SECf?ETAR3KT D'ETAT A LI\ ?CCHE~~CHE ...
SECf?ETAR3KT D'ETAT A LI\\ ?CCHE~~CHE
SCIENTIFIQUE ET TECHP:IJU;
RAPPORT ANNUEL D'ACTIVITES
DU CENTliE f!fiTIO<IAL DE RECHERCHE
AGRONiJî~lIG)UE DE OAMBEY
1979
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHE AGRICOLES
(1. S. 17, A.>
Institue pour la reunion meneuelle
dos Chefs de Centre et de
DQpartement du 24 juillet 1978, C, Kolda, le rapport annuel d r activitee
du Centre a pour objet de rendre compte BU Directeur gBnBra1 de 1'ISRA
de la gestion administrative, f inanciùre et scientifique du Centre.
Compte tenu du retard enregistr8 dans l’elaboration du rapport de
l’exercice 78/79 et des changements intervenus dans l’administration du
CNRA, le present rapport porta sur la @riode de ,janvier 2r decembre 1979
pour les problemes administratifs ; le budget et :Les activites scientin
fiquea Btant relatif a à 1; exercice 79/80.
Il traitera des points suivants :
. la gestion administrative
- la gestion f inancibra
- la gestion scientifique
. les probl8mes rencontrés et les solutions qu* il
conviendrait de leur appliquer.
1 = GESTION ADMINISTRATIVE
lfannee 1979 est marques par d~importants mouvements au niveau
de l’administration du Centre avec :
- le ddpart de l'ancieq Directeur nomm8 Directeur du
DBpartement dlAgronomie
et de Bioclimatologie ot son remplacement par
un de ess anciens collaborateurs.
n le ddpart à la retraite de l’ancien Directeur das
Services Administratifs et financier se
- la nomination de l’ancien Chef des Services Comptables
ot deniers & la Direct ion des Affaire$ administratives et F inancieras.
- la nomination d’un nouveau Chef des services comptables
e t deniere.
. l'absence, pour'kaisqn de santd, du Chef du Service dos
personnels et dont lïinterim est cctnfi8 à un de ces callaborateurs.
Ces changements intervenus dans 11appareil administratif du
CNRA se sont traduits par diimportante efforts dl3 la part de la nouvelle
équipe, efforts rendus plus difficilea encore par la mise en application
de certaines dispositions du dticret 7610122 du 3 FBvrier 1976, conform&
ment a la circulaire 080 PM/SGG/T en date du 20 septembre 1978.
C'est le lieu de rendre hornpago B tous les collaborateurs qui
f-i’Ofd
mt$nagQ aucun effare pour que 10 CNAA continue de fonctionner
comme par le pass8, c’est-b-dire dans la rigueur et la discipline,
12 - Effectif du persan
(Voir tablaau no1 >
a 2
v:
C c
I ---Y
I
u
I
C.
,-
CJ
5
-.
!
-t
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-
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I
I
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i
i i
i
i
-
r-
a
-”
I
l
3
2
3
En début d’exercice 79/00, le CNRA et 30s point.ed$appui annexas
(Lowa, Thilmakha, Thienaba et Ndiemano) comptaient 432 trawaillours
permanents non compris les Techniciens de l’agriculture ou de llhorticul-
turc mis à la disposition de 1IISRA par la DGPA. A CO nombre il faut
ajoutor la personnel saisonnier ot les previsions dtombaucho 663 travailb
leurs dont 5 chercheurs).
12 - Gestion du personnel ot l~lbmos qu*ollo euscito
Lvesscntiel des activitee des services ee faisant pendnnt la
saison d * hivernago, le CNRA utilise un nombre important de trwailleurs
journaliers CR qui pose dos. problenes administratifs difficilas, eu
dgard aux dispositions du
du 20 novembre 1970, rBglumontanC
les conditions part iculiè
travailleur journalier et du
travailleur saisonnier. Cf est pourquoi nous expérimentons depuis le dObut
do l’exercice 79/80 la farmulo du contrat saisonniar qui consiste à
recruter , pendant uno periodc variant do 3 & 6 mois, du personnel rémunéra
monsuollament.
Ce procedé séduisant, en ce sene qu’il nous met h laabri
dos irrégularités en matière de législation du travail,. devra Fcro amilioru
du point de vue du choix et de la gostion des personnes à recruter.
Dans la phase transitoire air nous nous trouvons et où J.o statu
quo anto laisso part ielloment du t orrain au ddcret 76-122, le CNRA dont
la grille dos salaires set des plus defavorablos au niveau de l!ISRA ot
la dieciplinu des plus rigoureuses (pour nc Pas dire 13 plus rigoureuse),
enregistre do nombreuses demandos de reclasnement si ce ne sont pas dos
démissions, CO qui rii la longue risque de campramattro son fonctionnement.
Aussi sans sous estimer l’intér8t que les autorités do tutelle accordont
à l’élaboration du Réglement d’Etablissoment, nous souhaitons la publi-
cation rapide de ce document, parco qu’il
conditiannc la mise en 3ppli-
cation du décret 79-1067 du 28 novembre 1979, fixa.nt l*echello des
salaires minima des agents des Etablissements publ.ics à caractbra indus-
tria1 et commercial.
C’est l’occasion drattirer l’attention do la Direction gBn6ralo
sur lc! danger que constitue le recours à des dispositions administratives
ne regiesant pas les Etablissements publics, fauto d’un reglemont dyétablis-
somont . En offet,il n’y 3 pas lieu de creor dos avantages acquis quo
l*application gert8raliséo du $crot 7&0122 no saurait consacrer, la
sagessa administrative dtant lc maintian du etat u quo anto.
La gestion du porsonncl ne se poso pas uniquement en terme
d~avantage~matériels. Tout travailleur, ot plus specialement celui do la
Rochcrche, doit aussi benéf icior d’un onvironnemont
social et éducation-
no1 oonvenable, C’est ainsi que nous poursuivons la formation profession-
nelle permanento instaurée par nos preddcosseurs en organisant :
- des cours dtalphabetisation fonctionnolle pour une plus
grande efficacité du personnel añalphab&tct;
- des stages de porfoctionnemant au niveau d’autres entre-
prises, sociétes et etablisscments dtonsoignomont professionnel ;
. des cours do perfectionnament en dactylographia ot
secrétariat ;
- des cours de porf octionnemant en Ancjl;ais.
CO sectour do formation, bien qu* important, souffre cspcndant
do noysns au niveau du Centre. Nous souhaitsrions Pouvoir disposor d 1 in-
frastructures addquatos (salle do conf6ronoo bquipQa do mat0riol audio-
visu01 stc, ..> c a q u i cortos contri
*b uorait a uno rnoillcuro conduito d o
CC:~ c o u r s n a i s aidorait l e CNRA do Sambey h miaux ,jouar s o n rdlo dc
Contre do Rscherchos a vocation rbgionala qua lui confgrent son ancien-.
noté ot la qualit do ses travaux.
Tableau no2
: Formnt ion
2
I
!
!
Nombre
Cnt8gorios
I
Nat urc
1
dtagonts
f
1
1
t
f prof essionncllo s
1
---~-“-~I-“LI-I------Ir-ll---------~------”------
---_“II--_--_-------I____
f
f
f 9lphabBtFsation
f i
I
f
3 5
f
Cluvriors e t
Manoouvros
f
f
I
t
f
!I Staga_sda porf ection-
f
1
f
I prJ3&
I
3 5
I Toutes oatégorios : I
I
f
I
O~Jvriors,
obsorvatoursl
f
f
I
techniciens.
