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* 1. S,E’ R. A.!
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EQUIPE SYSTEME FLal.rVE
Rue Blanrhnt b.P. 24 SAINT-1 C)ITI.K
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DELEGf,?S;ON GEIdEREiLE A LA RECHE&&
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REf'UlXIQUE W SENEGAL
SC;&TIFIçiJE ET .TECtiîJIQUE
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P R 1’ M’ A T U R E
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CENTRE DE RECHERCHES AGRIfXlLES DE
$2/
*
RICHbRIMBU
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-
I
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RAPPORT DE SYNTHESE DES RESULTATS‘
pE RECHERCHES CAMFAGNE - 1976 t
<...
.
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I.:
/
A - PROGRAMMkS CONVENTION GE'IZALE
I
I!i c, Etude des CaractQrietiquee hydrodynamiques des sols alluviayx
de la Vall.ée du Fleuve cm vue de leur Irrigation rationnallg;
IA2 C Dynamique de lr4toto dons le sol et la plante en culture irriguée
: (riz et eorgho)
li3 c Techniques Cult~ralce (Travail du sol) an culture irrigu6e gur
col "fond@ et sol Hollaldb
2-&J4 oration Vnxiétale et Phvtotochnie
- Etude de 10 Toikmmco au froid poux La Riziculturs Irriguée de
Wsaieonff et %ontrs-saison"
43) Collection%~ Introductions de Varibtés Etrangères tol&onl+ee
au froid
i) Fixation de L'hybride F3 (TAN1 X Dubovoeky P variét6 russe
: toUrante au froid)
&) Essai comparatif en cokitione de culture de mdésaisonlf
(critEreade comparaison ; tolkancc au froid à la 1~00 et '
à 18épioison et de rendement) de vari6tbe de rit d6,ja toet&e
en collectioni
B - PROGRAMMEtDE RECHERCtk DB ACCOWAGNEMENT DAGmd
!
l-
l ’
&@@rotion V,miéto.k on CuJ.ture_do Divoirsificûlop (Sorgho de cneier)
1:1 -iEeeaie Vari&a-cc de sorgho de caeior (lignEos puroe ot hybridce)
pour Les trois saisons dc culture (hivernage; d6eaieon at cor@o-
~eaieon)~
IA2 -,Teet de Fabrication d'hybride de sorgho en grande porcellaj
CC &$$WMEjDE RECHERCK D ;ACCOMPAGNENENT DELTA
t -&&p /d'un Svetgmed(i:xrzbitation FomiliaS bBs& sur 3.o Pstits
f'%or&ation en culture morokharo sur sol sableux dun&o
vûriM6e ds riz
ktrang&res à haut potentiel de production et p~%sutiee
'toJ.&antes au ofroid" (p&pinibo internationale sur lo toJ.&ronce
/au froid):
.
1 1 2c. Essai var5:~ d comparatif de rendement C!E vnri6tés de rit
_ en hivernlg;
1c
1 3" Etude de8 clractériatiques agronomiques d'une collection
introduito de 400 variétt58i
2’
&GROPEDOLOGIE
l -t I
2$1 - Etude de la fertilisation azotée ct de la conservation de
l'azote en riziculturo irriguefe de d68aison sur sol hydro-
morphe argiLoux du Delta;
2:2 - Fractionnemont do l'azote (trois doses) en riziculturo irriguée
_ de désaison sur sol hydromorpha argileux du Delta:
2;3k Rkgimc d*tz-I et conservation de l*arotc en riziculture i$cigu&
de dEsaison sur sol hydromorphe argileux du Delta:
t
si-tN-TOMOLOGIE
.. Evaluation sur parcelle expérimentale de8 difftkonts inaeotes
nuisibles CU rizi
4;wMA-LHERBXOGIE
4ki ; E88ai de dnsherbage chimique du riz irrigu6 dthivornage:
4t2 m Essai comparatif de techniques de lutte chimique et culturalea
contre lee mauvaise8 herbes.en riziculture irriguée;
.
,
- 1 ;œ
v
/ &SULTATS pE REC mtiEs COI\\JVEIW~N G;ENERALE /
t
Tro+8 types de eo: ont dte retenus en 1976 po& cette &tuda z
- Sol sablettx dunaire du complexe e&leux bordant la val&%
_ du Lampsa:: :Station de NrDiol)
c
- Sol hydromwpho à pseudogley sur limon ("fondo Ouakaa de
- Fonaye);
Sol hydromcrphe à pseudogley 8~lr maturinu snblo~rgticux
." (Von& Ouakadjidiou")/
la) II DBterm&@ion de8 droite8 dpt%alonnasc otlur k38 3 SO& t
La cnractérisotion hydrique et hydrodynamique in eitu d'un
sol par 1~s méthodes neutroniques (sonde à neutrons) ne peut se ftire rlpo
moyennant' la dotermination, sur l'aire dfbtude; de la droite d*étalonn@ga
permottanft de relier dfroctement les mesures fournies par la sonde à niu-
trons et F'humidit8 du 801 (humidi% volumique) au moment de la moeuree
.
Pour checu) dee 5018 oi~dessua il a été donc proc&dt: à lû
déterminalion au champ dee droites d'étalonnage qui sont les suivantes t
I
.
t
1 ..
t
Equation de la droite
a
!
Type de Sol
t
dtétalonnago
t
s
.---
~~Sol eab+Xix dunaire de In
't
't
;kitation &pOrimentele de N'Dicl
': Y n 13j15 x + 60155
'?
'z*
---As;
t
't
't
i
'#Sol hyd&norphe à pseudogley
- .
't
't
'peur limh ("fonde Ouaka") de
t
't
::Fanaye
Y u lI3j3 x - 55;02
t
:t
I
;
;Sol hy+morpho à peeudogley sur {
jmat&riaq aabla-argilteux
(“fond6
[Ouekadjiidiou") de Fnneye
t
t
‘,t
avec t
I
Y u da t cmnptoge de la sondo XI bout d’1 /onde
x P humidi% volumiquo du sol au moment do la~mesure
/
1.. 1’
l *.’
b dQtcrminatic~ i:e ces cnractEristiques a 6tE poesible gr?Ycc à IL
méthode du ,doub& carré sourrx à une submersion (par un apport massif dteac)
eveo suivi :à la sondo à nrutr:ons de l'infiltration do l~cau dans le sol et le
reeuqyage d/u 801:
0)
: le suivi de la diminution de la lame d'eau cti60
è
cubmersion artifici.sJ& donne pour les tmis sols
les viteas+ moyennes
Infiltration cLdossou8 ;
dheure pour 1 apport de
mm d'eau sur sol sec
a "fond& Ouûka" -'e Fan~ t trois vitesses dsinfiitration POL@ un
apport total d'ea:i de 120 m/m en trois apports :
+ 40 In.&g&.?
I ,>roue un premier appart dc 24 mm sur sol sec
+
3 'jour un deuxi&me apport de 36 mm sur sol mou@&5
+
.&' pour un troisième apport de 60 mm sur sol mduiJ&
- sfond& Ouak~zJ&$ious de Fw t 2 vitcssos d'infiltration pour
:
un apport tr:tcL d'eau do 120 mm an 2 apports :
* 562 ,~our 1 premier appart de 60 mm sur sol sec:
* 12 mru/heac pour un deuxième apport de 60 mm sur sol hurmldo~
Ces valeure de vitesse d'infiltration permettant dlidentifior trois Wnités de
p"ysages se différenciant FZ la "pormGabilit@ de leur prcfil t
unité de par s:,yz à sols très saetiable@~~~insubmersibles et
caract&iaé I r 31: une tr&s forte probabilité de perte d'eau d)i.r-
rigotion pa..' :srcolation profonde t unit& repr6sontée par $.s sol
sableux dun Ti.-aA
unité de pays-go à sols asor %ertiobles~* difficilement aubme-
sibles par un: lame d'eau t repr&sentée por le “fondé Ouokadjidiou"
ou sol des @i-tus lev6es de la vallbo alluviale:
unit6 de ~C:E -gc à sols relativement ~%erm&&& exigbant
as,ez d'ejr : u" le maintien d'une lame dr eau de submersion en
R':rfar:e : 3 .' L: ~nt6c par le »fondB Ouaka" ou sol de bouz&et
de bwge & '.e~./e Sénégal ot de ses affluent8 et d@Xrmnte
b) QIJJ&& au çhamo ou hctiditt? du sol B sntuxation
!
' Pour un sol donGy lthumidite à saturation (donnée physique @-
portante dans l!estimation des besoins en eau puriode de pointa - ptiparation
du sol etmise E;n eau - en riziculture irriguEo avec maftrise de l*eau) est
d&torminéq! par Lt enveloppe maximale des courbes dtr5vnlution du profil de sa-
turation & sol au moment de la phase d'infiltration: Les valeurs mokonnes
correspon$antcs en $ dlhumidLt6 volumique) pour les 3 sols Ctudibs sont donnéss
i
,.
I
par tranEhg de sol par le ti-ablonu ci-&ssous :
- -.- em --- 1.*^-11 .W”._ ..*-x T.-v 1
(
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Capocitr? au chemp-,on % par tronche de StJl
8’ 1‘
.1r,*-1,2te:
*-
(. Type do 801
8
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),T ,q.J i?L)Y, ‘?’ -: ’
(.
