de
isation dans la vallée du fleuve ;
caution d'outils d'aide à la décision et de conseil
les
études
de
projets
d'équipements
snisations paysannes et de privés ;
jt2t.s de fiches
techniques sur la motorisation dans
1. :1 CE! : crodit, performances techniques et
ni yues ;
.xgrammes
de calcul, à
l'aide de macros SOUS
,3Ellc: { f7ab‘J.eus),
des performances et des prix de
zt de
l'utilisation des
matériels
agricoles
SéS
dans la
vallée:
tracteurs et
matériels
t
14

ci ’ ;7Cjcf~rtp~lgneJ~enl~ //
moissonneuses
batteuses, batteuses,
/
tfécojrl- iqucuses,
rizeries,
groupes
motopompes
(voir
1 istle des documentés) .
J
w i.sc/ au point
d'une méthodologie
d'enquêtes sur les
t>qriiipernen t 5
agricoles dans la vallée : élaboration des
20 rm"ulaires,
traitement
et analyses
informatisés des
donIii&tcs
avec
LISA (Logiciel
Intégré de Statistiques
au point par le CIRAD/SAR) ;
.
~rciilcjc t. i on
CjQ
nombreux
documents
techniques
(voir
biblkcigraphie)
et
préparation
d'un
projet
!? ' i.r:/pl anlrakion de mini-rizeries
en collaboration
avec
le CIRAD/SAR ;
1. .~y~l.t ‘Jie iles structures
*@alisant les prestations en
1
i:~;~c;~jtj.é
. _
sab:ion et
evalua-tion des
performances et
de la
"
t
Ije3!jir;:i des materiels en conditions réelles ;
t
l
üéI:c-~rrriinat i.on
des besoins en formation pour la gestion
-19 lia mécanisation par les paysans et les privés.
c.1 al--1 or-atiou d'une méthodologie de
suivi et d'appui aux
org-.irli sations
paysannes
et
aux
privés
équipés en
L1
agricole de motorisation :
; fc/r-riiations theoriques
et pratiques des
responsables
conducteurs; appuis et besoins ultérieurs ;
;k
-1
c ul.vis
technique
et économique
réalisés
par les
responsables; en cours, essais de
la chaine de mesures
<lu C/EENAT en appui aux mesures des performances des
mtqri els g,muT-
rendre
p 1. us
fiables
les prises des
goJlr 6e.ç
SUI.
1135
temps de
travaux,
valider
les
)-
~:uilrjonm~aC i on6 r
fi? t
pour
évaluer
certains
éléments
ir;rpcs:5:lbles (7 estimer
avec les
methodes classiques :
l

rbx.i
. .
:;::ar~c:.~ abs ;I r-bée, D . . Avec
le Technicien
supérieur qui a
reçu
une
fr)rmatiori complémentaire en
France
sur
cette
chaine de
ri!csurf- i
l'opé~/ation
machinisme benéficie
d'un savoir-faire
sur
son utilisati 1n à consolider ;
3: r<stitutions e,t discussions des résultats avec les
I',,-s -uivi/s montren-t que les conditions économiques du marché
des prc?statior s de service en
mécanisation sont favorables, mais
/
.i 1s forrt ~ressc rtir
une gestion approximative des
producteurs et
r'?e faibles
/
performances pour les moissonneuses.
13s donnies recueillies
ont permis d'organiser des
seances
l. 1 "
I:C.S: i -i u t ~ic. TX et de formation à l'attention des organisations
~*:~~/:~~~I:~l~?:1
t-ir 11. ' *
j 1pee.s ,
et
ont
permi s
d'élaborer
les premières
;?:(>l; tlj.s-^y<
de
ifiches
techniques
et des programmes de calcul
/
19 hi li sables p~pIr
les
projets d'équipement.
Ils doivent être
~,oursv.iTïis cwi ? 'analyse technico-econamique doit non seulement
<? j-y-) :11: I 1‘ A d^c, : clonnées pratiques pour
le crédit agricole et
les
/
~~rxXI1~C tcu 1-c;
:rnais
aussi
mettre en
exergue
les
goulots
I T ’ p-z. !; 5’ ~T1C‘l 1. ::i[gfzy\\ t
-,
c;ui peuvent être traduits en thèmes de recherche.
/
~!;r puursl//ite de ces suivis se justifie d'autant plus que les
c1urrd.i tiens actuelles qui ont
permis une rentabilité aisée de la
tro"Loriiation /
ronnaissent
des perspectives
d'evolution. Avec la
r1Cmbl.E c:ul ::u?~-f I # le temps de travail pour une machine sera réduit.
I,a baisse du
:prix du paddy envisagée et
du coût des prestations
(1 p_ scrviCc,?S 1i d-t-elle
remettre en
cause
la rentabilité des
@quipemments rgricoles motorisés ?
i
1, ,Y1
préc- rité de
la situation économique
actuelle
rend
priori tai res Il e s
activités
sur
la transformation
et la
~:ornrn~r!..:iaI jsat icm du paddy.
C’est ce
qui justifie la
rédaction
16

CIXIAD/SAR et
GATJTNIER (constructeur de
rrzirlirizerif-s). 1
/
la filière de transformation
prévues sur d'autres opérations
le maintien du planage et le travail du
discussions
intéressantes avec les
i ,- 1
b i* 1'6~0. akion rapide du parc de matériels agricoles, il est
t
;ii~ic:p~r~saf~lts :
de mettre
2 jour les
enquêtes. Il est difficile
r? ' <ri. Z.r!i tld.l.f2
EL;
objectifs de
suivi
sans la
connaissance du
/
con~tex cc.
i
i, 1.1:.: ;;U~S II; étant
vers+ dans l'art de reproduire ce qu'ils
f
:.zii t
12 I-1 <
il

C.I?SZI
souhaitable de
faire des tests et
des
,
: :sb;pij'2,;r;
t
'
'x- .i Cl :, i.U.i;. T
3~: ncuveaux matériels et d'itinéraires techniques.
:'(>\\;ï C',.? 1 <J iC& t
_ .s
programme doit
se doter de
moyens matériels
mais
(.' :::-; y ;.
<y:'_
f0 :ItI:-lt i Oi!
compl6mentaire pour
son personnel. D'une
/
:ii21i.i c.$z..i
xs-&n& i( 'i
-. r'
-. "
l'kquipement des
programmes de mécanisation
t
~i~i.i:y'ifzs. _yJcJi; 2. .::lpr,
ce qui géne
considerablement leur mise en
i
L xeiiv
I
?Y6-. i r.,:.it - 1. .i i C‘
prevoir dans les budgets
d'investissement de
1 T Ii 1'13 t: i t. 11 t: ?
Lpt;tl j s :i
morliSicai:ion du boitier de connexion, la chaine de
iiiex;*i~ c ' :-! s +c 1: avérée: beaucoup plus
opérationnelle. Les résultats
i
ijb i.c>ïlQ.:
-- .,
::;()~~tI f-y& encourageants:
des mesures qui nécessitaient
J
iiilt$ L3iJ:itcl.iilC ri
t rvai 1.
peuvent maintenant être effectuées
en une
F
.jLfsJXilt’*2 Ci'.'CC '
l.,lik63 p1U.C
grande précision. Elle permet aussi de
&Ile"-
u u-r-e
" ;'
:;.imu L tan&ment
plusieurs
paramètres (vitesse,
effort,
il~irlsrJm!rId I iori , / sotat:i.on,
profondeur, -..)
et de tirer
des
IF.. .__
jIjteL;:.di.ite)lls ':*u d~-s
corrélations. Les résultats
obtenus pendant
i. *:A I: k,:J
pii;ic;e. l-trks c~:périmentale
doivent être Confirmés lors des
1
6: :; 6,i <-
. i c, Kl. I:i-riF'm SU~ la base de protocoles bien éléborés. Il est
17

ilaborationç avec les autres opérations machinisme
ces :
Bamhey, Djibélor,
Kaolack,
SAED,'DFRD,
FED
lffles, ORSTOM.
principal de
l'étude de la fertilité des sols et
;ation des cultures est
la mise
au point de
Les de fumure minérale pour un
certain nombre de
tant compte aussi bien des différences variétales,
:+doclimatiq:ues
que de moyens dont disposent les
Delta et de la Vallée du Fleuve Sénegal.
c .3-
rappo -t
présente
également
les principaux
résultats
i
ol>l;t‘rzuc;
en lx@I dans l'étude comparative des apports d'éléments
Ialinnradx SCUlS~ (PS,
l', K) .
ou combinés avec
un enfouissement de
m3ti&re organi ue (fumier,
paille de
riz, cendre de paille de
k
1:iz) * Ci2 i;te 12-t Ide
comparative initiee egalement
en 1990 a pour
1
modes de fertilisation
minérale et/ou
de maintenir
voire d'am6liorer la
ici til i L6 initIale des sols Hollalde sous culture intensive.
E!iL i Il
,y+
rapport rend
compte des enseignements tires de
i
1 'kLudc? diayn
tique sur la fertilité des sols des périm&tres du
Delta du fleu
Sénégal.
L,<l
ure expérimentale
utilisée dans chacune de ces
.:. e Li k.5
g.> :;, s ;t-.
1rmenL decr2te dans un rapport analytique (Ndiaye,
1993).
L ’ 1$ tilde
‘sur
la fertilisation des
cultures intéresse un
c:e.r ii,+ i ïl ncmbrci de
speculations : riz
(varietés D12-519, 1 Kong
18

pour la Moyenne Vallée ; Variétés IR 64, IR 3941 et
12 Delta, maïs (variétés
IRAT 81 et Volga pour la
e>,
Sorgho
(variété CE
151-262 pour la Moyenne
i!r oiclnon (variété Jaune de Valence pour la Moyenne
des
rendements obtenus
avec
chaque
culture et
.Lesti:e et pour les différentes saisons de
culture
chaude
et. hivernage
1992)
des
fonctions de
été calcul&es en même
temps que les isoquantes de
:Jurbes
de
rendement
égal
pour
différentes
d'azote, de phosphore et
de potassium)
et les
LIE-S C~C? moindres coûts pour un rapport de prix donné
J &lGments f1ertilisants). A partir de ces
surfaces
~1 second degrtii.
il est possible de faire
un calcul
s
q économique pour identifier des formules de fumure
-i!:i ;jC:s* ri1 ::
(:o:,jr&.' t:ibl%:; avec
les disponibilités
en trésorerie des
r
.'> (. i
-Sa ,:;.c..:.i. :.~LuL:;
Jr-r Ccl-La et C!c la Moyenne Vallée. Ce travail est en
1
. . . . i: ii-.- ;: ::
'- +.-'
. . .- r-2: ! 'objç:t d'un rapport à paraître ultérieurement.
/
/
i.., C? 13
rr5s/dtats des
differents
essais de
fertilisation
~~:C:.sili~<i!a pin. jl932
ont permis
de mettre en évidence une repense
LCjILjOUL-S
~jC?Sï.
'kive à l'azote
quelle que soit la culture mais des
r~~ponses
vaz'iables
au
phosphore et
au potassium selon les
~-~il-Li;tl.--js f:.L 1-s s;lisons.
On a enregistrg également pour
la même
r
~-~lj-UL~~
différences variétales dans la réponse aux apports
d ' azote, de
hosphore et de potassium.
'_a
~'titrxdr~! 'comparative de
l'efficacité des apports
d'élements
" _
Ill?. ill2L +1UX x.2Ul.iS (N,
p, 10
ou combinés avec
un enfouissement de
ii;c~ti~ri: \\3rga1 ique sous forme
de fumier, de paille de riz, ou de
1
lco i: i 0.d r CL de $Kkille
dc riz est une investigation de longue durée
initiec ch i
lu'90.
19

obtenus a
Fanaye durant la contre-saison
que la combinaison N,,,
E&, KG0 plus 2 tonnes
fumier et
par an
procure le
rendement le plus
:~!:[$:;Via) (p::‘r CJ.b> 7000
kg/ha). La for.mule de fumure
minérale seule
r'~-,r'rl;fullarld~~ç~
I Lr ..‘ 2
i a't
la
Recherche (Nil0 P,, KdO)
s'est
rf5vélée
i
<.' 2 f i. f<: j. :.:x1 t :.: 5; 1.1 f" 1 f.?
rendement (plus de 6000 kg/ha) de la variété
i;:lL',;:
": i
Ii 'i?'-a.it:
pas
statistiquement
différente du meilleur
t:
[. f:- i t;(-y,l~I-t \\: L
(,a-i-:te tendance ne s'est
1
pas par contre maintenue en
11 I v~~rnagc l?d en
raison des
perturbations des
essais liées à
i ! f
I ; n<'j[:clijt
.,.
i irr: bfie:; parc21 1 f?S
exp&rimentales par les eaux
de pluie
du ma fi s cl ’ Aofi-i : .
,;“:::
~CCC::~
_

.-r,.. .t;:~ts
/
de cette étude réalisee
sur les sols les plus
.
-. *_
..!.:L’-*‘..“’
>
.,-::;,; ” 4i i -<.F& Je cer-taifie.s cuvettes du Delta ont mis en évidence
; ! i 1 ': i. r .::; :-;
/I
y~rat..dr! ~rariabil. it&
des propriétés tant physiques que
\\1 ~, *-. : ,Y>
\\..’ ! cz1-i i Fl~?“.~jV.iS
- i
,, 1 ,L 2
3.P ces sol. s . Cette différence dans la richesse
r
) , ,_ i:.i::r:: 1.c.
tic!
c ns
sols liée à
leur
nature pédogénétique
mais
~.'y-f~;1f~~~$--I,~; ;\\ / 1 T"UT
histoire
culturale
doit être prise en
:;, ;.; I iii.1 [ r, i i I-i:1 l
., , d ?flG fa. formul.ation de conseils de fumure minérale.
l
f
i7 y ,,, t: *‘
-.r*tr iation
dÇ?E
propriétés
physiques et
physico-
sur la fertilisation des cultures initiée en 1990
da?-1s
:!. e
Del a
et l a
Moyenne
Vallée du fleuve Sénégal
sont
1
<jJrJ- iT?&lS .f,
i- ~~rrrtne ,~ Les
fo8rmules
de fumure
minérale qui
seront
;.fJeJ-,t i fi Fi.:~::: _,,
r-* ~IWPiF?
i
1 es pï.us
interessantes
économiquement
feront
' ' (?o:j,- 1: t: _J
e:n prévulgarisation durant l'hivernage 1993.
20

i
r-J:.J;in.L .33x * 6 t;u&&
comparatives sur l'efficacité
agronomique
;>;"s:L-‘ rU*ituLC~ ~~l.iilél’c?I.CEI et oryano-minérales initiées en 1990 dans
i 2 iicl 1.;~ fk!- 1 ci! iYoyci1nc Vallh, elles vont être poursuivies encore
pe-~f$an Q .k .rt,i :; ' r-l;; *
En effet, il
est nécessaire de les
conduire
p:~r:&ill z.
GI !
,emps
suffisamment
long pour pouvoir
apprécier
li
i ' C.,iol iitifjii <lu/ sol CC. fonction des
différents traitements mis en
_
r‘i ',ia~nos~t:ic de la fertilité des sols des périmetres
P
SC:i poursuivre en 1993 et d'étendre
aux amhagements
21

IRRIGUEES

c.:ul turc n’ est
possible que si
1 'on dispose de
I productif,
tol.érant au froid et collant bien au
Ira1 proposé.
1 If? froid, Ic_ calendrier cultural suivant a f5té
JLiiuon (1’ h i v e r n a g e :
l'epoque de semis s'étend de
3 a :L 6 t : n
sèc.li1.e :
l'epoque de semis s'étend du 1"'
LiarL;.
Ce.s dernières
annees, on a
observé un
i.r:mt .,
La p&.ciode froide s'étend de mi-décembre à
.
:re~~t C:PI cause le calendrier cultural proposé et
.:d
t; .I OU~l eb‘ w-le
vari.&t&
relativement
precoce et
' d. ; ?.ions changeantes de La saison sèche.
ne;:> ~~;ariCtés largement diffusées comme IKP, JAYA,
AriIwu < ce
calendrier cultural
proposé en
saison
pas ;S leur cycle vegetatif.
1 t étude est
de
trouver parmi
les variétés
_: ; ,.~ -
: L.
t-t .I. cl y,t.J ri 1. i i 2. i; ..: ,
-x1
cojiditi0n.c; de
saison
sèche et de saison des
&J i I*i(r>S ‘
i,:,>s v!;izi&tés plastiques, présentant une bonne régularité
L .:: -3:ç.n de!n:;1 t
i
e,i-: aptes à la double culture.
L ilA:.:,& C c té ixnp] anté à Fanayc- à 3 dates -de semis en contre
.;
i
:. ci A 2 '_ ;;Iij Li ic'l;e i 21'
interwallc de 15
jours (12 mars, 27 mars, 10
x231 il ) I
/
22

785 - 58 - 1
422 - 75 - 3
210 - 108 - 2
4’ - 86 - 2
357 - 133 - 3
:; ._. TH q”’ - 680 - 3
?; : ,J’~.
.__-
([ :. ! *:y<:yJw 4: *
I,w varietci?s les plus tardives sont
Jaya et IR
1 Ti.~..--hri,O--3" DC!llS
lf3s
conditions
climatiques
actuelles de la

