AS/MS REPUElLIQUE DU SENEGAL DELEGATION...
AS/MS
REPUElLIQUE DU SENEGAL
DELEGATION GENERALE
PRIMATURE s
A LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
AMELIORATION DU MIL (Pennisetum tfgphordes).
'PROGRAMME ENTREES DYNAMIQUES
RESULTATS HV 1977
Aboubakry Sarr
Juin '1978
Centre National de Recherches Agronomiques
de BAMBEY
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
(1. S. R. A. )

SOUS PROGRAMME E N TREES DYNAMIQUES
¡®3
INTRODUCTION
.
Ce sous programme c nstitue du point de vue cr¨¦ation vari¨¦-
tale, la base prospective du
rejet dans la mesure 013 l'on se donne
comme objectif de r¨¦cuperer t ute la variabilit¨¦ g¨¦n¨¦tique existante
de l'espece pennisetym, de 1' rgan?ser et d¡¯appliquer des op¨¦rateurs
diversifi¨¦s sur une base de c nprehension rationnelle des diff¨¦rents
effets et param¨¨tres g¨¦n¨¦tiqu s impliqu¨¦s dans la realisation de ph¨¦no-
types definis.
Ce programme se sub d.ivise en deux parties compl¨¦mentaires
dans le temps.
a/ - GAM Corrioq¨¦ Indien
D a n s l e c o u r t e t l e Inoyen terme, c e t t e p a r t i e v i s e ¨¤ satis-
f a i r e l a s t r a t ¨¦ g i e s u s ¨¦ n o n c e e par creation de nouvelles sources de
variabilites g¨¦netiques (reco mloinants),
¨¤ partir de croisements entre
materiel nain (GAM) et du mat Q Iciel en provenance de l'Inde et de
l¡¯Afrique de l'Est.
b/ - Systeme tpipode
I l s ¡¯ a g i t d ¡¯ o r g a n i s eic des pools de variabilite naturelle
correspondant aux
principaux Cl zntres de diversification du mil (Afrique
de l'Ouest,
A f r i q u e d e l¡¯Est,
Inde),
C e s r ¨¦ s e r v o i r s p e r m e t t r o n t d'en-
gendrer du mat¨¦riel diversifi ¨¦:v plastique et ¨¤ haut potentiel.
Le programme GAM CO ci.96 Indien a d¨¦but¨¦ en hivernage 1976
par le test de lignees en prozinance de l'Inde.
-t
Les croisements entre ces lignees et des lign¨¦es GAM effoc-
tues en contre saison 1977 ont ¨¦te test¨¦s en hivernage 77.
.
Gluant au programme tripode, il a 6te i n i t i e e n h i v e r n a g e 7 6 ,
par le test d'une vieille collection de souna s¨¦negalais parmi lesquels
il a ¨¦t¨¦ retenu 13 pour leur niveau de variabilit¨¦, leur potentiel de
production et la r¨¦action vis-¨¤-vis des maladies notamment le Scleros-
p o r a .
Ces populations ont Bte re¨¦valuees en 1977 avec un lot de
cultivars provenant de la prospection 1976 effcctu6e au S¨¦negal par la
FAO. Le manque de mat¨¦riel v8gt5tal en provenance de toutes les zones
sus indiqu¨¦es a ¨¦t¨¦ marquant pendant les 2 ann¨¦es ecoulees.

OPERATIONS SUR LE TERRAIN EN HIVERNAGE 1977
1 - Syst?ms tr;ipode
3/ - Essai variabilit¨¦ q¨¦n¨¦tique
But
: Analyse de la variabilit¨¦ g¨¦n¨¦tique et etude des
interactions g¨¦notype x environnement.
Protocole : B.C.R, B 4 r¨¦petitions.
62 entr¨¦es + Souna III Temoin ID-7 (voir nomenclature)
+ Hybride F'l (15356 x 34 EB) T¨¦moin [d2-7
Parcelles ¨¦l¨¦mentaires b
10 lignes de 9 plantes/entr¨¦e.
Localisation : Bambey, Louga, Fanaye, Daroy
b/ - Obsegwations .de, population
But : Observer le reste des populations issues de la
prospection 1976
Endogamie pour multiplier les semences en vue de
la campagne 1978/79,
2 - GAM x Indipn
a/ - Test TC - GI x In
In x Gci
In x 3/4 s
In X Souna III
Elut : Apprecier le niveau de production en TC de lign¨¦es
indiennes. Creation de population F2 ¨¤ partir des
meilleurs
AGC
Localisation
Bambey
Dispositif : ECR
4 r¨¦p&titions
28 entr¨¦es dans chaque TC -k parent
+ parcelle parent a;" GI, 3/4 S, Souna III
0
b/ - Obseryations liqn¨¦es indiennes
But
t Observer un lot de lignges choisies en Inde
Appreciation de leur caracteristiques.
Localisation : Bambey

ESSAI VARIABILITE
H.77
Nomenclature des populations - prospection 76
!
!
!
!
?
,Entrees ,
Origine
!
!!
!
.
g¨¦n¨¦tique
0
Nom du village
!
R¨¦gion
!
i<n" prospect.)/
!
!
I
d
t""""m.'.w'M'T ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,--~-~~---"--*--------------.
!-----"---
.
:
i
14
1 SL 262
!
Malem Niani
!
S¨¦n¨¦gal oriental
!
!
15
!
SL 258
!
Lof¨¦
!
Ferlo
0
!
s
16
!
SL 243
!
Patakour
!
Ferlo
!
0
17
!
SL 264
!
M¨¦r¨¦to
!
S¨¦n¨¦gal oriental
!
!
10
!
SL 186
!
Keur Samba GuBye
!
Sine-Saloum
!
!
13
!
SL 154
m. "m
!
Simal
!
!
!
20
!
SL 206
-"-
!
Tiarbne
!
!
!
21
!
SL 355
!
Bala foulb¨¦
!
San¨¦gal oriental
I
!
22
I
SL 162
Sess¨¨ne
Sine-Saloum
!
0
1
!
23
!
SL 249
Ferlo
!
Touba'Loumbi
!
!
!
24
!
SL 214
Sine-Saloum
!
Ndiba K¨¦mor
!
!
!
25
!
SL 152
-"e
!
Loul Sess¨¦ne
!
!
!
26
!
SL 236
- S' -
!
Sorokone
!
!
!
27
!
SL 169
a"_
!
Kamatane
!
!
!
2a
!
SL 187
.."_
!
Ndiaye Kounda
!
!
!
29
!
SL 563
Casamance
!
Kamboa
!
!
!
30
!
SL 261
S¨¦n¨¦gal oriental
!
Koutia gaedi
!
0
!
31
!
SL 325
- "-
!
Koussane
!
!
!
32
!
SL 256
!
Si1
!
Ferlo
!
!
33
!
SL 228
Sine-Saloum
!
Diam Diam
!
!
!
34
!
SL 64
!
Bel&1
!
Ferlo
1
!
35
!
SL 43
Fleuve
!
Leur oualof
!
0
!
36
!
SL 66
!
Namari
!
Ferlo
!
!
37
!
SL 146
-"_
!
Tiodor du Ferlo
!
!
!
38
!
SL 654
!
Ndiolafbne
!
Casamance
!
!
39
!
SL 90
!
Toubere Bafal
!
Ferlo
!
!
40
!
SL 88
!
Nhar
!
-"_
!
!
41
1
SL 50
!
Kane1 Sintigne
!
Fleuve
!
!
*
42
-"_
\\t
St 521
!
Matam
!
!
j (Thiotand¨¦];
otancl?~~ ,
_-
!
i
!
!
43
!
1
S E 662
!
Mbiteyene
!
Sine-Saloum
!
!
44
SL 305
!
Ouro Binta
!
-"-
?
!
45i
!
i

