UTILISA TX~N &2E LA CH! D E PASSION ...
UTILISA TX~N &2E LA CH!
D E PASSION
E T DU PSYCHRUHY~U~fTRE PQU~? M E S U R E R
L E PUTENTIEL HYDR~QUE D E L ‘ARACiYlDE
1
P L A N
1
- INTRODUCTION
II - ~~ATERIELS ET METHODES
1, Natériel v8g6tal et traitements des plantes
2. F16thodes d’études
I I I -
RESULTATS ET DISCUSSIONS
II) iiesure du potentiel
hydriquc par la chambre de pression
S) îiasure du potentiel hydriquo par 10 psychrohygrom&tre
C) Comparaison des résultats obtenus avec lo psychrohygromètre
et la chambre
de pression
IV -
CUWCLUSIONS
V - BIBLIOGRAPHIE
1 - INTRODUCTION
Plusieurs méthodes ont oté dQcritos pour
mcsuror l'état do
l'eau dans 1~ plante, ce qui montru la difficult8 qu'il y a à
trouver
une muthodo universelle applicable & tous 10s ca.~. Les m6thodos de
mesure 1123
plus génk3ralomant utilisdos sont do
doux typas, :
- les méthodes directes (Psychronbtro,
SPANNER 1951)
- li3 mdthode de la chambre do pression (SCHOLANDER ct
& 1964, 1965 o-t 1966)
Dans le pr8sent travail nous avons voulu comparer 10s valsurs
du potcnticl
hydriquc foliairc de l*nrachida (-QSchis hyJosioE!
L)
obtenues ~VZC uno
m6thoda dircctc
en utilisz .nt un psychrohygrom&tre à
point de ros8c ot colles
obtenues avec urw chonbro do
pression, car
certains auteurs (ALLEN et &. 1976 at BODTE et 01 1976) consid&rcnt
qG'i1 ntost pas possible d'appliquer la chombrc-yg pression à cette
plante,
ilous avons dans ce cadre ossayor de Faire ressortir les avan-
tages ut problèmes propros a
chacun0 dos mothodos pour
son utilisation
on gon6ral et dans le cas particulier do l'srachido.
3
II - MATERIELS ET METHODES
l- ~lot~ri.01 vf2g~tûl et traitomonts dos plontes
~"-II""--I-c-~-""------"-""---"---"---","--"
3) ~iatériol véqbtal
rjotre motériol vdg6tal ost constitue Per la variét8 d'arachide
(Arachis !~~~~oqca L) 57-422 issue d’un choix du Contra da Recherchas
figronomiqucs
cRrde Bambey (SENEGAL) dons uno population hybrido
(C-334 -3-404) qui provient de la station de TIFTON un GEORGIE (USA)
on 1947,
C'est uneVtrginiaà port ériga et ù grondas folioles. La
longueur dc son cycle se situe antre 105 ot 110 *jours dans las conditions
de la saison des pluies du SENEGAL.
Los graines aprés prbqcrmination sonk semues dans dos vases do
vGg6totion contenant du sol ferrugineux tropical Pou 1ossivB (1). L'cnsomblc~
SO
trouve dons une serre où 10s tomp0rnturos moyennes journaliércs sont
do 43OC pour 1~ maximale ot de 20,6*C paur la nd8iimalc, L'dvaporation
journolibrc mosurdo par l'évaporométrc dc Pichc est en moyonno dc 6,7 mm.
Lzs plantes sont ûrroseos jusqu'à In cûpccite ou
champ B
II h ct ti 17 h, La s6chcrosso est induitc prir auspunsion dr arrosage, 10s
prolèvcncnts sont offoctuos h pnrtir du 35O jour opros semis.
2- Mothodes d'6tudcs
L-LILIM-----".WW.*
flous avons mesur le potonticl hydrique folioire pnr la chambre
do pression ot un psychrohygramètre.
Pour ce qui ost do la chombro do pression nous avons utilise 10
modolo 30125 de chez SOIL MOISTURE EQUIPMCNT CDiiP, à SANTA BARBARA en
CALIFX11IE (ETATS UNIS). Les mosurcs obtenues pcr lo chombrc de pression
sont symbolisées CP.
I-leur 1s Psychrohygromètrc nous avons crnployb 10 HR 33T Microvolt-
mètre à point de roslc de chez WESCOR, INC 5i LDGAEJ, UTAH (ETATS-UNIS)
bquip0 d'une chambre do mesure du mbme constructeur. Cet opporoil pcrmot
de mesurer 10 potontiol hydriquc par deux procodes :
- Psychrométrie classique symbolis6o dons cette 6tude par P
- Hygromstro à fixation du point clc rcs6s note ici DP
Pour le procéd0 P 10 constructeur donne uno sonsibilit$ th0arique
de 0,47 yV bar-'
à 25*C, une correction est possible si lo mesure est
offectuoz ;i une tomp8raturc diffgrontc dc 25*C. Cn peut obtenir ainsi
nutomatiquomcnt le potentiel hydriquo y nous ~V~IT;:; dosignd la mesure
obtenue de cotte moniàro par PA. On peut égnlcmont otablir une courbe
Ctzlon ewoc dus solutians de NaCl à potunticls osmotiques connus, les
potonticls obtenus à partir de cette courbe sont symbolises ici par PEI.