7 .~
i 2:;
r;arj.:;.t&:

:Les
plus plastiques sont ,Jaya, IR 1529-680-3,
t1, IR 3941-86-2 ;
: Cornptc dc la
régularité du rendement et
du cycle
! au calendrier cultural les variétés IR 13240-108-2
-2 semblent les plus interessantes.
IX k:
ClCS
resultats
obtenus
que
les
conditions
r:l.imat sont diffici les & maîtriser.
ne
s'arrête pas en
mi-février, mais
se prolonge
iiiciI‘S
débuts
*avril, ce
qui
remet en
cause le
7 turn1
qui recommande
de semer a partir de mi-
t .îix ,
la variété reste
l'élément déterminant pour
de la
double
culture et
son
choix doit
:me $i t reposer sur le cycle et le rendement.
p&riinentatio3?s
ont
por,té
sur
l'étude
de la
aînérale et sur le mode et la densité de semis. Ces
CIlf3 suite à ceux conduits ~II. 90 et 91.
axttage de levée dans les
essais'conduits à Fanaye a
w-t: faible
\\du fait des inondations
survenues juste
se
24

.r :C)i 5;
c oses
d'azotfe (0,80 et 160 Unités/ha) et 3 doses
f
(1 1 ac;idc piios horiqun (0,35 et 70), soit 9 traitements ont t-té mis
Ls3 potasse était apportée en
quantité constante
!
‘$lJ$S

1 es
parametres notés,
seuls
les rendements en
t
;c~rle et en poids
de grains montrent des différences
3s entre les traitements.
iemcnt
moyen est de 4,l
t/ha
avec
la meilleure
nnregistrce dans la parcelle ayant reçue 160-35-70
,e rendement
le plus faible
a eté de 2,8 t dans le
1.
!i tcrtier1ts
ont été
mis en
comparaison :
écartement
tc 60 ou 80 et sur le rang de 15-25 ou 30. Le semis a
:oi,t à plat, soit sur térasses, soit sur billons.
li a
souffert des inondations qui ont entrainé une
‘uLX de germination et un retard à la floraison.
/
pst de 3,5 t/ha. Le rendement le plus
observé sur les parcelles avec semis r3.
s rendements les plus faibles (2,7 t/ha)
C?;i c 0 Lé CrbhL nus 3vec semis 0 plat
(0,60 x 0,30) ou sur terrasses
(a,80 x 0,3f).
25

i.i.ons
diff fici les
de la
campagne
ont permis de
;j:rand~~ plasticité
du
sorgho qui
avait éte très
: inontlationr;
en début de cycle.
i- 311 semis ont entrainé un allongement du cycle ce
! 3:~~5hilit& de cette plante à la photopériode.
<+ 2,
an
essai a été mis en
place à Fanaye sur sol
.
L'objectif de
cet essai est
la mise au point de
~ralea intensives,
à base de
maïs irrigué
et de
diver~;ifica%ion
élVE!C
culture
sur
billons et
la raie.
Sur huit
traitements prévus,
trois ont
il1
ma.Is précoce de saison des pluies. La saison
:5 avancbe, un hybride precoce le Déa a été choisi.
1 CT:E c0ntrari.i.e par
plusieurs inondations de la
des défauts de drainage.
.c:elles de 200 m2,
cultivees pendant la saison des
ii 'r? cz
bonrle idée de
l'héterogenéité du terrain et
i:e tlrainage. Le rendement
moyen de maïs grain est
.vec
un C.V. de 35.3% ; le
plus mauvais rendement
:g/ha et
Il-. meilleur de 3760.
Deux groupes de
c:t.inguent assez; nettement : celles qui se drainent
~:.n (r~endi-ments de 3580 2. 3760 kg/ha) et celles qui
(rendements de
1260 à 1845 kg/ha). Le mauvais
cadui t p a r
les densith
les plus faibles h la
' 2 563 i;eulonlent dc:
In densité théorique au semis
t./h,.% avec resemis des
manquants dans les 10 jours
2 6

i ; sur
les
parcelles sans problème important de
G
dens i -tés finales varient
entre 80 et 99 % de la
llique m
T,'analyse de
détail
permet de
montrer sur
,sant:e5 du rendement & influe l'engorgement.
;Ses
traitements ont
démarre avec du maïs hybride
:FA ) scmo le 21 Octobre 1992 et récolté le 17 Février
parcelles de 200
111 2 ainsi cultivées permettent de
:i 1
connaissance
.
de l'hetérogenéité
du sol
et de
rl . Le
rendement moyen
est de 3020 kg/ha, avec un
J"O. id. mortalité en cours
de culture a éte tres
.é les resemis effectués en
début de culture : pieds
35. contraire mal arrosés
selon leur position sur les
':ICr&gularit~! de ces
derniers, attaques de termites,
L‘
LI
e 'k cassés. , A#
Par rappor't à
la densité de semis
31
hectare) la
densité finale
à la
récolte (pieds
rje entre 53% et 85% . Compte tenu du poids de grain
26 réCOl ta,
:Le rendement potentiel est de 7760 kg/ha.
un gros problème a résoudre: quelle est la raison de
de densit& et
comment y remédier?
Là aussi une
1.1 s
fine
sera
effectuée
pour
mieux
comprendre
n du rendement. L'analyse
granulométrique du sol des
113: lm
de profondeur) est
en cours, de
même
que
profils et
des
principales
caractéristiques
f:ln
de mieux
cerner
les conditions d'alimentation
sL?rvE! en
eau utile,
infiltration et ressuyage). Il
s maintenant que les
sols "fondés-diéri" ne sont pas
s plus favorables
au point de vue
diversification :
f ripparal t
qu'en
dessous de 70 à 80 cm, sans aucun
des5u.s 1 e sol peut etre très
lourd, très compact
le.
::roi.S premiers traitements, des'cultures maraîchères
ai: m2ïs
Déa ce saison des pluies : 'tomate (Romitel)
1 fr.+L
dz Calmi) et
patate douce.
Les pépinières de
27

: . . . ,-;+-r,-
* S.?/i \\-.“. I /_/ et c~‘ciignons ont 6te semees le 15 octobre. Les repiquages
t”i:
-i- cJiast 28
/
-
:t:t. d'oignons ont eu lieu
respectivement les 17 et 20
7: ..1*. -!l'%!; 'T( L * I,cs boutures de patate douce ont éte mises en terre le
,. ",
.,
(!f. .i*?j;!*:r!; *' J:cs
tomates récoltées hebdomadairement entre
le 26
j i.: :i "i.., ._ _.
;,a<- -j_
/
:'F:
3:i m a r s 1!393 ont donné en
moyenne 28t/ha (sur 4
t , 'L 1. c y;' 7. 1. (.' ,
1
GC? 2OOm'
chacune )
avec un
C.V. de 13,5%
; pas de
3. >
!.' <;r :> .ï “; ;pt;
;nifjcur eXceptées les pertes par pourriture (tomates non
f- : j ;. C,?. .: . c ., c: 1 L..
_.,_ '. _A ~l.~.~mpraz~i dans
les raies)
E!t Le temps
consacre â la
,../:;c*<>‘i fiif .<: ;: c‘,:.
tri , et enfin
les problèmes de conservation.
Les
i : ,; y'-< .if :;
li:.i. t:.; 3 tés
le 30 mars 1993,
ont
donné 22t/ha,
avec un
i..ij:>eF,Ym 1.~; I s-,=it-
&.. _ '~!CA
jlb _ lf;jriation
de 27% : une erreur d'interpretation du
i; !‘:, :.{ ,(::.;1 ..> ( ]ti.r:nc:;
avec des plants sépares
*_.
jumelles sur le billon,
-< 1 ~;;r*;-.;-.i
.-.&..
.;ezit -1.t
de 1.0 e-t de 20 cm sur
la ligne, au lieu de 10 cm
‘,I. >. t 1 17% [ ? : c.>
"."
i-'" !;:.~jne) $3 fait perdre un peu en rendement. On a récolté
'? I. .
I_, ~ \\.: <- ‘3 ~
.-; :..
'ii-! : :.::r.s ;ju m&tre , sur 3. es
lignes avec des plants séparés
('j
1189 g de bulbes au mètre sur
les lignes où
,.
. ~..L,S
C:taiJXlt

SéPi31LéS
de 1Ocm.
Dans
le premier cas, le
.
; j ; .T‘ :;y’ :: .:y ;.
des bulbes cîtait de 7, 3cm et dans le deuxième cas,
sensible pourrait consister à écraser
scparés de 80cm,
et à essayer d'y placer
sur le flan
des bilions et une au milieu, tous
les
s&par&s de 1Ocm. Ainsi,
on arriverait a une densité
qili serait plus proche de
celle préconisée
ecartements de
1 0 x 2 0 ,
en culture à plat).
,w.!._ :! j .t;,l;{<.
?&coltc 9: 'ont posé aucun
problème important et un bon
jm.~>:c:CI~y" I'>Z t *-,
,ac:t
assuré :
de l'ordre de
1 650 000 F CFA par
rencontrés avec
la patate douce sont plus
,; .:!.t(-: ; :J,:::I i
dur!i‘es
de cycle
souvent trop
longues (6
Ic::i L. I-i7a:.:.c
testés à
raison
de 6 sous parcelles par
El2 ) ,
une
tubérisation
parfois
médiocre
allongés) et surtout de tres grosses difficultés
- cl.c . . . . ..,i. -
: .
,'T?'
- L..A'"l~.L ,d/
sc.:r UC sol trop
argileux (et malgré une irrigation
., 7 ,? ; i 1 I ... '.. : *- - '! i
A_ ._. I_. i-1 .!. i2, '2 , ri?i<aie
,s -.
de 2 jours de
rcssuyage). Ce travail a été
;;; I j: !::l !.ict:i SO~I avec le 1C.D.H.
28

6 de criblage (9201, 9202, 9203) sont les premiers
'@SSZliS
de l'opération Génétique et Amélioration
iZ
Irrigue devant permettre
de répondre, à court
kicçupations des producteurs en matière de variétés
delta et la moyenne vallée du fleuve Sénégal.
<:tés
actuellement
diffusées dans la région ne
au besoin
d'intensification de la
riziculture, à
tique de la double culture de riz.
i 11 ne1 1
ement ,
seule
la campagne d'hivernage était
:,E/. 31:. i <T~;l&:! ~
~1~juurd'hui,
l'a disponibilité en eau d'irrigation dans
3. <la :L-&j i (r;;'i I
J; pilès la construction des barrages anti-sel et de
,
1
2. 5 t‘ :!:.Lf;. ;l:J.%'L, dt. Cisma et Manantali respectivement, rend possible la
t
;.ti..sL czi ;-,l.act': d'une seconde culture
dite de contre-saison. Cette
l:ilTl ~I..I.'L-
/
;,a.i3ii;l présen,tc plusieurs
contraintes parmi
lesquelles
. l
k"
.thermique
reste majeure.
En effet,
les basses
;13-.15"C) de l'eau
d'irrigation en début de cycle
:;i?&cpiixKx3
l'allongement
du cycle
végétatif des
CTycle court
diffusées
et/ou en diffusion dans la
n1wrr , KSS, .*.), entraînant ainsi un
décalage dans
:lam de la
l3rincipale campagne,
i.e. la campagne
donc:
prioritairement
fournir aux producteurs, et
I :l. eiJ.rs
dél.ais,
des variétés de riz
rbpondant aux
culture
en
contre-saison,
i.e.
des
variétés
(6 a- 7-t/ha) et
précoces (120 jours au plus),
a froid de debut de cycle.
3 objectif de ces essais de criblage est également la
\\,,srj.etés de riz toujours plus productives que celles
ikütuc; lement
le paysan en
saison humide (JAYA, BG
* " . ‘1 -
29

1 ’ , 7
_ ..J
;*:~i/4-::6~ oilt &ii test&s en comparaison pour leur
-< -:, Ii i' li ,: : x . 'I a
i ~:, L ~~ ; j in essai de criblage initial (AIRPSS-91);
." ; <] r.r< ;3<Ll ii;&; ban $-bss;si d'observation (AIRON-92);
: ,; -1
..I .1 :/:zrvvi&t&; 2x7. essai. de criblage initial (AIRPSS-92).
f
<-
.L 2, I : $2 *;.ci iJ/i:f'.s :;ont des Echantillons des collections mondiales
d&&
i:‘ i ;.;
.i. :c i.-i. CJ UË:
pOUTZ
l e s
années
1991 (AIRPSS-91) et
1992
i
p&~i'S~...fik) 1
c, 'i
011-t
gitr;é fournies par
le Réseau International
c‘:Ez;;~Lc~~L~.;~~ C,5:&t.lque du Riz (INGER) coordonné par L'IRRI. A ces
. .
. .
.‘:
-,
i
2
tz.
(1 -r, +-
Gi& i m p l a n t é s
à la station ISRA de Fanaye en
i.,
.
;,,;‘ .._ .*- ;.: , ^
. -. ,.:<,j!, Je:-:,73 pq7J.J:
1~ criblage initi.al, AIRPSS-91 (semis :
,*, .-.. _, ^
Lt: ..<:. 1; _( '3 2; )
%Q !"
en hi vernage
de la
même
année pour
les
' :_ ; ; : . . . _
; I :. : 0. i -
-
,
p 1 i TiP g !5. - _,c-4 &
7 et AIRON- (semis
: 29 Juillet 1992). Le
:
_ ~ 3.. JC.'. ; "I, ‘."'*.
f ,-Fi '_,.& :.;TcrI
*.-.i
\\-‘5.
i---21 E%;t le même quelles
que soient la saison
:
i,.+Aj,..i ;: L' .‘i,._ , !-JC):? i
c:\\~3cxrne
de ces
variétés, les variables
: : ! ; ,-il 1 \\ i :..
p.'$
&
g [:&
étudikes:
épiaison,
hauteur
de plante,
<.
1' ;.: '.-: _..
./ i
-' .L 1 j _.
. ,
..
:j. ,3 : J 1. JC<:? CJ '?.._
panl.cu3.os: Dar paquet, nombre
d'épillets par
J. ~...:i*cl.l 1 i.' , IO:~:?~CC: (1:: srains (&ill.ets pleins] par panicule, nombre
-, ! I
z i: ;> 2 1 1. c: k-1 : : '7 j. ( C!L; par pan.icule, poids en
grain de 10 panicules,
l
; <;t;;: &, <; ;.<op-.' 1, i J;e ‘
-0.i. ds de. 1000
-
grains, r-ndement par poquet,
n3Wlcmen-t 2 3 ’ 1h e c t a r e .
30

$11 1;
.I_ <.:
g::$i j.leli&re AIRPSS-91 , implantée en contre-saison sèche
/
l":lai
.I
:&z i
i~l1?
f.jCjUi:
noter
'??Je I
pour
ce qui
est de l'objectif
)'r.2wt i.:rri I:;;irr!
i i
+p 1.2 recherche de varietés, au moins, aussi
l
p .-c?d~~c!..i VCS
CJJ. te
i
KONG PAO et
dont
le cycle
semis-maturité
,"> ; j. t .<.; 1 i :; c J: El i. -1: L i , 'ii. t 1 3. .,. 3
'7ication en contre-saison :
.-
‘i^ -g <+- r jm 6, 63 c,
+j;.-.:
épient avant 1 KONG PAO et présentent un rende-
I*i:, X-A i, sl.ipf:T1.\\3lr i .111 rendement: potentiel moyen d'1 KONG PAO ;
i Cv
l
- 13 -~ari&tés épient
en moins de 90 jours,
mais présentent
/
feird~~renl: 1 inférieur
i3U
rendement d'1 KONG PAO.
Quant a
condaire, i.e. la recherche de variétés à cycle
;lussi produ,ctive que la JAYA, nous constatons
que T
/
*
<I
l,j
v; r-et& &
cycle
moyen ont
un
rendement potentiel
si2.pCrirsul. ct.u rcndcment potentiel moyen de la JAYA.
;:
i
c+;- f‘13
%pi:ri&re AIF!C?J-92,
implantée en saison
humide, on
i:
sont plus précoces
que IKP et présentent, en
n-t potentiel supdrieur ;
s à cycle moyen offrent un rendement potentiel
de la JAYA.
p6pini&re MRPSS-92,
implantée en
saison humide,
i
- 1 __ ‘$Ta ritr”Le.r;
& cycle moyen épient avant le Contrôle JAYA et
/_

- 7P
,L. v
vcl rictés à
cycle
moyen fournissent un rendement
(- 7;;
<..,:c;i ij':: ont permis de caractériser les variétes introdui-
,' 8
,. P :_ {; ~!~-xz.:I::~~~ d'examiner la variabilité génétique de leurs ca-
';>.:::-p.r‘ii;t-i iqlJc~$
A
j et enfin, de faire le criblage.
l
c: _i :'
criblage permettent
de répondre,
a court
; c... ,I'!, ::1::-
~12s paysans riziculteurs. Sur ces 423
.:, ;_ 1.‘ j. fil t ,::s ;j :$ ,z
em 1992, 112 ont été retenues et S;on;
‘- +. .i .1,
. __j SA
: ,,; :p ; A *y i
.> _._,_* -..
fZS'j3 L' d'observation en contre-saison 1993.
1
/: y*,. 1 .; L>- i , :r .-. "
il *-- r-7,'
..~ i
. 1 -:' ('Ii sc3rti. romt
seront testées
en essai
rendement
i .
/
_ +*: 1 -:. 11; i 11 -3. .i. :- :-. : j, 1:: f
ilivernagc 1993 puis, en essai multilocal, en
w
c.~~~:~t~.ce-:::a~ aon et; saison humide 1994.
de criblage offrent,
également,
l'opportunité de
<,.i;~ YJ~,;-~:x~ j z;-;r
testées * En effet, pour
chacune d'el-
de donnci‘es mesurées
sur les
caractéristiques
$.:fJ: il:c:-i :Jc$'s
t:c.ls le rendement et ses composantes, le
semis--maturité), la hauteur de plante, la
: cnsibi 1. i il.&
i)u;:
foreurs #de tige,
etc... Le
classement
et le
*- i Tige ttJ(y, \\,;2;, :i.ç;t&s,
._ A
se font suivant une variable (ou combinaison
i
i -
.f., :r;lfr i;&f es ) jugétz
d'impûrtance
- critère(s) de
sélection. Les
1
r"r::Yi i!i..t:.
.; 8 :
1"
-. ‘.. 3 <: '
.., I .- stockées dans
une Banque de Données. On peut y
.c c:;<:~ll-.;. Z‘,
ut moment, notamment, lors
de la mise en place des
* c-j:,? 13 ! 1) ST: ;
récurrents, en vue de la creation
( * ::' j. : rd
>. \\ ; 1 ,;z
le code de l'essai, le libellé du
_ :;.. ;i; .t. ;
_ I _ .I Y<:
5;: /C~C: d&finir le
niveau
d"intensité du caractére
., CI" 1 j:(;- 1:. 1 ;i& j
-qc i 1: appara?tre
la liste de variétes ou lignées
.é:i;~:!&..2:1C A ~3: { 2;) critere( s) (FRAMEWORK 3).

