RAPPORT Dt LA VII&I.;~ REUTdlON ...
RAPPORT Dt LA VII&I.;~ REUTdlON
A?~NiJELiE: DE CONCEHTATI",'\\I
EN MAT-1 Ei:E DE PROTECTI 01J
iJt VEGETAUX
CNRA Barobuy le 23 evri..l '1981
Centre 5Jational de Recherches 3grononiqueu
de Bamboy

SOMMAIWZ
- Prusentütion de la VII' Rdunion annue!-le
* . . . . . *.a.*..
3
- Las rL'T:onr;!;lr~da.tinnc'
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- I,~c~; ac-tivitgs rie 1 ' i.l~i:STC]î:;
- IJéin~tOlogi~
7
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- Entomologie ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
? ? ? ?
- Zoologie
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1 !i
- Ornithologie
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- dirologie - Uacttlriologie
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:! Il
- Les Activités de l'I!?RA
- Entomologie du r,iil (tifiBrv) ..a.**. . . . . . . **.a**...
2 1
- Cntomologie du Sorgho (BAMBEY)
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- Entomologie du Riz Djibélor *.**.a .,.... N.. . . . . .
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- Entomologie et. P?ytoPathologie (Ci3H)
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- Stockage et 6tudo clos pesticiclos (8anbey),,,,,,,
37
- Les Activités du Projet PrIUr)/FA13-FiAF/7'7/3I~7 . . . . . . . . .
4 7
- LOS ActivitZs titi Projet CCP/RAF 136 (UCL)
r- 4
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.> I
- Les Sstivités de lfilclalav
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r; 5
- Les Gctivités de la .5GED
'; 7
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Pucthier
G :J y
H 2rrr;indei
!; e L q e
'2 nu f d Cl u x h 8 i. ,
!.:u:lingu,ood E.C.

- Lo Diroctc-,ur d u Uépartement Ggronor;lie e t 6iociiriElF~~l.:.: !,;
d e 1 ’ 1 S R H a p r i s l a ~yrrolc p o u r Gbordcr dans 1~: m~irno s e n s .
- i4. C .Monr7at Cjirectcur do 1’ LÏF1STUPl EL souli,gnB I li:.~pL~rl. .iI .:
q u n son institut att::ichc & ces r6unions at leur VolontG constank .:,
p a r t i c i p a t i o n e t d’al:l6lioration d e c e s r e n c o n t r e z .
I l a f a i t qart d c 13 confirm~tiwn d'un p o s t e
de vi roi C-F? :.
p o u r I%?l et de ,la m.iso cn disponibilitcj p o u r u n a n d e ii, Dcf:ieuro
n6matwlogue.
La séance a Sté présid6e p a r !“!. Îlahawa NBod j. Ce rappori.;
se com~osc des connu,3ications Bcrites prJsentét2s p a r l e s c h e r c h e u r : ~
Il ne comprend pas 12s activit6s présentCon a u c o u r s d e In réunio,
e t q u i n ' o n t pa f a i t l ’ o b j e t d ’ u n dacumo~nt écrit.

:fJ ous voilli E?llCOrC r6unî.s d a n s c e t t e s a l l e r)our pr6seilt5.; c.L
d.iscLJter des rgsult:4-ts de vos recherches dans le ciomûino do 13
Prot:.?ctior: das c~:ltu~:cs. <oyez donc 1~:; b i d n V U n J:; a U c [J fj ;i 1-1 e ‘ziz : :i b $.! 1,’ D
Perwttez-moi aussi d e v o u s exprimer rnoÿ vives f&licita{;ions ;.lou:
VOtPe
rGgularit.5 diIn:1; la
concertation et votre corstanco dans 1.~
dr:i-kerrlination rie vai;-lcro, ensemble, les fl6aux do ilos cultures.
Aujourd'hui plus qu ‘hi.Rr, votre+ rôle
d a I- s 1 a 1 u t t e c o ! , i: ::: ;.:
la faim, e s t prépondC;r3nt c:ir :Iu fur et Ci mesure que 1~s tE?Ci;r:i.;l!l.: ,
do lutte CvL,luent et ::-; pJrfecti.onncnt, la biologie subit der: ir:.:;.;-
fcrm~~tions e t d e s ;nut::kions p o u r s ‘adopter
;-ï u
n

enwironriE:mci-ii; t.ii.t : 1 ;
e n plus ZIgressif,
ce qui rend votre tâche encore F,lus di.fficiîrk,
d’allier l'efficacit:: dùu r:idthodes Si la protection ci; ,i-. 1-1 !;;I;:~c.!:.;~.::...
du 1'Lcologie dont 1 "ho:;i;-le,