!
SL 94
!
Pantagni¨¦de
!
Ferlo
0
.
!
46
- " -
!
SL 96
!
Babinguel
!
-"...
!
!
47
!
St 60
!
Patontri
!
!
!
48
-"_
!
SL 79
!
Ouro Mamond
!
!
!
49
!
1
SL 208
!
Sbgne
?
Sine-Saloum
!
t
50
A"
I
8

SL 153
Sambadia
- '1 -
!
!
!
!
51
SL 232
Sorokone
- " -
!
!
!
!
52
-"-
!
SL 165
!
Thiombi
!
!
53
SL 159
Ngueniene
- f' -
!
!
!
!
54
Pate Tiangaye
-"_
!
SL 219
!
!
!
55
, SL 664
-"-
!
Di¨¦diena
!
!
56
;
SL 549
!
Ti&ti
!
C?samance
!
57
;
SL 666
!
Latn'ingu¨¦
!
Sine-Saloum
!
58
i
SL 131
!
090
!
Fleuve
Sine-Saloum
!
5g
!
SL 215
!
Nganda
!
I
6o
1
SL 48
0
Lisn, 1:
3
Fleuve
0
61
SL 10
-"m
!
Mbilor
!
!
62
;
-"_
!
SL 113
!
Gangue1 Maka
!
!
!
1

4
SITUATION GENE,RALE,DES ESSAIS
Au ,niveau de $ambey :
L'essai variabilit¨¦ a ¨¦t¨¦ sem¨¦ ¨¤ la I¨¨re pluie et malgrd la
p¨¦riode de secherease les populations se sont dans l'ensemble bien
comportees (voir r$sultats).
Les 3 T.?. In x: 3/4 S et In x Souna III et In x CC1 ont ¨¦t¨¦
semes avec quelque retard lie ¨¤ la dormante, du reste la p¨¦riode de
sscheresse n'a pas pu permettre de faire des ressemis apres la lev¨¦e
tr¨¦s mauvaise dans l'ensemble.
L'effectif de l'essai ne permettant de tirer aucune conclusion
valable, l'objectif a et6 commu¨¦
en fabrication de famille F2. Par
contre le T.C. GI x In a ¨¦t¨¦ suivi normalement. Les lign¨¦es indiennes
se sont caracterisees par leur extr@me pr¨¦cocit¨¦ (I¨¨re epiaison au
25 jours apr¨¨s semis). Dans l'ensemble la production a et6 tres faible
et la verse presque g¨¦nerale.
'Y louqa :
Le semis effectu¨¦ CI sec a du &tre recommenc¨¦ ¨¤ la suite des
pluies parasite8 de juillet, ¨¤ telle enseigne que la lev¨¦e a eu lieu
dans la p¨¦riode du 13 au 15 aoOt. L'essai a souffert de la s¨¦cheresse,
mais dans l'ensemble toutes les populations ont boucl¨¦ leur cycle et
aboutit ¨¤ une production estimable.
i#$ Fanaye :
Le rendement est nul dans cette localit¨¦. N¨¦anmoins l'essai
a ¨¦t¨¦ suivi jusqu'¨¤ son terme, et des informations importantes sur les;
r¨¦actions diffgrentielles des g¨¦notypes, l'importance de la variabilite
gen¨¦tique dans les interaction G x E, ont Qte obtenues.
.;.: Darou :
'
Y
!
Dans ce site, le semis a et6 effectu¨¦ en aoOt par suite de
probl¨¨mes d'intendance de coordination, et de pr¨¦paration .des sols.
En cons¨¦quence, la lev¨¦e a et6 tr¨¦s mauvaise (enfouissement d'engrais
vert mil, dans une parcelle destin¨¦e ¨¤ un semis imm¨¦diat,
humidit¨¦
suffisante, d'o¨´ d¨¦veloppement de champignon, dont ceux de la fonte des
semis). Le semis tardif a eu pour cons¨¦quence, un allongement du cycls
v¨¦g¨¦tatif, avec une forte incidence de parasites divers, occasionnant
entre autre la castration des fleurs. Le suivi a ¨¦t¨¦ maintenu pour une
¨¦tude des interactions G x E au niveau des caract¨¨res autres que les
rendements.
RESULTATS
Dans ce rapport nous pr¨¦senterons :
11 - L'analyse des interactions G x E au niveau de l'essai varia-
bilit¨¦ - l'aspect analyse de l'organisation de la variabilitd
g¨¦n¨¦tique sera pr¨¦sent¨¦ ulterieurement.
2/ - Les r¨¦sul!tats du test T.C. GI x In.

A/ - ANALYSE DE STABILITE
INTR.ODUCTION
Les interactions g¨¦notypes x environnement, constituent aux
divers stades d'un programme de s¨¦lection l'inconnue dont il faut
appr¨¦cier l'ampleur et le sens.
Dans la phase d'analyse des structures d'entree, il importe
d'oreset d¨¦j¨¤ d'avoir une appr¨¦ciation des int¨¦ractions G x E, pour
d'une part situer la part des effets environnement sur les ph¨¦notypes,
et d'autre part detecter des int¨¦ractions diff¨¦rentielles.
Les gains g¨¦netiques et partant l'efficacit¨¦ des op¨¦rateurs
de transformation sont en grande parti fonction de ce param¨¨tre. En
outre l'optique cr¨¦ation de vari¨¦t¨¦s plastiques implique une parfaite
connaissance du niveau initial d'adaptativit¨¦ ¨¤ travers un assortiment
diversifi¨¦ d'environnements.
L'appr¨¦ciation des G x E sur une serie de caract¨¨res, permet-
tra d'embl¨¦e d'avoir une comp$¨¦hension de l'efficacit¨¦ des diff&rentos
strat¨¦gies de d¨¦veloppement que constitue;:l;'organisation
sp¨¦cifique
de la variabilit¨¦ g¨¦n¨¦tique dans les diff¨¦rents cultivars.
11 existe divers mod¨¨les ma#&nakkpes pour tester les interac-
tions G x E. Nous avons utilise le modele de HEBERHART et RUSSELL, qui
se rattache ¨¤ la famille des mod¨¨les utilisant la regression lineaire
comme mesure des int¨¦ractions (G x E).
Le caractore ¨¤ Ctudier le rendement par exemple est lie h
l'environnement par la relation suivante :
Yij = Moyenne de la vari¨¦te i dans l'environnement j
,,,!Ji
= moyenne de la variet¨¦ i dans tous les environnements
;&:.
&' coefficient de regression
td. _. = indices d'environnement (traduit 10 r61e sp¨¦cifique de chaque
k
environnement dans lfexpression du
caractere)
43i.j = ¨¦cart par rapport ¨¤ la regression.
Dans ce modele les interactions G X E sont subdivis¨¦eson :
- Variation due ¨¤ la r¨¦action de chaque cultiuars aux
divers environnements (mat¨¦rialis¨¦s par leurs indices) :
il s'agit do
la composante lin¨¦aire
- Variation due ¨¤ un ¨¦cart de nature al¨¦atoire par
rapport ¨¤ la regression.
Ces deux composantes sont repr¨¦sentees respectivsment par 10
co¨¦fficient de regresFi,,on (b) et Sd2i
bi =
1 j/L..Z I2 j

