CIXMJJE NATIONAL MAEI --- T ORGANISATION...
CIXMJJE NATIONAL MAEI
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T

ORGANISATION F!I IX33Om DU SEBINAIRE
Du 2 BU 23 N~~esribre j ‘ai paMci+ au skimire organisé par
~‘GRES~ au Kenya, pour une évaluation et une réorientation du Projet Inté&
sur les Terres Arides (I.P.A.L. en Anglais). Ce siim a réuni avec les
chercheurs erg@& dans le projet, des représentants du Nigéria, des Etats
Unis, de la Tanzanie, de l’Egypte, de la Iknisie et. de lWNESCO~~stest déroulé
essentiellement sur le terrain. Ainsi, nous avons pu visiter les différents
sites d’expérimentation et de mesures de la dynsmicpe du milieu, les points de
peuplement pemanents (Gatab, Kargi, Kalacha, North Horr, Ngoumnit) les
points de peuplement saisonnier cmms Balessa Kulal. Le 15, nous avons assisté
à une &union spkiale du Comité Local de développement du Nord Est du Kenya.
On a pu regretter, malgré les assurances qui nous ont été données
sur la collaboration existant entre le projet et les instituts de recherche du
pays, la non participation de nationaux Kenyans au SS, alors qu’il
existe sur place un comité MAB National, Leur présence aurait permis peut être
de se rendre compte, de Vinrpact au niveau national des activités du Proj!et,
car m&ne si les fonctionnaire s locaux apprécient les conseils et l'Assistance
de toute sorte que leur apporte l’équipe, ce n’est probablement pas 3 leur
niveau que se situent les centres de décisions susceptibles dfinflé&& la
situation actuelle.
PRESRQATION DU PFDJEI’.
Il fait partie des opérations MB. Projet 3 : Irpact des activités
humaines et des modes dktilisation des terres à pâturages.
Pmjet Conjoint uNEso - UNEP
-fie un Programne de recherches multidisciplinaires appliquges
et d%t&nagemnt expérimental avec les objectifs suivants :
- Paire des investigations scientifiques sur les changeinents
affectant un écosystèm de zone aride sous la pression des populations humaines
et animales.
- Rechercher et démntrer les modifications pratiques et les
solutions de remplacement à appmter à l’économie traditionnelle, reposant
enti?mzmnt sur l’élevw pour parvenir à restaurer les pâturages dégradés.Au
départ, 1 Vmportance était donnée surtout aux animaux, mais par la suite on
s ‘est rendu compte que les conditions socio-économiques, constituent un facteur
déterminant de lfaménagement des pâturages, la question fondamentale étant la
suivante :
tQmnent persuader les homes d’y prendre part et quelle forme
d’aménagemnt sont-ils susceptibles d’accepter ? ”

. ../2
- 1 coordinateur
- 1 Spécialiste n écologie animale
- 1 Spécialiste en écologie végétale
- 1 Administrateur.
Nord Est du Kenya entre le Lac Turcana $ l’Ouest et le Mont
Marsabit à l%st.
Superficie = 22.500 km2 (superficie totale du Kenya = 582.644 km2)
Altitude moyenne : 500 m
Mont Kulal = 2.500 m avec 34 km2 de forêt cxnbrophile constituée
en *serve de la biosphère depuis Avril 1978. Zone semi désertique ; de XI68
à 1976, la pluviométrie moyenne annuelle a été infMeure à 50 mn. En 1977, il
est tcxnbé 400 ML Le 13 Novembre North Horr avait reçu 180 mn depuis une année.
Les pluies sont donc très variables d’une année à :Lvautre, mais également; dans
l’espace et il y a une opposition très nette entre les plateaux et les sommets
de Montagnes qui reçoivent 800 à 850 mn par an, avec beaucoup de brouillard et
une forte humidité. Ces montagnes recouvertes de forêts jouent le rôle de
chateaux d’eau pour les zones basses d&ertiques, en alimentant un ruisselle-
ment sporadique dans les %xdsl’ ; cependant, il n’y a pas de grands fleuves
allogènes, corsne dans la zone sahélienne de l’Afrique de l’Ouest. Au cours du
dernier pluvial qti date de 5.000 ans, s’est produit le creusement de gorges
profondes sans proportion avec l’écoulement actuel.
Le lac !Tkxrcana = 300 km de long avec de lyeau douce au Nord et
de l’eau salée au Sud.
D’anciens lacs ont été transformés en déserts caillouteux en
s’asséchant avec en swface des encroutements calcaires, des produits volcani-
ques ou des sables.
1
-’
Plus de la mit% Nord du Kenya est constituée de terrains de
parcours arides ou semi-arides avec des populations de pasteurs plus ou moins
ncrnades comptant pour mains de 1% de la population totale du pays (13.550.00
hts) .
- Les Tribus Rendille au Nord et Gabbra au Sud élèvent des
chameaux des moutons et des chèvres. Les Boran et Samburu avec des effectifs
plus faibles sont des éleveurs de bovins sur les marges élevées de la zone.
Chez les Samburu, les fenmes peuvent posséder des animaux mais
ceci n’est pas le cas chez les Rendille. Les Sambwu suivent un système de
transhumance entre la montagne et la vallée du Balessa Kulal où ils séjournent
..*