Cz~!:-t-r. ~ICkorcho rie caractérisation
et de création de
Banque
1"e r)(>r?,r,~^f:
SF‘ yx3-ti Fie
pi3r le fait qLl@
la connaissance de la
7, r-j -- j. I?l: j 1 :. .-.t-: qi no'it i que du rnnteriel végétal est un préalable pour
. "7 >< :.j:.n .*,a.
-1 ,-?r' ,;: ,<j:_*,;
/ . c. ghniteucs
devant constituer
la structure de
Lcsi; t .-av;-k.~x d ' amélioration
variétale du maïs ont porté en
'! 9 (3 1 ,
c(3K:jll.e
;Ic?i années
prkédentes,
sur
la création et la
dif fLlSi '3ri
6 ' u,ne
gamme
de
variétés pouvant permettre
aux
;-~gr-iC'rl3 trsuys
1
6.3 la vall.ée (Delta et Moyenne VallBe) d'ajuster
1 QV' :: p 3 ,317. cj<s
culture? en
fonction des aléas
climatiques, de la
I;re:?s i. 3T! pa*Tasitaire et des besoins du marché.
.
'1 -
(1.
c nnaissance
du matériel
végétal
reposant
sur
? 1 ; ;-2 f- ".. .j
~
1. j !T j --;+ t i pn et La hierarchisation des contraintes : dates de
‘-.*,r : II/
i ^ '_ .-' c.4: c 2 l 2s .L.1 du
cycle, durée du cycle, effets
des variations
_ I
:y! .:' t ;:IL; ii I ) r ;y, >ty ;L',l r ^
j
Crr t
de I.a photopériode sur le développement et
1 . . -"<>; ;;y,,-.{;,p>
"
il71~ m,i: 5; et l’&tude des potentialités en fonction de
j.% *
1 a date d.e, sxm/L s :
.
.“{‘3.) t.1 (y 2
!%-t.
dew: composites complémentaires pour
la mise
F,':! r;); rt,r::- (: z :.li,>, ~,chems de sf5lection récurrente réciproque :
~
.j 3 l-cix:,.
7i

+. i410n de variétés et popalations pouvant présenter
. L
1 h i T“r +L; c-: 1;:. 1:
. I
LT~ zone?.
irriguée en
collaboration' étroite avec
les
<: i v !.2 * s
nationaux,
régionaux
et
internationaux :
c TPMYT ,
INRP:, IRAT, etc...
33

J$E!
de 1 a
collection de
maïs locaux
(environ 60
:-i11:+ rc1.7, ) LT ' es t
'_\\
poursuivi en 1992. L'ensemble a été reconduit ou
.x:i: t ipl 7: é CI! /cin6ogami.e
;A a
pendant l'hivernage 1992.
I :c
t l72Viki 1
de reconduction n'aboutit toujours pas aux
-. &.y] p f.<z$j-,-
l mptes suite aux problèmes liés à la mise en place
f ,c~i.i~l 'JC: 3. k:
d'isolement au niveau des stations.
Une
: r.) 1 1.2 t : 0 a
consisterait à effectuer les dites opérations
-q&-:c - I) CL-
.-ti
Bambey et/ou de Nioro.
I : 'f* j3
dj I
f:; éT@r,t.cS
essais
variétaux
en saisons
contrastées,
Ii_- .:+:rf, ,*>,.>'17 ,.
~ .
[d?> ,p,qïr
II_ t,
ox-!t été
identifies sur
la base de leurs
,‘. -.i ;> L' ! f-T> i- jx t ,i çr_l r‘s agronomiques,
précocité et
rendement
entre
.. 1.1, $,: I'Q f . - T-1 <- 5 s:j r .j @S
de croisements entre variétés
et populations
, , . \\.y.c;,*.r, ?I 4. - '- .
i' e ._.._. ~L.r~,c~'.LIV~ i s des différents
pools ont
été effectués dans le
-';><j-rr‘ "--; '! '?II~ oaraetérisation : étude
en valeur propre et valeur
en combinaisor
1 >? r:
7”. :
_^. .,. a, tExlus e n
contre saison froide 1992 sont
testés en
l993"
j
les neuf
parents constituant le composite jaune
et les FI
correspondants croisés c! nouveau selon
chain-cross (croisement en chaîne).
Y!:;. i t:
TJ ,T r
&, > & F,
d'origines et
de cycles différents ont été
';Vi ‘(~);y : ri;,>.;; yy .s /
_‘. _
ii p;
semis
echelonnés
me&uels pendant
12 mois.
-; ;- ': ,-. : t-1 ;: .f- : "1
I? ,l_ _j,
er...,/i +:!ES rest?Itats a permis de mieux comprendre l'effet
.: , .,
1, :
.._
.~[,cy-/-y-',;y:‘
/ , !..ma F: .i~cp.les ( r-r;:I?,I?Crn.i:lir~~s , photopériode et intensité
34

Lx-
1 e
developpement et
la croissance du maïs,
genotype x
date de semis et de répondre aux
date de
semis,
de calage du cycle
et des
des ghotypes à retenir pour
la suite du programme
L varietale.
!CtIifS
de cette operation de recherche sont les
Yi.2r les contraintes qui limitent la productivité du
1 paysan ;
zr fc compsrtement de
diverses variétés : en milieu
;tation ;
ii~r du matkriel tolérant à la sécheresse ;
‘icjr
du matériel tolérant aux foreurs des tiges.
CU 1 rkcapitule les essais qui ont été conduits.
35

s,t:e des essais mis en place en 1992
Gration Agrophysiologie du maïs
--..-----
Contre Sai son froide
Hivernage 92
91/92
--.
-- i-w-.. I
i: S S a Y.
i r r i g a t i o n
11 essai tolerance aux
diffkrentielle
foreurs : commun avec
18 v a r i é t é s
opération entomologie
t e s t é e s +
(40 variétés testées)
sorgho + mil
__-
_.,- .---” ___._- ~-
i
inssaj.
i r r i g a t i o n
d i f f é r e n t i e l l e
1 8 variétk3
t e s t é e s
_-
..I .-.--.---.----
t, > 5 L: .s 2
é v o l u t i o n II,0
3 essais hybrides tempéres
dans le grain
5 essais hybrides tropicaux
notation de la tolerance
!!SSxliS
hybrides
aux foreurs dans ces 8
tempé?&s
essais en relation avec
l'opération entomologie :
160 variétés testées.
Suivi de 15 parcelles en
milieu paysan
essais
varietaux
2 essais variétaux
e s s a i s
va.riétaux
2 essais variétaux
e s s a i s
variktaux
2 essais variétaux
I?-vi d ’ u n e p a r c e l l e s u r
ieri (SOCAS)
36

gation DifSrent iel le
essais irrigation différentielle conduits en 1991
. L'objet d'une sy nthèse détaillée en 93.
l.?ats acquis montrent que pour les 18 variétés
v
* a pas d'interaction génotype-milieu vis a vis de
i la secheresse. C'est-&-dire que sur un gradient
cfe 0 3 5, les variétés testees sont classées selon
ri:hie quelle: que soit l'intensité du stress. Les
3‘1 us ;lroductives en conditions bien iriguées le
i~'-itj.oIIs de stress sévère. Les pentes des courbes
ir c.Tl_ T 2.t. que certaines varietes réagissent plus que
rrigation et valorisent mieux l'eau apportée. Les
7~6~
/ testés se sont comportés mieux que le matériel
a
:ranc:e aiix foreurs
s ont éte condui.ts conjointement avec 1'Opération
* 1, ES~: dans cette opération que sont présentes les
iS.
ution de l'humidité du grain
f de cet essai, déjà conduit.en 90 et en 91 est de
nethode fac:ile et fiable d'appréciation de la
:*C:i ns I 4 notations ont été comparées : dessechement
des
spathes,
évolution du point noir et de
grains.
1 -i- at s obtenus confirment que la notation de la
g1:ail-E;
par le dessèchement des feuilles ou des
i?FtS
i
ES ahle.
Rien que l’essai n’ait pas pu être
z 1rme j Ics resultats montrent que le remplissage
veJ.s 20% d'humidité du grain.
& !;; e
(-JE; f>
3 essais conduits sera réalisée en 1993.
37

.I . en station
P:lace à Fanaye.
saison
froide
plusieurs hybrides
tempérés
I-2 6 et
7 tonnes de grains
alors que
le témoin
uit moins de 4t.
ge plusieurs hybrides tropicaux produisent entre 6
1 Dr::
que l.e témoin Early Thaï produit
entre 5 et
‘.- ‘-’
_ ’ 7
de 1. ' hivernage
15 parcelles paysannes ont éte
1 ,-
2. Cf
région de Podor.
Des
parcelles conduites
dûs
paysans ont étcj! comparees avec des parcelles
i'l?li
itinéraire technique
amélioré (fertilisation,
L
irrigations, variétés améliorées.....).
tatç
détailles
sont repris dans un rapport de
uctivités de 4 à 8,5 tonnes ont été observées avec
ciré et: 3 à 5,5 t avec
le témoin local Early Thaï.
des cultures traditionnelles etaient, dans le même
entre 2 et 3 tonnes.
:iLme
de
recherche en
Entomologie
conduit
en 92
[aart des themes
étudiés en 90
et 91. Les
essais
p.
ont été
effectués
sur les -deux
stations de
t Famye
dVG>C I en plus, un
suivi phytosanitaire
i!icu paysan dans le département de Podor.
38

ment des
insectes
nuisibles
et utiles
a été
la méthode des pièges
à eau
(bacs de couleur
;Y des prospections régulieres, avec pour objectif
QS
résultats
obtenus en
1990 et
1991. La
Les
insectes
nouveaux
est
effectuée
par le
'aunistique et de Taxonomie du CIRAD.
.clvngeurs peu connus
tels que le
Diptère Diopsis
: (' :
inféodée
au
m a ï s ) , e t
les
Hémipteres
2s: i-. ;i
et
E@arc:>sÈ 23
inconspicuus
(dégâts
ainsi eté remarques.
Parmi les insectes utiles,
'v*cd,~ yil:;
sp a
montré une
activité prédatrice à
YZS de lépidoptères et des pucerons.
ment des
insectes
ravageurs et des auxiliaires
larasitoïdes)
a permis la determination de prés de
ou moins inféodes
au maXs. Il a également fait
rtance d'un ,groupe de prédateurs peu connu : les
de la
composition taxonomique
des collectés en
d comme en saison froide).
.’
.L
concerne
les maladies,
Erwinia
chrysanthemi
brovoqué la destruction de près de 20
% des plants
s
de Ndiol (irrigation par
aspersion
sur
sol
fJ fi&
egalement dans
des essais en milieu paysan
.e
POdOlT),
des plants
attaques par
une maladie
i>roùablement due à Vythi.?rm (degâts a la base de la
cadre
d'une
action
thématique
programmee
2%
S;UT
les
phéromones
sexuelles de
Sesamia
.12rrée en 1990), le piégeage à l'aide d'attractifs
cette espèce,
a et6 repris
sùr les stations de
ïliSrE!UX
problèmes
liés
à la formulation de la
,ar&e par 1'INRA) ont empkhé, en 1991, l'obtention
39
Q

(jn,
ré::1.11. ta i:-;
ii1t.6r~ssants.
De p3.us,
le piège
s'est
révélé
!~~~~~CC~:~~~ ~1 !XC? .-ht. i+ract:if v i s - à - v i s d e Plyf.t~i.mnn loreyi, lépidoptère
rl~~fC~1 i ntcur dl1 nwïs (la phéromone est en effet très proche).
/
En
1.9 9 2 , ’ 1. e
système de piegeage a été
amelioré
avec
1 ' i rtstal lcati.on
de
pièges-entonnoirs
de
type BIOSYSTEME,
bien
adapté aux contdi i: i ons
climatiques.
De nombreux M.Loreyi
r
ont été
ninsi c:aptur@c C: (1 hivernage, particulièrement avant la floraison
du maïs.
nt
à
ce
piégeage, un
contrôle
régulier des
aires de
foreurs a
été effectué par
dissection
?
._* , permettant ainsi d'évaluer la densité larvaire
t de connaître la succession parasitaire. Sesamia
?wna sacchari na,
principales espèces rencontrées
ne
fois,
des périodes
d'infestations bien
s1-s ~wtes de rendement- dllc?s aux ravageurs
?t c > c2t &i.spositif expérimental
1 <) 7 -i des pertes globales de rendement en hivernage
c’: ~fEl,rrle cn qi3.i. sov
froide, a
été faite grâce
a l'installation de
p~ircelles :S
Yr 0 i. s n.i.veaux
de protection insecticide dans les
pr-incipales
sta:tions de 1'ISRA : Ndiol et Fanaye.
I
Ce sysWmni est basé
sur l'utilisation d'insecticide binaire
( 30 g/fIa de i:~~~~i~rrnf.Stbrine
+ 300 g/Ha de diméthoate)
en émulsion
concentrée.
Le
d i s p o s i t i f
en
"escalier"
double‘ comprend
trois
traitements (pa!rcelles de 200 m2) :
40

‘r, ‘;‘ i ‘,f~~~p:~ il 1; j? : Parcelle non traitée (témoin) ;
‘r‘-;;j f pp”:‘lr” n :
Programme à 3 applications insecticides (à
30, 45 et 60 jours apres semis) ;
'1‘ ‘ ;: i i s,l;[i“':
%.
1 r *
_. Programme de traitement plafond (granulés
systémiques au semis puis traitement
hebdomadaire h 15 jours apres semis jusqu'a
la réc:olte).
LEGS premI.e:rs résultats basés sur
le dénombrement des plants
:~f:ta~uC?~: font ressortir des différences parfois importantes entre
Ndiol surtout.
1 I t: 11 ~ly:;cs dos degâts et impact sur le rendement
., 7, ï:;ic:uf turc de saison skhe froide
n
froide,
compte
tenu
de la faible pression
es pertes
enregistrées se situent
entre 5 et 10%
nées (évaluation en 90/91 et 91/92) et la localité,
etnents
en général
nettement
superieurs à
ceux
n maximum de 5,2t/ha a même eté enregistré à Fanaye
de 91,'92).
tte pariode, on a constaté
en effet des dégâts peu
levée au
stade 4-5 feuilles du maïs, ce sont
t des
infestations
dues
aux
Thrips et au
~::Iopl;::ra cxigua mais qui ne persistent généralement
dcc 4-5 feuilles h la floraison, les dégats les plus
IIt occasionn&s par Mythimna loreyi ;
e
des
colonies de
pucerons
sur
panicule
%ard,is) ;
41