6
-22
Sd2i
= [ZjS !;jij/(n-2) - S2s/l?
. 4 *I!
¡®2. ij
= rXj Y2ij - Y2i, 3 - J
T- ( Y i j Ij)2/C12j
ii
n
J
Une analyse de variantes approprige int¨¦grant ces diffgrents
parametres permet de tester la signification des effets enregistras.
Dans ce rapport nous pr¨¦senterons u n i q u e m e n t 10s rgsultats relatifs
au rendement et X, la r¨¦action vis-¨¤-vis du mildiou.
Darou n'est pas inclus dans cette analyse. Le pourcentage
d'attaque et les s¨¦vgrit¨¦s correspondantes ont ¨¦t3 calcul¨¦s pour
2 dates moyennes. 468me j o u r e t 60¨¦me j o u r .
La s¨¦v¨¦rit¨¦ des attaques de mildiou est estim¨¦e' avec la
relation suivante :
Y = i=1 [(xi - 1) vi-7
[(Exi)-1-7x N
= Nombre de plantes observ¨¦es
. . . . . . . . 9 i
xi
Z2 note correspondant h la classe i
Yi
= effectif de la classe i
Y
= s¨¦v¨¦rito de l'attaque

,-----Y

7
RESULTATS
6
1
11 - Mesures d$s effets d environnement et hierarchie des sites
3
ies interactions (G x E), la quantifica-
; et la caract¨¦risation de l'effet sp¨¦-
;uant les donn¨¦es de base pour une moil-
am¨¨ne. Dans ce mod¨¨le, les indices d'en-
; la disponibilit¨¦ du milieu considere
pour l'expression d
caractare D'un point de vue strictement physique
liais¨¦e dans la mesure OCI c*est l'cxpres-
? support. On imagine en effet les
It surgir entre l'expression physique,
I milieu et sa perception par le mat¨¦riel
les choses, aucun mod¨¦le ne permet d'avoir
; objective de l'environnement ; la lac-
1s de rev¨¦lateurs biologiques tout au
le des int¨¦ractions (G x E).
Tableau No1
: Indicis d'enviro iInemcnt
f (Id
1
!
ince: S¨¦v¨¦rit¨¦fIncidence~ S¨¦v¨¦rite o
!
Sites
!
i
0)
I
(2)
i
(2)
!
I~"-"--'^~'-"f'--'f----~-"--~
4 .I.?¡±T---¡®¡°¡°--¡®T¡±¡®---¡°-¡®~----------~
! Bambey
!
39,198 ! - 1 830! .
0,006!
9,434 !
0,036 !
i
!
!
r
!
!
!
!
!
! Louga
! -14
2 1
5 i 712!
0,021!
1,147 !
0,015 !
!
!
!
!
!
!
!
! Fanaye
! -25'"06
! - 3 882! 4
0,016!-10,581 ! - 0,052 !
?
!
'i
!
!
!
!
!
1
L'examen
u tableau
1) et de la figure (l), indique une
diversit¨¦ d'impacts des milieu: sur les deux caract¨¨res ¨¦tudi¨¦s.
site le plus favorable pour l'expression
3'logique relativement meilleure activike
lasse des pr¨¦cipitations et partant des
rmination des oospores du Scl¨¦rospora,
ues pr¨¦coces, tant du point de vue
indice que s¨¦v8rit¨¦.t
Par contr
attaques tardives, les tendances sIin-
versent dans les de
On peut a /priori aff: rmer que l'explosion pr¨¦coce du mildiou
semble antagoniste
il
d$ un indice d'environnement ¨¦lev6 pour le rendement
(fig. (1)).
t
nsti tue unf situation tr¨¨s singuliere, o¨´ l'absence
ce ou tard: ve n'influe pas sur la tendance du ren-
nul.
Il s'agit d'un site extr@ment aride
(voir condition clitiatologique, > Y seules quelques populations ont pu
atteindre le stade formation de graine en pourcentage infime, les

8
autres restant bloqu&es au stade montaison, ou pr¨¦sentant des avorte-
merft.s et un Qchaudaee consid¨¦rable.
La situatfon de ce site vis-&-vis du caracthre rendement
semble essentiellemen$ conditionn¨¦e par le dtSficit pluviom¨¦triqua. On
p3ut considgrer le fait que certaines populations aient pu boucler
leur cycle dans
ce site comme une performance r¨¦sultant do leur sou-
plesse adaptative, nous prdsenterons ulterieuroment, unu analyse int5-
grant d'autres cara?t¨¨ras (gpiaison, floraison, caract¨¨res biomgtri-
ques).
L'hypoth¨¨se $*Une reussite do la culture du mil dans cette zone
par le raccourcissement du cycle v¨¦g¨¦tatif est encore sous investign-
tion,
mais il est n6anmoins permis d'affirmer d'aprhs les rasultats
de la campagne i976, 1977 qui sont en ltoccurance nuls pour le rende-
ncnt,
qu'il sera difficila de valoriser les quantit6s infra minimales
dc pluie et une r¨¦pirtition aussi inad¨¦quate.
Avec une meilleure rgpartition notamment une co?ncidence
avec la p¨¦riode de besoin maximum, il serait possible d'atteindre des
niveaux de production certes bas mais apprficiables, en conssrvaIlt un
haut degr¨¦ de soupldsse adaptative dans les sorties.
Du point Je vue mildiou, l'inexistence d'attaques & Fanayo
amene ¨¤ faire un cestain nombre d'inf¨¦rences dont nous ne discuterons
pas dans ce rapport; elles seront abordaes dans une Etude commune avec
lc pathologiste.
De mC!me la singularit6 de Louga quant ¨¤ la rapidit6 de l'epi-w
dfimia,
nous amGne ti 'poser doux hypoth&ses qui seront ¨¦galement examintitzs
en datai1 dans cette etude
commune 3: I
1/ - L'inoculum ds Louga est diff¨¦rent de celui de Rambey
u - Les irtocululns
sont identiques, mais le champignon
prgsente une plasticit6 qui lui permet de s'adapter
aux conditions variables, il s'agirait de misus on
fonction de certaines potentialit¨¦s ggn0tiquos
masqu¨¦es (redondance, inhibition temporelle), abou-
tissant & une installation rapide des m¨¦canismes
agressifs et ¨¤ leur accentuation,
2/ - Composantqs de la variation et leur siqnification
L'int¨¦ractions G x E et la variante qui .leur est li6e sont
subdivisGes dans, cette analyse en :
- variation li8s aux potentiels intrinsgques des diff6-
rentes structures 8tudi¨¦es
- vatiiation due [lfhypothi!se de lin¨¦arit6 (regrossion)
otant admise J ¨¤ la reaction diff6rentielle des structures par rapport
L-1 un gradient d'environnement
- variation de nature algatoire, traduisant un 6cart
par rapport 23 la r6ponse lin¨¦aire.
a/ - Rende;ment
L'hynoth¨¦sa HO d'idcntits des potentiels de production est
;I rojotor
F- (M+M+ lFg,05 O!! I-0,001.