!
I
I
f EffoctuBs o u o n c o u r s I
10
I
1
f
f
1 Prévus
!
7
!
t
!
f f&wrs dranqlais
30
1
Chorchours, Socrét airof
t
!
!
d80 Directian
1
! SocrBtariak .
2 0
! Gactylographos
f
I
t
1
I
1
t
Las stages de porfectionnomont ombrasson: 10s donainas les plus
variés at 10s plus d i v e r s parcc yu’int6russont llonsomblo d u pcrsonncl
( ouvriers,
obaorvatours et tochnicions). tour dur63 maximum est dr! 6 niois,
lo minimum étant do 3 scmaincs à 1 %Ois.
I l fout a j o u t e r à cc vol& las visites d ’ i n f o r m a t i o n organisclos
pour 10s chorohours, En offct pour uno coopSrat ion plus dynaniquo avez
10s organismes agricoles et para-ngricolos, dtonsoigncmont, do Rechcrctl:?
ot/ou do production oouvrant dans 10 pays, il est LnstituB 10 principe
do vioitosd* information Pour les chercheurs ot assirnilds. C’est ainsi
que nous nous aonmcs ronduo :
- lc 3 décanbro à l’Institut do Tochnologic a l i m o n t a i r o
(I.T.A,>
?
à l*fnstitut dc Physique mstéorologiquo
(1.P.M.)
ot avons progrann6 la visita :
- 10 PO janvier,
d u Laboratoire dlElevaga et do Rt7chorches
VBtdrinaircs
- 10 1 1 fsvrier, d o 11Institut Univursitairo d o Tcchnologio
(I.U.T. j
. lo 22 f Esvricr, du Contre National do Rachorchos Foras-
tiares dans SOS stations do Bandia ot
h clos datoa ultgriouros, l a SIES, 13 SSLPC, Phosphrato d o ThiBs d o TdYiba,
l’Ecol3 Polytochniquo do Thihs, la SEIN do Diourbal.
1
5
2 ,. GESTION FINANCIERE
21 m uqot previsionncl
Lo budget du Contre cet ossentiollomcnt alimente par trois
sources :
. la Convention gdnéralo (C.G.) en date du 17 janvier 1974,
- les Conventions particwliorcs intornationalcs signbcs
avec des pays ou dos organismes internationaux :
. USAID
*
:CR[)I
. ICRISAT
. AIEA
- Los Conventions particulieres nationales signées avec
dos sociétes et organiemes senegalais du devoloppomont
ou de 1"industri.e pour financer dos recherches d'accom-
pagne;iwnt :
, ONCAD
. PHOSPAL
. MDR (Essais rlultilocaux)
. otr:...
Pour l'exercicu 79/80, la subvention d'exploitation prewisian-
nulle du CNRA, toutes conventions, aat de 518.518.000 F CFA repartis
comme suit :
. 434.880.000 F CFi\\ pour la Convention generalc
- 23.638.000 F CFA pour les Conventions particulieros
nationales
- 60.000.000 F CFA pour las Conventions particulibras
internationales.
Par rapport & 70/79,
la subvention drcxploitation prévisionnelle
du Contre! a connu un accroissemont du 5 :.< alors quo la Convention
g6neralc alla, est passéo de 380.250.000 F CFA à 434.880.000 F CFA, soit
uno augmentation do 14,3'7 7;. Caci s'oxpliquo par uno réduction scnsiblo
du financomont lis aux Convontions particuli&ras dont certainos sont
orrivéos à terme et ont fait l'objet do nouvelles roquetos. (USAID -
Projet kloyon Terme Sahel, CRDI . Selaction aargho ot tcchnologid post-
r6colto).
Ropportee R l'onsembla de l*ISRA, la subvention d'exploitation
du CNRA est passeo de 40,3 76 en 78/79 à 36,2 7; on 1979/80. Ce phénombno,
qui traduit une cortainc baisse do la subvention d"oxploitation du Contra,
s'inscrit dans la politique d'équilibre régional adoptée par la tutcilo.
A COS 3 sources précQdammont citéos, il faut ajouter :
- les Produits d~amortissamont
- les rocattes propres
- les somrnos prélovees sur le compta do réserve,
6
Ainsi en raisonnant sur l'cnsamble des recottcs prévisionnelles
du Contru,
le budget passo de 575'~195.000 F CFA en 78/79 à 6:31.157.264 I-CFA
en 79/80, soit unc augmentation dc 4,5 7:. Ca budget so réparti comme suit :
Tabloau ri13 : ~ïGtviaiiDn,ni!l 79/tio
1
1
I Valeur absolue on
1 Nature dos déponscs
F CFA
1
I
"""""""""""""""""""""""""-""""""""""""""-"""""*""~~
1
1
1 Poraonnisl
351,265*000
!
1
I
I
Fonctionnonont
1
13LI.872.140
1
21,77
I
I
i Amortiasomant
;
38.333.124
I
6,3c7
.I '
1
1
i
Immobilisation
1
80.697.000
I
13,42
I
!
1
1
“““““““““““““““-“““-__11____________1___””””””----,--“““-””””---“““-“““~~
!
1
l
t
I Total
I
601.167.264
l
I
*
,
----.-
-----==z===
*
go=
I
!
1
1
I
2% - -ion du budqet : (Situation au 11.1Cl.1979)
Suite aux modifications apportéos au suivi budgétaire dGs pro-
nrammcs, donc h la formo de préaontation do la situation budg&tairo (nota
do la Direction gdnéralc du 27.11..79,
ralativc au contr81c dc la gt"sti.o.1
do 1'ISIJA)
&-I léger retard a QtB onrogiatrh pour la situation do décurnhrn.
,J
~J~US nous .sommas donc rdfércf?s 2 ccl10 dloctobro pour juger dl2 l*exécution
du budget on cours.
Tableau n"4 : Situntion budgQta.i.rz au 11, octobre: 75;
! Zaturo dos
I
I
1
1
RBalisation
I
1
!I ddponaos
I Prévj.gj,o~~~ f -----"--------r--------------f
r:'
Disponible
1
1
!
Absolue
,"l
""""""""I""""" :"";,;";6;";~~-":"""~~"~~~"~~~"~
I
1
""""""""~,"""""""""-"l___l___l
!
1 Porsonnol
I
1
1
1
3,24
f 339 875 485
1
1 Fonctionnomt 1
130 872 140
1
64 4134 120 I
49,27
4
66 380 023
1
I
I Inmobilisatia~
80 697 000
;
19 301 448 ;
23, 71
I
1
6'1 395 552
;
I """""""""""1""
1
"""~"""""""""""""""""~""""""""
f" ""1""" "-,"""""; """"""""""1""" 1
f
:
I
l Total
1
562 834 140
I
95 155 003 t
16,91
t 46'7 679 057
1
1
1
I
I
-
1
1
A la dato du l'l octobre, c'est-à-diro un trimostro apr8s la démarrago
du budGot,
Loua onrogistrons un taux de réalisation important dans lc domaine
du fonctionnonant CO qui corrobora l~intonsité des activités des sorvicca
durant cette période. LE) niveau de rgalisation des déporsos an porsonnol paraft
foiblo du fait do la non prise on compte du porsonnol dont les salairus sont
payas directomont par la Cantrc dos Etahlisscmonta publics (CEP). La réalit
ast en fait touto autra car,cloat au promior trimastrv du budget que 1~s db-
ponsco on porsonnol sont dos plus ClovGus, du fait dc l'utilisation mqssivo
du pzrsonnol journalier.
