REPlJBLIQUE DU SENEG SECRETARTAT D ‘LTAT A LA ...
REPlJBLIQUE DU SENEG
SECRETARTAT D ‘LTAT A LA IWHER~
-----------
P B I M A T U R E
SCIENTIFIQUii E;T TkCkiNIQUli
--v------.m-
-m-------o--
CENTRE DE RECXERCHES AGI COLES
DF+%tcIIdRp-TQLL
---.-r-œ.-----

// S 0 M M A 1 R h
//
b rapport awuel a essentiellement trait aux activites
scientifiques: du secteur I.S.R.A./FLhUVh et aux problèmes a ewence
adrainis trati : et financière liés à ce8 activités au cours de la campa-
gne 1979/80.
tu cours de cette campagne les différentes operations de
recherche et Ie production ont eu pour cadre de r6alisation les stations
de recherche de l?&aye, N’Diol, Guédk, la station fruitiere ce Sor à
Sain t-Louis
nsi que les pBri.&tres hydroagricolcs de la SUD 5 Dagana,,
Nianga, Aéré
ao e t N’Douloumadji.

.
A - ACTIVITES SCI&TIFIQUPS
I -
@ , RECQERCHES COiWtiNTIO~< CRNR~
i
Les deux programm& de recherche definis dans ce caere et exëcutes au cours de la
cildpt&ne 1979/80 /6OIlt ;
- AMRLliORATION ET MAINTIEI\\I DE LA BRTILITti DZ.5 SuLS hYDROMOWhtS
024ORPI;LES DR LA VALLRb DO FLhUVR SENEGAL (Animateur ;
- DIAG~IOSTIC DE SYSTEMIES DE PRODUCTION RN IRRIGU& EXISTAigT DALJS
LAV
RE DU FLWVE SENEGAL (responsable 3. HhNVIRLLE jusqu’en
Nove
e 1978 et 0, AURIOL B partir de Decembre 1979)
1.1 -
LA FERTILITE DES SOLS HYDRGkiWP&,S bT/OU
FLRUVE SIWLGAL
L’une des fonctiox& assignées 3 la région du Fleuve en matiëre de developpement
&cole est celle de contribuer à la résorption du dëficit vivrier par le dévelop-
pement de la culture irriguge et notamment lgintensification de la ceréaliculture
(ri6 ‘r aor* 3 blé,: maïs etc., . ) grâce à la r6alisation osaménagement hydroagrico-
l’eau< Cette intensification de la culture irriguer qui sera
la mise en eau des deux barrages de Diama et Manantali suppose
le de ‘tous le& facteurs de protiuction notamment :
l e 6 lechniques d’irrigation et lYoptimi6ation de l’efficience de
l
l’es dsirrigation
1
. la f rtilisation et surtout celle azotee
. les
ethniques et façons culturales
;i
Tout ceci pour di{e que le programme de recherche, intitule comme ci-oes6u6, sn
cours d’ex&ution /dans la region depuis 1976, se justifie pleinement.
!.
Ce programrie se cqupose des opkations de recherche ci-dessous :
+ CARA~TRRISATIOWS RYDRIQURS ET IIYDROIIYNAMIQURS DRS SOLS &LIJVlAUX
D E
’ VALLEE DU in’LtiUV& - DKCRRMINATION DLS FREQUENCES D’ IRRIGATIOk
RN C TURE DE: DIVERSIFICATION.
yL
+ DyN&#IQw DE L ’ AZOTP: - FERTILISATION Rk CULTURt DR DIVRRSIFICATICIN
1
,’
+ TRAV ‘Ii DU SOL EN CULTURE; IRRIGWh
4
1.I.i. CARACTERISATIONS RYDRIQURS ET hYDRODY&&IQURg DRS SOLS &.,LUVI&JX D& LA VAL-
LI$E DU FLR@VR SENEGAL - DETERMINATION DRS FR#QUERChS D’IRRIGATION EN CULTU&j;
DE DIVERSI@ZATION (Chercheurs responsables I 8. SONKO et M.BRYk;)
/
La dgfinition de6 lfechniques d’irrigation compatibles avec l’efficience, l’optimi-
sation et lPEIcono+e de l’eau pour un sol donné suppose la connairpsance prédlable
des caract&kistiq@s hydriques et: hydrodynamiq’ues essentielles de ce sol ~ en ef-
fet, les cnractérjstiques hydrique,et hydrodynamiques (pertiabilite, capacitk ae
rétention, cap& 6 au chmp, point de flétrissement) constituent de6 ûonn&w de
base qui, conjugu es avec le6 donuées de demande éverporative (I2,T.P) perwttent
de quantifier et i,$terminer par type de sol et type de culture les besoins en eau-
la technique d’ir’igafion compatible avec l’Économie d’eau, les cioaes et frkqucnces:
d’irrigation. L’O jectif à moyen et long termes de cette opération de recherche
a
étant la mise au *oint des techniques, modes et paramêtres d7 irrigation en fonction,
I

îI
des contraintes d prdre pedologique * des espèces 3 cultiver consid8rees au sein de
rotations cu1tura:L s ou sys tèwcls de production.