SS~; 1 ‘ac-teur dynamique CL 1~ s~~_i~.~ :r.:iL;i’,e :
de 1 I Cqui.i.,ibre, I: r est p o u r q u o i ) j?.maFs techniqse ne sc:r~ p l u : ; ;::::‘! _,..<..-
pritSe que 1 a 1 u .t t c i n t 6 ~1 r 6 e d o n t le iGri.to r6sida di‘ns 1.:~ cuï;li,l.:...:r.,:,-.
tarit: des ia&thodes :-q;>c::niqut:, chimique ci.: biologi:]ue pr)c!r c~:I.ILI:-.I, :,,.
12:; divers enncinis dC!S pl,3ntes cultiwf$es, rlvpuis les adL(entice:;,
jusquliliux p a r a s i t e s 1.0s pius Gvolucl:; on .>~s~~.ri t pclr les b;:c LJr.Z,lbt:;
et les virus.
11 est u n vieux slogan qc!i dit qui “1 ‘ a g r i c u l t e u r ~2 r.. .L;:T;T
62 n fi ii d C C 0 i;'; p t i3 , q uE)
C r:: :q uC 1 e S
;7i;rasites veulent bien lui lLii.;s~,~'ï.
Votre objectif, vous autres défenseur:; duc; cultures, esl; dlof;uv:;L;;;
p o u r .~ugr.lCnter, a c c r o î t r e ce reliquat, en rcduisant 10s effet:; ;i!;
COS pzrasite2, danc; un con,axtu
f-
s oci0-cullurel particul;ic .r; a.j-1 1 ii.;..‘
c 0 n j CI n c tu re 6 c o n o mi q u o .iilflZ ti3nnisto Leni! encore iJlus
,L\\ j, f fi ?> i :i () a
tuut i:eci fie f2i.t
f’i2j.S
quo r e n d r e v o s nobics efforts encor:-.
3iu9
m:‘~rit~ints, parce que guid6s par CO :;ouci d'adapter oes tcchniqu:;s
hautoinC:nt r6volutionnaires 9 un environnament peu &vo~uI~.
1’4 IJ :; s 1' permettez-moi d*&tro 1 ‘intcrprhtc du paysan sc;l;J-
galais ,jZdiS ddsesp6rB cie\\lant l'attaque dos chenil.les ravageurs ,-?c!
jeuno:< pousses, o u l'ackion d&vastatrice des c h e n i l l e s d e s chcLnr’,-zl 1~1:.
\\ 1’ -’ - u bd ?
O U l’:‘:Itaque do wclngy ;,our vous
exprimer sa reconnaissance rEnc,U1.L!i! .;:2
pour 10s efforts que vous ne cessez de dSvclopper pour mieux CLli13’~itL‘
lf2S
annemis des cultures,
i, IU
J e VOUS r e m e r c i e d’Btre v e n u s nombreux à cette rG!union :!:;
concertation et souhaite plein SUCCLSS à vos travaux./,

1 - l.??E
p a r t i c i p a n t s re:ontilandi2nt
‘j c.. :
2 uarantaina
La rdunion
recommande pour ce qui concerne 1~s rats,3.L! :i~i:,‘:~ -
qal p a r 1’ intern<diairc
de la Direction de la Frotectlon dee VC$ ':,. '1':
prennsnt initiative
du d3-ibloquez 1~ projet régiol-,al du CI[,.SC:
sur
les rongeurs. A Ce f?iVe:3U ~E?S résult:3ts acquis par 1 '[JHTTC;f? 2~ 5 r$n<i,;.ii
ci : ; L' r c r, t
C?ire rn:ls 21 profit dans le sens du d&veloppement de
l a prcivision d e s pullulations.
'1-Y Taxinomie
Il a t>t& souh:li.tS que j.'J/?$y.j par le c;inaJ, du !)c'ZparteI:lëy~
des 1 nvertabrrzs terrostres
s o i t davantaoc associ6 e t que! c e t I~TL.:. ..;,rt
puissi; servir dElne 1~: cadre de l'idontj.ficution des insecte:; CI?
servai.lt d e C o n t r e de rclf-‘::renca ,natc!rnrncn;; pour ce qui ço~~ceri7c
u I Ï
fichier de lutte biologique.
:! -/i
RBsidus s;l culture mzrnllchbre
a
-
-
-
- -
i-5 C o l l a b o r a t i o n
-11_