‘8 0 c 30 cmg 30210 fxi ‘:501100 cm '~lOO==lSO cm :15Ll130 cm :
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1.s Valaurs~corraspondaot à un nivsau aabldux
'
Pour une profondeur de sol de 1 #&tre; les valeurs de capacité eu champ moyenna tra#
duitea sn rsssont t
-2$!mnd' eau p-la sol sableux dunaS.ra
- 2$0 mn d'eau pour la sol "fond6 OuakaojidiouS
I 343 mn d+eau pour le sol nfond6 Ouakab
Pour chaque type de 801 Gtudiu; cette coracthristiqua hydrique in)por-
tante o Bté d@terminée en considérant I~ordonnQo CI l'origine de la
da le courbe de cinétique de rsssuyage (Log (humidité volumiqua an
du temps do ressuyngo) tracée pour chaque horizon de sol; Le tableau Ci-d88sOU8
donne par tronche de sol les valeurs moyanncs an % (humidité volumiquo) obtanuasi
*
L
CapacitO de titentjon en % par tronche de sol
:Capoci&5 da )
I
Typa de sol
t
---rrfSontion mo-)
t Ot30 cm ‘t 3tL50 cm~'r'501100 cmt lob150 cm~150LlEO cm ~rycnna en %
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‘1 25;5
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32;3
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26,1
)
* Niveo#sableux
De n&W qua précé+mmntj las v&,eurs de cnpocit6 de rétention traduites en mm sur une
profondeur de sol de 1 mètre ~ID&
- 45 mn d’eau pour le sol sobhlx dun&o
- $2 mm d'eau pour la sol “fondé ouokadjidiou"
- L/61 m d'anu pour le sol Vondé,Ouakaa
Nous pouvona donc ,dire en promi.&rc conclusion quta partir du sol saturé d'eau sur une
profondeur de i m8tre las 96 de perte par pcrcolotion profonde au cours du roasukoge
:.i/;.e
1
1
L’< 14 PT
du sol sont de '77 $ Tpour lo c:;.L sableux duncirc) 30 $ (pour le 503 "fondtc! jus-
kad jidiou") et 16 $ (pour lo sa1 "fond6 ounkan)l
I
f
Sur ltairo dc :;r?st de corn6t@risnt$on du sol sableux de NIDiol nous
avons utilisb la méthode du dzoinogo interne (mise ou point par le laboratokre de
m&anique des Fluidee de Grenoble) basbe sur la ccmbinaison de la sonde à neutrons
et d'une batterie dc‘tenaiomètres plocus-verticalement dans le sol ! dif%rientes
profondeurs pour déterminer 011 champ la courbe de penéobilit6 K (8) en appiliquant
litre des calculs ls relation ci-dessous gEduite de h loi de Darcy i
'8
8 t
K (a) u&
II
dh
r m iradheure
T
't
.
ovoc q = flux dloau à une &te donn0e f4urni
par 20s variatione de stock d'eau
dans le sol
grar&mt de charge donn0 par 1; pente
des profils de chargo trac& &/portir
des mesures fournies par la batterie
de tansititrea
L@àlsembl.e des valeurs de K (8) obtenues report0es sur fouille de
papier semi-lcgerithmmique domte uns relation liMaire entre K (B)ot l*humidit&
du sol de le Forme t
‘t
?-
't Log K (9) en rran/heure E U;3?5 (@) - 1;SS :
avec (8) = humidit0 volumique du sol
Dens le cas de la mise en valeur par aspersion des sols sableux de la vall1Se du
Lempaar cette relation extr%oment importante combinuc avec les donngea de deman-
de évaporative devrait permoL'tre do rationnoliser l'irrigation (par oxempl.c le
temps d'arrosage nt?cessnire pour humecter une profondeur donnée de sol sans perte
dteau par pe~olation profonde):
En olus de l'ensemble de ces dtterminntiona nous avons essay8 d'exploiter %es
résulta-te de caract&isation hydrique et hydrodynamique du sol de NtDiol pour
démarrer en PJovembre un esscli de dotcrrnination de bilan hydrique global sur to-
mate repiquée grRce à des mesurcs,hebdomadairos (1 fois par semaine) neutrbniquea
(sonde 3 neuqmns) et tensiom&riques~
Les r&ultats obtenus à ce jour montrent
que dans le bilan hydrique gILoba1; les pertes d'eau par porcolation profonde sont
oxtr&nement importantes pour une dose de f2 mm/heuro par point dtaspcrsionj
IA2 - DYNAMIQUE DE L@AZOTE D/'\\NS LE SOL ET LA PLANTE EN CULTURE IRRIGUEE
l
i -&micwe llazoto en riziculture ir!d.au&
Cotte étude en est à sa troisième onnae et les r&ultats do la
campagne d'hivernage 1976 confirment ceux des doux annces d'avant a savoir qu'en
rizioulturciirriguOc UE VondEn do bourrelot do bcrgc les pertes d'azotd par
lessivage et entraine%wt sont de l'ordre de 20 à 25 46 pour un apport de '300 kg/
ha de carlur& au stade tnllago du riz. Qtioique l'effet azote sur le rendement
< .,<.
est, hautement significatif Ircndament multipl5.3 ~73 ?;; 17 i,;sc <a ï:l !.,z/'!,
de pcrlur6e sur ce type d-2 sol est C~CC~.-5.~. Fort tic. CAS iJ;J'tats x px. ;zn?
du principe que du toute ?çon llapport d'arc& sur or X~~C I:: ~11 doit 3- T..
fractionne un essai de frciitionnement abte n L?E mis c.1 i7: on ctnf~r -
r,
saison en ~oJJ,&orc&ion CJ c 10 Projet ,;.11J.,I,.F;/F .iJA'r':j
En approche de 10 dQtctiga.tion
de la fumurc ato-i;Se du sc.:gno
de casier il a 6th étudie, sur un dispositif oxp&rimental de 200 m2 sur sol
~fondG" de bourrelet de bnrgo do Fanoye; 10 mobilisation d'azote par llihybri-
de Ci612 x 6&27 (meilleur sorgho hybride pour la r@gion B l'heure actucüe)
gr@ce B d&s pr6lèvementa de plants à 4 stades pr6ci.s (tallagei Epiaiscn+ ate-
de grsin laiteux, stade grain farineux) du cycle: Les résultats d@st&l.y&es
foliairos montrent que pour une mobilisation totala de 98 kg N/ha (ave& un
apport total de 100 kg N/ha) les 96 de mobilisation sont do t
œ 20 $ pour le stade tallago
- 50 $ pour le stado 6piaison
- 22 % pour le stade grain pdteu&aitcux
" El $ pour lo stade grain f'orineux/cornO
Le rendement en grains a é-t6 de 5 500 kg/he:
Il ressort %nc de l!onscmble de ces r&ultats que la fe$tili-
sstion azotée du sorgho irrigu0 boit Darc frac?tion&e en 3 OppOrts t 1/4 iiph3
le d&mariage) 112 eu Stade bpinison; 1/4 au stade formation des gsains:
$/3 - TECHNIQUES CULTUR&ES EN CULTURE IRRIGUEE SUR SOL FONDE ET SOL HQ@&&
Il s'agissait dans cette action de recherche pluriannuel.~ de
voir quel est l'intbr8t économique (incidence sur & rendement) du trav&l pro-
fond du sol aussi bien en riticulture qu'en culture de diversificationiS 'Pour
ce feire deux types de sol de Faneye ont Ch5 ohoisis t
- la "fondç" de bourrelet de berge Avec comme rotation L mas
de soisor. sèche (lkre annte ?975); riz d'hivernage sui@
d'un bl.S de dbsoison (2ème annbe 1976); sorgho dthiver$ege
suivi de tomate en d&&.son (38ma année 1977)
- le sol "hololld6" avec la rotation annuelle riz d'hivernage
suivi de riz de ci6saison dans ltoptique de 1~ doubSa r&
cultm intBilaivt3;
Aussi bien sur fifond&n que sur "holallcWj les traitements ci-
dessous ont été mie en comparaison L
Tl .t %inimum Tillages (grattage du sol sur 3 cm au Rotaiator)
T2 '8 Travail superficiel du sol eu Rotovator (environ lO!~m)
T3 : Travail profond du a01 (l&our & 35 cm 0 la charrue3 soc
rqmirr:psr deux passages do Rotavator) sans k?llfOUi8+H3&
de paille de la culture pr&Cidente
74 t idem que T3 mais avec enfouissement de la paiXle de la
culture pr6cbdento (m&s sn 1975):
Los r&ult;ats obtenus aussi bien pour la culture d'hivernage (riz) que pour la
culture de saison s&cho (bJ.6) montrent que t
a) Pour lrobtansion d'un lit de semence favorisant une fiv6e
rapide et homog&w la meilleure façon culturala est +
travsi.3. superficiel au Rotovator (ce qui confirme les:
5 ) 1~f?nfouissa~n~r
, ,-t d c pnillc dc la cc;ltuxo pr6cikk3-ito (ni$-.
p o u r l e r i z e t r i z p o u r Xc bl6) f a v o r i s e tn dSvcl.oppcmew ~
kxtiziant d o L a vCgbtntion conduisont 2 une p l u s cgandc;
prodcction dc paille quo d e g r o i n s $&--~d&~~$Q+lp,
J&@~~$ascnont d e l a oailla)
ci Dons 3.~ c e s d u riz d~hivcrnagc~ ïcs rcndcmcntr m o y e n s pur
laa diffkcents traitements no diffèrent pas do façon SP-
gnificntive alors qw dans 10 c+~s du b;lé; le %ûnin?um Fil-
lage" donne un rsndernent significativomont inf%rieur au
travail superficiel, ot travail profond (dont Isa renwnts
sont quasi idantiquas]: L*effet dt%prsesif da l'enfouisse-
ment de paille se trouvant confirmE dans les deux cas;,
Le tableau ;Bus donno las rendements en ka/ha obtenus t
- -
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3 650 t 3 450 t 3 600 f 3 640 )
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i
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t 3 900 't 4 600 : 4 100 'a 6 550 't 4 400 g 4 710 )
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't 4 400 't 5 250 :t 4 500 t 4 650 i ,4 450 '8 4 650 )
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't 3 100 t 3 800 i 3 7srl i 4 750 '1 5 200 g 4 120 )
,-
2 c TRAVAIL DU, SOL ’ i 10&ALi3@ /WC LA ROTATION ANNUELLE RIZ m RIZ
(J&&cité cl&&& 6B4 Il)
Cette r%udo a dtjn&rrfi au coure de l*hiwmage 1976: Les observa-
tions faites au cours de J.a r&&&tion dps façons culturolss et les rCaul$xts
de fin de campagne rentrent- que 8'
.,
al) pour avskc un lit de semen+o correct la reprise du labour pro-
fond doit'gtre f&tc imrrhdiatomen~ afin d'6viter la priee en
bloc dea mottes do labour avac la~dassication~, ~
~,".
