Mpublique du IitkMre de lĄŻAgr&&we M....
Mpublique du
IitkMre de lĄŻAgr&&we
M. DIOP, Sp6ciaMe en Technologie Semenci¨¨re, Responsable de 1ĄŻUPSEZone Nord
S. DIALLO,
JQf.DIA=i
Sous la direction de Fodd Sam, Contrbleur R6gionaMe la DISEM
SOMMAIRE
****w*****w**
INTR0-ON . . . . . . . . . . . . . . . . . . .* . . . . . . . . . . . w . ...Ąą . . . . . v . . . . . . . . .
3
1.
MUL~CATION DE SEMENCES DE RIZ ...................................
3
................................................
3
............................................................
4
11.
MULTIPLICAĄŻIĄŻION DE !SEMENCES DĄŻARACHIDE... . . . . . . . . . . . . . . . .
8
ILL
et -0l.l .................................................
8
lI.2.
MP-~b&P= .............................................................
8
9
. . . . . . . . . ..ĄŽ~.................................................................~
:2
Sur une hitiative de lĄŻhpeztew Contr8leur R@ional des Semences de Saint&~& une ¨Śqu@e
de cbercbeurs de IĄŻISRA, comprenant un Sphliste en Technologie, Responshle de IĄŻUPSE
Zone Nord, UP lvhlkbologue et un Ptdologw, a effkctu& une mission de notation des parcelles
de multiplication de riz et dkachide dans le Delta LĄŻ¨Śquipe ¨Śtait accompagh par
hspecta et deux de ses agents. Le groupe a trouvt! sur le terrain les ophteurs prives
semenciers de IĄŻUNIS et les techuicieus agrhs au suivi et au contile des semences. Cette
initiative, une toute premih dans la gestion et le dhhppement de IĄŻagicul~ s&@aMe,
m&itedĄŻ&resoutenueetr@nduedanstoutlet&toirenational.
L
MULTlPLI~TlON DE SEMEN- DE RIZ
Ll.
et-
Le pn>gramme de multiplication en question est un programme + SO&14 ha de riz et 74,84 ha
dĄŻarachide dont des px+ bases, des bases. et des certifiks Nl. Les rhltats, obtenus par la
mission et qui du reste sont sensiMement ¨Śgaux a C&I de la DISEM (voir Tableau), ont montr¨Ś
que globaleme~$ la multiplication des semences de riz a ¨Śt¨Ś une rfhssite car, 64% des
contractuels ont vu leurs parcelles de multiplication ac&ptks, tandis que 36% ont ¨Śt¨Ś ajouruks
Les pmelles Fpt&s ont prbentb une puret vari&ale en v&&ation (?,94-100%) largement
sup¨Śrieure aux normes &-on. LĄŻ&at sanitaire sĄŻest rMl¨Ś excellent (O-0,1%) par rapport
A la maladie du fimx charbon. Ces parcelles ont toutes ¨Śt¨Ś easemenches soit avec la Sahel 108,
soit avec la Jaya et ont obteuu les de&& paniculakes les plus &v&zs (498 B 825 p/m2). EUes
j3nbmtd une meilleure physionomie tant au niveau des plants et des panicules (O-0,1%
pauicules malades), quĄŻau niveau des parcelles (0% adventices daugereuses, O-0,06% hors-
type). En plus, les bordures de ces parcelles 9nt &5 maintenues propres. A une exception p&,
les distances dkkneut entre vari&& ont M bien nzpecth. La taihe moyenne des parcelles
~de1,5ha,cequifaciliteleurentretienet~tainsiengendrer~bons~~. Ilfhut
~~laparcelledeIbaSall~~),quiestde10haetquiestaccepteeavecla
3
meilleure notation. De plus, chez Iba Sall, les parcelles sont bien identifh @mcarks
illdkpWhvan¨ŚtCdfadatedesea;ris).
Par contre, les parcelles ajourn¨Śes, toutes cultiv6es avec la IRl529, ont prkent.6 les plus f¨¤iiles
densit6s paniculaires. Ceoi~0~6ttif.Q.Ww
type de sol et la gestion de lĄŻirr ?gation, la qualit des semences, le potentiel de rendement de la
vari&, 1ĄŻ~ technique appliquh, la couverhwe phytosanitaire, etc...
En ce qui concerne lĄŻbistorique, les pamelles ajoumks, ayant de faibles rendements, ont,
comme toutes les autres parcellw la m&ne vari&& comme prhklent cultural ou la jachhre.
.