.,./3
pendant la saison des pluies et une partie de la saison sèche. Ainsi, la
végétation des rives des Oueds et de leurs zones d’épandages servent de
pâturages de saison hmide pour les Samburu et de pâturage de saison sèche
pour les rendilles et les Gabbra. Cmne ont le voit, l’augmentation des trou-
peaux des premiers entraine de fait, une réduction des pâturages pour les
animaux des 2 autres groupes. LJes puits sont creus6s dans le lit mineur des
Oueds pour abreuver les animaux , ils sont asséchés’ plus ou moins tôt en saison
sèche, ce qui pose de sérieux problèmes d’alimentation des animaux.
La montagne est utilisée cm zone de pâturages en fin de saison
sèche et les longues périodes ,séches, en certains endroits qui ont été trans-
formés en prairies sous l’action du feu malgré l’interdiction qui est fait?
de faire accéder les animaux à ia zone des sources.
Le problème de la zone est le suivant : une incapacit6 des terres
à supporter les animaux dont les effectifs s’accroissentg mis aussi une popu-
lation de plus en plus nombreuse autour des forages, et points d’eau, durant ces
30 demières années (taux de cmi$sance : 3,9%). La densité de population est
inférieure à un habitant au km2, mais, il existe des foyers de concentration
humaine très importante. La préseiwe d’eau douce constitue la cause essentielle
de cette concentration, mais depuis quelques années,, la population se concentre
autour des postes administratifs ofi en plus des infFactructures socio-démogra-
phiques (boutiques, écoles, centres médicaux), elle trouve la sécurité. Cer-
tains centres de distribution de secours contre la famine se sont transformés
rapidement en bourgades (Kagi par exemple). Ainsi, le processus de désertifi-
cation comnence à partir des points de concentration oiI fermes, enfants et
vieillards gardent des animaux de plus en plus nomb~reux dont le lait leur est
indispensable, tandis que les animux improductifs (%roupeaux Fora”) sont
envoyés au loin, en saison sèche, Les animaux qui restent sur place vont pâtu-
rer dans un rayon de 15 kilomètres environ ; les petits ruminants et les
bovins ‘iForaw vont jusqu’à une distance de 7 à 15 kilomètres. Les lers viennent
boire tous les 2 jours et les seconds tous les 3 jours. Les charmwx peuvent
aller jusqu’à 50 km et restent parfois 11 jours avant de venir boire. Pendant
ce temps les personnes qui les accompagnent vivent exclusivement de lait et de
sang provenant de la saignée périodique des animaux.