+-
Cette étude, entar i$e en 1975 est axee essentiellemmt sur les sols les plus re-
présentatifs des IBFations de Fanaye et N’Diol Iy un pretier bilan des resultats
obtenus a été fail ti en fin 1977 lequel bilan a pemis d’entawr des l’hivernage
1978 l’étude des 1E/requences dsirrigation du sorgho de casier B Fanaye sur sol
‘*fond@‘.
1.1.2, DYNAMIQUg 1* L’AZOTE - FERTILISATION ALOTLti hti CULTUI3.b DE DIVLRSIFIW’iX0N
/
La conjoncture, eis riatière de prix des engrais (notament les engrais ezoté?s) kst
s i pr&ccupante ql{#il est apparu trés urgent de ;
- réac1
liser les formules de fumure jusqu’ici vulgari&es (dkfini-
tion e fumre éconotiquewnt rentables)
/
- mitt1 ile au point les techniques et nodes d’apandage des engrais & x&e
d’au luter une aliamtation minerale rationnelle et efficiente de la
pli3ll + .
Pour ce faire, la ,connaissance de la &ynmi.que de 1’6lGment fertilisant iians le sol
et la plante est ifaondawntale not.wnt dans le cas tii-s sols “fondé’* (faisant l’ob-
jet d’une forte pic’ession de colonisation dans la r6gion) caracterisks par me per-
colation assez folLite de l’eau d’irrigation enduisant des pertes en cléments ferti-
lisants par lessit yge et entrûiirement en profondeur,
C’est aiusi qu’à I artir de 1976 ti 1°6tude de la dynaruique de l’azote sur sol “fondë”
de bourrelet de bcirge de Fanaye a 6té enta&e avec corune plantes-testsJe riz et lc!
sorgho irrigue. Lt;ts resultats de cette Etude ont permis d’orienter/ay?~~~~~a~ 197t:
vers la détermina1lion du wüe de fractiounawent le plus efficient de l’azote sur
riz irrigué et de ila formule de fumre la plus écononique pour le sor&o irzigue.
Ce type d’gtude dc it se poursuivre sur les autres cultures de diversificatidn a sa-
voir le bl& et le SUES.
1.1.3. - TRAVAIL 1
SOL EN CULTURE IR;RIGU&E
Cette opération d6: recherche pluriannuelle entaxke ei partir ue 1976 a pour objet cie
voir quel est l’iritérêt éconotiique (incidence sur le rendement) Ou travail du sol
aussi bien en rizi/culture intensi.ve qu’en culture de diversification. Fort des
résultats de la cc@pagne 1977, l’effort a éte concentrk en 1978 sur 1’iXude U~S
façons culturales [en double riziculture annuelle sur sol LiHolalldé”.
I.2. DIAGNOSTIC DE
SYSTEMES aE PRODUCTIO~4 EN IRRIGUE EXISl’ANT DMS LA MLL&E
DU FLEUVE SFb
(Chercheur responsable : J. MENVIELLE jusqu’en Novehre
I!f78 et 0. AS IOL ?I partir de Dece&re 1979).
Depuis la créatioe F de la S&D 9 les pro jets d’asknagewnt se sont ml tipliés Geau-
l
coup d’études ont eté consacrées à 1’Glaboration cies systènm de proauction eu pla-
ce sans pour autq ht qu’une connaissance approfondie du fonctionnement de ces syste-
,
mes s o i t acqui8e.i htte connaissance du fonctionnement des systèmes de proeuction
nie en oeuvre est / nocesmire pour :
- la htérarchisation des facteurs lititant la production
- identifier à quels niveaux et pour quelles raisons subsistent oes
freids à 1’ adoption des techniques vulgarisees par la SAED.
- juge* dans quelles conditions les acquis de la recherche sont tras-
férahles en nilieu paysan.

t
3
!
uer 2i collecter des references pour d’une part orienttir les
s sectorielles et d’autre part proposer ces systemes aklaptes
nditions du milieu (agro-socio-éaono&iique)& la vallec. Une tel-
roche synth&tique permet de valoriser et de determiner le6 con-
s de transfert et d’application des ri2sultats des travaux tiéja
és et de ceux attendus de6 programmes de recherche en cour6
ution dans la region.
