RECHERCHES SUR LES MALADIES DU MIL ...
RECHERCHES SUR LES MALADIES
DU MIL
Rapport annuel 1983
Par
D,F. MBAYE
P h y t o p a t h o l a g i s t e ISRA-CNRA Bambey
Personnel :
lemba
F.
MBAYE
Chercheur
Ngor
SENE
Observateur
Mbayang
SAMB
Observatrice
Saliou
SY
Ouvrier
Lamine D.
FALL
Ouvrier
Ngor
DIACPJB
Ouvrier
F.
DIONE
Ouvrier
Ngor
GNING
Ouvrier
ont Qgalement particAp aux travaux des stagiaires
de 1'ENCR de Bambsy
et de l'ENSUT de Dakar.
TABLE DES MATIERES
_-_--------_--.-_--
___--m.L----_---_--
Pages
Conditions climatiques pendant la campagne 1983...............
1
Introduction ..~...~.~..............................,........~.
2
Chapitre 1 : REVELATION DES NIVEAUX DE RESISTANCE DES VA-
RIETES DE MIL
AU MILDIOU ET AU CHARBON
3-10
1 - IntBret .........................................
3
II
- Choix du matQrie1 ...............................
3
III -
Choix de l'environnement et conditions de con-
duite de l'essai ................................
4
IV - Dispositif expQrimenta1 .........................
5
v -
Techniquas culturales et travaux
ePfectu6s ......
5
WI -
Analyse statistique des rkwltats.............'. .
5
VII
- RBsultats et discussions ........................
6
Conclusions .....................................
10
Chapitre II
: ETUDE DE DEVELOPPEMENT DE L'EPIDEMIE DU
MILDIOU SUR DIFFERENTES VARIE"ES DU MIL POUR
CARACTERISER LEUR RESISTANCE ...............
11-14
Introduction ...................................................
11
1 - Matbiel et mdthodes ............................
11
II
- Dispositif expbimental ..........................
1 2
III
- RQsultats ........................................
1 2
IV - Discussions .....................................
1 3
v - Conclusion5 .....................................
13
Chapitre 'III
: CONTROLE DU MILDIOU
PAR LE METALAXYL ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
15-19
z
- Introduction ...................................
15
II - Intér&t
do 1'expQrimentation ...................
1 5
111 - MatBrials et méthodes ..........................
1 5
rt
-.RésuLtats et discussions .......................
1 6
v - Conclusion5 ....................................
19
Chapitre
IV : PROSPECTIONS PHYTOPATHOLOGWJES
.................
20-21
CONCLUSIONS GENERALES ET PERSPECTIVES .........................
2 2
Bibliographie .................................................
2 3
Tableaux, Figures .............................................
2 4
Annexas :..............................*
......................
-l-
IIt -
CONDITIONS CLIMATIQUES PENDANT LA CAMPAGNE 1983,
(Tableau 1)
La campagne agricole 1963 au Sénegal se caractérise par un deficit
pluuiométrique dans presque l'ensemble du territoire national provoquant ainsi
une chute irrlportante
de rendements des principales cultures,
Dans certaines regions, où il n’a presque pas
Plu
( le Nord), les
recoltes
du mil, du mars et du scrgho sont presque inexistantes. Dans d’autres
régions
où la quantité tstale des pluies tombees aurait permis des
rendements
convenables {au centre Sud, B l'Est),
mais la mauvaise repartitian
de ces der-
nières a dissout tout espoir. En
effet, la rupture
des precipitations
au moment
de la floraison (mcment decisif dans la vie d'une plante) et leur arr& precoce,
n'ont pas permis aux mils sorghos et
maïs de poursuivre leur
develappement nor-
mal et dans certains cas de boucter leur
cycle végétatif'.
Les observations effectuees ces dernieres
annees semblent montrer que
le développement du mildiou n'est Pas
lié & la quantité de pluies tombees
(Girard, 1974). Par centre, pour
le charbon,
l’erg&, l a bacteriose et l a
pyri-
cularioipe, ce facteur est
un des plus determinants.
L'évolution de la temperature
à Bambey pendant cette campagne se carac-
térise par une presque uniformité où la
moyenne tourne auteur
de 30°C, avec un
minimum de 21°C et un maximum de 40°C. Cette temperature,
bien qu'excessive à
certaines heures de la journee est,
en géneral, normale pour
le developpement du
mildiou du charbon et de l’ergot.
Tesugi (3935) indir;oe l'infection du mildiou
est plus importante quand la tempesature moyenne du 001 est de 20-21°C avec un
minimum de IZ-13°C et un maximum de 30°C. Le charbon et l’ergot se
développent
normalement
dans le meAne fourchette
de températures.
L'humidité relative de l’air
pendant la pdriode
de culture du mil &
Bambey a varié en
moyenne journalière
de 79 $ à 100 $ et par
décade de 69 $ à
89 $i ; ce qui n'est pae suffisant pour assurer le
bon developpement des maladies
precitées
dont leur optimum voisine à 100 $.
En conclusion, on Peut dire
que les conditions climatiques pendant la
campagre 1983 ne eant favorables ni au développement (es cultures, ni au foison-
neW:nt des maladies.
INTRODUCTION
La culture du mil est connue depuis trss
longtemps. Mais les renderaents
en grains à l'hectare
restent
faibles. Parmi les contraintes au rendement,
il faut citer les problemes causés par les maladies.
Les
principales maladies qu'on rencontre sur
le mil sont le mildiou
(Sclsrospora oramini
micrnsephala (Wallr)
TU~.) et le charbon
autres
comma le
p y r i c u l a r i o s e e t l a bactsriose
s o n t moins importantes.
Faute d’avoir
des méthodes de lutte chimique efficaces, économiquemant
rentables
et n'ayant aucun risque pour
toutes les composantes de la biosphère
d'une part,
et compte tenu du bas niveau de production du mil dans le monde
rural
senegalais d'autre part,
ainsi pour lutter contre ces
maladies, nous sommes
nous orientés vers la
méthode génétique
de lutte, c’est-à-dire la création de
variltés rhsistantes
aux maladies. Cela signifie tout d’abord
qu'il faut être
capable
d'identifier des sources de résistance.
Nous avons mis au point un dispositif expérimental de criblage
de
variétés de mil pour la resistance
au mildiou (Mbaye,
i982). Aussi des methodes
de criblage vis-à-vis du charbon et
de l’ergot ont et6
mises au point
à 1'ICRISAT
et ont fait leur preuve.
Cependant, ces differentes methodes de criblage
prssen-
tent quelques insuffisances :
1’) e l l e s n a p e r m e t t e n t p a s d e connaitre l a n a t u r e d e s resistances
iJenti-
fiees ;
2') il est difficile sinon impossible de maitrieer
l'influence de certains
facteurs environnementaux sur le processus
Bpidemiologique des maladies.
Donc, il s’avère urgent de trouver d’autres
méthodes persluttant,,
autant
que faire se
peut,de faire
une analyse qualitative de ces resistances.
Mais, nous restons
convaincus qu'a long terme la protection du mil
contre
les maladies devra necessairement
conjugusr dlfferentes methodss de lutte
judicieusement choisies et associees, compte tenu, par
ailleurs des imperatifs
Bconomiques, sociaux et écologiques.
C’ est pourquoi, nws devons aussi prospecter d’autres voies
de lutte,
telles que cslls chimique et agrocuiturale.
Aussi pour
mieux cerner
l'évolution et l’importance
des maladies du
mil et des cultures
en rotation avec lui, il est important
de lss suivre pendant
la periode
de l’hivernage.
Donc les principaux axes de nos activites
pendant cette campagne sont
les suivants :
1') RBvQlation des niveaux de resistance
des varietés
de mil au mildiou, a
l’ergot et
au charbon ;
2') Etude de l'épid6miolog3.e du mildiou sur des varilljtes
du mil pour carac-
t6riser l e u r resistance
;
3’) Contrble
du mildiou par le
methalaxyl ;
4’) Prospection
en milieu paysan et dans les essais.
Remarque : Le nir*eau de developpement de l’ergot
Qtant tres faible pendant cette
rnlrm#Tn.-? * nniia ",.-.,."-- n-- m.. --- --7** .
CHAPITRE 1 :
RE,'ELATIOM DES NIVEAUX DE RESISTANCE Dt:S VARIETES DE
_---- ---==
.---.-.----
1 - I.NTERET
Catte experimentation a pour but de circonscrire le nivtiau de réaction
de differents matériel9 engages dans un processus de sélection par rapport aux
maladiss du mil pour essayer
d'en caractériser la resistance.
II - CHOIX DE MATER1
EL
Le matbriel végétal est constitu6 d'une part,
par le materiel sur
lequel travaillent les sélectionneurs du mil au Senégal et d'autre part, par le
materie
de la Cooperation
Internationale fourni par
L'ICRISAT.
Chaque type de materiel est integré
dans le cadre
d‘un projet de re-
cherche de
selection dont nous maintenons la codification pour dssigner le type
do matériel teste.
Ces projets et leurs
codifications sont les suivants f
1°- Structure
et Evolution dse synthetiques (GAI%EV@)
Il s'agit dans ce projet
de creer
des synthétique9 et de suivre leur
évolution. Ce qui aurait
permis en tout état de CWSI~ d e c i r c o n s c r i r e l e s c r i -
tères
d'optimisation des paramètres
qui definissent la valeur
d'une varieté
syn-
thetique. Le projet a ddbuté en 1976 et a abouti à li3 crsation de huit (8) syn-
thétiques. Cos synthétiques ont et6 multipliées en 4 qenerations.
Mais seulement
29mf#Bae mt pu@hza int;Og]PAesdans l'essai. Ce projet
a été initie par le service
GAM-Ame1 du
CNRA de Gambey.
zn - Création
de liqnées
Ce projet a pour but de créer et d’explOitor
des lignees ou d'amelia-
rer celles
déjà existantes en vue de les utiliser
en tant que telles. Ce prnjat
comprend deux sous-projets :
a) Sous-pro jet :
GAML : Il comprend 10 entrées
qu'on veut exploiter
en tant
que lignees.
b) Sous-projet : fi : Il comprend 28 entrées
qui sont des lignoes pour
lesquelles on est entrain de suivre
un certain nombre de caracteres
et elles pourront être
utilisées ultérieurement
dans le projet
CREATION DES SYNTHETIQUES.
30 - Essais de rendements nationaux
Ca sont
des essais de rendements
multilocaux qui sont menés dans 3 à
5 localités
du Sénégal. Les produits
t'01ite8tt 9Blectionnes à partir des essais
regionaux et internationaux
et des synthetiquas dérivses
du projet
amelioration
dos synthetiquos sont evalues dans un essai de Rendement Initial (PYT). Le mat&
rie1 selectionne
à partir
du sous-projet
Rendement In.illial est conjointement
évalue par Los chercheurs
de 1'1 CRISAT et de l*ISRA dans un sous-pro jet do Ren-
dement Avancé (ECON) dans plusieurs localit6s. Les entrees
qui sont selectionnd*
à partir de ce dernier sous-projet
sont recommandees pour des tests de pre-
v u l g a r i s a t i o n e t p o u r d o s e s s a i s regionaux.
Ce projet
Comp:rend pendant cette campagne trois (3) sous-projets qui
sont 13s suivants :
- Essai rendement initial (PTT) : il comprend 9 antrees et 5 repeti-
tions ;
- Essai conjoint ISRA-ICRISAT (Essai rendement avancé) (ECON) : il
comprend ID entroes et 6 raputitions ;
- Collections Sauna : comprend 34 collections de Souna (440 entreesj
reparti avec deux témoins : IBV 8004 et Souna III. On a donc deux
s6ri.99 :
. série
avec Souna III comme t6moi.n.
. skis avec IBV 8004 comme t;Smoin.
4O - Sélection pour la rasistance aux maladies et aux insectes (LRAM)
Ce projet
a dgbuté en 1981 avec comme objectif d'incorporer la resis-
tance du mildiou et du
charbnn dans les matériels de sélection "6lites". Après
quelques sélections, 79 entrées
ayant un bon aspect visuel furent
sélectionnées.
Los variétés seront test6es pour dvaluation vis-à-vis des maladies et des insec-
tes.
Les inbreds appropries seront utilises
pour développer
des synthdtîquos.
L'essai comprend 81 entrées avec 2 répétitions
et est mené dans deux
localites
difff$rentes, à Nioro
ot à Bambey ; à Bambey, l"essai est implantd dans
deux sites diffbrents ; dans la pepinièro
de MALADIES et dans les essais de
SR/I CRISAT.
5O - PQpinieres internationales
de maladies
Ce projet comprend deux (2) sous-projets : PBpiniere Internationale
du mildiou (IPMDMN). Il est
constitué de 50 entroes a’tiec 2 repetitions.
- Popiniére Internationale du charbon
(IPMSN) : comprend 34
entrdes
avec 3 ropétitions.
Ce prcijet rentre dans le cadre
da projets coop8ratifs avec 1lICRISAT
et a BtO initi6 par cet institut.
III
- CHOIX
DE L'ENVIRONNEMENT ET CONDITIONS DE LA CONDUITE DE L'ESSAI
L'essai criblage
nous a conduit à porter notre
choix sur la sole
“irrigable”, du cote
EST de la piscine, B cot0 de la vanne pour permettre
d'assu-
rer
l'irrigation nécessaire au momant propice. Tout le matSrie végetal
dans cet
essai a 6té implant6 dans la pépinière dt? maladies où la pression de s8lection
vis-à-vis des maladies du mil est assez forte.
L' essai criblage,
comme tousles autres wsais, pendant l’hivernage
1983, a St6 mené dans dss conditions fort
difficiles. En effet, en plus de l'in-
suffisance et
de l’irregularité
des pluies, la Pompe d’irrigation est restea
tout
le temps en panne, ce qui ne nous a pas permis d’apporter
le complément d'eau
nécessaire
à la fuis au bon d6veloppement du mil et des maladies. Cependant, la
pression
de sélection das maladies a ét6 plus forte
dans la PEPINIERE DES MALADIES
que partout
ailleurs dans l’environnement de Bambey.
Dans le but de mieux circonscrire
le niveau d'intensitd et de rdparti-
tian de la pression
de s6loction dans la parcelle
de criblage,
nous avons dessin6
le
plan de la parcelle sur
lequel nous avons materialiod le niveau d’attaque sur
les
lignes témoins de sensibilito disp6rsGe.s à travers
toute la parcelle. C:e tra-
vail nous a permis
do constater
que la pression-de ??
alectiun a dtd tr$s forte
dans la parcelle d'essai (la sSv6rit6 moyenno (S) sur les lignes-témoins do sensi-
bilitd est de 97 $> et assez bien également repartio (!S varie
ds 74 % 100 $).
-5-
p a r a i l l e u r s ,
l'arrât brusquo dus pluies n'a pas permis à certain
matdriel d'atteindre la maturitb.
IV - DISPOSITIF EXPERIMENTAL
Comme nous l'avons indique là haut, tout le matériol est implanta dans
la PEPINIERE DE MALADIES, qui est un dispositif experimcntal ~66 pour cribler
dos varibt4s
do mil vis-a-vis des maladies (D.F. MBAYE, 1982). Le schema global
de l'essai est indiqué dans l'annexe 1.
w
- TECHNIQUES CULTURALES ET TRAVAUX EFFECTUES
Pour
les differentos techniques culturales, se conférer
au document
intitule "Fiches tcchniquos établies cn vue de roalisation de l'enpdcinnta&5on
1980-1981".
Durant la
conauite de l’essai,
les travaux suivants ont éte effectugs :
*Pour
le mildiou :
- observation
et notation au tallage (incidence) ;
- matérialiser les hotes précocement attaqu4s
par un piquet adéquat
apposé au 30e jour ;
- irrigation tous les deux jours, tard
le soir pendant 30 minutes avec
les brumisseurs 8 pour
assurer au mil un complsment d'fsau nécessaire à son dewe-
loppement, irriguer
avec les sprinklers à chaque fois que c’est necessaire.
Mais
il faut remarquer
que la pompa étant presque
tout le +:emps en panne, l'irrigation
n'a pas éte effectuée comme il faut.
*Pour
le charbon :
- pose de sachets d'autof5condation au stade gonflement, à raison de
10 chandelles par
ligne ;
- Au bout de 2 semaines, enlever les
sachets pour éviter
que le déve-
loppement des moisissures
ne vienne interférer avec le charbon ;
- effectuer la
notation selon l'échelle codifiée entre le 15e at la 20e
jour aprés
la pose de sachets d'autofécondation,
*Pour l e s a u t r e s m a l a d i e s :
- e f f e c t u e r dee observations
et évaluer leur incidence (Ce dernier
point
n'a pas pu Mre réalisé
faute de moyens humains).
VI -
ANALYSE STATISTIQUE DES RESULTATS
Pour l’interpretation des
résultats nous avens procédé à
une analyse
de variante
simple a
un facteur.
Dans les cas où il y a
une différence
signifi-
cative entre les
moyennes, nous avons calcule la p.p.d.s. (la plus patite diffé-
rence significative).
Remarque :
Pour le projet
COLLECTION SOUNA,
pour une question de place, ne renfer-
me qu'une répetition par zntree
et par
consequent les resuftats n’ont
pas pu ôtre
intogrés
dans l'analyse statistique.
-6-
VII -
RESULTATS ET DISCUSSIONS
R -
Préambule
La réaction de la varieté vis-à-vis des maladies est appreciée Par
deux critsros :
1 - Incidence (1, $>
: pourcentage de plants malades quelque soit le
degre de gravite de la maladie.
2 - Séverite ( S ,
$) : qui sxprime la gravité
de la maladie.
Les relations qui permettent l'evaluation de ces paramètres
sont con-
signees dans l'annexe II.
D’autre part,
nous basant sur
l'expérience acquiso dans le domaino de
la résistance aux maladies et surtout
dans 10
but d’harmoniser
nos methodes d'in-
terprétation des resultats avec
des centras
de recherche
avec lesquels nous avons
une collaboration scientifique trés Etroite (notamment l'ICRISAT), nous allons
conventionnellement classer
les varibtds selon leur
niveau de résistance :
- Variétés
ne présentant pas de symptbmos : VARIETES INDEMNES
(Séudrite ( S ) = 0) ;
- Variétes ayant un indice de sévarite
inferieur à 5 $ (SkS %), sont
appelles VARIETES HAUTEMENT RESISTANTES ;
- Variétes ayant un indice de sévdrite compris entre 5 $ et l0 $ (5 $(
sç.10 $),
sont appelles VARIETES RESISTANTES ;
- Varietss
ayant un indice de sdvérite
compris entre 10 $ et 20 $
sont
appelles VARIETES MODEREMMENT RESISTANTES ou TOLERANTES (10 $4 S$ZOj$;
- Variécds ayant un indico de severité
compris entre 20 $ et 50 k sont
appelles VARIETES SENSIBLES (Sf20 $450 ;:A) ;
- Variétes ayant un indice de sévérite superieur à 50 $, sont appdlees
VARIETES HAUTEMENT SENSIBLES (S> 50 a).
C e t t e c l a s s i f i c a t i o n peut etrc r e t e n u e
p o u r l e s t r o i s maladies : mil-
di ou, charbon et ergot.
0 - RESULTATS NUMERIQUES
Les resultats numériques sont consignes dans les tableaux 2 à 16. Nous
allons analyser les resultats Par projet :
3.1 - Pro jet
: Structure et dvolution des synthdtiquos (GAM-EVOL) vair
tableaux
2 et 3
Pour
le mildiou, les moyennes generales
de l'incidence et de la sevérite
sont de 9, ‘% $ et 7,49 % respectivement. Les forts coeff. de variation de ces
deux indices montrent
qu'il y a une grande variabilité
ontrc las individus de
ces populations. Eu bgard à notre hypothèse
de depart,
nous pouvons classer les
différentes entrees
comme suit :
- Variétés indemnes :
10 GAM 90 N Synt 3. 3e générat.
- Variétes
hautement resistantes
: 4
GAM 3/4 Synt 1, 5 GAM 314 EB Synt.0,
5 GAM 3/4
ES Synt 3, 5 GAM K-80-85 Synt 3, 5 GAM VI 80w85 Synt 3
3a génerat, 7
GAM G65 Synt 0, 7 GAM G65 Synt 2, 10 GAM - 90 Synt 2,
10 GAM-90 Synt 3 ;
- Varietes rÉsistantos
: 5 GAM 314 EB Synt 1, 5 GAM 3/4 EB Syn 12,
S GAM 314 Sauna Synt 2, 5 GAM III-80-85 Synt 0, 5 GAM VI-80-85 Synt2,
7 GAM G 65 Synt 1, 7 GAM G 65 Synt 3, 10 GAM 90 N Synt 3, 10 GAM%IN
Synt 3 3e genorat, 11 GAM 90 Synt 0, 11 GAM 90 Synt 3, 11 GAM 90
Synt 2.
- Varietes moyennement rdsistantes : 4 GAM 3/4 HK Synt 0, 4 GAM 3/4 HK
Synt 2, 4 GAM 314 HK Synt 3, 5 GAM 3/4 Souna Synt 0, 5 GAM 3/4 Sauna
Synt 1, 5 GAM 314 Synt 3, 5 GAM VI-80-8S Synt 1.