7
En matierc d’immobilisation, le niveau d’exécution reste faible,
[car toutes les depenses nucossitant ll~tablissomont d’un marché sont
diroctoment engageos par la Direction générale ot ne sont prises un
compta par lo Contre quo lorsque 10s façturos sont liquidées. Ainsi
pour 10s U+$hiculcs,
du fait do la lenteur dos procbdurcs administratives
dos marchés, ltacquisition du matériel est tr&s souvent retardée, cc
qui constitue un handicap sérieux pour 1,~ fonctionnement du Contra.
L’idBaL aurait été de pouvoir acheter les v6hiculos ot tout materic
(carburant, fourniture de bureau stc . , .) dont 10 ratard dans l’acquisi-
t :.on peut compromettre
et d’une façon parfois irreversible lloxécution
.
dcjs programmos. Ceci pose l a réalisation drun p r é a l a b l e , l a colncidcnco
do l’année budgétaire avec llannCa calondairo pour permettre l’élabora-
éion et l’adoption du budget avant la fin du 1 cr trimestre ot l’engage-
mvnt des procédures administratives Aane la marne periode ; à défaut,
parmettre à l*ISRA de faire rocours aux 'proc6duros d'urgences pour l'ac-
quisition de tels types de matériel. EspGrons qu’8 l’issue de la réunion
programmée on fin janvier 1980, ontro le ‘contrbleur do gestion et 1’ACr-i
~que tous ces problemes trouvent leurs solutions.
3 . GESTION SCIENTIFIQUE
3 1 . Les proqrammcs de rocherchos : importance ot orientation
Sur les 55 programmes do rocherchas que compte la convention
g6nQrals au niveau do l’ISRA, 27, soit 45 y.: sont exécut& par des char-
chours du CNRf1. A CO nombre s'ajoutant 9 conventions particuli6ro.s dc
rochorcho signéos avec des organisotions internationales de rcchorche OU
du dévoloppcmcnt ou avec des soçi6t6s \\?t organismes nationaux. Ces
programmes sont tous du domaino de la Rcchcrchs appliqu8o et SC répartis-
sent on 3 grandes rubriques :
- les recherches thématiques ou de base
.. 10s recherches appliqu4os d’adaptation
- l e s rcchorchcs dc dovcloppcaont.
C’est cc qui cxpliquo que bon nombre de chercheurs basés à
Ramboy sillonnent llonsamble du torritoiro pour lbexécution de leurs
programmes,
!7ussi mdmc si la politique actuelle dcz la tutalle Est à la
rGgionali.sat ion, force est de constntcr quo colle-ci pour @tro officaco,
Joit dtrc progressive compte tonu dos rnoyons humoins st matériels dont
nous disposons.
3 2 - Faits saillants de la campaqno 79/80
Il est difficile do donner das résultats chiffrés de l’exécu-
tien dos programmes do rochorchos, auss.!. nous nous limiterons aux caroc-
ttjristiquos climatiques de l’hivernage et & leurs incidences previsionnol-
lus sur las cultures.
Tableau : Caractéristiques pluvionétriques a Bamboy et annexes
f
1
1 Station au
IPluviomktrie
1
1
Observations I
f PAPER
I
I
I
--M-I-...
w".wm.mIee..--m-L-
1!I Elambcy
in31 couverte
I
I
!
E
1
1
l
1
IMauvaiso couverture !
I
1
!
Ides besoins surtout 1
I NdiGmano
451
" 200
!
I
!Pour les seconds 1
1
1
1
lacmis
I
1
I
!
I
!
l Lougo
f 221
1
" 200
tZono sinistréo
1
1 Thilmakha
! 362
I
- 190
lulauvaiso pluviométi
1
I
f
I
itrio
I
I
!
364
1
1
l
I Thiénaba
Elauvaise pluvio-
1
l
-190
I
I
1
I
!
1 mQtric.
1
A la station do Louga, l'hivernage s'est installé assez tar-
divoment (lùro pluie de démarraga das semis en soc 10 10 juillet, semis
en humide de l'arachide le 18 juillet) avec une pluviométria irrégulière
agyravéc par une longue sécheresse au mois d*aoOt. Los pluies s'étant
arrbtecs til)t)lo .19 septembre , pas une sculo goutte pendant la premiero
quinzaine dloctobre, toutes les cultures ont souffert du manque d'eau,
5 lfaxception du niébé qui s'est encora distingue pour sa grande adapta-
tion ü la sécheresse. Le mil a 011 effet souffert du manque d'eau au momont
crucial de son dévoloppamont, épiaison-floraison, ce qui s'est traduit
par une mauvaise qualit des épis du fait de l*avartcmont.
S'agissant do l'arachide, la formation des gynophoros et le
d6vcloppement des gousses ont coYncidé avec la séaharesso dtaobt et de
septambro, d'où le mauvais remplissage dos gousses, ot la mauvaise qualité
des qraines (graines rideos). Ainsi 13 production de l*arachido dans cotte
aon&a BtlS aomprorniae
m@mc si le d8voloppement vdgétatif suscitait
moins d'inquiétudes.
Quelques rondcmants (cspsndant)
Ï
1
ImXlm
I
0,50 m X 0,60 rn
1
I""--"---"------""-----------"--~----*-----"-
eLu..l-M- m.---.---m.
1
1
1
!
I
fliE3bB
1
1
I
1
(kg graina/ha)
I
770
t
690
1
1
I
1
I
Souna III
:
(kg graino/ha)
II 1
370
1 I
350
!
1
!
!
1
1
9
Effet labour sur arachide (V. 55-437)
Témoin
:
220 kg/he
Labour en sec
:
225 kg/ha
.
Labour de fin do
cycle
:
182 kg
e t 2!19 kg/ha.
Le parasitisme a ét6 trés peu important dans l’ensemble m@me
si les avortements observées sur mil étaient imput6s par certains à dos
d:Gg%s drinszctas. Lo phénomànc observé, aggravé dans la zone de Louga,
s’est reproduit avec quelques variantes dans 10s autres points d’appui.
Aux PAPEM do Thilmakha et de Thisnaba, l*hivcrnagc a étb plus
hIltif mais perturbé par la suite par de longues périodes de sécheresse
aux moments décisifs de la vie productive des plantes. Les récoltes
ottonducs seront par conséquant médiocres.
Avec les pluies dtoctobre des labours de fin de cycle ont pu
&tro affoctués,
Au PAPEM de Ndfémane, le déficit hydrique connu ailleurs dans
le zone, a étd au rendez-vous, Le mil souna III et les sorghos prdcoees
‘- (CE 90) ont nsanmoins mieux réogi P qulaillours mdme si le remplissage dos
6pis de mil a souffert du phénomène d’avortement, Par contre lterachids
en plus des effets dus à la séchorosse a souffert des attaquas de Iulee
au niveau des gousses, ce qui a donn8 de faibles r6coltas de mauvaiso
qualité,
A la station de aambey,
la situation pluviométriquo bien que
. ..<i pas trGs bonne paraît meilleurs, toutwfois, les mils ont été mediocros
(séchsrossc à l’épiaison-floraison) ot les arachides affectées par un
mauvais remplissage dos gousses ot dos attaques gr,ctvos de I~les.