Y
Les 64 endrues pr¨¦se tent par cons¨¦quent des comportements
g6nQtiques
¡®Brents pour le caract¨¨re rendement. De
mt.?me la lin
n v i s - a - v i s d e l ¡¯ e n v i r o n n e m e n t e s t gGi-lc:l-
tiquement d
l a t i o n ? l ¡¯ a u t r e D
b¨¦es sur la base de ces difft?rents
36 entr¨¦es figurdes dans le tableau II.
tions pour le potentiel de production

Tableau no11 : Entr¨¦es dont La moyenne est significativement
supgrieure & X,profil de stabilitg.
;-
1
l
9
1
I
.
-!
t N O et Nom des
Xl
;
;Profil/bI
;Profil/ !
:(Poids de i
!
entr¨¦es
!
!
Sd'i
i Sd'i
1
; grain/
!
0
!
!
!
!
*
!
i Q a2celle ,
!
!
!
!
!
!
9
!
!
!
!
!
,--,,-,~-------------~---------------"---~---~-"--~ .mmmm-m- -'-"T'mm-.="m"'
!
.
0
19,71
t
;
54
SL 219
!
3255 .i
!
1,42
!
t
!
!
!
1,29
t
0,18
0
43
SL 662
!
3256 y.
!
!
!
1
i
1,30
t
0,49
!
34
SL 64
!
3202 c(
!
!
!
!
!
1,30
t
2,49
i
27
SL 169
!
3154 .a
!
I
!
!
!
1,34
t
9,97
t
!
28
SL 187
!
3153
!
!
!
!
!
43
SL 208
!
3 1 5 2 f?
1,34
+
9,63
t
!
!
!
!
1
!
3148
!
1,22
t
2,34
!
63
SOUNA III
!
!
!
!
i
46
SL 96
!
3146 I<,
1,29
+
1,39
!
!
!
!
!
!
1,23
+
0,43
!
51
SL 232
!
3123;
!
!
!
!
!
1,30
+
4,62
t
0
55
SL 664
!
3113+
0
!
!
I
!
3096 )
!
1,'1-9
t
5,18
t
0
37
SL 146
l
!
l
!
!
3090
I
1,27
t
2,33
!
22
SL 162
!
!
!
?
!
?,T5
f
6,87
t
!
20
SL 206
!
3041%"
!
!
!
!
!
1,28
+
13,59
t
!
17
SL 264
!
2977
!
l
!
!
!
1,18
+
0,oo
!
47
SL 60
!
2955
l
!
!
!
!
1,18
t
0,03
!
15
SL 258
!
2944
!
?
!
!
!
1,16
t
0,06
!
30
St 261
!
2931
!
!
!
!
!
t
0,81
!
26
SL 236
!
2923
1,14
!
!
I
32
l
1,17
!
t
OJ5
!
SL 249
!
2915
!
!
0
!
1,20
!
t
3,74
t
!
19
SL 154
!
2888
!
!
!
!
!
+
5,86
t
!
48
SL 79
!
2872
!
1,21
!
!
!
!
6,87
t
!
5 7
SL 666
!
2857
!
1,21
?
t
!
!
!
1,08
t
0974
I
16
SL 243
!
2759
!
!
!
!
!
0,27
!
45
SL 94
!
2752
!
1 ,ll
!
t
!
!
!
1,88
!
50
SL 153
!
2727
?
1,05
!
t
!
!
9,48
!
t
!
58
SL 131
!
2716
!
1 ,Ol
l
+
!
!
!
t
5,18
t
!
36
SL G6
!
2712
?
1,14
z
!
i
2,57
!
T
40
SL 88
!
2695
0
1,03
l
t
!
l
!
!
62
SL 113
!
2649
!
1,04
!
t
!
0,57
!
I
!
2631
0,99
'5,74
t
I
32
SL 256
0
1
!
1
!
25
SL 152
!
2615
1 ,Ol
t
2,05
!
!
!
!
!
!
!
2603
0,95
12,87
t
0
24
St 214
!
!
!
!
?
2598
!
1,06
t
1 ,lO
!
52
SL 165
!
!
!
!
!
2596
2
1 ,os
t
2,41
1
!
11
E
2976
0
i
?
2,51
!
!
3 '1
SL 325
!
2560
1,06
!
t
!
!
0
!
2558
!
1,08
t
5,13
t
!
3E
SL 654
!
!
!
!
a,91
!
!
53
SL 159
!
2521
!
1,03
!
t
!
!
!
l
9
i
!--------------------.-----------.---¡±-------.---¡°----
4. ---*-m-----1
4. -------a--c
? TBmoin hybride
!
!
l
!
!
!
; Y5356 x 3/4 EB
l
1651
0
0,54
!
1
22,51
!
t
!
!
!
!
!
?
1
Me

l
11
Statistiquement t utes les v a l e u r s d a Sd21 n a diffhrent Pas
significativement de 0, Ce
ui traduit une stabilit¨¦ satisfaisanta an
moyenne pour las 36 populat ons du tableau, L'Qtuda pr¨¦cise des Pro-
fils pour b, et Sdzf r¨º~8la cependant une certaine hi¨¦rarchie dans 18
stabilit¨¦, donc des int¨¦rac ions G x E.
La terme stabilit
rov@t plusieurs sens d'un point da vua
pratique :
- une populs
ion peut ¨¦tre consid¨¦r¨¦e comme stable,
quand aile conserve avec ur
fluctuation limit¨¦e la m8ma potential do
production.
En d'autres ter QS? elle se comporta relativement bian dans
les environnements pauvras, et na r0agit pas assez significativement
au gradiant positif d'cnvir nnements.
- dans un ac ra cas la stabilit¨¦ d'une population
signifie qu'elle a une prod ction moyenne klev& avec un ¨¦cart voisin
da 0; Dans les anvironnemor s pauvras, una telle population garda un
potentiel da production 61~ Qa et sa r6action au @radient positif
d'environnement est parfait ment lineaire.
En termes de prof 1 relatifs aux param¨¨tres d'int6raction
G XE : 7, b, Sd%, et ~OUI la caractbra rendement, une population
S tabla i.a satisfaisant au
econd descriptif doit avair :
(1) - y> p2 ---- Pr (*)
(2) -
b)t
1 -"mm
Pr (+>
(3) - Sd%
# 0 ---- Pr (-)
L'examen du tabla u no11
bati
s u r l ¡¯ e x i g e n c e (l), n o u s
montre une disparit¨¦ de pro ils @labaux. En r¨¦f¨¦rence aux notions de
structuras des populations
ans leur aspect dynamique, catta situation
traduit une diff¨¦rence dans las strat¨¦gies de d¨¦veloppement suivies
par las diff¨¦rentes entr¨¦es
En affat si on consid¨¨re le rendement
comme la. cible;&, ¨¦tant do n¨¦ que las 36 entr¨¦es pr&cit¨¦es na diffhrent
pas siqnificativament pour 1 c 9 on paut consid¨¦rer las divers profils
attachks ¨¤ chaque entr¨¦e, c mme des strat¨¦gies diff¨¦rentes, Ggalamant
efficacespour le rendement
oyen, mais s¨¦lectiuement diff¨¦rencigs.
La comprc?hansion
a chacune de ces strat¨¦giea, qui repr¨¦sente
en fait, la r¨¦sultante de 1 effet des divers attracteurs sur las cor:-
posantas de l'organisation
gndtiqua de la population, parmot de dis-
criminer les diffdrentas po ulations an groupas de similituda, (tableau
n"III) et partant de ddfini
la s p e c t r e e t l a n i v e a u d'homaostasia.
Cette ¨¦tude de la dariabilite gon¨¦tiqua sera abord¨¦e plus
en d6tail dans un autra rap 3rt, o¨´ l'ensemble des paramhtras phono-
typiques seront int¨¦groei