En ce qui conczr
ne le charbon, seules les entroes 5
GAM 3/4 EB Synt 2,
5 GAM VI 80-85 Synt 1 bt 5 GAM VI au-85 Synt 3 3e gBnarat se sont réwelees moyen*
nement résistantes. Toutes les autres se
sont montrdes sensibles.
7.2 - Pro.jet : Cr6ation
de liqnees
3.2.1 - Sous pro jet :
GAML (Tableaux 4 et 5)
----...---"L-
e-v..
Les moyennes générales de l’essai
pour l'incidence et la severité sont
respectivement 3,67 $ et 2,13 $ pour le mildiou.
Toutes les variotes
sauf une (H7-89
avec S = 5,04 7:) ont des indices
d e séverité i n f é r i e u r s à 5 $ et se
sont revalues ainsi
hautement rbsistantes.
Cependant, les coeff. de variation très elevés
montrent une grande variabilite
inter et intravarietale. Pour le charbon,
bien que toutes les entrees
se soient
montrees
sensibles à cette maladie, H7-88 (50,88 $) et H4-24 (54,2 $) s'en dis-
tinguent parti culi&reRent
par l e u r
incapacite 81 contrbler c e t t e m a l a d i e u t e x -
priment
une grande
sensibilité à cette derniére.
7.2.2 - Sous-pro jet :
lignees Fg (TabLeaux 6 et 7)
-------..-I.w
---.m---m.--
Ce matSri& se caracterise
par
une grande variabilito inter et intra-
wari0taI.o vis-à-vis
du mildiou.
En effet on distingue plusieurs
profils de r6action vis-à-vis du
mil-
diou :
- Les entrées
E2-47-21-18, E3-29-48-16, Ell-12-23-18, El5-48-41-60,
El7048-41-60, E22-46-36-24 se sont révelées
hautement resistantes ;
- Les entrées
comme El-36-18-9, E4-48-41-47, E7-48-41-45, E9-2-34-31,
E18-46-36-25, El2-29-21-17, El3-48-24-14, El6-48-41-50, El8-50-40-32, E2G-48-24-13,
E21-11-46-27,
E23-11-46-25, E24-48-41-42, E28-45-44-43 ont exprimé un bon niveau
de resistance et l'indice de sévérit8 ast compris entre 5 $ et 10 $ ;
- E5-44-38-5, El4-2-40-40, El9-46-38-2 et E27-48-41-48, quant à elles
semblent moins rÉsistantes
que les
deux pramisrs groupes. Leur indice de séveri-
té varie de 10 à 20 $.
- Tout le reste
du lot, e savoir, E6-50-40-30, E25-42-40-10, E26-Z-34-42
s ’ e s t r é v é l é i n a p t e s SI c o n t r ô l e r le
m i l d i o u .
Cependant le niveau global de résistance semble acceptable car
:Les
moyennes génerales
de l'incidence et de la sevérité sont de
15,ll $ et 10,32 8
respectivement.
P ar rapport
au charbon, toutes les lignées se sont rrJIv616es particu-
librement sensibles et inaptes à controler cette maladie.
t.3 - Pro.iet :
Essais de rendements nationaux
. Sous-projet : Essai rendement initial (PST) (Tableaux 8 et 9)
eMwws....--w.m-
I-------L----"-"----"------~--
Parmi les entrées consid$rées, seul8 IBU 8004 CO. Syn 1 a exprim6 une
bonne
aptitude B contr8lsr le mildiou (S = 5,45 %). Les entrdes comme TBV 8001
CO. Syn 1, fBU 8004 (M) CI Syn 2, Souna III (SI> Cl, IBV 8001 (M) Ci Syn 2 quant
à slles,
se sont révé18as
moyennement rdsistantes. Les autres ont eu des moyennes
de la sévérit6 sup&ieures à 20 % et se sont, par conséquent, montr6es inopt$ran-
tes quant à leur pouvoir de contrble du mildiou.
En ce qui concerne le charbon,
seule IBV 8001 CO. Syn 1 a exprim6 uns
certaine résistance (S = 18,73 %)
; toutes les autres sont sensibles.
3.3.1 - Sous-pro jet
: Essai conjoint (rendement
avan&) (ECON)
a.s"-"-a..M-m-m
----------u-_------_________________I__
(Tableaux 10
et 11)
Toutes les entr6es de cs sous-Projet ont exprimé une bonne aptitude
à contrbler
le mildiou, car la
moyenne maximale de la sBvBrit6 est 9,80 ‘$ (IBU6001)
au
niveau de
l'essai. Cette capacit6 à controler le mildiou est d’autant plus ac-
centu6e
chez les entrdes ICMS 7879 et H7-66 qui se sont rév818es hautement résis-
tantes.
Cependant les forts
coefficisats de variation des indices de l'incidence
et de s6vBrité
indiquent qu'il y a
une grande variabilit6 inter ou/st intravariG-
tale.
Par contre,
toutes les entrées
ont exprimé
lune sensibilité vis-B-vis du
char
bon, sauf ICMS 7819 qui s’est rdvélée moyennement rdsistante (5 = 12,17 %).
7.3.2 - Sous-pro jet
: Collection souna
-.me.P...---w-m
.m---c-.w----~~-~"
Pour la série souna 1 II (tableau 12) beau coup df entrdes pour ce sous-
pro jet n’ant pas atteint le stade épiaison et ont séch6, par consdquent, n’ont
pas QtB intégrées, dans l’analyse des résultats.
Finalement seules 199 entrdes
ont pu boucler leur cycle et donner des résultats analysables.
Selon notre
convention de départ, ces 199 entrdes peuvent êitre class8es
en profils de réaction au mildiou diff6rents :
- 30 entrbes SE sont montrées indemnes de mildiou, 7 ont prdsenté des
moyennes de sév6rit6 inf6rieures à 5 % j 25,
des moyennes comprises entre 5 et
10 % ; 48 des moyennes comprises entre
10 et 20 ,% et El3 des moysnnes supbrieures
à 20 $.
Toutes les cntr&o ont psIronti deti, chandelleo cherbonnloa :
- 54 ont des dagrès
d'attaque inférieurs à 5 % ;
- 30 ont des degras
d'attaque cci@pria sntre 5 et 10 $ ;
-41
”
II
II
compris entre 10 et 20 % ;
- Toutes les autres
ont eu des degrds
d'attaque supdrieur à 20 %,
- Pour la skie avec IBV
8004 (Tableau 13), 357 entrdes
sont indemnes
de mildiou;15 ont présenté des s6vérit6s infdrieures à 5 %; 36 des s8véritr$s com-
prises entre 5 et 10 %, 25
des s6vérités comprises entre 10 et 20 % et 7 des sd-
vGri.t&s sup8rieures à 2 0 %.
En ce qui concerne le charbon, toutes las sntrees ont presente des
symptbmes de cette maladie, cependant on peut distinguer
un certain
nombre de
profils
selon leur
degré d'attaque :
- 73 entrees ont présenta des severites inférieures à 5 $
- 21
11
II
II
comprises entre 5 et 10 %
- 70
I l
II
$1
c o m p r i s e s e n t r e ICI et 20 $J
-262
II
II
Il
supérieur es à 20 %
- 14 entrées
n'ont pas épié et
n'ont pu Btre
l'objet d’observation.
7 .4 - Pro.iet
:
Sélection pour la resistance aux maladies et aux Insectes
(LRAM) (Tableau 14)
pour
les localites de Nioro et Bambey (dans les essais de llICRISAT),
seules les observations sur
l'incidence du mildiou ont pu être effectuees. D'au-
tre part à Louga,
10s entrees
n'ont présenté aucun symptome de mildiou. Enfin
dans l’essai criblago, la plupart
de, entrYrJs du soue-projet LRAM n'a pas b#ibr et
a uita eocho CO qui nous a mis dans l'impassibilité de faire les observations
sur
le charbon.
Les observations
effectuees sur
le mildiou dans les trois
sites montrent
que :
- seule l’entree
E8 137-1-I x E8 132-2-5-I ,a et6 indemne dans tous les
s i t e s considdrés ;
- la variété
Sauna 111, a presenté des indices d'incidence infkieurs
à5%;
- les entrees
ITV 8002, Souna III, ICMS 7703, NELC A79, TOGO-Short-S-S,
7673-1, EB 1371-l x EE 132-2-5-1, WCFS 1448-S 1DM-1 prgsentent des
indices d'incidences compris entre 5 et 113 % ;
- les entrées ICMS 8139, ICMS 8028, ICMS 7806, IBV 8001,
IBV 8105,
IBU 8004, IBV 8108,
IBV 8001, IBV 8004,
IBV 8108,
TGBSC-80, EBKC-C80,
TCMS 7909, ICMS 7703, 1
CMS 7909, SSC 9114,) TOGO-SHORT 3-1, TOGO-SHORT
2-1, IMPS 8002, IMPS 8021, 1038, VCF 42--l,, EB 237-3-A576 x 5934 x
700797 19-I-5-1, EBS-4-6-1-I-2-2, p4 89-5-3-1, N. Ep588-5690. 58-4-2
ont des indices d'incidence compris entre 10 et 20 $ ;
_ Toutes les autres ont présenté
des fluctuations d'un site à l’autre
allant parfois de 0 &
plus de 20 % ;
- Les ER 209-l-6 et WCFS 151-Si-1 ont presente des indices
d~incidencs
supkieurs
à 20 % dans tous les sites ce
qui prouve leur
inaptitude
a contrbler
le mildiou.
quant à l'aptitude des entrees à controler
le charbon, on peut dé5gager
les profils suivants :
- Entrees
hautemofit resistantes au charbon : Nigerian
composite, NELC
A79, SRC P.1505, 1031.1, IP2253 x EB 237-3-1-1, EB 137 1-I x El3 132-
2-5-l ;
- Entrees résistantes : IEJV 8108, ICMS 78-19, IBV 8001, IBV 8108, IBV
8106, EBKC-C80, VCF4 9-5, EB 137-I-1 x EB 117-2-l-3-2, EB 137-')-? x
El3 117-2-1-g-1, p4 89-5-3-1, El3 116-1-1-5-3-1 DM-l-l, WCFS 151-51-1,
SC2 (Ml-1 ;
-lO-
- Entrées moyennement résistantes : ICMS 814î, MBH 131 Brustted,,
SSBB78, IBW 8114, IBW 8001,
IBV 8105, IB\\I 8103, 18V 8004, TGBS C80,
Souna III, ICMS 7703, SSC 9114, TOGO-Short-5-4, TOGO-Short-2-?,
IMPS 8002,
ICMS 8043, 7673-1, WCF4 47-5-1, EB 237-3A576 x 5934-7 x
700797 19-Y-5-7-1, WCFS 148-SlDM-1, N.EP 588-5690.58-4-2, EBl16-'i-1-5.
3-l DM-I-2.
3.5
- Projet : PQpinière internationale du Mildiou (IPMDMN) (Tablaau 15)
La moyenne gén6rale de l'indice de sévérit8 est
de 6,61 16 CQ qui denote
une bonne performance du matciriel.
Les varietés comme 700546, 700651, P7, P-524, P2672, P2964, IVG-P-78,
MPP-7147-2-1,
IP-1930, MC-P-8003, SDN 503, SSC-BR78 (Reconstituted), MAVOA n'ont
présenté aucun symptome de mildiou. Les entrees comme 700251, 700516, 310, p1607,
Pi610, P2609, EB-832, EB-292-2-i-8,
(EB 132-2 x 700431-34-5) x P-7 x SC(S) 4-27-
2-1)-1, P-7 x (B-282 x J-804-1-1)-3-l, NELC-79 (original), NECC-79 (Reconstitu-
ted), IVC 80031, IVG 80082,
IWC 80135, IVG-P-8001, MC-80116, SDN 714 se sont
réw818es
hautement résistantes et
ont présent8
des moyennes inférieures 73 5 %.
En outre, les entrdes
700512, P-105, P 513, P 2894, F4 Fc-1436-4-3-2 x J-
104 ST) 1, VC-P-8004, SC-14 (M) 160, 8. Témoin, Local suscept. 1, local Suscept 2
ont présent8
une bonne resistance,
Enfin, (B-262 x 3/4 Ex B-100)-11-9-2, 7042 se sont rév&lBes très sensi-
bles
au mildiou et ont depassé m&ne les témoins de sensibilité locaux.
pour la rosistance
au charbon, les entrdes
p-2672, IVC-P-6004 sont hau-
t effrjbt r é s i s t a n t e s ;
P 473,
IVC 80082 sont résistantes 700516, 700546, 700651,
P-105, P 524, P-2894, NELC-H79 (ORIGINAL), IVG 80135,, IVG-P-78, IVC-P-8001, Ip-
1930, SDN 503, SDN 714, MAVOA sont moyennement r8sistantes. Par contre, toutes
les autres
sont apparues
très sensibles au charbon.
CONCLUS IONS
L'essai dans sa conception comme dans sa réalisation
pratique nous a
permis
de cerner le spectre
de resiatance vis-s-vis du mildiou et
du charbon
du
matériel vdgétal sur
lequel travaille les selectionneurs. Ce qui nous a permis
en conséquence de rQvéler
un matériel intéressant
en ce sens qu'il extériorise
une rhistance assez
forte aux maladies précitdes.
Cependant, on h gnore
les mécanismes ggnétiques qui r$gissent cette r&
sist ance,
sa stabilite et les facteurs biotiques et abiotiquos de cet equilibre
dynamique entre l'hote et le pathogene.
L'étude de ces
problémes importants
que nous devrions envisager cde
fa-
çon prospective, apportera sûrement
une contribution non négligeable dans une
perspective
de lutte genetique contre
ces pathogènes.
C'est dans cet ordre
d'idee que nous aimerions aborder le probléme de
l'étude de ltépidémiologie du mildiou sur différentes variétes du mil pour carap-
t6riser l e u r rdsistance.
-Il-
CHAPITRE II - ETUDE DU DEVELOPPEMENT DE L'EPIDEMIE DU MILDIOU SUR DIFFERENTES
_-e- --em---
..,.s_--w-.v-d.--
VARIETES DU MIL
POUR CARACTERISER LEUR RESISTANCE
INTRODUCTION
Compte tenu du niveau de technicité et du pouvoir d'achat trés bas
des paysans en Afrique de l'Ouest en genéral et au Sénegal en particulier, l'u-
tiliaation de variétés de mil ayant une résistance stable contre les principales
maladies, s'est révQlbe la stratégie la plus rationnelle. L'experionce montre
que la resistance
la plus stable est généralement la résistance
horizontale.
Cependant, il apparait difficile de quantitier cette resistanca horizontale, car
pour la mesurer, il faut utiliser d’autres
mbthodes Que les techniques habituelles
pour la mise en évidence de la rbsistance verticale.
pour Vandar
Planck (1968, 1375) la rdsistance horizontale
se manifeste
de manière
égala contra toutes les races
de l'agent pathogène, de ce fait, 1~
parasite
qui forme
de nauvellos races,
n'en tire
pas benéfico.
C e t t e rssistance
h o r i z o n t a l e s e m a n i f e s t e d e 3 maniéres :
l-
dans les mêmes conditions d'inoculation avec la
m4me concentration de
c o n i d i e s , le nombre de 18sions formdes est /plus pptit
Que chez uno va-
riote
sensS~le ;
2 -
la pdriode de latente (entre
l'infection et apparution
des symptomes)
plus longue ;
3 . la sporulation
sur lesions est moins abondantes et sa periode est
raccourci e.
Notteghom et a1 (1977) ont utilisa un dispositif d'essai nomme DITER
pour étudier la rdsistance
au champ dos variétés du riz à la pyriculariose.
Le
principe
de ce dispositif est base sur
l'hypothèse suivante : “Une varidte qui
limite
une auto-infection limitera
le développement de 1'Bpidémie". Donc pour
chaque variete, d e s p l a n t e s s i t u é e s à d e s d i s t a n c e s d i f f é r e n t e s d ’ u n e s o u r c e d’i-
noculum, produiront
des quantités d'inoculum différentes, et ce gradient dans
l*intensitS
de l’inoculum variora
de façon d8croissante de la bordure infostanto
à l ’ e x t r é m i t é l i b r e d e la p a r c e l l e .
D’autre part,
A.A. Sy (1977) a montré
que 13
quantité et l'efficacite
d'infection des oospores
de S. Qrami.nicola produits sur
des varietés du
mil va-
riont en fonction do la nature
génétique de ces variétés.
Pour tenter
de trouver
des méthodes de mesura
de cette résistante
chez
le mil nous allons essayer d'adapter le dispositif DITER utilise sur 10 riz au
mil.
1 - MATERIEL ET METHODES
1 . 1 . - Materi el
L e m a t é r i e l utilisd d a n s c e t t e e x p é r i m e n t a t i o n e s t compose d e varietes
Qui ont eu un bon comportement dans l'essai criblage de l’hivernage 82.
-129
1.2 - MBthodo
La m4thode est la suivante : semer une bancie infsstante avec un mélange
de variét4s et y favoriser le d4vsloppement de 114pid4mis. perpendiculairement à
cette bande, on &me des lignes-tests. On effectue des notations de la maladie
tous les 10 (dix) jours en trois endroits,
au contact de la bande infestante, au
milieu et à l'axtr&mit4 libre de la Parcelle. Ainsi pour chaque vari4t4,
l'Opid4-
mie est caract4risGo dans le temps et dans 11e8pace. pour caractériser la rbsis-
tance harizontals des vari4t4s testées on les compare
avec uns vari4tÉ hypothoti-
que dont la production d’auto-inoculation serait négligeable et dont la quanCit4
de la maladie en Fonctian de la distance à la bande infestante serait :
Y=a.t.b
ou a= letb= 0
X
Donc la r4sistance de chaque vari4té paut &tre caract4ris4e
par les
valeurs de a ot b.
II
- DISPOSITIF EXPERIMENTAL
Le dispositif comprend
des parcelles (varicSt4s à tester) de 5 lignes
de 5
m sspac4es de U,9O m, soit
une surface do
22,5 m2 chacune. Chaque variété
est encadr4e
par 3 lignes de vari4té r4sistante
semée
à 0,60 m. Cotte bar,de sert
5 deux séries
do variétés dispos4ss de part et d'autre de celle-ci (voir
schéma
en annexe). Ls bande infestante est semée trois
semaines auparavant.
I I I
- RESULTATS
3.1 - Préliminaires
Pour 4tudier le déroulement
de 1'4pidémie et le comportement des va-
riétés
vis-à-vis du mildiou, les observations suivantes
ont 4t4 effectuees :
- date de début d'4pidémj.e ;
- date de fin d'épid4mie ;
- notation de la maladie, tous les 10 (dix) jours ;
-
taux de progression journalior
de la quantité de maladie, r, 4yal
au
coefficient do r4gr ossion de log
x
par rapport
au temps ; x e x p r i m e l a
quantit4
de maladie. Nous avons r4parti leAooVx r
en six (6) clzssos (tabluau 17).
3.2 - Hésultats
Le tableau 18 rcprésentc 1’4volution
de la s4vérité
du mildiou aux trois
(3) points
de la parcelle en fonction du temps. Los courbes de la fig., . . repré-
sentent graphiquement cette Bvolution spacio-temporelle
du mildiou à travers
les
parcollas
d* essai. O n o b t i e n t diffarentes f o r m e s d e courbas :
- les courbes de forme 1 ; Ex
: Souna III
- l e s courbas a x + b ; Ex
: CSM?
- 10s autres formes de courbes existent.
Dans le tableau ?9, sont consign4s 10s valeurs do r
en fonction ces 3
positions d’observation
de la parcelle. Il ressort de
ze tableau une grande
h4t4-
rogén4it6 des taux de progression de 114pid4mie à travers la parcelle
d'essai,
-li-
En effet, pour certaines varietes comme CSMl, IBV
8004 et IElV 8202, on remarque
un r croissant en allant de la bordure
infestante vers l'extrémité libre de la
parcelle.
Df autres par contre,
ont des r decroissants: au fur et à mesure
qu'on
s'&loigne de la bordure ;
Ex : Souna III.
D'autres cas de phénomènes sont obser-
vés :
rl 4 r2 3 r3
Ex : CSM44
rl > r2 < r3
Ex : CSM35 et Bambey-TQmoin,
Par ailleurs les
dates de debut et de fin d'epidemie (DDE et DFE) et
la note de fin d’0pidémi.c
(NF-E) varient
on fonction de la variéte. Pour les va-
riét& IBV 8004 et IBV
8202 bien que leurs
DDE et DFE soient diffkontes, elles
pr8sontcnt des
At et NFE identiques. P a r c o n t r e l e s varit%& CSMI e t
CSMIQ, b i e n
qu'ayant des DDE identiques prdsentont
des NFE et At diffgrentes (tableau 20).
D'autre part, pour certainss
variétés (Souna III
et IBV 8202), les
notes de fin d'épid6mi.o en positions 2, 3
sont sup&ieuras ou Qgales aux notes
do fin d'epidemie en position 1.