Autrement dit, le pr&dent cuhral ne semble pas avoir un effet significatif
ue
Les sols des zones. de multiplication sont tous des sok lourds (Fond& lourd et Hollald$),
pokntiellement fertiles de par leur origine, donc aptes B la riziculture. Cependant, apr¨¨s @nt
dĄŻann¨Śes dĄŻexploitation, la qualit des sols (caractcrisation physico-chimique) devrait &Ire
hvalube pour &entuellement tijuster la gestion des parcelles, les doses dĄŻengrais et leur mode
dĄŻapplication. Il est g&&ralement admis quĄŻune culture rhsie de riz d@end entre autres du
type de sol et que lĄŻapport naturel dĄŻ&ments nhtritifk & la plante de riz par le sol est important.
Il a &6 aussi prouv6 que lĄŻappoxt natue1 dĄŻazote par le sol est le plus faible parmi les trois
&nents majeurs N, P, et K. Si le riz doit &r& repiqu¨Ś, un engrais combim! et appropri¨Ś est
necessaire pour avoir des phtules courtes et robustes. LĄŻCltknent essentiel ¨¤ observer ici dans
la f&ilisation des plantules est lĄŻaugmentation de K et de P Compar&e g celui de lĄŻazote, une
doseplusimportanteenKdevantsp&ialcment~~.
DesplantulesayantunedoseenP
et K assez imv &istent mieux aux maladies, aux hsectes et aux conditions dhf¨¤vorables
du champ dans lequel elles se d¨Śveloppent apr&s repiquage. LĄŻapplication de lĄŻengrais pendant
la phase de tallage maximum augmente consid&ablcment le nombre de panicules. Autrement
:
dit,leaombredepaniculespeut-¨ş~6ctffmid~jours~~phasedecallagemaximum~
Avccunengraisdecowerture,ilaeOemonbrt!queplusladoseestimwrtante,plusla~
de la vari&5 est &Me. JusquĄŻici lĄŻ¨Śl¨Śment le plus important dans une application dĄŻengrais est
lĄŻazote dont on doit apporkr la plus grande attention. Plus lĄŻengrais de fond est imporh& plus
4
le nombre de paaicules d&elopp&s devient important Le pourcentage d'absorption dĄŻ¨Śl6me?ts
ntitifb fournis par les engrais chimiques varie selon le mode dhpplicatio~ le type dĄŻengrais et
latexturedusol.~laplupartdescas,lepourcentagedĄŻ~on~l~plantes,lĄŻ~~est
B 30% appfoximativem~ le Phosphore ¨¤ 20% alors que le Potassium est B 40-SO?! dĄŻengrais
appliqub. Ainsi, en appliquant lĄŻengrais, ces pourcentages dĄŻabsorption devraient &re pris en
compte. Par ailleurs, une fkiile application de hure de fond afkte le bon dheloppement des
racines. Ce nĄŻest seulement lorsquĄŻune fhiile quanti&! dĄŻazote est appliquk comme engrais de
fond quk lĄŻon devrait appliquer une couverture en azote pendant lĄŻinitiation pauiculaire et ju@e
apr¨¨s t@iaison. En plus, pour augmenter le nombre de talles, un apport dĄŻazote de couverture
doit~f8it~~aud&butdelaphasedecro~,cĄŻest-¨¤-dire15B2Ojours~
repiquage. Apm 4x34 il ne devrait plus y avoir dĄŻapport. Ceci constitue la manihe la plus
konomiqued$ ?liscrlesmgrais~.
En outre, la gestion du sol &ant &oitement li&ea celle de lĄŻeau dĄŻinigation et A sa qualiti, un
SUiVi&cette~deVKait¨şbre~pourti~~tOUtpfocessus de salinMon ou de wdisation-
alcalinisation des sols. La pr&irfigation, utilishe comme technique de r&age des parcelles,
constitue~unaspectpositifdanslagestioadessols.
Des~~~class6esdangereusesnĄŻoprt~observeesq~dansuneseuleparcellesur
les 11 fizi&res de multiplication noths. Il sĄŻagit dĄŻlscha- nrgosum, une gramin& t@s
5
Il f¨¤ut souligner que l%quipe qui ef%ctuait la mission a ¨Śtc fortement impresGonn&e par le
niveau de nubise des mauvaises herbes, en g&ral, dans lĄŻensemble des parcelles de
multiplication vi&&. Le seul cas observ¨Ś & Ronkh et concernant Ischuenum rugosum constitue
uneoccasionpourcdtirerlĄŻattentiondesproducteurssurcetteespeoe~lacaract¨Śnistiqueta
plus importa& est sa germination qui nĄŻest pas regroupk Contrairement aux autres graminks
annuelles, elle peut &e &a& sur 1 mois et demi ou plus. Elle peut donc se Welopper bien
ap& la phriode pendant laquelle sont ex¨Ścuttes les opkations de dkW%age. En plus, & lĄŻ¨Śtat
jeune, elle a une morphologie assez similaire B celle du riz qui f¨¤it quĄŻil est dif3i ?.le de f ?ire la
ue
Au I&&I de lĄŻUnion de Debi-Tiguette, chez le contractuel Babacar Sali, il a ¨Śttc signal6 des
probl&mes sur le comportement de la varit% IR1529, R2 sur to&e une bande de sa parcclle. Le
m&ne ph¨Śnom¨Śne avait ttl! obsew6 sur une autre parcelle adjacente en 1998. En effet, on a pu
voir des feuilles jaunkres, allant dĄŻun jaune clair ¨¤ un jaune ~MI&E, c&nmen ?ant surtout
depuis le bout de la feuille. Ces sympt8mes font penser ¨¤ ph@ieurs ph4nom&es allant dĄŻune
d&fkiencc ou dĄŻune toxicit¨Ś dĄŻun ou de plusieurs t%&nts B uue maladie (viro~). Une We
vraiscmbMle, dĄŻap&s nos observations et la documentation, serait le Tungro (croissance
dttgbhk en Philippino, se cwact&i@ par des feuilles jaune-oranges ou feuilles jaunissant),
une virose et qui est une maladie f%quente des vari&s IR notamment JR8, IR94O,lR5, IR22
etc. (Lin& 1972). La couleur peut variex selon les vari&+s et les conditions environnementales.