Du point do vue des jachhres,
si la composition f lorist iquo
a étQ dominde aar des eseécas ci valeur fourraqère ,tr&s médiocre :
Sesbania, Hibiscus clos dicotyl6donss on général) jusqu’à la fin
aoQt - d6but ssptùmbrc, on a assiste, h partir da la mi-septembre a uno
recrudescence de la végétation avec dos ospòccs tr>s productives et do
qualité comme 1’Andropoqon
gayanus, les Indiqofera, 10 Zornia_ qlauchidista
-“me.*..-...
etc.,.
La reprise des pluies en soptombro a antrafné un développement
.++’ t rùs rapide do la végétation qui s’est trss vite ligt&ifiéc. Soulos 10s
repousses dos parcollos fauchées en avril - soptembro ont pormis d t avoir
du foin de qualité, ce qui pose le problsmo du mode d’exploitation des
jachères pour une meilleure qualit du foin, suivant la physionomie de
la campagne.
En conclusion on peut diro quo 1979/80 ast à inscrire au
tableau des plus mauvaises campagnes. P?orno si la pluviométrio totale
cumuléo semble occaptablo,
les longues périodes do s&choressa qui se
sont installeos sn cours de cycle ont CCHTT~W~ les rdcoltes, surtout collos
das arachides. Cette dornisrc culture ne cesse on offot de surprendre
car comme les autres années on a pu constater que la luxuriance de la vggd-
tation n’est pas toujours en rolation avec 10% rendement en gousses. 13.
semble exister une période critique dans la vio de la plante où lu manque
d’eau peut compromottrc et dsune façon irrevcrsiblc la production de
gousses. Il SO poso un problemo physiologique et Peut-8tre de nutrition
.
10
min&ralo quIil convient d’étudier, Le phtSnomCnc n'est pas du reste
nouvoau. La commission consultative de la Rochorche agronomique, dans sa
seanco du 30 mai 1979, recommandait que dos onqubtas soient moneos en
cours de cycle pour élucider le problème, Ceci montra lrimportanco -JUL:
rou8t la question et la priorité quo la Rechorchc doit lui accordor.
33 e Organisation administrative ot scientifique pour une moilloure
circulation do l'information on vue d'uno gestion plus affica&, parco
que concertgo, dos programmos et du Contra.
En plus de la fourniture dos fiches d'action $16mcntaire do
rochorcho, dos mois d'aodt et de fbvrior, des rapports de synthasc ut
dc campagne, il est institué au CNRA trois (3) typosdo
roncontros d'echan-
90s à caracterc -administratif ct/au scientifique :
10s réunions hobdomadairos entre :Los chefs do groupes
ot la Direction; dont l'objet est :
. de diffusor 10s instructions de la Direction
généralo ;
. de discuter du courrier et des problèmes de fonc-
tionnemont dtint6rdt collectif
. oZ de ddbattro des problemos spécifiques aux
groupes Gt aux services,
- 10s réunions bimonsuallos do concertation ct d'échangcs
au niveau de tous les chefs de scrvicos pour aider à uno meilleure
gestion du Csntro ;
- les reunions bimonsuollcs & caractère scientifique au
cours dosquelles un groupo de chercheurs fait dos oxpo3Qs sur dos th&mes
soecifiqucs à leurs activites de rochorcho.
Il va dc soi que l'intbrdt de tcllas rencontres resido dans
l'application scrupuleuse dos rooomnandations Formulées et dans la
rochorohe,dans la mesure du possible, des solutions aux problèmes soulo-
V~S, Dans l'un comme dans l'autre dos cas, la participation affective ot
ltengagomant indéfectible dc tous sont néccssairos sinon indisponsnblos,
Du point do vue scientifique, Bambey, comms l~onscmbla dos
contras de l'ISRA, domouro handicap6 par l'absence d'un journal scionti-
fiquc drenvcrguro internationale, ce qui oxposc les travaux do sas char-
cheurs h la spoliation intcllcctuullo d'autres chercheurs, c'est pour-
quoi tout on recommandant fortemont la crbation dtunc revue sciuntifiquc
au niveau do 1fISRA nous voudrions rcprondro la serio des annales tiw CURA
pour publier las resultats de nos programmes.
KENCONTREES ET PROBLEHE,S IMPlEDIATS A RESOURRE
Nous avons essayé de soulovor précedernrnant les quelques diffi-
cultés spBcifiquos rcncontrécs dans tol ou tol soctour, L'objet dc cc
chapitre est plutat de relater oortains problèmos encore en suspens ct
dont 3.0 solution contribuerait & l'amélioration des services ot de la
vio au CNRA.
11
Nous commencerons cepondant par oxprimor notre profondo gra-
t i t u d e & l a Direction generalo do 1’ISRR ot à 13 tutollc d’abord, pour
10 soution moral qu’elles n’ont cassé drapporter à la nouvollo Qquipo,
aux mo.nent s les plus dif,ficilos do la gestion de 213 Ccntro, cnsuitc
pour avoir bion voulu debloquer 1~s crodits nécessaires à l a rcconstruc-
tion du laboratoire do’ chimie,
Dans l’espoir
que ces efforts iront en s’intensifiant, nous
souhaitons qu’au cours des oxorcicos future, l’on tionno compte d a n s l a
ropartition du budgot t
.. au rcnforcemant du roseau eloctrique du Contra dont la
saturation constitue un danger pormanont pour 10s installations ;
- à l’amélioration du reseau tdléphonique dont la capacite
ost nettement infériourc aux bosoine actuels des sorvicas ;
- & l a restauration dos laboratoires tr8s anciens d o n t
la w4tuste contraste avec 10 niveau scientifique ot tochniquc des travaux
qu’on y mono.
5 m CONCLUSION
Cc rapport succinct n’est cra’rtespas en relation awoc 10 volumo
ot ltimportanco des programmos qui sont monés au CNRA. C’est porte que
son objectif ntast pas da
présontor et d* uno façon oxhaust ive 1~s acti-=
vites qui y aont conduites mais plutet de rondrc compte à la Direct ion
gGnéralo do l’état d’exécution dos programmas mais aussi et surtout des
problornos et difficultés que suscite 13 gestion d’un tel appareil ot
10s solutions envisagées pour les rosoudro. Morne de ce point do vue il
nous a dté difficile do tout relater de pour d’8tre fastidioux. !J~US
avons pris toux dont la rbsolution nous paraet P~LIS imminente.
12
A N NE X E S
uB..vIII"cl"~--"
1 - Participation dos charchaurs du CNRA à dos conft5runccs
sciontif iquss ot à dos missions d'information.
21. Visite du Contra par des parsonnalités sxtériourcs.
3 - DBpart à la retraite
MISSIONS CHERCHEURS
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Groupe Brokhevau L~U
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! JEUNE:-;SE CANADA I'lONDE
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YEN SHIH YUANG
! AGENCE CHI%E MIiUVELLE
1979
! ?lc 11~ FA 1 S ,'\\ i'JU 1 E R AM
! C.P.L.A DAKAR
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1979
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! C.N.R.F.