ACTIVITES DU LASORATOIRE DL NEF?ATOLOGIE
(ORSTKM - DAKAR)
Le jprogranmo du laboratoire comprend deux 0pLrations :i
Cû-lrClst5 re ap[,liqu6: lIGtudc de l'action pathoghne de:; n6matodcn
phyto-parasites e t 1 ' tS-tudr:
de l'cpplication dz méthodes de lut-i;~
contre ces parasites.
[Jous rappellerons bri.&wemcnt las principes de ces opijr3tio,i:
(0 puis nous examinerons l'état dlavancement de ces op6ratior:s ;!otir
IF?S diffgrents groupes de cultures ; lbgumineuses (2), cultures
;;iarafchéres (3) p c6:rGules (4) et divers (5).
I- RiiPPEt DES,PRINCIPES
- D6monstration de l'action pathoqkne : Lr dtude complbte comporVo
trois phases.
Pour chacune, on compare les paramgtres de v6çlStat;io,-;
de plantes crtiissant sur un sol avec ncmatodes dl uno part ot SL!Y :.IJ
SOL
sans nt5matocies d’autre part. Los trois phases différent :J:ir I’.i
mCtho3e suivie pour obLenir les doux r;cls,
1 >- Kssai n6matizide sur un terrain infect6 D sur unc p:&rtiz :ju
terrain9 le soi es:; ~i6n:!matisU A l’aide d'un funigant.
2 )- ~ssaj. do d6ntinatisation d'un soi infest$ par a~toclüvagv 'Zz-1
labor:.koire.
;)- Inoculrltioil de n!:matodcs purifitis :1! un sol st6rilist.j p;:r
c,u toclmag:?
ou fumigation au laboratoire.
l'i!3thodes de luttE: :
u1_-
'1 )- Lutte chimiclu_l : - clGn6matisation du sol par u:-! funiganl;
- protecticn do la plante par un pestic.i.i!c!
endoth6rapiqun (systenique),
Y)- Lutte biologique :-
bi&.;gii; du parasite ( jach >re = inûn.i-I..ion~
- biologir de l’h5te (plante rcsistantaj
-. bio3.agi.u d'un organisme tiers : p)r:~clatcur,

par?-(site ou mcdiateur chimique,
3)- Lutte IlhysiqE : - é1Lvation de Iz temp6raturu du sol
- asphyxie par submersion du terrain,

Le soja est scnsiblc h Scutcllonema, mais Ugalemenk 5
Pratyicnclus sefüensis, 2 différentes espèces dc 8eloidogync et 3
Rotylcnduilus renif=i;,
qui Sont répandus en ;3asamünce. L'actioi3
pathogsne i: ét6 montrke p a r e s s a i n6maticidc a u rzhamp pour c e s os;> (: ,
et per inoculation 3u 135oratoire pour i~ïa~t;ylf~nCi~uS et Scutellonnmu.
üe n~?r;x? quo paur l'arâchide l'effet initial des IntSmatodes porte sur
le dtivcloppemcnk ot I'efficacit6 des nodules. Do la m@me fayon, ?e
nj-&bij est sensible &
Pratylenchus sefaensis.
?d 0 u s considsrons que l ’ e s s e n t i e l d u t r a v a i l pratique CO:-;CC~-
nant 1.9s légumineuses ert achcv6 Y 1~ pathOg:inio est dBmontr6; ::L
des traitements rentablon sont disponibles, Geux actioils sont ~:in-
tenues :

potentiels propres 2: 1LI iotation riz-plante& mirüichè&?s ;Jr:ltic;iJ:is
Sur le Fleuve et imp1,antGc rc5ccmmcnt c?n Casamaqce so,7t en court;
d'dtudo. C e t t e Etude dovrai.t Sgulement p ermettro de dafinir 1~s
,
plantes immunes, très ;l:?gvais hOtEkS CIU tolbrant:SS afin do les intri]-
dU.ire dans des rotations culturales adaptées
aux j,roblkmos de ch:!ilu':
rbginn.