Des taches brun sombres se dtveloppent i&uli&rement sur les feuilles jaunes,
occasimllement sur les feuilles vertes et sp6cialement sur les jeunes plants infkctk Le
d&loppemeM racinaire est pauvre. Les plants infk&s peuvent mourir mais souvent ils vivent
juquĄŻi maturitc5. Ils pmnnent plti.de temps pour arriver ¨¤ mat&& d cause dĄŻune flo@ison
tatdive. ~~sont~recowertsdetachesbnmsombresetsontplusclallsquecewr
dwplantssa¨´ts,maisdefstĄŻblesren¨Śementspewenten~~~.LaQualitedesgrainsnĄŻestpas
brts~ff~dece~~dwplantsnon~~entermes¨Śepo~~dĄŻ~,de~~en
protbe, en amylose ou de temmture de gt%atSsation. Bien quĄŻil nĄŻy ait pas dĄŻkvideuce
0
Une autre th¨Śse semit la maladie des extr&nit&s blanches, en raison de la similariti des
spptbes. Les extnhitbs des feuilles des plantes infkctk blanchigent sous lĄŻeffet de la
ChlOrose Les plaIlts sont fabougris, manquent de vigueur et pro&knt des panicules de taille
hhite. Les panicules atteintes ont des ghmelles et des grains d6form6s avec uu taux &v6 de
sbtrifibe. Les fkuilles panifxdaims sont parfois tordues, ne permettant pas aiusi une Qmergkxxe
complbte de la panicule. cepeadant, tous les plants infktes * mauifestent pas de sympt&me.
LĄŻagent patho&e est u11 &matode : Aphelenchides besseyi chdstie. LĄŻinfkction est signa&
:
<,,
dans la plm des zones rizicoks dĄŻAfrique, dĄŻAm&ique du Su& dĄŻAsie. DĄŻEurope de lĄŻEst et
ap~~.~~mtotalplusde40*,(Pmt,1989).
Les chutes de re&ement causk par ce pathog+ne sont estimks 8: IO-35% au Japon
(Yoshii et Yamamoto, 1950) ; 40-50% aux Etats-Unis (Atkins et Todd, 1959) ; 2946% &
T#tWm
,i959).
LĄŻutilisation dy C 8 la dose de 40 kg/ha peut contribuer ¨¤ le juguler. Poursuivre
les investigations est une ntkessite pour vtifiez les hypothks et situer lĄŻorigine de c+e
maladie nouvelle. ĄŽEn efF& ce n&natode est tmnsmis par les semences. Il se loge dans
lĄŻespace entre balle et auyophe (Yoshii et Yamagnoto, 1950; Todd et Atkins, 1958;
Fukano, 1962 ; Huaug et Huang, 1972). Rao (1972) a dknontx6 quĄŻils restent enroul&s B
lĄŻintkieur de la @melIe supkieure et ¨¤ la surke des lodicules, qui au fur et d mesure de la
matumtiondugram,prennentunaspect~Metparc~.
ceS~surviventsurlessemencesinfecteesdes~odesdetempBvariables:8
mois (Cralley, 1949) ; 3 aus (Yoshii et Yamamoto, 1950) ; 23-24 mois (Todd et Atkins,
1958) et rnhe 8 ans (Zem et Monteiro, 197ĄŻ7). Fukano (1962) a est&& que la densiti
dĄŻinoculum critique pour les riz sensibles est dĄŻenviron 30 u&Wodes viables pour 100
semences. ~¨´lde,Nathet~~(197O)ontinferccpt¨Śleneanatodeen1%8~des
&hantillonsde -derizimporttesdesphilippines.
a
ILl.