- 1,~s I.nf!e.-;tations de S.calamisitis
restent % un faible
i’r I :J ;2i.:t.,t (irt0.i !?S CIE 3% de coeurs morts sur la parcelle témoin).
. :i;l?siçuIf-tare d'hivernage :
Le-: ma:~r;i::ulturo d' hivernage
abrite en gén&ral
un complexe
~~~~~sii.aire diversifié.
C:ependant
d'après
les
observations
ï !&c$lli~>I!IS C:c? sent
les lépidoptères
foreurs qui provoquent
les
(j CL>. y ;-j 1; F,
*.cr; plus significatifs. Des baisses de productivité assez
.i .;tpljrf-i;j,ïtc-?;
tiutts à ws ravageurs, avaient déjà été constatées en
1390 e 1. k 99 1 ., particul.iGrement dans le Delta du fleuve.
Eh: hivernage 1902, sur
la station de Ndiol (sol
Dior), les
&Ci' l.h5S
y1 olml c?s
de rendements
sont
estimés a 37% pour un
I. .m~Zemm L nax i INMI de
2,4t/ha en maïs grains, alors qu'à Fanaye
( il .T
F '.:;i;e!{J ) ,
ces pr2rte.s ne
représentent que 19%.
Les pertes
j ,npJr"-;>n tes
3
Ndiot
s'expliquent
en grande partie par des
"
clL tclqur\\s vi.o!.entes
de Sc2sainj. a
ck?.l.ami.stis sur
jeunes plants de
. .
m-3 1 :i ,
p s~ïoquar~t de
nombreux
coeurs
morts (perte de plants
prr0duct:j.f s/ha) .
DC -tel les infestations ont déja été constatées en 1990 dans
7 I.
4 <'*
2 01l.e
du delta.
Dans
tous
les cas,
elles
semblent
être
i i-t,;io~ i :;&s pax une
irrigation des plants
par aspersion, ce qui
i 1 ' (2 53 -t p 3 6 le cas à Fanaye où l'irrigation est gravitaire.
.A
ii’d i 0 1. , ces
attaques précoces
sont également en partie
;icspç>n:;a:,l.es :,lo 13% de perte de
rendement sur les parcelles B (3
-1.. .~.‘a i. t.em2ii-t.s )
p3.r
rapport
au programme plafond.
En effet, le
jil r‘tni. f3:‘ tzai-l.ument (30 jours après semis)
a démarré trop tard et
Ii : ii
eu
211c Ltne
efficacité
sur
la première géneration trés
i:jLc~,t~ih~o du I-oseur (une :Eois que les larves ont pénétré dans la
c. i. g f? , leur 63 imination est tres difficile).
L ’ imydct
des
foreurs sur le rendement se situe donc à
plusieurs niveaux :
42

f.
une
destruction des plants
avant
la floraison due
‘^
Tlos
c-t&-jât!;
à l'intérieur des tiges
(galeries) entre la
? l:jEaison (-1: la maturite pouvant expliquer la différence du poids
tln 1noo grai,ns ;
.- EriPirr,
des degâts directs
sur les grains (en general,
rela~ivemcnt: faible).
ri ’ !i s sa i.conduit en concertation avec l'opération Sélection a
fit kc
repr i s
cette année
à la
station de Ndiol zone considérée
c 0 ffm (3- “point chaud" en ce qui
concerne les infestations.
Vingt
ÿ >,J [. j <il t< 6 s de maïs y compris des hybrides tempérés ont été testees
*
sous infestii.tion
naturelle des
foreurs, en
dispositif bloc de
Fi&er à 4 répétitions.
Les
observations
entomologiques ont
porté essentiellement
; iii.
i.! l-1 i3
mtation des dégâts de Sesamia calamistis et Eldana
'; !. : !, . . ,;:., ;I;elon une échelle internationale appliquée par 1'IITA.
Les réziultats, en cours
d'exploitation,
devraient permettre
;;e ~.:!,rifi rme::ï ce qui a été obtenu en hivernage 91.
Ii.4
'IItr i v i ~.4ryi,osan ita,ire en milieu paysan
1 n .i -1: i é dé j à
lors des essais multilocaux
maïs ISRA/SAEJD en
j 990 (&liis I.f2:;
délégations de Podor,
Matam et Bakel), Le suivi
~lh~tOSi312 i 1.a i. Zt?
c?
été
focalisé pour
cet hivernage dans le
cLCpa7~tei:ient de Podor .
Les observations ainsi effectuees
sur des
pet,; ts
pé ~imètres
irrigués
d'agriculteurs
(préalablement
ciaoisi.s), o:lt permis d'estimer le
niveau d'attaque des ravageurs
les plus fr&quemment rencontrés.
43

G l oh 1. esw rj. t- I
le faciBs
parasitaire
a été
sensiblement le
ti,,zQlc;
I..
qu ' en
station;
cependant
1’3%
infestations des foreurs
( '? ',(y, 13,: 1' . r*,;
2" C$\\l aani St1 !;
t-t
FI.armigera),
des
chenilles
Cli:lfEll iLit 1-ic:t?s
(Y- l.orc?yi) et des pucerons (R.maidis) ont été moins
i inpmdx-l tes (surtout comparé à celles de Ndiol).
112s
problème.~
d'oiseaux et de
termites (entre
les
jsriyations)
ont
par
ailleurs éte notés.
Enfin,
une maladie
c. sy.ptogairij. que
qui
n'avait
33s
été
constatée jusque la, a
I, ri+zuyite, pac des infestatians
à la base de la tige,
la mort de
^' Il 'A
de pl i3nt.s (le plus
souvent le plant verse).
les sympt6mes
( l>L.:F3p,r:>c?L: semblaient correspondre a ceux de Pythium sp.
CQ L:ypc; d'enquete a permis d'apprecier le parasitisme en
fa .i 1 ieu ;>aysan mais
egalement de mettre
en exergue une
certaine
( rirri&~d~~
~1 consc-ils phytosanitaires de la
part des paysans. Il
i enait
c?otrc
souhaitable de poursuivre ces
prospections et
f ~bservati ans
en
milieu
paysan
chaque
année, dans des sites
jirf3alriblemcxlt choisis, et
de mettre en pratique des actions de
girotec~irm
phytosanitaire.
Ce suivi
du parasitisme pourrait
~.:galemcIlt CG 'étendre à d'autres cultures entrant dans les systemes
tfe système *
E;n ri? i son des potentialités
hydropédologiques de la
région
.h; Fleuve Uc'-nûgal , d'importants investissements ont été consentis
&%Tir
i e &.JUV~%xmnent
Sénégalais
afin de pallier au déficit
i,lirvicametrkcJuc
permanent qui sevit dans la région. L'objectif de
'.res
liar rages
est d'atteindre
l'autosuffisance et
la sécurité
,~l.imentai~e dr:ins
le cadre d'une agriculture intensive reposant
essen~tiellement sur la double culture et la diversification des
produits agricoles.
!*O:I.~
_.
clttwindre cet objectif
il y a lieu *de lever toutes les
~zui&r;~inte,5
-1. iées au
dléveloppement
de l'agriculture
parmi
l.esquell es figure l'enherbement.
44

TA?C, recherches antérieures
menées dans la région
du Fleuve
p"~r'-a:lt BUL' la
monoculture du riz
ont abouti à la connaissance
p.-l r 'r i e 1 1 c? de 1.3 flore adventice et à la mise au point de méthodes
dr? :i utf.es chimZ.ques et mécaniques.
Ctnpendant ,
les propositions
techniques
issues de
ces
rxherches ont eté souvent inadaptées aux conditions agronomiques
c?+: 2:oc i.o-~économiques
de la vallée. Tout ceci
est la conséquence
d"ur~e insufESs'~~ce de diagnostic du milieu et d'une approche trop
sectorielle du probleme de l'enherbement.
Jkmc ‘~
mal++ tous
ces acquis, d'importantes
investigations
~mt- encore 2 lnerier si on considère qu'on passe de la monoculture
3
3a
double
culture.
Pour
cette
raison, on a
effectué un
d i acpost i c de I a
situation actuelle
afin de pouvoir
identifier
~:te pscsblornnS.i!~l.rr? de recherche relative au contrôle des mauvaises
h9r:'es de ! a v;3llée,
Cette analyse a permis de mettre en évidence
q u e :
s
-”
1 ‘étzot
actuel de
l'enherbement est
extrêmement
pr&occupant car on
assiste non seulement a des chutes
dC?
rendements de plus de 50 %
mais
aussi a
une
specialisation et à un risque de résistance de la flore
adventice face aux pratiques actuelles de désherbage ;
__
C*;:l? i. 9ioc:h 1. oa
colona,
Cyperus difformis,
Cyperus iria,
ytE.:< r-'i:i(r::
rnaritimus,
Ludwigia
erecta,
Sphenoclea
:-?y1 stn i ci3 et Or'yma
barthii sont
les especes les plus
fréquentes et
les plus
abondantes à
l'épiaison
maturation du riz ;
c:ert~tines
espèces
telles
que
Echinochloa
colona,
C':T~-P ~:ili.; tli f Formis
et Scirpus maritimus ont
des levées
&zhelonnées durant toute la campagne ;
1. e
désherbage chimique est devenu partie intégrante de
I'itineraire tech:nique des riziculteurs de la Vallée du
Fleuve Sénégal,
qui
pour
des
raisons
technico-
éronrJrnjques ont tendance à simplifier sa pratique ;
45

_;
dans le
Delta l'e
Propanil
et le
mélange Propanil +
Wetdone sont les herbicides les plus utilisés tandis
Cp(s
dans
la Mo:yenne
Vallée le
Propanil est
le plus
usit;é ;
1. es
méthodes
de désherbage utilisees ne sont pas
efficaces dans
leur
ensemble
car
les
herbicides
utj.>isés
sont
soit
inadaptés à
la flore
adventice
pri?sente, soit mal utilisés tandis le désherbage manuel
dédtzigneux est souvent tardif ;
il rl'existe pas de deuxième désherbage chimique ;
.-
.l es
recommandations des
societés d'encadrement
sont
vagues et ne tiennent pas compte des spécificités des
aménagements hydre-agricoles ;
w
1 'objectif
des paysans en matiére de
desherbage
chimique est de se satisfaire d'un niveau d'infestation
acce,ptable.
Donc des
solutions doivent
être trouvées à ces problémes
7 i g t;
n
1 'enherbement des
rizières
soit en
encourageant
les
i ni i-I atives pa-ysannes I soit
en explorant des axes
de recherches
Y r9é~::i.f i q u e . 5 et de
developpement.
C'est ainsi qu'un programme de
r-ncht? rchr>
WL malherbologie dont l'objectif principal est la mi.se
*" 11
po i nt
(Ii'
méthodes alternatives de contrôle des mauvaises
I i2r"bI-s
dC?S
Pcosystemes irrigues de la vallée a éti? élaboré.
r, ' accent
sera m i s
sur
I!es
alternatives de lutte integrée
vti. lisant:
i c!:12-es
les
techniques
appropriées
d'une façon
compati h1.e afin de
réduire les populations d'adventices,
de les
mai nteni. :-
C?:l d e s s o u s
du seuil
économique et
de sauvegarder
1 'environnement.
46

*
‘y-‘
2’
T
ORTICOLES

INTRODUCTION
La mise en
place du programme
de recherches sur les
~C17ltur-cS
Horticoles
a été
progressivement faite au cours du
p~xzmi C+I- seme:;:tire 1992. Les recherches entreprises l'ont été dans
1. e
cadre d ' operations
centrées
sur des produits et
intégrant
p1 usieurs
disciplines scientifiques. La démarche étant d'assurer
une p!uridist:iplinarité dans les investigations menées sur chaque
produ i. t- , selon les objectifs fixés.
Le présent
rapport
rend
compte des
activités de
r-clwr-.r:tlc: merk&s dans 7 opérations de recherche du programme :
- SOLANACEES A FRUITS
- RACINES ET TUBERCULES
*
- LILIACEES ET GONEIO
- ARBORICULTURE FRUITIERE
- DEFENSE DES CULTURES
- GESTION DE L'EXPLOITATION HORTICOLE
- PREWLGARISATION ET FORMATION
En général, les actions de recherche ont été orientées
Ve r s
1 ' obtention
de résultats
répondant
directement aux
préoccupations du développement.
Le:; relations avec les
structures de développement ont
:5~a!.emrrnt étil: renforcées. Cela s'est traduit par une augmentation
des
COUL-S
de formation,
des
stages,
des parcelles de
d&monsl:ration à l'intention de diverses structures et acteurs de
la filiére.
47

1.3.. OPERATION SOLANACEES A FRUITS
5 _ 1 e 1 .
L%l.ection pour l'émélioratin de la productivité et de
1Ek qua1 i t é
de la tomate industrielle
Trois
(3) familles provenant de 3 lignées GORIGA,
4-2-3, a-;i-20
et 4-6-20 ont été
constituees
au cours du ler
SE?W!St T-C3
1092.
Des
ri-sultats des
essais
orientatifs de
comporfsc?mer-r t
de ces 3 familles sont en cours de dépouillement, à
Sai nt--Lnui 5s *
A l'issue de la
campagne il est
prévu de remettre
1 c 5:
1 . ignérhs les
plus
performantes
(une partie)
aux
unités
industciell,es de Saint-Louis, pour évaluation.
Les prochaines étapes de
sélection insisteront sur les
criblayes on
milieu Co:ntrôlé pour la
résistance au Stemphyllium
solani et +ku Fusarium o:xysporum spp.
l-1,2. Criblage pour la résistance aux Meloïdogyne spp sur
tomate.
L'inoculation
avec la
race A de Meloïdogyne spp, en
milieu çont.sôlé, de 7 lignées
GORIGA et de la variété Romitel
(obtention
CDH), a
permis
d'enregistrer
des
résultats
intéressan?~ s L Six (6) dies lignées GORIGA s'avèrent résistantes.
'x.1.3. Mise au point d'une formule de fertilisation
plus économique pour la culture de la tomate en
sol argilo-limoneux
Ilans le but
de proposer une
formule de fertilisation
opl- i ma I rlf cltct
la tomate dans
le type de
sols de la vallée
et en
terkarl k
compte de la rotation
culturale avec le
riz, des essais
ont &ti? entrepris en parcelles paysannes. .

LeL; points suivants ont été mis en évidence :
- La formulation NPK du type 'CDH' (120-120-240) est celle qui
pcrrneC. {l'obtenir les rendements les plus Elevés et économiquement
avantageux.
LQ :liveau de production de la parcelle est lié à la dose totale
. ”
de fertilisation et non pas à la fréquence des épandages.
_”
r, ’ ef.Fet
des apports phosphoriques
(superphosphate) se fait
sentir :3ur la
production dès la première campagne. La déficience
211 p205 se traduit par un retard induit dans la mise en fleurs et
par. suite dans I.'entrée en production.
lJ.4. E:valuation de nouvelles variétés de tomate desti-
née à la transformation industrielle (Vallée du
.
fleuve)
La variété ROMA VF, majoritairement
cultivée dans la
V a l l é e d u F l e u v e , n'est pas résistante à la fusariose race 1 dont
l'rxpansion est observée. Une nouvelle variété de Tézier, H12-48,
s'est avérére de rendement
potentiel supérieur (environ
10%) et
plus précoce dans les conditions de
culture rencontrées. De plus
ses fruits,
plus gros et plus
fermes ,que ceux de ROMA, sont de
caractéristiques
technologiques
sensiblement
identiques
avec
cependant une tendance A l'éclatement.
1.,X.5, Renouvellement des lots de semences de piment de
type "petit fruit"
L(es lots de
semences de piment
de type "petit fruit"
unL L;iit l'obje-t
d'un renouvellement et
seront évalués suite B
un!: dc?mand::i de plus en plus importante par les producteurs.
49

1.1.6. Woduction de semences des varit%& de tomate et de
jaxatu destinees aux essais en milieu paysan.
Quatre (4) nouvelles lignees de tomate et trois (3)
jaxatu
on?; et& multipliées pour
les besoins des
essais PNVA en
milieu payz$an.
1.2 .OPEFWTION LILLIAGEES ET GOMBO
1,2,1* Cp:rration de la variété Violet de Galmi (oignon)
T,!F!
travail
d'épuration par
sélection
massale pour
él.;nlirIer :, a floraison
précoce
sur le Violet de galmi a été
entrepris
cri fin 1991. Ce travail a
été poursuivi et des bulbes
011t
cité
sé'ec:tionnés pour-une mise en place en octobre 1992.
3.2.2. Election Yaakar x Violet de Galmi (oignon)
L'obtention d'une variété, précoce, n'ayant pas
besoin
de vernalisation,
apte à la conservation et résistante aux thrips
c3 t 2% la maladie des racines roses est ,l'objectif
poursuivi avec
les produii:s du croisement "yaakaar x violet de galmi".
Cent
trente neuf
(139) kg
de bulbes
ont &é
selectionn&s à
cet effet.
Ils proviennent d'une génération FS.
Ils
seron !,:
comparés
aux
lots parentaux et à
la g8nération
prh-:i?deni~ e
i'4 en
janvier
1993 pour
évaluer la
stabilitk du
materiel,
50

1 .%.3" Sélection massale intra-yaakar (Oignon)
L*e matériel végétal sur lequel s'effectue la sélection
provient
13 ' un
lot de plants
qui
ont pu
se multiplier
sans
ve.rnalisatiun
à partir de la variété population Yaakaar.
Des
czwactéristiques de précocité ont également été Observ&es sur ce
matériel.
X,,es semences (S2) issues de ce programme ont bté semées
en janvier 1.992 pour une production de bulbes-meres. La s6lection
porte SUI' j.a précocité de bulbaison (90 jours) et le maintien des
earactéristiyues du bulbe. Les bulbes retenus feront l'objet d'un
test de rer'ldement en graines en février 1993.
1.2.4. .Evaluation des composantes du rendement d'une
culture d'oignon
Les premiers résultats observés
sur ce type d'essais
(1990/1991), avaient permis de voir la forte corr&lation positive
existant:
entre
le rendement
et
le calibre des bulbes. Cette
re1at:io~f
a pu
être retrouvée
dans deux
essais de la campagne
1992.
cependant
l'expression correcte du rendement, & partir
de
ses
différentes
composantes,
reste
influencée par le
pourcentage de plantes infestées par
la maladie des racines
SOSCS. Ce pourcentage déterminant des coefficients variables dans
L‘Gtabliss~ement de la formule du rendement.
51

1 * 2 *< !5 . Fkcherche de procédks de fertilisation permettant
'de lutter contre le diiiveloppement de la maladie
des racines roses (Pyrenochaeta terrestris) sur
oignon
Trais essais ont été
entrepris dans le cadre
de cette
action :
-
Un essai fertilisation NPK,
dont le but était d'observer les
ef?Tet:~ d'une fertilisation déséquilibrée en azote et en phosphore
SUI les symptômes d'attaques du champignon.
.-.
LJ?I
cssa,i
d'application foliaire
de solution fertilisante
.zoiapl&tr2. dans le but d'observer son effet sur le rendement et les
incidences eventuelles sur la maladie.
ira1
e s 5 a i
d'application d'hormones rhizogenes
dans le but de
.
s-t i.m?a 1.E‘ 'Y 3.8 rhizogenèse pour pallier à
la destruction du système
racinaire.
IIe maniere générale, aucun résultat significatif n'a pû
eti e
olxxrv~ du fait
que les symptômes de
la maladie, pour des
raisons non comprises, ont régressé d'eux-mêmes.
Cependant un
effet
positif et
significatif a
été
observé
sur le
rendement et
sur la
production en bulbes avec
l'application en pulvérisation foliaire
de la solution nutritive
complète.
52

a*;rl.fi, Recherche d'une densité de plantation optimale
pour une production maximum en prhsence de la
maladie des racines roses (oignon)
Une densité
cde plantation
de 130 plants/m2
permet
d'avoir
un
rendement
élevé en
sol
indemne de Pyrenochaeta
terrestris. Wpendant en sol infesté, une densité de 80 plants/m2
s'est av&.réa optimale.
1,2.'k- Et:ude de l'influence des pratiques culturales
ESUT le développement de la maladie des racines
roses en culture d'oignon
TJ-rn
ensemble
de
pratiques
culturales
est
revu par
r:CkpiWi‘t
fr Ii3 présence de la maladie
des racines roses en champs
C!e fZL3 1 <ru l‘!-? . 'L'effet de ces* pratique s est ktudié en saison fraîche
1993.
Le suivi des
pépinières sur des
parcelles ayant
reçu
diffhmntf
traitements permet cependant de tirer les points
suivants :
__
TA ma1.adj.c présente dans le
sol, est capable d'infester, en 2
sf?maincs,
1 aks
jeunes plants en pépinière après une phase de
jschfirci nuç3 I?I~I+~ travaillée pendant la saison chaude.
- Le t r a i t e m e n t a u
Basamid (Dazomet) permet de lutter
contre la
maladie en pibpinière.
- Apr@s u~!lr> CI:UI ture en saison chaude, le délai d'infestation pour
la tata 1 i tct?
d'une culture en
saison fraîche
est d'environ 50
jour-c; aprks transplantation.
53

1,X,$. Rvaluation de varit%& d'oignon rouge
L3 variété 'Violet de Galmi' a
été comparée à
d ',autres
~311 tivars rouges. En g&3éral, ces cultivars
se sont avéréis, du
pcrin-t
de vue
rendement, deux
fois superieurs au témoin '
et de
I
cycle sensiblement identj.que
ou inférieur.
Cependant il
semble
qrl' ils soient moins aptes à la conservation
du fait d'un taux en
matié~e sèche plus faible. Aucune des variétés testées n'a montré
de resistar-lce particuliere vis-à-vis de Pyrenochaeta terrestris.
1.2*9.
Introduction et Evaluation de variétés d'ail
X,a sélection de variétés d'ail
adaptées aux condiitions
il e
c:r~.!.turç~s des
Niayes et
de la
Vallée du
Fleuve est
'un des
p T-c in i f?, 7 :-: oltj~~ctifs de développement de la culture de l'ail.
*
T,es
premiers
résultats
observés
sur un
essaj d e
coarpvrt:emex?.t
de la variété Egypte
5, dans la vallée du Fleuve,
tnoxl t reni:
ine
bonne
productivité et un
bon coefficient de
multiplication pondéra1 de l'ordre de 10.
La mise au point d'un itinéraire
technique, notamment
en cc?
~~ui. concerne
les dates de plantation et les variMAs à
!lti:iser, a été commencée au CDH.
a .X.10. Multiplication et complément de description
de 11 nouveaux génotypes de! Gombo
L e
critère
principal
de sélection de ces nouveaux
~~~;~~t‘t~pl~s ;i
été le
développement végétatif en période fraîche.
L'tssai a eté mis en place au mois de juin 1992.
54