i
L’objectif du programme de recher#che ci-dessus intitule est 1 ‘analyse du fonction-
newnt de6 syst&$ de production existant dans la region ainsi que leur &Valuation
technico-&onomiqu&. Les poin,ts d’observations retenu6 Gtant essentiellemnt le6 pe-
ri&tres hydroagricoles grands pkimètres et p&ri.r&tres villageois de la g~r;D u
BOUNDOUkl, NIANGA, I@‘l’AM). Ce diagnostic devant dgùoucher 6ur des propositions de
modifications dans i les syst2mes de production existant et sur lvi~lantation ce nou-
veaux syst2mes adaptés. aux milieux ‘physique et humain et répondant aux objectif6 de
développement comw/ 2. ceux des paysans 3
t
Le6 résultats rela ifs a 1”exécution de ces deux programmes de recherche au cours
de la campagne
9
197 /80 ont fait lYobjet d’un rapport de synthese elaboré en k@$
1980. S’agissant plus spécialement du prograxmw “DIAGNOSTIC DLS SYSTRl$W DR PRO-
DUCTION” I, un rapport axé sur la methodologie d’approche et 1 “exploitation ca6 don-
nées de diagno5ti.c est en cours dE élaboration par 1 ‘initiateur du programme (J. CAr&ILt)
I
Du point de vue orientation future 3 donner ci ces deux programmes de recherche et
problktes d’ordre ]logistique liés, les points ci-dessous Bont 2 wttre en exergue ;
l
I*/ Au vu des acqujs y les orientations 2 donner a partir ce 1980 aux différente6
opérations de recherche constituti,ves de ces deux progr-s sont les suivantes ;
- CARAC/TERISATIONS HYDR~QURS RT HYDRODYNAkiI~UES DES SOLS ALLUVIAUX ;
ation vers l’etude des besoin6 en eau, les frQquence6 d’irri-
et l’optimisation/efficience de l’eau et ce pour les ùiffe-
syst5mes de production â recomabder ü la SAbU.
- DYN&UE DE L ‘AZOTE-FERTILISATION : focalisation ces rtuees s u r
lPa6&ct fumure azotke optimale et efficiente des cultures conasi-
déri%& au sein de systkes de proüuction intensive.
- ETUI%/ DU TRAVAIL DU SOL EN CULTURE IRRIGURO : orientation ver6 ces
en vraie grandeur (grandes parcelles) aussi bien en stat{on que
s périm&tres hydroagricoles ce la SARD lea plus représentatifs
iques culturales en fon6tion du systeme de production choisi.
Ces éitudes devant être co~pli%& par l’opération de recherche ckte
“INSE/RTION DE M PETITE MOTORISATION DA%S LJEXPLOITnTION” (reheçche
di acjompagnement pour les besoins de mise en oeuvre du projet W~JDombo -
T h i a 1.

- DIAGN/DSTIC DES SYSTEMES DE PRODUCTION EN IRRIGUE EXISTAhT WNS LA
VALLER : la maîtrise de la m&hodologiè d’approche et l’exploitbtion
ltats d’enqu3te devraient perwttre â partir ue 156~; c’eutarrrer
d’étude dite : MODELISATION ET EVALUATION TECHhICo-WOWk~QolÿoPaYUE
AUX SYSTEMES DE PRGDUCTIOti. Ce6 grandis axes d’orientation se-
ront
raiseemblablement
confitis par les resultats du travail c’eva-
luati Ln dont la stratégie est &jâ mise en fome par le responsable tic
la Coordination et de l’evaiwtion des progr.ma GIC recherche.

/
1
4
2’1 A propos du/programme de recherche %lELIOR&TION ET MAINTIEN Dh LA FERTI-
LITE DRS SO@ HYDROMORPHRS ET/OU HALOMOBPHES”, son importance pour la re-
et le fait que le chercheur responsable est quasiment absor-
ches administratives inh&entes 3 ses fonctions ce Directeur
tifiont le recrutement récent d’un Ingenieur du Genie Rural
e chercheur pour les besoins de renforceront du potentiel scien-
té B ce programme * La mise en place prochsinc du specialïste
demandé pour Fanaye dans le cadre du progrm quadriennal de
ionale O.M.V.S. devrait permettre rie coter la rkgion du Fleuve
solide pour faire face 3 tous les besoins de recherche ayant trait
on rationnelle des re8sources en eau. tians la rggion.
i
3’/ L’exlcution/rationnelle et continue du programme de recherche "DIAGiiOSTIC DES
SYSTEMES DE/PROD&TION EN IRRIGUE EXISTANT DANS LA VALl&k" impose d’une part
la consolid&ion du poste de “chercheur-syst&w” jusqu’ici occupe par des
Volontaires jdu Service Natioual (V.S,N.) d’autre part la mise en place d’une
[Agro-konomiste, Sociologue, Hydraulicien Agricole,
I I - .;gMMg$ !DE RRCHRRCHES D’ACCOMPAGNEMENT CONVENTIONS “DAGANA” et
9. ‘i
I
Les recherches $ ‘accompagnement Convention “Daganc’* et “Delta” ont ite entreprises
dans la r&gion depuie 1975 (avec &Orientation des actions tous les an8 en fonc-
tion des acquis !et des problèmes i&&diats de Jéveloppement agricole posi-a par
les aménagement{ hydroogricoles) pour les besoins de la SAED de mise en oeuvre ces
projets hydroagricolea d’une part dans le delta (projet Lampsar/DiagambalJ et
d’autre part dar/s la moyenne vallée (projets Dagana et Nianga).