(1) Annalos du Contre do Rachorchos Agronomiques de Ssmboy au S&ndgal
Ann&c: 195h- Fittllratin
n-n _,.^_ a-..- -0
-e
,.P,^..-^-.
Pour ce qui est du psocdd6 DP uno sonslbilit6 théorique de
c,75 )N bx?
pout-etrs IJsporéc
nt un chr:n~;ocl<-:nt d o scnsibilit6 d o
(J&r>;; “=C -1, cc q u i donno uno crrour d o
ci:.; antrL7
2 0 et 5o”c (CAMP&I..L
ct & 197Aj.
Le moyen d’uxprimcr 1~ potcnticl hydriqu~ a BtB symbolis6
p a r D?;: r:t celui obtenu à p a r t i r dc l u courba u
kalon p a r DPE.
Lo constructeur prbconisc 15 minutes pour 10 temps d’ Qquilibrngc
2n cc2 qui concornu
u n mcitr2ricl v6gGtal.
L’appareil permet d* a v o i r la tcmpnruturo ü l ’ i n t é r i e u r d o 1::
ch::mbrc! de ncsurc.
III
- RESULTATS ET DISCUSSIDNS
:;~SU~C du potentiel hydriquc par 13 chani:ro do pression
-------"r--L---~-"----l)-l--"-~-"----~--"----
La grando simplicit8 est le caract&rc pratique de son utilisation,
10 granrl
nombre d'uchantillons dont on peut mGsurcr les potentiels hydriquos
par
unit6 IJU temps font de la chambre do prc
Ission un instrument de choix
r,ussi biirr: pour 13. rcchcrche fondnmontalo quo pour ccl10 3ppliquBc. Lus
durnii:res iachniquus concernant sa construction, on font
un appareil
maniable, facile h transporter
ot p3rfûittimont :-,clr;pki! wx travaux aussi
bitin 3n plein champ qu'au laboratoire.
SF technique dc mesure ust basfiE sur 1~ principe qui consista
à Glevcr progressivemont la pression autour d'uno fouille (ou rameau)
cnfcrr, f@,gnns une! onceinto et à lire sur un m:~nocl&tru la pression
?3 lûquallc
3
l'c?au 12 ;:yl?:no apporaft
Q la eection do l'dchantillon. Dixon (1914) l:t
SCHI‘ILAN2'IE i:t y,
(1964, 7965 et 1966) suggeront
que la pression ainsi
m us u r (3 ï' soit considdrdc
comme compensant ln pr--n
,,,ion n&jiltivo qui à l'origine
Ctnit c,>llc dc:ns les vaisseaux intacts du xylhmc.
Cotte prossion P = @c + $oS
ou ,
rl c = Potontiol hydriquo dus
ccllulcs autour dos
vaisseaux du xyl&mo.
c t j5
= Potentiel osmotique
Os
dans 10 xylène.
est lo plus souvent 61ov&3(proch~ dz z8ro) ct on admet dans
bi&aucoup AC! cas, que P
@ci d ont quo
13 Gquiveut au potentiel hydriquo
do lf~chantillon dtudi.6,
Uno rdvision importanto des possibilitbs et limitas
:dc 1:: chanbrti de pression a btb faite par T:ITCfiIC et HINCKLEY
en 1975.
:~OC beaucoup d'osp&scs vCg6talcs 1:: c!~ambre de pression est uti-
lisF'SI; pour m~sursr
1:: potcntiol hydriquo s:.-.ns problSmes majeurs, co qui
piîmct 1io profiter du caract$ro rapide do lu
r.>:jki!,dc:.
2alheurcusoment chez certaines cspùcos vi:lgOtnlus la chambre de
pression compte tenu do son principe de mosuro posa quelques problèmes
on ce qui concorne son utilisation. Nous nous limiterons ici nu problèrno
posU par
12 ruconnaissance du moment où app;:r:lFc l'eau
dans lc xylème car
constiku,ant la limitu la
plus importante de l'u tilisation de la chambra
dti prossi:~n chez l'arachide
(ALLEN et ûl ,1976
CODTE ot 31 1976).
Voyons d'abord
quBlqucs exemples où unTrobl5mL similoiro~~ast pose ot
1~s solutions prt5conisec.s
avant d*cn arriver au cas do l'arachide.
Travaillant sur
dos feuilles dz raisin KLEPPER at CECCATO (1968),
rapportorvt quo des bulles s'6chappaicnt do In surf~co du ~~~~1~1.. ccUp8
avant lü pro.ssion Equilibrant celle dc la s5vc du xylème. Ceci tctait d(3
au passû:;c. lie l'air à travers le xylZ3mc cmpori;::nt ;ainsi son contenu. Ils
ont pu
,:r$cti & l'habituda faire
une distinction en:ro les deux
phdnom&nos.