En outre, gr5n&alemont,
les notes de debut et de fin d'epidemic sont
suphieuras ou bqales en positions
2, 3 qu'en position 1.
IV - DISCUSSIONS
1
Partant
de l'hypothsso de d6p3rt, la courbe
en - est attendue. Mais
comme nous l'avons remarsué, cette courbe ktl.
dst observ6e
Gue dans le cas de Souna
III.
Un phénom%ne qui peut paraître surprenant est ramarqud
aussi : des courbes
de r
en ax +
b et autres.
Cependant, una hypothèse peut être émise pour expliques
ces phenomènos : le pathotype local subirait
en se multipliant sur la bordure
in-
festante une selection favorisant
les races
ûyant ju*te la virulence nécessaire
pour attaquer les varidtés qui
composent cette bordure
infcstante. Ces races se-
raient peu ou prou
virulentes sur certainus variat6s à tester
ce qui a pour
ccn-
seiquonce ds créer une "pr6munition locale et temporarre vis-à-vis du pathotype
local non modifié" (Louvel,
1977) surtout sur les plantes en contact de la bordure
infustante. Cette prémunition est fonction du rapport entre
la quantite de spores
des races avirulentos et virultintes :
plus ce rapport est grand,
plus l'effet de
la pdmunition est manifeste (Mas et Uolot, 1977). En Plus, le sol do Bambey Qtant
infeste en permanence (Girard,
1973), 10s p l a n t e s n o n pr6munis” s e s i t u a n t v e r s
l’extr6mité
l i b r e
d e l a p a r c e l l e , o n t p l u s
d e probabi2it6 d’&tre pr6cocoment st-
taquées et pr6sentent
plus dc quantite finale de maladie. C'est ce qui explique-
rait aussi des ddmarragee
d'QpidQmio plus pr6coces
en positions 2 et 3.
D’autre p a r t ,
on remarque
que les valeurs de r
sont genéralement très
faibles. Ceci peut s’expliquer par
l'absence de conditions Bpidémiologiques
iddales (voir debut).
Conclusions
Cette
exp8rimentation nous a permis de mettre
en dvidence que pour ca-
ractériser
une résistance
au champ, les critères
habituels (Incidence: et sdvdritS)
ne sont pas suffisants ; il faut tenir
compte d’autres factaurs
qui sont d'autant
pas moins importants,
tels que DATE DE DEBUT D'EPIDEMIE, Oate de fin dl6 iddmie
Toux de progx$saion da 1'fiPid;mi.e QtC..r, 133.~ :û rbaistankg qst uf~ù 15s~-ftant0
dtLntsro&i3na d&s diff&runt@$
composantes du TRIANGLE DE LA MALADIE : WDTEX PARA-
SITE x MILIEU.
Cependant, eu Ogard
aux conditions très
difficiles dans lesquellas est
menf5e cette expérimentation,
il faudra affiner
les résultats,
en reprenant
les mêmes critères et en charchz.nt d'autres.
D'autre part, l'étude de l’h6ritabilité et de la recherche
des ,Cac-
teurs
du système qui limitent la quantitc5 de maladie doit être abordt5g pour ca-
ractbriser
mieux cette rbsistance.
-15-
CHAPITHE III
: CONTROLE DU MILDIOU PAR LE METALAXYL
_--_----_-_-
--.v-----_-_-
1 - INTRODUCTION
Plusieurs exemples montrent que l'utilisation unilatérale d'une seule
mathode de lutte contre les maladies d'uno culture ne permet
au maximum qu'une
protection partielle
de culture contrd les agents pathoganas consideréa. En outra,
c e t t e p r o t e c t i o n partinlle, acquise
parfois avec beaucoup de difficultés, peut
s'amenuiser ut voire
m&me devenir inefficace
? cause de phonomènes divers affec-
tant les composantes biotiques et abiotiquos qui determinent l'equilibre dynami-
que entre
la plante-hbte et le pathogene. C'est pourquoi, seule une conjugaison
judicieuse de plusieurs methodes de lutte bien
choisies permet
une protection
sfficace contre
les maladies d'une culture. C’est dans le
cadre dlétuda d’autres
mothodes de lutte contre les maladies du mil autres
que la résistance variotale
quo nous avons aborde cette expérimentation-ci.
Nous prenons comme réferenco las rdsultats
etablis en Inde
par 111CH15AT
(R.J.
Williams et al., 1980).
Salon ces auteurs
le m6thelaxyl
(Ridomil en poudra
à 25 $ a,.i.) à la
dose de 2 g de matière activa par kg do semsnce assurerait une
bonne protection
de HE3 connu pour sa hauta scnsibilite au mildiou. Mais les re-
sultats obtenus par
A.A. Sy (1978) contredisont ces données. pour ce dernier
au-
teur, lu ridomil s'est rovéld inopdrant p et il semblerait que las normes d’ex-
périmentation (dcartomont
30 x 60 cm notamment) aient jou8, a moins que ne soient
impliquées dos racns physiologiques spécifiques de l'aire Ecologique considéreo.
partant
do toutes COS considGrations,
nous svcns essoya 3’Qclaircir la
situation en testant la rdproductibilité
des r6sultat.s
obtenus par les uns et les
autres pendant
la promièro annQa d'axperimentation et en affinant les r6sultats
dans une deuxième exp6rimentatior-i.
Los travaux
ont début6
Pondant l’hivernage ,1979.
Mais ils ont Gte in-
terrompus
pendant trois années et
n'ont Otrf repris
qu'on 1983.
II
- INTERET DE L'EXPERIMENTATION
Cette experimentation permet
du mettre
en evidence la capacite de
certains groupements
ChimiqUa6 dc contraler le
mildiou ut do prot0ger
Qventuallo-
ment le mil on éliminant l'infection primaire
contanuo dans la sol ou/& en ren-
forçant les rdoc&ions de la plant e contre le
pathogène s'il p6nrZtre.
Donc les
resultats escomptés pourront être utilioos d'une part,
au niveau du monde rural
p o u r proteger l e s c u l t u r e s d u m i l e t d ’ a u t r e p a r t ,
au
niveau de la recherche pour
memer
des travaux OCI l’infection
du mildiou n'est pas souhaitee.
III . MATERIELS ET METHODES
" 1979 -
En 19rsn plus du ridomil, nous avons aussi teste le captafol qui est
répute efficace contre
les mildious. Les difforonts traitements
sont les suivants:
- Tl, t r a i t e m e n t à r a i s o n d e 0,5 g m.a r i d o m i l à 2 5 $/kg d e
semonct! ;
- T2, traitement à raison
de 1 g m.a ridomil à 25
$/kg de semence.
- T3,
11
II
de 1,5 g ridomil à 25 $/kg
de semence.
- T4,
Il
11
de 0,5 g m.a captafol/kg de semence.
- f5,
II
II
de1g
U
Il
3,
* T6,
II
1,
de1,5g "
II
,r
- T7r témoin absolu (sans traitement).
-16-
Le dispositif cxp5rimental est un dispositif en blocs simples 2 4
(quatre) rupetitions avec une randomisation complrSte dans lequel les parcelles
Qlementaires matérialisant les traitemonts eont composeos chacuno de 2 lignes
(25 plants) semées en 0,60 x U,30 m, Chaque ligne est encadree par deux
lignes
infestantss samecs une dizaine de jours
auparavant. Chaque parcelle élomentairti
a 7,20
m de long et 2,40 m de large
(cf schema de l'essai on annexe 1.
- 1983 -
En 1983,
le dispositif experimental est dispose on 4 blocs en split
plot avec
doux facteurs
: TRAITEMENT ET ECARTEMENT,
Les diffbronts traitements
sont les suivants :
traitemont à raison de 0,5 g m-a. ridomil B 25
- Tl,
$/kg semence
- T21
II
11
lg
"
II
1,
II
- T3,
Il
1,
2g
"
1,
Il
Il
- T4, J-I + traitement foliaire à raison
de Il,5 g m.a. ridomil à 25 $/Il
d'eau à la montaison ;
- T5, T2 A t r a i t e m e n t f o l i a i r e à r a i s o n
d e 1 g m.a* r i d o m i l a 2 5 S/I 1
d'eau & la montaison ;
- T6> T3 + traitement foliaire & raison
de 2 g m.a. ridomil à 25 $/l 1
d'eau à la montaison ;
- T-7, temoin absolu (non traité).
Les differents écartements
sont les suivants :
- 0,60 m x 0,30 m
- 0,90 m x 0,90 m
Les parcsllos glementairos
qui subissent des traitements folisires
s o n t
separees des autres par
une barriére pour bviter toute interfbrcnce
du fongicide
entre les traitements
(cf. schéma do llossai en annexe...).
Pendant las doux anneos d’experimentation, las travaux
suivants ont Ctcl
effectues :
Les notations de l'incidence du mildiou
ont été effectuees aux stades
TALLAGE (25e jour après date de semis)
et de MONTAISON (45e jour
aprés date de
semis).
Les hbtes precocement attaqués sont materialisés
par
un piquet rouge
pour pouvoir les comptabiliser,
dans la note finale.
A la maturite,
on note l'incidence et le sévbrité
selon 116chella cGdi.-
fiee (vGir annexe).
On Bvalue d'une part, l e p o i d s t o t a l Jes g r a i n s ( a p r è s sechage e t
b a t -
tage) et d’autre part, le poids do
1000 grains, pour chaque parcelle élOmentairo.
IV
- RESULTATS ET DISCUSSIONS
4.1.- RQsultats numeriques
(tableaux 21-26)
4.2.- Resultats qraphiques (fig.
>
-17-
- En 1979
Toutes les parcelles traitées avec le ridomil ont présenta moins de
maladie que celle qui n'a pas été traitée (Témoin) à tous les stades de dbve-
loppement du mil. Ce qui prouve une certaine aptitude du produit à contrBler
le mildiou du mil. Cependant, il n'y a pas de diffgrence significative entre
les differents traitements considérds. En outre, cette protection, toute
dose
comprise, devient insuffisante à partir du stade montaison et voire
nulle en
fin de cycle.
Les traitemente effectues ewec du Captafol se sont tous révQ1Ss
inef-
ficaces. Certains
memes ont semblé stimuler le développement du pathogène sur
l'hbte (T4 et Tg) ; en effet, ils ont présenté plus de maladie que le tr5moin.
Seul le traiterwnt Tg (1,5 g
m.a de Captafal/kg
de semence) a pu 6galer le
tQmoin.
Pour les caractères POIDS TOTAL DES GRAINS et POIDS DE 1000 GRAINS,
il n’y a pas
de diffQrence
significative entre les traitements et
le temoin.
Ce qui confirme une fois de plus lfinefficacit8 des produits utilisés unique-
ment comme traitement de semence.
Tous les traitements avec In ridomil
ont r&ard$ l’incidence
de la
maladie jusqu'au stade TALLAGE. Les traitements complémentaires foliaires
au
stade MONTAISON ont continué le blocage de la maladie jusqu'au stade GRAIN PA-
TEUX sauf le traitement T4 qui ne se différencie pas
significativement des
traitements de semonce uniquement. Les traitements
T5 et T6 ont efficacemant
contrôlé
le mildiou jusqu'au stade MATURITE, quelque soit l'écartemgtlt consi-
déré.
L'indice de s5veritS pour CBS
deux traitements sfS18ve respectivement
à 4,73 $ et 10,44 $
pour
l'écartument 60 x 30 cm et 14,88 5 et 6,93 7; pour
1’ Ccartement 90 x 90 cm,
En outre,
toutes les parcelles traitées
ont eu des meilleurs rende-
ments que la t6moin et les meilleures performances
ont été obtenues avec les
t r a i t e m e n t s T4 e t Tg.
Cependant le facteur
ECARTEMENT semble jouer un râble
ducisif d a n s 1s rendemant.
Du fait que le Coefficient de variation (CV) du
facteur ECARTEMENT devienne plus dluvr$ que celui du facteur TRfifTEHENTpowr fe$
caracthres
POIDS TUT&L DES GRAINS et POIDS DE 10061 GRAINS, manfrar
qvo ce premier
facteur est trh3 impnrtbt, psur ~86 c a r a c t è r e s .
En Er-tffrfJ, l’ama;yoe otatictique
mon*co cies differoncas significativao dc; roridom$nt;e solon lu typa d'écartomcnt:
16s meilleure rend@mbnta o n t 4té o b t o n u a avec 1’Qcartomont
90 x 9 0 c m .
D’autre part,
il n'y a pas
de diff&ence significativa entre les dif-
fgrents traitements et le témoin pour
ce qui concerne POIDS DE 100OGRAINS ; ce
qui laisse supposer que
l'infection par
le mildiou n’altère
pas de beaucoup la
qualit. de la graine..
4.2-DISCUSSIONS GENERALES
L'expérimentation menee pendant les deux années montra
que tous les
traitements
de semence par 1~ ridomil ont pu freiner
le dr5vclappemet-k du mil-
diou jusqu'au stade MONTAISON. Passé ce stade, cette protection
devient insuf-
fisante voire
même nulle. Ces résultats confirment ceux obtenus à l'ICRISAT( ).
-18-
Mais un traitement foliaire complementaire à des doses de 1,s g de
m.a et 2 g m.a/l 1 d' eau a pu prot Qger corr
octament la plante jusqu'au stade
MATURITE. Pour
expliquer ces résultats,
nous allons Qmcttre
un certain
nombre
d'hypothèsas plausibles.:
1”)
Le ridomil a pu detruire virtuellement l’infection primaire
contenue
dans le sol ; mais par des phenomènes de lsaemivago, 30 produit a été emportb
laissant
ainsi la plante exposbe à une infection secondaire venant des lignes
infostantes cu/et a
une tardive
infection primaire
dûe au développement rsci-
naire
du mil qui est allé rentrer
en contact avec les oospores non détruits
autour da la plante.
2’)
Le ridomil,
fongicide systémique a pu être
absorbe par la plante. Ce
produit digeré
et métabolisé par
la plante devient inopérant au fur et à
mesure
de son assimilation.
Une bonne protection
jusqu'au Stade MATURITE dans les parcelles
qui
ont reçu
un traitement folioire complémentaire est dOe au relaie
de couverture
apporté par le
second apport du produit
au stade MONTAISON.
D'autre part, les résultats de 1979 montrent l'inefficacitg du capta-
fol a contrôler
le mildiou aux doses considérees.
Ce resultat pouvait btre prd-
visible eu egard au mode d'action du produit qui agit par contact et au caractko
systomique du mildiou. En outre,
le phenoméne de stimulation remarque a et6 ob-
servé ailleurs.
En effet, certains fongicides peuvent avoir
des effets variables
en
fonction de la dose : à faibles doses, ils peuvant avoir
un effet stimulateur,
par contre, à fortos d o s e s ,
ils agissent on inhibant le développement du patho-
gène.
Donc pour
misux circonscrire
le niveau d'efficacitd du produit, il est
essentiel d'utiliser dans les prochaines
Btudos une gamme plus large de concen-
trations
de ce produit.
Par ailleurs, 10 facteur
ECARTEMENT ne semble pas jouer un r8le déter-
minant dans le ddvcloppemont de la maladie ; ot c e c i p o u t s ’ e x p l i q u e r p a r l u
f a i t
d'une part
que le sol de Bambey est infecte partout et
en permanence
en oosporas
(Girard,
1973) et que d’autre part, 10s zoospores
sont capables de se propager
sur
d'assez longues distances (Williams et al.,
>. Donc, toutes les plantes
ont presque la même probabilite d’être
infectées quelque soit l'écartement con-
s i d é r é . Par contre,
quo ce facteur
ECARTEMENT joue un r8le prepondérant
dans la
r0alisation du rondement,
c'est un phenomeno d6je connu depuis longtemps.
Les informations de dornières
minutes (R. F-ytizas et al., 1983) attes-
tent à une action Concérigènc du fongicide ridomil
\\rJP 25 sur
les rats
blancs. En
effet,
ces auteurs
montrent que l’administration chronique pendant 23
mois du
fongicide Ridomil Wp 25 à trois groupes
de rats
blancs comprenant 15 males et
15 femelles et
aux concentrations
de 800, 400 et 200
mg/kg de nourriture, pro-
voqua le développement des lymphomes des glandes lymphatiques, notamment mesen-
teriques e t trachée-bronchiques.Il p r o v o q u a a u s s i le devcloppement
d e s
lympho-
mes de même origine
aux poumons.
w
- CONCLUSIONS
Les résultats
de deux années d’expbrimentation montrent :
1’) Le ridomil
WP 25 (mothalaxyl) peut contrbler
le mildiou du mil. Cepen-
dant, ce contrblu par
simple traitemont de
semonce est peu ou pron efficace Zi
partir
du stade PilOFJTAISON sous
une pression
d'inoculum constante et forte.
-19-
Il serait intéressant de vkifior l'officacit6 du plroduit comme traitement
de semonce sous conditions épidbmiologiquos naturelles.
2') Pour assurer une bonne protection de la plante jusqu'au stade MATURITE,
il faut en plus du traitement do eemenco, un traitement foliaira eupplémantaire
avec une dosa minimale cle 1 g de m,a./l 1 d'eau au stade MONTAISON. Copendant,
avant l'utilisation éventuelle de CQ produit, i l e s t i n d i s p e n s a b l e d e v6rifior
les rBsultats
obtenus par les chercheurs qrecs
2 savoir que ce produit oet can-
cariqène. Dans ce cas, il faut 10 proscrire
à .iamais.
3') Le facteur
ECARTEMENT ne semble pas jouer un rBlo ddterminant
dans
le dévoloppemant do la maladie, cependant il dsviont important vis-a-vie du
rendement.
4") CO captafol s'est rOvélé
inefficace comme traitement
de. eemenco aux
dosce coneid&ées. Cependant, il est oseentiol de toeter
ce produit avec une
gamme plus large et
plus vari.
de concuntrations pour
mieux circonscrire son
seuil d'efficacité. Scn utilisation on traitement foliaira
on combinaison avtic
le traitsment des semunces
doit âtre prospoctue,
surtout que des r6sultats par-
ticls intdressants
ont Sté obtenue avec ce produit
on traitement foliaire.
(Girard,
1974).
-2o-
CHAPITRE IV - PROSPECTIONS PHYTOPATHOLOGIQUES
z=====;==zz=
Lo but de ces travaux est dcj st~ rendra ccmpte sur le milieu réel de
l’impact des maladies <lu
mil sur cette culture,
pondant la campagne agricole
1983 et de rbcoltor
das inocula dans plusieurs localitds pour les études de
la vsriabilite phyelologique de 5, qraminicola.
Cependant, il faut
tout d’abord,
souligner que les conditions olima-
tiques ptindant cette campagne-ci ne sont favorables
ni au dr.Zveloppemcnt des
cultures,
ni au foisonnement dos maladies. En outre, COS prospections ont 6tB
effectuées pendant que buaucoup de champs sont au stade FLORAISON, ce qui fait
que certaines maladies comme le charbon,
l'argot et les moisissures n'ont pu
Gtre
observées dans ces cas.
Par ailleurs, compte tenu, dti l’ulluro de la campagna
d'une part, St
du personnel dispcnible pour 1~s observations d’autze part, Xe nombre d’obser-
votions
a étQ limite. Cependant, cela no nous a pas empQché du recueillir dus
données assez int4rrssantBs.
Ces donnees sont consignees dans le tableau.ci-dessus
Des rÉsultats de23
observations, on peut ti3:er lcç conclusions suivan-
tes :
1") Le niveau d'infestation des maladies est en gQnéra1 trbs faible ;
cependant,
il varie
d'une zone h une autre : c’est
dans la zone comprise entre
Diourbol at Kaolack qu’on
observe plus de maladie dons les champs de mil,
2') L'incidence des maladies dépond des techniques culturalas, de la va-
ri6t0
Utilis&e et des conditions Qdapho-climatiques ,,
3") C'est en Casarnance où la pluviométrie est
plus importante qu’on ren-
contre beaucoup plus les maladies des inflorescences comme le charbon, l’ergot
e t l e s m o i s i s s u r e s .
-21-
Tableau
: Prospections phytopathologiques pendant la campagne 1903
(7-9.09-83), dans les ragions de Diourbol, Sine Saloum et
Casamance.
!
;Nbre do !
ILieu dl obser vatiun
!
w Lcaau
~~ricuhriose
I Charbon i
rrrgot
!
;Plantes ,
-'
1
!
'comptees ;Nbre
!
iii
!
!
!
1'
,Nbre , $
,Nbre i
% ;Nbçe i /J i
f
f
*- I-*P'-v*P PV-*
LAGNAR (Coté gauche de;
.204
i
7
; 3.43; 15 f 7.355 - f - ; .. ; - i
l a r o u t e )
I
I
!
I
1
i
1
I
1
I
!
I
12. LAGNAR (cotG droit vsrs:
127
;
1
; o,f3
I
1 ; 0,8 ; - f - f - ; - ;
!
Diourbel)
I
1
f,
;
!
!
i
1
I
J
!
f
I
t
f
!
f
13. Après Diourbel vers
201
; 2
;,
;
I
1
!
!
i
?
Kaolack, c u l t u r e
autou!
!
T
!
!
!
!
!
!
I
J
!
!
des maisons.
!
!
1
!
