COLLOQUE INTERXATIOfdAL SUR LA PROTECTION DES ...
COLLOQUE INTERXATIOfdAL SUR LA PROTECTION DES CLJLÏIJRES TROPICALES
Lyon - France S-9-10 juillet 1981
LA PRUTECTIGr~j Cl-I:?IQUE DES RECCLTES E:tJ ÎIILIEU RURAL
BILAN DE L'UTILISATION DU TETRACHLORURE DE CARBONE
ctiO'?Oo 306
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k1ok1a.madou Ly - 1 .S.R. A.
2-\\/
Celntre National de Recherches Agronomiques
BAMGEY - SENEGAL
Les principales productiona viwrieres du
Sanegal (mil -
sorgho - mars - riz -.
niébé) sont en grande
partie
conservées et
consommées en milieu rural.
En 1978-7Y,
la commercialisation a porté sur 110.000 t
de
mil pour une production de l’ordre de 450,o~o t.
Bien que cette situation ait tendance a évoluer avec le
développement des industries Agro-alimentaires il reste toujours
urgent et nécessaire
de mieux concevoir la préservation et la pro-
tection des récoltes en milieu rural,
La secheresse
oui a sévit aes dernières
annoes a mis à nu
les lacunes dans ce domaine :
l/ - La diminution de la production exige
une meilleure gestFon
des faibles productions.
e
Un note une rsrification
des matérieux naturels comme le Nguer
(Gueir2a - Sénegalensis) pour la construction des greniers traditionnels.
3/ - LJimportant deficit
alimentaire, de l’ordre
de q40.000 ton-
nes cette anriae,
(1) développe un circuit d’aides internationales en
:
dons alimentaires,
C;uti1 faut bien stocker et distribuer.
C Iest'dans ce cont’e&&.:c$néral que s’inscrit l’accent oui
est particulièrement mis sur la.n,éc~q6~sit6 e t l ’ u r g e n c e d e m e t t r e f3n
place des moyens de. stockage,
‘Y’yIa
Cette action se situe 21 deux niveaux :
l/ - La mise en ‘place de structures de stockage de faibles
capacités, en milieu rural,
individuelles ou collectives. Elles
d o i v e n t c o n t i n u e r 21 etre les ddpbts d e s b e s o i n s a n n u e l s f a m i l i a u x , ,
-. e t
$1 la limite constituer des réserves communes pour les gnnées de
mauvaises
récoltes,
.~
, ‘.
2/ -
La mise en chantiers de structures de stockage modernes,
de grande capacité, à vocation regionale ou nationale. Elles doivent
abriter le surplus de céresles commercialisees de l’ordre de
2 3 0 . 0 0 0 t, et aussi des stocks de sBcuri,tB de l’ordre de 7C.CCC t,
En fait, il n'existe pas une politique cohérente entre
ces deux objectifs, Dans la pratique, la mise en place de structures
de stockage à grandes capacités semble privil89iec. Elles sont plus
f a c i l e s =I mettre en oeuvre et &Pondent
à un besoin immediat, con-
server les
dons alimentaires.
Par
contre l’apprdhension dos problornes que posent le
stockage en milieu r u r a l
dema.nde la maîtrise de plusieurs facteurs,
surtout,
des facteurs sociaux 4conomiques, dans la mesure où l’on
demande la Participation
des pa.ysans eux-memes,
Cjucllc est la situation actuelle en milieu rural ?
ûepuis au moins une dizaine d'anntZee,on peut dire que la
situa,tion n'a pas bvolué
dans l'onsemble, h part quelques ilôts de
ré ussi te,
Les paysans continuent à stocker dans de nombreux cas,
selon les me thodes traditionnellos, malgré
de nombreuses
cxpé riencos
faitos au niveau de la Recherche ou de quelques sociotes de dgvelop-
pement,
Le
mil est toujours conservé
en Bpis dans les greniers à
bas3
de ;,Jgucr (guei,ra
senegalensis) ou de p6ts de conserves récupe-
,éS.
Lc malins et le riz en Car:amancc sont conserves dans les cases.
Il y a quelques cas d'utilisation de fQts métalliques de rBcupGra.-
tion - Les rares cas, d'utilisation de modbles
"modernes" sont
recences dans les points encadres pa”r 1-e. recherche ou les soci&tos
de doveloppement,
Quant à 1"utilisation d'insoctioides chimiques, elle est
très rare,
Le travail le
plus important
fait dans lc sens d'une
meilleure comprehension du problème reste
jusqu'à presont
l'enquBte
effectueo en 1975 par G.