II. 1 PROGRAMMR
E RECHERCHE CONVENTION “DELTA” (Chercheur responsable :
A. .JWNARD~
Ce programme de Irecherche executé pour les besoins de mise en oeuvre tiu projet
hydroagricole di/t Lampsar/Diagambal comptait en 1979 les op&ations ce recherche
ci-dessous :
j
D’UN MODELE D'EX'PLOIThTION FAbiIL1M.E DE 2,5 HA ASSOÇI@T
ULTURR EN SOL ARGILRUX DE CUVETTE ET CULTURES MARAICHJ&ES RN
EUX DUNAIRR.
- Ait: LIORATION DU S#TATUT ORGANIQUE DES SOLS SABLGUX DE LA VALI,hr; lx
LdMp SAR PAR APPORT DE COMPOST ET DE FUhIRR (Chercheur participant :
M.1 SONXO)
- C+ISERVATION DE LI’OIGNON VIOLET DIS GALMI (IRAT 1)
1
- PR/ODUCTION DE SEMENCE D’OIGNON VIOLRT DE GALMI
!
L’objec/tif principal de cette, Btuce est la mise au Paint o’un mouele
d’exploitation fjamiliale ?I proposer B la SARD pour la mise en oeuvre ce son pro-
dit LampsarlDiagambal (mi& en valeur de 2000 ha de sol ce
ha de sol sableux dunaire). De 1975 3 1976, le .moGele teste a eu

I
l
5
à évoluer not
nt en ce qui c.oncenre la kuension Ge l’exploitation, le notire
de personnes ac
7ives et les spikulatione v&etalea 2 introuuire au sein rie l’ex-
ploitation. Cett/e &Polution s’est faite compte tenu :
/
- d’ r5sultats obtenus au cours des differentes carupagpes d’ex-
pd rimentation
I
-. d? résultats ù”une enquete socio-tibgraphique r&alisee par la
S D et faisant reseoltir que dans la zone d’ewrise Uu projet
L&sar/Diagmbal 546 fmilles agricoles re$t&sentant 4368 persou-
n ‘8 rgparties en Ii villages exploitent $ la fois a01 argileux de
c+ette et sol sableux dunaire
- d ’ la nécessit6 d’integrer l’animal dos lYexploitatiou pour la
t action> le naissage et la production de fmier pour l’atiliora-
4
t+on f onti Bre des sols sableux de l’exploitation.
I
C’est ainsi qu’ :au cours de la cmpagne 1979/ti11 l’etude a et6 axée
sur 1’ intew
sification du m!déle d’exploitation far;dliale grâce d’une part 2 la uiversificatiori
des cultures mar/aîchkes (iutroduction de cultures naraîchgres “riches” telles
que la POIUW de Iterre et la patate douce) et d’autre part l’etalement de la pro-
duction (en jou [ht sur les dates de semis) maraîchke qui constitue la seule so-
lution au probl ILI e d’approvisionnement regulier des deux usines de trausfoma-
tioa des Produit/s craraichers existant dans la r4gion.
Une des caractérkstiqws physico-chimiques essentielles cies sols sableux du
corg>lexe duneire! arase ceinturant la vallée du Lmpsar est la ix& faible teneur
en uatière orgaa/ique. Sur la station de N’Diol, trois années de tise en culture
intensive (cultures maraîchères) de sol sableux dunaire sans apport de furûure
organique ont fa/it apparaître des baisses de rendement de la tomate et Ifoignon
attribuables no4 pas aux néruatodes nais plutôt B une baisse de la fertilité po-
tentielle du sol!. Cette action de recherche enta&e en 1978 s’inscrit uonc dans
le cadre de la *cherche des voies et noyens à I&@ de perwttre,les relèvwent
et naintien de la fertilité des sols sableux coriipatibles avec la pratique d’un
naraf chage inten/sif .
I
1.1.3, - CONSER&TIOR DE L901GNON VIOLET DE WI
l
L’un des probl@s auquels sont confrontés les maraîchers de la régiou du Fleuve
(notament ceux kiu Gandiolais) est celui de.pouvoir conserver pendant un certain
temps une partie! de leur production d’oignon afin de pouvoir 1 *Ecouler c; une pé-
riode 03 les prix sur le marché local sont les plus favorables. Le caractère
périssable des oignons jusqu’ici prouuits dans la region fait que, dans l’optique
du projet Diagqal (de grosses quantites d’oignon devant être produites bans le
cadre de ce projet), la tise au. point d’une technique de conservation d’oignon
a portGe du payse narafcher a été entreprise depuis 1976 sur la station de hYDIOL.
C*es t ainsi qu’a/u cours de la campagne 1979/W le test a i5té orient6 vers 1’ etuue
de l’influence ” calibre des bulbes, sur‘l’aptitude a la conservation.