La visite a surtout conce& la Station de Ndiol et lĄŻexploitation de Seck Aginord.
zRs~i~~~~BNdiotsontde2,5B3,0t(haavecLaGC-8-35sur2haenG3.~
culture sĄŻest f¨¤ite sur une rotation arachidejach&e. Le traitement herbicide a &5 eff&t&
dĄŻahord avec le Round up (Kalach) sur jach&e verte, 3 semaines avant semis et avec le
GramoxoI&apI+slwt5eetentrai~dirige.
LeprogrammeAgrirmdestun progmmme de multiplication de 72,84 ha dont 44,36 ha de Fleur
llNlet28,48badebase. Irrr&art&i~delasuperficiedesbasesentreIcsvariMsestfMeau
Tabltau2auonpcntaussi~~enrrmarque~~~~~~cessemeaces~catre
.-i
99,79etlOO%.
Lerendementmayen~delaFleurll~ltst¨Śvalue~1,53ha
.
Ce mdement est f¨¤iile par rapport au potentiel de la vari# et sĄŻexplique probable par la
pauvp# chimique (0,02% -c M.0. < O,lobm) du sol et les mgladies signal& en nxwque du
Tableau 2.
Les sols des deux zones de multiplication sont l¨Śgers et particuli&ement convenables ¨¤ la cul@re
de lĄŻarachide pour plusieurs n@ns. DĄŻabord ce sont des sols subarides sableux (Diti), d&iw
du modelt duna¨´e et qui dominent souvent de plusieurs m&res lĄŻensemble des terres immda&s
de la ValMe. FInsui& leur fM -elle physique est assez compamble & celle des sols peu
&olu&s (regosols). Enfin. par suite de leur texture grossi¨¨re, leur porositi en grand et leur fUile
cqmcitb de dtention, ils conviemxnt bien aux cultures peu exigeantes en eau. Cqx&nt, la
fMt& potentielle chimique & ces sols, quoique f&ible, semble relativement bien @ilibr+.
LĄŻamcOlioration de cette f&tiliti rcSide dans .des amendements organiques et des bures
minhles. Au niveau de lĄŻexploitati~ de Seck Word oti les rendements sont -les, il y a lieu
derevc~lagestiandusOtetessayerbelĄŻ~li~de~durablepardw,
organiques itqMmts en plus des fimwres mi&ales appliq&s. La situation se p&ente mieug d
Ndiol oti la jach&e f¨¤it son e&t dans la rotation et dans la culture de lĄŻarachide.
8
Tableau 1. Ve de multiplication desr#a#nces delizde1wNIscn~
19991Tdo106
IR1529480-3
S&d108
sald201
MM4202
1. 9 sur 13 sites Mises par 1ĄŻUNIS ont ¨Śt¨Ś visites, soit 69,23% .&I pmgramme de
.
2. Les i3WistiG de notation fournies a la mission par le contrdle se pkmtent comme
_ s:
334;79 ha, soit : 65,84% ;
-I36d8dC:
4&35l@soit: 9gn6;
-w:
73% ha, soit : 14,41% ;
- l3loage:
5,ooha,soit:
l,Ol%;
- N o n - :
47,00 ha, soit : 93% ;
- Total:
508,44 ht& soit : loo,oo%
3. Lcsxxstationsparlesteelmieiensagrdcssepo~vent.
Tableau 2.
Programme de mukiplicationdes semences dkwhide par lĄŻUNES
en
@sw2ooo
SupacfBae~
Localisation
Vti&t&
Niveau
Ha
ori#nedes
allthma ?e
selnums
Seck Aginord Savoigne
Fleur11
Niveau
44936
MlAgkMXd
w-8-35 Base
9?25
0
FiaRll
13.87
s-437
53
-
Sous-Total Base
28&8
Tti
x
ĄŻ
72$4
X
Ndiol
oc%35
03
2
. .
1. LĄŻi!&ment et i?uw&knt cultural (tamste-d Aglinqd) et @tare %
1ĄŻIPSMSM) sont dans lĄŻensemble r&@m& ;
:I
2. Les 72,84 ha authentifi& (Agkord) ont &t& homologu& ap& notation avec une
puret ? vari ?tde au champ situk entre 99,79 etlOO?/o ;
3. Les2HadelĄŻuP!wIsRAnĄŻ ?taientpas-ne;
4. Le rendepent moyen pond& de la Fkur 11 (Agrinord) est de lĄŻordre de 1,53 t/ha
ctl8SrbculbesSOllt~courS;
5. La rouille ¨¤ Pucciniu mdds, la rosette et un fW taux de mor&W due a la
pou&ureducolletontete;obsen&surlaF ?eur11U@no@.
Letauxde
mortalit ? par purriture du collet a atteint 9,62% des pieds lev¨Śs dans la parcelle
P3B.
