J , DELVAQUE 3 EME PARTIE PRUDUCTIQN C O U V...
J , DELVAQUE
3 EME PARTIE
PRUDUCTIQN
C O U V E R T U R E D E S BESOItiS
PREVSSTOMS R E G I O N A L E S
OREANZSATION E T M E S U R E S S T R A T E G I Q U E S
CONCCUSEONS E
T

RECOMMANDAT10NS

TABLE DES MATIERES (Je Partie)
Pages
Avant prcrpoa
1
1.
BESOINS AFFEREMTS au MARCHE NATIONAL
1
1.1.
Production d ‘oignona ./
2
RGpartftion r&gionale
3
1.2.
Production de pmrmes de terre
15
R&partition rdgionale
18
1.3.
Pmduccbn d e
tonrates
28
R&partition r&#xmle
31
1.4.
Productfon de chou
32
Répartition rdgionale
3 3
1.5.
Production de piments
34
1.0.
Production d’aubergines
3 5
1.7.
Production de carottes et navets
35
1.8. Autres légumes
36
2.
BESOINS AFFEREMTS A L’EXPOR’JMION
37
2.1.
Ver8 les marclnés europhns
3 7
2.1.1,Voie a&rienne
3 7
2.1.2.
” mariti.t&es
38
2.2.
Vers les march&a africains
39
2.2.1,Voie terrestre
39
2.2.2.
” afkienne
4 0
2.2.3.
” maritime
4 1

43
3.1,
RiZgion du Cap Vert
43
3 . 2 .
II
de Thi&s
44
3 . 3 .
tt
d e Lsuga
45
3 . 4 .
1t
du Pleuve
46
3 . 5 .
II
de Dfoüx*tieP
47
3 . 6 .
II
du’ SîJle Saloum
47
3 . 7 .
48
3.8‘
1t
au SQnégal O r i e n t a l
48
49
5.
MXENS A MIYI!T~ Ei3 CGXJVRE et l%ZXWS STRATEGIQUES
52
5.n.
Extension des superficies
52
5.1,1. Vocation des exppoktationû
52
5.1.2. Couvexture dea b e s o i n s ruraux
53
5.1.3.

II
urbains
et des exportations
54
56
56
56
57
48
58
58
en

8.
fNCIDENCE SOCXALE
63
9.
ROLE DE L'ETAT
64
9,l.
Dans le secteur @nBral
64
9.2.
rl
II
65
9.3,
"
'1
cmmerc9alisati.m
65
9.4,
"
II
6conomlque et financier
65
10.
CONCLUSIONS ET REcOMMANDATIONS
67


Puis, dRma un second éenpt, l'&ude e'attauhera RUX prrymm ii
mrrttfu eu o&uvre wur attallndre 1%~ paPspectZ~8a & moyen t~rmtk, eoitt
entra 1985 et 1’ ,horizon ZOa).

B%$QiTl3
2 665
2 665
2 065
2 655
2 665
2 665
2 665
2 665
2 663
2 665
2 665
2 665

4.

Besoina
16. $00
1 680
3 840
1400
EOO
2 640
43cJ
32Q
to/m
6 325
205
--
1440
2 800
ml
2 400
9 4scl
390
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18.
PROaM PRODUCTION SIOMHE DE TERRE 2985
-
--
Production
RcSgSons
’ Besoins
Destinamixe excbdent
Sup. haa
-.
cap Vert
12:000
Irqxxct Extex.
2 500
Thiès
3 500
/
wa
1 500
[
Fleuve
mc
:
Diourbel
1 080
200
15
hport exter. 160
Thf&s
425
Sine Sal.
2 300
250
15
Xmpatt exter,
325 1
ThiBs
975
--.- ..i
casam&nce
1440
Import extar. 225 )
Thies
855 ;
UxBental
300
-,...
lM.&s
1 920
8 250
380
Cap Vert
3 500
Import ext.
4cK:
Sine Sal.
975
CÏasamance
855
Ori@W%Sl
240
Fleuve
550
Eq.wrt
500
Louga
780
2 7.50
150
cap Vert
1 500
Diourbel
400
Expart
200
--.r
Flsuve
1 200
Cap Vert
800
Import ext.
250
r'
Expott .
200
mies
558
i
DLStafl des calculs, voir tableaux IX B XVI.
. . . P