,../4
RAISONS DU CHOIX DEl LA ZONE F0UR L'IMPWATION DUj?lWEr
l”/ - Pour les responsables du projet, cette localisation qui est
représentative de différentes manières des conditions écologiques existant
dans la zone sahélienne, permet d’etudier les problèmes de la dégradation des
conditions écologiques et sociologiques dans la zone aride, On peut faire
remarquer cependant que la zone du Wnt Kulal est habitée par des populations
d’éleveurs dépendants presque entièrement de leurs troupeaux, alors que dans
la zone sahélienne on a généralement une coexistince entre des éleveurs nomades,
des agropasteurs et des agriculteurs.
2e/ - La zone c-rend une m exceptionnelle de sites éco-clima-
x
tiques, dans un territoire limité, de la forêt pluviale du Mont Kulal, au
désert de Koroli à 30 km seulement. D’autre part, la végétation s’est considéra-
belement reconstituée dans les “zones d’insécuritél’ entre les territoires des
différentes tribus.
Ceci constitue un avantage pour le projet. Ainsi, nombre d’expé-
riences ont pu être connnencées avec l’équivalent d’au moins 10 années de pro-
tection. Aussi, il est possible de mesurer un gradient de l’intensité d’exploi-
tation du milieu à partir de zones peu dégradées pri?s du Mont Kulal vers des
terres intensivement exploitées et dégradés ailleurs dans la zone du projet.
$/ - Le facteur décisif pour 17installation du camp à Gatab a été
la ptisence d’une source dseau pérenne, d’un village et d’une mission religieuse
oa le personnel du projet peut trouver beaucoup de facilité.
ACTIONS DE RRCHEWHES MEQ?EES EI’ PREFILERS JZNSEI~JTS
-
- Recueil de données écologiques de base :
. implantation d’un réseau de stations climatologiques
. inventaire et cartographie de la végétation
. cartographie des sols,
- Mesure de la biomassc et de la productivité des végétaux en
relation avec le climat, les sols et conditions topographiques. l%sure de
parties aériennes de ligneux pour établir des relations entre la biomasse de
chacune de leurs parties (feuilles, fruits, pousses rkentes, branches et
troncs), avec leurs dimensions linéaires.
Dans ce domaine une étroite collaboration a été établie avec
1Vnité de surveillance continue des terrains de parcours du Kenya (KREHJ) et
le Centre régional de télédétection de Nairobi.
. . .

- Mesure de la capacité de char~,e de différentes formations végé-
tales et essais nutritionnels, à partir de troupeaux appartenant au projet et
par simulation dans les parcs des densités réelles qui sont en moyenne de 1
chameau et 10 moutons ou chèvreskm2, et dans les zones autour des centres de
peuplements environ 20 chameaux et 200 moutons ou c:hèvres/km2. Actuellement 20%
du territoire est saturé, et le nombre d’animaux prkents dans la zone dépasse
le niveau permettant la satisfaction des besoins de la population.
- Mesure de la productivité des troupeau- : évolution de la pro-
duction de lait au cours de l’année.
Les besoins permettant d’assurer la subsistance d’une population
exclusivement pastorale ont été estimés à 1.000 kg ‘de poids vif par personne,
mais la capacité de charge des parcours est dépassée. Ainsi, pour 5 Manyatas
(unités de résidence) an a pu dénombrer un millier de bovins, sans compter les
moutons et les chèvres.
- Etude des mouvements des trouneaux et grands ongulés sauvageIL à
l’aide d’observations à partir d’un avion Cesna 185 combinées avec des dénombre-
ments au sol.
- Etude de l’tiact des hommes et des animaux sur l’envirwnement
en termes quantitatifs.
Ainsi on a pu constater que la destruction de la strate ligneuse est
surtout liée à la confection des “Bornas” (enclos) pour défendre les animaux
contre les carnivores,
En général une famille établit 8 campements dans 1 ‘année, ce qui
nécessite entre 6 et 20 arbres. La localisation des carrqx‘ments est déterminée
par la présence des arbres.
On estime que chaque année 500.000 arbres sont ébranchés et
certains à mort.
- Etudedtithropologie sociale et d’kologie humaine
. Relation entre les différentes tribus
. Modifications dans la répartition des différents
groupes éthniques et leurs causes.
. Système de gestion de l’espace : Contradiction entre la
propriété individuelle des animaux, et les attitudes de compétition
pour lfutilisation des ressources d’une part, et 1”appropriation
collective de l’espace d’autre part,