L'action pathogbne de co:; nématodes vis A vis des vnri 2i;~!
s e n s i b l e s e s t u,q f a i t E t a b l i 2 1 ’ (2 ch e 1 l c! ma nc i a 1 E: e t 2: 0 t C; v cz ri Fi ~2 !.
dz nombreuses fois au Srjn6gal. LEI variZt6 de tomate ri?sis.tan I;z ;.\\L S:;C.~:.
perd s.1 resistance lorsqu'elle est cultiv6c sur des terrains f[;:ptL:-
ment infcstcs cornmc ceux des stations ??r-iA de Oambcy et de /ddicJ:- 2
1'aktaqua 3St ?.:uc;sj: fortc qus pour les variC!tr?s sensibles,
, ,
r? 0
lutte intsgrCo conkrc ;:eloidoqyne : au cours de cette a,q~<ie ~13s
essais combinant quatre rnethodes de-lutte ont ét6 poursuivis :
'1 > L le fficacitti d l un:: d5nematisati.or-r par Jr-r fuinigant (:/-roll 13:‘.
h 3110 l/ha) est trés grande : h Rarnboy le rendcm~ent du gombo es:.
passa de 'Ï'fiU kg/ha (non trsité) :J. 15,6C;[j kg/!-,3 (traité),
2) L'616vatior-r de la tornptjrature du SG~ par interposition C!~\\I:
film do plastique 51 sa su2facc n'a pas tlto cf?icace, L.a tei,:p$:ri: Lus..:
obtenue n'est pas létale pour les 0 e u fs ;rl f=J m 5 IL oi ci 0 cl.y__,
3) Le champignon du gcnrc
ArthrobotrE priJdtij;our de ni;:;!;-. Lol.lt;*, 9
cfficatcc dans le :jud do la Fra-nec, n'a pu protacjcr une ~~~tEii~l?C!
cul-turo, Les analyses sont on c o u r s p 0 u r 1 ‘a s Q c 0 n cl cl? c u 1 -t u f e ”
4) L)c;I-j r o t a t i o n s cu;turales utilisant l'a~~acj.iido (résistantcj,
1 c: rh.il Ut la patate douce (mauval.:; hoto) no sont pas termi,nLes
'/ :
, _ii r
la c’~I:I/x!I~~~c en cours inEi5.s ont d:ijh donni: des resultats nosiLj.fs.
spinicandata en Casanance ot t~irschnanniella oryzae en Casarnanci:
(2 t;
sur Le Fleuve. L'action pathoq:-no, d8montrée%.J laboratoire en ;:licrc!-
parcelles inocul6es par ti. or;zau* peut diminuo,c les rendements dc
4 cl:., , !.a dGn6matisotion à l'aide d'un Fumigant n'est pas possible ni:
riziLre,
par contre un pcsticidc endo-th6rapique comme le carbof:lrs:,i
pc rno k zn Cote-d’ïvoirc u n contrâlc! e f f e c t i f d e s n6:matodc.s ct u n
accroissement important du rendement (rentable !. iJn essai identique
rSalis6 à Gu6dS e n 19012 r;‘a pas donné les résultats attendus. I;e-,
essais de sélection variktaln n'ont pas permis do s6J.ectionncr dur
vûriGt::s résistants:s ri H i r s c h m a n n i e l l a p a r m i 81_1cJ vari&t(?s. Lnfin l a
rizitire inortdbe en intc~cariipagne est susceptible c.te 66veLoppcr U;T;
f l o r e bact6rienne d o n t l e s prodl.!its dtoxcorkio:~ s o n t toxiques ;TO~P 1i:;
n (; r,la -k 0 d e :;
(hydrogane sulfura e t a c i d e s grns volati.i’s). IJno bgnnv
naitrise de l'eau es-: i~dispcnsabla pour la r6cup:Sration de J.d ;i;-i:;ri..
ûprtis le traitement.

Lss principi;ux n~$rn--1t;odc~ parasites du
-t
.,_ Hoterodera
sefcicnsis

~uensis.
un essai
-
-
-
-
ninmüticide
c1~1 !:I;L, ,:,
a falïi piisser le r(zndemcnt de”?&mourraqez en p o i d s f r a i s dc 5 i,/‘:;::
(t5muin) à 16 t/h3 (traité), Au laboratoire des inoculations on.:
B prcs,nt d ‘2 ffectuer wi cs6ai nBmaticidc au champ pour Juger Gi?
l'effet du traitement 5~12 le re,ldement on grains Ui; ost.i,mcr S::i i:cr;C:l..
bi 1 i tf+ .
I-es némat;adees rîu mil e-ii du srrrgho :~‘ont GtG Etudiés jusc;;lf <.
prtisent que d a n s 1~. rotatitir: a r a c h i d e et2r6;21u : l e s p o p u l a t i o n s
sen\\‘blont identi3ques à
c1:ll.l.r2s d e
llarachids, Lsrs d’un essai nom:, liu!*:$:
au champ, En rosiduel, on obtient dos grains 4~: 30 $ de rendsmor-4k
sur les surfaces trait&zs,
Les principaux nénatodes associés h la canne 5 sucre de J.?I
II25 d e [Richard-Tell sant Tulotylcnchus vontra2i.s e Tyiench~,rhync~-eus
9w
9, Trichodorus sp ot Pratylanchus sp. Un essai. après st6rilisatzr:
d e l a t e r r e a u laborato’rre laisre p e n s e r q u e ].es nbmatodes influsncer:k
défavorablement la reprise des boutures, le tallage e t l a croisstince
dos .ti.ges. Ges Elevages des différents parasites sont on cours tiri;;
d e reprendre CES essais ;Zi l'aide d'inoculations.