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! ELEVES DU LYCEE AGRI-
! LYCEE AGRICaLi'l DE
! C@LE DE CLERPIONT
! CLERÎ4ONT FERf~!'~f.JiJ (France)
! FEI'iKf\\NI.)
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SCIENTIFIQUE ET TECHP:IJU;
RAPPORT ANNUEL D'ACTIVITES
DU CENTliE f!fiTIO<IAL DE RECHERCHE
AGRONiJî~lIG)UE DE OAMBEY
1979
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHE AGRICOLES
(1. S. 17, A.>
Institue pour la reunion meneuelle
dos Chefs de Centre et de
DQpartement du 24 juillet 1978, C, Kolda, le rapport annuel d r activitee
du Centre a pour objet de rendre compte BU Directeur gBnBra1 de 1'ISRA
de la gestion administrative, f inanciùre et scientifique du Centre.
Compte tenu du retard enregistr8 dans l’elaboration du rapport de
l’exercice 78/79 et des changements intervenus dans l’administration du
CNRA, le present rapport porta sur la @riode de ,janvier 2r decembre 1979
pour les problemes administratifs ; le budget et :Les activites scientin
fiquea Btant relatif a à 1; exercice 79/80.
Il traitera des points suivants :
. la gestion administrative
- la gestion f inancibra
- la gestion scientifique
. les probl8mes rencontrés et les solutions qu* il
conviendrait de leur appliquer.
1 = GESTION ADMINISTRATIVE
lfannee 1979 est marques par d~importants mouvements au niveau
de l’administration du Centre avec :
- le ddpart de l'ancieq Directeur nomm8 Directeur du
DBpartement dlAgronomie
et de Bioclimatologie ot son remplacement par
un de ess anciens collaborateurs.
n le ddpart à la retraite de l’ancien Directeur das
Services Administratifs et financier se
- la nomination de l’ancien Chef des Services Comptables
ot deniers & la Direct ion des Affaire$ administratives et F inancieras.
- la nomination d’un nouveau Chef des services comptables
e t deniere.
. l'absence, pour'kaisqn de santd, du Chef du Service dos
personnels et dont lïinterim est cctnfi8 à un de ces callaborateurs.
Ces changements intervenus dans 11appareil administratif du
CNRA se sont traduits par diimportante efforts dl3 la part de la nouvelle
équipe, efforts rendus plus difficilea encore par la mise en application
de certaines dispositions du dticret 7610122 du 3 FBvrier 1976, conform&
ment a la circulaire 080 PM/SGG/T en date du 20 septembre 1978.
C'est le lieu de rendre hornpago B tous les collaborateurs qui
f-i’Ofd
mt$nagQ aucun effare pour que 10 CNAA continue de fonctionner
comme par le pass8, c’est-b-dire dans la rigueur et la discipline,
12 - Effectif du persan
(Voir tablaau no1 >
a 2
v:
C c
I ---Y
I
u
I
C.
,-
CJ
5
-.
!
-t
=
-
-I..”
I
I
-
-
.-u
t
u
-.
-’
-
r-
-
-*I-’
i
i i
i
i
-
r-
a
-”
I
l
3
2
3
En début d’exercice 79/00, le CNRA et 30s point.ed$appui annexas
(Lowa, Thilmakha, Thienaba et Ndiemano) comptaient 432 trawaillours
permanents non compris les Techniciens de l’agriculture ou de llhorticul-
turc mis à la disposition de 1IISRA par la DGPA. A CO nombre il faut
ajoutor la personnel saisonnier ot les previsions dtombaucho 663 travailb
leurs dont 5 chercheurs).
12 - Gestion du personnel ot l~lbmos qu*ollo euscito
Lvesscntiel des activitee des services ee faisant pendnnt la
saison d * hivernago, le CNRA utilise un nombre important de trwailleurs
journaliers CR qui pose dos. problenes administratifs difficilas, eu
dgard aux dispositions du
du 20 novembre 1970, rBglumontanC
les conditions part iculiè
travailleur journalier et du
travailleur saisonnier. Cf est pourquoi nous expérimentons depuis le dObut
do l’exercice 79/80 la farmulo du contrat saisonniar qui consiste à
recruter , pendant uno periodc variant do 3 & 6 mois, du personnel rémunéra
monsuollament.
Ce procedé séduisant, en ce sene qu’il nous met h laabri
dos irrégularités en matière de législation du travail,. devra Fcro amilioru
du point de vue du choix et de la gostion des personnes à recruter.
Dans la phase transitoire air nous nous trouvons et où J.o statu
quo anto laisso part ielloment du t orrain au ddcret 76-122, le CNRA dont
la grille dos salaires set des plus defavorablos au niveau de l!ISRA ot
la dieciplinu des plus rigoureuses (pour nc Pas dire 13 plus rigoureuse),
enregistre do nombreuses demandos de reclasnement si ce ne sont pas dos
démissions, CO qui rii la longue risque de campramattro son fonctionnement.
Aussi sans sous estimer l’intér8t que les autorités do tutelle accordont
à l’élaboration du Réglement d’Etablissoment, nous souhaitons la publi-
cation rapide de ce document, parco qu’il
conditiannc la mise en 3ppli-
cation du décret 79-1067 du 28 novembre 1979, fixa.nt l*echello des
salaires minima des agents des Etablissements publ.ics à caractbra indus-
tria1 et commercial.
C’est l’occasion drattirer l’attention do la Direction gBn6ralo
sur lc! danger que constitue le recours à des dispositions administratives
ne regiesant pas les Etablissements publics, fauto d’un reglemont dyétablis-
somont . En offet,il n’y 3 pas lieu de creor dos avantages acquis quo
l*application gert8raliséo du $crot 7&0122 no saurait consacrer, la
sagessa administrative dtant lc maintian du etat u quo anto.
La gestion du porsonncl ne se poso pas uniquement en terme
d~avantage~matériels. Tout travailleur, ot plus specialement celui do la
Rochcrche, doit aussi benéf icior d’un onvironnemont
social et éducation-
no1 oonvenable, C’est ainsi que nous poursuivons la formation profession-
nelle permanento instaurée par nos preddcosseurs en organisant :
- des cours dtalphabetisation fonctionnolle pour une plus
grande efficacité du personnel añalphab&tct;
- des stages de porfoctionnemant au niveau d’autres entre-
prises, sociétes et etablisscments dtonsoignomont professionnel ;
. des cours do perfectionnament en dactylographia ot
secrétariat ;
- des cours de porf octionnemant en Ancjl;ais.
CO sectour do formation, bien qu* important, souffre cspcndant
do noysns au niveau du Centre. Nous souhaitsrions Pouvoir disposor d 1 in-
frastructures addquatos (salle do conf6ronoo bquipQa do mat0riol audio-
visu01 stc, ..> c a q u i cortos contri
*b uorait a uno rnoillcuro conduito d o
CC:~ c o u r s n a i s aidorait l e CNRA do Sambey h miaux ,jouar s o n rdlo dc
Contre do Rscherchos a vocation rbgionala qua lui confgrent son ancien-.
noté ot la qualit do ses travaux.
Tableau no2
: Formnt ion
2
I
!
!