lmza ce8 caltx18, il nfa pas Btt? tenu compte des chiffres cc;ucemLsT12”
les besoina estim& de la populertion rurale, p0ur les tdgioas partf+llmmn~
ou non productrices, Diaurbel, Sine Srrloum, Casamance er Cwisntrrl. En eflre;,
il a été préf&Cr de 1ea orienter davantage vers la ~omxmmation de la hkftt.%&
douce, qui constftie un excellent mxcE&m?, et qui reste beaucoup plus
facile B produire. Le culture s’effectue 2x parckr de bouturea et non de
muences trés COQ&~S+~, la plante aat adsi&tmw+ eux coaditioner de clknmt,
et ne compte pas ou preérque d’ennemi.a, le feuillage repr4eente un trjie boa
~lim%nt et les tubercules puwnr etre r&dtis trn fonctioLt des bégcrinls
entre 90 et 120 jours.
Toute8 ces rafaons concourent pour favoriser le d&elopptrment de la
production de ce l@ume, dont lea qualit& nutritionnelIera $Ont unania~ak
reconnues, dans leur r&ioas qui diaposant de ~etlt(owxm en eauI mafa dom
ter.c,onditiona de cfimrst surit couvent .diffici.les.
Four revenir B la m de terre, et au programme de production pm~.-s,cf~
ci-dessua, il faut bien pr&Aaes que ~a ~&lirrat~on &Pend de l’~pplicat&w~
d’un 8ystkm basé sur une pmdsrctkon de mmences locales.
Selon les calcule envirpag&, cette m&lsode exigwxit 1~s dis~sitian
d’un total approx%mstif de 500 tcpnms de semenmm, représentakt la ni~rrs
en culture d’environ 30 & 35 bas rbserv& Bt cette production de semences
1oSaleB.
Pour lrasaurer dens des conditfona ccpmven&lee, et pr surte dee ~oLnl-
particuliers qtxe cette culture sptbcfala exige, $1 sertit eorrhsftabls de la
confier B un certrifn nombre de producteurs s&lectSonruécr pour leur compl$tenct:
et autant que pcsefble graup& dane www$me regiorz, prkzentetnt des ctxzac-
tares favorables, afin de simplif&er et aeaurer les contrales indispensablw.
Le respect de ces r&gles et l’application des m&hodes notwells~ L&as~+
espdrer une rt?duction derr importations qui se l%miterafent en 1985 B envirw
4,000 t soit 21 % du total des beeoins wtti&s, au lieu dee 10.000 tonnea
actuelle8 qui représentent plus de 60 % des beeioins.

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ii
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8 0
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N 3
23.

24.

25.

-
26.

---
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4 0
27.


29 0
La Région du Cap Vert consacré &aque ansde anvir~n 200 has & la cult~m
de la tomat%, CL! qui r%pt&wntc~! UKW pmductim v%x&mt %IUX$ 4 et 4.5914 t.
dont le majsure partie se situe! dans 1%~ mis 3% Mars-Avril-mai et JuPna.
auparflcfa B envisager pwmaêt attefndre preaqw 3GU bas.
.*. /

. . . !

Programme production tomate fraiche 1985
-11
I
I
B e s o i n s t
ProdusZion
Destination
%gione
pri3pXW3
f
excédent
1
Quantit& 3 sup * t
T
has
l
1
-.-
l
!
-
Cap Vert
/ 414. 500
200 I-
10 ; 000
- du Fleuve 2,800/23im t
de
3.aoOJ35or t
Thiea
_c.--_*
Thiea
--“---A
2.400
6 SOO/6 5Oc( 300
-vere Cap vert 3.000/
3.500
-vers s i n e Sril. 500/600
---
FP. cuve
1.900
5 000/5 &Ootj
250
-vers cap vert 2.800/
3.300
-vers Sine SaI. 500/600
Lauga
f.ZGo
-
-
--II-
““..._Mir.
Sinb! Saf,
3.300
du fleuve
8oo/ 3. .‘i:x~
et Thiès
a---..-
1111-d..-.-
--..-
11. ‘ --..
Diourbel
de Louga
900
-
-
-
-
.
..“..,-~-.
Casamanee
-II
---
-
“-
_--
Tomate industrielie
Fleuve
..* I’

. . l
/

33
Programme pwoductîon chou vert 11985
BeSOinS
Desèination
Couverture
i
R&$ions
--
p r o p r e s
exc&dent
dbficLt
'
Quantité
sup.
T
E%S
-
-
cap Vert
8 000
5 000
%Cm
-
-
1.300
4 000
160
cap vert
2 000
Sine Sel.
700
C%S%tMUUX?
800
i
Oriental,
200
Diourbel
700
200
15
I..
.
-
xiouga
500
2 000
3 0
cap Vert
lUo0
/
Diourbel
YI
ailla Salouab
1 400
700
35
de Thi&s
- -
1-1
Fleuve
950
950
50
-II_-
1 050
2 50
3.0
Caeamancc
-. --
II
OricntaX.
200
*. . /

3 4
1.5.
PRODUCTION DE PIPIENT
La consommation importante, pratiquement 3 000 tonnes en X985, de
cet épice, devreit mgager une mise en culture relativement importante,
par suite des rendements relativ~nt rbduits pouvant ?!tre esp&&s.
D’autre part, Gtant donné les conditions ,de v&&tatian de la plante,
qui supporte trks bien les fortes tempSratures, et est susceptible d’btrc
cultivée $ peu près dans tout le SthégaK et tout au long de l’année, il
serait logique de réserver la plus grande part de cette production, aux
régions difavorables B celle des autres l&umes, c’est B dire le Sine
Salcmn, la Ck3samnce, et Ie Skntsgal Oriental.
Il faut ajouter que le produit se conservant bien et n”&ant pas
fragile, n’exige pas une vente hur&diatement après la récolte et peut
etxe produit!en des points m&me tr&s CSXoign& des Ileux de conaona~ation.
Les rendements moyens escomptables pouvant &tre es?&& B 6 ou 7 tonnecji
hectare, la superficie 2 enviwger s’eleveraft au total aux environ de 450 ha
dont La r&partitltion pouxrad.t Btre en ordre de grandeur et approxi;mative-
ment la suivante :
Cap Vert
30 has
Thiès
50 ”
Louga
20 +*
Fleuve
30 ‘*
Sine Saloum
lS5 @*
Caaamance
100 ”
Urkental
35 l’