RESULTATS DE NOTATION DES PAClUUM DE MULTIPLICATION
PARUNEEQUIPEDE
WDbLĄŻISRA
N@kqsll@kdo~P.adt~
rhM& Ilnol
391,6
796.6
1 1
IitkMre de lĄŻAgr&&we
M. DIOP, Sp6ciaMe en Technologie Semenci¨¨re, Responsable de 1ĄŻUPSEZone Nord
S. DIALLO,
JQf.DIA=i
Sous la direction de Fodd Sam, Contrbleur R6gionaMe la DISEM
SOMMAIRE
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INTR0-ON . . . . . . . . . . . . . . . . . . .* . . . . . . . . . . . w . ...Ąą . . . . . v . . . . . . . . .
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1.
MUL~CATION DE SEMENCES DE RIZ ...................................
3
................................................
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............................................................
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11.
MULTIPLICAĄŻIĄŻION DE !SEMENCES DĄŻARACHIDE... . . . . . . . . . . . . . . . .
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ILL
et -0l.l .................................................
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lI.2.
MP-~b&P= .............................................................
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:2
Sur une hitiative de lĄŻhpeztew Contr8leur R@ional des Semences de Saint&~& une ¨Śqu@e
de cbercbeurs de IĄŻISRA, comprenant un Sphliste en Technologie, Responshle de IĄŻUPSE
Zone Nord, UP lvhlkbologue et un Ptdologw, a effkctu& une mission de notation des parcelles
de multiplication de riz et dkachide dans le Delta LĄŻ¨Śquipe ¨Śtait accompagh par
hspecta et deux de ses agents. Le groupe a trouvt! sur le terrain les ophteurs prives
semenciers de IĄŻUNIS et les techuicieus agrhs au suivi et au contile des semences. Cette
initiative, une toute premih dans la gestion et le dhhppement de IĄŻagicul~ s&@aMe,
m&itedĄŻ&resoutenueetr@nduedanstoutlet&toirenational.
L
MULTlPLI~TlON DE SEMEN- DE RIZ
Ll.
et-
Le pn>gramme de multiplication en question est un programme + SO&14 ha de riz et 74,84 ha
dĄŻarachide dont des px+ bases, des bases. et des certifiks Nl. Les rhltats, obtenus par la
mission et qui du reste sont sensiMement ¨Śgaux a C&I de la DISEM (voir Tableau), ont montr¨Ś
que globaleme~$ la multiplication des semences de riz a ¨Śt¨Ś une rfhssite car, 64% des
contractuels ont vu leurs parcelles de multiplication ac&ptks, tandis que 36% ont ¨Śt¨Ś ajouruks
Les pmelles Fpt&s ont prbentb une puret vari&ale en v&&ation (?,94-100%) largement
sup¨Śrieure aux normes &-on. LĄŻ&at sanitaire sĄŻest rMl¨Ś excellent (O-0,1%) par rapport
A la maladie du fimx charbon. Ces parcelles ont toutes ¨Śt¨Ś easemenches soit avec la Sahel 108,
soit avec la Jaya et ont obteuu les de&& paniculakes les plus &v&zs (498 B 825 p/m2). EUes
j3nbmtd une meilleure physionomie tant au niveau des plants et des panicules (O-0,1%
pauicules malades), quĄŻau niveau des parcelles (0% adventices daugereuses, O-0,06% hors-
type). En plus, les bordures de ces parcelles 9nt &5 maintenues propres. A une exception p&,
les distances dkkneut entre vari&& ont M bien nzpecth. La taihe moyenne des parcelles
~de1,5ha,cequifaciliteleurentretienet~tainsiengendrer~bons~~. Ilfhut
~~laparcelledeIbaSall~~),quiestde10haetquiestaccepteeavecla
3
meilleure notation. De plus, chez Iba Sall, les parcelles sont bien identifh @mcarks
illdkpWhvan¨ŚtCdfadatedesea;ris).
Par contre, les parcelles ajourn¨Śes, toutes cultiv6es avec la IRl529, ont prkent.6 les plus f¨¤iiles
densit6s paniculaires. Ceoi~0~6ttif.Q.Ww
type de sol et la gestion de lĄŻirr ?gation, la qualit des semences, le potentiel de rendement de la
vari&, 1ĄŻ~ technique appliquh, la couverhwe phytosanitaire, etc...
En ce qui concerne lĄŻbistorique, les pamelles ajoumks, ayant de faibles rendements, ont,
comme toutes les autres parcellw la m&ne vari&& comme prhklent cultural ou la jachhre.
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Autrement dit, le pr&dent cuhral ne semble pas avoir un effet significatif
ue
Les sols des zones. de multiplication sont tous des sok lourds (Fond& lourd et Hollald$),
pokntiellement fertiles de par leur origine, donc aptes B la riziculture. Cependant, apr¨¨s @nt
dĄŻann¨Śes dĄŻexploitation, la qualit des sols (caractcrisation physico-chimique) devrait &Ire
hvalube pour &entuellement tijuster la gestion des parcelles, les doses dĄŻengrais et leur mode
dĄŻapplication. Il est g&&ralement admis quĄŻune culture rhsie de riz d@end entre autres du
type de sol et que lĄŻapport naturel dĄŻ&ments nhtritifk & la plante de riz par le sol est important.