1.1.4. - biISE AU/ POINT DR LA TECRNIQUE DR FABRICATION DR LA
Sg&S$NCEI D’OIGNON VARIRTR .VIOLRT .DR ‘&&HI
/
/
La varietk d’oif+on Violet de Galmi s~lectionx$e au higer et testee sur -1s station
I.S.R.A. de N’Diol se caractérise entre autre par *e haute productivit&,une tres
bonne aptitude 31 la conservation et un attrait certain aupres du consommateur,
Cette variété d’pignon dejà vulgarisee dans la rQgion présente Egalement la ca-
ractéristique de; fleurir dans les conditions de climat subcanarien lorsqugelle

r
..i
b
est senée au rm
e Novetire, Ayssi., devant les ciifficvltés de se procurer sa
semence en quan
suffisante au Sikegal ou 3 1 “exterieur et vu le coût tres
élevé CU bilogr
de semnce (15 GO6 F CFA) y la mise au point d’une technique
de fabrication de sa sewnce (en exploitant l’aptitude 0 fleurir de la vari&!)
à préconiser B lia SAED s’imposait.
Si les deux &mpagnes &‘expiZ.mentatiou (1976
et 1977) ont pexinis de aaîtrissr la technique de fabrication, elles ont par contre
m>ntré que le b@fice tir6 de l’operation”‘ fabrication” etait fonction du cali-
bre d ‘oignons-D res se&%. C’est ainsi quYau cours de la cmpagne 197tr/7YL l’eir
4
périmntation
a ,Qté orient&vors la détermination du calibre wyen des bulbes 3
semr pour obtedir la production i;c semence la plus kononique,
/
11.2 - PRO4 DE RECRRRCHRS CONVENTION “DAGANA”
Ce programe de [recherches ex&ut2 pour les besoins de t&se en oeuvre des projets
hydroagricoles ‘/Dagana” et “Nianga” comportait r?n 1976 les operations de recher-
che ci-dessous :i1
-” E’$?DE EN VRAI3 GRANDEUR DE RGTATIONS CULTUR&ES (Chercheur
r eponsable : P . cotJR~ss0~)

-
DE L sAI%LIORATION VARIETALE Ml SORGHO A% CASIF
ercheur responsable ; C. CWTEmU)
11.2.1 - ETUDE 4N VRAIE GRANDEUR DE ROTATIONS CULTURALhS
!
L’urgence pour la recherche rbgionale de definir pour les besoins Cie mise en va-
leur de la vallqe du fleuve S$nSgal des syst&es cle production en irrigue via-
bles et adapt& ‘aux diffkents types de sols alluviaux et aux differents -na-
gements hydroag icoles existant tout au long de la vall5e est unaniment awise.
Cette d4finitio il de systéms de production a corne prealable 1’ Etude de prkectents
et rotations culkurales. CYest ainsi qu’a partir des resultats d’k?tude des Pr&-
cédents culturaux entreprise 3 Fanaye en 1977 quatre types de rotations culturales
biennales en vr d*le grandeur ont étB test%es h partir de l’hivernage 1978 avec cow
cke cultures-tes+ le riz, le sorgho, la tomate et le bld,
11.2.2.
- POURSUITE ET AMELIORATION VARILiTALR DU SORGhO D& CASIER
/
La diversificatqon des cultures au sein des aménagements hydroagricoles existant
et B créer dans ila rëgion constitue ltune des fonctions essentielles assignees
à la SARD. Dans jcette diversification le sorgho irrigue uevrait tenir une place
de choix pour 1 ’ raison bien simple que les populations ee la vallee sont grosses
consommatrices 1.e sorgho de par leur habitude alimentaire. C’est dans le but de
permettre à la SAEU d’instaurer cette &Versification que l*opération “AhhLIORk
TION VARIETALE L(U SORGHO DE CASIER” a et& entassée % partir de 1975 sur la Station
de Fanaye avec l’appui scientifique du C.N.R.A. de B&ey. L:objectif est la s+
lection de Vari&$és de sorgho de taille courte (caracteristique tieux inciiquée
pour la récolte Ik&canique), B haut potentiel de rendettent (en vue de la rentabi-
lisation des aakagements hydroagricoles fort coûteux), Z4 bonne qualit organo-
leptiqw du grai/n.