a -1. BPEFtATION RACINES ET TUBERCULES
Au cours de la
campagne 1992,
les activités de
1 '~~pkr;-ltic~n ont été cantrées sur les actions suivantes :
Pomme de terre
. Evaluci-i-,ion multilocale de
clones
adaptés
à la
chaleur en
cvltures hâtive et tardive.
'-. il~~lt.ipl.:ication de génotypes adaptés à la chaleur.
- Wa1uat.i
1.1
on des
moyens de protection culturaux contre la teigne
!k
1. a
pc anme
do terre
(Phthorimae
operculella
Zeller) et le
Rhizuctonn brun (Rhizoctonia solani).
Patate douce
- Evnl~~a-t-an en rnilieu paysan de variétés sélectionnées polir leur
.
rendement &1.evé et leur adaptabilité large.
.- Evaluat~on. de l'influence des viroses sur le comportement de la
patate douce.
Manioc
-.
EvaluaCion en
milieu paysan de variétes résistantes' à la
I\\LL' '3 a : (Il. 1e :-.f~icalne et isi potentiel de rendement élevé.
1. * 3 a 1. . Evaluation de clones de pomme de terre adaptés à' la
chaleur
Deux
(02)
génotypes adaptés
aux
conditibns de
ttcmpératu::'ec:~ élevées
des
cultures
hâtive et
tardive
on été
p.i. .inrci~~altT-!mcnt
kvalués en
culture hâtive :
AVRDC-1287-19,
A 1 1 2 Il t 1 f:
X
LT7 (18). Ces génotypes ont été comparés à des
‘v ,; _1 r .j i; "_t a &
commerciales ayant
montré des
aptitudes 8
la culture
t;>I-clj v? e Iles
résultat!;
observés
sur deux essais plantés en
55

i !Ci obre
ce en novembre, montrent des productions relativement
~-~l~~vci?s $e ht1anti.c x LT7 (18) et stables du clone AVRDC - 1287 -
19 en station.
Ld-
clone AVRDC - 1287
- 19 a également été évaiué en
trul t:u7 e hâi: ive en
milieu paysan
dans le cadre du programme de
:i:ec:herchs--ddiveloppement
PNVA/ISRA.
Les
premiers
réshtats
ob::cr7es en
mi 1 i.eu
paysan font ressortir sa stabilité!? de
prrtduct i cm
ainsi
que
son
adaptation a diverses conditions
edapho-climatiques.
1 .:t.:i. Evaluation du comportement de nouvelles
variétés commerciales de pomme de terre
Dan.s le but de proposer une liste des variétés le* plus
adaptées
aux conditions
de culture de la zone des Niayes, un
.
pfi:grammp tl 'ovaluation
des introductions commerciales
a été mis
cn pIdcc?. L'objectif
est de sélectionner
les variétés les' plus
pc-.~:for~m~.cte,s
au plan
comportement phytosanitaire,
prodwtion,
;~d;~pt;ation ::'I imatique, pour un étalement de la production.
Pour la
campalgne 1992,
cinq (05) varie-tés d'otigine
ho! landaise, faisant
l'objet d'importation, ont
été évaluées en
cul tu: e da
saison et en
culture hâtive :
COSMOS,
BIRELLA,
PIC:ASSO, AJAX, FAMOSA.
r,t3
premiers résultats observés montrent une meilleure
<zdil p.k i.2 1: .i c n
CIE?L;
var;&té!s aux
conditions de culture de saison
qu'aux (*cnditions de culture hâtive. Cela se traduit
globalement
liai w! r-~ndemcnt plus élevé : 25 à 35 T/ha en culture de saison
cor'tre 13 k 20 T/ha en culture hâtive.
56

D'une manière
générale, les variétés à cycle court se
SOI1 1:
avérées
moins sensibles
aux
attaques de la courkili&re
africaine (Gryllotalpa africana) et au Rhizoctonia bataticola.
C'est le c-as de 'BINELCA', 'COSMOS' et 'PICASSO'. En revankhe, la
irarit5té
'F'AMOSA',
de
cycle
plus
long,
s'est
avér6e
pal:ticuli&-ement sensible à ces deux aleas ; ce qui s'est traduit
EGi'

UKIC?
production
commercialisable de seulement 32% de sa
prcductlon totale, en culture de saisan..
7.3.3, Evaluation et mise au point de techniques de
protection contre la teigne de la pomme de
terre et le Rhizoctonia solani
Llris dégâts
spectaculaires causés par la teigne de la
pomme
($2
terre
(Phthorimaea
operculella)
introduite
acxidente4l.ement
au Sénégal et
la recrudescence du Rhizoctonia
sol ani en culture tardive, ont motivé cette action.
Dans un premier temps une journée d'information sur les
.,c
3: avagelrs
a été organisée à l'intention des producteurs et des
stmclureni; du developpement
(février 1992). Cette journéie à eu
c’omme
support des
essais de démonstration
et la diffusion d'un
depliant (Explicatif (1.000 exemplaires).
Les
investigations se
sont
poursuivies
'et se
pour~suivein t
e n c o r e d e
manière
plus approfondie dans la
lutte
contre la,teigne sur :
-' J,'ut.ilisation de produits de synthèse pour la
~:wtect4.vn des tubercules en stockage.
-. I.:'ident:ifical:i.orl et l'utilisation d'ennemis
IiaturelG.

" T,a mise au point de moyens mécaniques de protection
des stocks.
-I C';tmel .ic-;ration des techniques de protection en
CU1 turc.
1.3.4. Multiplication de génotypes adaptés aux
conditions de culture sous températures
élevées.

DarES
le but de renouveler
le noyau de baee des
qew~!-ypes adaptes à la chaleur, 3 variétés ont été multipliées et
st?? cet i.onn&es par la "technique des parcelles de production", en
<:lJ l.turcf t:c!:rtf ivc ::
AVRDC-1287-19, Atlantic x
LT7 (18), Atlantic x
LT7 (20).
.
sur
une
production
totale de
1051 kg de
plants
prw..Iui t.s I
seuls
246 kg
ont
été
sélectionnés pour le
tenouvel.lement du noyau de base :
.- AVRDC - ,1287 - 19
:
112,50 kg
- Rtfantic x LT7 (18) :.
131,50 kg
- &tlantic,x LT7 (20) :
2 kg
1.3.5,
Evaluation en milieu paysan de variétés de patate
douce sélectionnbes pour leur rendement élevé et

leur adaptabilité large.
Dix (10) sites en milieu paysan ont accueilli des
c?$;,;;1-i. s
d'evalual:ion
variétale dans
le cadre
des actions de
ira-s:~llf:r-l:~l~-~d~vel.oppement
du PNVA dans la zone des Niayes.

I,es premiers résultats observés
sur les plants v:irosés
mor~trent eii yéncra :
-. Iin ::n':lx tic reprise trés faible de I 'ordre de 21 à
:i 7 8
;
.- IIne rkluction de GO à près de 80% de la couverture
végétale ;
" Une prod~iction faible de l'ordre de 50 à 140g par
g*ied estimée à 1,5t e-t 4,5t/ha.
C!ependant
les plants
apparemment
sains de
ces mêmes
var-i6te:;, (:I~I t- des
valeurs similaires
en taux de
reprise et en
production
J'?t32-
plant, malgré
un
taux de couverture végétale
vaxi.mtlm (95 à 100%) des
plants suivants ;
Cela laisse supposer
~p.zc- 3. es plantes
peuvent avoir
été infectées
au préalable' sans
presenter
de
symptômes ou
av0i.r
été
infectées en
cours de
culture.
?..J.G Evaluation en milieu paysan de variétés de manioc!
Trois (03)
variétés ont
fait l'objet
d'évaluatton en
i! i 1 irz?l ‘pa.yz?an
dans la
zone des
Niayes. Cette évaluation s'est
rai tc? dx?.s
le cadre des activités
de recherche-développement du
PNVA .
Six (06) sites ont été plantés entre les mois d'août et
:Septembre 1'392 -
mc? reprise miidiocre a été Observ&e en général, sur les
;Ii -C fc5rc?rite~ parce1 les.
Les causes se
résument essentiellement à
'Irlf?
faj hic
pluviométrie
enregistrée,
à un
retard dans la
~21.;~ntc-\\t~ on k?es essais
dû a une arrivée tardive de pl.uies,'à des
;-l ttnq1.if?s
;mportantes de
termites.
La variété Cololi 1
semble
;ivoi .r mi f?llY wpporté
ces conditions
de stress avec
un taux de
59

rer.rise rwyen de 31%.
Cependant la quasi totalité des
plants de
irn: I:F n:-:r-i.Ctt-6 présente des symptômes de mosaïque africaine.
Ceci
,p s [
tlû
A :I 3
plantation de boutures
provenant de plants déjà
ind’ectés.
1 . ,i _ ~~P~~~?~~~~~~~ ARBORICULTURE FRUITIERE (SAINT-LOUIS)
I,es
activités
de l'opération
arboriculture fruitière
fIaa? s '1 a rkqj~n de
Saint-Louis se déroulent en milieu
contkôlé a
la
St-rit- ion de
recherche
de Ndiol, au
Jardin d'essais & Sor
Sai nt-Louis et en milieu réel.
kil le concernent les
spéculations suivantes :
agrumes,
barman i.ers,
mangui.ers e t
divers
fruitiers
tropicaux et
subtropicaulx.
I”%~l * Station de NDIOLL
1.4.1.1. Agrumes
. Essais de comportement
Les actions
de
recherche
concernent
des essa iLIis de
vonipo r tt~ment
Se
rapportant
aux
orangers (12
variétés),
aux
s3r~dar-i 113.er s
(12
variétés),
aux
Pomelos (8
variétés);
aux
citronniers: et limes (8 variétés).
Le suivi de ces essais se
résume 8 leur fertilisation,
'flJ:i t. r ?i 5 'tz cil' E? I2 t $5
phytosanitaires, aux tailles de
formation'et de
Er~~tification, à
la réfection des
cuvettes d'irrigation 'ainsi
cru ' 211 cont:GC).le et à 1 'entretien de-
,> goutteurs du système de "drip
irrigak-ion" ("goutte-à-goutte").
60

. Parcs à bois, collections
z: 1
existe deux
collections
d'agrumes a Ndiol :
une
prcmi.èrc:
i.n::;tallée depuis 1985/86 et une 2ème datant de 1989. Le
nombre de yrariétés
est de 64,
toutes espèces confondues.
Toute
l.es opérat-.i.c?ns agronomiques menées au niveau des essais y sont
conduites rsuncomitamment exceptées les tailles de formation et de
frlic.t:ifj.ca:::ir)n
au nive,au de la plus jeune collection ne S!ervant
qn' au pr@li~vement de greffons. C'est ainsi qu'elle ne subit aucun
stress hydT*ique .induisa:nt une floraison groupée et abondante
qui
1 i.mi teraj t
c!n quantité et
en qualité
le bois de gréffe à
prelever.
1 la
première
collection
fournit
l'essentiel de la
prt~ductîon de fruits.
.
. Pépiniére : production de plants
IICS activités de production de plants d'agrumes, Foutes
~?s~.Y?.rx~ c:on.fondues,
ont occupe l'essentiel du temps de travail de
1 'opération.
&AI niveau de la pépinière existent deux générations de
pl?nt’S
porte-greffes
composés
chacune de Citrange
troyer,
c-:i?rnnge Carrizo, Bigaradier,
Lime rangpur, Citrus Volkameriana
et le Ci.?rsn gal.et.
r es
. 1
activites de pépinière demandent beaucoup de
:naî Ii-d ' t.!t’ll-vrC
pour les
opérations de désherbage,
taille de
f orrnati on
of: greffage. L'accent y
est mis car
les activités de
mu! tipl. i cqatio77
produisent l'essentiel
des recettes propres. On
3iol.era cependant que
Iii quantité
de plants vendus
est bien en
de@ des pr$ductions.
61