!
f
i
!
!
!
!
!
f
I
I
!
,4.
!Champs
ineemnesjde toyte ma adie.:
1
TQnéful (dans un bas-
f
!
1
!
!
!
fond)
!
?
!
J
;
!
!
!
!
I
!
!
!
!
l
!
?
;5. Apres
Gossas tvers
249 ; 4 f 1,6 1.
!
!
!
!
Kaolack
!
!
!
!
!
!
?
!
!
!
!
!
!
I
f
Après
Kaofack jusqu'enltous les
!
Fhampsjsont lece.. iLo mi
staée fl.o{aisoni
Gambie
I
!
!
!
!
!
i
!
I
j6. Observations dans les !,
255
; 22
i 8,63;378
~'70
; 69,O !
I
f
.
essais SAFGRAD de Mme *
21
!
!
!
!
i
i
!
i
I
I
Ndoye.
1
1
I
I
!
l
!
1
1
I
!
!
;7.
!
!
Ngolamène à 500 m a-
,
278
; 82 j29,5 ;
I
!
i
!
.
prhs
Kaolack, venant I
!
!
!
1
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
de Ziguinchor.
I
!
!
!
!
I
I
!
!
!8. Nguékokhe
f
201
; 5 ;2,5;
!
I
!
l
i
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!9. Darou Sac
!
267
! 78
129,211
f
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
1
!
I
!
!
!
1
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
I
!
!
f
1
1
!
!
I
!
!
!
!
I
I
f
-229
P
CONCLUSIONS GENERALES ET PERSPECTIVES n
Les rosultats découlant des travaux effectues pendant la campagne
agricole 1983 ont permis de mettre en évidence que :
- il axiste une grande variabilitb des interactions Hote x Parasite
du matériel fourni par les sélectionneurs. En effet, parmi ce mst&iel,
on peut
trouver
toute sorte
de réactions
: Do hautement sensible à hautement resistant.
Cependant, on ignore la nature et les mecanismes qui regissent ces rtSa.ctions.
Ces etudes fondamentales doivent être abordges dans
un proche avenir ;
- pour mieux apprécier la
qualite de CQS rdactions, on ne peut plus
se contenter des critères habituels
(Incidence et severité), mais tenir compte
aussi d’autres
comme date <Jo début dlépidSmie, date de fin d'epidemie, taux de
progression
de l'epidémie journalier etc.. . L’Btude
de ces cr.ittt?res et
d'autres
doit i3tre
commencee et approfondie pour
mieux les martriser.
- il existe d’autres
méthodes de lutte telle que llutilisation des
produits chimiques qui peuvent contrOl.er
le.mildiou ;en effet, le ridomil
WP 25
peut contr6ler le
mildiou du mil s'il est utilisé sn traitement de semence, plus
un traitement foliaire
avec la dose minimale de 1 g de m.a./l d'eau au stade
montaison. Cependant, il est indispensable de vérifier
les informations selon
lesquelles quo ce produit ast cancbrig&ne
et dans ce css il faut proscrire ii
jamais son utilisation. La recherche
d'autres formules chimiques capables de
contrlller les maladies
du mil garde
en vois
toute 5on ûctualite.
-23-
BIBLIOGRAPHIE
FYTIZAS, R., D:!UARIS, P., IO&NNOU, A., and VASSILIOU, G. - 1983
Action cancsrgdne du fongicide ridomil WP 25 sur les rats
blancs. Hed. Fac. Land bouw,
Rjiksuniv. Gant 48/4, 1983 pp. 1023 - 1029,,
GIRARD, J.C. - 1974
Lss travaux rdalisés par la division de phytopathologie du CNRA
de Bambey sur les maladies du mil et du sorgho (1972-1973-1974)
pp. 4 - ISRR/CNRA, mai 1974.
MAS, p.M*, MOLOT, P.M. - 1977
Influence de
13 concentration
de l'inoculum en microconidies SU:C
la prémunition du melon contre F. oxysporium
fr SP. melonis.
Ann. phytopathologio (9) 1 : 71-75.
MBAYE Cemba Farba, - 1982
Mise au point d'un dispositif expérimental
de criblage de variétés
de mil pour la résistance
au mildiou. pp. 10 - ISRA/CNRA, novembre
1982.
NOTTEGHEM, J,L.,
ANDRIATOM?O, G.M. - 1977
Mesure au champ de la rQsistancc horizontale du riz à Pyricularia
oryzaa - flgronomie Tropicale - XXXII-4 : 400-412.
sy, fi.A. - 1978
Recherche eur les
mildiou
du mil (2. graminicola)
Résultats
de la campagne agricole 1977
CNRA (ISRA).
VANDERPLANK ? J*E . - 1978
Disease rcsistance
in plants.
Academic press
Ny. London 313 p.
VANDERPLANK, 3.E. - 1975
Principes
of plant infection
Academic press
NY. London 216 p.
WILLIAMS, R.I. and SINGH, S.D. - 1981
Control of Pearl
millet downy mildaw by seed troatment with
metalaxyl.
Ann. appl. Biol,
(1981>, 97, 263-268 Great Britain.
-= TN3LEAUX & FIGURES =-
-=-ooo-=-
r!
.
1
t
-‘I
*
1
1
1PLUVIGXETRIE (mm)1
TEMPERATURE en OC 1
HUNIDITE RELhTIVE ari $
1
1
DATES
1
1
1
1
1
1
IJIJl”
1
!
1 1*s
-
-
-
-
1
‘I
1 +- ;,>,;--
I
2
1 1 *d!LY 1 28.81 30,4t 30,jt 29.\\t 78 f 45 1 83 1
57’ II.00 1 65 t 9T 1 61 1
I
4 3
--1
1-Ï
f
t
-;-*-[~
1 1
29dit 3.t.l.t
;&l;
28.21 89 79 29.8; 29.1; 28.8;
t 42 50
1 80
1 53
53 t ;
98 ;
93
1
;
t 64 48
1
f
!&t~f ;
94 ;
‘FO
-
!J&JI
88
1
1- ;-*-
f
5
+[L*m-
t
1
6
1 1 1 1 1 29,lt 3OdI 29,.6t 28.g 88 1 47, t 87 f 56 1 733 l&IJ&t 68 1
f
7
[-~~[wœœ[.-..
Ï-1-1-1-
1
28.91 3O.lllm 2941& I
47: 1 $5 1
58 1 96 1 67 1 96 1 78 1
0 ~2ya,y~301,5~298,,5~288,9f828
f468 i 8bto f 5 3 9 18~6 ( 5 4 3 i 943 +Yy t
28.2; 29.9; 28+3; 25.8; 89 ;
50 f
88 ;
64 ;A;
63 ;
9'7; 73 1
: 28,%! 3Oe.5; 2QI 25p4I, 80 I 50 I 86 1 56 I S3,I 65 I 94 1 78 1
; 28.61 29,4: 213.4 2.8cIlf 83 ; 53 ; 89 ; 44 f 90 f 5li f 1.00 ; ~3 f
1 311,7;1 29p4t 28,4t 28,7il 85 1 3’i?’
1 88 1 55 1
(33-t 72 I 93 1721
;A& 6
31,l;fmf 31lqJf 67 t
4% f
88 f 4Tii 95 f
62 !
98 ! 70 t
1
31963 30,31 29,Bt 29,of 83 1 59 ! 87/ 1 55 1 93 1 60 1 89 1 ttir 1
;A;L;hf-j 30 6 0 8 0 1 28 2 82 ; 50 ; 83 ; 55 ; 92 f 53, ; 93 $-;
1 $0,;61 30,,01 29,Jl 29,Ot 82 f 54 I 82 1 54 1 89 1 61 1 gd 1 ~1
f 29, Y; SO, 1; 284; 3Od; 99 f 58 f 88 ; 56 ; 89 ; 58 f 90 ; 6i ;
1 29,6l 3Y,OI
-_I- 29961 29,8t 81
1 55 1 80 I 60 1 86 1 ‘j6 t &
1 58 1
35f302,5:302,5t292,8f;fB6,1~8311 ;507 $560 ;546 fyWi +~y f9?4 f6@ i
-
- -+-----
m
m
-
m
-
-
t
1
2-t:
f
f
;24,5-Jf 28,6; 3Wfg,9 ; 3094; 05 ; 59 f 84 f 59 f - f ; - 98 f 60 ;
1
2 2
1 1 1 1 - 1 29,31 30,3t28,2 t 27~,51 92 1 60 1 89 1 55 t 95 1 84 ,I 94 1 - 62 1
1
I
f ‘$3;
I - I -
f 2996; 3O,,“Gf20,7: ; 28,2f 87; 1 57i f 86 f 56: ; 98 t 74 ‘: 98 fs6;
1
24
1 1 1 1 I 29,8l
-_I-_I 30,8121(,5 1 29,21 8~ t 55 f 89 1; 56; f y6 1 m t 99 f TO t
1
;
;
1
w-m ; 2,2; 29,5; 29,2f29,,0 1 30,5f 83 f 48 ; 9-T f 56 i g8 t 68 f Y3 ; 60 f
f
25
26
1 1 6 ! t 30 22 28 11128 7 fi30 21 90
--&A&.&
1 47 I 87 I 52 1 g8
I R t 85
I 56
t
1
t
2728
+---
i 1 : f30
1
-;- 1 --&.A;.-;-t-nLf
30 30 2 81 28 28 41 2 28 29 0 OI 28 2 4 81 85 84 1 53
41: 1
1 f
y0 ;
9? $-;y;
1 1 93 66
95 ; f
6Y ;
---.--4t----~
55
tzt
9~
171
;
2 9
L-1--1 -1-s ; 1:,3; 311,9j
3lr,S; 29,9;+
82 ; 57 ;
877 ; 57 ; --13-- 98 i 69 1 98 f ~4 ;
1
3 0
f 1 1 t’”
m- 8; 27 1; 3-N 5; 30 1; 29 3; 88
‘).I-t--L f 50 ; 89 ; 47 1 98 1 6.7 1 y8 1 ” t
-w -II-
~-&-~~ff34~L[
~-&222&*~[ --- - * [ 1 801 -mm-- 54; 9t; i 54’1 ; ;
*na .
IA,
r<aC/ ?*/Cm nrr-.c-,#m n-..>nP. h.-.“F h.r.O&- m.O/-. .-.-se .?-.y- .r,., .AAma.*/-A .
..C.L *,+.-a .
‘IAEmW2tW83
8 FROJE7.l' GA&I. ZVAL @NELIWTION DES SYN~QW)
~ --zI;-;: ___II..
MOy'EWJES DES JXIDENCES IZC SbWITEs DUNILDLOUET DU CHARBON
a
; 4 GAI!1 3/4 HK synt 0
;
1,8,00
15.42
371.22
;
1
f
1 "
fl
synt 1.
1
7.6&
4.83
1
ço. 22
1 11
rr
t
1
I
I
synt 2 f
?CA 89
71.6g
42.47
!
1 Il
91
synt 3 1
26,s
:
12;fl
I
42.2-F
1
1.
t
f ‘j GAI3 3/r, EB Synt 0
f
3.31
1.74
31.35
1
1
1 ”
1t
synt 1.
1
12.67
f
9.67
35.52
1
1 11
lf
1
1
t
1
synt 2
t
Il*59
9*19
15.. 90
1
!
f
1.56
I
0.62
1
23.87
1
1 ‘I
rl
synt
3
f 5
I
!
Gf&l 3/4 SOUNA Synt 0 !t
17.50
17.50
20.22
1
!
I
1 ”
II
synt 1
1
14.27
f
13.26
1
4o*(io
1
1
1
; 1)
847
7.1’11
37.82
11
synt 2
!
1
I
t
1 l1
II
s.yrlt 3
1
i:r,* 05
1
12.67
1
35.28
f
; fb fi,d ~1.80.85 Spnt o f
7.02
1
t
7.02
???????
1
1
t
1 II<
?f
spt 1
1
20.88
!
16.75
s
W.85
; II
1
1
II
:.
synt 2
li3.05
(
9*05
27.49
!
1
1
1 11
11
smt 3 1
490
1
2t.64
1
32.15
1
: 5 CI&4 VI 80.85 Synt 3 i
4*77
2,,20
s
18.42
t
t
I
t
3ème géné.
I
f
f
Ii8
1 7 GUI G 65 Spt - 0
1
7.38
5,x6
28~47
f
119
f
f
f
11
1t
1
splt 1
t
%76
7,) Ii8
39.35
1
t
20
1 ”
tl synt 2
1
Y,y?i
1
3m98
f
23.25
; rr
II
synt3
1
1
t
21
llr,13
6 a47
38.63
t
1
22
il0 GîJL 90 - synt 0
!
w
f
I.
1
; ?f
11 synt 2
1
1
1
:
23
3163
2,88
24.82
1
1
24
1110 GUI y0 spt
3
f
5.86
r
4.49
1
30.90
1
1
1
1
i
25
ll;O GAI!4 90 N
synt3
;
7.25
5178
41.70
1
1
26
1110 C%l4
1 né. 90 N Synt 3 3O g&;
%Y
1
5.90
1
29.05
t
27
110 GAP1 90 N
Synt.3.
1
o.>m
t
0.00
i
35.87
I
t
3O Gané.
1
t 11 GâeJI 90 sSynt. 0
i
i
i
28
I
8.33
f
8.33
1
42.62
i
29
111
GA% 90 Qrrt. 9
1.
9.24
1
6*57
1
31.. l!O
1
;Il GAI$ 90 synt. 2
f 1
1
1
1
3.0
1io,g1n
I
7.65
1
26.52
1
311
11%
GAM 90
Synt, 3
m
1
i
t
1
f I(IoyENNE GEWiRtXZ
t
1
9.98
1
7*49
1
3%.g8
.
. -~ -
Tk.BLEbXJ3 t BA,MBEY 83 t FROJEI'GAHEV&I.,
jULU,YSE DE V&3IA,NCE DE L~IXCIDENCE ET LA SEK'!ZRITE DU NXLDIOU ET DU CIi&RBOl$
(-) t NS (non significatif)
(++) 2: KS (h~tcrnent signifkmkîf;)
F (1) o F c$k&lG pour Lvincidancv.û
F ($) D F aalmLé pour la sév6rité
FO,çps et FO,Cl. 2 F théoriques ~twc seuilrs de 5 % et ll % respectivement.
'1?BLEAu4tBAii83n
H1oJET Gk+!& g INCIDEMCE ET SBmITE DU MILDIOU
--Y--------- --_.
ET DU CHARBON
?
?
?
?
MILDIOU
i
1
?
? ?
?
I: IiIImREE 1
IDENTI3'ICATIO~
t
1
cH4IRm
1
1:
g*
1.
; i3JXVERIm -1
1
f!
.
1.
; IlZIKXDmCE
f
1
1
1
1
t-
*
&
1
1
n
l PS 9% 22. 40
1
9,33
i
4993
1
40,m
1
1
1
1
1
2
1 H7 - 66
2,98
1
cl, 8%
1
32&
1
1
1
1
1
*
1
3
1 Hg - 127
1
24
1
cg,99
1
34 t.57
t
f
1
1
4
! HI!8 -- 83
1
5,90
t
4,09
t
48,20
1
1
1
5
1 H'j? - 88
1
517s
:
5,aq
f
!50,.88
I
1
1
1
6:
!W - lcq
1
3,126
1
2. ,xtt
t
ç5,32
1
1
t
1
7i
1
w9
1
% 47.
t
20,112
f
t H-T2 - 3o
1
1
1
8
1 Hz4 -35
1
2,/@
0,83.
f
31,12
t
1
1
t
1
9
1 Hç - zr,
w5
Q.5 0
1
54920
t
1
Is
t
il0
1 H7 - 116
2,38
0,. 95
1
fl2,30
t
f
t
:
!
1
1 NOYEE, G%Nw$LE
$67
1
40,,03
1
1
t
1
1
1 COEF'F'lXIENT Dl3 VLRI&- s
~34,2T
1 TION
I
1
f
TillXJUU 5 : .~~~,%I-yUL
_....- .- -7
MJkLYSE DE VI'!&IANC~Z DE L'INCIDENCE 33' LA. S,ZJ'Z!AITE DU KKDIOU 22 DU CH.&RBOR
!
i
!
1
1
1
1
r
I
1
IXDICE
r
s PPDS 1 l?PDs !
1 SOURCB
1 Dï3L f F (1) !
F (S> b’Opo5, b’0901i f CI) 1 (S) 1
1 DE VA-RIL:TIoN
I
t
I
1
1
r
1
I
1
1
1
1
t
_.
1
1”
1
1
1
1
1
1
t-+
t--
!
r
t
! TRldTEI!rnSI 9
1 11,110 (4 I 0,911 (-> s 2,27 1 3,17 1
1
1 MILDIOU f
1
I
1
1
t
I
l
-
-
-
t
I
Ï-- f
I
I
I
1 --If 1
f
1
I BLOCS
1 I 3 ; 1+4 6) ; $35 (-) 1t 2,98 1 ! 4,64 1i
1
i
3
w---p I
1
1
Ï-- 1
1
f
1
1
f
II
f
1 TIZAITEWTSI 9 1
1 2,5Q (+) ! 2,27 1 3,17 I t 19,2 i
'! CRARBON 1
1
f
t
;US-.. 1
I -+- 1
!
1
---Ï
1
I
s
1
1 BLOCS
13
1
1 %86 (-> 1 2,98 f 4964 f
r
1
(/&) t NS (non significatif)
(+) 0 S (significztif)
F (1) o F cakxlé pour l*incidence
F (SS) t F calculé priur la sévérité
FO,O5 et FO,O% g F théorique aux seuils 5 $ et 1 $ rosperxtivement
PPDS (1) et PpI)S (S) : PPDS pur l'incidence et la sévérité respf3ctivement
TABI&'UJ
6 t B@BEX a3 : .XSSfd F5
"-.3ezfs
CiOYZNXGS DES INCIDENCES m! SEVERI~S DU KtLDIOU ET DU C?&&BON
f
Na
f
1 INCIDEXCE
t
smm1m t
1
1
:
.
1
t-
1
1
I i
; El -%-dB-g
;
112,36
!
5,2@
I
48,61
1
2
1 ~2 - 47 - 21
- 18
s
6,, 20
1
3,@3
42,61.
1
3
; E3 - ag - 48 - 16
1
1
t
1
1
3,34
2,99
1
449 74
1
4
I z.4 - 48 - 4tl - 47
14,50
t
Ci’?~
1
64,1,6
5
; g5 - t$br - 38 - 5
!
1
I
f
1
119p39
1
1~3~48
34952
1
6.
1 E6. - 50 - 40 - 30
27976
1
2I!,67
i
36,99
f
7
; E’/‘,
- 48 - 4T - 45
i
1
1
1
1
Il,11
1
bav
1
37rQ3
1
a
t E6 - $3 -
41 - 46
1
11,22
1
3172
42 9.97
1
Y
; EQ
1
-2
-34 - 31
1
f
113,
rg
1
9,30
1
34,!%
:
$0
! ma-46 - 36 - 25
I
t:2,47
1
6~0
1
44,m
1
1’1
1
s Efl - ?:2
23
- -
18
1
1
1
1
1
5,s
!
4JO
1
39904
1
1'2
1 El2 -
29 - 21 - 17
a,57
1
5901
SO,@
I
113
f Mi3 - 40 - 24 - 14
IL
I
t
1
t
t3,85
1
a&@
1
55855
1:4
1 E 14 - 2
- 40 - 40
1
w,55
i
'14,lJj.
1
48966
f
115
1
; E 15 - 48
- 41 -%$
1
1
1
1
5,ao
1
3,113
1
50,7T
1
16
i E 16 - 48
- 41 - 50
t
115,
a2
1
9d5
1
31,22
1
17
1
1 E 17 - 4a- 41 - 60
I
1
i
1
Q,
94
1
2,77
1
55932
1
18
1E 18-50-40-32
t
13909
a,17
1
57203
19
s
I
*E 19-46-38-2
f
1
f
1
21,62
f
@,08
1
58,32
1
20
1 E 20 -.
4a - 2Aq -13
1
1:2,50
9,911
57 ,.43
1
f
21
1
f E
21 - I:l - 46 - 27
t
1
I
14,-P
1
9,39
54,.03
2 2
1 E 22 - 46 - 36 - 24
1
'h32
1
4996
f
53,38
1
s
23
fE23 - 11: - 46. - 25
1
I
a,@
1
.5,311
f
55970
1
24
1 E ~LJ -
48 - 41 - 42
I
112,t;B
$37
1
6% 52
1
25
s
t
1
i E25-42-40-10
38,oa
1
30, 114
t
@GM
i
2 6
tE26-2-3&+2
f
55,5a
46p29
1
55,45
1
27
s
1\\9,68
I
1
f E 27 - 48 -41
-48
1
1
13p45
i
4658
I
28
1 E 20 - 45 - 1’ - 13
16,41
9,09
1
48,&
1
t
:
1
I
1
r5,11t
1
1 OP32
1
49,1,3
r
i COEPJ?ICIZNTDEVJWA- f
77ï,@
1
8%33
1
26,83
1
1
TION
1
f
1
1
1
1
1
TABZEAUQ BAZl?EY83 t PRmT CREATION DES LIGNEE% : SOUS HWJET LIGNZF,S Y!j
ANALX3E DE VJKWKE DES MYYENKES DE LQNCJDEEJCE
ETDELASEVERITEDUEilllSICXJETDUCHARBON
t
* TRAImmS 1 27 12,53 (-t-t) t 3,32 (++);
(-1 a NS (non significatif)
l-t-) t S (si&fi.c&if)
(k> t HS (hautement significatif)
F (1) et F (S) : F calculés pour ltincidence et la s&érité rospeotivement,
FO,05 et FO,Ol t F théoriques aux seuils 5 $ et 1 5 respectivement.