Il a &6 aussi prouv6 que lĄŻappoxt natue1 dĄŻazote par le sol est le plus faible parmi les trois
&nents majeurs N, P, et K. Si le riz doit &r& repiqu¨Ś, un engrais combim! et appropri¨Ś est
necessaire pour avoir des phtules courtes et robustes. LĄŻCltknent essentiel ¨¤ observer ici dans
la f&ilisation des plantules est lĄŻaugmentation de K et de P Compar&e g celui de lĄŻazote, une
doseplusimportanteenKdevantsp&ialcment~~.
DesplantulesayantunedoseenP
et K assez imv &istent mieux aux maladies, aux hsectes et aux conditions dhf¨¤vorables
du champ dans lequel elles se d¨Śveloppent apr&s repiquage. LĄŻapplication de lĄŻengrais pendant
la phase de tallage maximum augmente consid&ablcment le nombre de panicules. Autrement
:
dit,leaombredepaniculespeut-¨ş~6ctffmid~jours~~phasedecallagemaximum~
Avccunengraisdecowerture,ilaeOemonbrt!queplusladoseestimwrtante,plusla~
de la vari&5 est &Me. JusquĄŻici lĄŻ¨Śl¨Śment le plus important dans une application dĄŻengrais est
lĄŻazote dont on doit apporkr la plus grande attention. Plus lĄŻengrais de fond est imporh& plus
4
le nombre de paaicules d&elopp&s devient important Le pourcentage d'absorption dĄŻ¨Śl6me?ts
ntitifb fournis par les engrais chimiques varie selon le mode dhpplicatio~ le type dĄŻengrais et
latexturedusol.~laplupartdescas,lepourcentagedĄŻ~on~l~plantes,lĄŻ~~est
B 30% appfoximativem~ le Phosphore ¨¤ 20% alors que le Potassium est B 40-SO?! dĄŻengrais
appliqub. Ainsi, en appliquant lĄŻengrais, ces pourcentages dĄŻabsorption devraient &re pris en
compte. Par ailleurs, une fkiile application de hure de fond afkte le bon dheloppement des
racines. Ce nĄŻest seulement lorsquĄŻune fhiile quanti&! dĄŻazote est appliquk comme engrais de
fond quk lĄŻon devrait appliquer une couverture en azote pendant lĄŻinitiation pauiculaire et ju@e
apr¨¨s t@iaison. En plus, pour augmenter le nombre de talles, un apport dĄŻazote de couverture
doit~f8it~~aud&butdelaphasedecro~,cĄŻest-¨¤-dire15B2Ojours~
repiquage. Apm 4x34 il ne devrait plus y avoir dĄŻapport. Ceci constitue la manihe la plus
konomiqued$ ?liscrlesmgrais~.
En outre, la gestion du sol &ant &oitement li&ea celle de lĄŻeau dĄŻinigation et A sa qualiti, un
SUiVi&cette~deVKait¨şbre~pourti~~tOUtpfocessus de salinMon ou de wdisation-
alcalinisation des sols. La pr&irfigation, utilishe comme technique de r&age des parcelles,
constitue~unaspectpositifdanslagestioadessols.
Des~~~class6esdangereusesnĄŻoprt~observeesq~dansuneseuleparcellesur
les 11 fizi&res de multiplication noths. Il sĄŻagit dĄŻlscha- nrgosum, une gramin& t@s
5
Il f¨¤ut souligner que l%quipe qui ef%ctuait la mission a ¨Śtc fortement impresGonn&e par le
niveau de nubise des mauvaises herbes, en g&ral, dans lĄŻensemble des parcelles de
multiplication vi&&. Le seul cas observ¨Ś & Ronkh et concernant Ischuenum rugosum constitue
uneoccasionpourcdtirerlĄŻattentiondesproducteurssurcetteespeoe~lacaract¨Śnistiqueta
plus importa& est sa germination qui nĄŻest pas regroupk Contrairement aux autres graminks
annuelles, elle peut &e &a& sur 1 mois et demi ou plus. Elle peut donc se Welopper bien
ap& la phriode pendant laquelle sont ex¨Ścuttes les opkations de dkW%age. En plus, & lĄŻ¨Śtat
jeune, elle a une morphologie assez similaire B celle du riz qui f¨¤it quĄŻil est dif3i ?.le de f ?ire la
ue
Au I&&I de lĄŻUnion de Debi-Tiguette, chez le contractuel Babacar Sali, il a ¨Śttc signal6 des
probl&mes sur le comportement de la varit% IR1529, R2 sur to&e une bande de sa parcclle. Le
m&ne ph¨Śnom¨Śne avait ttl! obsew6 sur une autre parcelle adjacente en 1998. En effet, on a pu
voir des feuilles jaunkres, allant dĄŻun jaune clair ¨¤ un jaune ~MI&E, c&nmen ?ant surtout
depuis le bout de la feuille. Ces sympt8mes font penser ¨¤ ph@ieurs ph4nom&es allant dĄŻune
d&fkiencc ou dĄŻune toxicit¨Ś dĄŻun ou de plusieurs t%&nts B uue maladie (viro~). Une We
vraiscmbMle, dĄŻap&s nos observations et la documentation, serait le Tungro (croissance
dttgbhk en Philippino, se cwact&i@ par des feuilles jaune-oranges ou feuilles jaunissant),
une virose et qui est une maladie f%quente des vari&s IR notamment JR8, IR94O,lR5, IR22
etc. (Lin& 1972). La couleur peut variex selon les vari&+s et les conditions environnementales.