Nombre
Cnt8gorios
I
Nat urc
1
dtagonts
f
1
1
t
f prof essionncllo s
1
---~-“-~I-“LI-I------Ir-ll---------~------”------
---_“II--_--_-------I____
f
f
f 9lphabBtFsation
f i
I
f
3 5
f
Cluvriors e t
Manoouvros
f
f
I
t
f
!I Staga_sda porf ection-
f
1
f
I prJ3&
I
3 5
I Toutes oatégorios : I
I
f
I
O~Jvriors,
obsorvatoursl
f
f
I
techniciens.
!
I
I
f EffoctuBs o u o n c o u r s I
10
I
1
f
f
1 Prévus
!
7
!
t
!
f f&wrs dranqlais
30
1
Chorchours, Socrét airof
t
!
!
d80 Directian
1
! SocrBtariak .
2 0
! Gactylographos
f
I
t
1
I
1
t
Las stages de porfectionnomont ombrasson: 10s donainas les plus
variés at 10s plus d i v e r s parcc yu’int6russont llonsomblo d u pcrsonncl
( ouvriers,
obaorvatours et tochnicions). tour dur63 maximum est dr! 6 niois,
lo minimum étant do 3 scmaincs à 1 %Ois.
I l fout a j o u t e r à cc vol& las visites d ’ i n f o r m a t i o n organisclos
pour 10s chorohours, En offct pour uno coopSrat ion plus dynaniquo avez
10s organismes agricoles et para-ngricolos, dtonsoigncmont, do Rechcrctl:?
ot/ou do production oouvrant dans 10 pays, il est LnstituB 10 principe
do vioitosd* information Pour les chercheurs ot assirnilds. C’est ainsi
que nous nous aonmcs ronduo :
- lc 3 décanbro à l’Institut do Tochnologic a l i m o n t a i r o
(I.T.A,>
?
à l*fnstitut dc Physique mstéorologiquo
(1.P.M.)
ot avons progrann6 la visita :
- 10 PO janvier,
d u Laboratoire dlElevaga et do Rt7chorches
VBtdrinaircs
- 10 1 1 fsvrier, d o 11Institut Univursitairo d o Tcchnologio
(I.U.T. j
. lo 22 f Esvricr, du Contre National do Rachorchos Foras-
tiares dans SOS stations do Bandia ot
h clos datoa ultgriouros, l a SIES, 13 SSLPC, Phosphrato d o ThiBs d o TdYiba,
l’Ecol3 Polytochniquo do Thihs, la SEIN do Diourbal.
1
5
2 ,. GESTION FINANCIERE
21 m uqot previsionncl
Lo budget du Contre cet ossentiollomcnt alimente par trois
sources :
. la Convention gdnéralo (C.G.) en date du 17 janvier 1974,
- les Conventions particwliorcs intornationalcs signbcs
avec des pays ou dos organismes internationaux :
. USAID
*
:CR[)I
. ICRISAT
. AIEA
- Los Conventions particulieres nationales signées avec
dos sociétes et organiemes senegalais du devoloppomont
ou de 1"industri.e pour financer dos recherches d'accom-
pagne;iwnt :
, ONCAD
. PHOSPAL
. MDR (Essais rlultilocaux)
. otr:...
Pour l'exercicu 79/80, la subvention d'exploitation prewisian-
nulle du CNRA, toutes conventions, aat de 518.518.000 F CFA repartis
comme suit :
. 434.880.000 F CFi\\ pour la Convention generalc
- 23.638.000 F CFA pour les Conventions particulieros
nationales
- 60.000.000 F CFA pour las Conventions particulibras
internationales.
Par rapport & 70/79,
la subvention drcxploitation prévisionnelle
du Contre! a connu un accroissemont du 5 :.< alors quo la Convention
g6neralc alla, est passéo de 380.250.000 F CFA à 434.880.000 F CFA, soit
uno augmentation do 14,3'7 7;. Caci s'oxpliquo par uno réduction scnsiblo
du financomont lis aux Convontions particuli&ras dont certainos sont
orrivéos à terme et ont fait l'objet do nouvelles roquetos. (USAID -
Projet kloyon Terme Sahel, CRDI . Selaction aargho ot tcchnologid post-
r6colto).
Ropportee R l'onsembla de l*ISRA, la subvention d'exploitation
du CNRA est passeo de 40,3 76 en 78/79 à 36,2 7; on 1979/80. Ce phénombno,
qui traduit une cortainc baisse do la subvention d"oxploitation du Contra,
s'inscrit dans la politique d'équilibre régional adoptée par la tutcilo.
A COS 3 sources précQdammont citéos, il faut ajouter :
- les Produits d~amortissamont
- les rocattes propres
- les somrnos prélovees sur le compta do réserve,
6
Ainsi en raisonnant sur l'cnsamble des recottcs prévisionnelles
du Contru,
le budget passo de 575'~195.000 F CFA en 78/79 à 6:31.157.264 I-CFA
en 79/80, soit unc augmentation dc 4,5 7:. Ca budget so réparti comme suit :
Tabloau ri13 : ~ïGtviaiiDn,ni!l 79/tio
1
1
I Valeur absolue on
1 Nature dos déponscs
F CFA
1
I
"""""""""""""""""""""""""-""""""""""""""-"""""*""~~
1
1
1 Poraonnisl
351,265*000
!
1
I
I
Fonctionnonont
1
13LI.872.140
1
21,77
I
I
i Amortiasomant
;
38.333.124
I
6,3c7
.I '
1
1
i
Immobilisation
1
80.697.000
I
13,42
I
!
1
1
“““““““““““““““-“““-__11____________1___””””””----,--“““-””””---“““-“““~~
!
1
l
t
I Total
I
601.167.264
l
I
*
,
----.-
-----==z===
*
go=
I
!
1
1
I
2% - -ion du budqet : (Situation au 11.1Cl.1979)
Suite aux modifications apportéos au suivi budgétaire dGs pro-
nrammcs, donc h la formo de préaontation do la situation budg&tairo (nota
do la Direction gdnéralc du 27.11..79,
ralativc au contr81c dc la gt"sti.o.1
do 1'ISIJA)
&-I léger retard a QtB onrogiatrh pour la situation do décurnhrn.
,J
~J~US nous .sommas donc rdfércf?s 2 ccl10 dloctobro pour juger dl2 l*exécution
du budget on cours.
Tableau n"4 : Situntion budgQta.i.rz au 11, octobre: 75;
! Zaturo dos
I
I
1
1
RBalisation
I
1
!I ddponaos
I Prévj.gj,o~~~ f -----"--------r--------------f
r:'
Disponible
1
1
!
Absolue
,"l
""""""""I""""" :"";,;";6;";~~-":"""~~"~~~"~~~"~
I
1
""""""""~,"""""""""-"l___l___l
!