1.6.
PROIXTG?XM D’AUBERGINE
Ses facuIt& d’adaptation autorisent la culture de ca légume en, touws
r0gfons BUT 1 ‘ensemble de l’ann&.
Cependant contraim.ment au piment, il ne pos&de ni ses faculitQs da
conservation, ni sa rt%3htancgo.
Les rCgiona aont donc dans l’ensembie capables de a’auto approvfsionrrex-.
Four le Cap Vert dont 1s canstmnation dépasse largement les capacitbér
de prad~ction~ le dLficit devra 6tre comblb par la production des rtsgions
voiufnes, ‘J%ibi et Sine Saloum dans la mesure du possible, aoit 100 has
dans la R&gton de Thi&a est 70 ha5 dans Te Sine Salourn.

f5ea PégLmkcs racf.nas sont aurtou t cwmmm& par les p43pulatfon.s urbainm.
et surtout par Iles cftadfm de Dakar. Le Gap V&t peut amurar une productlot:
d’saviron 3.M?O tonnes pour les dm.m espéces rl’unies.

Le déftcit soit 2.200 a 2.533 tonnes easragt B combler & partir des
régions de Thi&s, Zoug& et du Fleuve, gui ont dejSe Z’habitude d’en pradui-se,
Il est possible eye Ica rhgfowr de Diourbel, du Sine Saloum et de
Casamance ne puissmt amurer ta totalit& de leurs besoins, par mite de
leur caurte ptrfode de proc2trctian. Leur ccmpX&tmnt d’approvisionnement ai?
fem dgalemest depuis les r&gianra pr&&dentes.
. . . /

1.8.
AUTRES LEGUMES
Cette série iwportantc surtout dans le cap Vert, est
constitutte de laitue et salades diverses, poireaux, choux fleurs,
concombres, courgettes, &Pinard, poivrons, betteraves, melons,
pastèques, radis, persil et autres condiments etc...
Les besoins sont difficiles b exprimer pour chacun d’eux
et par r&ion,
C’est bien stk le Cap Vert qui constitue le plus gros consow
mateur, puisque l’ensemble de ces produits représenterait un bcsoia
d’ environ 10.000 tonnes,
Il est probable qu’une partie des besoins des autres région‘à
moins favoris&8 est assur dgalcmant par le Cap Vert et par la
région de Thks, 31 et& 4if%icilt d’bvaluer Ics quantitds transi%éc~
LENJMES DE TYPE APRICAIN
Traditionnollomcnt la culture de ces l@u~ts est cntrcprioc
plus souvent pendant l’hivernage dans la pl.uprt des rcgions.
Cependant que ce soit pour les gomboe, la patate douce, le
manioc ) le bissap, le diakhatau pour n’en citer que quelques uns
parmi les plus i.mport%nts, la consommation et les beaoina e’dtalmt:
sur l’année esltiÉrt.
Les prix 61cv6s sonstat& pendant la saison a&fhc justific-
raient leur culture irriguée.
Les chiffres de conssrrmuation ne sont p%wqucmcnt pas dispo+=
niblcs et restent difficiles & &Valuer.
plais il est B peu pr& certain que ces cultures pourraient
erre développdcs dans une mesure assez large, surtout dans les
rdgions qui ne disposent que de conditions de climat limitbcs pou::
la culture dos espéccs de type europdcn : Sine Saloum, Sén&gal-
Oriental, partie orientale du Fleuve.
Il faut ajouter que eertainca sp8citletio~s comme 10 gombo
pourraient faire l’objet d’un petit courant d’exportation.

37.
2.
BESOINS AFFERENTS A L'EXPORTATION
2.1.
VERS LES MARCHES EUROPEENS
2.1.1.
?'AR VOLE AERIENNE
C'est le sellr moyen actuel, dont disposent les exportateurs pour
évacuer le8 productions dans les caazditions Aiiapensables B la rBalisa-
tfon d'objectifs valables, c'est B dire r&ularitb, fr&quence et constance
des liaisons, pendant toute la pbriode de production.
Les produits susceptibles d'emprunter cette voie, sont pour les prin-
cipaux, le haricot vert et le melon, pour les plus secondaires, les Piment;a,
tomates cerfses, gombos mais en quantitls relativement restreinte.
Compte tenu du navoau ilevia de transactions déja attegnt par les
grand8 produits , haricot et melou, d'une part, et d'autre part, des effort&
de8 pays concurrents, ainsi que: de l'incidence de la crfse trconamique eu-
ropéenne 'et de fVaugmentation du prix de fret, il serait prudent d'envtsa-
ger le d&eloppement de ce8 activit& avec une certaine mesure.
Xl semble qu'une progression de 10 % par an pour les cinq prochaines
années, et si les cirsonstancea &ctuellôs restent identiques, puisse &tre
retenue comme un maximura rafsorwnable. Ce qui correspondrait pour 1985 B des
rbalisations de l'ordre de 5.0010 tannes de haricots verts, 1.200 tonnes de
melons et environ 500 tannes de prahits divers.
Production nécessaire
La production carrres,parfwmte, en tenant compte des pmwrtions de qu&kG
impropres Zk l'exportation peut s"envirrSager ainsi :
Haricots verts
6 000 8 6 SO0 tonnes
Melons
1 800 & 2 000 tonnes
lliV'JX%
1 OcI0 tonne3
Deux r&gions seulement doivent Wre prises en considbratfon pour oettz
production : le Cap Vert et Thi&s.
. . . /