Do son cBto JORDAN
(1970) indique quo chez le cotonnier dus
bulles tinc2r::,nicnt souvont de la périphèriGuC
;IÜ ia moelle dos tissus avant
l'Gmï.ssicn Go liquida à partir du. xyl&mo. Dans oc cas Qgalemcnt l'habitude
. .
3i ns 2. q U i! 1~; faible taux de gaz insuffle aidaiont 3 distinguer les doux
r3nissiüns.
Choï las conifères il y 2 intorf4rznco 2ntro les rdsinas qui
exsudent c;n Prumicr lieu ot la séwo dans lc xylùn; (KAUF~lAMPJ 1968 a,
iYIy:HIiI
zt HIMCKLEY 1971). La reduction do In vitossc d'injection du gaz
c-1 i du L rcr,gl)cr(j CO problème. Uno solution pour i1.3k,2rminor le point oxuct
d’aoparition
do
In sève du xyl&nu consista à utilisur un conductimètro
a microulcctrodus (RICHTER ot ROTTENBURG 1971).
;:vc’c l’orachido le prableno pris4 est l”nppnrition
à l
a
section
;ju petiole
dz lo sèwo du Phlobme nvant quL; n'apparaisse cullo du xylema.
ALLE~! üt &. 1976 (2.t Boa-rE 2t g 1976 ont utrj
c:jnfrontfis 3 ce problame. En
;ion;:rol il n’y a p u s o u d o p r o p o s i t i o n d o solutiuns s i n o n l,‘utilisotion
d'uno wtrc
c
muthodn~a t ce qui pose de grands proi,lGmus Car
les autres mGthJdcis
3 0 nt un gCnCra1 plus lentes
que In chambre du
pl';::;sion,
~:~LIS avons chcrchb
quart-t 2 nous 21 trout:;:r
une solution à ce
proi?lGrnc
do façon à ne pas pordre les avantanos 11.2s à la chambre de prossicn.
Tenant compte
dos moyens à notre disposition dans le Centre 'do
Uochorzhos
22ronomiquos,
nous avons cherche uno sclution simplo mais fiable
“‘est
\\I
.-iinsi qu’apres mai.ntes r o c h o r c h o s n o u s s(;mmcs parvenus h diffbronciur
ces deux
sévcs <in utilisant des papiers indicataurs do PH. Dans la gamme
dos p a p i e r s
tost~s celui qui nous a donne 11: plus sctisfaction ost lo
pnpior
"SPCZInL-INDIKATUR-P,qPIER PH 5-9" tic chaz CIEDLL-DE HAEN AG, CE!
popiur
Lianno uno coloration rose
orangé avec la sctve du phloèmo et un
g r i s vcrdatro avec colle
du xylemo. Avec lo papier PH 5,5-9,O rocemmant
introduit p7r le
mBme fabriquant 10 gris
obtenu ÜWOC la sève du xylémo ost
plus p,41<> CL tond h se d6coloror ussez rapidcnent,
7. v 0 c 1 o papior
universel PH I-10 nous avons pu dótcrminer 10s ordros
d u grandeur Ocs
PH dos doux sèvos : do l’ordre tic 3 pour la sève
du phloèmc
ot do 5 [Jour colle
du xylème.
Müus avons rctonu
comme plus util 12s papiers
SPEZIAL IN:'SK/\\TOR
PAPIii?"
?H 5-9 ou
PH 5,5-9,0 pour diffdrencior la
moment d’apparition do
chacune tics sùvcs.
Au fur ot 5. mssure quo 1i-1 p russion est Dlovéo o n appli-
que l u p::pi~r ù In section d u p é t i o l e
ct larsqur;
lo sDvc donne une colo-
r::tion gr is-vcrddtro sur le papier
on note 1~ pr,Jssion correspondante.
on :. ainsi
li? Potcnticl hydrique
do la feuille csr cette coloration cofres
po rX
à l*npparition d o l a sèwo
d u xyleme.
NOS cxp~ricnces ont montrG quo l’int orfr5roncc ontro l e s d o u x
S~~VUS cs c p l u s narqudoaux
potentiels UlovUs (proche de zbro) qu’aux poton-
tiels 13:;s
(conditions de sechcresse).
LL chcrchcur experiment6
aura moins ~iù problemos car
nous avons
constnti. q!:' nu;< coroncos hydriquos moycnnos
(plantos on lúgor
d6ficit
hydriqu;:) la sève d u phloèmc dont-w u n bouillonrwc~ont
mousseux, blanchstro
et lr3rriv6c do la sevu
du xylème est marquuc comme par unc “explosion”
au nivo‘u dos bulles. Cos dernières sont d'un diamGtro plus grand
que les
prznicrt>s 2.t
sont plus translucides.