Id::; producti.ons
s’élèvent à
14.000 plants greffes et
64(‘0 pot +. n-CJJXFfE?S
a greffer en avril.-mai 1993.
yr,)J.“i-
./
d e
ce reliquat (sn porte-greffes et
de la lenteur
ilTa ":C:i :FI i (Y':?Fl~'! f-
(‘lc-7 ceux greffés, seulement
5000 porte-greffes ont
été SWIlé~ J~II: la campagne 1992.
'J.,tZ,.l.Z Bananiers
ll$I
essai
"date de plantation", en
vue de voir
1 ' i ~!fl:a~:r!c:c rlr? I;t date de fructification sur la production, a été
j n,c é;11 14 Grr:j;>:r :a f.?90 avec
quatre dates de plantation
: janvier,
i?VZ. ; 1 ‘ _i 1.3 1 1 1 :\\ f:
Cl. octobre.
Malheureusement une panne
du groupe
irm 1 cjpclrnpe
Qfj' (jr--.
J-a s t a t i o n
qui d u r a
environ 6
mois n'a pas
j>Ef 1 f;kj :^'
C! ' i ;:‘r.?.guC.r de manière natisFaisante
les deux dernières
plantations +
e
n
iii tre
indicatif, il
semble que
les plantations
C-L“^~‘~:t~~u~(..*s
~111 période d'activitC
vegetative intensive (avril et
ju:i LT.3 et) SC- i.-,r)mpox-tent mieux. Ceci est à considérer avec beaucoup
de prudence+
f,,4.1,3. Autres fruitiers
Id général les autres fruitiers tels que les manguiers,
;,i) I :ji.,SOl .i.i~3'$ +I~I s?potil.lers sont multipliés au jardin d'essais de
IG 0 *.
2
:.:--r:i r:rZ:--Loup s.
Cependant pour
des problèmes de coût de
p3:L!ilIIc 13 i.c ?: : i. ::ri.gation) , .i1 a cité initie à une petite échelle une
prcduc. L i ! *;1 ,i; 4:d.i.91. .
D'ailleurs, du point de vue climatique, il
2 '( :; i: rt:::II ?:: y~! .i i serait
préf6rabl.a de dhelopper cet
axe, car
? Le
pt:,r i 03c-i !~ivorabl.e de gref f agc-
y est plus
étalée d'environ 2
mo 3 $3 .
P! C>l u 5; s .Iynal.erons à cet effet c:lue les écarts de température
E!n?. i'C! Sa i ot;'~~;%li H
et NdioZ peuvent aller de 4 à 6" c ; ce qui est
considérsbl tr?1s 0
02

1. * a . 2 ,, Jardin d'essais - Sor SAINT-LOUIS
Comme dit plus haut,
le Jardin d'essais de Sor
Saint-Louis
sert
surtout
de
lieu de
multiplication,
pacticuî.i4Srement
pour
le manguier.
Y sont
aussi
implantees
diverses collections de
manguiers,
cocotiers,
mwers ,
sapotill.e.Ks,
corossoliers,
goyaviers,
plantes
florales et
ornementaIles
1,4.2.1. Activités de production de plants
. Mangu.iers
Lt2.S
semis de
porte-greffes sont
échelonnés dans le temps
suivant :ies disponibilités en semences qui proviennent totalement
de-; collwztions. Au total 2000 porte-greffes ont 6té produits et
1300 greffas pour 1993.-r992. Diverses variétés
sont greffées et
le choix m
fait suivant
les demandes.
Ainsi le programme de
gr4fa~e a concerné principalement les
variétés "Kent", "Keitt",
"Xi fl II, Pêche" "Amélie", "buta seexal".
Al
faut noter que la production en plants a été faible
pi%:
rapport à
la demande.
Ceci
est surtout dû au manque de
FéESSitC~
fles s e m i s ,
les levées étant
en général
médiocres. Ce
manque de ,r-éussite dans les semis a été comblé,
pour la campagne
1992-1991, par 6000 porte-greffes produits dont 1500 transférés à
Ndiol.
. Agrumes
Les
a(ctivités
de multiplication d'agrumes
principalement
d6vlnliies
-1
8; la station de Ndiol sont depuis
le début de l'année
1991
l
'
exécutees au
Jardin d'essais
de Sor Saint-Louis
pour
augmenter lb capacité de production.
63

. Autres fruitiers
Pour les fruitiers divers,
la production des plants se
fait à
wi faible taux,
environ 5 à 6
% du volume total. Cette
product: ion
devra être relancée
et augmentée substantiellement à
la hauteur des demandes, notamment pour
le sopotiller greffé, le
papayer- solo sunrise, le corosollier et le cocotier.
. Plantes florales
La production de plantes
florales a
été diminuée
délibérément du fait de la non maîtrise de leur commercialisation
sur le marché.
Cependant, pour
honorer une
commande de la compagnie
sucrier2
du Sénégal (CSS) et pour les besoins
de plantation au
Centre de
I'ISRA Saint-Louis (clôture} un accent particulier a
eté mis sur le
bougainvillier avec une production en sachets de
4500 plants,.
1.4.2.2, Plantation de vergers
. Agrumes
Un nouveau
verger d'environ 0,8 ha a
été réalise avec
1.' ir~~tallation
de variétés
très performantes
(qualité et
production) ,.
Ce verger-collection nous permettra, dès 1994/1995,
d'avoir une substantielle production sur place à Saint-Louis pour
le marché lcscal.
. Manguiers
Une mangueraie
d'environ 0,5
ha a été
installée pour
augmenter la production de mangues. Seules des variétés
tardives
ont éte ul:i i’isées
et principalement la variété "kent" (90% des
pieds plantes).
64

. Cocotiers
Une nouvelle petite cocoteraie
de 25 pieds de variétés
"naj~ner,"
est installee. Le manque
de matériel végétal
a été un
EpcttC-ur:. 1 i,mi tant. La multiplication de cette variété est proposée
5 La placr? du "géant Ouest-Africain" qui
atteint des hauteurs
hors portík de toute récolte et de
traitement phytosanitaire et
est de su$croft moins productive.
. Sapotillers et Corosolliers
Ces deux espèces sont plantées dans un même carré d'1/4
ha .
Tra<iiitionnellement,
elle
sont
les espèces
les plus
rencontrées ou
Planté#es dans la région.
Elles représentent donc
une collec~tion à Sauve(garder et à améliorer tant au
point de vue
vari6tal r~u~au niveau pratiques culturales.
1.4.2.3 Collections de manguiers
L,es deux
collections de
manguiers existant
au jardin
(1 ’ -. ssais c-le SOR représentent les collections
les plus complétes
du Seniaga?, de par leur diversité. Une attention particulière leur
est sccorrk:. Un
suivi nutritionnel et
phytosanitaire rigoureux
l.C~Ul:' est
accorde. Les
études effectuees concernent
surtout les
cycles de production et de rythme d'alternance.
J-4-3. Diversification, associations culturales
L‘C
volet
diversification
des cultures
concerne
1'associat:ion de cultures maraîchères a des cultures
fruitiéres.
Eri effet, peur
rentabiliser le site
et l'eau d'irrigation,
des
c:ult,ures de pomme de terre, d'oignons, de choux et de fraises ont
di?milrrG dt!puis le début de l'année 1992, au niveau des vergers.
65

Environ 14T d'oignon, 'Violet de galmi' et 1T de pommes
de
terre ont
été produits
en 1992.
Cette production se verra
augmentée
pour la
campagne de
1993 au
jardin même et à plus
grande é.chk1l.e à la station de Ndiol où le facteur de production
le plus imb>ortant, l'irrigation, est à moindre coût.
X.4.4. Appui au développement
Contrairement
aux années précédentes, les activités en
milieu
piysan n'ont
pas
connu un
grand
essor.
Il a été
pratiqqrxemeht impossible
d'effectuer des missions de suivi de
vergers,
de prise de contact
avec les paysans,
faute de moyens
financiers:
k.4.4.1. Installation de vergers a BANG0
Tln
petit
verger de 0,8 ha compose
d'agrumes, de
papayers c-01.0, de sapotillers, de manguiers et de bananiers a éte
installe ii
Bango
Ch{ez
un privé.
Toutes les opérations :
fourniture de plants,
préparation du sol
et plantation ont
été
réal.isées l,ar l'opération.
bes visites régulières,
2 fois par trimestre, y sont
effectuees afin de Suiv:re l'évolution des plants.
J-4.4.2. Installation d'une bananeraie
Ilne bananeraie d'1,5 ha a
été installée à Dagana chez
un privé . I,e site est, du point de vue sol, différent de celui de
Ndiol czs cionstitué de sols assez lourds qui commandent
d'autres
techniques culturales. La variété "williams" du groupe
Cavendish
a
été
uti 1 isée , Ce
site est
très
représentatif des
zones de
cultures
de la
vallée,.
Les variétés
'grande naine'
et 'petite
naine'
sont utilisées depuis plus d'une décennie par le biais du
projet OFADIEC - Podor.
66

7:,4.4.3. Organisation d'une journée de rencontre avec
les paysans
Un
exposé
SU;C
le point des recherches
jusqu'ici
effectuées en ARBORICULTURE fruitière a été fait dans le cadre
de l'organisation
de la journée mondiale de l'alimentation. Cet
exposé a
été
suivi
par des démonstrations de différentes
techniques et pratiques culturales qui ont
suscité beaucoup de
questions de
la part des visiteurs et
organisations paysannes.
Suite à
cet
exposé et
aux démonstrations,
une
séance de
dégustation de fruits et de présentation des acquis de la
recherche ,i3 eu iieu.
1. * 5 I
OPERATION DEFENSE DES CULTURES
1.5.1. Virologie
'%.5.1-l. Piment.
* Mise en évidence de nouveaux virus autres
que le P.V.M.V.
Il échantillons de piment
avec symptômes virosés
sont
recoltés dcins
la Niaye
Dakar-Malika,
séchés au
chlorure de
calcium et inoculés sur plantes indicatrices en serre. 9 des 11
isolats sont établis. Les deux isolats non établis sont lac.Ml et
lac-M2 tous récoltés autour du lac de Malika.
Les tests sérologiques se
sont révélés positifs contre
de11x
anticorps polyclonaux
des PVMV en ce qui concerne
les 9
isolats étzblis.
Lac-Ml et lac--M2 n'ont
pas réagi positivement avec les
anticorps. Ce qui laisse supposer qu'il s'agit là d'un ou de deux
autres virus du piment différents du P.V.M.V.. Des investigations
seront poursuivies pour leur identification.
67

q Mise en bfdence de matériel rbistant au PVMV
38 variétes
de piment
reçues de 1'AVRDC ainsi qu'une
var i. ht:fi
C'11-i (safi)
sont comparées dans
un essai
de résistance
varietale .
Trois
variétés (Szechwan 10,
chain Fair (F2) et
Chcongryong)
semblent donner
satisfaction.
Elles ne montrent
aucun symptôme viral tout
en donnant des rendements intéressants
entre 700 jet 800g/m7 . Trois autres variétés (Atorodo, Hot Beauty
(I-2) et LV 1092) tout en présentant des symptômes du P.V.M.V.
donnent des rendements similaires.
*
Inventaire des insectes récoltés sur les
parcelles de piment
:Sur pièges
jaunes, les insectes sont
attrapés avec de
.
la ylue sauverode.
i,es jassides constituent 65% des insectes contre 30% de
Bemisia tabaci
et 5%
d'aphides. Le pourcentage
d'aphides devra
Gtre
pondBrQ
d'autant plus
que
le comptage
s'est
limite aux
pi&ges jaul'les . Il est évident que la méthode doit être améliorée.
13 s'agit: 4~. déceler d'inventuels vecteurs
des virus trouvés sur
piment.
1.5.1.2. Tomate
ti Estimation des pertes de rendement dues au TYLCV
!a poursuite de cet essai a confirmé
les resultats de
1. 'année
dGsrnière. Les
pertes de
rendement dues au
TYLCV sont
estimées à sensiblement à 55% sur deux années successives.

1.5.2. Nématologie
1.;.2.1 Contrôle des nématodes par cultures
associkes
L,'essai mis en place
en novembre 1992 est encore
en cours.
Les resu1t:ats seront exploités pour le compte de l'année 1993.
1.5.3. Entomologie
Le service
Entomologie des cultures maraîcheres a
consacre 1 'essentiel de ses activités scientifiques à la
Mineuse
Nord-Américaine des feuilles Liriomyza trifolii (Burgess).
Les questions relatives à l'importance de ses dégâts, a
1 'evolution
spatiotemporelle de
ses
populations et
aux
possibilités de lutte ont été tour à tour étudiées.
sl
l-5.3.1. Incidence des dkgâts de la mineuse sur le
rendement des cultures de Haricot et de
tomate dans les conditions du Sbnl?gal
Liriomyza trifolii
peut avoir une grande incidence sur
1~ rendement des cultures.
L'importance de ses dégâts depend de
plusieurs
facteurs.
On peut
citer
entre
autres :
l'espèce
végéta.!e,
la variété, le stade phénologique de la plante et la
pression parasitaire.
Sur la
variété de
tomate 'Xeewel 1
Nawet' améliortie,
lf3 s
pertes de récolte
sont de l'ordre de 41% à une densité
moyenne
de
111 larves par plant. Celles enregistrées sur la
v;-lri&ti> tic
haricot 'Royalnel '
sont moins
lourdes 8%, pour une
densite mo'yenne de 14 larves par plant.
69

..*5.3.2.
1
La dynamique des PopuIakions de Liriomyza
trifolii
Liriomyza
trifolii ne
connaît
pas
d'arrlêt d e
ciéveloppensent~ au Sénég(a1.
Les pics de
vols les plus
importants
sont
observés en
saison fraîche ;
de Décembre
à Mars.
Les
analyses statistiques
effectuées sur les données
de captlres et
'les facteurs climatiques
indiquent que la
température est
l'un
des
principaux facteurs de regulation de la dynamique de ses
populations.
Les
minima
variant entre
16,4"C et 18,7O"C et les
maxima no depassant pas 27°C lui conviennent parfaitement.
1.5.3.3. Les stratégies de lutte contre Liriomyza
trifolii
ib
Nos travaux
ont
été
orientés vers
la recherche de
variétés tolerantes
au déprédateur,
la lutte chimique et
les
techniques culturales.
Le
criblage de
différentes
Vari&és
d'+sp&zes
Iegumiéres
CII Iv t j. vées au
Sénégal révèle que Tropimela (tomate),
GI,c2rnson (gombo) , Royalnel (haricot) et lignées 18 et 10 de jaxatu
sont les moins sensibles à Liriomyza trifolii.
t'impact
du parasitisme
entomologique
sur
culture
as:sociée
haricot -
oseille de Guinée assure un bon niveau de
protection contre la mineuse. Cette dernière étant moins infestée
que la monoculture de haricot.
l?our ce
qui
concerne
les possibilités de lutte
chimique,
cm peut avoir recours
à la Cyromazine (400g/ha) ou à
1'Abamectin (9g/ha).

1.,5, OE'ERA%'ION GESTION DE L'EXPLOITATION HORTICOLE
1.6-l. Gestion de l'exploitation horticole
J-6.1 .% Cadre gtbéral
Au
cours
de
1 'année
1992,
l'attention de cette
oplrn-ti 071 c; ',ast focalisee sur les actions de recherche suivantes:
- suivi
dl3 marché
léglumier dans la
region de Dakar grace au
fecuei 1.
de
statistiques relatives
au prix
de detail,
prix de
grc-is ,
pri K
au producteur,
aux
coûts de transactions,
aux
debarquements par espèce ;
- comparaicon entre
la1 part de marché du Senégal sur le commerce
international horticole et celle de ses principaux concurrents ;
- dconamie de la production maraîchère en vue de mettre en relief
des
grandeurs
micro-économiques
selon
différents
types
d'exploitation ;
__ éf:i.idC!
des possibilités de transformation de certains produits
iivrlicc~lcs
(mangue et gombo)
en vue d'une meilleure valorïsation
de l'horticulture fortement affectée par son caractère éminemment
perissable.
1.6.1.2. Suivi du marché légumier dans la régiowde
Dakar
Cette action de
recherche date de 1984. Une partie des
TE:SL!L ta t: s obtenus a été utilisée en 1989 . A présent, il convient
ELE! pOUXSUi VL‘E!
les investigations en vue de mieux affiner les
analyses. é,c dépouillement couvrira les années 1984 à 1992.