Des taches brun sombres se dtveloppent i&uli&rement sur les feuilles jaunes,
occasimllement sur les feuilles vertes et sp6cialement sur les jeunes plants infkctk Le
d&loppemeM racinaire est pauvre. Les plants infk&s peuvent mourir mais souvent ils vivent
juquĄŻi maturitc5. Ils pmnnent plti.de temps pour arriver ¨¤ mat&& d cause dĄŻune flo@ison
tatdive. ~~sont~recowertsdetachesbnmsombresetsontplusclallsquecewr
dwplantssa¨´ts,maisdefstĄŻblesren¨Śementspewenten~~~.LaQualitedesgrainsnĄŻestpas
brts~ff~dece~~dwplantsnon~~entermes¨Śepo~~dĄŻ~,de~~en
protbe, en amylose ou de temmture de gt%atSsation. Bien quĄŻil nĄŻy ait pas dĄŻkvideuce
0
Une autre th¨Śse semit la maladie des extr&nit&s blanches, en raison de la similariti des
spptbes. Les extnhitbs des feuilles des plantes infkctk blanchigent sous lĄŻeffet de la
ChlOrose Les plaIlts sont fabougris, manquent de vigueur et pro&knt des panicules de taille
hhite. Les panicules atteintes ont des ghmelles et des grains d6form6s avec uu taux &v6 de
sbtrifibe. Les fkuilles panifxdaims sont parfois tordues, ne permettant pas aiusi une Qmergkxxe
complbte de la panicule. cepeadant, tous les plants infktes * mauifestent pas de sympt&me.
LĄŻagent patho&e est u11 &matode : Aphelenchides besseyi chdstie. LĄŻinfkction est signa&
:
<,,
dans la plm des zones rizicoks dĄŻAfrique, dĄŻAm&ique du Su& dĄŻAsie. DĄŻEurope de lĄŻEst et
ap~~.~~mtotalplusde40*,(Pmt,1989).
Les chutes de re&ement causk par ce pathog+ne sont estimks 8: IO-35% au Japon
(Yoshii et Yamamoto, 1950) ; 40-50% aux Etats-Unis (Atkins et Todd, 1959) ; 2946% &
T#tWm
,i959).
LĄŻutilisation dy C 8 la dose de 40 kg/ha peut contribuer ¨¤ le juguler. Poursuivre
les investigations est une ntkessite pour vtifiez les hypothks et situer lĄŻorigine de c+e
maladie nouvelle. ĄŽEn efF& ce n&natode est tmnsmis par les semences. Il se loge dans
lĄŻespace entre balle et auyophe (Yoshii et Yamagnoto, 1950; Todd et Atkins, 1958;
Fukano, 1962 ; Huaug et Huang, 1972). Rao (1972) a dknontx6 quĄŻils restent enroul&s B
lĄŻintkieur de la @melIe supkieure et ¨¤ la surke des lodicules, qui au fur et d mesure de la
matumtiondugram,prennentunaspect~Metparc~.
ceS~surviventsurlessemencesinfecteesdes~odesdetempBvariables:8
mois (Cralley, 1949) ; 3 aus (Yoshii et Yamamoto, 1950) ; 23-24 mois (Todd et Atkins,
1958) et rnhe 8 ans (Zem et Monteiro, 197ĄŻ7). Fukano (1962) a est&& que la densiti
dĄŻinoculum critique pour les riz sensibles est dĄŻenviron 30 u&Wodes viables pour 100
semences. ~¨´lde,Nathet~~(197O)ontinferccpt¨Śleneanatodeen1%8~des
&hantillonsde -derizimporttesdesphilippines.
a
ILl.