,: L’O c dos
plantes ayant subi une carcncc hydriquc
importante
(bas pokcnticls) on a prosquo toujours diructonont la sùvo
du xylDme qu.i
uxudi: o;lns in-tcrfuruncti
avec celle du phloènu.
“...
1 ‘-. .
.,:
a
c n constotc d o n c q u ’ i l est possible drzFpliquer l a mothode d e
:n~‘stir~! du potznticl h y d r i q u o par l a chambrz C!G p:;ission à 1’ arachide.
f?uus a v o n s p a r sillours cherche à dotcrminor s i on p o u v a i t par
u n schk;:! s:ztistiquo prddiro l’nrrivfic d o la S~VQ du xylèmc connaissent
13 pression d*nppnrition d e l a s è v e d u phloèmu. C’est ains? que n o u s avons
Inen4 une: Utuljc d o rdgrcssion 1inCnire porta& sur 124 couples, nous avons
alürs obtoriu u n e Gqurtisn q u i est :
Y = 1 , 7 5 8 x + 3 , 7 3 4
( f i g u r o 11
r:~i.~ x = p o t e n t i e l jugi: p a r l a sèvti d u ph:ioèmc
c,t y = potentiel jug6 par la sèvo xyli3mc
Lc c o e f f i c i e n t d e carrdlation f? = 0,744 ost s i g n i f i c a t i f à 5%.
LOt:c utucto statistique est utile mais pas Lrop McossG,re compte tenu
d e La f a c i l i t é d e d;t
G erminntion de l’arrivco dc 1:) sève du xylèmc CIVOC
li? jYapiur indicateur d o P H comme noue l’avons si!Jnz16 plus haut.
i
10
C'est un instrument
dont l'un dos
avnntn~os est qu'il peut
m~suror uno gr--;ndo divorsitd d'ochantillons (sols, solutions, vogr3taux .,.
ctc ??
e.J,
' Lc type quo nous avons employc? utilise 10 rofroidissemont
par
cffot PELTILR
(SPnNNER 1951, MONTEITH ot U\\JtN,
1953, KORVEN et TAYLOR
1959) ; il bsnr3fici.c aussi de la nouvelle tochniqu:? introduite par
NElJi~ANi:
at THURTELL (1973) qui mesura lc potcnti ~'1 hydriquc on doterminant
la dtSprossion d'un point de rosbe..
Lc: psychrometre classique ot SOS clGrivos sont ddcrits dans beaucoup
di! cûs comme dannant lc potcnticl hydriquc exact do l'fichantillon, ceci
est un autre avantage quant B l'utilisation di; ces instruments.
Un:: des limitos de l'utilisation du psychrom3trc ost constituec
par le tonos d'dquilibrago nbcessoirc h une mosurz correcte du potentiel
hydriquo. En offet pour une d&tormination exacte dt: potentiel hydriquc
l'Bchnntillon, l'air ut lc thcrnocouplc doivent btro ü la mdme temporature ;
il faut @nlomcnt que la prossion dans 1'6chantillnn ot 1'atmosphLro
autour dz Z'Gchantillon soient en dquilibrc.
CO ttimps d'0quilibrago doit (4tr;; dotzrrnine ompiriqucmcnt car
dopondant du l'appareil utilise, de l'cchantillon à dtudier et
des condi-
tions do travail,
Dans la litturcturc scientifique on truuvu plusieurs indications
concernant le
temps d'cquilibro suivant lus contiitians do travail
(F1ONTE:ITH
et O!JiN, ~958 ; EHLIG, 1962 ; KRAMER et
BRIX 1965, i.l?dSTEl?, '1963
;DARRS
et SLRTYER ,1365) un gbneral 4 a 6 h suffisont Pour 10 materie v6gGtal
(SLAVIK 1974) ce qui est '30 loin superiour
au:: indications danndas par
10 conslructour
du maturiel quo nous avons utilisG.N;s cxperionces
montrùnt cePcndant que cc temps est vnrinblo ot est on rapport ûveo la
quantitti tilcau dans la Plante. En effet Pour un:: plante d'arachide
norma-
lemunt arrosuo cc temps est en moyenne de 2h paur lus
deux procedbs
DP
et P du Psychrohyyrometre (figure 2). Pour dos Plant~s en tr?tat do caronce
hydricjui; ce temps diminue avec l'intonsitt3 do cckto carence sans touto
fl3i.s jamais Otrc infúriour à quinzu (15) minutas.
Chez
l'arachide donc l'dquilibro alobtiont plus rapidcmont
chti:z
10s plantirs on carence hydriquo quo
chez coll-,s nbi~nûanimont arrosbo, Goci
peut s'zxpliquor par le fait quo la qoantitt: d'3au
contcnuc dans une plante
normnlcnont arros60 ost plus importanto,co qui impliqua un temps plus
importan'; pour 10s divors echangos (tompercturo ut prossion) entre l'bchan-
tillon,
lu chambre ot l'atmosphéro dans la chombrc.