ACTIVITES DU LABORATOIRE DrENTDMOLOGIE DE L'ORSTUM
Ltactivit6 d1-r lahoratoirc est csscntieller~~cnt cenLrCu sur
l'dtucie des possibilit6s ~d'utilisation de la lutte biologique C;I
mati>re de Protection dei; Vr3gStaux, Ce tilVrge de rechcr~h~~ 3 d'~i.l-
lC?UlT~ 5t<: celui d' un r6ccnt Colloque international tenu 3. i?:ïI<:!i: du
03 CLU 13 Février 13il1,
Di.?s les prerxi.;.:rr?S ;JrOsp@f;kiOil,;
offectuaes si7 f i n 19?? r.!t
début 'i380 - il es-i; aj?;~aru qut 1 'entonofaune du S6nk?gzl ctnit
beaucoup plus riche que ne le laissaient voir les ralew6s ani;oïi~::i~~i.
k-b A.3 0
Une pL'c mi Sre Ijlvaluation ;lrUsentde au cours do la reunion de LO~I;~~-
tûtio;) en 138r.l ChifF'j?a!~t à 30 $ le nombre d'espèces n~uvellos j3our
le StSnfSgGi (dont 5;; nok,~wclles pour la scicnçc), L'es' prospections
effectuées dequis mcntrer,t que ce chiffre doit t4tro notablet:let-tt
relev‘.' et dcJpa sso certainement 50 /<,. D&ns les ,3roirpcs pou G~;c!~:;i2s
juscjulici et soumis aux sp:.?cialistus, il est fréqi-ient quo plus tir.2 l,,r
moi-tir: des récoltes soit nouvelle. En matikrc d~cntornophaqos st;i:;ls
(Hynenopt~rcs parusites) 12 proportion de nouveautes s ' a c c r ü î k e II c i3 : :::
et sc! mesure par des fectours do multiplications . le taux d1*?so;:c2i
nouvelles pour la Science 6tant lui m@me accru h '13 ou 30 ii0
Il est Evident que COS resultats son'; rulatfrs et don:: J-,-I
plupor% des Cas 1ii'S 3 dos inventaires dz base restreints, 1.18
montrent de toutus façons
l'int6ret d'une mise a >jour de lrentoii:ofoc
11,
du JtSnbgal. Sans cette connaissanct? - Los potentialites de 1~ luti;~
biologique ne peuvent
I4tre correctement appréhondiSes : presence ou
absence d'espaces qU0 l'on peut envisager cllint;roduire en provenant.-
de p'?ys voisins - connaissance des gamims d 'o.spk~s-hôtes suscep-
tibles d'intcrvenir dans les éco-systèmes. L'integration du Ssnig:11
OU Programme de lutts intdgrae au Sahel nblige en outre 5 lrextal~sj-~l
de ces inventaires h 1 'ensemble des Etats concerniSs ?
Enfin,
en coroll:3:i*>e - l'examen de ces inventaires posa
des problomes accrus d'identification - cn par-t.iculicr dans le dowi-
ne des Hyrwnoptt5res
i.)arasites OC.I le nor;;bro de cp6cialistcs oc,t m:i1-
heureusement très restreint. La collaboration & 1 ' échcllo intern,.!,-
tionalo est necessaire - r=e q u j. i 171 ;J 1 j. ii ~1 C? 1 t 0 x j, 2 t e rl c e 3 u 5 5 n U Cl Ij 1. (; r ;j r-j 2
structure de coordination en rnati&ra dr; faunistique.
Cet invcnt:iire est poursuivi maintenant de~:juiS un 2117 r.:t
demi. Il utilise csse,l%iuliemont des dispositifs do piegeago : ;~.i: :;G
lur-G.ncux
- pièges d'interception de r'ialzlisc, Les relevés sont o;‘f'~c-
c,U[iS zur un rythrw hebdomadaire dans deux stations de 1 l(lllljTO:~i :
L!E21 I-iir et 14' BOUR. Doux piSges de i!alâiSE sont 6galomcnt iris i;allu5
on perrhan!~nco h I:Gdougou !?t au Parc Naf;ional de 3asso-Casama11ct:, iJrl.12
stirio de missions a iitcndu las prospections au Fleuve StinBgtil - ::IJ
Sino-Saloum. La pSriadc do dobr.At d'hivernage (Juin - Juillak) F~I!‘.
'
n'ravait pu Btre :itudiCe on 'î980 - corc~ couverte cett:s annSa,

