GINETI~E DE L’EPIDEMIE DU MILDIUU DU M:iL EN ...
GINETI~E DE L’EPIDEMIE DU MILDIUU DU M:iL EN
.- ._.- _ --
_-_-_- . .._--. - __--- -_ ---- -- .--- --.-----
MILIEU REEL EN FUNCTION DE.3 FACTEURS DE
,-._----.
^~__ ..- -_ -. _-- ----
L’ENVIRONNEMENT
Par
:
;
2.F. MBAYE, Phytopatholoyiste LSRA!CNRA de Yambey
adkw3
i.a cuituie du mil est largement pratiquëe en Afrique de l'Ouest
'Li. t.'i le oc:cup e plu; de i3 caillions d'hectai-es (FAli, 1979,'. Cependant: le?
:':..idem~:nts Ti l'hectare restent faibles et SON estimés it k,bU kg/ha environ.
,
.j <:* uns $:arietes cuitivees iz;lx maladie5 dorit la pius importante est le
:iii14iou du mil ( Sclerospora yraminicola (Sacc) Schroet).
..__ -.-- __--_. - - - - -
Cette maladie sevissant partout où le m71 est cultive, cause an-
f. .51 lilnienr. des degats relativement importants d;ns la reyion : 1U % au
;j/ ! <.,crj c: (i;ing and hiabster 2970), 0,2-21 % au Sgnégal, iJ,l-6,8 ic au Niger,
.i.L:;-~0,5:3 % au Nali, 0,9-5,8 % en Gambie, l-i0 % au U:!r/<ina faso (Cil-SSIPLI.
yC2p7). En deplt des nombreux travaux faits sur cette vialadie, les connaissances
2 t.: r 5 ,:i .,i n6ti que au champ, à même de pe i*lllC ttre :it! cho.i s; i” une i!G!th@de (le 1 utté
;iaequate, demeurent limitées.
L'objet de cette présente communication est de livrer ies résultats
;; ,îeux annees d'expérimentation portant sur la Cinétiqut? de 'I 'épidemie du
un
:t:il:iioa au champ en relation avec les facteurs de 1 'enviro,nnement.
- H:,tériei
L I
et méthodes
.-.._ * -.--.. ~_I_- _._. --_-~-
L
!
'essai a été implanté dans ;es iparceiles d'e~p~i‘iriientatior'l du
: :
r
1.-m-
-----u
':Js--ivice de Recherche de Bioclimatologie de l'institut Sénégalais de
Recherches Agricoles JISRA) à Bambey où était installée une station
rncli--orologique .type CIMEL électronique fournissant onze paramktres mé-
t. 5 !‘U ! oyi qws.
La variété utilisée est Souna III [en vulgarisation au
)Gr:éga'l). L'essai a t!té mené penaant deux campagnes agricoles 1986 et
l.?s observations suivantes ont été effectuées :
- quadrial lage de la parcelle en n\\lmki%otant l+?s plantes ;
- date d'apparition des py'emiers, symptomes ;
.- suivi de l'évolution de la malauie dans la parcelle par le
?
;;i:!Yquaye ~JE.-, plantes malades, tous les deux jours ;
- relevés des différents paramètres climatiques à chaque obser-
iation de la maladie .
111
i
/
- Résultats et discussions
.~_-l_l___~-
i
I
Il.1 - Campagne 1986 (Fi y 1, 2)
---- - ----_ -..
Les premiers symptômes sont apparus 21 jours aprks la levée. Ils
:> ( : il i. probablement imputables & une infection d'oospores, car jper,dan~ cette
:.tI~.‘iode* le; conditions météorologique:; ont été favorables (t" L. 24,8 à 34"C,
‘iii
FI y % ,
vent calme ). En efi.et, les r@sui?.ats obtenus en itlboratoire par
;:.~Fi:~~ulla (1975) sur la germination des oospores corroborent cette hypothèse.
Par conti-e, les atta ques d u c16/09!1':iii; r'ésulterc:ieni .;,,obdblement
:: ! '1 :t ?nfection seconaaire qui provi endrait des pieds de mil atteints de
i~;i idiou dans les champs avoisi nants à la faveur des ver1r.s du Sud et du
YJCi-QJeSt,
antérieurs à cette date.
I
“’
Cependant, l'évolution ultérieure de la maladie semble découler
drs nouveaux foyers induits par des conditions météorolog;qucs favorables
Jet; .]cur: pr6cédenl.s.