n. se rapportant à ces deux programnes ont fait
juillet 1979 et intitule o “SYt?Ti&SE U$S l&&U,TATS
GANA” ET “‘DELTA” - CAMPAGNE 1978/79,
Un ensemble de désultats ont bt,G obtenus depuis que ces prograwes sLe recherc$es
d’accogpagnemen~ ont Sté entreprises et le wmnt est venu d’en faire un bilan
et d’envisager e test en uilieu réel. C‘est ainsi que :
4

1°/ - le smnent ieet venu d’étudier la fiabilité du modale ti’exploitation fdlia-
le test6 en station en milieu paysan ; pour ce faire, 1’ afknagemnt de
de sol argileux de cuvette et de 5 hectares ae reseau U’as-
au niveau de la station de N ‘Diol. Bn accord avec la SAIU
ces amenageuents seront rfalisés en 1979 Jan8 le
ET RRCRRRCHES D ‘ACCOMPAGNBk4BNT VALLER DU
structure oie transfert du wdële en ti-
il est envisage au cours de la ca&ipagne 1979/h0
en station avec une diversification
pouss&33 grâce iii l’etalerüent <es
emis et l’introduction d’autEe cultures “riches”. Il convient
sur le fait que les systks de producticn qui sarorlt
our le nodi2le d’exploitation ne sauraient être consid6r48 corme
immuables par le SBveloppement. Leur application à grande echel-
le dans 1’ cadre du pro jet Diaga&al suppose qu’,il soit tenu couipte dk :
ft
:
nécessit4 du maititien de 1 ‘equilibre du narch6 int&ieur, en
une partie .au n’oins Ue la production vera cies dem&8
u périssables (cJest-à-dire stoclcablas et transportables) et
d’une demande Elastique.
n&cessitf pour l’exportation, ie concentrer les efforts 8Ur quel-
8 sp~culatione de valeur sp&ifique cJlev&e (par exem$le i
carotte,, poivron vert,; asperge).
Z”/
fabrication de semence C: ‘oignon VIOLBT de GALMI est actuel-
et une fiche technique a &té élabork et diffusée auprès
ao/ - Les résulbats du test de conservation de l’oignon “VIOLRT de G#UI“ faisant
reseortiriqu’avec les méthodes traditionnelle8 il est difficile de con-
server deigrosses quantith, il faudra 8 partir de 1979 s’orienter vers
les métho es de coneervation sous froid (chaxnbre froicie) en collaboration
avec SOFR NOR B Saint-Louis,
f
l’opération ‘.AMgLIORATIOl’i DU STATUT ORGANIQUR DPS SOL SARLRUX”
1978 doit être poursuivie jusqu’en 1981.
SO/ - l’étude e’ vraie grandeur des rotatious culturales biennales en station
doit se t miner fin 1979 et il sera possible à partir de 1960 de tester
ces rot+ ons sur les péri&tres de Dagana et Nianga avant de les proposer
h la
i
vulg rieation.
6’/ - S ‘agiasan
de 1 ‘opération ‘“AEIELIORATION VARIETALB du SORGUO de CASIYR”,
tout en c ntinuant la a8lection en station, il est envisage de passer
3 la phasi prévulgarisation a partir de 1979 par la mise en place sur les
P&i&tre
hydro-agricoles de la SAED existant clans la vallbe (Liagana,
9
Niatiga, M,Bou&a et Matata) de parcelles & d&mwtration cowortaut les
milleurs /cultivars propoeables 3 la vtilgarisation.
7O/ - Le
besoiz/ d’entamer’ dans le cadre de la recherche d’accompagnement
des recherches axées sur l’intégration de l’animal
n 8e faisant sentir, il est envisagé pour 1979 de dB-
e bergerie exp?kimentale 3 N’Diol 8ur financeumt SARL/
rapportant avait et4 initie par MM. CADOT et VALBNW).
1
I
r
l

t
/
j,
.,!/
8
I
x,43 +ojet clit r’ADRAQ/FA;h3AYE f àik patitie des quatre projets sp&ciaux
de techerches r3jmiaoles Que 1 ‘Ai%$ a mis suf .pied pouf? la solution tics probl&s
rizicoles en Afqique de 1 ‘Ouest. Iz&anté ,$ ~&zhard-$ih~$&wp ~&puis i9:16 i ce
projet quoiqu’ZJ jcaractDre ,ëous-régional vient eh cotpplQw~f; ;dee act,ivites du
Centre I.S.R.A. idu FleÙve. Ce p.rojet fin+@ suy f&ds CRbI/ACDI/AEUMBI a &jh
f a i t l’obj.et il’
Ëvaluation en juin 19?8 et, le pko&aww ce recherche â$me
phase retenu ap
cette évaluation colportait les op&kations de rechetche ci-
. .
derrous
4:
/
1 - ih@ELIO~T~ON VARXETALE/PtiYSIOLQGIE bU RIZ IRRLGUB
/ (chercheur responsable : A.’ WLY)
:
- /CBIBLAGE DE VARIETES DE RIZ POUR LA TOLE$NCE AU FROID
- /ETUDE Ut L’E;FiET DE L’AZOTE ET i>U PHOSPHORE SUR LA CROISSANCE
/ET LE REREEMENT LU RIZ EN SAISON SECNE FROIi;E
/
2 - ~AGROPEIX&OGIE/FERTILISATION z (Chercheur responsablel 1. CAMARA)
-+tJBE COMPAREE DE L’EFPICACITE LU SCU.ET DE LA PERLUEW SUR LE
BENLIEMENT DU RIZ DE SAISON SEclU FROIDE
l
-;EFFICIENCE UE DIFFERENTES SOURCES, IIOSES ET METMMBS Ij’APPLI@-
ITION UE L’AZOTE EN RIZICULTURE IRRIGUEE SUR SOL “FONDE”
3 - jE1JTOWLOGIE : (Chercheur responsable; Tahir DIOP)
/
- ; ETUDE DE LA COMPOSITION ET IIE L ’ IMPORTARCE DE L ’ ENTOHOFAUNE
~NUISIBLE Au ~1% CULTIVE DAM LA VALLEE Lu FLEUVE SENEGAL
-;EFFET ms 2IFmmms mims DE SEMIS suR L%ON~AU~E ET LES
;DEGATS I)ES BORERS DES TIGES SUR LES VARIETES CE RIZ ACTIJE;LL~NT
jCULTIVEES %RS LA REGION MJ FLEUVE.