PI%S (1) t PFDS pur ltincidence.
Pms w t PFDS pur la sévérité,
TlaLE;sIT 8 : BNsm 83 JJXUET EIENDEZWS NATIOIWJX, SOUSuRoJET
RT (RENDEWT INITIAL)
.-
MO-S DE INCIDENCES ET SuTERITELs DU PIIXDIOU 2X' DU CHLIBOPl
t
11
1 IBV
800% G:O. Syn 1
1~715.0
SO,,~~O
2
: IBV 8004 @) cl. syn 2
30,kn
lq;t5
I
3
l 13% 80c4 CO. syn
II
Y,45
5r45
4
t SOUNI, 11x (SQ c'1:
2 7,128
%6,20
3wl4
?i8,56
22,oo
f
35,611
23 ,.,m
1
23,54
43,32
30,.dcl
t
s, 79
3WY
23,:24
t
22,0%
411920
29,'75
!
20,50
29,68
-?;y,28
f
%,53
I
57?@5
m,65
1
37ir54
9
BARBE-Y 83 t
!l!&BU%U 9 ~FmXET g RXNlXZENTS NATIONAUX, Sm-pRm
t FYT (rendement initiaJ.>
&NALYSE 3E VARIAI'?CE DE L'INCIDENCE ET
WARBON
1
INDICE
f
I
!
I
!
1
1
1
!
1
1
1
r
f soTJi?cEs
i DDL 1 F (k)
t F (SI
i FO,O5 ! FO,Ot !
t DE VAFUTXC8l
1
i
1
f
1
t
I
1
t
I
I
1
t
f-1 t m
(non. signififzatif)
(k-i-) I HS (hautment signifie&if)
F (11) et F (fi:) t F cx&zu~Q pour l'imidcncc ot la &véait6 mqmtrivamnt
FO,,Gj et FO,OB t F th6ari~es paur les smiJ.s 5 $ at ?I ‘6 mspc+bivame.r&
f
1
1
1
lxIIs)IGu
1
1
-1
CmBOE-
I
I I!2iTRm
;
IDENTIFICATION
I
1
f
;
NcQ
1
I XNCIDl3NGE
sm:1m
1:
.
1
I
1.
,
-e1
1
t
1 uJ@3 'j‘81ig
1
8,91
t
4&‘
W,, $71
1
s
f
f
2
1 H-q-66
:
%89
4,.!59
34,46
1
t
f
f
3
t 314 I-m3 78
1
8,l:I
1
8, Ii0
1
28, $7
1
1
-
t
f
!
1
4
1 Im 8001
1
1~2~96
1
99 80
31i,69
1
1
1
t
I
5
1 IBV 8004
1
!M@i?
1
5, 90
1
32,51.
1
1
1
1
1
6:
1 BlkMBEX~JOIN
1
&, $3
1
5765
1
26,110
1
1
1
7,
t H 24 - 38
5973
I
5,31.
t
29,10
1
?
f
1
1
1
8
t FS go,2
1
10,22
1
8,513
29,L37!
1
1
f
t
9
1 Srnh III
1
%84
I
f”,87
I
x473
1
1
1
1
1
m
1 H9 - 127(
1
1 ,o, .74
1
8,95
1
27,84
1
1
1
1
1
t E4OYE3?NE GIi2EBBB
1
7,,88
I
6,82
f
27 $0
1
1
t
t COIiZ'FlCmT DE ViilXLi- f
1Q7i, 59
1
132,72
1
52,OO
1 TIUN
1
1
1
1
1
1
I
1
!f?ABWU $1, t BJiHBG'Y 83 c FRQlIlZi!-RENDEMENTS NATIONAUX, SOUS PRWET
ESSAI CON,lRIUNT
f~ALYSE DE V.4.WXKCE DE L*INCIDENCE ET DE Lil S=ITE 1Y.J MIIdXO~ ET DU 'ZHJWKW
f
JlKD3XE
t
1
1
1
1
!
I
1 s,mcEs
f IX% t F (1) 1 F @3;\\
1 FO,CYj ; SO,011 1
1 DE VARIATION
1
1
1
1
1
1
I
t
!
1
1
1
i
1:
1- 1
1
-1
1
1
1
1 TRAI!EEMENTS
1
y
t
0,41: t-1 1
0,,5!8 (y-) 1 z,m J 2,84 Ï
f
~4ILDIOU
1
1 1
1
t
-4
f
f
1
t ll?uxs
1
T’
1
0,16 (-> 1 O,/l.l (i-1 f 2,.43 1 3,@ 1
I
.
f
I
r
1
1
- 1 1
1
t
1
t 'RRfZTEbJENTS
1
y
1
1 $47 (--) 1 ii?,.3
t 2,84 I
1
CrnBoN
1,
1
1
1
1
1
1
f
1 1 BLES
1 I
5
1
f 4, Ii5 (+-k) f
$43 i 3.,,46 f
I
1
1
s
I
1
1
1
('6) t NS (non significatif)
(tt) x HS (haadement significdxif)
P (1) et F (S) z % cdcuZ6s pour L'incidence et La sévérité respectivement.
FO,@ 0% F0,01 I F théoriques aux seuils & 5 $ et li $ respectivement.
Tmmu Ê2 L R!d*Drn 8 3 r SOUS PROJ-XT COLLJZCTION SOUNA Sl?iKfX SOUNA III
-"===ET
-----...
INCIDENCE XT Sm1T.L: DU KtLDICU X' DU CHARBON
1 am ! IDjQJTIFICATI@N ! I$X. IKKD. ! INC. i?dILD. ! Sm, ïdIL 1
CEfiBC1J t
!
t
!
5‘9.13
1 t2.110.83
1
li2.10.c33 1
21.10.83 !
E
1
!
!
1
!
!
.
?
?
?
? ? ? ? ? ?
?
<
<
G
!
C
!
0
;
1
2
E
II
7,69
!.
23,@1
f
23,a
!
6,4ci
i
t
!
2
i
1
t
!
3!
lT
3 !
G
I
9,(-p
;
3,63
1
7;,80
;
!
!
!
4
i
‘?
4
i
7,69
23,07
;
%5,3i3
;
Y5,83
;
!
!
5
;
”
5
!
c
?
25,C
f
1 C', 0
;
5,8c:
1
E
6
!
11
6
!
20,C
!
4c,c.
!
2&cj
!
115,&;
;
!!
!
!
!,
!
!
7
;
11
7
!
c
!.
fi,33
1
2133
!
3G,e;s
;.
!
8
i
‘;
8
!
0
!
23,GG
;
13,Q
62,~
!
!
i
E
1
9
;
”
9
i
c
1
25,Q
!
A$33
1
Ppfi3
1
1
lit,
!
s-CUNLI III ;
c
!
5ü,L
;
38,33
f
Ii&66
!
!
!
1
!
I
Il
* &S
II2
;
c
!
84,61:
;
5&46
i
‘1,o
1
1,
$2 !
Ii
1!3
;
c
!
5&33
!
43,33
l
L;, 0
E
!
!
!
!
1
!
13
! Il
$4
;
7969
!
38,46
;
3&76
!
PJ6
1
1.
A,4
!
1t
115
!
7,69
!
61,54
;
50176
f
190
*
I
1:
10
1
E
E
il
A15
l
-16
!
7,69
!
46, Y5 ;
46J5
I
w
1
1.
<I
16.
!
w
17
!
0
!
41,,67
1
36,56
!
ii,0
1
I
!
91,
!
!
1:
f
1’7
1
20
1
0
!
li6,67
t
f;510
1
2b75
;
!.
il8
!
H.S
24
1
G
!
23@
!
lô,&
1
li,G
l
1
1
!
1
1
!
89
1
”
26
1
c
I
95,38
;
13:,135
;
m,uo
1
i
26
!
”
1
!
33
;
0
1
9,CP
;
3:,63.
;
359w
1
!
r
1
21,
!
34
;
0
!
2c,o
t
ti: !, oc;
;
23,25
1
1
22
f
35
;
0
1
3@,77
;
T5,36
i
3C:,,66
!
I
!
f
1
1
23
!
36
*
0
1
30,c:
1
ix,,0
,.
9,5c
:
! 2L; !
37
;
c
!
18,18
t
1i3j133
!
32,W
1
I
!
!
i
66471
;
56 ,?66
;
118&6
;
25
f
39
i
7:,69
!.
?
1
26
1, H.-S
'
r;b
!
p,cp
I
IIOC~, c 1
76136
;
28,25
!
!
!
1
!
!
!.
27
!
SOuNfr III f
c
1
L;G,,C'
t
26,O
;
4394(;
;
1
20
!
H;S
41,
!
c
!
yc,c:
j
7c,o
I
23,~
1
1
!
!
!
&
1
29
!
tt
42
!
7969
!
03933
;
66,66
!
37rc:
;
!
43
!
IL, c
E
40, c
1
2&&
f
50,25
;
1
3o
i
”If
E
1
h
3-l
E
45
f
7:,69
!
53955 ;
41953
;
4433
;
E 32 !
”
C,~l
i
c3,33
I
16,67
i
Ii3933 . i
455
1
!
!
!
;; 33 f ”
0
1
3c.,7T
;
?i2,30
1,,@
;
i
t
t
f
t
!
!
‘!
pwilx!E[
IDENTIFICdTICN ! INC. iSILD. 1
FC, KtLD. li SEV. MIL;D. ,
C,mBCN I
I
!
!
5.3.r,3
! li2. ILE3
! 12,1C,G3
;
21,1C.~3 1
?
t
t
I
I-
1
t
i
1 34
i H;s
5G ;
:
69,23 ;
,$Y,23
1~3~66 1
!.
!
!
!
35 i ll
53 !
@ii,.li5 !
313,~;6 !
30933 ;
1
!
!
!
oc [
46915 1
.36,32 :
QG
;
!
36 ; "
.
!:
?
1
37 ; OGONA
III
!
69,23 ;
58>4&
i
:i2,,5
i
t
!
!
!
'1
f, 38
! H-S
63 E
3h77 i
29,23 !
1753 !
?,
!
1
33 ; "
62 1
58933 f
4506
!
494c l
!
!
!
!
f
40
; '1
75 I
$6.7 J
'Il,,66 ;
2,315
1,
!
!
!
77 ;
0,33 f
(3,66
i.
6,6c
1
? 41 i’ ”
!
1.
78 !
$6,67; ;
E
t 42 ! '
a>33 !
1,C;G ,
!
!
i:
43 ; 'l
79 1
7&9
i
1953 ;
a,88
i
i
.
1:
.
! 44 ! "
80 !
3G,C
1
L!Z7,, c:
l!,CO
f
!
!
!
!
45
! sm
.III
!
f5,38 ;
la,76 !
3li,GG
f;
I
!
!
!
46 f' *.s
C??l
t
3097-7 I
X,76
!
1.
3,6G
!
;
I
!
47 ; "
92
!.
25,~
1
116,65 !
l:,GC
!
t
I
!
.,
!
!
27,27 :
25t45 !
f
rjc ,
”
s
.
3 ?
!
24,G
1
1.
r,g ! ”
!
33133
Ï
25,33 ;
5,3c i
I
t
I
; 5c ; fl
33,933 !
25,45 i
1,,i:c 1
!
i
51, ! "
j?, 7 s
!
lb,66
!
16,6'6 !
1,GC !
!
ll5p3G ;
15938 ;
o,c\\3 ;
!
.
1
1,5>3G i
12,30
!
T,liJ
i
!
!
23& t
?J, 84
!
2&33 i,
!,
?
t6,
30,77 i
2.9,23 !
2,33 !
!,
23,Gc)
i
2<;,
C’
;
?i5,5c ;
ts.
! 57 ?, "
34 !
!
38,46 i
3293
f
8,c
I
!
26,67 ;
24,
c
!
244
f
1:
!
1 59 ! "
37 1
!
ii;,23 I
lIC,C
!
5,5
i
!
22,22 ;
2C,G
;
l@
i
r
. .
!
33,33 i.
25,C
i
a,57 i
!
!
62
i
27~27 i
?
25945 ,
2933 ;
!
1
.
c
i
!
L
63 i
i;
!
24,5c 1
!
3G,45
;
253,23
;
13,66 ;
!
.
1
.:
55 !
105 i
3G,:r1;7!
1
i
204
I
3,l.d !
?
I
66
;
KS !
33933 ;
2c‘,c:
f
!
w,m t.
1
!
!
! 67 !
wc!c !
c.
;
1
G
1
2,Gc
1
!
1,
!
60
lIG3 ;
16,67 f
1r3,Q
1
?
!
I
1,66
;
!
. . .
1
69
!
11c
I
15,3c
Q51
I
!?
1
2933
!
!
;,
7c
SGUNfL
III
;
33933 )
2&33
;,
qc,33
;
:
!
*
SUI!l?E TABLEWJ 12
1
c
n,c!
I
!
71:
; E*S
111. ;
G
!
f
7;1;2
!
G
!
liC,lC
l
6,60 !
!
f
117 ;
c
I
3CJ7:
i
3,25 !
l,ji3 !
c
!
I,
22,22 I
13,&3 ;
!
$23 ;
T,B
?
F&I i*
25,85 !
li2!(
1’
15,3c
!
C)l $h,jT !.
b,33
f
I
1
1125 i
n5?38
I
5&33 1
4î?,!x
i
12$ ;
7<,.6;3
1
$G.,&
!:
2,,GO ;
!
!
!
1:27 ,.
7763
!
63964
!
55,o
i
123 1
c
!
50,C
;
12,r,o 1
!
!
!
!
21,c'
f
I
61,
f
1.29 t
3969
!
54955 i
II3C I
‘2
!
35936
!
3,C' !
!
!
!
!
III ,
C
!
22922
2C,C
lC,OG i
I
L
!
Gfi
! H.S
ii311
i
c
!,
51;,c !
45$
f
3766 1
t
1132 ;
61.33
!
r;l ,gili' ;.
yy% ;
Il49 83 ;
!
1i33 i
C
!
18JG !
7,27 i
3913 i
II34 i
c
f
115,3r; ;
,I15p 3s ;
r,, 16
f
!
!
183.5 I
li2,5
I
12,5
i
'1:2,5
i
1!5,C
E
!
89 ; ”
II36 ;
!
2090
;
,16,0
1
33066
i
!
090
!
.
1
yc f ”
Ii37 !
%5
!
6-i&. I
L$C, c
!
25,20 (
!
!
y$
i
”
1138 ;
0
c
!
C
!
1go ;
!
.
f
!
!
92 ! ‘l
n3g I
P2,5
!
30, c: f
28,c
!
8,6C !
: 93 i
!
!
II
aiq ;
0
55,56
;
'ri3925
;
.
!
44944 ,
!
94
! 5lotiml
III I
c
!
27,27 f
25,45
i
21,r;o !i
?&II
!
0
!
Y,09 ;
y,o3
Il+28
:!
!
;
1:42 i
8933
i m i ’
!
271n
lo
25,45 i
311,20
;
! 98 I ”
$43
i
no, 0
!
33,33 1
26,/67 !
25,,66:
r
!
.
!
lf$L:, i
I
0
f
42,86
!
32,86
!
'1129;33 1
!
33 i "
1.45
i
0
I
!
Y,Cî !
yy,oy
;
n3,66
I
!
1
.t
! 100 ! "
146
o
6:
t
c
!
c
I
l,li,60 i
$5C! !
C.
!
c
!
li,C
;
!
c
!
1, 1~c' i "
!
!
!
! llC2
!
I SCUNB
II.11 !
0
!
$18
!
1.8, la !
1:,c
;
<1
; Id3
; H.S
$51 !
0933
!
c
!,
c
!
1,c
!
!
!,
!
!
ls 1Ql ! "
152 ;
c
!
c
!
c
!
1,66 !
t53 ;
0
!
c
!
v
!
l:,Ç
i
!
!
T54 E
c
!
!
C
!
0
!
2,44
;
155 !
c
!
c;
!:
0
0
li6,57
!
f
1
1
I
t
IDENTI'ECCA.TIC?N
i
ci
!
0
t
c
1
2,511
0
!
18,18
!
?i6.,36
1
13,66
1
1
1
&33
1
3&46
1
3Q!5
L
4,4c
Of.0
1
9,OY
!
‘Fi27
?
35,37
!
1
!
ovo
1
WT
1,
590
?
14pT-l
GO
!
??Jr4
!
TV 114
!,
47930
!
i
F
25,.0
!,
6%23,
!
&3,08
!
ayo
!
?
I
1.8,o
090
33t33
31 v67
s
!
!
8,33
I
ovo
1
i
1:6,20
40
!
090
1
18918
I
1:2,73
I
5,33
!
I
c
%O
I
Y,09
1
7v27
!
76,66
T,69
!
li8,18
!
9109
!
8,83
1.
!
1:8,18
!
6,67,
1rp,22
090
1
t
!
!
t.)
!
21,,16
090
1
3%77
‘27v69
i
!
I
090
I
36,,36
I
.34v55
!
14,20
!
1
!
3,16
090
!
090
OY0
!
1
OVO
t
99 OP
f
9,09
1
25,3C
8933
I
27,27
!
25,45
!
8,57
!
It
!
8,:33
r.
116,67
f
. .
‘13,33
!
8920
O>C.
f
I
!
13 ,,a
t
1295
5vc
. .
!,
0, c.
I:
!
18,1,8
!
98,118
1
229’75
K, c
1
23933
!
ii5,c
f
36,V
1
!
!
G,L
I
Ici,C
1
lC,C
!
119,33
G, c
!
24,C
30,o
I
2,80
f
i
!
C,C
I
10,o
!!
6, c
!
l3,85
C,O
t
44 y 44
1
244-4
1
5vrcc
I
1
!
8,33
I
Z2,5Ç
!
1,2,5~
I
5975
cyc
I
li6., 67
1
13933
1
$9 ci
!
!
I
C,C
!
99CY
I
9,c9
!
1 ,G
C,C
!
2G,C
!
2G,C
!
2,8C
L
1
.
c,c
!
,c,p
?
c,c
2CyC
!
!
! 339
! H.Z
cy c.
!
YVCY
!
.3&:
!
TP33
116j66
I
!
!
16i, 83
!
27,27
2C,Ci
!
!
c,c
!
c:,
c,
I
cv c
1
27J6
0933
!
1.
f
!
16967
Pi, Ci
!
I
2722
cpc
!
10,c
!
4, G
t
1
Suite TABLi'iU 12
1
I
!
1
t ENTREE 1 IDEXTIFICATION , INC, PKtLD. L INC. h'XLD t
sm. IILI).;
!
CHARam *
12.10183
1!
1
i
5 . 9 . 8 3
i irZ.liO.83
I:
21.10.83 1
I
.
L
I
Y--
‘
t
t:
1‘99 :
28,O
:
090
4090
t
3790
;
I: lb45 !, ‘1’
200 i
0,o
090
I
0,o
i
1;9,80
i
t if46
; soum
III ;
20,o
2O,O
f
090
f
2C,Ir6:
i
t ii47
1 H.S
2c2 1
I191i~
8,89 i
c90
E
26957
;
!
2C3 ;
c9c
8,33
;
59c
f
3c,88
;
264 1
c9c
c9c
i
09c
i,
&ts
i
2~5 il
c,c
c$o
r
0,c
f
li4,50
1
205 !
c.
0
1:
c
!
25928
I
207 r
89.33
36.936
!1
23964 f
43950
;
208 I
c9.c
lx, 0 !:
26’,4G
[
213 i
1c9c
!
c
ZZ9ZZ
:
Il7978 :
li,G
I
2112 t
G
33,933
1:
28989 !
23985
:
î
2%
C
I:
I:
c
!
3,,1&
t
1
!
2ls4 :
0
259c
!
264
3wo
i
1
2115 l
c,cI
36936,
f
16936 ;
2~9~36
'
r
x
2116 r
09ç
ZO,O
;
2C,G
j
‘9C
1
2117 f
C.
Il89 1.8 ’
1~5~~36’ t
27,66,
:
I.
2lf8 I
G
5C9,C
[
3C90
;
23,2c~
!,
! Ii62 ! 1”
22c f
8933
36,36
!,
32,i’3
!:
7198
;
!
I
!
; $63
! SOUNA
III 1
C&i
G9C’
t
c,c
:
! 164
! H.S
223 1
c3c
Il&,18
b
‘?h2’/
!
f
i ii65 : 11:
222 !
Ç9C
36936
l
36936 ;
223 i,
c,c
%i!/jc
1
7$50 E
!
f 1;67 ; 112
.
cI,c
12,5i;
2 2 5
t
i
5tc
;
!! l!&j 1: tt
227 i
0, c
25,6
!
lT95@ !