Les m6thodcs d e
pi&gcage utilisCes no permettent r~ialI~;.:k_~-
rcuscment p a s de CiliJtUrEJJ l'CnSt?inblf3 de 13 faune .. soit que 1::
p~c,c,eaÿe

' ; 7
lclmi7eux soit s6lecti.f - soit que l'aii;'e couverte p3r il::.:
pi à g e de Ma 1 a i s 3 s o i t relativemont rcstriintc a u m i l i e u prospect:;.
L.3 s groupes taxonomiques repr:jsentCs dans les r2lev6s s o n t surtou4~ :
Hymenoptcrcs Sraconidan e Ghalcidides et Froctotrupides p o u r lez
parasi tes. Zphegides - fJornpi.lidus - Vesnidcs, pour les prGdatour(;,
Dipturcs (en cours d~tit~~de) etc. ,,
I l s e r a i t 4videmment n6cessaire de CoiiipltStcr c e t invontuirs
p a r llextension du rcsoau do pikgeage et par les études dc5taillI~cu
do biocenoses - en particulier dans les systBmes agrobioloqiquev <I
Il reste que l a c o r r e s p o n d a n c e s’kkablit e n t r e çes rslov:;!;
e t CC3UX qu'effectue directemenl l’IÇil,l d a n s l e s cultures vivricJr:::; (:;i;
industriilles, Pour exemple 9 les ospòces de Tropob raton ( f i yrri, Sriici:
Uraconide) attaquant Cil.;10 zacconius sur riz?:n Casamancc ou ~~G:cJ-
facinlis (ex. CIIR!1
BaÏXeuJ s e r e t r o u v e n t d a n s l e s r e l e v é s d u .; zn::,~cC2
!?6???<tx - s i n o n d a n s c e u x q u i s o n - t Etudius au l a b o r a t o i r e c:iAns l;:
cadre d e l a l i a i s o n evec 1 !Ot5TOî'; Côte -d’Ivoi.re.
La faune cZCUoil1.k~ n'int&resso Pas seulement les Iiyr,itj~lo:;~::,r~-,
Pürasitos et prédateurs.
Ds nombreux groupes syst&maYiqucs CO~.~~JC!~~I-~ I;
dc;s insecte; nuisibles sent iigalcment rGcolt6s : Coleopthres F.iel:,j.i.;:i-
Scar~baeidse-Cerambycidae
- pkir e x e m p l e d o n t l a f a u n e est rcl~,~~~~~~.~;,;-:,-,I;
bien Studiée ont ddj& pu etre mis en collection do r6f3ïcncc ;Jo;.ii' 1.;
faune du Sénégal - c;lrCfcc ilfux collections do l'IF?,I;, plus g4n&rI:l:::; ;:;,
partent, plus difficiles ;i consulter,
Les tlym6noptkrcs
Braconidae et !2 phhç!:inac s o n t dircctur,ien<,
C,tudiGs au Laboratoire,
ijai .q ce n'est qu'une minime partie de la ,faune rccuaiiliu
(Pl usicurs d i z a i n e s d e m i l l i e r s d e specimans à c e j o u r ) e t 1 1c2tuc-lr:
d e c e rnat&ricl n e peut-@tre rrS;alis&o qu’on ccordinatiop a v e c l e s
O r g a n i s m e s ext6rieurs et leurs spécialistes,
Le laburat3ire dc-: lrOl?STUii est en conséquence en relatisrl
dircclc avec le Centre d'identification du GERCIIT - avec le :~:~SO:I:~
National de
Paris et le LIBC de Londres, Par 1 ‘intermédiaire du
Fi use 3 fi! - 1 lenscmhlo des spdcialistes mondiaux l:eut.-être sollicil;tG,

Enfin un fichier taxonomique a Gt6 constitu6 - 1:' c 2 fg 2 T; 1:.:. 71 :;
ci 2 n 5 un second stades de pouvoir riiottro :.I profit 1,~s dtude:; d.Ij:l
faites et publi8m .- en correspondance avec 1~s colluctizns do L-.Ï"?-
rencL constituGes d partir des retours d"i.dontifi,cation,
Il serait
souhoitablo qu'un fichier "lutte blologiqlAcL'
puisse
6galemznt @tro constitu6,