Cos tomps d'uquilibrago parfois tr::P longs (mEme si l'appnrcil
que nous av:!ns utilise constitue
un progres
par rapport Li COS prodocosscurs)
li;,>i.tunt
bcnuccup l'oxperimcntatour quant h la qunntité d'ochantillons
otudiúv Par unit& de temps. Par ailleurs dus modifications dans lc m&ta-
1301isnl, do l'échantillon comme l'orknotb KNIPLING zt KRAMER (1967) chez
lo ,tr:b::c pcutjont intorvonir à l'issue dos temps ;!'Gquilibragc d'importants,
ontraiaant un changement du potentiel hydriquu initial du tissu. A CC
propos ViLIRA DA SILWA (1968C) ADJAHOSSOIJ 1977 ot ND:[AYE, 1979 obtiennent
rospccZvomcnt chez le cotonnier, le palmior ü huila et chez lo mil et
l'zrnchicio uno augmentation du In teneur on glucides solubles ot uno
hydrolysu c!o l'amidon chez des plantes ayrtnt subi unc: caronce hydriquc,
CO qui pdut ontrainer une diminution du ootontiol hvrlrinirn i-i+:-1
11
I)i> dos grands
avantages du Psychronb%rz
est la cunslnnco dans
lGs irxiiczkions qu'il donw si un cortain numijrc de prkûutions sont
prises
(conciitiuns envirunncmtintalcs tit c?quiliDro), Naus avc~ns
dans nos
oxp6ricncos p u vurifier
qui l’un
o b t e n a i t
10s n6nI:s
indications du
p~:tonti::l hydrique dl~chantillons dc fcuilltis ;:ynnk subi les m@mcs
c;.,ncJiLi:?ns (!?C;C, 6tat hydriquc,
m8mrs conditiuns onvirL~nnemcntalcs . ..ctc)
7~s
.J
avantages du psychrom&trc
, g6nJral,rxent rsconnus font
qu'il OSE sauvent utilist5 pour calibrer d’outrzs
ri;Gthudos de mesure
~IJ p..:ttnkisl hydriquo,
Ceci nous a
amen6 à
Gtudior l a relation qui pciurrait c x i s t o r
Jntru ldz pot<:nticls hydriqws donnes par
la rhnn3rc! du prcssion et COU~
indiouGs g?r li: p s y c h r o h y g r o m è t r e c o m p t e tenu Lu fait que l a m6thodti ds
1~ c~anl;r~ riti pression 6tai.t p l u s rapid; ct “ut si SC? f i a b i l i t é 4tnit
vSri.fiLi: clic conduirait à un travail plus uPfi~ucc.
._.
16
c - Sznnornison
des potentiels hydriquos zb;;:nus awoc le Psychro-
~-=~-_-__-_--~~_"--_~~~~-~--~~--~--~~--"~----"~------------""
hy: rombtro ot la chambre de pression
"-;)-""--I"-c"-"--"~--------"--"--~-
Pour comparer les indications
du potontj.21 hydriqua obtenues
Par 10s doux
muthodcs nous avons menQ un travail
on conditions hydriques
no~mnlos ot oSficitai.ros.
Les rapports ontrd 13s rJsultats varient suivant
lu cas considwrb.
- ,?insi à. lXotnt hydriquo normal ltis :iotontiols 10s plus bas
s 0 i-3;; ~)btonus ovoc le Psychrohygromètra,quel quo sclit 10 procbdu
utilise
(DP UU P) ck A I'intGriour
d'un mémo proc6rl:5 lc varionto anp2oy6o (C)PA
UU \\)FE J il, OU PE 3.
Au niveau du Psychrohygronotr,> lus sonsibilites
théoriqcc: (DPA
et PA) donnent dos potontiols plus bas que CBUX
dos
XUl:b~S
G'dtalonnage. Les potontiels les
plus bas sont obtenus par la
variante DP;,,
Les écarts 10s plus grands
obtenus ;;ntro cette
variante
DP4 ct 1;) chambra do prossion sont inferieurs il 5 ùars (on valcursabsolues)
sauf pzur unü soulc masure,
Les potcntiols tibtonus pur
etalonnage sont
ceux qui oo rapprochent 1 c
plus do ceux
obtenus par la chambre
de prossion.
PJOUS
~VO~S obsorv0
que 10s Ocarts Los Plus importants ontro
las dous mtilhodos sdnt obtenus avec 10s fouiller ?.i{]Gos. Quand on fait
uno rft Ui;c dti 1:; variotisn de potentiel hydriquc;
dzs fouillas du sommet
v 0 r L;
lr. O;:S~ dos rameaux, on constato quo lc pot:;nti.ol hydriquo s'618vr
(so rapprochi:
do zoro)
plus vite avoc lo chambru
do prossion qu'avec 11s
Psychrihy~r:~nbtrc.
Ceci a pour
resultat ilo foire i,l:?riGr les rapports tintro
:cs rssultnts donn6s par les
deux mothodtis.