- Sous projet TLT+lP(Traditionnal Livestock Management Projet) : a
été mis en place pour étudier l+eff’icience des méthodes traditionnelles de
gestion des troupeaux et les possibilités d+introduction dans le système
d’élevage de techniques modernes permettant d’optimiser la production en m&ne
temps qu’une utilisation rationnelle des pâturages,, lB.ns le cadre de ce projet,
des enquêtes sociologiques poussées sont menées pour une meilleure connaissance
des sociétés pastorales, de leur fonctionnement et des tendances de leur évolu-
tion. Une attention particulièrce est portée dans ces enquêtes sur le rôle et
la place des femmes, les problèms de nutrition, etc... Le suivi de la situation
sanitaire et la détermination des parrtmètres zootechniques des troupeaux sont
réalisés en relation avec la section de recherches vétérinaires de l’Université
,;
de Naïrobi. Ce sous projet financé par la République Fédérale d’Allemagne est
dirigé par un vétérinaire dont le quartier général est à Ngurunit (cf. carte
de localisation).
RELATIONS PURLIQUES - FORMATION ET VULGARISATION.
- Participation aux &unions du comité de développement du District
de Kars&it .
- Présence de deux agents de relations publiques originaires de
la zone à Kargi et North Horr,
- Cours sur l*environnement de la zone aride dispensés par les
chercheurs du projet aux élèves des &oles primaires.
- Participation active des enfants des écoles aux actions de
reboisement. Chaque enfant a planté à l’école et chez lui un certain nombre
d’arbres dont il doit assurer l’entretien.
- Création près des villages de parcelles expérimentales de mise
en défense et de plantations d’arbres.
- Installation à titre démonstratif de “Bornas” préfabriqués démon-
tables donc transportables d’un cwement à l’autre,
PERSPECTIVES POUR LE!S ANNEE+S A VE3JIR
- Développement des études d’écologie humaine et de sociologie en
vue de trouver des solutions aux aspects humains de la désertification.
- Etude des conséquences de la dégradation de la végétation sur
l+évolution des sols (érosion)
- Essai de mise au point d’une sylviculture de zone aride

- Extension des recherches en Afrique du Nord (une antenne du
projet devait être G@antée en Tunisie à très court terme) et dans la zone
sahélienne en Afrique de lPOuest (Sénégal. probablement).
- Le Projet devrait propssivement évoluer vers la constituti.on
d’un institut des zones arides pour la recherche et la formation sur l’écologie
des terres arides et le pastoralisme.
Le tableau en annexe résume l’ensemble des problèmes constituark
des contraintes au développement de la zone et les solutions qui ont déjà: été,
trouvées, ou qui pourraient être envisagées.

. ../%
I‘FDBIXMZS IDE3TIFIEs
SGLUlIONS TROUVEES PAR LE PI OU ENVISAGEXBLBS
(?)
- tisuffisznce et irr&ularité des pluies
: - Creusement de puits plus profonds 2ans les lits des Oueds
- Asséchement pricoce des points d'eau
- Utilisation d'éoliennes pour remonter l'eau des forages (?)
- Eaux souterraires salées
- Aménagement des ressources en eaux au niveau de petits bassins
versants, à partir des chateaux d'eau que constituent les montagnes(
- Destruction de la végétation ligneuse pour la
- Tentative de vulgariser des modèles de Bornas préfabriqués et
construction de Bornas et la fabrication de charbon
démontables, donc transportables d'un campement à l'autre, dont
de bois COIIHI~EI source de revenus.
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avec comme conséquences :
- Implantation de Bornas eolfectifs dans les centres de regroupement
. Modification du potentiel de fourrages aériens
des populations.
. Dégradation des sols par érosion éolienne
- Implantation de parcelles expérimentales de mise en défends mais
participation et coopération des populations nécessaires pour une
application à grande échelle,
- Plantation d'arbres : Meilleurs résultats obtenus avec Algoraba et
Neems dans les sites semi-arides (North Horr et Kalacha), Grevillca
robusta et Scherebera alata dans les sites sub-humides (Mont Kulal et
Hurri Hills). Rôle important des missions religieuses et participatic
active des enfants des écoles.
- Conception des fours à charbon de bois avec un rendement énergétique
plus important (?)
- Recours aux énergies renouvelables (?)
- Surchar~ pastcrale et faible productivité de
- Aménagement de points d'eau
l'élevage.
- Aménagement des pâturages pou31 augmenter leur capacité de charge
- Amélioration des conditions d'exploitation des pâturages aériens.