1.6.1.3. Comparaison entre le S&&gal et ses
concurrents sur le marché international
horticole
Cette
action a
combink
une
intense
revue
::>ibI.ioyraphique et la
visite d'un pays
concurrent : le
Burkina-Faso.
Une publication vient de paraître à ce sujet,
mettant en relief les forces et les faiblesses de chaque pays en
Lor~ctlicn de-s exigences du
marché international. Ce qui a permis
TIC? tl&JageP- des orientations pour les exportateurs sénégalaie.
Economie de la production maraîchère
1
*
6

e
I! *
1.6.2.1 Position du problème
I:~ra l'ensemble des pays du Sahel, le secteur maraîcher
COY~IEZI L uri regain
d'intérêt à cause du déficit pluviométrique de
Y
r;: ( I-8 f;
ilernîihes années, de la contribution de ce secteur a freiner
-1 ' exode
rural et enfin de
la nécessité de
trouver une solution
[EE’JIWkt.i3IltT df!
sécuriser les revenus agricoles, entre autres.
Une
que st ion
EI c
pose cependant :
en comparaison
aux grandes, le
maraîchage est-il aussi rentable qu'on le pense ?
1.6.2,,2. Approche méthodologique
Le critere de performance de
la rentabilite relative
des
spf5cul ations
retenues
est
celui
du bénéfice net
avec
rémunéra-tsion de
la main d'oeuvre.
Plusieurs
alternatives de
production (modules
techniques) sont considérées dans chaque cas
.k en i 1.'
POUS
compte de la
diversité des situations dans le monde
réel.
72

Ainsi, il a
été
procédé à
la typologie
des
exploitations pour les céréales comme suit :
"- pour le mil. et le maïs,, nous avons distingué trois modules : le
moduie intwc3i f ,
le
module
champs de
case et
les pratiques
courantes ;
_”
pml r
1. 'arachide,
on a
retenu les
modules
intensif,
çemi-intensif et les pratiques courantes ;
.- pour les produits
maraîchers,
les critères retenus sont
: les
supeoficies susceptibles d'être emblavées et le systéme d'exhaure
de l'eclu. 01i peut retenir trois types d'exploitations :
+, Type A (exploitations traditionnelles) :
taille moyenne : 0,2 Ihectare ; système
d'exhaure : céane, puits traditionnels.
+ Type B (exploitations :moyennes) :
taille ,va.eiant entre 0,5 et 20 hectares -
l>uits a grrand débit, forage ou branchement
SONEES .
I Type C (enploitations agro-industrielles) :
taille suskrieure à 20 hectares - système
d'exhaur-e identique au type B.
I-'<srtant de l'hypothèse
que le type B et le
type C ont
<jes coiï ts cl.;? production pratiquement identiques, on peut ramener
j.‘ktude aux types A et B. Les produits retenus sont : la pomme de
terr-e,
IfoIgnon,
la tomate et
les
choux.
Les
rr%ultats
wregistres sont consignés dans le rapport analytique.
73

l,G,3, Etude des possibilités de transformation
fie produits horticoles
De 1972 (date 'de création) 3. 1991, le CDH ne s'est pas
i3I&)CC:Upg d<r?: possibilites de transformation de certains produits
bar Licoles et
cela malgré
le potentiel réel
dont
dispose le
Sénegal
pow valoriser davantage sa production horticole. En
1.9 9 2 ‘ l'spératiori a ouvert
la voie.
Notre demarche a
consiste
dans
un prerni er
temps 8 une
étude de marché (recueil des
s t a t i s t i q u e s d'importation des
produits horticoles
transformes,
visite
des
principaux
marchés),
ceci en
vue de faire une
typologie
des
marchés,
d'inventorier
les
circuits de
connnercirnlii:3ai:ion et
les principaux
acteurs (2 produits sont
c o n s i d é r é s : la mangue et le gombo).
1.7. OPERATION PREVULGARISATION-FORMATION
.
L'objectif
principal
du Service
Prévulgarisation et
Formation est de
tester de nouvelles techniques culturales, de
nouvel les
espèces ou
variétés sur
les cultures
maraîcheres et
d ' assurer
le transfert d'itinéraires techniques au développement
UJ ;noycn de stages, de cours, de documents etc...
1.7.3.. Formation et information
Au courant de
l'année 1992, le service a organisé au
CDIï '7
siminaires de formation sur
les cultures maraîchères au
bén&f i ci!
dt3 20 stagiaires et une èxposition sur la lutte
intégrée.
72 stagiaires
ont été aussi accueillis pour une durée
allant de 1 A 12 mois de formation générale.
74

:)87 visiteurs d'origines et de niveaux divers ont été
re'J3.s
:
Ingénieurs,
Techniciens,
Responsables
financiers,
0 u 77 r i e r 5s ,
Agriculteurs,
Elèves,
Consultants,
Représentants de
commerce etc...
1.7.2. Démcjnstration
Les parcelles de démonstration
servent B l'accu@1 des
stagiaires
et visiteurs, à la mise en place des essais variétaux
et 5 la prlparation de documents de vulgarisation
9 blocs ont
étcb
utilises par
le service,
totalisant environ 13.500 ma en
rotation durant toute l'année.
I$n mi lieu
paysan, des essais de production d'oignon a
partir de hulbilles et de semis direct ont été menés dans 4 sites
ilé3Il.S
la region de Thiès : Keur mousseu, Méouane, Mbourouaille et
Gadiaga.
"
13ans le cadre du mémoire de titularisation de Mr 'Cheikh
LO, <lt?S
essais de transfert de plants en mottes en milieu paysan
SOIlt
instcnllés à
Gorom 2 (choux),
Ndièmane (tomates), Keur
Mousse~ (tomates) et au GIE Tawfex (tomates).
L e s
espèces cultivées,
le nombre de variétés 'et les
SUT-f3CEFS
F:atales
utilisées en
station
sont
indiqués dans le
tableau suivant :
75

- -----l-;-t.-.
I: 5 p I!?“.c-E-s
NOMBRE DE
SURFACE
VARIETES
(mZ)
..__ - .---~-.-,-"--
-
Fraisier
3
225
.-.----_.- -..-._.-_
Kj wano
1
180
.-.-.--.^--. ---. ~
Pa ta te dOUC$
5
3 696
-_-_.----.,-
Piment
4
2 7 5
- - - - --..--
Tomate
10
3 6 9 0
_.. _._-. --- ..- - ,-_-_-
Ail
6
9 5 0
__._ -_.._ -_-_-,-
l P o m m e d e tetre
__----- --I
Semis direct et repiquage
___------...--,..-....-
Betterave rouge
_ _ - - - - -
____. p._-_.--.l - ..-.- --
------ ----.--
_-_-------,w-...
Melon
__~I_-_._--
Concombre
-_-----w-s-
.----.---

“y _ 11 _ :;
~~T?\\~ARI) M _ ,
3.9T?2 '.'.
Les groupes
motopompes
et les
Perimètres
Privés du Delta
du Fleuve Senégal. Saint-Louis
ISRA, 4O'p.
“I” I f: :‘:
1 !“fP7
Rapport analytique 1992 de I'Operation
Gestion
de l'Eau.
fl”‘fH)F! !I _ !
I‘.Pi*fl;l F. ‘
PIGES J.,
1992 .- Rapport
analytique des
travaux
d.e
1991.
Opération
phytotechnie du
pôle
trsnsnationalsur les cultures maraîcheres
ISRA/CIO, Tome 1,
ISRA/IRAT/CIRAD, 114 p. Tome 2, 87 p.
Tome 3, 70 p.
Y '> IT;r_jf)pT i I _ " C1Tl?A,Ti?~ PI * , PAGE:S 2 _ , 193% - La culture de l'ail au
Senégal. ISRA/CIRAD - IRAT, 4 p.
!‘!r;_‘fjf?pr
!f ” I
7qq2
Essai
de culture d'échalote à Camberene
(Sénégal ). ISRA/CIRAD--1RAT. Opération
phytotechnie du Pôle
Tr-ansnat.i~unal sur les Cultures Maraîchères. ISRA/CIO 5 p.
*
organique dans
les
systèmes de cultures
maraîchères.
ISRA/CIRAD/IRAT.
Opération
phytotechnie
du
Pôle
Transnatinnal sur les cultures maraîchères. ISRA/CIO, 19 p-
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contraintes de l'irrigation privée :
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Communautii Rurale de Rloss-Béthio - ISRA - Saint-Louis.
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Je
13?Y Gestion des Terroirs, rapport analytique 1992.
pyJ:(?T.
‘.
1 _I nr\\;>*
P3ri 7oc-:1 CIIlC brun C?!
SO? rtuum tuberosum. Journée
dl information sur la teigne et le Rhizoctone brun de la
pomme de
terre. KSRA/CDH, Fkvrier 1992, 21 p.
77

;T[,:y:[. T i
1 qc-r ;Y
Rapport d'activités durant la première phase
du projet ISRA/CIO., Juillet 1992, 86 p.
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service Prévulgarisation/Formation.
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1993 'I Plan d'urgence de contre-saison du
MDRH.
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espèces légumières du Sénégal.
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1992 -- Fiche technique "pépinière en motte".
SECK P-A. - L'abri-séchoir à oignons de
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technique).
tinV:Zl<lz c.1. ,
1i9J. .- Programme de calcul (macro supercalc) des
performances techniques et économiques des materiels
agricoles utilisés dans la Vallée du
fleuve. Tracteurs,
moisson,neuses, batteuses, décortiqueuses et rizeries.
Saint-Louis, ISRA 45 p.
1 IAVARE
PI ‘ i3E4 T.R.G., 1992 - Quelques chiffres sur les
aménagsments privés du Delta du Fleuve Sénégal
alimentés en eau par des groupes motopompes. E :
Séminaire sur
le Développement de 1'Irrigation Privée
et
Communautaire après le Désengagement de l'Etat,
Réseau Recherche/Développement,
Saint-Louis, 14-17
Avril 3,992, 9 p.
78

TIAWARil M I f 1'992 .- Machinisme Agricole et Technonologie Post-
Recolte dans la Vallée du Fleuve Sénégal. Bilan des
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Communi(::ation présentée à la journée CIRAD/SAR "Riz et
mkanisation",
Selon International de la Machine Agricole, 3
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Vallée
du fleuve Senégal. Résultats d'enquêtes et de suivis
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Podor et Dagana entre 1989 et 199
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de l’Union des GIE de Ndiatène (11 Juillet 1991 au 03 Mars
1992). Saint-Louis, ISRA, 15 p.
KAN’lI”I:: :f _ t 3’?2 -- Premiers résultats du suivi
des tracteurs de la
sec-t .i.on
villageoise de Thiago.
Du 28 octobre 1989 au 9
Jnnvier 1991. Saint-Louis, ISRA, 9 p.
KiiN’W
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rapport analytique 1992.
T,EGhl> P. P
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dans le Delta du Fleuve Sénégal. I.S.R.A.
79

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pleine mutation. Communication présentée au Séminaire sur
"le Développement de l'irrigation privée et communautaire
après le Sésengagement de 1'Etat en Afrique de l'Ouest.
"Réseau Recherche - Développement - I$RA - CIRAD. Saint-
Louis, 13 au 17 Avril 1992.
Ll.N~Al~ !“,Y. I
E.I)'E% -- Informa1 irrigation
: a solution for Sahelian
Countries? Some remarks from case studies in the Senegal
river Delta.
Communication à
la Conférence
Internationale
"Advances in planing,, Désign and Management of Irrigation
systems as
Related to
Sustainable
Land Use“
Leuven
(Delgique). 14 - 17 Septembre 1992.
993
- Organisation du
travail en
double
I.ltx;Ri,
1”.

‘J’
a
6
.!

culture/0rganisations
Paysannes et
Irrigation Priv&e,
rapport analytique 1992,
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défense des cultures.
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Pepper Veinal Mottle
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L'opération "Amélioration des plantes h Racines et
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ma Y s pour la culture irriguée dans la Vallée du Fleuve
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formulation de conseil de fumure minerale - Dot. DRCSI/ISRA
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fertilisation des cultures dans le Delta et la Moyenne
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Juin 1992,
?“i;IJEn
7:.
7 fJ 0 2
Notes sur les activités de la station du KM 15
depuis le départ de la contrepartie belge du projet
d'assistance.
Pr!:1 11 b:^ ? f _ 1 ~'~,lFY%FII~?Y r?. , 1992 .. Intensification de la production de
plants
d'agrumes en
zone
tropicale
semi-aride.
Afrique
espoir.
:::;(.y 1:. ?, < ,. IQ’J;:!
Rapport de synthèse des activités 1991 en
commercialisation des cultures maraîchères.
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srboricul:ture
fruitière à NDIOL.
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Fln.‘Jnr?D
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,
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Vallée du Fleuve Sénégal. Etudes et documents ISRA, Vol 5,
II @ 3. : 1 *- 57 .
.
a2

3 - 8 Février
.
Atelier CORAF sur les cultures
maraîchères à Dakar.
17--21 Fevrier
..
Seminaire
sur
l'utilisation
9
l'information en statistique.
Réunion annuelle des chercheurs du CILSS
en protection des végétaux - DAKAR.
*
Séminaire USAID
: Art de gouverner et
Procésseus
de développement économique
et social : le cas du Sénégal - DAKAR.
.
Réunion sur les virus des cultures
vivrières en Afrique - IITA, Nigéria.
Decembre 5.9?2
*
Vo:yage d'etude sur les mecanismes
d'exportation horticole au Burkina-Faso.
(P.A. SECK).
Mai 1992
.
.
Atelier technique sur l'oignon. (Niger).
Maa 1992
.
.
4éme réunion de
coordination du projet
GCP/RAF/244/BEL (Mali).
Décembre 3992
.
.
Séminaire PRISAS sur le secteur informel
au Mali.
23-30 Novembre ..
Atelier
Régional
FAO
sur la
lutte
intégrée Dakar.
8 3

*
*
Organisation de la journée d'information sur
la teigne de la pomme de terre et Rhizoctone
brun, au C.D.H.
2 ‘1 - *-) 9 AVr i 1
.
Comité de Programme DRCSI - CDH
3$-31. J u i l l e t :
Comité de Programme DRCQI - CDH - St-Louis
- Comité de suivi de la commercialisation de l'oignon et de la
pomme de terre au Sénégal.
-. Cvmi?-é de L;u.i.vi horticole (réunions hebdomadaires).
- Comité de su.ivi de la tomate industrielle (réunions
mensuelles).
_ Cummissioii cl'&-tude de marché de gros des fruits et legumes h
Dakar:.
- Direc;tiori de redaction du bulletin régional de la FAO sur le
developpemcnt des productions maraîchères en Afrique de
l'Ouest.
-. l:articipation aux réunions trimestrielles du Comité des Petites
et Moyennes Entreprises Agricoles (PMEA) ;
- Exposition SU~: tou-tes les variétés maraîchères sélectionnées au
LDH, a 1 'intention des participants de l'atelier CORAF.
". ExposiLion sur la lutte contre les maladies et ravageurs des
cuitures maraîchères à l'intention des participants à l'atelier
i:AO SUL‘ la lutte intégrée, des paysans et producteurs
maraichers.
.
Lncadrement de! 2 mémoires d'ingénieurs d'étudiants de 1'Ecole
Mationale Superieure d'Agronomie de Thiès (ENSA).

Ier Fevrier :
Visite de Mr. LATEROT, INRA/Monfavet
23-27 Mars :
Visite
de Mlle De Vos du DFPV de Niamey à
Dakar.
Projet FAO (Guinée-Bissau)
Projet FAO (Thiès/Sénegal)
Projet PI&D/FAO (KayarJSénegal)
F'rojet FAO (tous les pays ayant participe à
l'Atelier Régional sur la lutte intégree)
Consultants FAO.
Corps de la Paix (USA)'
JICA (Japon)
GTZ (Allemagne)
AGRIFORCE/CIRAD (France)
Ambassade de France
Ambassade de Belgique
--
USAID (USA)
Groupement Maraîcher de Téthiére (Belgique)
CECI (Canada).
85

CARITAS (Sénégal)
GRDR (France)
AFRICARE (USA)
La Source (France)
WV1 (USA)
CWS (USA)
ITA (Sénégal)
CIEPA (France)
FASSAALE (Senégal)
RODALE international (Sénégal).
CFPH (Dakar)
DERBAC (Ziguinchor
ITA (Dakar)
EATA (Ziguinchor)
PNVA (Dakar)
CNFTAGR (Ziguinchor)
MTFP (Dakar)
Mission catholique (Thiès)
PPR (Thiès - Tambacounda).
-_
PIONERS (USA)
MITSUBUSHI (Japon
TECHNISEM (France)
TEZIER (France)
-.
CHIMIE AFRIQUE (Sénégal)
SENCHIM (Sénégal)
ZPC (Hollande).
8 6

- 12 privés
parmi lesquels 5
exportateurs dont
3 au
Sénégal, 1 de Gambie et 1 d'Angleterre.
- 4-i producteurs
sénégalais
établis dans
les Niayes
(341, cn Casamance (4), dans la Vallée du Fleuve (2) et
dans d'autres régions (3).