!
1
!
; 169 , ”
22.8 :
C9û
li:,)ll
llI,l~l ,
.
!
! Il70 ! ‘la
229 !
c., c
0,c;
!
c,o
i
1
P?c ;
C,C
22, 22 f
22922
1,
III 1
99 09
2C,C
i
2O,c‘
1
!
i
T73' ; H.S
23% ;
c:, ‘2
f+C, c,
.
!
38,~~ ;
! $74 1 ‘j*
232 !
c,c
36936, 1
34,55 1
1
!
I
Ii75 ; ”
233 I
CI&
c,o
I
C,$
i
i! 1176 I fi
23Lr !
C$c
C,$
1
0
1
1
1
235 f
C$c;
‘( 777 f If
.
c,,i’
*
11%
1 ”
236 1
C!,,L
!
$79
i
”
233 ;
C$c:
SUITE TA,&ïQiU 112
IJXXT~IC~TICN
1
1
t
,
INC. îXJLD.
INC. XILD.
1 SZV. i3XD.
.
E
1
1
1
!
,
.
5.9403
* 1.2.1L.63 1’ ‘1.2.1O.tI3
1
Ï
t
I
:
=ri,c;
;
C%C
1
2G,i’
i
PP&
i
III 1
W
1
27.927 *
23,64
1
l
t
1
1
1
1
; nc2
! H.S
245 *
9,c:9
1
Lj.c:,c
*
L,G, c
1
242 ;
9&3
1
I
12,5
;
+f12,5
1
243 1
G, C.
1
ci,33 1
t’$G
I
:
165 1 “T
a5 ;
c,c
!
3c,c
1
3D,CJ
1
1
1
1
I
n o 6
* SGWA
III *
0, c
1
c9c
1
c,c:
1
1
liC7
1 ILS
251: 1
C,G
c,c,
r
G, c
I
1
r
1
!
252 I
C,C
I
3w
1
26,c’
1
a53 *
090
1
Y,.09
9,QP
1
1
1
t
1
254 f
090
1
090
1
090
r
ligl!
1
IF
255 f
090
1
0,;c
1
o,.o
1
1
1
1192 f ‘f,
256 1
C,C
1
15938 f
f5,30
1
257 ’
G,G
1
C,G
1
G, G
1
f
I
2513
f
no, c;
1
11,lil
f
Q,GP
259 *
C,C
1
C?C
G,C
1
1
!
f
260 I
c:,c
1
4i9,6T
*
35,i:
i
III 1
T,N
1
18,lfi
*
1
1
14>55
1
2t5ii f
r
C,G
1
4c,i
*
36,C!
1
262 I
433
1
G,C
1
C,G
t
1
1
1
TABLEAU 1'3 s SLU'S PRCJ CiLLECTICN SWNA, SlXJXiX IBV SCCd
fl .- -_.-__
IXCID~CE CT SmIm DU
;
11
!' H.S
c,,cc
;
75, QG
I
T&?
:
71Jl~
f
cl, lx
1
41,,25
1
1
*4,29
1
&,5(1
1
1.0, cc
1
a5, cc
I
9523.
1
59,5c
1
71
G, cc
75rOC
f
1
I
1
0
%W
f
Y G&O
1
f
3
25,~
1 Pas d'C4pl
!
1
1
1
$43
3,33.
1
yo,
1
s
Il!
G,,C%
1
1
51iy4C
1
f
0, oc
t
$2
1
56 ,,66;
1
1
1r3
O&C
1
Te, oc
1
1
1
1
-Il4
0, oc!
1 Pals d'Qpi
1
1
115
o,,co
;
3C1,
GO
t
1
1
li6.
O&C,
1
?h4Q
f
i 117
c, 00
1
Eh,83
1
1
f
1
lia
0, cc
54,,4Q
I
; 119
0,co
t
72 166
1
1
1
1
2Ci
C+c'
1
6.û,.Gg
1
* 29
G, oc
1
?T&a
1
1
1
f 22
cl, cx
I
07; GC
1
*
2.3
û, CG
1
63,33!
1
s
I
1
24
o,.oo
f
52,55
1
1 25
O,,OG
1
85,5G
!
26:
0,oc
1
s
87985
f
t
*
27
WC
1
f5G, 33
f
t
1
1
2 8
C, .GC
1
1
ah50
1
1
29
0,jY.l
1
1,85
I
; 30
99c9
1
1
1
25,OC
I
] i 311
59ce
1
13,?1-
1
1
‘I$67
1
1
1 32
33,115
1
r
1
3 3
n,a2
fg, Gc/
1
1
34
o,,cG
t
1
f
3,=
I
1
1
3 5
C,GO
1
%57
1
SUITE T,h.EdXAU $3
1
f
f ENF;
IDZ2JTIFICdTIGN I
SmITE
; INCIDENClZ
;
CHRRBOW
I
1
1
l3ilxJDIVU 1
KCLDICU
I
t
i
.
1
*
t
t
1
i
36
; HiS
33
;
0, OG
;
G, 00
;
57285
1
37
* ‘*
34
1
0,oo
1
c, cc
1
4i40
i
1
f
1
1
1
1
3 8
i ”
35
1
G,OC
5 2 ,
t
G,GC
I:C
1
3 9
1 “}
36: 1
C,CO
0,CL
f
27,41,
:
40
; tr
1
i
f
K
37;
*
0, cc;
r
0, GO
;
1,GG
1
41:
1 “’
30
1
G, C!L
1
0, C.6
23,131;
1
f
1
1
f
1
1
42.
f *t
3y
1
8933
1
0,33
1
l?j,80
1
43
i tt
40
1
$82
1
9109
3?,87
1
i
1
4 4
; IBV
1
1
8004
f
0,oo
1
0900
67,28
f
45,
t H.S
41’
1
0,jOO
1
0,oo
1
113,oo
f
1
1
1
f
1
46
; (‘,
42
f
0700
1
o,,oo
1
82,50
1
1
47
I ”
43
1
0,oo
I
09 00
1
32,50
48
;
“’
44
1
0,oo
1
0,100
1
24985’
I
t
1
1
t
K
1
4 9
1 (@
45
1
1~0,OO
I
10,oo
1
54,oo
s
1
46
;
7127
1
18,1.8
1
39 ,&
I
5Q
: “’
1
1
1
f
5.1;
1 ”
47
I
Of00
f
0,oo
1
4wPj
.K
1,
52
f ”
0,OG
!
0,120
1
19990
1
t
48
;
1
1
11
!
53
I tp
49
1
0, cc
1
G,OO
I
211,30
&
1
54
; t’t
5G
;
I:l:, 67
1
16.,67
1
I
1.
f
5243
1
K
1
5 5
*m
8~~4
I
(4 ix
1
c,, GO
1
29,40
K
56,
I H.S
51
;
3,64
I
Y&9
1
5%5?
f
I
1
1
1
57:
f t1
ij2
t
8, i:ti
1
20, ix
1
22,tX
I
1
53
;
C,K
1
CI, cc
1
1i5p87
1
1
5g ; "
1
t
!
5 9
1
)”
54
1
3933
:
8,513
I
23,777
1
1
&J
1 lb
55
f
C.,,C.t
1
c,c:o
1
23 J 1:
1
1
1
1
1
6:fi
f
‘1,
T0
I
3,64
1
Y, 09
1
115,88
1
t
62
1 ",
57
;
C&G
t
0,OC
1
18,80
1
1
s
t
I:
63
f “.
513
C,.c;G
;
c, C>C
1.
25,55
1
1
tq
t
“’
59
f
O,,,OC~
1
c, C>G
1
8, $2
!
1
69
; ‘8
6c
;
G, GG
1
1
1
1
1
c, ci.l
42,50
1
1
66,
I IIW
fm4
t
c ,,C:G
1
G,,GC
f
2r;, Ii2
1
1
67
E;‘-ji
;
C,CC
1
1
1
1
; H.S
1
c, cc
1
n,oo
1
1
a * ‘0
62
1
C+$G
1
C,CC
1
lit57
1
1
C,,CG
!
6, ci.
1
1
1
@
: “’
63
f
1
22,6C
1
1
70
I “*
6;r;
$
c,,oc
1
c, cci
r,,80
f
1
1
711
f ”
65
f
c,cc/
1
0, oc
f
f
t
28914
*
t
s
1
I mTREEl
IDENTIFICATIONS r
SEVERITE
1
t ITJCIIENCZii
1'
I
CHARBON I
I
w I
I
MILDIOU r
mLDIou
(
1
.
*
1
,
l
72
1
0,oo
0,oo
1
; H.S
f
54975
1
73
f
”
0,oo
0900
1
40,40
1
t
74
:
”
0,oo
0900
t
4or l,l
75
1
"
16,oo
2O,OO
s
33933
t
76.
;
n
1
$8900
l
0,oo
0,430
I
7111
l
1m
%69
1969
1
35975
t
78
; H.S
1,2,50
I
I
5,oo
1
179!n
719
l
"
0,oo
G,GG
I
3590
t
8û ; "
0,co
c, C,G
1
&,ll
I
:
81
1
"
lfi9 OC
419N
l
3l+44
1
8 2
; H.S
G, GC
CG
3,62
l
G9
:
83
1
”
3,64
99’CY
1
5,20
t
84
;
”
C, GC
(),iiC
1
l
1
4977:
1
85.
j
‘V
0, L;c
0 PC
2Z,88
9J’
t
1
86
’
”
G, cc;
0, cc
I
1,CC
1
1
!
871
;
”
G, C;G
c, CO
1
2, OC,
I
86
1
IBV
Cl, cc
cy
OG
I
29933
s
f
I
89
f H,S
0, CO
0, (j0
1
Il, GC
1
C,,,OG
c, K
1
56,36
1
9o f "j
t
I
911
;
Ih
p,fig
1,253
t
1944
t
9 2
1
”
O,,CO
C&C
!
ii~,6c;
1
1
t
9 3
:
”
G, cc
C,CC
l
1;3,42
1
94
f
It
O?@)
09co
t
ti957
I
1
95
1
In
0900
09
00
I
32,50
f
gfj,
1
1'
a, 00
q
00
1
Ii5 9 83
1
1.
I
1
97
t
'.t
13966
0900
09
00
f
I
98
I
"
0,oo
09
00
1
2,88
I
r
I
I
99
i zJ3Y
0,oo
0,oo
1
%‘9?5
1
1100
! H,S
0,oo
0,oc
1
ii,cE
I
1.0-L
;
I
11:
O9 GG
C,,GO
1
53,6Q
I
1!cY2
1
(f
G, CG
c9cc
t
T7!$33
I
1163
I
j
lt
1
1
0, CC
c,
w
1
2?,55
1
llcq
1
”
G,.CG
G,
CL
1
113 9.77
1
lqj, ; ‘C
ci, <.i;;
f
I
c,, CG
t
llC,3c:
1
liQ5
1.
*t
0,oo
09
00
I
7966;
I
1
1107:
!
If'
0900
1
*
0,oo
,
25.37
: ’
SUITE TAil3L;EAv 13
t
l
XDEiNTIFIC1iTION 1
smrm f
; ENTREE
1
1
INCIDENCE
;
CILPJIBON
1
1:
1
No
f
1
MiLDIOU
1
mxfDIOU
I
1
1
a
1
1
1.
1
c:
1
a08
; H.S
99
1
0,;oo
1,
Of00
1
%y50
1,
1
IlO9
1
Il
tiO0
1
0,oo
1
0,oo
1
24,25
0
I
1
;
IllrO
; IEW
8004
:
0,oo
1
0,. 00
1
21!,37
t
Illill
I
1
!
1
i
1 H,S
I!Oi:
5900
8,33
70,oo
1
1
1
1
1
l.li2
1:
tr7
Ii02
t
0,GC
1
0,
00
1
li3,.CO
1
Ii13
1
n.
1
c, cc
1
c, GO
1
I
lC3
3.983
I
11
1
1
f
1
l'iù$
1
104
f
0,oo
1
0,oo
1
Ii,,88
1
1
1 1:5
1
1D
11oc)
1’3,33
1
1;6,67
1
8,62
1t
f
1
1
i
1
Ill;6
I
106
1
0,oo
;:
0,oo
1
Ii, 00
1.
Inn
ï
II
107
1
OP00
1
0900
1
15,oo
i
1
1
1
t
I:i~8
II
1
1
108
0,oo
r.
%OO
I
12,40
f
1i1p
1
II;
109
I
0,oo
!
0,oo
1
110,;8&
f
1
I
1
li20
11
1
I
1
1
140
1
O,.OO
1
G, 00
119 00
1
1
Ii2 Ii
LY
8004
!
G,,CG
1
C,,OG
t
26,7i5
1
Ii22
1
311
1
1
f
l H.S
1
o,loo
t
Go OG
2,85
:
I
1123.
1
Il.
Ii12
1
G, GO
1
C&C
f
li7t.77
1
1
1
Ih
Oli3
1
1
c, oc;
1
1
a-3
1
1
1
0, CO
t
2932
1
szs:
1
Il.
$14
1
WC
1
c, CG
1
112,lrcJ
1
I
li26
1
I
II15
1
1
1
1
c,ou
5 p ,CG
1
1
li8,5c
1
1
1i27
1
j
::
Il&
t
c, CG
1
ci, a
t
'I:,pci
1
1
1
128
Il
lil!?
1
f
f
!
1
G?o0
1
G, GC
1
11,8c
1
a29
1
0
Ii?8
1
0, cc
1
C;, QG
2906
f
llx
1
II
TII:9
1
1
t
f
1
1
0 , C O
1
C,CJO
1
3,25
1
1
131:
f
ta
li2C
1
0, GO
1
c , cc
1
2,3C
1
1132
1
1
1
1
Im
80~4
G, CG
c, cc
1
65,87
1
i
1133
1 H,S
li2t
i
C:, CG
f
C+ GC
1
111,25
1
1
1
1
1
1
1t
1
Ii34
1422
1
t
c, GO
f
C, GO
1
3957
1
1
Ii35
1
1%
1123
1
0,
CG
1
0, GG
1
?l,OO
1.
106
1
1
tn
1
1
1
i
ii24
t
1 cj 00
116 9 67:
1
1
1
46957
1
1
1!37;
1
II.
1125
1
?i4 9 GO
1
21;,co
s
32,55
1
1
Ii38
r
11:
Ii26
1
1
1
1
1
1
0, CO
O&c;
f
1
23,25
1
If39
I
11
127
0, oc
1
u, CO
1
26,CO
1
t
1r4c
f!
128
t
C’, C@
1
f
1
1
!
1
c,cQ
1
li,GO
1
1
141
f
rn
II29
1
O,.OC
1
0, $0
1
32,83
f
1
?i42
1
11
1.30
1
1
1
1
1
1,6-t
r
a,,33
49,,7:c
l
1
t
1
1
c
. .
/
+mREz
1 *
1
1
mLxfou
1
IDEiNTIFICJiTICN
I
sm1m
1
INCI11mCE 1
CHliRBON
t
1
*O
r
1
IrnIOU
*
1
[I
t
.
f
î
1
It
1143
8~x4 ;
c, cc
C$C0
1
ro7sl4Q
;
irn
;
1
t
1
li4.4
1 H.S
131 !
0,oo
1
0,oo
25957
1
r
il
1345 ; "
1
132
0900
0,oo
38,28
!l
1
f
r
1
1,
:I
146'
1 "
1133 *
0100
1
0,oo
5585
1
11
147 ; "
234 ;
Q,OO
0,oo
t
48,oo
1
:
1
l.g,6#
1
1
148 1
11’
1:35 1
0,oo
1
0,oo
1
1
1
1
1
1.49
f
lS
136
0,oo
t
Qp,,OO
29 50
1
1
1
1150
1
h
1137 *
0,QO
1
0900
t
f33,25
1
1
1
Ii38 [
G, 00
1
0,oo
1
1
53,33
1
1
152’ r “’
1!39 1
G, oc
c, CO
63933
f
1
t
t
1
Ii53
’
11;
Il40 ;
Q,oo
4W30
1
1
Q?Q(J
1
1
1154
1
IBV
8004 1:
0,oo
1
0,oo
i
26,50
i
1
1
1*41i ;
1
0,oo
1
0,oo
8,&0
1
155
; H.S
1
I
?56 1
l?.
342 I
0,oo
1
0,oo
1
2‘?,371
t
1
!
lw3 ;
0,oo
0,QO
58,33
1
157
; II’
1
i
1
Ii44 r
0,oo
1
1
Ii58
1
“.
0,oo
1
35,85
f
1
1
i
159
;
”
0,oc
C, GG
6:0, oc
1
145 ;
1
1
I!@D
1
”
146 f
0,oo
1
0,oo
i
33,oo
1
1
1
1i61; ; "
0,oo
1
0,oo
73,oo
1
147 f
1
1
t
1
l@ 1 "
$48 1
0900
1
0,oo
1
64,14
1
l!
‘,
1
1163 l
1
f
liJ9 t
0,oo
0,oo
39,TQ
f
1
t
Ii64 1 "
150 r
2,00
t
1~0,OO
1
409 25
f
Ii65
1
1
f IBV
1
8004
9709
1~8, 1.8
31;,62
f
:
1
1
1.66
1 H.S
35.1 1
cl,00
1
o,,oo
t
27,42
1.
1
1
1
G, OG
1
71,661
1
167: * "
1;52 f
0,oo
1
1
t
1
I-68 1 If
1;53 1
o,.oo
1
WJQ
1
27944
1
1:6g
Il.
0,oo
r
0,oo
1
t
:
A.54 ;
t
11,85
r
1170 1 '!
155 1
0,oo
:
a,00
1
4462
:
1
1
1671. * "
Ii56 i
Q,OQ
t
0,oo
1
47:,6-e
1
1
1
1
1
1
11p.
f
II:
1,57 1
0,oo
1
0,oo
!
1%9,71
T58 f
0,oo
0,oo
1.
20,)OO
;.
t!
r
I
lipg9 1
0900
0,oo
1
24,66
1’cFû :
C,,CC
‘I
1
!
1
0,ço
l~,OO
1
1
8004 1
3,0,,00
1
30,oo
!
Il, 00
IfsI ;
0,oo
r
t
I
1
09fJQ
1
42,50
f
1!62 f
25900
t
1
2.09 00
1
I
25~00
l
1
SUITE T&.XEXJ 113
1im
TO3
10,oo
7:0,00
1
65,i.l
:
;. H.S
;
:
1
l! 180 1 tJi
164 1
9,013
Y,09
1
6Q,28
1
1”81.
* II
f
1
1
165
f
7927
1
18, Ii%
t
42,f4
1
182 1 ‘If
166 1
cg 00
0,oo
1
45,oo
1,67 f
f
!
5,oo
1
CI, 00
1
58,33
1
184 1 ‘*
168 1
om
0,oo
22,71i
1
1
i
f
1
I 85 1 “7
169
l
2.0,OU
1
25',00
1
$3,42
1
186l 1 ‘fi
370
1
0,oo
1
0,oo
50,85
!
1187
+ET
t
8004
f
0,oo
.o,oo
f
6933
1 1188 1 H.S
1p 1
~43
t
22 922
f
&jj Ii&
1
169
f ”
0,oo
1
'0,OQ
1
1
‘1.32
:
1
0~9&
1
1190
1
‘R
m3 1
Q?m
1
0900
i!
779137
1
-
1
$91
1
1
0,oo
1
1
* ‘)
774 *
o,,m
1
1
@,OfJ
1
1,grr
1
‘5
175 f
0,oo
0900
f
80983
1
f
::
193 * “,
176
i
Il’,43
1
1429
!
47950
1
Ii94
1
1”
1177 1
0900
0,oo
1
1:6, OQ
t
f
1:6,72
1
1195
f
“’
178
t
0900
f
0’00
I
t l.ys 11 "
179 1
0,oo
1
0,oo
-I8,60
1.
10,oo
1
f
180
Ii09 00
!,
1.
54933
1
liy8 1 lm
8004
1
09 00
o:, 00
;
41983
1
;
1
181
O!, 00
113.,44
1
+Y9
; H.S
f
açoo
1
1 200 1 It
182 1
0,oo
t
O!, 00
1
14,55
1:
1
ILO;, 00
1
1
201 : ll
183
;
4900
1
2,62
1 202, 1. 'I
1184 I
0,oo
f
o,, 00
1
26,OO
1
203 l ”
1185 ;
0900
o,, 00
1
t
r
a940
1 204
1 ”
Il@ 1
0,oo
t
0,oo
t
2,88
1:87 f
1
1
4944
t
l,li,
Il
16,114
188 1
0900
0900
t
4,510
1
1
ii89 f
1?,43
f
1
207j * “,
1
$4,29
!
32,OO
1 208 1 “’
I
Ii90 1
0,oo
1
09 00
1
47,62
1
209
tm
8004 ;
Q,OO
1
1
0900
i
40,25
1
2m
1 H.S
1:pi
1
0900
1
o,,oo
1
2’ï’,40
1
211 f IL
lly2 ;
0900
1
0900
1
1
1
1
33950
1
2112 ( ‘3
193 1
0,oo
0900
1
Il8980
I 213. ; ‘fi
li94 ;
0,oo
i
opoo
s
48,66
1
214 1 “.