YACIIJK (2).
Ce tra.vai.l. montre
que le probleme
riO1 du pa,ysan, n'est
pas le stockage mais
I
le problème
de l'eau. En consequence, pour
1 ‘a.mener à en faire son problème,
il fa.ut lui montrer preuve h 1’apPui
le gain à tirer
d'un meilleur
stockage,
Quelles
sont les pertes subies
7 ûn constate que les per-
tes sont minimes su:c le mil, les degPbts les plus importants
sont
sur
le sorgho
et surtout le niebe e,t en general
le paysan se plaint
plus des rats
que des insectes,
Cn evitan-r ces pertes
quel gain il faut faire, pas seuie-
ment sur
le plan cornmercia.1,
mais surtout nutritionnsl ? Ces gains :
valent-ils qu’on leur consacre
du temps et de l'argent pour un revenu
annuel tic l’ordre do 40.000 F
CFA/an,
Voilà le noeud du probléme.
3
Car il existe différents mocléles et de methodes de stockage
adaptes à toutes les écologies, mais c'est le coQt de l'acquisi-
tion par rapport à
l'urgence et l’importance d’autres
problemes
qu'il faut considerer.
Devant cette situation, les actions et les différents
projets de
stockage en milieu rural,
nous apparaissent mal coor-
donnés et surtout
saris suite. Ils sont mis en place au gr” des
financements acquis, et des preoccupations personnelles des indi-
vidus oui. passent. Diffe rents pro jets sont éicbores
en Vase clos et
c'est au moment des @valuations que l’on s’aperçoit,
après avoir
perdu
du temps et de l'argent, quo 1 'Oil atait sur une voie sans
issue.
Dans ce contexte 021 rien ne
semble modifier le comporte-
ment du paysan, l'utilisation du tu tra.chlorure de carbone et du sac
en plastique , pour
la conservation dos derirecs
nous apparaft
comme
une méthode dont le développement et l'application en milieu rurai
maritent de reI;enir
notre attention,
Cette
méthode introduite
au Sunegal {depuis 1967 par
3.12.
Pointel(3) consiste à mettre
dans des sacs (blancs, opaoues
cn poly6thylèno rie 30/100 mm d'épai sseur
et de dimensiuns 108 x 50 cm)
40 kg de denrées
et une capsule ouv~rti de q C g de i;Q trachlorure de
carbone (Trococide
R)et puis bien fermer te sa): par
un noeuci. Tant
que le sac
n'est pas: ouvert, la
denrée est ainsi proserwee par fu-
migation,
11
faut proteger l e s a c c o n t r e
l e s dgggts
r&caniques e t
surtout
contre les rongeurs.
Diff6rents tests o
("A t été effectués sur difforentes denroes
dont lc niubé' le
mars, les arachides.
Les tests
ont fournis de
bons rJsultats
au point de vue de l'efficacité, du pouvoir germina-
tif et oes taux de résidus (5).
Des methodes de vulgarisation
et d'applications pratiques
ont et6 mises au point, .
4 u*en e s t - i l , alors & l’heure
actuelle ciilns la pratique ?
La technique d'application facile, commence & peine à
s’implanter
dans la region centre
du SenGgal, surtout pour la
con-
servation du niebo et des semences personnelles
d'arachide, Les
capsules de Tetrachlorure
(T) et les sacs en plastique (S) sont
achetes par la
Sociote de développement o-C de vulgarisation agriEo2.e
(SODEWR), puis rétrooedé
s aux paysans.
Si l'on compare les
récoltes produites et susceptibles
d ‘être prot6gocs, nous FIOUS apercevrons
que les besoins sont loin
d’tstrc c o u v e r t s ,
et on plus uvoc retard (voir
:z.nnexo).
Les raisons en seraient :
1/ - te mode d’approvisionnement qui fai,t que le paysa.n est
o b l i g e d e v e n i r s ’ a p p r o v i s i o n n e r ù l a SODEVA, o u i d u r e s t e
n'est
pas toujours à mesure
de faire
face aux demandes par ruptures de
stock.
2/ -
Los semer'ces, en g6nBra1, ne sont pas conse&es par les
paysans, mai.5 [Jar les structures de 1 ‘Etat t e . 1 l e S e r v i c e
Semencier.
v - Tous les paysans ne sont pas sensibilisf5s, ni infor.@-5s 12%
nous espBrons que le trûvail en cours
dans co sens, surtout pour le
ni6bQ apportera des améliorations,
h/ - Les revenus dos paysans sont assez faibles.