' ll&tat hydri.quo doficitairo 1;: chanbrc do pression
donne 10s
potontiolsrihydriquos 10s plus bas. La veri;:ntz 13:;
donne les potentiols
les plus Cluv5s. Nous avons aussi constate quo le Pruc6do
P n'arrivait
plus à suiwrb
lus variations du potcntiol hy+Sriquc au dol& d'uno certaino
limite
dqns 13 carence hydriquo
subio par
In pl:inku, tandis que le proc6dG
DP, lui c,:ntinua ~3 suivre ces variations.
En :Jcncral
les potontiels donnus p?r 1~ chambre de pression ct
13 Pr:;cCdG
DP sont assez voisins, SUrtOUt 13 ‘variûrltti DPA, et lGS 6cartS
sont des fois infüriours au bar. Pour mioux saisir lr! relation ontrc
las in:lic;~ti::ns du potentiel hydriquo donnzos par I.a chambre do pression
ct colltis dannG,s par le Psychrohygrométro
nous avons conduit une 6tudo
s t û-t is t iq c! L utilisant la tigrossion linoairo. Si. l'on considère
une
situatizn recouvrant
l'&tat hydrique norm:îl 0 l'&UaC hydrique
dofici-
tniro ics relations Peychrohygromètro-chombrb do prussion pzuvont etru
oxprimtSos
par las Gquûtions.
OP :i = f (cp) ----3 fi,
= 0,799 CP + 4,27
avec R, = C,990 (fiç3)
il PE = f (cp)-----+ $,
= 0,825 CP + 2,072
ÛVOC R2 = 0,990 (fi&;)
;J ~
= f (cp) --Mm"
ai
$3
= 0,613 Ci) -I- ,,93
avoc R3 = 0,977 (fig5)
PE
= f (cp) -w-m ". fl, =
0,847 CP + 2,345 avoc A4 = 0,955 (fig6)
-4 c: c 03
c k-.
t-J.
r,
Y
=La
x =
LI-
r.
l-2
w
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-0 l-tic c GIP
LL! littorûturc sciuntifiquo donno eussi bo;~ucoup d'cxomplcs
du b;l nnc ::c2rClntion entrc 1~s musurcs faitos ~1 1:; chambre de pression
ot CO!.ll?S erfcc l;u,res ovcc 10 psychromètro
(I<LE??CFi, 136û ; KLEPFER ot
XCCATO, 1969 ; DE ROO, 1369 3 et b, BEGG ut TLJF:f!ETi
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.-
A l'~Ppcts~2 KAuFMANN(1968) CI obsurvu une m a u v a i s e correlation e
nntze lus L!~:XX mbthodes chez l
e
clhQ,ne,
Un note donc cunformoment à n:,s rUsult~i;s et dans benucoup
*.i’cutrüs c;‘.s que! la rolotion
chambre de prcssi.nn
C. Psychrometrc est
natisfoisnnti: m:is qu’ii 6tai.t prudent d e s’en a:ic:uror p o u r chaque e s p è c e
,;t Chc?~UL7 ftr_/,
(KAUFMANN, 1968 b ; DARR'J et 2, 1970, ot FRANK ot HARRIS,
1973) ?
IGdyr6 tout In liaison entre les rrJsu1tots do ces
deux m&thr;dcs
nf 6tan.b p;:s tt;trdCment p a r f a i t e O n pSUt, prJUr JXp~i.qUC?r les bcartS St
vari:>tions obtenus ça e t l à irwoqusrplusicurç r:?isons,
P a r m i celles-ci
f; n
n o t e r a d’abord lo p r i n c i p e s u r l e q u e l est bcr;So chaque
methodo,
Puur lc psychromètrz
cumme
n o u s l'nvonr 2Mjà signal& i l e s t
ducrit 3,zns beaucoup de cas comme l’npporoil
lti plus finblo quand il
slogit du mosuror le potentiel hydriquc. Si
quclqucs dispositions prt-li-
minniros sont sbscrvbes (conditions anvir~nnem~~n.~a,les
@Squat2o, 8qui-
libre cas tcmp&rntures et pressions
. ..etc) Los indications du potentiel
hydriquo obtenuos
par cet appareil surit sntisfaisalTtes chaz de nombreuses
espèces V~cJUtolcs.
Mous :ovons nfiamoins
siqnolrl! SJS limites
(temps dtQqul-.
libr;lBo trop lonys),
Qu:lnt a lo chambre
de pression 1~‘s pr::cnuti.ons à prendre
(inscrumon’ tranchant pour couper
1" uchcntillen, longueur de 1’ Echantillcn
IïcJrs do lr
chambre, vitesse d' eldvntion de 1.2 prossion, transpiration
de lfCctiûntillon,
. . . . etc) sont donndcs pnr RITCHIC
ot HINCKLEY (1975).
Muus s;awons egalement
que la chambre do pr:?ssion ne mesure
(3::s la ::omp:!scnto osmotique du potentiel hydriquu, ~US n’avons pas
[mi.sur6 octto composontc dans ce travail mois il out dSmantr6 que dans
:; c: nombreux CÛS c h e z Los
plantos herbncues 011~
peut tstre considtirbe
c-mmc n&liguoble
(sCHOLANDER ot s 1966 ; BOYER, j967 3, JORD/\\N 1970,
HELLKWIST i!t & ,]974).