2.1.2.
PAR VOIE: MARITIME
Il faut ici reprezudre les rf%u;BtMz3 de 1'6tude an,alytique
(seconde partis pags 683.

Tunlates
3SQ bas
Pu%muns
a20 baia
Aubergines
PS bas
Mis B part le poivr43n, pc& Pequet 1e marchd nat$onal est encore peu
Lntéreasd, tcsua 1ea autres gmduit~ sont cunro~~~Sas et fuüe: l’objet de pao-
ductions.


4L,

42.

La ooll.aWm d e s c.kmdes prt%c&leFstes psmet d’btablfr u n p l a n
pr&islonn%l du r~acre?r;&%g% paur les prsch%insa rtïm&%, %lif vu% dut pmvaniz
aux abjasctifs envisagés pour 1985.
3.1.
La Région du Cil~ Vert
Etant dom& sa situation pm~ticuli&re mz poiat dc *me de l’urb%n:ltm~;.
de 1°erspl&tation d&jhn tr&s %vmcbe, d% aea re%%cwm%% natur%ll%s, %t
surtout de L’eau, une isxtaneiion ~idtieusce de% enpsrficfce rast difficile 2
envieager. Il apparafr cmm% plu8 rai%onnab%% et r0aliat% de %% b%%%r mm:
les supe~ficiee &crtuell@m%mrt &qhitC%e,
ce qui peut 8% tr&dufP% parr la
rl5partlticm su&vonta: :
E3p&C%6
Couverture
366oins aba~fanaux
Superf ice
bventuala
-
-
-
--
II
Oignon
l%xmes de terre
5 0
Ytkmute
100
C%OU
Aub%rginc?
Have t
oamtte
Laitue
?d.ILLMRl
Aitres Diveirs
Harioots verte
600
Melon
150
hkvroa
r
7 5
e-e.4
_II
1.65U

Carott%a et
mvets
Alm%%s?~ et aive+a
Iasicots vartn
550
ML?iOnt
a5o
l!bivrQn
TMXRUC
1 5a)
-
-
---.lll-.“-“.w-

25
25
l Totaux

3.4.
IRCgion du Fleuve
t
-.%.,a.---
A.
L-..*

Pour l a toasate destin& a l a trszasformtioo
11 ccm.vieM àe rm reporter isu prcrgrama de 1a SOCAS et de la SM%.
3.5.
La BCgiurr de DiourbeE.
T;es PeSSQUrces en eau de eeizta ragioa e92mt ml connues pour I*îiistan&
il est dlffrtcile d’envisagef un programme de dévaloppemexxt du maralchage.
Il. apparaltt que les chiffres indiqu& par Xeer statfstiques puissent
etre maintenus *
3.0.
La Régian du Sine SaIssuc
Les conditions partieulî&res de climat de la rCgion rtaduis@nt ses
possibZl.itks de producrrkn m~rç;feh&re.
Oignons
hme de tazure
chuu
Tomates
Attbergines
Meluns
Divers
Pklent s
Soit au total
1
.
.
i

Pbste de tnus
etc. * .

49,
En effet, en fonction des programme8 pr&ua pour l’exploitation de&
ressources de la r&gion soit le minerai. de fer de la Fal&m&, ou du maz%rrr
de Udougou > il est possible que les basofns, jurrqu’ici mal cornus simrt
marginaux, s’accroissent f.x&s rapidement, et deviennent impoxtanrs en 1985u
11 serait donc souhaitable que la régfon puisse satisfaire B ce tmmm~
la plus grande part possible de ses bemlns.
4.
Les pem3pectives pour 3.~3 horfzo~s 1990 et 2000
En tenant compte des calculs des besofns et en admettant qu’Lls s’a-
vkent exacts dans l’avenir, lleur couverture exigerait toutes conditiom
restant égaPe3, l e s supexfi@ie% tN.lïvantes. I l xeste SdSkf8 C@Se lë Cap V@jTt
ayant a peu près atteint sont poSrït drz saturation n’évoluera que tr&s pts.
l
Rdgfon
l
Hosizon 1990
Horizon 20(x,
_11--- l
t
f-I-- 2
500’
-
cap vert
ha8
2 500 hrs
Thii3S
3 000

i
Louga
i
650
k’
Fleuve
i
1 1
350
tv
Sine
Salem
i
800

Casamance
1
350
?’
) --
r
8 650 has
11 800 has
L--~
- -
Ce calcul théur$qurtt
fmpose un cerzain nmke de commtktaizes.
Pour la R&gion de T’hlt&s err particulier, il n’est pas certain que
les ressources hydxiques an partfctttier autorisent l’&cploitatfon de
4 500 has en l’an 2000.
A partir de 1990, $1 y aurait donc int&ret B reporter wexs les rég5orns
de Louga et surtout du l?leuve, les gxc9duct~ons ndeessaires h la couvertuzm
des besoins, et notamment ceux du Cap Vert.