b) tout comme dana le cas du “fondP; le travail superficiel du
aoX @t 't?elui Q u i ftivoripo'b mi;&& ibié lév&'kapido et ho@+
gènf3:
c) pour & culturs d'hivernage lsi c&&kea de rendement entre !
les trtitemnts cm sont bas s-igni~ica~iv~ c43m3 le montra Y43
tableau des rendements c$-dassau~ expsimsea en kg/ha t
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Réphtitions :
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lee tr&omonts..T3at T4 a-tant absolumont
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identiques [pas d'onfouîeeemont de rieiUe\\:
I
bs premières conclusions à tirer dc cas ~~Ys111to~s uo travail du 531 srmt :
- quren riziculturc irriçuéc avec maftriso de l~cnu 10s fn$7r--
wperficiollos de prEparntion du lit do somonco suffisent P-L
_ assurer un bon rcndemont
. qu'on culture de diversificot+on; lo travail profond du go1
.?st à rccommondor ne sezçi?-c! qu*une fois tous lea dewi,ir~.
If &iJELIORA~ION VARIETALE ET PHYTOTECEE RIZ EN RIZICULTURE IRRIGUE&
(Etude de la tal&rnnce au froid pour la riziculture irrigtio de stisa$sorts
et-scontrwaaisons)
1
En 1976; deux collectioncs ont &tB test- pour le comport
vin B vis du fmid 81 la levée t
- ? collection de 160 vnriW!s pro+mnant do l*I:RiRiT: {TmC
international sur la tol6r~ eu frnirl)
- 1 collection de 1CO vari&% provenent de ItIRRIi & SHAW-
trolio et de hs5ie~
C.pn nhwmmtiOn8 fnitos sur le tallage~ la hauteur; le cycw
la verac, 10 tiaction aux insectes et maladiosj le % dkw&te-
ment et la longuour do la panicule ont permis dtisaler 96 YljribLI
tas paraissant intércseantee~ Ces vari&% feront lrobjet dlun
auivi plus approfondi en 1977 de leur tolérance au fmid au
stade plantule et à 1'6piaison ainei que de leurs caract&+
tiques agmnomiques~
b) ,&J&@?ion de 1CC va t
Le suivi du comportement de ces veriGtOs au etade plantule ;Via
B vis du froid a permis de retenir 19 vari&@ para+aant Jin-
t&essantoa du point do vue vigueur de cmiesanco; Il sem@w
rûit que ccrtûines de COS VariEtEs pourraient &tro expl&+s
- -
en tant que sources de &OS de tolkance au frctidi
21 FIXATION DE LWYBRIDE F3 (DlJBOvpSKY X w
40 lignées de l'hybride Dubovoeky x TA Nf ont EtB suiv& en
test de comportement vis à vie du fmid au stade plantule et B l*bpio$3on :
lrensemble des lignBes ee sont bien comporttes quant B In vfgueur ; B
lngpiaieon des signes dtavortement et des ph&omènes do diajonction (pe-
niculee barbues) ont été obsarvthe, Un tri des lignbee intkessantea a
BtO fait, lesquelles seront testks en d8soison et contre-saison 197f
qi F41
3- ESSA]I COMPARATIF VARIETAL DE TCLERANCE AU FRCID ET DE RENDEFWT
18 varibt6s préolobloment test&ss en collection ont Btd miema
en comparaison de toltsronce ou froid et do rendement pour deux datae do
Ssmss (octobre et novembre); Quoique les deux eesa$s ne soient poe enicoro
rt5colt6~~les 9 varibt6s paraissant d'ores ot dGj& pmmettouses (d,gu+wc
et espl~ancc de bons rondemonts) sorrt t CHINA 1039; CARLOSE; BARU) INtA;
YRLLlOeC9; Y R 1 4 0 ; KtLIh.1351,&8-6~ KIJLU; KH@90;
-ne
1 w AMELICRFIT$ON VARIETALE ‘$$lLTURE DE DIVEX5IFICkTICN
i ws variEt2kx de 5
or aho c
d c38icr nour las 3 aaieons do
j34ktum3 Ihive~
nt c o n t r a * - s0 d à Fanqg
1
. .
. $aet de f-'hvbas de aoraho en orando~arca&,!=,
&#JcMphE
En ce qui concarno 1~3s rEeultote obtenue pour ces doux thèmes de rochorchoi se
raporter au dbcument de synthèse 1976 do MA ~MAUBOUSSIN:
If - ETUDE DE PRECEDENTS CULTURAUX SUR SFONDEe DE FhNAYE
Cattc etuda a étE entarmk au cours de Ifhivernage 1976; sur col
ttfond6w do Fanayo en premièra approche de la definition de ttey8tPmos do produc-
tion" viables indiepcnaablas pour ltinten8ification effective de la culture in.
riguec dans les pé@.m&tree hydre-agricoles créQs ou a cr&r dans la rogion du
flcuva~ Deux typee de précédents culturaux ont étb Btudi& I
St
tld,hiw.
‘18
-
les quatre principale
sèche
lant6ee en
groupa c$ ayant eu comme p&Mdent chacune de8 3 principal&
cultures possibles en hivernage (riz de 110 jours, sorgho de
90 jOurS~4db3 d8 90 joura):
b) w
3
da
cultures pO88ibk3e on
jOKC& J&&R de 90 .iO4@&
pe do8 quetre principales cultures po8aibles en saison 88cha (SO-
gho de 90 jours - mde de 90 jours - bld da 9G jours,- Tom#e).j
Les periodee optimalse de mise en place de8 cultures ratanues sont :
; Juin 1976 pour le8 cultures dthivernage et octobro/novombrol976
pour lee culturoa do saison sèche dans 10 cas du prdcddont dit
ed'hiVornag8"
'
4 Octobra/Novombre f976 pour les oulturos de saison sèche et Juin
197'7 pour 10s oulturas d'hivernage dans le cas du pr&6dcntdit
de *doeaisone~
Les observations faites au cours de la campagne at les rkwltats de rendamente
obtenus montrant qua pour le prec4dont dit ed*hivornago" ;
+ la meilleur pr&edont du sorgho; ma!Cs et tomato de saison sbcha
est un
+ le me%8 en tant que pr&cddont d'hivernage cet inintéressant par%%
que sensible aux excbs dfeau de8 pluies du mois d*AoQt avec~ comme
cone&quenca la chbte des rendements{
+ le riz en tant que prkzédent d'hivernage ne combla int&eeoant
qu*avec une vari&&? à cycle court permettant la liberation 'du
terrain dans les délais exigea par la perioda optbmalo de &ee
an place de la culture de desaison;
+ 3.m for-tee attaqLIe8'de rats sur le blE n’ont pas permis de d6ter-
.-_
* I. . **L’.------- -....,.. mm*+” *,,i+,msi
-9-
En ce qui. ~cmtxxn~ le pr6cbdant rlit d3 ‘rdi:misonn~ les ~~~sul~nts qtli ~WXCCX&
oblxmus au cowrs de llhivarnogc
197-1 parmettront de Sterminer J.Q ou loe maKL
leurs pr&bdcnts de .f~dGsaison” pour 10s principolos cultures d’hivcrnagei
!.a tableou-C&de88oUe donne las moyennes en kg/ha des rendemonts obtenus SU~
lo prtlcédent dit dd*h%vernegen:
-IF----
t Moyenne dca -rFndem
OS do soieon sèche
Pr&&dm-l d%ivernago tt
‘t
Sorgho
;
3 Ma!c8 (JE IV)
18. (hybride dB
;.
bld
* -
(
2
,: CK612 x 6b27),s (Moxipak)
t ---‘--------
-1--
.+----- ------+
I
,
;4&51 (J:ll;% 1,‘)
::
:a
,j-
* (‘ rondoment : 2370 kgfha
,t
4 495
?
5 005
?