*../9
1 - Asc~m-cmrrs onntmn 1-e n;~+nr~n~ il
&*"Y- W.V" YVI~".l. b -Lb" a &ULJIUGU ue perte d vanLTaa peu- -me &p&-&ion
de la gestion des troupeaux (contribution du TLMP).
'Wtérinaires volantsll, à l'instar des i%decins volantsft (?)
- Possibilité de constituer une forme dPépargne autre que l'accum-
mulation d'animaux sur pieds (?>, ce qui implique la possibilité
de vendre des animaux à des prix incitatifs et la mise en place
des circuits de commercialisation adequats.
- Organisation d'une politique de l'élevage faisant de la zone' une zo
de naissage (?>
- Orientation des déplacements des troupeaux et des honrnes en fonction
des disponibilités en pâturages et de la localisation des pluies (î)
l'utilisation des images obtenus à partir de Satellites, à défaut de
l'organisation d'un réseau de postes météorologiques serait facilitél
par l'existante d'un centre de Télédétection à NaTrobi.
- Am&agement de l'espace pastoral en vue d'une gestion efficace des
ressources : faut-il sédentérariser les nomades, ou passer du nomadi;
intégral à un système de transhumance ?
Echelle territoriale des aménagements ? Devront-ils coïncider avec
les zones d'endodrcmies, si elles existent ?
Elaboration d'un côde pastoral, au cas OÙ il n'existerait pas (3)
Ecorwnie exclusivement pastorale
l - Possibilités de diversification ?
r_
. alimentaticn : laitsangdes animaux
&bcx-iculture avec des espèces donnant des produits de cueillette
I
, habillement
conanercialisables (gm arabique)
2formes:
l - miculture localisée basée sur l'utilisation des eaux de
a) nomadisme intégral (Rendille et babbia)
ruissellement ou de sources et resurgeances (?) en vue de :
b) transhumarce : Samburuet 3oran
? ? ? ? ?
l
1.
i

zone marginale, peu touchée par le développement
- Désenclavement par le développement des moyens dfaccés :
du pays :
le recours à des petits avions, notamwnt par les ?nédecins
- faible Iroductivité
volants et les missionnaires montre l'acuité du problème.
- réseau de c orznunications faiblement
- Développement de pôles économiques (centres d'échanges) pourrait
déveïo$pé
peut-être changer le comportement des populations sur le plan
- pouvoir d'achat des populations nul ou
économique (?)
très faible
- Dkouverte de ressources minières (3)
- Présencr. de l'administration limitée, à des
- Nécessité dPune intégration à l"économie nationale, mais on peut
postes de police et postes militaires
se demander si l!orientation politique actuelle du Kenya est
- peu dYirfrastructures socio-d&nographiques.
favorable à un tel processus à court terme. Peut être que dans un
pays ayant opté pour un système de développement à la base, ceci
serait plus concevable,
- Intégration au niveau régional (Somalie-Ethiopie-Kenya) (?)
Mais ceci présente des aspects politiques non négligeables
(orientations idéologiques-Revendications territoriales)
- Les missions religieuses jouent un rôle important dans la création
d'infrastructures socio-démographiques. (écoles, dispensaires centre
de distribution de vivres.)
Education-Formation et animation : Toute solution
l - Ecoles itinérantes ?
envisagée ccxrme alternative pour l'utilisation du
i - Education de base plus orientSe vers la connaissance de
milieu devra être précédée et acccxnpagnée d'efforts
1
l'environnement à partir de la culture locale ?
i~ortarka dans ces domaines.
- Formation destinée à améliorer lP&onomie pastorale et à la
1)
l
valoriser socialement.
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