De plus, il faut bgalement teair compte de la part B r&erver aux
passages, accès, p&pini&res et autres surfaces inutilisables pour la
culture, mais cependant mkesioraires à l’btablfsaement de l’exploitation.
11 paraitrait donc raiaonnabfe, poux estimer les superficies n&xw-
ttairess aux productions prkk~dennnent cal.cufi&s, de baser les calcula 8ur
65 % ders superficies fndiqu&ee ce qui reprètsente encore des chiffres ira-
portant8.
Superficie rl5elles supgXmt+ntaires B prdvair pour une mise en valeur
pour 1985
Rkgion de ‘I’hizls
emiron
750 has
Louga
If
350 has
Fl cuve
?f
350 has
Sine Saloum
IT
400 has
Casamance
!l
120 has
TC&aP
1. 970
on dira
2.000 has
/
..I<

52.
5.1,.
. . . i

s3.
5.1.2.
La couverture des bc%3oi.ms rurmar
-.-.--II-^---
11 serait souhaitable qucg la plus grande pertfe des bésofns sslent
couverts B partir des pmductkm obtmmco par cette ccatbgoria dé CO~SDWI~
lllastlf8, ou au moins uue partie 4’emtrCS elles.

5.2.

“4.. /

zz ,.’
,,. ._,
0.
Sfr,CTEURS ECONOMIQUE CONCERHES
6.1.
Le se2teur privQ et indivl&fuel
hier possesseurs de crrpitaux importants ne semblent pas trh3 srient<!s
veta les 5xlvestfssemente d e type agricala, I l s par%isseût dîwan.tage tçsnfx.:
par 10s op&rations irmno’aili&res urbaines, quf BB~S doute r&~erverit une plu-
grande sdcurltb et uue ~%murtération plus rapidé.
Li?s 8euls su%~eptibies d’&tre fnt&r@s~bs reSteraient donc iles petS.i~
payaane disposant de moyens financiers &r& limitée, ce qui aboutkra2t
vraiaemblab~ement au type de micro-exploitat%ûn telle qu’on la rencssntre
actuellement avec toutes les dlfffcult&s et st~jetfons qui l’aceompagnenk
7,
DXMiXNSIONS ET FORMES Dg EXFLQI’TATIO~S
Il ne sera pas ravenu sur les dffficulC&s inhérentes B la mkro-exp*8:~.
tation indivS.duelle,

7.1.
Dans le ca8 dit.me pwpriQt15 prilvde individuelle, l’kw~llation dkm5
exploitation mraich&re mdcb,me exige, an dCzpart, d e s moyenE fimaancieru
flllpOXtiWlt8.
Pour UR hectare de culrure, les amhnagesmrrnt et la matt?riel en.gqpmmt
d e s d&penses variant selon SI~?S cas, et en restent modeste quant à la natuw
du numtbtriel, c’est 3 dire en éliminant par exemple, une installation d’ir-
xfgetion type gourte a goutte, entxe 800,000 et 1.200.000 francs.
La tr&sorer~e indispensable pour faim? face aux d#!pemea avant les
recor tes, peu~.~
s’élever B GOO.O# ETE, toufours pour un seul hectare.
L
h
1 /.\\ ,. i
i,
I 1 :*+ +!, ;- ’ ’ * -f -
Le personnel nBce~safre varlexa entre 4 et 6 ouweiè& *&nt ‘& “A& ‘
(
deux CjU8lifi&, an plua Eu pmpri&aire, qu£ devra y consacrer la totalit6
de son tirmp8> ktant lu9. enme parfaitenxacrnt sp&Aalisd.
Uniquement donc du point de vue financiesr, OIP ne rend ccrrirpte im&dia-
tement qtikm entreprise de genre ES+ situe dans un domaine varfanr: :
- de l’~rtimmat pour las exploitations inf&ieure à un ha.
- il la moyenne enteoprf8e pour les exploitation8 comprises entre
1 et 3 bas.
- B l’entreprfse S.tqmrtan$c entre 3 et 5 haa
- à la grande entreprise au dal& de 5 bas.
11 est évirderrt que I’augrtwntatfon des superficies peut rbduire quelqws
peu certains frais d’installatim mmslldbtbs B I’ha,
Par contre le poste persantee s’alourdfra en praport&on importante,
et surtout pour la parztie encadrement et ;naitrG3a, Pe proprf&taire ne pou-
vant plus assurer rreul ces fone.tl.ons, devra engager des emp20y& de nivem
technique êlevé aux aalafres importaats.

7.2.
7.3.

59,

C’est le groupement, et mn l'irxdividu qui prend en charge Ea concec~
sion du térra$.a, les ~nstaflak%oas g&~drales~ le cas &Mant, les crédiè~
etc... Tous les mmbres ktant aslidaires encre eux, et respsnsables de
9eura engagements p~rsonïae~er vi.8 à vis du gsoupement.
Chkque participant a droit 31 ?~"accupation d'une parcelle de terral~,
sous rkhxve de l'exécution d"un caGer des charges ou d'un contwat, ou
d'un rbglemeat intt5rieur qui He ~H(I au groupement et qu 'il B f ibremertr:
acctspt& avec ltadoptEon des statuts.