195 1
8,33
f
8933
f
7i9lO
lIL_--
1
1
SUITE TA.BLEW 13
!
SEVERITE
1 INCI:DENCE
1
1
:-t
IDENTLFICAIIIIQN 1
1
f CHARBON !
No
J4xLImu *
1
1
1
I
f-
MIIJDI~
t!
1
6
t
215
; H.S
$96)
0, oc
0, oc
?i8,00
;
1
!
1 216 f "
1197i
$00
1
0,oo
26,5O
1
1
f
1
I
1
217 * '1
198
1
0,oo
0,oo
1
1
Y,33
f 218 1 'k
l-99
1
0, CIO
1
0,oo
QV57
$8.
1
it
f
2ng
f
200
1
?iO,OO
25900
1
1
24,40
1
220
1 lxw
8004
1
0,oo
1
op 00
1
36, ii4
1
t
1
1
22%
) H.S
2mi
1
1
1
$?(JO
1 222 1 If
202
f
1
18,33
f
f
223 ; '%
203
no, 00
2Ii;,oo
t
25,6
t
1
1
f 224 1 '*
204
f
1
1
657
1
1
1
205
1
3933
E[,33
t
1
509 00
1 226 I “s
206.:
f:
1
16; 1111
f
I
207
1
3964
9,09
!
t
49942
1 228 1 ‘S
20%
f
1
l,?l,~O
1
I
!
1
1
229 f ‘a
209
1
n5,oo
1 230 1 **
2110
f
t
1
3n,33
I
1
231
1
1
tm
8004
1
1
1
43957
1 232
1 Isis
2lil;
1
1
1
17,57
p33 ; I.h
1
2.32.
1
1
45~25
f
1
I
!
1 234 1 Ih
213
1
1
1
47, m
i-1
2114
1
1
1
58,88
1
235
t
M
1
r
1
ai5
a,50
216
1
f
t
1
1
s; 7ill
217
1
liQ,,OO
f
?ICI, 00
4150
1
1
f
t
239
f
111
211%
1
1
452.8
1 240 I ‘fi
Zlig
I
1
1
3, 00
220
1
1
1
r
I
1
73, w2
1 242 Inw
8430.4
1
1
37111
243 ; H.S
22%
1
t
1
W5.9
I*l,, $1:
31l900
f
222
f
f
1
38,PO
1
1
223
t
t
1
42,42
224
1
8933
1
8633
1
29J!l
1
1
225
211,00
i
1
Tti:
1
0,oo
t
Of00
1
114,28
1
1
249
1 IF
227
0,oo
0,oo
t
t
SO,25
1 E-j0 1 ‘Ii
228
1
0,oo
0,OQ
1
f
1
7,33
1
1
1
1
f m= i
IDElNTIFICAiTION
SEVERITE
:
INC3lDEXCE ;
No
1
t
KtxD10u *
MIm1ou
CrnON
1
1
t
I
t
*-
t
2?jll
i H.S
229
i
43900
09 00
1
4,25
252
1 ~1
230 I:
0900
1
0900
24,87
253
; Il3v
8004
f
0900
0,oo
t
S?i, 62
254
f H.S
23s f
09
00
0,oo
1
37,83:
255
f
?If
t
232 l
0,oo
0,oo
f
22,m
256
1 11'
233 1
0,oo
0, 00
1
34,m
257
I
t?J
234
t
0,oo
0,oo
t
lI7,txO
258
1
“$
235 1
w, 29
M,29
f
55933
259
f )1
236
;
3&4
Y,09
!
1:7r50
260
1 #'
237 ;
l,O, 00
IIQ, 00
t
18,oO
1
264
f
"
238 I
0,oo
0,oo
1
%(JO
2 6 2
1.
”
239 1
8,33
8933
1
17,33
253
;
I’
1
240 f
0
0,OO
t
ii,00
2a
1 I.Bv
8004 1
00 00
00 , 00
1
I&l
265
; H.S.
24% ;
0,oo
0,oo
i
45,50
26613
1 Iii
242 t
16:,67ï
16,67
1100
267
;
”
243
f
f
0,oo
0,oo
1
l:, 00
26B
I
Ill
a4
*
9,09
!3,09
1
4YcQ
24$l
f
?”
245 ;
61,67i
&33
1
1;, 00
270
1
If1
246. 1
a,00
10,00
f
Ii, 00
271’
1
II.
247
I
0,oo
0,oo
1 Pas d”Qpi
212
1
‘n
248 !
25, 00
2y, 00
II!
273.
; ')
249 ;
Fi.,71
iq,29
f
rn
@y1;4
1
‘b
?a
*
0,oo
0,oo
r
Il
1
3715
tm
8004
f
110,00
10,oo
l,oo
1
2 7 4
I H.S
251(
t
3,33
8,33
I
l,oo
277
i
11:
1
252
f
28957
28,57
1
l,, 00
278
1
fl
253
1
0,oo
0,oo
i
Pas d’épi
m
1
II
254 f
Of00
0,oo
1
Pas d’épi
280
f
tt
255 1
0,oo
0,oo
II
381
1 lit
I
t
ô’56
f
0,oo
09 00
1
3:7,40
282
1 'I
257 *
0,oo
0,oo
3Th @J
283
f
f
't
258 f
0,oo
0,oo
t
l.,OO
284
!
tt
259 1
a, 00
0,oo
II, 00
285
f
lt.
260
)
0,oo
0,oo
t
t
Ii;,00
286
t xix
Boaq,
1
a,00
20,oo
1
Pas d’é.pi
t
t
f
SUITE TABLEAU 13
fla!mEE ;
1
1
IDENTIFICATILW
1
SEVERITE
t INCIDElNCE
CHARBON
f
1
No
1
MILDIOU I
.MIu)sou
t
1
.
.
I
1
287
; H.S
261
;
0,oo
0,oo
1900
f
;
;
1 288 I ”
262
0,oo
f
0,oo
10900
1
1
f
1
289 ; 'ti
263
0,oo
0900
3, 00
i
1
1
! 290 I '8
264
0900
0900
1,900
f
2yii ; "i
t
i
1
i
265
=,50
lt2,50
Pas3 dWpi *
t 2p2 1 Ht
266.
0,oo
f
0900
t
1,oo
fi
1'
1
I
293
f
268
Q, 00
1
uyoo
t
3900
f
1
294
1 "'
268
0,oo
0900
1
i,oQ
t
i
f
295 ; ”
269
O?o(+)
0900
42950
s
f
f
1
296
I ”
270
0900
1
0900
1
Pas d'épi 1
t
!
1
1
8004
0900
0, CO
2695
1
1
1
f
298
297
r
fmv
His
271.
0, GO
1
090
2, 40
1
t
f
f
WY
1
”
272
0,oo
0900
37900
1
f
I 300 1 lf
273
0,oo
1
0900
61;,25
f
1
30%
f 11,
0,oo
1
0900
t
1
274
%,00
f
1
1 302 1 "'
275
0900
t
0900
1
Ii, 00
1
1
1
f
1
303
f tn
276
0900
0900
Pas d'Qp$ 1
1
I 3@4 I f'
tB
277
0,oo
1
0900
f
t
1
f
305 ; "
278
O?QQ
f
0900
F%a d'épi
t
%?Y
0,oo
I
0,oo
t
75900
1
280
Y,09
t
f
99Q9
1
23940
t
1
308
triw
8004
Y,09
1
9909
1
3>,25
t
I 309 ; H.S
281
0,oo
r
0900
t
8925
I
1 310 1 “.
282
0,oo
1
a, 00
7/@
f
3.118
283.
1
f
f
1
;
“.
Q9QQ
1
0,oo
1.9 00
1
1 312 1 ",
284
0,oo
1
09Qo
f
B2933
313
f
t
t
;
11
0,oo
t
285
WQ
I
1
35,40
t
1 3114 1 lf
286
O,fJQ
1
0900
a,!%
1
:
I
I
3?5 f ‘I
287
0,oo
f
09,~
f
32911
1 316 l ”
288
22,22
1
.22 y 22
!
X,75
f
1
1
1
f
31!7 ; ff
289
0,oo
f
a, 00
63,7/0
I
1 318 I lr
290
0,oo
1
0,oo
f
1
a97!5
1
f
319
f=
8004
0,oo
1
0900
f
36154
f
1 3-20
1 H.S
29%
0,oo
1
0900
1
34900
1
f
321i f 1"
0,uo
1
1
I
1
292
1
%,OO
iT,85
1
1 322 I ”
293
Q,!JO
1
f
f
f
1
.
0900
4h85
1
SEVERITE f
1
IIWIIIENCE
[
f
IDENTIFICATIGN
I
1
KiiLDlXXJ
MILI1IOD
I
cxARBaN
t
t
f
-
!
294
i
a, GO
1
09 GO
t
W’i5
1 324
1.
It
295 l
0, GO
1
Gj, GO
1
28,GG
:
1
1
1
1
32.5 f
H;
2%.
f
0, GO
t
oyoo
1
33,83
f
1
326
i
n
2P'l *
0, GO
1
0, GO
1
3f$33
1
1
1
i
327
;
It
298 ;
WQ
t
0, GO
1
46,3.T
1
1
328
1
‘*
299 *
0,oo
1
0,~
1
6-4811
1
f
329
Il.
1
1
300 ;
a,33
8,33
1
1
65,7f3
1
t
330
I mv
8004 1
0, GO
f
0900
1
63,871
1
1
33%
1:
1
; H,S
m ;
0, GO
t
0,OG
f
@~,8’7
1 332
*
”
302 1
09~
1
Q,:~
1
37,40
I
1
1
1
1
I
333
1
lt
303 ;
0, GO
1
0, GO
I
26+%
1
334
1
lh
304 1
0,~
1
1
509 55
r
1
0900
1
1
1
335
;
it
305 ;
O,QQ
1
cl, 00
1
yi, sa
1:
1 336
1
“l
s 1
Q,@J
1
G9 Gu
93,33
1
*
tn
1
f
;
33.T [
3Gï7
f
0, GO
0,!30
1
4GJ4
1
1
33,8
t
‘If
308 f
O?oQ
i
G$O
1
fi&@3
1
1
1
il
1
339
f
tp
309 f
0, GO
1
0, GO
I
&t1;942
I
1
340
1
I”
3.10 1
0, GO
1
0, GO
1
48950
D
1
1
K
I
341;
;=
m f
0, GO
0, GO
1
4o,28
! 342 ! H.S
311! 1
Q?@J
i
0, GQ
1
351950
t
1
1
343
;
‘%
31i2 f
f
1
0900
1
0900
1
44,o
1
344 1
n
3113 1
0,OG
1
0,oo
1
82950
t
1
1
t
345 ; It.
31.4 f
0, GO
s
G,GG
t
3,7,42
I
1
34.6
1
n
31'5 1
0, GO
t
0, GO
1
14,60
1
1
347
;
1’
3316, ;
1
0, GO
0, GO
22, Go
1
i
1 348
1
tF
317 1
0, 00
f
0, GO
t
32,25
t
1
1
349 ; 't'
3li8 :
Q,.QQ
I
0, GO
I
26,~~
1
1
350
1
lt
319 1
0, GO
1
0, GO
1
&80
1
1
1
1
s
3511 ; ".
320 f
G,OG
t
0900
1
2633
1
352
1
W
8Gci.4 1
7>27
9,QY
1
?;7,60
1
1
353
f
H.S
321: ;
0,
f
GO
t
1
0, GO
i
35950
1
1
354
1
‘tT
322 1
09 00
1
0,
GO
1
1G,GG
1
1
1
1
1
355
[
‘l
323 'I
0,. 00
1
1
0, 010
1
21,83
1
1
356. 1
n
324 1
Q,GO
i
0, GO
1
l-j,62
t
1
1
1
357 f
'I
325 f
a, 00
1
1
0, Go
1
14,8?Ï
1
1
358 1
If'
326 1
o,o@
;
0,OG
1
9,711
I
1
t
I
1
1
-
-
1
1 359
327
1
5.71
14.29
1
21.50
f 360
328
1
0.00
0.00
1
la.00
1
1 3611
I
1
329
1
0.00
0.00
li9.00
f 362
330
a.33
(3.33
t
27.50
1
t 363
1
1
1
?i6.? 67
i6,6~
1
22922
1 364
3311
I
0.00
0,oo
I
53.25
I
I
I
1 365
332
t
0.00
0.00
I
26,t%
! 366
333
1
0, 00
0.00
1
2.6&0
t 367,
1
1
334
0,oo
0,oo
t
sa
1 36.8
335
I
0.00
0.00
1
s?ly mi
f 369
3!3G
1
!
0.00
Ii, 00
26,33
1 370
337i
0.00
0.00
f
4x44
f
1
; 371,
338
I
0.00
0.00
1
511.22
1 332
339
1
0.00
0.00
1
$3175
!f 3B73
340
t
0;oo
1
1
Ci 00
1
39.40
1 374
8004
1
0.00
o*oo
1
2.8.3 7
1
; 375
3411
1
1
0.00
0,OQ
I:
3kl4
1 376
342
1
0.00
0,. cxl
1
43.80
1
f 3.77
343
;
0.00
a4 00
1
22,36
f 378
344
1
8.89
22,,22
1
3,5,88.
f 379
345
1
1
1
w7
91109
1
43*71
1 38a
X6
I
CL00
0,. 00
f
7/-L%
I
s
t 3ajl
34.7
f
0.00
0,oo
t
28,83
f 382
348
1
0.00
o..oo
1
63.871
1 383
1
349
0.00
1
1
0. CO
2.0.50
I 384
350
0,oo
o,.oo
t
22*25
1. 385
8004
i
1
1:
0.00
0.00
1
39*71
351'
1
0.00
0.00
1
23*75
f 386:
f 3877
352
1
1
1
0,oo
0.00
t
38.37
1 388
353
1
Q,OO
0.00
I
1.5.66;
1
1 389
354
tI
Q,OO
0.00
f
40*50
f 390
355
0.00
O&O
58.88
: 39%
3.56
t
1
1
0.00
a, 00
29*6h
1
1 3%
357
1
0.00
&OO
2.62
! 393.
1
353
f
1
a*00
0.00
w. 42
1 394
359
1
0.00
0.00
9.2a
1
fI
1
f ENTREE
;
IWiXDEiNCE
;
IlxEwEIF1cmoN
S=ITE: ;
N=
MILDIOU I
M~3xou
cHARmm
1
1
1
,
1
1
?
t
-
.
1
395
; H.S
360 '
0.00
112.66
i
umuu
;
1
t
3%;
; lm
i3cQ:
0.00
1
0, QO
1
llY*M
1
1
1
1
1
, K*S
364, ;
0.00
0.00
l-z.85
1
3,911
1
1
1
398
1
”
362 1
0.00
1
0.00
9.16
f
1
I
t
f
399
$
‘I.
363
f
762T
1
9.09
1.88
1
4 0 0
1
In
364
1
0.00
1
0.00
f
li.80
1
1
!
401:
;
”
0.00
0.00
2.20
t
365
;
I
1
1
4 0 2
1
“.
366
1
0.00
t
0.00
1
33.. i?-lb
4 0 3
f
It
16.67
I
1,6),67i
li8&5
f
f
367
f
1
i
1
1
404
1
‘I,
368 1
0,oo
1
0, 00
1
50.20
1.
1
f
f
4B
f
lt
36Y
;,
0.00
1
0,oo
1
34.75
1
405
1
‘&
37ÏQ
1
0.00
!
0.00
8 . 6 0
f
1
1
f
1
4 0 7
f
lm
8004
f
0.00
oc, 00
35,771
f
1
408
1 HA
3719
1
0.00
1
0,oo
f
12.
TO
1
1
1
1
1
4 0 9
f
”
372
;
0.00
1
0.00
1
3 3 . 2 5
i
1
4110
1
th
373’
1
0.00
1
00 00
1
50.00
1
41J
II’
I
1
1
1
I
t
374 ,
3 . 3 3
80 33
1
XL77
1
4 1 2
1
lr
375
1
0 . 0 0
f
00 00
1
27.3,0
1
4a3,
;
tl:
1
1
f
1
376
f
0 . 0 0
1
o,, 00
!
s.77’
!
1
4x4
1
‘f
377
f
8 . 3 3
1
8,133
1
20,7’7
1
I
415
;
11
!
1
1
f
378
;
0 . 0 0
1
00 00
1
5.25.
1
1
4116.
;
11,
379
1
0 . 0 0
1
O,.OO
1
29*37
1
41r7
;
11
1
1
f
1
380
;
0 . 0 0
1
0.00
1
m . 3 3
t
4118
J
IEV
8004
1
0 . 0 0
1
0.00
1
27.25
1
f
1
1
419
; H.S
381: ;
0 . 0 0
0,oo
f
20.50
f
1
4 2 0
1
rn
382 1
0 . 0 0
1
0.00
f
67.50
4.23
:
tn
1
:
t
383 f
0 . 0 0
0.00
i
1
35.00
1
422
I
lr,
384 1
0 . 0 0
I
0.00
1.00
t
423
f
lR
385
f
0 . 0 0
1
oc00
f
f
1
3 4 . 4 4
1
f
424
1
It
386
1
0 . 0 0
:
0.00
!
4.7271
1
1
1
1
387
f
0 . 0 0
0.00
1
!
8.22
f
1
426
1
1t
388
1
0 . 0 0
f :
0.00
1
5.20
1
1
427
i
‘t
389
;
0 . 0 0
1
1
1.
0.00
I
19.55
!
428
1
'tf
390
1
0 . 0 0
1
0.00
1
a*55
f
1
1
1
:
429
1
IBV
8004
f
6 . 6 7
1
8.33
32.11
1.
430 I: H. S
391 1.
0 . 0 0
1
1
1
0.00
I
1.50
1
I
.
*
1
t
t
SUITE TABLLEAU $3
1
1
s
+$y s
IDENTIFIC~LTION 1
SEVERITE
t INCIDENCE
1.
m1OU I
r~miDIou
t CRXRBON
1
t
I 431i f H.S
0.00
;
f
0.00
I
t
432
1
"'
1
f
433
;
‘*.
1
434
1
‘)
395
f
0.00
0.00
I
Pas.d%pi
1
3% I
a00
0.00
!
I
1
436
S
‘(.
3971
I
0.00
1
0.00
lit .ZO
11 437 ; ‘*
398
;
0.00
;
0,oo
!
f
I
II.88
1
1
438
1
“,
399
1;
0.00
1
o,,oo
1
lIZ.62
1
l
I
439.
If
;
1:
:
400
f
112.. 50
I
1r2,,50
f
45.75
1
440
IBK
8004
1
0.00
i
00 00
1
72.33.
f
I
1
1
1
1
1
l& 0 pJyFJT LRivI-r INCIDENCE DU KILDIOU ET DU CIW2BON DANS DEUX LOCA.LITiJS
--p--
NIORO ET B,iUE'!
f
1
1
MIC]RO
BAmxY ; CRIBL&E)
t
NIORO -i
BA+ïKEm
1
1
*
LOUGA
I
1
t t
1
t
t
;
1
bb
1
1
1
s
6*7
ii.' 6
;
33.8
7.5
20
2,5
1
1
;
1
1
t
2
8.4
1
0.00
1
19.4
0.0
30
1
0,o
f
t
3
1
i
t
t
1
3.ç
1
1 la.9
t
13.6
1
0.00
1
48
:
10,5
1
f
4
15.4
33.3
1
15.0
1
1,o. 0
;
i
I
57.7
52
1
5
10.7
1
12.5
I
1
t
1
1
18.2
2.5
28
t
1
1
1
6
t
36.6
1
31.1
1
1103
1
0.0
t
0.00
1
1
3 5
I
7
27.8
f
11.8
44.2
1
0.00
t
1
2 5
3.0
1
1
t
1
1
1
I
8
10.2
1
12.5
45-o
12.5
1
2 5
0.0
I
f
9
1
38.4
1
0.0
f
1
f
f
1
3&0
0.00
15
0.0
1
1
1
1
1
1
1
1
DO
1
0.0
1
CL0
27.3
2.5
1
20
1
2.5
1
1
1
t
11
18.8
f
1
40.5
36.3
0.0
50
0.0
t
1
!
f
1
1
12
i
13.8
f
3.8
45.8
2,5
2 2
12.5
1’
1
1
1
f
i
1
13
20.0
0.0
f
1
33.3
0.0
1%
5.0
I
1
1
1
1
1
14
f
10.0
1
18.4
1
55ao
0.0
1
1
0.0
1
1
40
f
115
1
i
1
1
1
0.0
16.6
37.5
2.5
22
0*5
1
t
1
1
1
f
1
1
16
1
3.6
1
10.0
1
9.1
0.0
f
12
1
0.0
1
1
1
f
1
1
f
17
6.6
16.6
1
24.0
2.5
28
15.0
t
1
I
1
1
1
1
1
1%
f
16.7
1
13.6
56.7
1
17.5
1
50
1
12.5
1
1 $9
1
1
1
1
t
0.00
1
0.c
1
4.5
:
5.0
1
3 2
0.00
1
i
I
20
1
3.40
1
1
27.3
1
10
1
1
4.6
2.5
&50
1
1
1
1
2-L
i
1
1
1
24.6
l-I.5
1
17.0
1
CO. 0
1
45
0.00
1
f
1
22
1
0.00
f
3.8
1
16.7
1
0.00
1
15
1
0.00
1
1
1
1
1
1
1
I’
23
l,O* 0
1
3.8
f
16.7
0.00
2 2
1
0.00
:
10.00
25.0
1
8a3
f
I
20
1
0.00
I
t
24
2,5
I
1
1
2 5
1
t
6.6
22.1
1
10.0
1
2.. 5
1
3 2
0.00
t
f
i
2 6
25.9
f
4.6
1
29.2
f
2.5
1
8
1
3.0
t
1
1
1
I
1
f
t
27 1
7.2
0.0
f
16.7
1
20.0
1
7 5
1
0.0
I
28
1
17.2
t
6.0
1
8.3
1
2.5
1
38
1
0.0
1
1
1
1
1
1
29
1
t
0.0
1
35
10.0
0.00
?? 0
1
1
1.0
1
0.0
1
1
30
3.6
1
9*1
1
1.8.2
1
0.00
r
12
1
0.0
1
1
f
1
1
1
1
1
1
2
31,
1
24.4
1
0 . 0
1
1,493
0.00
l!O
O*O
1
1
!