-;LUTTE CSiIMIQUR CONTRE LES INSECTES BORERS DES TIGE3 UU RIZ.
1 - CRIBLAG$ iiE VARIETES DE ‘RIZ POUR LA TOLERANCE AU FROIü
1
I
L’objectif esse tiel de cette opkation de recherche eq .cours depuis 1976, est
le criblage de ari&tes de riz 3 haut potentiel ùe production, tolérantes aux
ba&fse6 tempkût res de Saison séche froide et ayant un c+le de 130 B 150 jours
(ce cycle en 8~1 son
t
skhe froide étant jugé suffis’ànt ,pour libker le champ et
en place d’uhe culture .de riz en saison s2che chaude). Csest
de la caupagne 1978,. 198 varibtés de riz introduites de 1’IRRI
pour la tolérance au froid au stade f lotaisou (se& d’octobre)
(semis de janvier/f&rier)
t
2- EFFRT DE L’APPLTCATION 3% L%ZGTE ET ùU PHOSPHORESUR LA CROISSANCE
ET &J$ lS$NMWNT DU RIZ EN SAISON SECHE FRGIM
de par :Le monde ( a 1‘lRRI et au JAPON notasment) ont
minéraIe équilibrée en periode de basses teqdzaturei
la réduction des pertes de rendment du riz diks au froid.
ore occupent une place de choix dans cet équilibre. Guano
a &tÉ entrepris en 1978 une 4tude ax&e sur les combinaisons
d’azote et de phosphore en tiziculture irriguiie de saison
sache froide s
ceptiblee de r6duire l’effet du froid sur le cycle et le rencie-

XII.2 - 4GRf@?‘EM
1 - ETUDE CO MPAREE DE L’FFXCA4XTX DU S(XI BT DR LA PERLURBE SUR
-IMN’PDU RIZ EN SAISON SECS ,FGtL)IDE
11 r’agissait da ns cette Gtu$e çompa+$e de suivre, en plus de la collecte des
principales car4 ctékistiques agronomiques du ris a diffarents stades de crch-
sance, daq l e d01 et la plante les qusutit6s d’azote,,s&Gral (N&+ etNO;) et aux
stades tallage, jinitiation pdculaire, floraison et,récolte,
d
2 - &TUDJ~ LEj L’EPPIC~ DE DIFPRRENTES SOURCBS’ &T. M&THOD&S D’APPLIcri;r%-M
fjE L’à ZN &fi?ICULTUEE IRRf-GUBE SUR SOL “‘l?ONDE”
.,
L’objectif de c tte ftude est de trouver pour la risiculture- sur 801 “fon&‘~ une
source d” azote
t une méthode d’application de la fuwre asotbe les .plus effi-
cientes et les 4lus Bwmcmiques. Pour cel8, sur 801 “fond&” de bourrelet de ber-
ge de Fanaye, la Perlurlse, le SCU et le SupergranulE ont ét6 r0is en coQaraison
3 quatre doses
quatre techniques d’application (3 la volée, en bamle, en
application lot
et en application fractiom&) .
1 - POURS& DE L’ETUDE JE LA COMPOSITION ET LHPOS‘TlrNCE DE LvENTOMOl?AUW,
NUZSIIBLR AU RIZ DB CUVRTTE DANS LA VALLRE DU.PLEUVE SEHWAL
I
I
Les pertes de rendement de riz dues aux d(s&s d’insectes dsus la vallée du
fleuve sont act
llecmnt chiffrables entre 800 et 1 000 kg/ha. Des CLesures ap-
Qropriéer e t C-c oniques pour limiter ces pertes supposent au préalable des
études d’ identi
cation des différentes esp&es nuisibleo, Cie la dynmique de
leur population
t de leur bio-écologie. Cette étude entam6e en 1977 est basée
sur uu travail + prospection en ayant recours au piégeage lwiiineux, B l’élevage
sur milieux nat rels a au ramassage au filet, h la dissection de tiges et ce tout
au long de 1’ anIQe . Les résultats des captures ’ le trac6 des courbes de dynsaique
des populations jet l’estimation des dkaâts causés dans les &zi&res fat remor-
tir que las ins~&es les plus destructeurs du riz dans la. +gion appartiennent
aux groupez : borers des tiges !’ d6foliateurs, suceurs.