Afin de permettre une mIse au point et me jruste mesure des dimensloae
et de certains param&xes, ainsi q u e d e s modaIfr& de fonctfonnement d’w
te1 groupement,
tf.1 apparata: itndi.apensabla qu'une unit& pP1ûée soft ~P(E~I-
lablement fnsta%l&e~avec une durée de deux 2t trois ans.
A~I&S quoi, une mlttpkication de ce genre dkploieatians collectfves
pourrait être erwisagge.
L’I.Inité p i l o t e , en plus des foncéions ci-dessus, dema jouer uo r0I.c
d'encadrement, non seulement dans le cadre de Ile formtibn profe8sf.cmnellit,
mais 6galement dazw celui. & ?.a ~~B?AsxI. eti P’adminbstr~tfon pour Ies IXE-*
pensables du gmupement.
A noter que Te nombre de partkcipants £%x6 entre lé) et 30, n'a pas éti
choisi au hasard, mais correspond a une valeur suscepéibl@ de pouvoir trowi-~:
une applfcation pratique. ) ME=& au goin% de vue ~a&athk du groupement qti"ai.
point de vue de son InetaLlatfon.
. * . f

EsaLLles & 1 “hectare4

bi.



.9.3.1.
SUR LE PLAN M’.tIONAL
e - 1 1 - - - -
9.3.2.
SUR LE PLAN EfZTERIFUR
I_--.-.-.:--_ ---.


-République! du SENEGAL
REPARTIT~~~ LN hW?A 1 WAGE
Légende
E S P E C E S
P E R I O D E
NDICE
R E G I O N
P R I O R I T E S
‘dentificot!on
RECOMbfA NDEPS
‘ROD UCTIOH
01
T DUT&-
anvirr-Juittd
TH/ES
32
ordon dunrP
0 .’
‘irimif r os
YAr,
YERT
a n v r e r - Mers
33
IuTRES
DO
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P é r i m è t r e s
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3 5
IUTRES
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06 FLE U’VE OIGNON . ‘ec- Juistt
Dondiolois
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T O M A T E
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08 VUlIée ‘TOMA TE Indus fric Janv-Mai
09 LINE-SALDUh
Sondictye
M E L O N
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010 Nemo TYPE EUROPE Jonv- Mars
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011 Boo-Bolon ,< AFRIC DO
012 SASA MANCE D”
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.-----
_“--...
_ .

Depukt 1%~ quatritlme! st citnquikne plana d e d&eloppsnrent 4conomique
e t s o c i a l , atpft d%ptrLer lea wxG%s X972-7Jj l e mara$&ag% n’a qu% tr$w peu
clvoluc5 au SCnCTgal, Des 3,000 bas suppMmantai.res pr&ws lors de XWabora-
tien du IVe Plan, av%@ ~~~~st%~la~~on d% WJD SENEW, &a zx& r%st% actu%l-
lament qu’environ 220 bas, soit 100 a Baobab et 120 B I%r8tne,
Laa exportatîoas ont regreatd de b3,Cx-B tonnes en 75-76 et 76-77, ik
mains ds 5.û00 en 79-80, avec la*diaparition de la Soci6té.
cette 86cheresBe pereistûrite, ent~rabe d’autres paves consbqueneee .w
particul~&r%m%nt dans 1s tkmaine des RQ?~SOUFCIB hydrLqu%s. L’.explaitakLan
des résarvea ~~~tituE%s par 1%~ nappes captives, surtout éelle~ de l’Eoe+X .zi:
ou ??aldoc&ne, a conduit a 1%~ affaissewnt, qui réduit Iteur débft h une?
finite: sritiqua, hur r~appr~v~6~~nn~0~t étant Gwignifiant afnon mur1 par
suite de l’insuffisance &a le pluviom&rfe, L’eau &uce de ces nqpcts, r%iw
eant presqu% toujoirrs sur un “bir;sau sziW, ne peut titre prbJsv4e au delh
d’un swil, sans risques de pallutixxx Lrrap~~siraFble,
Cette situation exigera de la part de% planificatiwxrs ut&% grande prru-
dene%, p o u r la choix d%% wuv%lles installatfons msraLch&res ~~a~~s~~~aab~~~
l . .
/

mfse én valt?wr.