N6anmoi.w l o r s q u e les p l a n t e s SC devclopoont
dans des solutions
U faibli.; po.;r?nti.ols o s m o t i q u o s uu d a n s ilos zonas a r i d e s o u snlinisdes
12 c:\\npc;anl:2
iJsmutiqu6
peut-Gtro importantu (KAPPtN ot ol 1972, RITCHIE
3t
HIWKLEY ,1975), C ’ e s t d o n c d i r e
que dtis p r é c a u t i o n s dzvont @tro
prisus
lursqu3 L'an trûvoillc sv3c ci3 genre do mnt5rial
et dans ces conditions.
Un outra élumon-t
pouvant amonar
unti mnuv:L:ise estimation du
potentiel hydriquk avec la chambre do pression ;:CA .Lo f û i t q u e d e s tissus
iiutrcs qu, lc
xylèmo a c t i f ( x y l è m e m o r t , moollc . , ,otc) pouvont so remplir
cl’unu lors dc
1'~pplication de la pression (BUYE!J 1367 ;
BOYER 1967 o et
K!iUFI'I;:NN 196B a)
ce qui donne des potontiols plus bes que ceux qui
sxistoiont rG:>llemont dnns l e
xylème,Ceci n’est houreusomont
pas le cas
chez l'ornchidc.
L'12quilibro
ontro les potentiels hydriquos dans lus cellules
I / , ,.; ii ;
. -
::u xylèn;2 ut Caux
d a n s l e ::ylCx~i; cii;1.!z riu~:;i Btro r6alisd
p o u r ~17~'
',.
\\,...!.:‘;i~n corrrjct:;
d u patontiol dans 1 ' U;i;:ii-kilion.
L'l:au dans les tissus doit fitr: dis tri;juGi;i spatialamont pvndant
.:
,..,
^ .._ ;:! 1 C! ComBr! 011~ l'était sur 1s plC.\\i?k:, ~;:~:C\\C~C, condition cifficilu
.: .;.i:;î3irc
(BOYER ,]9t').
L'%çc >t 1~ stade do ddvi!lop;l,or,ii!nk
dc; 1'Éch~ntillon sont 6g~~l~~mi
'.' ( ; '- : j (J r; r, 6 2 s à tsnir
on consid&rati»n lorsque l'on comparc
la méthode
:” .; ‘:.J j i; r ii 4 2 t r i q u 13
,Ji; CC?~~C dc la ch:.li,lbro t1;: pression. Mous avons ou à cons-
;:i.*s‘i
.iz,ns nos
cxp&riunccs
( conna nous 1' aeiVori5 d::jJ signalé) que 10s
! : : :: 1 ;; .j. 1) 11 s :.Ju potcnticl hydriqu-! drus fc&il.:j du sz~nmot vers cr;llos di:
1 IJ.,:,: :1! tjl ramaau
Btaisnt diFf0rnntos .;i;J.:~n lTinstrumcnt d e
mcsurc ut.i-
I ',_<. ;, \\<.
, c..;3 :,:odific3iians
dc structurz C!:I 1:
C;:uillrj avsc l'%gc ::t lc! stadti
I
!
:L.; I::;Jpcmhnt s o n t ccrtaincmont Ci 1’ cr.Lc:.Inc
d o s Qcarts cntro 1~s c-I~;X
r.1 i: ./: h .J L; c :; ,
Dzs chorchcurs
comme SLATYER c;:; 01~1RI-IUIZiIN, 1964 ;; TURNER 1963 ;
~;:!C;L et TURr!;I!;,1970;IJAGGO~JER
et TURNE;:, 137,:
on;; roncontr6
une! augncntetion
5,. ; .*', r!Jsisi. Incl.; d a n s 1~ p6tiale
des F~:uill.~~s ~WCC l'%i'g,: des échantillons.
;: 1 ;L .>.~r :;&t& FR,lNK ct HARRIS (1973) trouvlrznt
que lc stade dc; déwclop-
;'I
, , '11 : I;L i1;flucnçai.t la rclntion des mcsurtis :r:hx!lbro dc p r e s s i o n -
Psychro-
:l ,-: i, r c j 1 ii z CJ i) cj f (1) u i 1 1 2 s
id’orgc.
Uno
autzu ~-onsidt5rakion c t non
d e s
y:; jw ; i; 1 r;>s ust la rcconnnissancc du moment :Il:-:pparition ,dc la sBvti du xylèrno.