12
Tableau no III : Groupes d
simi litude
Domaine
L-k.3
Domaine x
b)E&!-l, 15, 1, 42 J---
3
j? E 13041, 3265J
\\
!
GI
!
i-----------"---------!
!
!

ii 219
!
SL 662
!
SL 187
I
!
SL 209
!
SL 64
!
!
SL 169
!
!
SL 664
!
Souna III
!
!
SL 146
l
SL 96
!
!
SL 206
SL 232
!
!
!
1
SL 162
!
I
!
!
!-
i
b>b c--1,14,1,28 -7 ----
!
I
G3
G4
!
!
SL GO
!
i SL SL 264 154
SL 25%
!
!
SL
79
St 261
!
!
!
SL 666
Si 236
! SL 131
!
SL 249
!
SL
06
SL 243
!
!
!
SL Y4
!
!
SL 153
I
I
!-
!
0
rl,O3,
1, 08-7
7 E 12521, 2695 -7
I
I
b>h?
1
!
Tj
!
G6
!
G5
~!
SL 88
!
!
SL 654
~!
~,
SL 113
!
SL 152
0
iI
1
SL 165
.
!
!
!
!
1
2977
*
SL 325
!
!
G5'
I
!
!
SL 159
!!
-
; b<b~po,Yo , 0, ;95-7
!
1 ;
! *
!
!
!
f
SL 2as
'!
!
!
SL 21,4
!
!
?
!
!

l
13
14 la lumi¨¨re du ta leau do similitude, on a la hierarchio sui-
vante :
h
Populations ¨¤ stabilite moindre
Dans ce groupe on cistingue : les populations ¨¤ tr¨¨s haute
Performance moyenne dus ¨¤ une reaction trhs positive vis-¨¤-vis dss
environnements favorables, avec la hidrarchie
GI} G3) ~G5
Le groupe G5' se s'tuc 2 la limite de la signification Pour
le rendsment
a
avec une tr¨¨s m uvaise stabilit¨¦.
Les groupes pairs renferment les populations B tr¨¨s large
spectre d'adaptativit¨¦, condition fondamentale de succes de la culture
dans le contexte de diversitd et de fluctuations ¨¦cologiques qui pre-
vaut dans les zones de culture du mil. L'analyse compl¨¨te des compo-
santes structurales de cette ~ homeostasie permettra de saisir les
combinaisons genetiques :S rassembler pour une optimisation de leur
fonctionnement, aboutissant 7 des variet¨¦s tr¨¨s performantes et
Plastiques.
1
Les groupesimpairs~notamment GI sont constitu¨¦s par dos po-
Pulations int¨¦ressantes {du point de vue rendement dans une localitd,
notamment ¨¤ Elambey, mais avsq une stabilite moins satisfaisante que
les populations des groupes pairs. A titre indicatif, les rendements
au niveau de Bambey pour GI
t GI1 ramen¨¦s h l'ha sont pr¨¦sentes dans
2-e tableau (IV).
ilableau 2 : Rendement au niveau de Bambey en kg/ha
!
!
;P
!
;P
I
-¡±9
!
!
!
= 0,05 Temoin = ?
GI
GI1 ,
.
?
!
!
!
0,01; hybride '
!
!
!
i
!
!
!
il5356 % 3/i
!
!
!
~
!
!
!
; 314 EB ;
1 -CI-------- r--------- f '"""m"q'r..'-m'--'"
r--------- t ---w-m-- + m----e -w-m.-;
SL 215 ;
3340
,$$ 3s j(
* ->* *
;
; SL 662 ;
3126
!
;
!
1392
;
I
SL 187 i
3178
.:;. &- $6
0
!SL 64 !
3121
!
-;+ -?+ *
!
!
SL 208 ,
!
3175
.A(. .y 21.
f
¡°¡®~
iSL169 ,
!
3112
!
$6 * *
1
.
*
9
SL 664 !
3 09 6
!
.i$S3;
0 SOCJNA III !
2974
!
?
!
i
t
I
1
SL 146 ,
2943
!
; SL 96 ;
3088
i;- * -fi
!
!
.
.
;
!
!
!
SL 206 !
2824
!
! SL 232 !
2387
!
!
!
!
!
!
iSL162
!
!
!
f
!
3054
,
***
!
i
c
!
!
.; ; -$ 5¡¯+ : populations significati lement differentes des autres et ncn ent::z
elles aux seuils
= C 05 et 0,Ol
Il est interessant adle note? le niveau de production relativo-
r!ient ¨¦lev¨¦ pour des populatic)l- IS dont la structure est essentiellement
model¨¦e par la s¨¦lection natc. ¡®,rLelle. Il s'agit la d'une caract¨¦ristique
extrC?mement importante, car 1.,e !s gains g¨¦n¨¦tiques sont fortemont li¨¦s
au niveau initial.

l
14
A noter ¨¦galement q~ue le Souna III se classe parmi les PoPu-
lations les plus stables. Du ipoint de vue production intrinsdquo, au
niveau de Bambey 11 populations lui sent sup¨¦rieures mais pas de ma-
niere significative.
Par contre l'hybride nain (15356 x 3/4 EB), pris comme t¨¦moin
de structurefidZJ,
se caract¨¦rise par un tr¨¨s faible niveau de produc-
tion par rapport a l'ensemble, des populations (y.. = 2464 kg/ha) , @t
une grande inatabilite. ¡®Toutes les conditions d'environnement ¨¦tant
i.dentiquespourltensemble des, entrees, cette situation traduit la su-
p¨¦riorite tant du point de vue potentiel de producti
que
$en ,l'homeostasie
des cultuvers traditionnels sur cet hybride FI.
De manibre gdneralel (voir rapport point (1) du programme)
le niveau de production du malterie existant, m&me saus des conbinai-
sons g¨¦n¨¦tiques th¨¦oriquement1 favorables est relativement bas et
l'homeostasie quasi nulle a telle enseigne que les temoins de produc-
tivite tels qu'on les avait con?us dans le programme g¨¦n¨¦rale sont
encore & cr¨¦er, aucune des structures naines actuelles ne se situe a
un niveau particulieremcnt ¨¦levs de production pour qu'on en fasse une
norme.
L'analyse multivariate
en cours nous pr¨¦cisera d'avantage
les distances g¨¦netiques effectives et leur relation avec les distances
g¨¦ographiques, mais d'ores et d¨¦j¨¤, on peut noter un polymorphisme r6-
gional extr@mement impor%ant,i en effet les populations du Sine-Saloum
et du Ferlo par exemple se r¨¦ipartissent differemment dans les groupes
definis au tableau nOII1,.
l
b/ - Sclerospora
Tableau IV (F) des principaux effets :
l
!
0
10
I
Effets
, Intityynce 1
S¨¦vSrit¨¦
!
!
!
S¨¦v¨¦ritS ,
.
! y$- ;
?
!
(1)
1
.