1 Porsonnol
I
1
1
1
3,24
f 339 875 485
1
1 Fonctionnomt 1
130 872 140
1
64 4134 120 I
49,27
4
66 380 023
1
I
I Inmobilisatia~
80 697 000
;
19 301 448 ;
23, 71
I
1
6'1 395 552
;
I """""""""""1""
1
"""~"""""""""""""""""~""""""""
f" ""1""" "-,"""""; """"""""""1""" 1
f
:
I
l Total
1
562 834 140
I
95 155 003 t
16,91
t 46'7 679 057
1
1
1
I
I
-
1
1
A la dato du l'l octobre, c'est-à-diro un trimostro apr8s la démarrago
du budGot,
Loua onrogistrons un taux de réalisation important dans lc domaine
du fonctionnonant CO qui corrobora l~intonsité des activités des sorvicca
durant cette période. LE) niveau de rgalisation des déporsos an porsonnol paraft
foiblo du fait do la non prise on compte du porsonnol dont les salairus sont
payas directomont par la Cantrc dos Etahlisscmonta publics (CEP). La réalit
ast en fait touto autra car,cloat au promior trimastrv du budget que 1~s db-
ponsco on porsonnol sont dos plus ClovGus, du fait dc l'utilisation mqssivo
du pzrsonnol journalier.
7
En matierc d’immobilisation, le niveau d’exécution reste faible,
[car toutes les depenses nucossitant ll~tablissomont d’un marché sont
diroctoment engageos par la Direction générale ot ne sont prises un
compta par lo Contre quo lorsque 10s façturos sont liquidées. Ainsi
pour 10s U+$hiculcs,
du fait do la lenteur dos procbdurcs administratives
dos marchés, ltacquisition du matériel est tr&s souvent retardée, cc
qui constitue un handicap sérieux pour 1,~ fonctionnement du Contra.
L’idBaL aurait été de pouvoir acheter les v6hiculos ot tout materic
(carburant, fourniture de bureau stc . , .) dont 10 ratard dans l’acquisi-
t :.on peut compromettre
et d’une façon parfois irreversible lloxécution
.
dcjs programmos. Ceci pose l a réalisation drun p r é a l a b l e , l a colncidcnco
do l’année budgétaire avec llannCa calondairo pour permettre l’élabora-
éion et l’adoption du budget avant la fin du 1 cr trimestre ot l’engage-
mvnt des procédures administratives Aane la marne periode ; à défaut,
parmettre à l*ISRA de faire rocours aux 'proc6duros d'urgences pour l'ac-
quisition de tels types de matériel. EspGrons qu’8 l’issue de la réunion
programmée on fin janvier 1980, ontro le ‘contrbleur do gestion et 1’ACr-i
~que tous ces problemes trouvent leurs solutions.
3 . GESTION SCIENTIFIQUE
3 1 . Les proqrammcs de rocherchos : importance ot orientation
Sur les 55 programmes do rocherchas que compte la convention
g6nQrals au niveau do l’ISRA, 27, soit 45 y.: sont exécut& par des char-
chours du CNRf1. A CO nombre s'ajoutant 9 conventions particuli6ro.s dc
rochorcho signéos avec des organisotions internationales de rcchorche OU
du dévoloppcmcnt ou avec des soçi6t6s \\?t organismes nationaux. Ces
programmes sont tous du domaino de la Rcchcrchs appliqu8o et SC répartis-
sent on 3 grandes rubriques :
- les recherches thématiques ou de base
.. 10s recherches appliqu4os d’adaptation
- l e s rcchorchcs dc dovcloppcaont.
C’est cc qui cxpliquo que bon nombre de chercheurs basés à
Ramboy sillonnent llonsamble du torritoiro pour lbexécution de leurs
programmes,
!7ussi mdmc si la politique actuelle dcz la tutalle Est à la
rGgionali.sat ion, force est de constntcr quo colle-ci pour @tro officaco,
Joit dtrc progressive compte tonu dos rnoyons humoins st matériels dont
nous disposons.
3 2 - Faits saillants de la campaqno 79/80
Il est difficile do donner das résultats chiffrés de l’exécu-
tien dos programmes do rochorchos, auss.!. nous nous limiterons aux caroc-
ttjristiquos climatiques de l’hivernage et & leurs incidences previsionnol-
lus sur las cultures.
Tableau : Caractéristiques pluvionétriques a Bamboy et annexes
f
1
1 Station au
IPluviomktrie
1
1
Observations I
f PAPER
I
I
I
--M-I-...
w".wm.mIee..--m-L-
1!I Elambcy
in31 couverte
I
I
!
E
1
1
l
1
IMauvaiso couverture !
I
1
!
Ides besoins surtout 1
I NdiGmano
451
" 200
!
I
!Pour les seconds 1
1
1
1
lacmis
I
1
I
!
I
!
l Lougo
f 221
1
" 200
tZono sinistréo
1
1 Thilmakha
! 362
I
- 190
lulauvaiso pluviométi
1
I
f
I
itrio
I
I
!
364
1
1
l
I Thiénaba
Elauvaise pluvio-
1
l
-190
I
I
1
I
!
1 mQtric.
1
A la station do Louga, l'hivernage s'est installé assez tar-
divoment (lùro pluie de démarraga das semis en soc 10 10 juillet, semis
en humide de l'arachide le 18 juillet) avec une pluviométria irrégulière
agyravéc par une longue sécheresse au mois d*aoOt. Los pluies s'étant
arrbtecs til)t)lo .19 septembre , pas une sculo goutte pendant la premiero
quinzaine dloctobre, toutes les cultures ont souffert du manque d'eau,
5 lfaxception du niébé qui s'est encora distingue pour sa grande adapta-
tion ü la sécheresse. Le mil a 011 effet souffert du manque d'eau au momont
crucial de son dévoloppamont, épiaison-floraison, ce qui s'est traduit
par une mauvaise qualit des épis du fait de l*avartcmont.
S'agissant do l'arachide, la formation des gynophoros et le
d6vcloppement des gousses ont coYncidé avec la séaharesso dtaobt et de
septambro, d'où le mauvais remplissage dos gousses, ot la mauvaise qualité
des qraines (graines rideos). Ainsi 13 production de l*arachido dans cotte
aon&a BtlS aomprorniae
m@mc si le d8voloppement vdgétatif suscitait
moins d'inquiétudes.
Quelques rondcmants (cspsndant)
Ï
1
ImXlm
I
0,50 m X 0,60 rn
1
I""--"---"------""-----------"--~----*-----"-
eLu..l-M- m.---.---m.
1
1
1
!
I
fliE3bB
1
1
I
1
(kg graina/ha)
I
770
t
690
1
1
I
1
I
Souna III
:
(kg graino/ha)
II 1
370
1 I
350
!
1
!
!
1
1
9
Effet labour sur arachide (V. 55-437)
Témoin
:
220 kg/he
Labour en sec
:
225 kg/ha
.
Labour de fin do
cycle
:
182 kg
e t 2!19 kg/ha.
Le parasitisme a ét6 trés peu important dans l’ensemble m@me
si les avortements observées sur mil étaient imput6s par certains à dos
d:Gg%s drinszctas. Lo phénomànc observé, aggravé dans la zone de Louga,
s’est reproduit avec quelques variantes dans 10s autres points d’appui.
Aux PAPEM do Thilmakha et de Thisnaba, l*hivcrnagc a étb plus
hIltif mais perturbé par la suite par de longues périodes de sécheresse
aux moments décisifs de la vie productive des plantes. Les récoltes
ottonducs seront par conséquant médiocres.