*
’ Sorgho (CK612 x 68-27)
‘, kmdement L 3 5OfJ kg/ha 1:
: rendement t 7 122
_,_ _. -- ..----
+ les rondements en ‘bl6 n ton+ pu $tre Ovalués par lite
des attaques ebvères de8 XatS:
f
II ETUDE DIUN SYSTEME D~E:.~yJ:TATION FAMILIAL BASE SU: LA FLTITE MOTORIShT’ION
EN CULTURE MARAICHERE S’$ SOL SABLEUX DUNAIRE DE LA VALLEE DU LAMPSAR
En pm-tiant des faits que d'uno part le nombre d'actifs par ménage
(famille) dans les villaç3s environnants la val&50 du Lampcsar est de 4
(rgsultat d'une enqubte elsioLconomique faite par la S:i%E~D~ en Mars 1976)
et d'autre part la eurfaoz en culture mara!tchère à attribuer B une famille
do 4 actifs ne doit pas ck:c&dor 0;7S à 1 ha (observations faites en 1975 à
NNDiol et confirmt5oa par .'!.a8 rdsultats obtenu8 sur la forme irriguée du
C/NAR#AI de Bembey), il a 6th EtudiE en 1976 sur sol sableux dunaire dn
NtDiolt en tiigation par aspersion, les deux mod?lcs dfoxploitation ci.~
dO8SOU8 dan8 le but de mniux cerner les
et contrQptc8 .dens les c&wlricrs culturaux;
le orodudtian pour un Eco~&rnent à des prix pl
J
œ Modèle dlawion 1 (1 ha avec 4 actifs)
* 1 hcctare C!C mil 90 jours (Souna 3) en hivernago suivi on,
d68aison par :
i 3 ha de tomate Rossol repiq&e on octobre pour une production
pr6cocf3o
i + ha d'oignon IRAT 1 dont 1 000 m2 en ropiquago précoce
(fin octobre) et 4 000 m2 on scmis direct (Novombrc)
c Mod&&e dtexpïoitation II (1 ha avec 4 actifs)
* 1 hectare dc mil 90 jours (Souna 3) en hivernage suivi on dé-
9aiSM par 0
: % ha de tomate Ro~8ol'en aemis direct en fin octobre (m -
duction tardive)
i 3 ha d'oignon IRAT 1 en semis,dircct on fin novembre:
1 m LE MIL SOUNA 3 COMME ;‘?ECEDENT CULTURAL DIHIVERNAGE EN CULTURE MAR~AICHERE
La culture du mil aru. 3 en hivernage (mise en place en juillet) moyen-
nant un compl6ment d'irrigation (218 mm d'aspersion contre un total plu-
viomktrique de 145 mm) pour compeneer le olEficit pluviomhtriquo t
+ ne prhente pas de contrainte de temps ni do main-dtouvro
d'autant que la récolte 80 situant en septembre pcrmet do lib&
rer le teaain à temps pour la misc en place dos cultures de
tomate et d'oignon
+ présente vns p6riode creuse en travaux de champs ac situant
entre le 15 septembre et d0bu-t octobre qui peut Étre utilisée
par la mairwftocuvre familiale pour effectuer des repiquages
pr&oces de tomate ou oignon lui assurant une production pré-
coce en f&rier, époque favorable 3 un 6coulemont sur le 'marché
à des prix int6ressants~
+ est un sub~ticl appoint vivricr pour la famille pendant la
période de soudure d'hivernage ; le rondcmunt moyen obtsniu pour
chacun de8 deux modèles dtexploitntion est do 2 000 kg/hai:
Le tableau ci-dessous :C~V o par modèle dJexploita%r&r opGrat-GÏ,
culturalc les temps de travaux r~lc.6~ dont la plupart confirment ceux rclcvés
en 1975
1
!
-* Temps de travaux en heurcs/ha
1
!
.v
r
J
I
3
ModX.o dJExploit&ion, 1
M'a-wF40di?lo d,~cxplc$tat~onIf)
(
DPERATIOtiS CLJLTURALES
!
;
)
j Mil. r "'ornotes 'tOignon 'tOignon ,J Mil
~Tomat&Oîgnon )
I
t Souna‘3 : ~opiqués0epiquk~~. semi
t Sauna 3 'lscrd.5 iseniis )
't 0;9&,9 :': OxOj4 '&;20 x rDirec+ :t
--idirec$z&t
;
t
'tog 0
't ridem $- idem
1;‘
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W---=-t-~ ---+-?y,s '- 9 _:
phpirdère c pr6peretion et
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0
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entretien
! -
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pr6paretion du sol au moWcuL,$
!
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:
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‘8
m
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labour au canadien
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:
6
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6
J Y
Opondage engrais de Fond
t
3
t
7
t
7 ‘t 7
:3
* Ssn$.a avec 1 semoir Ebra
,t 12
t
-
j 90
‘t *
* avec 3 semoirs + motocu$tourt
-
‘t
t ”
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repgquage
'1
a
140
‘t 12ao ‘t -
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démariage (seul)
i 5;
:
t
-
‘t
”
,a 50
démariage et remplacement 't -
p
1 6
t
”
‘8 5 0 0
a -
binage (manuel)
;t 80
:
80
t
80 ‘t ”
; 80
desharbagea manuels
+t fio
:
t30
t
450 ‘( 200
: 80
épandage des fumures
t 3
t
4 8
‘t
30 ‘I 32
; 3
traitement Insecticide/fongi- 't
:
t
i
t
cide (ItrC : 15 h/ha)
't
"
:
225
t
60 j 60
t -
j 300 ‘$ 60
rkolte et mise en botte
i 150
t
-
t
- ‘8 ”
t 150
t -
‘t -
battige ot vonago
‘s 2 4 0
I-
-
t
II ‘8 m
‘t 240
: ”
‘t -
récolte do la tomate
t
-
8 (100
t
” t -
‘t -
‘:iroo t *
ramassage do 1Joignon
:
I
t
m
t 1800 ; 1800
: ”
‘t -
'1 18300
(Effouillage et Transport] t
a
1
‘t
‘t
't
‘t
aaporsion (en 1975 - 76)
'8 10
:
113
t
41 ‘t 65
: 10
j 140 ‘g 65
a
:-----Y--~---+-
,S---+-5
t
a
t
1.
t
t
t
5
( TOTAL en Hcure/ha
':
645
: 2 075
g4 242
'8 2 760 ':
628
$2 124 ‘I 2 686 )
l
z
t
t
t
t
t
.
f
Les conolusikw partielles à tizcr dc cc tableau des tamps de txavaux sont que t
- les OpOrations exigeant 10 plus grand nombre de travaux pour la
famille exploitnnb3 sont, dans 1Jordro dkroissant t
La rkolte et le repiquage de l'oignon; ll.s rkolte de la tomate,
le binage et le dcshcrbago de l'oignon en repiquage:
CI IJutilisation du Dacthal comme herbicide do prélov6o de l'oighon
'permet uno protection de la culture contre 1Jonvahissemcn-t dos
mauvaises herbes pendant 100 jours et r@duit consid&zblemcnt le
temps consac& par la main-d'oeuvxe fomilialo au desherbage et
au binage de l'oignon en semis direct à une époque ou la récolte
_ de 10 tomate mobilise la fGam.illei.
I la r6colte de la tomate et le ramassage de 1Joignon sont deux
opérationa étdes dans le temps qui se "chevouc.hentJJ surtout
à In fin de La rkolte do la tomate et au debut de celle de
l~oignord
,.
.
” ‘12 -
3 - RENDEMENTS SUR LES DEUX Z~~~ELES D'EXPLCIT/\\TION
D'une manièro g2,lSralo lo climat très dur de ltnnnbc 1976 (harma+-
tan et vent dc sable c!-.-J*J~ provoquant des brflluros sur les fcuillcs de to-
mate et oignon et des pFGnom&nos d'avortement des fleurs de tomate) et une
beisse de fertilito haupcmcnt proboblo du sol (sol sableux pauvre en $0
cultivé intensivement d:,?uis 3 ana wns restitution de M:O) semblent ex-
pliquer 'les baisses de -,.z7dcmcnt constat&os en 1976 par rapport a 1975~
La r0coXto de la tomate at le ramassage de l'oignon étant en cours, les
estimations de rendemer;;- par modalo dbexploitation sont les suivantes 1
d
.~oitation 1
: mil souna * t 2 000 kg/hû
f
i ,tomate rep: qu9e : 35 tonnes/ha (estimation)
: oignon rep: qU$ pour une vonte prbcoce sur le marcht t
0
38 tonne8/ #a
4 oignon seti;:s direct t 35 tonnes/hn (estimation)
,b) ModBlo d'exir+oiz&ion II
A mil mune .: ! 2 000 kg/ha
i tomate 80~s direct t 33 tonnes/ha (estimation)
: oignon ser;, s direct t 32 tonnes/ha (estimation)
Il semble qu'il faille a~ n;>ins uno fois tous les deux ans apporter un
amendement orgenique dans ces sols sableux pour le mninticn de leur fer-
tilité:
II +MEUORATION DU STATUT ORGANIQUE DES SOLS SABLEUX DUAIRES
PAR ChTkLISATION DE CL:1Ptig
Les signes do !:,~issc dc,rendcment en culture maraichèro constet6s
sur sol sableux de NtDio! cultiw? intensivomcnt depuis 1974 sans roetitytion
w apport de MeO nous on: ccnduit; de commun accord avec la SAED à mott$c on
place on 1976 un essai su:: tomate rcpiquoo de rcdressomcnt de la fertilit0
et dtûmtllibration des ca~xtx5ristiqucs physiques du sol gtice B du compost
de paille de riz fabriqui Eur place par la technique prdconisdc par Mi GANRY
du C, NI RC Al de Bambey,
Deux doses dt a;::ort dc compost (40 tonnos/ha et 20 tonnes/ha)
Qtoient comparéos d'une ;i-.rt à un tumoin absolu, d'autre part à un traite-
ment racevont la fumure -?rtc min@ralo habituellement utilisée 3 NtDiol,
Llassai f%ant en cours r
récolte; les observations faites 3 ce jour montrent
que t
- l'apport de compost am6liore la r&tention de l'eau par le sol
dans la tranche de sol utile pour la plante
- l(opport de compost augmente la vigueur des plants de tomate;
œ vu l~hét0rogéneit6 caractérisant ces sols en première anngo
de culture, l'offet compost ne peut valablement s'y oxtério7
riser qu'après deux ou trois ans de culture d'homoganéisationi
_’
EQUIPE SYSTEME FLal.rVE
Rue Blanrhnt b.P. 24 SAINT-1 C)ITI.K
MS&.
#b
DELEGf,?S;ON GEIdEREiLE A LA RECHE&&
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REf'UlXIQUE W SENEGAL
SC;&TIFIçiJE ET .TECtiîJIQUE
m
\\
I
’ ,
P R 1’ M’ A T U R E
,
". i
CENTRE DE RECHERCHES AGRIfXlLES DE
$2/
*
RICHbRIMBU
.
-
I
,
RAPPORT DE SYNTHESE DES RESULTATS‘
pE RECHERCHES CAMFAGNE - 1976 t
<...
.
,.