Il reste, indEniable que rnali;ru ces
difficultes qui sont
ir;hGrenl;es 21 l e
situation du
montia rural, la Gthode zu tG trachlo-
rure
de carbone,
est celle qui fait preuve
de plus de continuité
e .t ci e succès.
Bien sQr
il n'est pas sens inconwunients.
- I l n e p e r m e t p a s , la
conservstion Jes denrges
cilutilisation
courante. I-lors le chef du car& d o i t f a i r o d e s pr6lbvement.s
hebdo-
mariaires,
v o i r j o u r n a l i e r s p o u r l a r a t i o n
zli3untci.w,
- Sociologiqtiement,
il va à l'encontre du besoin du paysan
de
mettre en illace une structure
solide, permanente de stockage
qui reste un symbole.
- Il e s t t o u j o u r s nécessaire de confectionner
un abri pour
l e s sacs, c o n t r e l e s
IntampGries et surtout las rongeurs.
Enfin, dernier
inconvénient et pas le moindre, le Tétra-
chlorure
de carbone
semble poser aujourd’hui des problémes de toxi-
cologie qui
font qu’il est recommandé de la remplacer par
d'autres
insecticides (6).
Dans ces conditions pour
uns meilleure conservation
des
cultures vivrières et surtout des
semences en milieu rural, il
faut
poursuivre les
zffartsde vulgarisa.tion d e la qéthode a u Tgtrachlo-
rue
de carbone, Cette expérience servira
de "&hicule" pour d’autres
m6 thodes de protection.
L e c u l t i v a t e u r d o i t p o u v o i r c h o i s i r e n t r e p l u s i e u r s mg-
thodcs de stockage, celles
qui résolvent
au mieux ses problèmes
avec le minimum de sorties monétaires, Selon ses
besoins ei; SOS
m o y e n s , i l d e v r a i t p o u v o i r d é c i d e r d ’ a d o p t e r t e l o u t e l m o d e do
stocka.ge.
Il est bien connu que la taille du grenier traditionnel
est determiné p a r l e v o l u m e dti l a p r o d u c t i o n f a m i l i a l e .
En ce sens les modèles de"silo grenier”,
collectifs ou
individuels 5 capacitgs variables
mis au point au niveau de l'Ins-
titut Sénégalais de Recherches Agricoles (1,S.R.A.) m6ritent d’&tre
plus connus (7).
L'emploi des insecticides est peu usit8 en milieu rural.
L e s
quelques cas rencontrés
sont le fait de pay53ans en contact evec
les personnels
de 10 recherche
ou dos services
du devcloppement
rura.1 . Des progrès
notables ne pourront SC faire
qu'avec l'évolution
des structures
et methodes traditionnelles de
stockage (stockage en
"pis, spathes,
utilisation de cendres etc), Il y a aussi
une
certaine
discipline pour appliquer correctemuit et sans risques les
insccticidss.
Comment concilier les prClBvemelts
quotidiens do
r a t i o n s olimontairos avc3’c les limites do rBsidus à respecter ?
5
En tenant compta do
tous cas facteurs, il nous appo.ra.rt
que le problème
du stockage en milieu rural doit; @trc axe sur 10s
t r o i s
points suivants :
1/ - fvoluar .Lcs portes rdullos
ci; leurs
incidences sur le
cultivateur (Fevonu,
alimentation en periodo
soudure) et sur
l'lftat.
21 - Proposer des amGlioretions,
ou de riouvcllos méthodes
pcrmi
lesquelles 10 cultivateur pourra. frire son choix,
3/ - Kettrc
au point quelques structures de
stockage avec
gestion collective au niveau des communautés rurales (coopSratives,
maisons familicles rurales),
Plais, le point essentiel reste, q u e l e c u l t i v a t e u r e t h
j u s t e raison,ne c o n s e n t i r a . à i n v e s t i r , q u e l q u e s o i t lc technique:
mise au point si celle-ci n’est
p a s rento.ble. E t m@me d a n s c e c a s
i.1
faut qu’il
p u i s s e disposer de
f o n d s p o u r l e foi.ru. C’est dira
qu'il devient urgent d’Bteblir des normas
de quzli,tB et de modu-
l::r-10s p r i x d e s c6r6ales s u i v a n t ces normng.