Avec les pluies dtoctobre des labours de fin de cycle ont pu
&tro affoctués,
Au PAPEM de Ndfémane, le déficit hydrique connu ailleurs dans
le zone, a étd au rendez-vous, Le mil souna III et les sorghos prdcoees
‘- (CE 90) ont nsanmoins mieux réogi P qulaillours mdme si le remplissage dos
6pis de mil a souffert du phénomène d’avortement, Par contre lterachids
en plus des effets dus à la séchorosse a souffert des attaquas de Iulee
au niveau des gousses, ce qui a donn8 de faibles r6coltas de mauvaiso
qualité,
A la station de aambey,
la situation pluviométriquo bien que
. ..<i pas trGs bonne paraît meilleurs, toutwfois, les mils ont été mediocros
(séchsrossc à l’épiaison-floraison) ot les arachides affectées par un
mauvais remplissage dos gousses ot dos attaques gr,ctvos de I~les.
Du point do vue des jachhres,
si la composition f lorist iquo
a étQ dominde aar des eseécas ci valeur fourraqère ,tr&s médiocre :
Sesbania, Hibiscus clos dicotyl6donss on général) jusqu’à la fin
aoQt - d6but ssptùmbrc, on a assiste, h partir da la mi-septembre a uno
recrudescence de la végétation avec dos ospòccs tr>s productives et do
qualité comme 1’Andropoqon
gayanus, les Indiqofera, 10 Zornia_ qlauchidista
-“me.*..-...
etc.,.
La reprise des pluies en soptombro a antrafné un développement
.++’ t rùs rapide do la végétation qui s’est trss vite ligt&ifiéc. Soulos 10s
repousses dos parcollos fauchées en avril - soptembro ont pormis d t avoir
du foin de qualité, ce qui pose le problsmo du mode d’exploitation des
jachères pour une meilleure qualit du foin, suivant la physionomie de
la campagne.
En conclusion on peut diro quo 1979/80 ast à inscrire au
tableau des plus mauvaises campagnes. P?orno si la pluviométrio totale
cumuléo semble occaptablo,
les longues périodes do s&choressa qui se
sont installeos sn cours de cycle ont CCHTT~W~ les rdcoltes, surtout collos
das arachides. Cette dornisrc culture ne cesse on offot de surprendre
car comme les autres années on a pu constater que la luxuriance de la vggd-
tation n’est pas toujours en rolation avec 10% rendement en gousses. 13.
semble exister une période critique dans la vio de la plante où lu manque
d’eau peut compromottrc et dsune façon irrevcrsiblc la production de
gousses. Il SO poso un problemo physiologique et Peut-8tre de nutrition
.
10
min&ralo quIil convient d’étudier, Le phtSnomCnc n'est pas du reste
nouvoau. La commission consultative de la Rochorche agronomique, dans sa
seanco du 30 mai 1979, recommandait que dos onqubtas soient moneos en
cours de cycle pour élucider le problème, Ceci montra lrimportanco -JUL:
rou8t la question et la priorité quo la Rechorchc doit lui accordor.
33 e Organisation administrative ot scientifique pour une moilloure
circulation do l'information on vue d'uno gestion plus affica&, parco
que concertgo, dos programmos et du Contra.
En plus de la fourniture dos fiches d'action $16mcntaire do
rochorcho, dos mois d'aodt et de fbvrior, des rapports de synthasc ut
dc campagne, il est institué au CNRA trois (3) typosdo
roncontros d'echan-
90s à caracterc -administratif ct/au scientifique :
10s réunions hobdomadairos entre :Los chefs do groupes
ot la Direction; dont l'objet est :
. de diffusor 10s instructions de la Direction
généralo ;
. de discuter du courrier et des problèmes de fonc-
tionnemont dtint6rdt collectif
. oZ de ddbattro des problemos spécifiques aux
groupes Gt aux services,
- 10s réunions bimonsuallos do concertation ct d'échangcs
au niveau de tous les chefs de scrvicos pour aider à uno meilleure
gestion du Csntro ;
- les reunions bimonsuollcs & caractère scientifique au
cours dosquelles un groupo de chercheurs fait dos oxpo3Qs sur dos th&mes
soecifiqucs à leurs activites de rochorcho.
Il va dc soi que l'intbrdt de tcllas rencontres resido dans
l'application scrupuleuse dos rooomnandations Formulées et dans la
rochorohe,dans la mesure du possible, des solutions aux problèmes soulo-
V~S, Dans l'un comme dans l'autre dos cas, la participation affective ot
ltengagomant indéfectible dc tous sont néccssairos sinon indisponsnblos,
Du point do vue scientifique, Bambey, comms l~onscmbla dos
contras de l'ISRA, domouro handicap6 par l'absence d'un journal scionti-
fiquc drenvcrguro internationale, ce qui oxposc les travaux do sas char-
cheurs h la spoliation intcllcctuullo d'autres chercheurs, c'est pour-
quoi tout on recommandant fortemont la crbation dtunc revue sciuntifiquc
au niveau do 1fISRA nous voudrions rcprondro la serio des annales tiw CURA
pour publier las resultats de nos programmes.
KENCONTREES ET PROBLEHE,S IMPlEDIATS A RESOURRE
Nous avons essayé de soulovor précedernrnant les quelques diffi-
cultés spBcifiquos rcncontrécs dans tol ou tol soctour, L'objet dc cc
chapitre est plutat de relater oortains problèmos encore en suspens ct
dont 3.0 solution contribuerait & l'amélioration des services ot de la
vio au CNRA.
11
Nous commencerons cepondant par oxprimor notre profondo gra-
t i t u d e & l a Direction generalo do 1’ISRR ot à 13 tutollc d’abord, pour
10 soution moral qu’elles n’ont cassé drapporter à la nouvollo Qquipo,
aux mo.nent s les plus dif,ficilos do la gestion de 213 Ccntro, cnsuitc
pour avoir bion voulu debloquer 1~s crodits nécessaires à l a rcconstruc-
tion du laboratoire do’ chimie,
Dans l’espoir
que ces efforts iront en s’intensifiant, nous
souhaitons qu’au cours des oxorcicos future, l’on tionno compte d a n s l a
ropartition du budgot t
.. au rcnforcemant du roseau eloctrique du Contra dont la
saturation constitue un danger pormanont pour 10s installations ;
- à l’amélioration du reseau tdléphonique dont la capacite
ost nettement infériourc aux bosoine actuels des sorvicas ;
- & l a restauration dos laboratoires tr8s anciens d o n t
la w4tuste contraste avec 10 niveau scientifique ot tochniquc des travaux
qu’on y mono.
5 m CONCLUSION
Cc rapport succinct n’est cra’rtespas en relation awoc 10 volumo
ot ltimportanco des programmos qui sont monés au CNRA. C’est porte que
son objectif ntast pas da
présontor et d* uno façon oxhaust ive 1~s acti-=
vites qui y aont conduites mais plutet de rondrc compte à la Direct ion
gGnéralo do l’état d’exécution dos programmas mais aussi et surtout des
problornos et difficultés que suscite 13 gestion d’un tel appareil ot
10s solutions envisagées pour les rosoudro. Morne de ce point do vue il
nous a dté difficile do tout relater de pour d’8tre fastidioux. !J~US
avons pris toux dont la rbsolution nous paraet P~LIS imminente.
12
A N NE X E S
uB..vIII"cl"~--"
1 - Participation dos charchaurs du CNRA à dos conft5runccs
sciontif iquss ot à dos missions d'information.
21. Visite du Contra par des parsonnalités sxtériourcs.
3 - DBpart à la retraite
MISSIONS CHERCHEURS
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