L o s graines o c c u p e n t lune p o s i t i o n c e n t r a l e d a n s l a s i.ji.r;c:;.:-
noscs des ~ava;~cs sèches,
L a v6gGtation herbac:ée 9 esscnkiellcrIic;i L
constitu&o d’espèces annuelles, effcctuu son c y c l e coï-;plc t pond::-: t
les f! m 0 i s d c saiso-~ des p l u i e s , d e j u i l l e t à o c t o b r e . Les grul.,?‘:r;
assurent 9 pcndrnt t o u t e 1~ saison skche, de n o v e m b r e 2 juin, 1~;
percnnit6 d e l a s t r a t e hcrbactic, Elles rcprésentont 1 r:iliri3cnt cIci
Susse d@ UeaUCoUp
LIE! c o n s o m m a t e u r s prir,Ni2os aFir]artenan~
5 (Aes CJ~:>(.J;-:~:;
syst:!rK!.tiqucmont .tr>s c.loiQnés t e l s que J-:?s R o n g e u r s , les ~ir;~o~;~x,
les Fournis e
t
~E?S Insectes cndophytophe~cs, Caris cette zona i~ic:r:;.:o-
graphique caractérisCe
p a r 1 *irrégularitG de l u pluvi.omGtric, P.:
v6g5tûtiun herbac&s ot 1~. proiluction d o GrainEs s o n t trhs v:iri3il.i;;,.;
d’uno annee 2 lIautrc.3,
- D a n s qucllo wsurc; 13 consarmlatior d e groines p a r 1.~:;
cranivoras
J
influence-t-cllo, quanti.tütivement
e
t

qualitativomoni;, 1,;
rCgCnEration d u t a p i s h e r b a c é ?
- En retour, comment les populations de grznivoros s l,-!c!ap-
t c n t - e l l e s a u x f l u c t u a t i o n . ; annuellos - qualitstives et
-
CjUr!nti~i;?ii:itJi:S

de la production de graines ?
Nous avons dune e s s a y é de f a i r e 1’6tudc d e Id ;:roduction
dc graines,
d e l e u r disponibilit6 a u s o l e t d e l a c o n s o m m a t i o n wr
l e s I(ongcurs, les Ci.se;?ux 2 t les Fourmis au cours de 2 cycles a~;~uelc,
‘l37C-79 et 1973-80.
Deux quadrats
d o r6Perencc o n t 6té c h o i s i s , .l. ‘un d e k. /CI::,
1 ‘autre de 3,24 ha.
?O$ L e s g r a i n e s
- Chaque nnnée, la production rie g r a i n e s des princip;:tl;!r;
cspùces est estimée e n c3lculant .l.a p r o d u c t i o n moyennr: pûr pioc! i. 2
la dcnsi tb m o y e n n e dos p i e d s . P o u r c e r t a i n o s cspases lianosconk-:. 9
l-1 p r o d u c t i o n E ? s t c3I.culc~e à partir des grainz; tombdes au ~01,
- L e s t o c k (1~ graines ~iu sol e s t sui$Ji oar dos prcl{;vol;;-;;t::
d o t e r r e en surfcjce, dE: 400 cr,tZ (carrbs do ?[3 :< 213 Cm> effoCtU3:;
tous les mois, O U .toLtS ICS 2 mois2 d a n s 10s pr:Lncjpc:ux milic.ux 1-i::);
quadrats
o 30 dans 1~ ?;uadrüt do 4 ha et 10 dails
l c s e c: 0 n cl (-1 u J ci y ..i ; ,
L E S grninss y s o n t tri::les, Identifi&es e t comp.i;ee!;,