I.:
/
A - PROGRAMMkS CONVENTION GE'IZALE
I
I!i c, Etude des CaractQrietiquee hydrodynamiques des sols alluviayx
de la Vall.ée du Fleuve cm vue de leur Irrigation rationnallg;
IA2 C Dynamique de lr4toto dons le sol et la plante en culture irriguée
: (riz et eorgho)
li3 c Techniques Cult~ralce (Travail du sol) an culture irrigu6e gur
col "fond@ et sol Hollaldb
2-&J4 oration Vnxiétale et Phvtotochnie
- Etude de 10 Toikmmco au froid poux La Riziculturs Irriguée de
Wsaieonff et %ontrs-saison"
43) Collection%~ Introductions de Varibtés Etrangères tol&onl+ee
au froid
i) Fixation de L'hybride F3 (TAN1 X Dubovoeky P variét6 russe
: toUrante au froid)
&) Essai comparatif en cokitione de culture de mdésaisonlf
(critEreade comparaison ; tolkancc au froid à la 1~00 et '
à 18épioison et de rendement) de vari6tbe de rit d6,ja toet&e
en collectioni
B - PROGRAMMEtDE RECHERCtk DB ACCOWAGNEMENT DAGmd
!
l-
l ’
&@@rotion V,miéto.k on CuJ.ture_do Divoirsificûlop (Sorgho de cneier)
1:1 -iEeeaie Vari&a-cc de sorgho de caeior (lignEos puroe ot hybridce)
pour Les trois saisons dc culture (hivernage; d6eaieon at cor@o-
~eaieon)~
IA2 -,Teet de Fabrication d'hybride de sorgho en grande porcellaj
CC &$$WMEjDE RECHERCK D ;ACCOMPAGNENENT DELTA
t -&&p /d'un Svetgmed(i:xrzbitation FomiliaS bBs& sur 3.o Pstits
f'%or&ation en culture morokharo sur sol sableux dun&o
vûriM6e ds riz
ktrang&res à haut potentiel de production et p~%sutiee
'toJ.&antes au ofroid" (p&pinibo internationale sur lo toJ.&ronce
/au froid):
.
1 1 2c. Essai var5:~ d comparatif de rendement C!E vnri6tés de rit
_ en hivernlg;
1c
1 3" Etude de8 clractériatiques agronomiques d'une collection
introduito de 400 variétt58i
2’
&GROPEDOLOGIE
l -t I
2$1 - Etude de la fertilisation azotée ct de la conservation de
l'azote en riziculturo irriguefe de d68aison sur sol hydro-
morphe argiLoux du Delta;
2:2 - Fractionnemont do l'azote (trois doses) en riziculturo irriguée
_ de désaison sur sol hydromorpha argileux du Delta:
2;3k Rkgimc d*tz-I et conservation de l*arotc en riziculture i$cigu&
de dEsaison sur sol hydromorphe argileux du Delta:
t
si-tN-TOMOLOGIE
.. Evaluation sur parcelle expérimentale de8 difftkonts inaeotes
nuisibles CU rizi
4;wMA-LHERBXOGIE
4ki ; E88ai de dnsherbage chimique du riz irrigu6 dthivornage:
4t2 m Essai comparatif de techniques de lutte chimique et culturalea
contre lee mauvaise8 herbes.en riziculture irriguée;
.
,
- 1 ;œ
v
/ &SULTATS pE REC mtiEs COI\\JVEIW~N G;ENERALE /
t
Tro+8 types de eo: ont dte retenus en 1976 po& cette &tuda z
- Sol sablettx dunaire du complexe e&leux bordant la val&%
_ du Lampsa:: :Station de NrDiol)
c
- Sol hydromwpho à pseudogley sur limon ("fondo Ouakaa de
- Fonaye);
Sol hydromcrphe à pseudogley 8~lr maturinu snblo~rgticux
." (Von& Ouakadjidiou")/
la) II DBterm&@ion de8 droite8 dpt%alonnasc otlur k38 3 SO& t
La cnractérisotion hydrique et hydrodynamique in eitu d'un
sol par 1~s méthodes neutroniques (sonde à neutrons) ne peut se ftire rlpo
moyennant' la dotermination, sur l'aire dfbtude; de la droite d*étalonn@ga
permottanft de relier dfroctement les mesures fournies par la sonde à niu-
trons et F'humidit8 du 801 (humidi% volumique) au moment de la moeuree
.
Pour checu) dee 5018 oi~dessua il a été donc proc&dt: à lû
déterminalion au champ dee droites d'étalonnage qui sont les suivantes t
I
.
t
1 ..
t
Equation de la droite
a
!
Type de Sol
t
dtétalonnago
t
s
.---
~~Sol eab+Xix dunaire de In
't
't
;kitation &pOrimentele de N'Dicl
': Y n 13j15 x + 60155
'?
'z*
---As;
t
't
't
i
'#Sol hyd&norphe à pseudogley
- .
't
't
'peur limh ("fonde Ouaka") de
t
't
::Fanaye
Y u lI3j3 x - 55;02
t
:t
I
;
;Sol hy+morpho à peeudogley sur {
jmat&riaq aabla-argilteux
(“fond6
[Ouekadjiidiou") de Fnneye
t
t
‘,t
avec t
I
Y u da t cmnptoge de la sondo XI bout d’1 /onde
x P humidi% volumiquo du sol au moment do la~mesure
/
1.. 1’
l *.’
b dQtcrminatic~ i:e ces cnractEristiques a 6tE poesible gr?Ycc à IL
méthode du ,doub& carré sourrx à une submersion (par un apport massif dteac)
eveo suivi :à la sondo à nrutr:ons de l'infiltration do l~cau dans le sol et le
reeuqyage d/u 801:
0)
: le suivi de la diminution de la lame d'eau cti60
è
cubmersion artifici.sJ& donne pour les tmis sols
les viteas+ moyennes
Infiltration cLdossou8 ;
dheure pour 1 apport de
mm d'eau sur sol sec
a "fond& Ouûka" -'e Fan~ t trois vitesses dsinfiitration POL@ un
apport total d'ea:i de 120 m/m en trois apports :
+ 40 In.&g&.?
I ,>roue un premier appart dc 24 mm sur sol sec
+
3 'jour un deuxi&me apport de 36 mm sur sol mou@&5
+
.&' pour un troisième apport de 60 mm sur sol mduiJ&
- sfond& Ouak~zJ&$ious de Fw t 2 vitcssos d'infiltration pour
:
un apport tr:tcL d'eau do 120 mm an 2 apports :
* 562 ,~our 1 premier appart de 60 mm sur sol sec:
* 12 mru/heac pour un deuxième apport de 60 mm sur sol hurmldo~
Ces valeure de vitesse d'infiltration permettant dlidentifior trois Wnités de
p"ysages se différenciant FZ la "pormGabilit@ de leur prcfil t
unité de par s:,yz à sols très saetiable@~~~insubmersibles et
caract&iaé I r 31: une tr&s forte probabilité de perte d'eau d)i.r-
rigotion pa..' :srcolation profonde t unit& repr6sontée par $.s sol
sableux dun Ti.-aA
unité de pays-go à sols asor %ertiobles~* difficilement aubme-
sibles par un: lame d'eau t repr&sentée por le “fondé Ouokadjidiou"
ou sol des @i-tus lev6es de la vallbo alluviale:
unit6 de ~C:E -gc à sols relativement ~%erm&&& exigbant
as,ez d'ejr : u" le maintien d'une lame dr eau de submersion en
R':rfar:e : 3 .' L: ~nt6c par le »fondB Ouaka" ou sol de bouz&et
de bwge & '.e~./e Sénégal ot de ses affluent8 et d@Xrmnte
b) QIJJ&& au çhamo ou hctiditt? du sol B sntuxation
!
' Pour un sol donGy lthumidite à saturation (donnée physique @-
portante dans l!estimation des besoins en eau puriode de pointa - ptiparation
du sol etmise E;n eau - en riziculture irriguEo avec maftrise de l*eau) est
d&torminéq! par Lt enveloppe maximale des courbes dtr5vnlution du profil de sa-
turation & sol au moment de la phase d'infiltration: Les valeurs mokonnes
correspon$antcs en $ dlhumidLt6 volumique) pour les 3 sols Ctudibs sont donnéss
i
,.
I
par tranEhg de sol par le ti-ablonu ci-&ssous :
- -.- em --- 1.*^-11 .W”._ ..*-x T.-v 1
(
a
Capocitr? au chemp-,on % par tronche de StJl
8’ 1‘
.1r,*-1,2te:
*-
(. Type do 801
8
-m-m-- --mœaœmlb--œ--------~.~~;~
),T ,q.J i?L)Y, ‘?’ -: ’
(.
‘8 0 c 30 cmg 30210 fxi ‘:501100 cm '~lOO==lSO cm :15Ll130 cm :
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( Sol sableux dunaire ‘t
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2052
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:
.
‘1
* .