._ : ,.,i;,;
considération a
une grande inportanL:c;
chez l'ùrachido ot chez un
r:.rUz:.in nombre d’autres
uspéccs. Nous avons indiquii commant nous avons
I.!.:/~ ccJt obstsclc dans c(?ttc étude. Il n'en r:;c;to
p;ls moins que d’autres
s~J.u?.Icn; utilisant des matériels
plus p2r~fornants
pouwznt Gtrc pr6coni.s Ses
(r-:mploi dc microulcctrodcs
par cxcmplc) surkout
POL~ 1~2s potontii2ls olevgs
(I,rzr.hc!.;
de z é r o ) .
20
IV - CONCLUSIONS
DûrIs la souci dz simplifier 10s ;.iGthodos dc mcsuru du potdntiC:l
/j),:iA~i.l~;u~ roli:lir(:
chez l’arachidu
nous ::voI'L;; comp,~:e6 1~s possibilitGs
,:1,
i .:,:z~lF:;;~tion dc: la chambre du prwsion ;:vc\\,
cl:112s du Psychrohygromèicl;
s _!_i
PlL.lntL!.
Los buts visés sont multiples, GCI? zn plus do l'in%6r@t sci.Onti-
;‘.;.Y,\\:,. proprci do l'oxporimzntation il ï2s.t :~t~;ltrt>
(GGJT3EAU 7977) què 1~'s
;,:,':'::,','J::
<
tiu Potintic hydriquc chez l'ar::cl;i;::, sent lié3 A la tolérance
'.
F,vt:c 1~ chambrv dz prossion l,,s n..:sur.!s SCJnt nffcctuéus t r è s
rci;l.: :’
,n~nk (cil3ux (2) minutas) mais u n c;:rk::i,-~ ncrltir:; ~12 prccautions son?
r :t: ix , .: s <; ;i * r u s pour
une estimation corrùcti:
C;C i:~ot,intin.~ hydriquc. LL grand
3.,;-t;:j., “‘,<
1 > C.!C ccttc
m&thocin rcstu lc! qrnnri ncmbr~; :l~rl!c:I~untillons d o n t i l
p _! i; 1, !lusurur l u s
potznticls h y d r i q u c s pur u::lt’C! do temps.
fiwtic l'arachide la limite mc!j:.?urr
i:c l'utilisation du la chambri:
iIQj ;ji~~::~:;ion est sans nulle! douts 1:: fait qui- 1~ sùvc du phloémc exsude avant
- :,.
Y >-.- i: !ic xyl3m~ quand on nppliqur 1~ prcssic)!.i.
Ci!?cndc3nt notre travail a
Y7 j 1 ; CL i? i, rùmmcnt cz problkmo est surmonttl! ci, :]u’il SC p o s a i t diff8rzmmcnt
s,:11,:1 1.: quantita d' onu dans 1'6chantillun ; L;n g6n6:::-!1 il otait moins
.f:.Vk,
.ILIX bas potcnti:zls. Nous avons i,c~::l~-~~~-;~t
signal& que 1’ oxpérionço
,:
‘)
r..;i. ::2
1 lovtir
cottr! confusion (:ntrc
lus ci.:~~:< s?wcs ::t que dc toutus mr?n.i3rùu
; 1
.- .Jliiisntion
du pnpicr pH sp0cial pl~rmc;t,.,il:
d u dotormincr
sz.ns ambi-ui'zfi
1 1
i.
ppt rrl~isn
dc: 1;1 sèwo du xylème.
I l o s t rzcommilndb
cn gbnéral d,.; czlibrcr 12. chzmbro
d o prrissioz,
-! ! 1 ,, fZ UC p s y c h r o m è t r o dc prdfércncc, m2is si 10s vr-Azurs
d u p o t o n t i o l hydri-
,.Ji!
S ,‘J Ti ;
I tilisécs
commu indicstriczs tf'urlc :::irc:ncti hydriquc !:t non cgrnm,?
t".' 1 I!ls i!tJsoluos,
1~ c a l i b r a g o
peut ni; [Jc!U fitru
indispcnsablc.
L' Gtcdo compnrntivu
dos rGr,ul,L..~.l::
obtenus 3voc 10s iduux mdthodiis
:lCLJY
!il~.l:lLl?u Une corr6lûtion
assez sûtic;~;?i-j;:r;I;~
on 3 Jnérnl.
LIN proc6JS DP
i
j .z ,~j y\\,‘: .j. 2 2 corrélations
10s plus s3tisfzi::.:nii:s. Cc procéd8 constitue un
p r' . . ) L.:::> p;ir rglpport 2 10 psychrom8trj.c cl~~siquc.
i?j»!; rbsultats montrcnk
: u 2 ; _;_ .;u:; 1~1 c o r r é l a t i o n entre 1~s
dL:ux !~GtIio:i~!s est ,~~;illouro
d a n s l$.:s
'::CI :IL~ J. c .i. 0 fi.3 dc carencu hydriquu.
Les résultats
du cctto :Jtudo :>O~C; conduisont à dire
qu'nvoc
::i,r ., :i :lT!'L> disposifions l a chamhru d o prct;:;i.o!: p~!Ut-l?b.J2i2
utilisbc pour mo3us,:f
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dc l’arnchidc
et que pzur
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