La cinétique de 1 'epidhrni e a continué à progresser
i.:..J:L’r’ des fo)I'ers existarits ,jnalgré 1"accalmie
d es vents du 9 au 16 Sep-
i'h~r~iditê relative de l'air presque saturante, sont autant de facwurs
i e. Le mi ! est au stade tallage.
union de ia maladie r! accus6 une
facteurs de 1'~nvironnemerlt soient
:I~-~~rie~ y+ :>
favorables. Cettc-! baisse de la propagation de I ir ma 1 aciie semble
:- i: 17: 1 i ée dl1 F';r i 1 (/i~'err période dtt pleine montaison, le mii ;i atwint un
‘kcle
-2
iwi (::Inférant. une résistdnce intrins6que à la inal<tdi(+ <résistance
iiiéi:dni q u e 2 L/~U chimiques)
!i l'issue des rel evés effectués les 22, 25 et 30 Septembre, on
l, ci y, 2.
une recrudescence de l'épidémie de la maladi?!. Ce phénomi‘ne peut s'ex-
ij ‘1 .i 4 U 1.: 1” p a r
1 ’ a p i-, a ri t i 0 n ,
?I la suite des fortes pluies, de talies basales
1.: i:
Iririennes formées de jeunes tissus plus setisibles aux attaques de
I..Gs dernières observations des 03 et Ut: !i(.i.obre i,nt; :wri%re une
X~!SSC! de pression de la maladie probablement liée, entp.e autres, à la rare-
:~~*.tiori des pluies zt à une ascendance des température:;.
l.t:s premières atLaques perceptibles on-(. 6tr-S observ6es le 22/(X!,
,TLJ <tade "début-tallage"
du mil. Durant les 5 (cinq) jours qui ont précédé
::~rte observation, les températures min. et max. ont varié de 24 à 24,5"C
,lt le 26 à 31,9OC respectivement ; les humidités relatives minimales et
i!!dximales de l'air ont, quant à elles, varié de 76 à 79 X et de 96 à 99 %
l*espectivement. Ces conditions étaient idéales pour favoriser la sporula-
L'ion au mildiou (U.F. MBAYE 1986). Cependant, deux jours après, on assiste
:; \\:II~ chute ue l'humidité relative de 1 'air et à une remontée de la tempé-
/
!' c l-1 r'e , C~L?,,_ pc"
.I ':l:*dticjn des conditions du milieu a eu pour ronséquence la
.> 6gr'Ia Ci (jr, i1P !;I j~l’Oqrr~SSiOrII de -/CI maladit: et c,ett.e teriddricc s'cs.t mainte-
fi parr..!r clic 10/09, les conditions ci-apI$s c)nt c!r+vrlli: : air sa-
i.1’ ._.: r) ' humi dit4 ZI ;‘;iusè de fortes pluièi avoilt cettE> date: ; veiîls souftlant
tI*'tjj les cl-i;*ections NW et SW, c'est-à-dire des fo,yers d'infection (attaques
cJ!; ~2/Otij vers l'intérieur de la parcelle. La maladie a recornwncé à se
?r'ouager dans la parcelle surtout au niveau des, talles basalcs nouvellement
':::!r,nGes et les chandelles en initiation.
L'arrêt brusque des pl'uies pendant 10 (dix) jours (20-29/09) d'une
j;?:rt et le vieillissement des tissus de l'hote d'autre part, ont été, sans
Il\\(
<,
'< doute, les facteurs inhibiteurs de l'évolution ultérieure de la maladie.
E:: Iffet, pendant tout ce temps, 1 ' augmentation du nombre d:-: p.i :Tintes a tta-
I!U&S a été très faible (3 plants).
0 partir de cette date .jusyu 'au stade "griii ri y!Str:!~x" ii:1 mi.1 , -rI
< :: '... !st.e à une reprise de propagation dt: la Ii?aladie dans la parcel‘iF. IV'émer-
y~~i~:e tardive de tal'les aeriennes et basales provoquees par l?:i pluies abon-
rl,:n:es de fin Septembre, les rosées et les douces températurc>: nocturnes
,. i'. 8!Fil:inales qui ont prévaku pendant ce temps et i'augmentaiion progressive
.‘t:
'a pression de l'inoculum, sont autant de facteurs qui pourraient expli-
q : 2 1-? r
la reprise d'activité de la maladie.
U la maturité du mil, on observe une baisse de pression de la
,:;djadie dûe probablement à ia péjoration des conditions climatiques.
I
I
-' Conclusions et recommandatians
8
i
!