;
1.s Valaurs~corraspondaot à un nivsau aabldux
'
Pour une profondeur de sol de 1 #&tre; les valeurs de capacité eu champ moyenna tra#
duitea sn rsssont t
-2$!mnd' eau p-la sol sableux dunaS.ra
- 2$0 mn d'eau pour la sol "fond6 OuakaojidiouS
I 343 mn d+eau pour le sol nfond6 Ouakab
Pour chaque type de 801 Gtudiu; cette coracthristiqua hydrique in)por-
tante o Bté d@terminée en considérant I~ordonnQo CI l'origine de la
da le courbe de cinétique de rsssuyage (Log (humidité volumiqua an
du temps do ressuyngo) tracée pour chaque horizon de sol; Le tableau Ci-d88sOU8
donne par tronche de sol les valeurs moyanncs an % (humidité volumiquo) obtanuasi
*
L
CapacitO de titentjon en % par tronche de sol
:Capoci&5 da )
I
Typa de sol
t
---rrfSontion mo-)
t Ot30 cm ‘t 3tL50 cm~'r'501100 cmt lob150 cm~150LlEO cm ~rycnna en %
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4
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: 23i6 ‘: 2$-f
‘1 25;5
‘8 26
L
32;3
‘t
26,1
)
* Niveo#sableux
De n&W qua précé+mmntj las v&,eurs de cnpocit6 de rétention traduites en mm sur une
profondeur de sol de 1 mètre ~ID&
- 45 mn d’eau pour le sol sobhlx dun&o
- $2 mm d'eau pour la sol “fondé ouokadjidiou"
- L/61 m d'anu pour le sol Vondé,Ouakaa
Nous pouvona donc ,dire en promi.&rc conclusion quta partir du sol saturé d'eau sur une
profondeur de i m8tre las 96 de perte par pcrcolotion profonde au cours du roasukoge
:.i/;.e
1
1
L’< 14 PT
du sol sont de '77 $ Tpour lo c:;.L sableux duncirc) 30 $ (pour le 503 "fondtc! jus-
kad jidiou") et 16 $ (pour lo sa1 "fond6 ounkan)l
I
f
Sur ltairo dc :;r?st de corn6t@risnt$on du sol sableux de NIDiol nous
avons utilisb la méthode du dzoinogo interne (mise ou point par le laboratokre de
m&anique des Fluidee de Grenoble) basbe sur la ccmbinaison de la sonde à neutrons
et d'une batterie dc‘tenaiomètres plocus-verticalement dans le sol ! dif%rientes
profondeurs pour déterminer 011 champ la courbe de penéobilit6 K (8) en appiliquant
litre des calculs ls relation ci-dessous gEduite de h loi de Darcy i
'8
8 t
K (a) u&
II
dh
r m iradheure
T
't
.
ovoc q = flux dloau à une &te donn0e f4urni
par 20s variatione de stock d'eau
dans le sol
grar&mt de charge donn0 par 1; pente
des profils de chargo trac& &/portir
des mesures fournies par la batterie
de tansititrea
L@àlsembl.e des valeurs de K (8) obtenues report0es sur fouille de
papier semi-lcgerithmmique domte uns relation liMaire entre K (B)ot l*humidit&
du sol de le Forme t
‘t
?-
't Log K (9) en rran/heure E U;3?5 (@) - 1;SS :
avec (8) = humidit0 volumique du sol
Dens le cas de la mise en valeur par aspersion des sols sableux de la vall1Se du
Lempaar cette relation extr%oment importante combinuc avec les donngea de deman-
de évaporative devrait permoL'tre do rationnoliser l'irrigation (par oxempl.c le
temps d'arrosage nt?cessnire pour humecter une profondeur donnée de sol sans perte
dteau par pe~olation profonde):
En olus de l'ensemble de ces dtterminntiona nous avons essay8 d'exploiter %es
résulta-te de caract&isation hydrique et hydrodynamique du sol de NtDiol pour
démarrer en PJovembre un esscli de dotcrrnination de bilan hydrique global sur to-
mate repiquée grRce à des mesurcs,hebdomadairos (1 fois par semaine) neutrbniquea
(sonde 3 neuqmns) et tensiom&riques~
Les r&ultats obtenus à ce jour montrent
que dans le bilan hydrique gILoba1; les pertes d'eau par porcolation profonde sont
oxtr&nement importantes pour une dose de f2 mm/heuro par point dtaspcrsionj
IA2 - DYNAMIQUE DE L@AZOTE D/'\\NS LE SOL ET LA PLANTE EN CULTURE IRRIGUEE
l
i -&micwe llazoto en riziculture ir!d.au&
Cotte étude en est à sa troisième onnae et les r&ultats do la
campagne d'hivernage 1976 confirment ceux des doux annces d'avant a savoir qu'en
rizioulturciirriguOc UE VondEn do bourrelot do bcrgc les pertes d'azotd par
lessivage et entraine%wt sont de l'ordre de 20 à 25 46 pour un apport de '300 kg/
ha de carlur& au stade tnllago du riz. Qtioique l'effet azote sur le rendement
< .,<.
est, hautement significatif Ircndament multipl5.3 ~73 ?;; 17 i,;sc <a ï:l !.,z/'!,
de pcrlur6e sur ce type d-2 sol est C~CC~.-5.~. Fort tic. CAS iJ;J'tats x px. ;zn?
du principe que du toute ?çon llapport d'arc& sur or X~~C I:: ~11 doit 3- T..
fractionne un essai de frciitionnement abte n L?E mis c.1 i7: on ctnf~r -
r,
saison en ~oJJ,&orc&ion CJ c 10 Projet ,;.11J.,I,.F;/F .iJA'r':j
En approche de 10 dQtctiga.tion
de la fumurc ato-i;Se du sc.:gno
de casier il a 6th étudie, sur un dispositif oxp&rimental de 200 m2 sur sol
~fondG" de bourrelet de bnrgo do Fanoye; 10 mobilisation d'azote par llihybri-
de Ci612 x 6&27 (meilleur sorgho hybride pour la r@gion B l'heure actucüe)
gr@ce B d&s pr6lèvementa de plants à 4 stades pr6ci.s (tallagei Epiaiscn+ ate-
de grsin laiteux, stade grain farineux) du cycle: Les résultats d@st&l.y&es
foliairos montrent que pour une mobilisation totala de 98 kg N/ha (ave& un
apport total de 100 kg N/ha) les 96 de mobilisation sont do t
œ 20 $ pour le stade tallago
- 50 $ pour le stado 6piaison
- 22 % pour le stade grain pdteu&aitcux
" El $ pour lo stade grain f'orineux/cornO
Le rendement en grains a é-t6 de 5 500 kg/he:
Il ressort %nc de l!onscmble de ces r&ultats que la fe$tili-
sstion azotée du sorgho irrigu0 boit Darc frac?tion&e en 3 OppOrts t 1/4 iiph3
le d&mariage) 112 eu Stade bpinison; 1/4 au stade formation des gsains:
$/3 - TECHNIQUES CULTUR&ES EN CULTURE IRRIGUEE SUR SOL FONDE ET SOL HQ@&&
Il s'agissait dans cette action de recherche pluriannuel.~ de
voir quel est l'intbr8t économique (incidence sur & rendement) du trav&l pro-
fond du sol aussi bien en riticulture qu'en culture de diversificationiS 'Pour
ce feire deux types de sol de Faneye ont Ch5 ohoisis t
- la "fondç" de bourrelet de berge Avec comme rotation L mas
de soisor. sèche (lkre annte ?975); riz d'hivernage sui@
d'un bl.S de dbsoison (2ème annbe 1976); sorgho dthiver$ege
suivi de tomate en d&&.son (38ma année 1977)
- le sol "hololld6" avec la rotation annuelle riz d'hivernage
suivi de riz de ci6saison dans ltoptique de 1~ doubSa r&
cultm intBilaivt3;
Aussi bien sur fifond&n que sur "holallcWj les traitements ci-
dessous ont été mie en comparaison L
Tl .t %inimum Tillages (grattage du sol sur 3 cm au Rotaiator)
T2 '8 Travail superficiel du sol eu Rotovator (environ lO!~m)
T3 : Travail profond du a01 (l&our & 35 cm 0 la charrue3 soc
rqmirr:psr deux passages do Rotavator) sans k?llfOUi8+H3&
de paille de la culture pr&Cidente
74 t idem que T3 mais avec enfouissement de la paiXle de la
culture pr6cbdento (m&s sn 1975):
Los r&ult;ats obtenus aussi bien pour la culture d'hivernage (riz) que pour la
culture de saison s&cho (bJ.6) montrent que t
a) Pour lrobtansion d'un lit de semence favorisant une fiv6e
rapide et homog&w la meilleure façon culturala est +
travsi.3. superficiel au Rotovator (ce qui confirme les:
5 ) 1~f?nfouissa~n~r
, ,-t d c pnillc dc la cc;ltuxo pr6cikk3-ito (ni$-.
p o u r l e r i z e t r i z p o u r Xc bl6) f a v o r i s e tn dSvcl.oppcmew ~
kxtiziant d o L a vCgbtntion conduisont 2 une p l u s cgandc;
prodcction dc paille quo d e g r o i n s $&--~d&~~$Q+lp,
J&@~~$ascnont d e l a oailla)
ci Dons 3.~ c e s d u riz d~hivcrnagc~ ïcs rcndcmcntr m o y e n s pur
laa diffkcents traitements no diffèrent pas do façon SP-
gnificntive alors qw dans 10 c+~s du b;lé; le %ûnin?um Fil-
lage" donne un rsndernent significativomont inf%rieur au
travail superficiel, ot travail profond (dont Isa renwnts
sont quasi idantiquas]: L*effet dt%prsesif da l'enfouisse-
ment de paille se trouvant confirmE dans les deux cas;,
Le tableau ;Bus donno las rendements en ka/ha obtenus t
- -
t
1
RGp&titions ! 1
I 11
J- If1
j.. IV j v
,$Rendes+ntf
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'2 6 660 ';.6 930 j t 6 130 't 6 530 '8 '7 000 '8 6 650 ) )
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r: Riz dthivernago ]t
74
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4 1360 '8 i:6 330
4 660 'tt 6260
5 660 '0
.': 5
7ND'r6000
330,
'I 4 660
'g 6650 s 03p ) )
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't t
-- ; 1 ;
1
:
Tl
: 3 650 ; 3 850 ,t
3 650 t 3 450 t 3 600 f 3 640 )
(iZI&dosaieon
i
T2
t 3 900 't 4 600 : 4 100 'a 6 550 't 4 400 g 4 710 )
I
sèche
t
T3
't 4 400 't 5 250 :t 4 500 t 4 650 i ,4 450 '8 4 650 )
r:
't
T4
't 3 100 t 3 800 i 3 7srl i 4 750 '1 5 200 g 4 120 )
,-
2 c TRAVAIL DU, SOL ’ i 10&ALi3@ /WC LA ROTATION ANNUELLE RIZ m RIZ
(J&&cité cl&&& 6B4 Il)
Cette r%udo a dtjn&rrfi au coure de l*hiwmage 1976: Les observa-
tions faites au cours de J.a r&&&tion dps façons culturolss et les rCaul$xts
de fin de campagne rentrent- que 8'
.,
al) pour avskc un lit de semen+o correct la reprise du labour pro-
fond doit'gtre f&tc imrrhdiatomen~ afin d'6viter la priee en
bloc dea mottes do labour avac la~dassication~, ~
~,".
b) tout comme dana le cas du “fondP; le travail superficiel du
aoX @t 't?elui Q u i ftivoripo'b mi;&& ibié lév&'kapido et ho@+
gènf3:
c) pour & culturs d'hivernage lsi c&&kea de rendement entre !
les trtitemnts cm sont bas s-igni~ica~iv~ c43m3 le montra Y43
tableau des rendements c$-dassau~ expsimsea en kg/ha t
,
’
<
1
4
Réphtitions :
1
:
If
1 III
\\
L Iv
j. V ,.]I. vf 3 Rendement k!m _ ?