La visite a surtout conce& la Station de Ndiol et lĄŻexploitation de Seck Aginord.
zRs~i~~~~BNdiotsontde2,5B3,0t(haavecLaGC-8-35sur2haenG3.~
culture sĄŻest f¨¤ite sur une rotation arachidejach&e. Le traitement herbicide a &5 eff&t&
dĄŻahord avec le Round up (Kalach) sur jach&e verte, 3 semaines avant semis et avec le
GramoxoI&apI+slwt5eetentrai~dirige.
LeprogrammeAgrirmdestun progmmme de multiplication de 72,84 ha dont 44,36 ha de Fleur
llNlet28,48badebase. Irrr&art&i~delasuperficiedesbasesentreIcsvariMsestfMeau
Tabltau2auonpcntaussi~~enrrmarque~~~~~~cessemeaces~catre
.-i
99,79etlOO%.
Lerendementmayen~delaFleurll~ltst¨Śvalue~1,53ha
.
Ce mdement est f¨¤iile par rapport au potentiel de la vari# et sĄŻexplique probable par la
pauvp# chimique (0,02% -c M.0. < O,lobm) du sol et les mgladies signal& en nxwque du
Tableau 2.
Les sols des deux zones de multiplication sont l¨Śgers et particuli&ement convenables ¨¤ la cul@re
de lĄŻarachide pour plusieurs n@ns. DĄŻabord ce sont des sols subarides sableux (Diti), d&iw
du modelt duna¨´e et qui dominent souvent de plusieurs m&res lĄŻensemble des terres immda&s
de la ValMe. FInsui& leur fM -elle physique est assez compamble & celle des sols peu
&olu&s (regosols). Enfin. par suite de leur texture grossi¨¨re, leur porositi en grand et leur fUile
cqmcitb de dtention, ils conviemxnt bien aux cultures peu exigeantes en eau. Cqx&nt, la
fMt& potentielle chimique & ces sols, quoique f&ible, semble relativement bien @ilibr+.
LĄŻamcOlioration de cette f&tiliti rcSide dans .des amendements organiques et des bures
minhles. Au niveau de lĄŻexploitati~ de Seck Word oti les rendements sont -les, il y a lieu
derevc~lagestiandusOtetessayerbelĄŻ~li~de~durablepardw,
organiques itqMmts en plus des fimwres mi&ales appliq&s. La situation se p&ente mieug d
Ndiol oti la jach&e f¨¤it son e&t dans la rotation et dans la culture de lĄŻarachide.
8
Tableau 1. Ve de multiplication desr#a#nces delizde1wNIscn~
19991Tdo106
IR1529480-3
S&d108
sald201
MM4202
1. 9 sur 13 sites Mises par 1ĄŻUNIS ont ¨Śt¨Ś visites, soit 69,23% .&I pmgramme de
.
2. Les i3WistiG de notation fournies a la mission par le contrdle se pkmtent comme
_ s:
334;79 ha, soit : 65,84% ;
-I36d8dC:
4&35l@soit: 9gn6;
-w:
73% ha, soit : 14,41% ;
- l3loage:
5,ooha,soit:
l,Ol%;
- N o n - :
47,00 ha, soit : 93% ;
- Total:
508,44 ht& soit : loo,oo%
3. Lcsxxstationsparlesteelmieiensagrdcssepo~vent.
Tableau 2.
Programme de mukiplicationdes semences dkwhide par lĄŻUNES
en
@sw2ooo
SupacfBae~
Localisation
Vti&t&
Niveau
Ha
ori#nedes
allthma ?e
selnums
Seck Aginord Savoigne
Fleur11
Niveau
44936
MlAgkMXd
w-8-35 Base
9?25
0
FiaRll
13.87
s-437
53
-
Sous-Total Base
28&8
Tti
x
ĄŻ
72$4
X
Ndiol
oc%35
03
2
. .
1. LĄŻi!&ment et i?uw&knt cultural (tamste-d Aglinqd) et @tare %
1ĄŻIPSMSM) sont dans lĄŻensemble r&@m& ;
:I
2. Les 72,84 ha authentifi& (Agkord) ont &t& homologu& ap& notation avec une
puret ? vari ?tde au champ situk entre 99,79 etlOO?/o ;
3. Les2HadelĄŻuP!wIsRAnĄŻ ?taientpas-ne;
4. Le rendepent moyen pond& de la Fkur 11 (Agrinord) est de lĄŻordre de 1,53 t/ha
ctl8SrbculbesSOllt~courS;
5. La rouille ¨¤ Pucciniu mdds, la rosette et un fW taux de mor&W due a la
pou&ureducolletontete;obsen&surlaF ?eur11U@no@.
Letauxde
mortalit ? par purriture du collet a atteint 9,62% des pieds lev¨Śs dans la parcelle
P3B.
RESULTATS DE NOTATION DES PAClUUM DE MULTIPLICATION
PARUNEEQUIPEDE
WDbLĄŻISRA
N@kqsll@kdo~P.adt~
rhM& Ilnol
391,6
796.6
1 1