,.? t’; ‘.’ t; hpcrinient,?tion portant S~;I‘ ia i,oririai j~anc6: C:C. !
ii ci n6?:ioiie
r
]/
I
'6niaGi7iie du mildiou en 17i.i lieu dt-' j rhau5 <? ~.emis dti co~~i-imier~ !es
,,
~‘C ,.
j ik! 1 tets cJi)tènus en
laboratoire (MBUYi. U.F. 1985;. F_n ef?-tJL, ~~11~ IIOUS
,c; ,: ~.:TI 1.r.G que 1 ' infection et 1 d propaya Lion CU mi 1 ai ou d~$pcndent , en+-re
.-i ij i j--c, s 1 cjf;:
!'état [lhySiOl(JgiqUe de la plante (présence ou absence de tis-
.YI > jeunes), des facteurs de 1 'environnement tels que i 'tlumidité relative
II': l'air, la direc.c-ion du vent, et de l'inoculur~ (sporulation ou pas etc.).
Pdr ailleurs, cette expérimentation a permis de Gv6ler que chez
) il existe 4 stades, liés à l'apparition de jeunes tissu5,pour les-
il semble plus sensible au mildiou :
-. apparition du coleoptile ; ,
*
- début de formation des taNes secondaires I
- initiation des inflorescences :
- formation des talles aériennes.
Cependant.
seules les attaques intervenant au Ier CI, 3&me stades
‘.:i;ii’Ic-:rlt avoir une importance éc0nomiquc car 6tatir capJh:es iîe péjorer les
-::i~dements ; les attaques intervenant au 2ème et 4ème stades SF! localisant
'>',y- les talles secondaires et aériennes ne présentent que peu c?'impact sur
!
:: rendement,
i
Sur la base de ces considerations et des résultats (obtenus anté-
'ie~~r-ement, nous pouvons formuler les premières recommandations suivantes :
0
- en lutte génétique
: Sélectionner des vari6tés qui ont :
____._._._.__.._ I_ .-- .-....-- --_..
- uns: bonne rigueur 4 !ii ikvéc ;
II en 1 ut i;e c h i rr~i~ut:
.-_-_-.I .._. -_-.-__- ____
: Prot4yer 1.1 planL~ a.14;~ wnc.nis du semis
et du tallage - moncaison avec un produit
syst@rnique.
- en lutte a(l-culturale
:
.._--~___
----.
- éviter des retards de semis par rapport
aux champs voisins ;
- arracher les plantules pr6co&ment attaqks ;
- appliquer judicieusement les engrais qui
favorisent la forwaI;iijn importante ue ma-
lière vég6tativ6).
( IPlambry hhmuaglr
---..- 1906
-.--_
SYMUUI ES IXj h’Ei EYFJ
-
-
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M A X I M A L E
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H R MINI z H U M I D I T E R E L A T I V E M I N I M A L E
BIBLIOGRAPHIE
-=-=-=-=-=-=-
CI,.SS (Comité Permanent Interetats de Lutte contre la Sécheresse dans
le Sahel) 1987 - Projet Lutte Intégrêe - Camp%e rendu de 1 a
réunion technique annuelle,
2-7 Févriell* iY87. Banjul, Gambie :
CII-SS.
F.A.U. (Food and Alimentation Urganization ) 1980 - 1979 FAU Production
yearbook Rome, Italy : FAO.
YBAYE, D.F. - 1986. Rapport analytique de recherches sur la oathologie
du mil pendant la campagne agricole 1986 - lSRA/CNI?A de Bambey
85 pp.
WI-EEULLA, K.M. - 1975. Investigation on the biology and con-trol of the
downy mildew diseases of Sorghum and millets in India. Research
Report 1969-1971 (P'L 480 tirant Fti-In-4T4). University Mysore,
Mysore, india. 37 pp.
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MILIEU REEL EN FUNCTION DE.3 FACTEURS DE
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L’ENVIRONNEMENT
Par
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i.a cuituie du mil est largement pratiquëe en Afrique de l'Ouest
'Li. t.'i le oc:cup e plu; de i3 caillions d'hectai-es (FAli, 1979,'. Cependant: le?
:':..idem~:nts Ti l'hectare restent faibles et SON estimés it k,bU kg/ha environ.
,
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:iii14iou du mil ( Sclerospora yraminicola (Sacc) Schroet).
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Cette maladie sevissant partout où le m71 est cultive, cause an-
f. .51 lilnienr. des degats relativement importants d;ns la reyion : 1U % au
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.i.L:;-~0,5:3 % au Nali, 0,9-5,8 % en Gambie, l-i0 % au U:!r/<ina faso (Cil-SSIPLI.