(2)
I
o-"'~"""---"""T'------~----~-----~----~-~---------~"-~"-~----------~
! Vari¨¦t¨¦s
!
13,50
46,82
,
27,65
***
* -2 *
-x * *
!
58236
!
++ * -'e
!
!
,;
!
!
4
0 VxENV
!
5,93
l!
26,20
!
19,64
!
35,60
I
i (lin¨¦aire) ;
***
'!
.>+ ++ *yc
!
*++*
!
.>$ ->; 2 L.I
!
; D¨¦viation
; 181,61
1
!
!
!
; cumulee
.
**3c
l!
107,21
40,20
123,37
* ++ .+
!
***
!
-x- 3k ii
i
!
~!
!
!
1
j($p2ij/n-2
!
'!
!
!
I
*
',
!
!
!
!
1
*SC31 :
significatif au seuil& = 0,Ol =
0,Ol =&L 1
Les 3 effets irnpliqu¨¦s dons la variation des interactions
C x E pour le mildiou sont trIes hautement
significatifs.
Les populations diflf¨¨rent g¨¦n¨¦tiquement quant ¨¤ leur r¨¦ac-
tion vis-¨¤-vis du mildiou (incidence, severite), de meme la repense
lin¨¦aire des populations au g~radient d'indice Ij, semble @tre une com-
posante g¨¦notypique intrins¨¨q~ue.
Les dcarts al¨¦atoir~es par rapport ¨¤ cette lin¨¦arit¨¦ corras-
pondant Egalement ¨¤ une expre~ssion g¨¦notypique diff¨¦renci¨¦e. Co qui
traduit des diff¨¦rences genekques dans la stabilit¨¦ de la r¨¦action
E?xprim¨¦e. L'analyse par popul~ation (Ho =r &2ij/n-2 = 0) montre que
deux populations seulement So~nt instablesrdans le ph¨¦notype exprimQ
(rssistent ou sensible), i.e ~= Ec32ij >FD,ol Q&
Qa

Vari¨¦tes
!
,InCi:i"""j
S¨¦tiBrit¨¦~Incidence~ S¨¦v¨¦rite:
j significatives
;
0)
1
(2)
;
(2)
;
r;-"---D-,-------,,;,,,,,,,,,,,,,,,,,,,;---------~---------~
h 5
E 2576
;
-
,;
-
;
-
;
8,78 ;
.
.
i 42 SL 52
!
!
!
!
!
i (Thiot-ride)
! 176943 ! 103,1's ! 15P02 ! 2oP45 !
!
0
!
!
!
Les autres populations ont une stabilite qui ne diff¨¨re pas
significativement de 0. La signification globale
trouv¨¦e
au ta-
de l'inoculum du mildiou,
?-
Y-
l!
I.
!
!
5
f
y..
1
Sd2i
i
!
.
f Incidence (1) i
l,Dl i
3,Yl
f
61 ,66 $6;
.
.
l-¡°¡°¡°¡®¡°¡®¡°¡°¡°¡°¡°¡°-¡®T----~-¡°--:¡°-¡°----~-~---------!
!
S¨¦v¨¦rite
0)
!
1901 1
0,Ol
!
!
OP70 ;
f-J,02 zi ;
0,oo
!
.
!
!¡°--------,--------f----¡°--¡°-~---~¡±----~-¡±----~--!
0
Incidence (2) ,
0994 l
9,84
I
!
; 10,59 * ;
'l9,12 "!
.
!
?"--"'~"""'-""T"""""'i"""--~"--------~""-------~
!
S¨¦v¨¦rite
(2)
!
OP83 +!
0,04
OP05 * ;
0,oo !
!
!
!
!
* Valeur incluant le SL 52 (Thiotand¨¦)
De mani¨¦re
l'environnement semble jouer un important
(linearit¨¦) --- La dimension des
que le lot de population ¨¦tudiees B
(incidence00 $
sev¨¦rite&
C,O5), Les fluctuations
et le h0eme jour sont
m¨¦canismes agressifs du
stable. Nous utili-
sons h dessein le terme de
teur de r¨¦sistance pour signifier la
complexite des ph¨¦nomenes
au ph¨¦notype r¨¦sis.tanC
ou tolerant (r¨¦sistance g¨¦n¨¦t que ---
th6urie g3ne pour g¨¨ne ; fac-
teurs Btructuraux...).
i
Comme nous l'avons
ignale dans le point relatif au rendement
le niveau des structuras
conditionne les gains g¨¦n¨¦tiques et
partant l'efficacit¨¦ des
de s¨¦lection adaptes. Aussi notre
choix se porte-tEil exclusive
sur les structures les plus performan-
tes.

l
16
Pour le rendement nous avons dej8 vu les profils ¨¤ rechsrchor
en ce qui concerne le miLdiou, le profil optimal correspond Z-I la
situation suivante :
!
1
!
!
Siti
.
!
Situation param¨¦trique
.
!
!
Profil
!
!
-I-----l-u"II-----""-""-""-"-"----
r"'m'"'--'".-'!
I
*
f
\\
!
? hL

XiL aIl
10 dv
L.J..
!
!
(-4
;
!
!
Incidence ,
Incidence

;
45 2 OJO 4; 5
!
G->
i
) Sd'i.#O
I G2i
!
C-1
!
!
!
l
!
I
!
!
S¨¦vBrit¨¦

l
1¡¯7
L'examen du tableau (VI) r¨¦v¨¨le des ¨¦carts par rapport au
profil optimal, notamment pour l'incidence et le Sd2i associ¨¦, Par
contrs le profil optimal pour la sevbrit¨¦ est atteint par toutas les
populations retenues pour leur rendement. A un stade plus avance
(6Oclrme jour), cette situation connaft ¨¦galement des variations. Dans
la mesure o¨´ le rendement est la cible et que des situations comme
celle de l¡¯hybride nain (r6sistanca parfaitc 8-1 travers ZOU~ les sites)
indiquent que le profil optimal en mildiou peut-etre associe ¨¤ unc
mauvaise potentialit4 de production relative . On peut s'interroger s
s'ur les relations existant entre les variables associ¨¦es ¨¤ ces deux
c:aractsres
: tableau VII.
(Corr¨¦lation de rang) entre rendement/incidence, sev¨¦rit6
Spearman
!
! INCl
!
R/ ; s = -0,083
! s= -0,163 ! s = -0,090
!
;z =
0,504
;z =
0,989
.
;z =
0,540
!!
!
NS
!
N S
1
NS
!
!
!
!
!
NS = non significatif
z &Gw-7
cg = 0,05
en'cre r¨¦ponses lin¨¦aires
= regression .- rendement ;b(m)= ragression mildiou)
I
!