.-
MT‘.
HUBERT DE BON,
Operation phytotechnie, (ler
semestre 1992).
.._ Mj; .
Léonidas FEREOL,
Opération Défense des Cultures
(ler semestre 1992).
.- Mme Aminata BA.,
Opération Solanacées à fruits
(Zeme semestre 1992).
- M 11' . Souleymane DIOP,
Opération
Prévulgarisation et
Formation
(2ème
semestre
1992).
Opération
Prévulgarisation et
Formation (ler semestre 1992).
-. M r . Youga NIANG,
Opération Liliacées et Gombo
(2ème semestre 1992).
a7

- Cheikh LO,
Opération Prévulgarisatiov et
Formation
(2ème
seme$tre
1992).
- Mme Fatou GUEIYE,
Opération
Liliacées
et Gombo
(2ème semestre 1992).
"- Mr. Emile SENE,
Opération
Gestion
de
l'exploitation horticole (&me
semestre 1992).
_- I/Ir. Eric PIERARD,
Opération Prévulgarisation et
Formation
(2ème
semegtre
1992).
80

l(?r au 10/05 -f Mission d'Appui du CIRAD-SAR (A.DUCREUX) aux
activités de machinisme agricole de 1'ISRA (Centre
de Saint-Louis, Bambey, Djibelor) dans le cadre du
groupe machinisme agricole.
6 nt 1.3/06 -
Discussions avec la mission d'évaluation de la
seconde phase du projet FAO GCP/SEN/032/NET.
Réunion de synthèse de la mission d’évaluation du
Projet FAO au1 Ministère du Plan en présence de la
représentation FAO, de 1'Ambassade des Pays-Bas,
du PNVA et de! 1'ISRA.
%-?J/O7 .-
Préparation et participation à la première Foire
Agricole de Saint-Louis. Notre programme qui a été
8 La base de cette initiative, qui fait suite aux
recommandations du séminaire ISRA - Organisations
Paysannes, a été fortement sollicité.
Appui aux Organisations Fedératives (U.G.E.N.,

UGIED, A.F.E.G.I.E.D.) pour la mise en place d'une
supra-organisation (A.S.S.O.P.A.F.)
a9

Ma-cs - ,?.vril 1992 -
Organisation du Séminaire sur "1'Irrigation
Privée en Afrique de l'Ouest après le
désengagement de 1'Etat organisé conjointement
avec le Réseau Recherche/Développement - CRET (13
au 17 Avril 1992).
Participation au Séminaire sur la Gestion des

Ressources Naturelles à Kaolack (1. DIA).
I’ls i. 1. 9 9 7 -.
Comité de programmation : D.R.C.S.I. et D.R.P.S.A.
Réunions avec le Département des Sciences
x
Economiques de l'université de Saint-Louis pour la
signature d'un protocole d'accord dans le cadre de
La formation des étudiants en économie agricole
par les chercheurs de 1'ISRA.
w
w P.N.V.A. : Redynamisation des activités
Recherche/Développement dansla Vallée. Travail de
conception.
Préparation Projet Recherche/Développement sur
e
le suivi de mini-rizerie avec la SAED et CCCE.
m Conférences en langues nationales au profit de$
Organisations Paysannes sur les enjeux de la
Gestion de Ressources Naturelles dans le cadre de
l'irrigation privée (1. DIA),
0 4 Juin --
Réunion de programmation du PNVA
Animation scientifique sur les thèmes suivants :
*
la gestion communautaire des terres par la
communauté rurale par 1. DIA, C-1. SYLLA et M.
NIANE.
90

.
le transfert des activités de mecanisation aux
organisations paysannes par S. KANTE.
.
l'organisation du travail et la double culture
par P.Y. LEGAL.
Animation Scientifique sur les thèmes suivants :
l/ -
Le Programme d'Arboriculture Fruitière par
D. SIDIBE
%/ -
La culture de l'oignon par J. PAGES
3/ --
Les ressources alimentaires pour les animaux
domestiques par A. DIATTA.
!.,/O’-) -
Programmation des activités de recherche de 1993.
11 -
Animation Scientifique sur les thèmes suivants :
I/ ‘-
Techniques culturales du maïs irrigué et
diversification par C. DANCETTE
/ -
Contribution à la définition d'idéotypes du maïs
pour la culture irriguée en zone sahélienne par A.
NDIAYE.
10 /04 --
~Restitution des résultats du Programme
GRDR/SAED/Matam.
Programmation des activités de vulgarisation de
l'élevage dans la région de Saint-Louis.
91

2 1 / i. 2 --
Animation Sc:ientifique sur les thèmes suivants :
l./ ”
Analyse des caractéristiques de certaines variétés
de du riz et perspectives d'amélioration par P.
SENGHOR.
2/ --
Mécanismes physiologiques de régulation du cycle
végétatif du riz dans les conditions du Sahel Par
M. DINGKUHN.
3/ -
Conduite de l'irrigation du riz sur sol fondé Par
T.BA.
/1/ .-
Qualité du Riz et Technologie Post-Récolte du
paddy par A TOTTE et 1. DOGGER.
92

~E%S-TONS
E T R E U N I O N S
3: NT~Z:RNATION+LES
-.- ..- -_- - -- - .- - - -
.
Journées "Périmètres Irrigués"
organisées par le
CIRAD/SAR Montpellier, 3 Septembre 1993,
(Legal,
1 9 9 2 c ) .
.
Conférence Internationale
"Advances in planniag,
design and
management of
irrigation
systems as
related
to sustainable land use".
CIE-ECOWARM,
Leuven, 14-17'Septembre 1992, (Legal, 1992b)
Colloque de 1'APAD (Association internationale
pour
1'Anthropologie d u
Développement) !
a
/
Montpellier sur "Les organisations et associations
paysannes" (1. DIA).
Réunion consultative organ,isée par
l'IPRID/Wdrld
Bank
pour
l'élaboration
d'un
prwr+-
international de recherche' sur l'irrigation
zjour
le compte des
petites exploitations agricoles' en
Afriyue à Montpellier
(1. DIA).
Journées de l'irrigation du
CIEH à Ouagadougou au
Burkina Faso (1. DIA).
9 3

g / 0 5 ,
l?.jO7 .-
Formation du
personnel de
Ndiatène
sur la
moissonneuse-batteuse,
puis
restitution et
résultats de
suivis de la
première annge
(Opération Machinisme).
Exposé de M. HAVARD à l'école d'Elevage de Saint-
Louis pour les elèves de 1'E.N.C.R. - Bambey sur
ia mécanisation agricole dans la Vallée du Fleuve.
15-18/07 -.
Mission à Bambey :
Formation à la conduite des
tracteurs des
agents de 1;opération machinisme
agricole de Saint-Louis et essais de la chaîne de
mesure du CIRAD-SAR.
29 Fevrier au 31 Mars - Stage'de formation sur la Gestion de
l'Eau et de l'irrigation dan$ la riziculture au
Burkina Faso - ADRAO. IIMI -‘EIER de Tanou Baba
Gallé BA Hydraulicien.
30 Septembre au 11 Décembre - Stage URMA (utilisation raisonnée '
de matériels agricoles) en France (S. KANTE et B.f
KANDJI).
Appui aux Organisations F$dératives
(U.G.E.N.;,
I
IJGIED.,
A.F.E.G.I.E.D.) pour
la mise en plac;le
d'une supra-organisation (A.S.S.O.P.A.F.).
Le
responsable
de l'opération 'Gestion des sols" 'a
di spenst5 une formation
aux Conseillers Agricoles
de la SAED au
mois
de
Juin 1.992
sur
le rôle de l'analyse de sol dans la
formulation de conseil de fumure minérale.
94

[*liii .- f 1x i n 19 9 2 - Préparation des dossiers de demandes de prêts
pour les minirizeries des villages de Diawaf,
Thiagar et Pont-Gendarme.
V
I
S
I
T
E
U
R
S
23/.tCI
MM, K. ADACHI et II. ISCHIGURO, missionnaires Japonais
i/‘12
MM, Wejsenberg et C. LEDUC, missionnaires de la Banqhe
Mondiale.
.MOUVEMENT D
E

PER$SONNEL
[départ :
Monsieur Michel HAVARD
Machiniste AFicole
95

Séminaire sur les cultures pluviales en zone sèghe
du 6 au 8 Mai 1992 CNRA/BAMBEY.
Atelier du groupe
/
d'Action sur le riz
irrigueau
Sahel du 14 au 16 Mai 1992 CRA/SAINT-LOUIS.
.
Séminaire sur les effets de l'utilisation des
pesticides sur l'environnement DPV/DAKAR.
.
Assemblée générale du Réseau CORAF/Maïs.
En Janvier : réunion de concertation entre l'ADl0
et 1'ISRA.
En Janvier : (du 6 au 14) MM. Abdou NDIAYE et Paul
T. SENGHOR ont participé à Paris au colloque "Jean
PERNES sur les ressources genétiques".
Du 3 au 6 Mars,
s'est
tenue à Saint-Lou$s,
l'Assemblée Générale du réseau maïs de la CORA/F.
Quinze Pays Africains étaient representés a cette
assemblée.
Les chercheurs maïs ont
participe à
cette Assemblée Générale.
Les 19 et 20 Mars, s'est tenue à Dakar,
l'Assemblée des Ministres de la recherche
agronomique des pays de la CORAF: Jean-Pierre GAY
et Régis GOE:BEL ont assisté à une partie des
travaux de C#ette assemblée.
96

En Avril : Mr.
Jean-Pierre NDIAYE s'est rendu a
Bamako et à
Niamey pour
aller presenter .et
discuter
le projet de
recherche qui doit être
déposé conjointement par le Sénégal, le Mali et !le
Niger.
.
En
Mai : Mr.
Abdou
NDIAYE s'est
rendu I à
Ouagadougou pour participer à la réunion du comqté
directeur du réseau maïs et niébé du SAFGRAD.
!I
En Mai puis en Juillet, Mr. SENGHOR a participé
aux réunions du groupe d'action et du comite ide
suivi de 1'ADRAO sur la riziculture irriguée.
w
R E U N I O N S INTERI’#ES
Réunions
in.ternes du programme.
5 reunions des
chercheurs du programme ont eu
lieu depuis le lbr
Janvier.
Participation
des
chercheurs à
1'Animatipn
Scientifique du Centre.
.
Participation aux réunions du comité du programme.
Le
coordonnateur du programme a participe,
dans le
cadre des relations DRCSI / Universite de Saint-Louis à
deux réunions qui devraient aboutir à la signature d'un
protocole d'accord. Ce protocole d'accord concerne les
modalités
de mise en oeuvre
de la participation de
chercheurs de 1'ISRA à
l'enseignement dispensé par
l'université.
97

.
Dans
le cadre de la CORAF, un avant projet
régional
de recherche sur
le développement des
cultures
irriguées
au Sahel a été élaboré et
déposé au
FED et au FAC.
Dans
le cadre :de
l'élaboration du projet final,
plusieurs réunions
ont eu
lieu avec
le FED,
le FAC,
la CORAF,
'le
CIRAD et la SODEFITEX.
*
Mr.
Abdelfakhra
SALET du
Tchad,
élève :de
1'E.N.C.R. de Bambey est en stage du
ler Juin iau
30 Septembre
dans le
cadre de
l'opératijon
Y
,
entomologie.
.
MI:. Laurent DELANGLE,
élève à 1'ISTOM en France,
est en stage du 15 Juin au 30 Novembre dans Ile
cadre de l'expérimentation en milieu paysan.
.* Formation dispensée par les chercheurs du programme :
le 24 Juin,
4 h de formation sur le maïs ont *té
dispensees
par Jean-Pierre GAY
aux élèves -de derni$re
année de l'ENSA de Thiès dans
le cadre d'un cours 'de
phytotechnie spéciale ;
le 25 Juin,
Régis GOEBEL et Jean-Pierre GAY ont
dispensé une formation sur le maïs aux conseillers 'du
projet
FED/SAED de Podor
qui seront-appelés
a suivre
les essais maïs e:n milieu paysan';

Mr. Abdou NDIAYE,
dans le cadre
de sa thèse a été.en
formation du 5 au 25 Janvier,
chez Mr. GALLAIS puis ;du
12
Juin au
18 Juillet dans le laboratoire de Mr.
BONHOMME à 1'INRA de Guignon.
Mars : les delégués du réseau maïs de la CORAF c
visité le centre et les
expérimentations mises
place à Fanaye.*
Mars : à l'occasion de la reunion des Ministres
la CORAF, Messieurs
PICARD (Directeur CIRAD-CA
DARTHENUCQ (CEE DG XII) et VERCAMT (MRT Franc
sont
venus à Saint-Louis pour une réunion
travail et
ont
visité
les expérimentations
place à Thiago.
99

Mr Serge VOLPER, phytotechnicien a quitté le programme
le 30 Mai 1992.
ANRIVEES
__.--..- .-_- -_
Mr. Claude DANCETTE, Agronome - bioclimatologiste a
rejoint le programme en Août 1992.
100

Pape Abdculaye
SECK
Economie Agricole
Alain
MBAYE
Sélection
Abdou1 Aziz
MBAYE
Virologie
Aminata
BA
Sélection
Emile
COLY
Entomologie
Massaer
NGUER
Arboriculture Fruitière
Demba
SIDIBE
Arboriculture Fruitière
Youya
FALL
Agronomie
Cheikh
LO
Agronomie
Jacques
PAGES .
Agronomie
Eric
PIERRARD
Agronomie
Hubert
DEBON
Agronomie
Léonidas
FEREOL
Nématologie
Bernard
DEWEZ
Agronomie
Michel
GERARD
Agronomie
Gilbert
DELHOVE
Agronomie
F.M.
KOOPS
Agronomie
Khady
DIO:P*
Entomologie.

Tanou Baba Gallé
BA
Hydraulique Agricole
Ibrahima
DIA
Sociologie
Pierre-Yves
LEGAL
Agronomie
Samba
KANTE
Machinisme Agricole
Jean--Pierre
NDI.AYE
Science du Sol
Michel
HAVARD
Machinisme Agricole.
.
Claude
DANCETTE
Agronomie/Bioclimatologie
Moustapha
DIAGNE
Malherbologie
Thiaka
DIOUF
Physiologie
Jean-Pierre
GAY
Agrophysiologie
Régis
GOEBEL
Entomologie
AIY
NDIAYE
Physiologie
Abdou
NDIAYE
Sélection
Paul Th.
SENGHOR
Sélection.
102

DIH-ECTXON
Jean-Pierre
NDIAYE
.
Directeur des Recherches sur
16.2s
Cultures et
Systemes
Irrigués
Thiaka
DIOUF
.
.
Adjoint au
Directeur
des
Recherches
Mme Awa Ly
WANE
.
Secrétaire de Direction
l
Justin
SECK
.
Chef du Ste de Gestion
.
.
Jacob
DIATTA
.
Chef Comptable
.
Mme Aïcha
SARR
.
Secrétaire Ste de Gestion
.
Mme Penda
CISSE
.
Comptable-Matières
.
Babacar
BA
.
Agent Administratif
.
Thédhore
EHEMBA
.
Chef des Services Techniques
.
Pape
FAYE
.
Chef de la
Station
m
Expérimentale de Ndiol
Gabriel
SANE
..
Chef de la
Station
Experimentale de Fanaye.

1. PROJET IRRIGATION IV
Pinau-t CFD ex CCE
- -._ ‘-_-I-<. -- ,.- -... ~_IX~
RUBRIQUES
PREvIsIoHs
REALISATIONS
TAUX DB
-...
RSlWSJkTIOîf
Equipement
2 850 000
151 560+
5.31
Fonctionnement
77 960 000
53 413 186
.-.,
68.50
l__.-
80 810 000
53 564 746
TOTAL
.__” IIx^___ ___, _-___
-mm.-
66.28
(*) Confection de 2 tables et d’une biblioth&ue.
2. PROJET MAIS IRRIGUE
2.1., Financement FAC IGE
I. II”.- __._” ..-....-.-.. -_-_II_ -_ --
RU@RIQUES
PREVISIONS
REALISATIONS
TAUX llfl
.<_--
REALISATION
Equipemeut
-.-‘---‘.-“.“.--.‘.‘.-
Fouctiounwent
1 * -
15 985 000
- 9 367 063. -58.60
.-
15 985 000
9 367 063
TOTAL
58.60
-_ . ..-__- _^ -.__ -, ..<__ - ___-_ ---_ - .._~ --__ _-. _
2.2. Financemeut FAC bilatkal
-.., -.. ^__ ---.-. I.,-m. ~
-
RUBIRIQUES
PREVISIONS
RIWJSATIONS
TAUX DB
^... -.._ _.---- -- --.-. .---.- --~
RE&LIsBTIO!H
Equipement
3 600 000
1 899 728*
52.77
Fonctionnemeut
19 100 000
10 591 758
55.45
-
22 700 000
12 491 486
TOTAL
55.03
_,_ - ..--. -_. -.- .-.-- _----
--
:+ Achat d’un télécopieur pour le Centre de Saint-Louis et de 5
mobylettes motobécane pour observateurs.
104

3. PRA II
Financement IDA
,- --
---.-kW.
RUBRIQUFS
PREVISIONS
REALISATIONS
TAUX DE
REALISATION
..---- -----_--. ,--
Equipement
5 5 500 ooo*
11 178 150
20.14
^*-----. -.,-_
Fonctionnement
2 0 155 000
18 126 280
89.93
-~ -_--__I.,---_I-
-
TOTAL
75 655 000
2 9 304 430
89.93
-.-.--...--...----i--
i Cinq véhicules étaient prévus, mais n’ont pu être achetés.
*R Réhabilitation et aménagement Ndiol et Jardin d’Essais de
60r
(3 066 750 F).
Acquisition de matériel informatique pour le Programme GRNSP (8
31 400 F CFA).
Deux principales conventions ont finance les activités de la
Direction des Recherches au cours de l’exercice 1992 : Irrigation IV
et FAC IGE.
Cette dernière ayant pris fin en Juillet 1992, le reliquat de
crhdit constitue par la caisse d’avance a permis de supporter les
charges du Programme Maïs Irri#gué durant la période d’Août a Décembre
1992.
Quant au Pro-jet Irrigation IV, quelques perturbations ont été
notées dans son exécution par suite du retard considérable constaté
dans le remboursement des mémoires presentés à la CFD.
Néanmoins, ces diffécultés ont été amoindries par les
alimentations reçues sur financement IDA et Fac bilatéral qui ont
permir, aux differents programmes de fonctionner d’une maniere
relativement satisfaisante.
$05