L’approvisionfiement des populat2ons rurales, pourr&t faire I’objet
de promotion, dqinstallatioç
de jardins au sela des villages par P ‘I=izterEie-
d%aire dee organismes ayant vocats;iortt d’aPdes faxtutlkaferi
ou vilhgeohes,
sans asprit lucratif, mals seulement d’éducation pour Ig~120ration deç
~+@YHM alimenéafres.
Seul le surplus dc cirez prod~~ctions EamiIi&.es pouv~~rzt étre destin& 3
la vente, et au village
nhe, Parmi les organfames dont lx comp6tence cor-
respond B ces objectif pouxraieeL &tre retenus I’USATD (volontaires de L;-
paix) le,s Volontai.res du Progrh, Tes Hairsons FamiZXrnles,
Ainei, en fonction deti besoins estimés pour 1985, on aboutit B une miss
en culture suppftlmentalre C?‘CXW~~O~ :
Ces superficies pouwnc Qtre prætiquement doublées 3 L”horizon ZOCQ.
Cetp3 extension spatLa’l~ *nsuifPsante en elie-m&ne, devra &tre sirnul-
0-w
tanhent complér15~ par li mise en oeuvmz nécessaire 2i l’amt$lioratic~n de $Y:
productivité?. tant au point de vue n,uantitatU que qualitatif.
Par ellleurs, certalrtes actions paraXlbXee et complt%mntaires devront
6tre engagées pcrtrr prvenir h. un d&eIoppement du maralchage et des produc-
tions destfnées soit aux bcwnfns natiùnwx ou 2~ ceux de Ihxportntion.
*
.” /



72.

33.

S u r l e pIan intematfonai :
-e-


La Mgjton du Cap Vert quant à elle, par 6uite, de mn mcupatim
antérieure, 6% de I’extensPon de l’urbanisme, semble ne d8sposer que
d’une disponibilltb rCdu+tcr qu’ ;.L mraâe: yrudent da résalcg~er aux ex~
_
ploitacions destln&es aux procatrrztîotzs porir l’exportatkoa. &me tous aes
cas, avant t;ouee fnsrnllatian &I par SU~~E! des conséquences de la sBcI~e-
rcsf3e des dix darni;éres $CSIO&-éB, la ccnsultation des crcrvices de I’hydrau-
LS~vo&M.on des besoins
Depuis lea cinq dem:t&rers am&es, la production mra%ahère semble
bten stagner * des espoirs quaI.que peu dêaaasurés, n4s avec la crbathm
de HYD SEmW, f?. ne subsiste que de maigres r&sultats, les p&im&tres
encadrh soit par Za D.G.P.P,., soit p a r c2uuxAS, %Se risalisent elscore
que des tomages relativement peu hxportantrs.
Cette situation, face 2 E”expazhsLon cf&ogra@ique, a pour sonsQquwxe
un déséfluflibre certain, en~cxe l’offre et la demirade, qui. se traduit dans
le conerlrt, par une augrmntatrfon spectamlaire des prix des li-gusnes sur
les diff&rents nlarchcfe;.
Les estf.mations et les ca%culs situent le6 besoins poux 1985 & envi,rm
230.000 tonnas, alors que Ta production actuelle ne parrsllft pas atteindre
90.000 tonneh;,
Pwr combler ce d&ficiE, ik fera n&m.wa&re de pr&oSir e t d”appl.iquar
une série de moyens d’lntemention dans diffbreots dom&.nas:taclmlqua. *
6corromiqare e
t

epatial,
En preder lieu dans Ls domina technique, afin d’alkoager au max&m~::
la pdrllode de production, au nxxins pour certrhxea espèces, par f’util.isatF~i
d e vari&& n5uvell.e~ et adapt@ea, ou~par des m&hodes sp&iales. Ainsi,
pour les pommes de terre I’a-x@Jai de vari&és gr6coccs ou de smen~es issores
d’une prodwrien nationale, pemorta:tt: d’okenlr umz r&olte dbs Ze mois de



. . I /


B I B L I O G R A P H I E
J,,P S’f&J&& (Syndicat des jwdfniers et Ar&chers
de la Rbgions du Cap-Vert)
Document Agricole Nb 1
1965
Etude SCET Internrtiowl
(Sociét& CenLrale pou- 1’Equipement du Territoire
International. 1
Projet de cutture maralch&re-rizicultk
AmlSnagement des vall&s de la @XA, du KOUTANCO de NIORO
ALASSA‘TE de SIMON HAMDALZAYE
Novembre
1968
Th&se Arnaud Hortfculturs~ dane le Cap-vert
-DIL-c
1970
ILACO
Etude des possibilités de r6al2cez sur une &chelle
industrielle la eu1 ture &s pr 4t*~.ts marafchers dans
certaines régions du S&égal
Mars
1931
O.M.S.
(Organisatlo3 Mondiale p o u r l a San&!)
Approvisiosnwent ,i-?n eau et assainissement
de Dakar et ses Envirorts
1972
INStiUPA
(Institut fur Structurforschung und Planiag
GmbH)
Etude de la mise en valeur du BAS4XLOUM
1973
ETUDE de mise en valeur du BAQ-BilLC#?
1974
Minfstère du Développement Rural
Direction Wnérale des Productions Agricqles
,
Rapports annuels
8fînnfstère de 1’Economie et des Finances
Direction de la Statistique
Situation &onrxtique du Sbndgal
1975
l . .
/