! Traitementa t
I
8t
t
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3
+
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-*
_
.
'3 6 600 ; 6 400
'I 7 200 1:: 6,400 1 fi 8 GO0 ?- t.7 400 '8
7000'
)
i 6 800 't 7 CD0
't 7 600 8 6 800 8 600 i. 6 400 ;
7 200
)
j 6 40G 8 6 800
i 8 600 ^t 7.BOo 'j $ 6 200 '8 6 ooo 'g
7 500
LU
it 5200 'zs 5600' , 't 6 600
~..
. ':
5 7200
1300; s.': 7200 t
6 500
f
.N&:i 'q
lee tr&omonts..T3at T4 a-tant absolumont
.- "
identiques [pas d'onfouîeeemont de rieiUe\\:
I
bs premières conclusions à tirer dc cas ~~Ys111to~s uo travail du 531 srmt :
- quren riziculturc irriçuéc avec maftriso de l~cnu 10s fn$7r--
wperficiollos de prEparntion du lit do somonco suffisent P-L
_ assurer un bon rcndemont
. qu'on culture de diversificot+on; lo travail profond du go1
.?st à rccommondor ne sezçi?-c! qu*une fois tous lea dewi,ir~.
If &iJELIORA~ION VARIETALE ET PHYTOTECEE RIZ EN RIZICULTURE IRRIGUE&
(Etude de la tal&rnnce au froid pour la riziculture irrigtio de stisa$sorts
et-scontrwaaisons)
1
En 1976; deux collectioncs ont &tB test- pour le comport
vin B vis du fmid 81 la levée t
- ? collection de 160 vnriW!s pro+mnant do l*I:RiRiT: {TmC
international sur la tol6r~ eu frnirl)
- 1 collection de 1CO vari&% provenent de ItIRRIi & SHAW-
trolio et de hs5ie~
C.pn nhwmmtiOn8 fnitos sur le tallage~ la hauteur; le cycw
la verac, 10 tiaction aux insectes et maladiosj le % dkw&te-
ment et la longuour do la panicule ont permis dtisaler 96 YljribLI
tas paraissant intércseantee~ Ces vari&% feront lrobjet dlun
auivi plus approfondi en 1977 de leur tolérance au fmid au
stade plantule et à 1'6piaison ainei que de leurs caract&+
tiques agmnomiques~
b) ,&J&@?ion de 1CC va t
Le suivi du comportement de ces veriGtOs au etade plantule ;Via
B vis du froid a permis de retenir 19 vari&@ para+aant Jin-
t&essantoa du point do vue vigueur de cmiesanco; Il sem@w
rûit que ccrtûines de COS VariEtEs pourraient &tro expl&+s
- -
en tant que sources de &OS de tolkance au frctidi
21 FIXATION DE LWYBRIDE F3 (DlJBOvpSKY X w
40 lignées de l'hybride Dubovoeky x TA Nf ont EtB suiv& en
test de comportement vis à vie du fmid au stade plantule et B l*bpio$3on :
lrensemble des lignBes ee sont bien comporttes quant B In vfgueur ; B
lngpiaieon des signes dtavortement et des ph&omènes do diajonction (pe-
niculee barbues) ont été obsarvthe, Un tri des lignbee intkessantea a
BtO fait, lesquelles seront testks en d8soison et contre-saison 197f
qi F41
3- ESSA]I COMPARATIF VARIETAL DE TCLERANCE AU FRCID ET DE RENDEFWT
18 varibt6s préolobloment test&ss en collection ont Btd miema
en comparaison de toltsronce ou froid et do rendement pour deux datae do
Ssmss (octobre et novembre); Quoique les deux eesa$s ne soient poe enicoro
rt5colt6~~les 9 varibt6s paraissant d'ores ot dGj& pmmettouses (d,gu+wc
et espl~ancc de bons rondemonts) sorrt t CHINA 1039; CARLOSE; BARU) INtA;
YRLLlOeC9; Y R 1 4 0 ; KtLIh.1351,&8-6~ KIJLU; KH@90;
-ne
1 w AMELICRFIT$ON VARIETALE ‘$$lLTURE DE DIVEX5IFICkTICN
i ws variEt2kx de 5
or aho c
d c38icr nour las 3 aaieons do
j34ktum3 Ihive~
nt c o n t r a * - s0 d à Fanqg
1
. .
. $aet de f-'hvbas de aoraho en orando~arca&,!=,
&#JcMphE
En ce qui concarno 1~3s rEeultote obtenue pour ces doux thèmes de rochorchoi se
raporter au dbcument de synthèse 1976 do MA ~MAUBOUSSIN:
If - ETUDE DE PRECEDENTS CULTURAUX SUR SFONDEe DE FhNAYE
Cattc etuda a étE entarmk au cours de Ifhivernage 1976; sur col
ttfond6w do Fanayo en premièra approche de la definition de ttey8tPmos do produc-
tion" viables indiepcnaablas pour ltinten8ification effective de la culture in.
riguec dans les pé@.m&tree hydre-agricoles créQs ou a cr&r dans la rogion du
flcuva~ Deux typee de précédents culturaux ont étb Btudi& I
St
tld,hiw.
‘18
-
les quatre principale
sèche
lant6ee en
groupa c$ ayant eu comme p&Mdent chacune de8 3 principal&
cultures possibles en hivernage (riz de 110 jours, sorgho de
90 jOurS~4db3 d8 90 joura):
b) w
3
da
cultures pO88ibk3e on
jOKC& J&&R de 90 .iO4@&
pe do8 quetre principales cultures po8aibles en saison 88cha (SO-
gho de 90 jours - mde de 90 jours - bld da 9G jours,- Tom#e).j
Les periodee optimalse de mise en place de8 cultures ratanues sont :
; Juin 1976 pour le8 cultures dthivernage et octobro/novombrol976
pour lee culturoa do saison sèche dans 10 cas du prdcddont dit
ed'hiVornag8"
'
4 Octobra/Novombre f976 pour les oulturos de saison sèche et Juin
197'7 pour 10s oulturas d'hivernage dans le cas du pr&6dcntdit
de *doeaisone~
Les observations faites au cours de la campagne at les rkwltats de rendamente
obtenus montrant qua pour le prec4dont dit ed*hivornago" ;
+ la meilleur pr&edont du sorgho; ma!Cs et tomato de saison sbcha
est un
+ le me%8 en tant que pr&cddont d'hivernage cet inintéressant par%%
que sensible aux excbs dfeau de8 pluies du mois d*AoQt avec~ comme
cone&quenca la chbte des rendements{
+ le riz en tant que prkzédent d'hivernage ne combla int&eeoant
qu*avec une vari&&? à cycle court permettant la liberation 'du
terrain dans les délais exigea par la perioda optbmalo de &ee
an place de la culture de desaison;
+ 3.m for-tee attaqLIe8'de rats sur le blE n’ont pas permis de d6ter-
.-_
* I. . **L’.------- -....,.. mm*+” *,,i+,msi
-9-
En ce qui. ~cmtxxn~ le pr6cbdant rlit d3 ‘rdi:misonn~ les ~~~sul~nts qtli ~WXCCX&
oblxmus au cowrs de llhivarnogc
197-1 parmettront de Sterminer J.Q ou loe maKL
leurs pr&bdcnts de .f~dGsaison” pour 10s principolos cultures d’hivcrnagei
!.a tableou-C&de88oUe donne las moyennes en kg/ha des rendemonts obtenus SU~
lo prtlcédent dit dd*h%vernegen:
-IF----
t Moyenne dca -rFndem
OS do soieon sèche
Pr&&dm-l d%ivernago tt
‘t
Sorgho
;
3 Ma!c8 (JE IV)
18. (hybride dB
;.
bld
* -
(
2
,: CK612 x 6b27),s (Moxipak)
t ---‘--------
-1--
.+----- ------+
I
,
;4&51 (J:ll;% 1,‘)
::
:a
,j-
* (‘ rondoment : 2370 kgfha
,t
4 495
?
5 005
?