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2 t.: r 5 ,:i .,i n6ti que au champ, à même de pe i*lllC ttre :it! cho.i s; i” une i!G!th@de (le 1 utté
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La variété utilisée est Souna III [en vulgarisation au
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l.?s observations suivantes ont été effectuées :
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.- suivi de l'évolution de la malauie dans la parcelle par le
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- relevés des différents paramètres climatiques à chaque obser-
iation de la maladie .
111
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Il.1 - Campagne 1986 (Fi y 1, 2)
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Les premiers symptômes sont apparus 21 jours aprks la levée. Ils
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Cependant, l'évolution ultérieure de la maladie semble découler
drs nouveaux foyers induits par des conditions météorolog;qucs favorables
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La cinétique de 1 'epidhrni e a continué à progresser
i.:..J:L’r’ des fo)I'ers existarits ,jnalgré 1"accalmie
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i e. Le mi ! est au stade tallage.
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l, ci y, 2.
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1.: i:
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du mil. Durant les 5 (cinq) jours qui ont précédé
::~rte observation, les températures min. et max. ont varié de 24 à 24,5"C
,lt le 26 à 31,9OC respectivement ; les humidités relatives minimales et
i!!dximales de l'air ont, quant à elles, varié de 76 à 79 X et de 96 à 99 %
l*espectivement. Ces conditions étaient idéales pour favoriser la sporula-
L'ion au mildiou (U.F. MBAYE 1986). Cependant, deux jours après, on assiste
:; \\:II~ chute ue l'humidité relative de 1 'air et à une remontée de la tempé-
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.> 6gr'Ia Ci (jr, i1P !;I j~l’Oqrr~SSiOrII de -/CI maladit: et c,ett.e teriddricc s'cs.t mainte-
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cJ!; ~2/Otij vers l'intérieur de la parcelle. La maladie a recornwncé à se
?r'ouager dans la parcelle surtout au niveau des, talles basalcs nouvellement
':::!r,nGes et les chandelles en initiation.
L'arrêt brusque des pl'uies pendant 10 (dix) jours (20-29/09) d'une
j;?:rt et le vieillissement des tissus de l'hote d'autre part, ont été, sans
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'< doute, les facteurs inhibiteurs de l'évolution ultérieure de la maladie.
E:: Iffet, pendant tout ce temps, 1 ' augmentation du nombre d:-: p.i :Tintes a tta-
I!U&S a été très faible (3 plants).
0 partir de cette date .jusyu 'au stade "griii ri y!Str:!~x" ii:1 mi.1 , -rI
< :: '... !st.e à une reprise de propagation dt: la Ii?aladie dans la parcel‘iF. IV'émer-
y~~i~:e tardive de tal'les aeriennes et basales provoquees par l?:i pluies abon-
rl,:n:es de fin Septembre, les rosées et les douces températurc>: nocturnes
,. i'. 8!Fil:inales qui ont prévaku pendant ce temps et i'augmentaiion progressive
.‘t:
'a pression de l'inoculum, sont autant de facteurs qui pourraient expli-
q : 2 1-? r
la reprise d'activité de la maladie.
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.YI > jeunes), des facteurs de 1 'environnement tels que i 'tlumidité relative
II': l'air, la direc.c-ion du vent, et de l'inoculur~ (sporulation ou pas etc.).
Pdr ailleurs, cette expérimentation a permis de Gv6ler que chez
) il existe 4 stades, liés à l'apparition de jeunes tissu5,pour les-
il semble plus sensible au mildiou :
-. apparition du coleoptile ; ,
*
- début de formation des taNes secondaires I
- initiation des inflorescences :
- formation des talles aériennes.
Cependant.
seules les attaques intervenant au Ier CI, 3&me stades
‘.:i;ii’Ic-:rlt avoir une importance éc0nomiquc car 6tatir capJh:es iîe péjorer les
-::i~dements ; les attaques intervenant au 2ème et 4ème stades SF! localisant
'>',y- les talles secondaires et aériennes ne présentent que peu c?'impact sur
!
:: rendement,
i
Sur la base de ces considerations et des résultats (obtenus anté-
'ie~~r-ement, nous pouvons formuler les premières recommandations suivantes :
0
- en lutte génétique
: Sélectionner des vari6tés qui ont :
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II en 1 ut i;e c h i rr~i~ut:
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: Prot4yer 1.1 planL~ a.14;~ wnc.nis du semis
et du tallage - moncaison avec un produit
syst@rnique.
- en lutte a(l-culturale
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- éviter des retards de semis par rapport
aux champs voisins ;
- arracher les plantules pr6co&ment attaqks ;
- appliquer judicieusement les engrais qui
favorisent la forwaI;iijn importante ue ma-
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