Institut Universftaire de Te&x&sgie
Etude budget coasonmzation a DAKAR
1975
OACI-FAO (Orguaisatien dez N*U. de 1’Aéronautique Civile
Organisation d-% M.U. pour l’Al+entatZsn et
1 'Agxicultuad
Etude sur la possibilit& d’accrottwe’lea expor-
tatiow de fruits P”% 16gwes par voik aérienne
au ddpast des pays sfkicains pur Sud du Sahara ”
vers llEurape
1976
B. R. CM. (Bureau das Recherché Géologiques et Min&&es)
-
-
Etude ~~d~~~~lo~ique du Continental terminal
entre le Sine et la Gambie
Sep.1976
Marchés Euro~#$ens dee Fruite e t L&umes
Collections de 1976 & 1980
Mini~t&re de lîAgricuilture Fr+s-we
Service des nouvellee du Nwch&
3ulletin Quotidien des fruits et lbgumcrs
Collect$ons de 1976 P 1980
F.A.O.
BefletPn mensuel F.A.O. de statietihue
Collectitms de 1976 & 1980
,
*Centre Technique Intemrofeasfonnel des Fruits
et Ltsgumes - PARIS-F%NcE
Diverse& &ude8 sur les marchés et 1s
diatributtost des fruits et l@nnes dans
eeeafne pays d’Europe.
‘kinisthe du Plan (Dakar)
PropasieGms d’acthns pour les IV et Ve Plans
de Développement Et:ornomrkqete et Social, et leura
r&ajustementa
1974- 76 - 78
. l .
/

Louis BERCER International
Etude de cmmercialisation de profluits mmatchere
en brtsae cssamance
1978
B.D.P;A. (Bwema pwr Pe ~l~~~~I~pp~~~t de la Production Agricole)
Ecude 0~ possibilftbs de d&eloppement des cultures
mara2chèrcs e n Cas6kmance
Juillet 1979
O.M.S.
Etablissement dPun plan directeur pour l’appro-
visionnement en eau de Dakar et ses environ&
Janvier 1979
1. S.R.A. (Institut S&i&galais de Recherches Agronomiques)
FERME M?ERIMEMTALE DES CULTURES’ MARAICHERES
-. . .
Travaux r&alisbs
en 1973
1975
1977
1978
TRAN MINH DUC
Recherche pour Pe D~v~lo~P~e~t des
cultux?es
frrlgu&es
Janvfm 1978
'
Projet d’Qtudg3 de2 8y&&mar de cultures,
ifrfgl&eb Liu’ gawx a goutte
Janvier 1978
TRAN MINH DUC
en collaboratfcn avec i?M. MAIAUX DUTILLY
e t JOSEPR SEHE
Irrigation au goutte 2 goutte B goutto
Etude au champ de quelques sysé&m+zs
de gautaure
Juin
1978
Secrétariat d’Etat au TOU~~S~@ (Senegal)
Direction des ‘Etudes e?t de la Planification
Statistiques du Tour.isme
DBcembre 1979

CENTRE POUR TX DEWLOYPEF~NT DE LrI?BKTTCTJLzrllRE - CAMBERBHE
Iv-
PremîZkes considdrations et rÈsultats des essais orientatifs
de comportement sur cultxres maralchkes.
Oignons et po5mxes de terre au Sér$gal.
Effet.du climat sur la croissance des JPgumes et I6gumineuses
8: graines sous les tropiques.
Késultats des essais oxientatifs de comgortement sur
cultures mara2chiZres y Tome 1 *
L'arachide et le contr&I.e biologique des n&txatodea
méloldogyne SPP dans les cultures maraîchbres du S&&gal.
Compte-Fendu d'acé%$.t6, progrf;nme de reche;-rches
nématqlogiques.
gotes sur qqelquzs probl~es du maraB&age traditiopnel
du CapUJert,
R&ultats des essais comparatifs - Poprme de terre -
J973-74/1974-75)
Etude analyti,pue des organisws ayant ef£ect& des ten-
tatives d"organ3aiion de la commerciali.sation.des lGgumes,
ies causes de ftwr Zchb-c, recommandations et suggestion
pour les nouvelks impl.antations,
'I.. f

Quelques aspects de la conserra&ion des oignons
aa Sên@al.

Synth@se de quel,qre
t s a s p e c t s d e Ba culture de la
p a t a t e dome.
Quelques obwxvetiona sut deux Êypes de varibéés
de t~.mteii $ f~:uita ronds et a’ fruitS aikx@s.
Les cimA,ts de comexialisation des l,êguuwS
au SdnÉgal I/
l?rincipaux ~rîmxtes nui,sibleS a u x cultures maraî-
ch&es a u S&&a1 : identifkation
ea: moyens d e
lut% I

Synthbe des travaux rQalfsés par le Centre pour
le D&elappemeM d e ZfHartîculture de 1972 Fi 1979.
Rapport des. essais insecticides - 1476-1979 -
Dom&s r&têorologiques recueiiiies
atl Centre pour
le IXveloppement d e 1’Worticulture e n 1978~1979.
Compte-rendu d’un essai cm~paraJri.f variétal sur
pomme de texm au C,A,T, de Saint.-Louis,
Compte-zendu dta.m e s s a i comparatji£ vari.&s;l s u r
pome d e oxre a u C.A.T. de Thi&,
Ccmpte-rendu d Iun essai comparatif varikal sur
oignon au C.A,T, de Potau.
Fi&e technica-&ouomique SIX l e h&ricot.
F i c h e technico-dcsncrmique sur l’qigïmn+
Fiche techntco-&onomique sur le chou,

La r&colte, le condàtionn~ment, le transpart
et la vente du haricot verr,