!
!
Y¡°r/SEVl
!
/INC2
;
r/SEU2
!
!
!
!
!
!---?-'"-n'--""~f'-- --I---L"--lr-L---3--I-L------"-,
!
0,090
!
- 0,147
!
- 0,089
;
! z = SQ,545
!Z =
0,905
!Z =
0,541
!
!!
NS
!
NS
!
!
!
!
NS
!
t
1
A
?
!
NS = non significatif <3u seuil
-A = 0,05 et ysi: = 0,Ol
Les correlations en-;re le rendement et lesvaleursd'inbi d ence
et s¨¦verite sont toutes negat-.ves ce qui traduit une tendance inverse
e#-itre le rendement et le mild:.ou. Cependant cette association est lgchc
dans l'ensemble (
r petit), et pas significativement diff¨¦rente de 0
IL en est de mem &++@pour l'association entre la lin¨¦arite des r¨¦ponsus
psur le rendement et pour le nildiou.
En valeur relative
'association est plus forte entre lc
rsndement et l'incidence (2). L'existence dz cette liaison faible entre
1~ rendement et les param¨¨tre
du mildiou, suggere une association
plus forte 9 partir d'un tort in seuil des variables consid¨¦r¨¦es. Ce
psint sera abord6 dans la pro haine Qtude dans le contexte de l'oxpres-
sion de la variabiliti g&neti :ue,

,-.-.L.-.-.-.L.-.-.,.-.,.,.-.,.,.
-0
IN

x
L7 -0
*Pi
.-.

-.
?
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t. 1 I
z

i c.
I I¡¯
I
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20
CONCLUSION
Cette ¨¦tude aura
de serier l e s i n t e r a c t i o n s genotype
environnement pour le
la r¨¦action au sc.lerospor,.a. A la
lumi¨¨re de ces Ql¨¦ments et d
leur relation, nous avons effectue. un
choix voisin
de mani¨¨re a situer
les performances
tr¨¨s haut niveau per-
mettant d'envisager des
gen¨¦tiques importants avec une bonne
probabilit¨¦.
Il ressort de l'analyse que les populations de Souna sonfi&
galais utilis¨¦es dans cette Etude,
sont tr¨¨s polymorphes pour les
caracteres Qtudi¨¦s avec des performances moyennes relativement 5lewdcs
pour la production, et un comportement acceptable (30 d¡¯entre elles)
pour le scl¨¦rospora. Ce qui permet d¡¯ores et d¨¦
au sortir du premier
c y c l e d ¡¯ o p ¨¦ r a t e u r d e transfo:Tmation (Multi-T.C.
de constituer le
noyau attractif pour la composante s¨¦negalaise d: pool Afrique do
l¡¯Ouest. En outre l¡¯analyse g¨¦n¨¦tique sur un fond polymorphiquo de bon
niveau pour la cible finale, permottra d¡¯avoir une compr¨¦hension de
l¡¯efficacit¨¦ relative¡¯des di?f¨¦rentes strat¨¦gies d e d ¨¦ v e l o p p e m e n t B
partir de seuils ¨¦conomiques et par cons¨¦quent de mieux focaliser lus
transformations..
I
Il faut si naler que les 13 populations issues de la pros-
/ pcction.. Oumont
(1972 3 pr¨¦sen.;ent relativement moins d¡¯int6rQt dans
! cEtte aptique de choix optimum sur des structures ¨¤ grande variabilite.
1 Par contre certainespr¨¦sentent des caract¨¦ristiques interessantes que
f nous allons exploiter.
Si 10 programme
pode doit un jour connaftre le dGveloppe-
ment initialement pr¨¦vu, ce
ype d'etude constitue un prdalable neces-
saire 21 un choix objectif
rationnelle des structures d¡¯entre?s.
Quoi qu"on en dise le flair
du s¨¦lectionneur ne saurait remplacer
.L'analyse rigoureuse do
anisation gen¨¦tique des entrees.
Pour disposer en ut- temps (t) donn¨¦ de strucutres d¡¯entr¨¦os
Ilion connues, choisies avec rigueur, ne serait-ce qu'au niveau d'un
pool,
les analyses devront pcrter simultanement sur des ¨¦chantillons
diversifies de population, appartenant
aux diff¨¦rentes zones ecologi-
ques consider¨¦es. P a r a i l l e u r s , s'il faut comme il avait et6 pr¨¦vu,
fiabiliser les r¨¦sultats pour une comprehension scientifique des effets
en cause, et par cans¨¦quent assurer leur r6petabilit¨¦ dans un contexte
ddfini,
l e t r a v a i l d e terrair doit Gtre s o u s - t e n d u par des invostiga-
tiens g¨¦netiques dont la r¨¦alisation necessite un certain ¨¦quipement
scientifique.
t e s m o y e n s declares F¡¯temporaires¡±I jusqu'B pr¨¦sent mis 3
notre disposition ne permettent pas une realisation de ce programme dai¡®39
l ¡¯ e s p r i t precit¨¦. Il y atne red¨¦finition des objectifs, du contenu ot
de la nature des r¨¦sultats attendus de ce programme en relation avec
1.0s o b j e c t i f s gan¨¦raux de l*amelioration m i l . C e t t e r e d ¨¦ f i n i t i o n ¨¤ la
ciimension des moyens disponibles presontement e t p o t e n t i e l l e m e n t d o i t
fitre l¡¯oeuvre des autorit¨¦s scientifiques de la recherche, qui dis-
posent des Qlements n¨¦cessaires pour la r¨¦aliser.
A notre niveau,,
d'avoir cotte rectification officielle,
nous consid¨¦rons toujours
programme tripode garde les mismes
ambitions, dont le saupoudrag
actuel des moyens ne permettra jamais
c¡¯attaindre l ¡¯ e n v e r g u r e .

21
B,/ - PROGRA.MME GAM X INDIEN
L'objectif des essr is mis en place en hivernage 77 dtait
d'apprecier les aptitudes ¨¤ 1:
combinaison de lign¨¦es indiennes avec
dss lignees GAM. Comme nous 1 avons signale dans l'introduction g¨¦nd-
r3le,
seul l'essai In x GI ~'6 st d¨¦roule normalement.
!J~US prdsenterons : :i quelques resultats relatifs Ci cet
essai.
A/ - Protocole (voir inti 3duction
21 - R¨¦sultats.

Toutes les caracte]
.stiques de croissance et developpenent
des plantes jusqu'¨¤ la r¨¦coltE
ont ¨¦t¨¦ ¨¦valu¨¦es.
Nous pr¨¦senterons j :i uniquement les performances relatives
au rendement et ¨¤ la r¨¦action fis-¨¤-vis des maladies (mildiou).
a/ - Rendement :
Tableau d'analyse de variante
-IIcIL-
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Source
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Vari¨¦t¨¦s
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Blocs
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5,62!
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Erreur
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= 2 674 kg/ha.