oour
conclure, je voudrois diro
qu'il faut considérer
l e s problèmes de
stockage d'une façon dynamique et globale sur le
plan nc.tianûi. Le
monde rural
est en Gwolution, les circuits commer-
cirux
sa développant et 1~ politique de dons alimentaires doit
faire
plo.cc à une outosuffisance a.limento.ire,,C1est
dans cette
p e r s p e c t i v e qu’il f a u t v o i r l e s y s t è m e
d e stocknye. Il doit oxistcr
u n e complémentcrite e n t r e s t o c k a g e f a m i l i a l , v i l l a g e o i s , r é g i o n a l
e t n a t i o n a l ,
1 -
Commissariat 21 l’Aide A l i m e n t a i r e - ;)AKA;{
2 - G. Yaciui< 1370,
Technologie post-récolte (Communicr..:ion personnelle)
ooc. interne CRDI 1981.
3 - J . G .
Pointel,
Contribution 3 10 conservation du nrlébci, du woandzou, du
m i3.2s, des arachides et du sorgho
Agronomie tropicale n”3
sept, q96G,
4 - J . G . Paintel,
ir protection des stocks au niveau du cultivateur afri-
coir; - Les caRLc;srs
d'Agriculture pratique
des pays chauds
no5 - 1971.
5 - J.G. Pointel,
Comparaison de différents
procddés dlcxtroction des &si-
dus de Tétrechlorure
de ca'rbone dan:; du ni6bé (Wiqno unqui-
culato. L) fumigé
PF:ytirtric
- Fhytop!:ormociC - Tome 2 i! f?"l - 1375.
G - Rapport db Comité conjoint FAO/DMS sur 1c.s
résidus de pesticidos
Rapport 1979,
7 -M. Fol1 - S. Hcrnrndez - N.
Ly,
Essais de protection des stocks de
m i . 1 tra’ditionnol en
milieu paysan au Sénégal -
1 SRA - CNilA RAi"IBEY 1979.
!Il
-
ii,
Ly - La. Protection chimique des récoltes au SénGgal
ISRA - CPJRA DAMBEY.
.
9 - A. Diop, FI. Lys
AmGliorotion
dos tochniquos o'c méthodes do protection dos
donrécs récolt+e~ - Col:oquL- AUF-'EI.F Yaoundé
- 5-10 j u i n 7 3 .
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14
TETRACHLORURE DE CARBONE
1 - Tétrac;ilorure de carbone
a - PrcpriE?tBe
pnysiguus
Cl #Q
: *
1.1 = 154
, P Ebullition
: 76Qc:
. p Solidification : - 23°C
e Tension de vapeur : 11h,5 RICI fig/25”C
d = 5,32
!?ollubilité dans l'eau Cl,8 g/1./?5"1:.
b -
Toxicoloyie
Dl 50 = 5?73!I SI 9,770 mg/kg sur rot,
=
1 à 2 ml/kg
C,?l.A,
20 ppm/gIi/jour/5 jours par semoino
expositions permises pas plus d’uno Fois par semaine,
50 ppm/7h
300 ppm/lh
3.000 ppm/O,Ih
c - Tol6 rances
50 wm
cC r6 ales brutos
10 mm
farines
0,05 ppm produits c6réalier.s cuite,
Remarques
: o n t r o u v e e n t r e Cl,1 et 10 ppm rprés 2 m o i s s u r niébé,
’
d - Doses
375 ml/t
15 t
2tYnC
300 m1/t
t
25oc
T r o g o c i d e R
= capsule souple contenant 18 g de CL$, pour traiter
un sac de 43 kg environ,
16
:~ULLi!UES PRODUIT2 DEJL Ï-ESTES SUR ARAC+'IDES
-I
LT SIJSCEFTIJLES
DE C13NViCNIR PClLJii LA PROTE~:TIlJN DES
CU!-ÏLiRES
VIVFIIERES E T
DE
LEURS
SEP'iE:jCL S -
1 - CI-/IQ?I~lJES
Cl50 tzutond
lapin mg/@
Bondiocarbe
40-55
560
Bromophos
3750-7700
2180
Chlorpyriphos méthyl
2 140
2000
Dbcamethrine
12 8
2 oc0
Dichlorvos
12 0
1137 (rat)
Etrinfos
1800
2 000
Fgnitrothion
200
3000 (souris
Iodofcnphos
2130
2000 rat
KGtacrifos
3100
GB0
Pirim phos-riét!-tyl
2050
1000 - 2000 rat
2 - PRODUITS NATUREL9
. iluile d'arachide,