1
32
1
0.0
1
$5.0
1
0.0
1
2.5
1
6
1
? .o
1
i
1
1
1
1
1
1
1
33
1
3.4
1
23.3
1
7.7;
1
0.0
1
30
oeo
f
1
34
1
28.9
1
TO. 0
1
13.3
!
2.5
f
2 2
t
O.:i
1
1
1
1
1
1
!
f
1
35
1
6,2
1
2.5.0
1
6..2
7T.5
20
2.5
I
36
1
0.0
1
0.0
I
20.8
f
0.0
I
45
1
1 .o
/
1
1
1
1
?
1
1
L
SUITE TABliEi&JJ 14 o
f
1
mLD1ou
1
CHARBON
’
t
I
1-t
i
37
21.4
17.2
yL4
3 8
î
;
2,5
f
515
1
3 8
6.6
1
5.0
1
0.0
7.5
3 %
1
0.0
1
1
1
1
3 9
e3.8
1
0.0
I
5*6
2*5
55
O*OO
t
1
40
20.0
‘0.0
1
8.3
2.5
8
1
0.0
t
1
f
41
6.6
0.0
i
23.3
0.0
1
0.0
I
f
42
6.9
f
3.8
I
4.2
540
15
0.0
1
1
f
43
6).2
0.0
0.0
f
0.00
1
t
2,5
15
f
i
44
20.0
8.4
$8.2
2a5
3 5
0.00
f
f
;
45
3.4
t
1
0.0
8.3
0.0
5
0.00
1
46
l:%.O
16.6
t
0.00
0.0
2 3
t
CL0
;
47
TU+.8
f
!
f
1
9*1
1
9~2
5.0
40
1
0.0
1
48
3.4
1
13.8
f
5.0
2,5
2 0
1
0@5
1
;
49
30.0
22.2
1.
0.0
0.0
1
I
8,3
3 0
f
f
50
10.0
1
10.0
1
25.6
7!*.5
50
s
04
51;
t
f
10.0
60
t
3.8
1
33.7
2,5
!
om.5
1
52
3I.6
1
45.4
?!O, 1
5.0
?!
0.0
I
40.0
1
t
3e8
f
1
5.0
77.5
50
2.5
f
53, 54
1042
1
O*O
15.3
2,5
62
t
0.0
f
;
55
6.6
1
5.0
0.0
115
1
1
4.2
1.
1
0.5
t
56
26,6
22*2
5.0
2.5
4 5
0.5
f
1
f
52
a.4
0.0
I
16.7
0.0
0.0
t
1,
7.5
f
58
c. 0
1
0.0
1
713 * 6-
0.0
20
t
0.:;
1
22e5
1
7*2
f
04.6
o*o
16
1
2.5
t
59
633
1.0.0
f
0.0
10.0
2@5
30
0.5;
I
63
0.0
1
11.6:
t
0.0
do
!
0,o
s
1
5.5
t
1
62
3.6
‘I*T
1
0.0
0.0
20
1
0.5
f
1
f
6 3
1Xh 7
0.0
1
1
1:3.6
5.0
4 2
1
5*5
1
6 4
3.4
f
3.4
1
25.0
245
10
0.0
1
1
i
1
65
liO.0
20.8
25.0
0. CI
I
t
2,5
5
1
1
66.
Qa
I
1,6,1
t
29.1
0 . 0
2 0
0 . 0
1
f
67
6*6
0 . 0
t
i
3.4
1
30.0
5
0.0
1
68
0.0
1
4.6
1
8.3
0.00
5
f
0.00
1
I
33.4
1
1
?*2
t
20.0
2.5
10
t
0.00
t
69 73
1
0.0
1
0.0
a00
10
1
f
0.0
0 . 0 0
1
t
1
t
i
J 16zIIDIOU
f
CmBON
t
1
t- f
NI@lO
f
Iu+xmY
t CRIBLAGE
I
T3sh.I.m
1
LOUGA
I
t
f
%i'
f 5.0
!
8.3
-4
1
32
; 0.0
1:
I SO.7
27,,3
t 30
1
t
f 7B
0.0
n2.5
f
5.0
;
50
t
1 34
I 0.0
4.5 f
2..5
15
t
f E
I
TO, 0
I
16.6
; 4.5
;
0.0
1.0 f
1 76
1.0.7
16.6
I
0.0 I
OI0
; 20
0.0 1
f 00
f 62
f 00
1
f
7T
c
1
*
f
41'.7
f 0.0
8
.
I
1 7@
i 6.6
f
18.4
30.6
1
0.0
f
72
f
0.00 1
f
t
19
1
46~9
f
33.3
50.0
f
0.0~
f 8
f
0.0
f
S
80
1
o,o
1
14.3
t
27~3
45.0
30
0.00 t
f 50
!
81i
;
f
70.0 ;
21.6
f
f
9.1;
1
.
1
8
1
0.00 f
!i!ABAU $5 : ltiME%X 83. ESSAI IpNDI!dN
PIOY'ENNE DE L'INCIDEXE ET DE Lh S=ITE DU HILDIOU EI' DU CHLIRBON
f
t
HILDIOU
1
; ENTREE ;
f
IDZIVTLFICI1TION
1,
U
f
1
CHARBON
f
1
No
1
; INGIDrnCE
SEVERITE
I
*
1
.
1
f--
1
7c.K251:
46.4
4*e
28.17
700512
t
662
6e.62
f
26..05
7005116
1
f
2494
2.94
1
1'2,35
700546.
1
0.0
0.0
1
1.3.a2
700651,
1
1
0.0
0.0
i
117.7t3
P.7
1
0.0
0.0
1
23..42
P. 1 oj
1
&81i
5049
I1
14.17
P.31:O
f
2*27,
2.27
25.9
Pm472
t
t
I
0.0
0.0
1
37.115
p.473
1
O*O
0.0
I
5.9
p.513
f
lfL50
5.46
;
22.96
P. 524
t
0.0
0.0
1
19.50
P” 1607
1
4.16
3.33
i
53e25
P.1610
:
5,. 0
2.0
53-76
P, 26og
1
f
1
6.52
5.0
1
GI..60
P.2671.
1
0.0
0.. 0
1
20.t4
P. 2672
f
I
0.0
o,, 0
1
8.05
P. 2894
1
8.89
8,,89
1
12.50
P.2964
1
1
f
0.0
o,, 0
1
30.30
EB - 8 3 - 2
I
4.16
f
12115
!
23.71
zf3292-2-l-8
; 2.08
C%:a3
:
29.8
I(E.282 x 3/4 E x B -
100)
53.57
47.38
1
2li.57
1 - ?h-p4
1
1
1
23
'(EBd32-2 x 700Ç81i34-5)'
2,oa
0.83
21.00
:X P. 7 xsc (S)4--a7-2-1~~~ f
t
a
f P.7 x @.282 x J.80&1 1
2. ?g
2.17
s
Tll. 110
1 -1) -
3-l/
f
I
25
x J-1
ll3.04
7*:39
21 *go
f
1
2 6
INELC - H79 (ORIGINAL)
f
4.34
3.04
18.47
t
27
fNELc - ~79 (REC~NSTITU- i
2.17
0.87
1
46.80
Irn)
!
1
28
S Ivc 80031
s
5.33
2.91
1
31.06
!
29
; IVC
80082
iI
2.17i
0.43
8.7%
30
1 rvc 801i35
i
4.34
z.30
I
$7. 1 14
-1
1
:
lKllLDL(xT
1
t ENTREE
t
IDENTIFICATION
f
r
CHARBON
B
NU'
f
1
i INCIDENCE f
i
.
L
1
t
33
; Ivc . aor:
I
2Lf.05
20r30
3q.91
32
tIvc - P - 78
1
0.0
o,t 0
14.0
33
+vC-P- 8001
f
2.38
2.38
1.0.95
34
lrvcd’-8004
1
8.71
8.71
3.80
35
!MPP - 7147 -2 - 1
f
I
0.0
0.0
2ab60
36
l7oqz
9T.91,
87.66
24.81
37:
11 vc -p-8004
8.33
8.33
36:. 08
38
I IP-193-o
0.0
0.0
XL15
39
; HC% P - 8003
0.0
0.0
45.2
40
1 Ii% - 8011;6
4*54
4.54
25.85
41
f SDN 503
0.0
0.0
14.28
42
1 SDN 714
6.,66
5.0
$5.48
43
; SC - 14 (g) 1160
1 la.81
6.09
35*41i
44
1 SSC. BE! 78 (RECONST.)
0.0
0.0
34.87
45
0.0
0.0
t7i.25
6
10.68
9.81
32e4
477
: LtXXLSUSCEP2
?i2.1,6
9.66
40*-i!!
48
t LOCAL SUSCFIP 3
20.83
li5.0
36.15
49
f LOCAL SUSCEP 4
%@
20.09
55.05
50
1 LOCAL SUSCEP 5
19.95
lr5.87
22.05
1
t
8.18
6.61
27.08
I CCIEFF, DE VARIATION
f
84.50
85.50
59.70
t
1
f
INDICE 1
lI
1 DDL 1
F $1
1
"
1
1
t
1
1
1
1
1- 1
!
t
1
f
1
f
1
(b) 8 WS (non significatif)
(+) t S (significatif)
(-k-k) : HS (hautement signifiaizztif;),
F (‘I) e-t F ($1 z F calcul
es pour L'incidence et ILa &v&rité raspectcivement
FOY,@ ~4 FO,OP t F théoricgks EU.IX seuils de 5 $ et li 5 xwspcztivomwt
PPDS (1) et PPDS (5) t PPD"ti pur l'incidence et Ea sév&itC rospect.ivemcnt
TfG3LEAU 1;7 o REPARTITION EN CLlSSES DES VALEURS DZ r
f
opooo - 0,030
ir
i
I
f
0,031i - 0 , 0 5 0
f
2
! 1
1
I
-
t
09051 - 0,l.O
1
I
3.
1
f
I
oy I:l:
1
0,20
f
4
1
-
f
092%
0,50
I
:
-
5,
1
G51
:
$1
0,YO
&
1
1
1
Tk?3LlXU
1!8 o L'EVOLUTION DE IA SEVERITE DU MILDIOU AUX
3 POINTS
DE LA PARCELLX 224 FONCTION DU TZblpS
f
1 287
I
1;
I
s
266
I
2
I
2
i
Ii
i
t
1
;
;
;
;
f
1
2771’
2871
I
3 3
1
3 3.
1
2 L
1
i
-
I
-
f
l
POIDS DES GRAINS ET
PCIDS DE MILLE GRAINS EN FCNCTION DES
TRA1mm
1
RUEiRIQUES
1
PCIDS TCTAL
;
PCIDS DE
~OOOGRAINS
f
1 TRAI~NTS
;
ms(zRim?s
*
I
1
r-
:
T&
957r,5
1
6,3.0
!
f
1
f
f
t
I
I
T7
892
6,150
r
f
f
t
AMLYSE DE V&It+NCE : BLOC FISHEZR DE L'INCIDENCE ET DE LA SEVERITE DU PIIL>DIOU
1
1
1
1
!
1
1
LNDICE
;
STADE
i
1
f
f
msIoLoc;I~
i
t SOURCES DE
1 DDL t F (1)
f
F (SI
i FO,G
t FO,.Ol
1
TEST DE
1
1
i
1
1
ITIZHNUETKEULS
:
I
1 ; VARIATIOI~
1
1
1
1
t
t
1
:
t
1
r
I
1
1
f3
li, 08-i
f
1
:
TRAIT-m (T)
f 6
f %3
b-d ;
;
q66
; 4,m
ri.
1
1
t
1
I
1
1
12
b58
:
i
TALLAGE
1
I
1
I
s
1
:
BLOCS(B)
f
3
1
1
8,17-i 1
1
f
10,81 1
f
1
1 1
1
t
t
f
f
I
?i,35
1
1
139 171
I*
r
i- 1
1
1 I t
I
1I
1
-1
1
1
1
1
18,24_t
1
!
1
fS
1
1
f
(-1
0,29
I t 1 t
1
PKJNTAISON
I
1
TRAITEXENT
: 6
8,20i-1
8990
TO,64
1
1
t
t
:
i
1
6> 1
BLOCS
: 3 ; %33
77,17
1 1 1
16
1
1
f
I
t4
1
1
1
;
f
$5
1
i
1
1
1
t
1
1
I!l
!
1
10,8jil
t
1
I TRAITENENT
;6
; 3949
64 f G,9
G-4
1
14395
1 1
!
1
1
t 1
: FLORAISON MALE
f
f
-
?6.,29
18,
1 1
I
; BLOCS
i 3
; w2
(4
; Ii,19
(4
F
2496’
1
f
t
1
1
1
1
;
1
1
1
25~74
26,52
:
:
1
I
1
1
1
t
1
1
f
?? ? ? ? ? ? ?
?
.
f
t
t
1
1
t
Cl-Il
01
t
1
t
1
t
1
I
J
LUYti’J
mayd
1
i
1
21
1
i
1
i
;
;
36&-c
(++)
i
i
1 9 G1
?
?
f
?
t
t
t
f
1
1
1
1
I
1
fY*
1
iJi
I477(7C
1
W’tt
1
1
1
i
1
1
1
1
1
--c
i-
*
^-
--
-
1
1
1
f
_f
-.-~
1
1
i
t-
1
DE XlLDIOU
),3&i..i..~ECàRTCSI%NTfI;NC.IDNCE
fINC.IDEIWX $J!?CIIIEmCFI ; %YiEVEEm f
J
fi
I
I
!
t
1
-
-
I
s!
; (5/9/83>) f(2@/83) 1O8,,!0,83~~~‘,~~,,‘0,83~ f
t
1,
!P?I
160x30
;Xx90 !f
a,0
1
;
7923
i
; 43,92
; 27374
1
Q,O
12,77
62,95.
1 34?2
;
-
-
t
i
; 6.0 x 30 f
0,~)
;
1ro,.99
;
59,,49
; 37&
f
I
T2
1 yoxgo I
090
I
I?,o3
1 48,X9
f
f
1
I
i 26-Y96A
i
-
-
1,
f 60x30
;
0,u
;
Ii,25
; 3.0,2-I
c
;
15977
;
1
F.3
I 90x.90 t
0,o
!
4971,
1
46,63 1
25,34
1
1
1
1
1
1
1
1
-
-
1
+0x30
f
l*, ik$
;
6,82
; 459 1’11
; 24~06. ;
T4
I
1 90 x1. go
I
o,,o
I
4966
l
55,si:
1
%5,%5
!
f
i
1
1
t 1 - - 1
1
1
; 6:0x 3 0 f
a,o
;
$0
I Ii.2373
i
4,T3
t
Y5
r
1 yoxyo 1
a,0
!
0,o
1
34y.90
1
64fi88
1
t
f
1
1
!
I:
I
1
; 60x30 1:
o,.o
;
0,o
;21i,i8$-;
1
1@P,44
(
f
T6
! 90 x 90
I
0,o
I
0,o
s
20,90 1
6.9,93
I
I
r
t
f
1
1
I
-
-
1
f 6.0 L 30 ;
4975
f
1&23
f
54,.38
f
34r86 (
3
T;ll
1 90 x 90 1
3.957
1
20,04
t 7q6.8
f
41jpi94
I
1
I
I
J
I
!
1
I
60x30
t
365,85
!
G40
i.
1
T2
t
f
f
90 x 90
;
799,,47
;
5972
;
f
1
1
1
1
f
f
60 x
f
-1
1
30
308,;05
f
6,.62
!
!
T3
f
I
t
1
90 x 90
1f
lK41,42
f
$55
1
1
I
f
I
f:
mm.30
I1
-1
1
559,cv
1
$67
1
T 4
I
f
I
1
90 x 90
;
1~501.,60
f
‘hz5
1
f
1
60 x
f
t
-1
30
730095
1
1
T 5
1
G.45
I
!
1
90 x 90
f
li257,25
;
W0
1
I
1
I
!
1
60 x 3.0
I
437w
I
5,90
1
T 6
I
1
t
90 x 90
I
X24,65
f
6,, 30
I
t
1
6Ox3Q
!
I
T 7
1
296,22
1
5,%
1
I
y0 x go
f
857,.m
;
6,.67
f
:
1
!:
I
1
-1
f
f NOYlQTNEl GITlER&E i
1
I
1
1
755’,58
6,, 34
1
1
f
I
ANALYSE DE V!,RIfWCX t 1) DE L"INCI!DENCE (1) ET DE I.4 SFrJERITZ (21) DU 1~ILDIOT3:
IXDIC~ f
!
1
1
i
1
f
I
1
t
ERREUR
f cv
t
1
1
I
ldL&l ; F, (1) ;F. (S)fPO,C5 ;FO&I [---
1soucHEs
1
1
I
r
1DE VAR*
1
!
!
1
I
1 mc. :I SEV. f INC. 1 SEV. 1
1
1
1
!
I
1
+-- r
1 --I
1 -;.-- 1
!
a) .Dake.. du 24/09,&,
1
l!
1
1
!
17,23 b-4 t - 1. I 2,66
f 1
4,Gl~ 1 1
48,531 1:
- 1105,2 1 i 1 -
i 1
6 :
1
1
1
1,
!
1
1
1
1
fW9 (-1 ] - f 4935 f 8,Io f. %73f
-
‘I
65,Nf
-
f
II!,%8 (-) 1
- t 2,6 1
1 3,87 t -
t 1
- 1
I 1- 1
1
6 .
1
b)*Ikzte du I!8/I.C~83
1
f
1
1
I
!
1
I
!
3431:
6
i y
1' 3.9 ($4”) f I I&+l
1
2,661 I 4Jd #9,97{ ! 1
77,llf
f
3772 f
1
1
1
Ii
jll,52 b-+88(-1
4,35; 8,10 ;135,09; 61,641 26~ ;
3392 ;
i
1
1
2,60f
t - 1
- 1
- 1
-
1
6
2,112 (-) 11,92(-)
3987
1
1
1
I
2) DU POIDS DZ3 GRAINS (E> ET DU I?OIDS DZ
Ii000 GRAINS (PMC)
t
INDICZ 1
1
1
1
I
!
1
!
1
i
f
tplLmE3s
f bd,1 1 FPG i
FE’XG
1 F0,05
t FO,Ol, i
1DE VAR,
1 1
1
1
f
1. i
1
1
I
1
1
t
1
1
1
1-
1
lTRAITEXBNT(T)l
6
i 3,80 <+>I 3,00 (t) I 2,66 f
4,Ol
i
: 41,,89(++):
:
1
1
~~~~F~EM.ENT
1
(E)1 f I
!
2,03 (-)
4,35
8,110
I
I
!
:
TxE
I
6:
f 1
0959
f 1 1,16 (-) : 1
2,O
1
3987
1
f
I
(4 : NS (non sigxificatif)
(+) t S (significa*if)
(++)o HS (haufisment significatif)
FF43 et IppfIG t F calculés px.xr poids des grains et poids de i!OOO grabs
respec~tivement.
i< ‘”
,_ _ .=. _.
i A,”
f------ _
_ ----... --“-*) : r-- +” -_-.. -~-‘..““.s--.my
5:
.
-
._
_-.
_
-=- A N N E X E S z-z
..=-oool=..
ECHELLE DE NOTATION DL! MILDIOU
1 -
Pas de symptames perceptibles.
2 -
SymptBmes pr6sents sur
des shalles auxiliaires.
3 I
Sympt8ine.s pr0sents sur les talles principales mais il y a trois ou
plus chandelles productives.
4 -
Sympt8mes prosents scur
plusieurs talles principales mais il y a seulement
une ou deux chandelles productives.
c-
2
-
Sympt8mes pr6sents sur
les tiges et des talles principales et il n'y a
aucune chandelle productive (la
plante peut mourir au stade jeune).