*
’ Sorgho (CK612 x 68-27)
‘, kmdement L 3 5OfJ kg/ha 1:
: rendement t 7 122
_,_ _. -- ..----
+ les rondements en ‘bl6 n ton+ pu $tre Ovalués par lite
des attaques ebvères de8 XatS:
f
II ETUDE DIUN SYSTEME D~E:.~yJ:TATION FAMILIAL BASE SU: LA FLTITE MOTORIShT’ION
EN CULTURE MARAICHERE S’$ SOL SABLEUX DUNAIRE DE LA VALLEE DU LAMPSAR
En pm-tiant des faits que d'uno part le nombre d'actifs par ménage
(famille) dans les villaç3s environnants la val&50 du Lampcsar est de 4
(rgsultat d'une enqubte elsioLconomique faite par la S:i%E~D~ en Mars 1976)
et d'autre part la eurfaoz en culture mara!tchère à attribuer B une famille
do 4 actifs ne doit pas ck:c&dor 0;7S à 1 ha (observations faites en 1975 à
NNDiol et confirmt5oa par .'!.a8 rdsultats obtenu8 sur la forme irriguée du
C/NAR#AI de Bembey), il a 6th EtudiE en 1976 sur sol sableux dunaire dn
NtDiolt en tiigation par aspersion, les deux mod?lcs dfoxploitation ci.~
dO8SOU8 dan8 le but de mniux cerner les
et contrQptc8 .dens les c&wlricrs culturaux;
le orodudtian pour un Eco~&rnent à des prix pl
J
œ Modèle dlawion 1 (1 ha avec 4 actifs)
* 1 hcctare C!C mil 90 jours (Souna 3) en hivernago suivi on,
d68aison par :
i 3 ha de tomate Rossol repiq&e on octobre pour une production
pr6cocf3o
i + ha d'oignon IRAT 1 dont 1 000 m2 en ropiquago précoce
(fin octobre) et 4 000 m2 on scmis direct (Novombrc)
c Mod&&e dtexpïoitation II (1 ha avec 4 actifs)
* 1 hectare dc mil 90 jours (Souna 3) en hivernage suivi on dé-
9aiSM par 0
: % ha de tomate Ro~8ol'en aemis direct en fin octobre (m -
duction tardive)
i 3 ha d'oignon IRAT 1 en semis,dircct on fin novembre:
1 m LE MIL SOUNA 3 COMME ;‘?ECEDENT CULTURAL DIHIVERNAGE EN CULTURE MAR~AICHERE
La culture du mil aru. 3 en hivernage (mise en place en juillet) moyen-
nant un compl6ment d'irrigation (218 mm d'aspersion contre un total plu-
viomktrique de 145 mm) pour compeneer le olEficit pluviomhtriquo t
+ ne prhente pas de contrainte de temps ni do main-dtouvro
d'autant que la récolte 80 situant en septembre pcrmet do lib&
rer le teaain à temps pour la misc en place dos cultures de
tomate et d'oignon
+ présente vns p6riode creuse en travaux de champs ac situant
entre le 15 septembre et d0bu-t octobre qui peut Étre utilisée
par la mairwftocuvre familiale pour effectuer des repiquages
pr&oces de tomate ou oignon lui assurant une production pré-
coce en f&rier, époque favorable 3 un 6coulemont sur le 'marché
à des prix int6ressants~
+ est un sub~ticl appoint vivricr pour la famille pendant la
période de soudure d'hivernage ; le rondcmunt moyen obtsniu pour
chacun de8 deux modèles dtexploitntion est do 2 000 kg/hai:
Le tableau ci-dessous :C~V o par modèle dJexploita%r&r opGrat-GÏ,
culturalc les temps de travaux r~lc.6~ dont la plupart confirment ceux rclcvés
en 1975
1
!
-* Temps de travaux en heurcs/ha
1
!
.v
r
J
I
3
ModX.o dJExploit&ion, 1
M'a-wF40di?lo d,~cxplc$tat~onIf)
(
DPERATIOtiS CLJLTURALES
!
;
)
j Mil. r "'ornotes 'tOignon 'tOignon ,J Mil
~Tomat&Oîgnon )
I
t Souna‘3 : ~opiqués0epiquk~~. semi
t Sauna 3 'lscrd.5 iseniis )
't 0;9&,9 :': OxOj4 '&;20 x rDirec+ :t
--idirec$z&t
;
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't ridem $- idem
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phpirdère c pr6peretion et
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:
entretien
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pr6paretion du sol au moWcuL,$
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labour au canadien
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:
6
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6
J Y
Opondage engrais de Fond
t
3
t
7
t
7 ‘t 7
:3
* Ssn$.a avec 1 semoir Ebra
,t 12
t
-
j 90
‘t *
* avec 3 semoirs + motocu$tourt
-
‘t
t ”
;t 6
repgquage
'1
a
140
‘t 12ao ‘t -
,t Y
démariage (seul)
i 5;
:
t
-
‘t
”
,a 50
démariage et remplacement 't -
p
1 6
t
”
‘8 5 0 0
a -
binage (manuel)
;t 80
:
80
t
80 ‘t ”
; 80
desharbagea manuels
+t fio
:
t30
t
450 ‘( 200
: 80
épandage des fumures
t 3
t
4 8
‘t
30 ‘I 32
; 3
traitement Insecticide/fongi- 't
:
t
i
t
cide (ItrC : 15 h/ha)
't
"
:
225
t
60 j 60
t -
j 300 ‘$ 60
rkolte et mise en botte
i 150
t
-
t
- ‘8 ”
t 150
t -
‘t -
battige ot vonago
‘s 2 4 0
I-
-
t
II ‘8 m
‘t 240
: ”
‘t -
récolte do la tomate
t
-
8 (100
t
” t -
‘t -
‘:iroo t *
ramassage do 1Joignon
:
I
t
m
t 1800 ; 1800
: ”
‘t -
'1 18300
(Effouillage et Transport] t
a
1
‘t
‘t
't
‘t
aaporsion (en 1975 - 76)
'8 10
:
113
t
41 ‘t 65
: 10
j 140 ‘g 65
a
:-----Y--~---+-
,S---+-5
t
a
t
1.
t
t
t
5
( TOTAL en Hcure/ha
':
645
: 2 075
g4 242
'8 2 760 ':
628
$2 124 ‘I 2 686 )
l
z
t
t
t
t
t
.
f
Les conolusikw partielles à tizcr dc cc tableau des tamps de txavaux sont que t
- les OpOrations exigeant 10 plus grand nombre de travaux pour la
famille exploitnnb3 sont, dans 1Jordro dkroissant t
La rkolte et le repiquage de l'oignon; ll.s rkolte de la tomate,
le binage et le dcshcrbago de l'oignon en repiquage:
CI IJutilisation du Dacthal comme herbicide do prélov6o de l'oighon
'permet uno protection de la culture contre 1Jonvahissemcn-t dos
mauvaises herbes pendant 100 jours et r@duit consid&zblemcnt le
temps consac& par la main-d'oeuvxe fomilialo au desherbage et
au binage de l'oignon en semis direct à une époque ou la récolte
_ de 10 tomate mobilise la fGam.illei.
I la r6colte de la tomate et le ramassage de 1Joignon sont deux
opérationa étdes dans le temps qui se "chevouc.hentJJ surtout
à In fin de La rkolte do la tomate et au debut de celle de
l~oignord
,.
.
” ‘12 -
3 - RENDEMENTS SUR LES DEUX Z~~~ELES D'EXPLCIT/\\TION
D'une manièro g2,lSralo lo climat très dur de ltnnnbc 1976 (harma+-
tan et vent dc sable c!-.-J*J~ provoquant des brflluros sur les fcuillcs de to-
mate et oignon et des pFGnom&nos d'avortement des fleurs de tomate) et une
beisse de fertilito haupcmcnt proboblo du sol (sol sableux pauvre en $0
cultivé intensivement d:,?uis 3 ana wns restitution de M:O) semblent ex-
pliquer 'les baisses de -,.z7dcmcnt constat&os en 1976 par rapport a 1975~
La r0coXto de la tomate at le ramassage de l'oignon étant en cours, les
estimations de rendemer;;- par modalo dbexploitation sont les suivantes 1
d
.~oitation 1
: mil souna * t 2 000 kg/hû
f
i ,tomate rep: qu9e : 35 tonnes/ha (estimation)
: oignon rep: qU$ pour une vonte prbcoce sur le marcht t
0
38 tonne8/ #a
4 oignon seti;:s direct t 35 tonnes/hn (estimation)
,b) ModBlo d'exir+oiz&ion II
A mil mune .: ! 2 000 kg/ha
i tomate 80~s direct t 33 tonnes/ha (estimation)
: oignon ser;, s direct t 32 tonnes/ha (estimation)
Il semble qu'il faille a~ n;>ins uno fois tous les deux ans apporter un
amendement orgenique dans ces sols sableux pour le mninticn de leur fer-
tilité:
II +MEUORATION DU STATUT ORGANIQUE DES SOLS SABLEUX DUAIRES
PAR ChTkLISATION DE CL:1Ptig
Les signes do !:,~issc dc,rendcment en culture maraichèro constet6s
sur sol sableux de NtDio! cultiw? intensivomcnt depuis 1974 sans roetitytion
w apport de MeO nous on: ccnduit; de commun accord avec la SAED à mott$c on
place on 1976 un essai su:: tomate rcpiquoo de rcdressomcnt de la fertilit0
et dtûmtllibration des ca~xtx5ristiqucs physiques du sol gtice B du compost
de paille de riz fabriqui Eur place par la technique prdconisdc par Mi GANRY
du C, NI RC Al de Bambey,
Deux doses dt a;::ort dc compost (40 tonnos/ha et 20 tonnes/ha)
Qtoient comparéos d'une ;i-.rt à un tumoin absolu, d'autre part à un traite-
ment racevont la fumure -?rtc min@ralo habituellement utilisée 3 NtDiol,
Llassai f%ant en cours r
récolte; les observations faites 3 ce jour montrent
que t
- l'apport de compost am6liore la r&tention de l'eau par le sol
dans la tranche de sol utile pour la plante
- l(opport de compost augmente la vigueur des plants de tomate;
œ vu l~hét0rogéneit6 caractérisant ces sols en première anngo
de culture, l'offet compost ne peut valablement s'y oxtério7
riser qu'après deux ou trois ans de culture d'homoganéisationi