2- EFP’ET DES s>hW.ENTES~UATE!I tiE SEMIS SUR L’ABONilANCB ET LES DBWS
DES M%ERS ~$W’TIGES SUR L&S VARIETES DE RIZ ACTUBLLEMMT Cf,Q,TIW$S
DA#BLAJW@IMDUFUGWE
I
Cette btude, .ne@a durant l’hivernage 1978 est bas& sur le suivi sur huit va-
riétés de ris s
à trois dates, 1 ‘abondance et les &@ts dGs aux borers des
tigor.
3 - LUTTE CUXMI~UE CONTRE LES INSECTES BORBR8 Dl!$ TIGES DE kIZ
/
Cette op6ratioalde recherche entanée en 1977 a étE; çrientGe en 1978 vers la
d0temination d la dose la plfis Ctcouotique pour assurer un contrôle efficace
des borers de t ~8 du riz.
1
L’ensemble des
des expérimentations en 1978 se rapportant a ceu o@ra-
tions de recher
ont fait l’objet d’uu rapport élabor$ eu Avril 1979 et .pté-
de la recherche terrue B Monrovia au wis oe. Mi 1Y79.
l’ophation de recherche “Malherbolo@.e du Ris’*

.
,__,
.
.
[
dont 1 'oxécuti~ ayait @té uioe. QSI
“veilleuse” B la buite du d&part ds Monsieur
p-a Cir~é LO;‘. a recondwtfon ii GtQ ossiU& @zs air recrutmmit de Monsieur
&ctar DIOP itrg+ieur agrormm d&b),~!, orm~;i,W de la SA8D.
:
:
gms le cadre
sa pal$tiquE, ds fj.Wiiatioa des. chs~.dièd~s affect&s d ses prbj&bs
sphiaux de re
rcheu rikieoles, l’AD&O s d0cic@ de &ire b&Gficier MM. Aliotme
#I,Y; Ibrahima
P Tahir DIOPl et M&tar DIOP dqrant la deuxi&rs phase d’e%&
cution du projet/ (1979-1981) ake fomatioo’sp&iale s o i t pour p*a*r uue these
B pattir des r6 ultats d’exécution $e leurs programmes de’ recherche (cas le
Atio@e CO&Y) ,s 1it pou un “maeter’g ou D.E.A, (-as de Ibrahim CAMPA, Tahir DIOl?.
et Moctar DZOP); ,Les departs en formation de ces’ chercheurs devsat se faire solo&
m planning, ne sauraient avoir: des répercussions sur la poursuite dt! l’exkution
du pro)3tancros
recherche car des e*ertta-consultaut vont devoir être recru+
par l’ADRAC/Mon ovia et ce durant toute la période de formation des chercheurs
titutdm8 a i’ F
rtiarieur.
j
.
.
En matiére de p+rsomel,
les activitG8 ont i2t8 essentielleswnt centri?es sur :
a) uu travail de redistrfiutiou du personnel d’exkution nécessit&e par les be-
soins d’ex&+tion des prot;rmtzes de recherche. C’est aiusi que le personnel
rvateurs-laborantins et rmuoeuvres du service entretien aute-
6 $ Richard-Toll a 6t4 rmté en partie sur la station de Fsnaye
en partie sur la station de NYüiol (5 agents) eu guise de ren-
forcewmt de; ces stations exp4kinentales en persounel d’ex&ution.
b) ~CL travail
reclassement d’a@hts qui, par suite de l’inadéquation entre
la grille 4
C. .P. et la grille I.R.A.T., se sont retrouvh p&mlish du point
devue salai
. Une commission de reclassemmt s'est r&h.e B HicharbToll
le 11 Am?i1 P
979 h cette fin et sur proposition de cette cwmission l+ sanc-
tiens positifes ci-clessous ont pu être pris8 par d&zision no 1753/DC/ISRA :
. r/dsssermnt de 27 ageats d~cisionuaires
. optroi de sursalaires forfaitaires mmsuels 3 14 agents.
des services dY appui logistique (Atelier et exploitation)
leure efficience du travail. C’est ainsi qus la responsabilité
lier et exploitation ant6rieuremnt confi a un agent d’exGcu-
5e à uu cadre su@rieur sous la supervision de la direction du
aura 6th celle le la tise en. place CU si+csitif capta-
suivi LudgGtaire confor@&nt a u plsn ttlabcïrc; par la
l@ un pemonnel adki2inistratif trGs réduit, il rious a eté pos-
l’ensy&le des fiches (fiches d’engaeewnt, fiches fow
fiches d’imobilisation) et des cernets (carnet de’
carnets de suivi de stocks, carnet ti’inveataire). Pour
des c&wentions/ruarch&s, et dans
qui doit entrer en vigueur ii partir
service administratif et financier a ëté re-