22
:Tableau II: Performances moydnnes et h¨¦t6rosis
-
-
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~H¨¦t&rosi~I-I¨¦t¨¦rosisk$ du
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;/P arent ;parert ;t¨¦rnoin
ibattage ,R au batiparent
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;moyen $ IGAN GI
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1
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-
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- 100
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#&-l,P

kgmin
O,Ol
=
1
405

2 3
Les effets variete
sont significatifs au .seuil.::~:~O,O5 etO,Ol.
Le tableau (2), indique les
erformanccs moyennes estimees des hybrides
de morne que les valeurs d'he ¨¦rosis correspondant en r¨¦f¨¦rence au pe?ent
moyen, et au parent commun.
Les m8mee parametres sont calcul¨¦s pour le rendement du bat-
tage. Ce caract¨¨re semble important dans les plus-values diffdrentielles
de rendement. En effet deux entr¨¦es de meme production en ¨¦pis peuvent
diff¨¦rer significativement dans leur production en grain, selon l¡¯impor-
tance ponderale du magasin, le poids sp¨¦cifique des grains et 13ur
donsite de r¨¦partition.
c
Pour 1s ren,dement,l.es h¨¦t¨¦rosis par rapport au parent moyen
sont dans l'ensemble ¨¦lev¨¦s, ¨¦tendus (255, 21). Par rapport aux lignees
I?dDE, la lignee GAM se situe ci un niveau de production relativement bas,
comme le montre les h¨¦terosis par rapport au parent commun (¨¦tendus,
M4, 1 5 7 ) .
7 hybrides sur 28
ont inf¨¦rieurs au t¨¦moin Ll x L8, dans
1ics limites des fluctuations
al¨¦atoires.
Les hybrides HZ, H , H23 sont les plus mauvais du point de
vue de l¡¯h¨¦t¨¦rosis, ils corr spondent en effet ¨¤ des parents moyens
II niveau relativement ¨¦lev¨¦
t les plus-values par rapport ¨¤ ces parents
sont statistiquement pas
3
sig ificatities.
En ce qui conclerne le rendement au battage, aussi bien l'he-
t¨¦rosis par rapport au paren
moyen que l¡¯h¨¦t¨¦rosis par rapport au
parent commun, sont n¨¦gatifs pour l'ensemble sauf pour les hybrides :
114, H22, H1, H5 et H13.
Il semble donc que les gains substantiels obtenus en FI, ne
soient pas tellement dQ i2 une am¨¦lioration du rendement au battage par
rapport aux parents, il y'aurait m@me une depression de ce caractere.
Ce r¨¦sultat demande ¨¤ et:ce approfondie par d¡¯autres test impliquant du
natbriel d i f f ¨¦ r e n t , pour esquisser une formulation generale de cette
tendance, et voir c0mmen.t en tenir compte dans les s¨¦lections. Des mani-
pulations sont prevues dans CO sens,
b/ - Mildiou
l'analyse de variante r¨¦v2le des comportements significativc-
ments diff¨¦rents vis-¨¤-vis du mildiou avec cependant des situations
diff¨¦rentes d'un bloc ¨¤ :L'autre du point de vue attaques, et par con-
s¨¦quent situation de l'inoculum (quantite viabilite, facteurs du milieu
conditionnant l'infectivite) - (cf : tableau suivant).
L'incidence moyenne est relativement basse (4,65). Le parent
commun GAM 16569) et le temoin Ll x L8 ont une meilleure r¨¦sistance
l¡¯ie&-vis d u scl¨¦rospora que les 1ignQes I N D E testees. Il est difficiIc
au travers d'un test top cross de tirer une conclusion sur la nature
des effets g¨¦n¨¦tiques qui conditionnent la resistance; une ¨¦tude plus
appropri¨¦e.

Iabloau III - Pourcentage d'attaque de mildiou - Analyse de variante.
!
I
t
!
Source
I DDL
;
SCE
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!
I
CM
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F
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!"----"'-'-""-'-'-'r------j-.--"~~--------------"-~--------~--~---~----"-!
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.
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Hybrides +
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57 ;
!
*
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5,73
0
c
parent
!
10 352,82 ;
!
!
!
!
!
!
Blocs
!
3 !
219,65
i
73,21!
2, 33 -kV:;
!
Erreur
!
!
!
!
171
;
.

5 365,87 ;
31,385
!
!
Total
!
231 !
15 938,34 i
i
i
1
!
!
.
!
!
!
Y = 4,65 -
**yr* T>ri = 0 ,05, 0,Ol
Tabl.eau IV : Incidence rnoyenne~ de mildiou pour les hybrides et leur
parent Inde.
l
!
!
Hi
H 1
1,25
:
!

1,39
1
!
!
!
2,14
!
3,34
!
!
1,96
!
0
!
!
2,05
!
13,98
!
!
2,46
!
0
!
!
0,96
!
0
!
!
2,18
!
18,72
!
!
1,04
!
0
!
!
1,14
!
4,94
!
!
5,07
!
0
!
!
27,19
!
2,94
!
12
!
a,90
!
!
I
13
!
6,02
!
Ii,57
!
!
14
!
1,04
!
0
!
15
!
!
6,32
!
8,CO
!
!
16
!
0,oo
!
0,oo
!
!
17
!
l,oo
!
o,p 00
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!
18
!
1,19
!
6,67
!
!
19
f
12,35
!
3,13
!
!
20
!
0,oo
!
0 00
!
!
21
!
1,39
!
20 84
!
!
22
!
0,oo
!
2 79
!
!
23
!
22,52
!
0 00
!
!
24
!
5,14
!
18 48
!
!
25
!
17,94
1
0
!
!
2G
!
0,oo
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!
27
0,oo
! A min = 7,76
!
28
!!
9,67
!
0,05
!- GI
!
!
!
3,+9
i . A min =10,20
!- Ll x L8 ;
!
0,Ol
!
0,oo
!
l
-
-
m
m
-

2 5
¡®:croisement triplet. e s t e n c c rs de concert avec le pathologiste .
aussi nous ne discuterons pa: das valeurs relatives des hybrides par
rapport aux parent6.
Il faut cependant r ter le niveau tr¨¨s bas des incidences
s u r l e s h y b r i d e s - t a b l e a u ( 1 L
C:onclusion
Les hybrides entre
a 1ignEe G¡¯l (16569) ot u n e serie d e
lignees indienws se si tuent
un trbs haut niveau de potentiel de
production,
i l s p r ¨¦ s e n t e n t e n outre une incidence au mildiou faible on
moyenne ?
Lp9 c h o i x d e s m e i l l e res combinaisons nous aura permis do
c o n s t i t u e r c/es p o p u l a t i o n s F 2
- des familles F 2
Nous avions Cgaleme
t pr¨¦vu de constituer une Syno ¨¤ mener
sn s&Laction d i s r u p t i v e
POU
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c e q u i n¡¯a p a s ¨¦t6 p asible pendant cette contre-saison.