2") Les 17onqeurS
-..w---1 Mm"...
- Les popuIali.ons de r o n g e u r s sont sJivies p a r dos pi:i~:;2Li~:tC2
rnEnstjel!-; sur 1~s 2 quadrats ct 1~~s dansit~r,
soit a i n s i . esti;,iGcs :..
p?rtj.r d e
piÈ?geagc par mrlrqunge cr~,r,tureœrecap.tl_rrr! e n
grille à ‘;i’l rzl,
L e s résultats de chaque piéc;eaqc s o n t ex2loité:z ~~1 fonction des
pr6cédonts e t dos s u i v a n t s d e &nièrc & estimer 112s densitct: i.lVuc 1::
r:iaxi rwTil de fiabili t6 s u r une poyul3tion q u i est wivio d(: ct!tte iEni&r;r
d e p u i s oaût 7976. Cette technique nst comp3.Utc>e par des captirus eiy
grille et en ligne, 0U lus animaux sont sacrifiés, autopsiés, llE:r:ti-
vit;:
soxuello notée ' les cristallins pr6lev6s a f i n d ’ é t u d i e r l a
dsnographie 21 p a r t i r d e courbas inodC?les obtenues en &Levage.
- Le? ragimos zlimentaires
sont étudi6s par 1 ‘examen ilc?:.:
contenus stomac:iux d'animaux tués chaque semaine par tapetles (mark
instzntannée) dans des oC.lieux 6yuivalents mais distants, IJnc col.;.ri:;-
tion de
r6fGrencc des 6pidermoa de graines permet l’ii1~1ntificati:1n
des graines darw l e s c o n t e n u s stomacatix, Gtudiiis à la l o u p e hinoczlairz.
- En BlevaJe,
on a établi J.c? quarititc.. de graines n<jccssi:~,:,~~ :
pour maintenir ai; mii>inum les animaux à un poids constant, Cetkc:
quantitcr!
corrcs oond SI environ I/!D du poids vif par jour, L&t;
valeur 02-l; CE?rtZiin@r;d~:i; C,ous
~valu~c y:r r a p p o r t $1 lü conSciiriE1 i;i~;:
dans 12 naturu,
3") Les Oiscaux
..I---"..l.m-M-
- 31 0spCccs granivores
o u pari;ieller,;ent granivores 5C-i
nourrisssnt s u r l e s c1u;idrclt.s; d'Btudc ; 2.3. p r é s e n t e n t u n impact
notahlo sur la production.
- Les régimes alimentaires sont Ctudi45 en sxar:~inant J..vs
contenus dos jabots de spccimens tuOs dans dos zones dquivalenttir;
l o i n d e s quadrats.
- L.a quantit6 dE! graines consommée chaque mois est czlcl.~!.:~
& p a r t i r d u C)!I9 (Daily Irlnergy dudgct) :

*
I
<
Ao> Les Fourmis
.e--.wr-....~-..-
ilespbce la plus importante est, de l-oin, Fiessor gal.1~.
LES colonnes dc rÉ?coltc rûstent en q&nCral ugti fois par4 h, ?CG
nuit 3.c plus souvent, pcr.idant plusieurs heures consScutives.'l:!
four~;7'.11~~res-tiinoir? (don<; les fourtxllikres du quadrat 12 plus ;::;c;,:,
du curn?aiwnt) sont 0bservUos u n c s c ma j. 11 c. s u r de ux :
- L e te m ps w y :: r; de réco.l.te pcir 24 heures est ustim J C:r:
notant l*zctivitb des Fnur6.liBros -ttSI;ioi,n toUtoS Ics 2 i.leurcs Qc;?
jour (7 h et 2% h) pendant 5 jours cons2zutifs.
- La quantit:: C;C~ gzaincs rzrnGn.!(3 au nid oar unit:'J cie ko:~.:.
de r:.coltcz est r:stil7Uc en prClcvant sur chaque colonnu Loutes 1-j:;
graines cntrRnt dans 1-i fourmili&ru pcnd2n-b 10 i,iirjutos.
Cln obtient 3insi la variation dnnuellc r:lc la quantit.j hi;
graines rdcoltacs p a r 1.2s foUri,!is a i n s i (‘1 u c i ç! L e s p h c e s p r rG i e V *.: 2 :; .
Un premier trilan quantitatif 3 bt6 fait pour 1 ‘annGo ‘ii“7C-
73 sur le quadrat de (1 ha,
Il faut mcfAr3 de CI?~& rune espLce de graine qui suii; (jr?
circuit particulier, Ea..;sia tors. Elle est largement doli:inantc rnoFs
elle n'est pas consomÏG5 par les fIu:-jgcurs,
ni par les ûi:;eaux( tu:;:.~-ils) j
elle l'est un ;2[3u par 12s Fourmis (-5 I des rocoltes) m:<is elle I: Cj '.C1
essentiellemont parasj:t:ir: par une bruci;:: *Gtudi&e 5 part
[In es-ti;;le &F ;lroduction C!C graines des espzce:~ herlxcja:;
( en u;<cluent L. tors " ; sur 18 premier quadraE, ;z 2L34 kg/ha.
- 2 l:g/ha a.urzîcnt 8tC consomflltSs par Les Fouri.:is, :j c) i -L '1 , :
par 1:: production ; (fig.?).
.:F le,~f-inQs
-T.
Cora, particulièrencnt productiil ccttc: :3nn:Ge 11 fourni 1 L5Ïi.,:I
h l'ha,

.: ‘7
- 23 kg/h:-1 aurnient Bt6 consomm>s ~CI: les [3ongcur:;,
soit 1 $ ; (fig. 4.)
- 2 3 kg/ha ,n’ont Pas gorm;: x lo s a i s o n des pluicc; 13’7?,
s o i t , *’ Y4 .. c.- lî
ic,; 3roouc
‘-1’ ILO: ;
o n t d o n c germ2 p o n d a n t .l,a szisor; Lie;
p l u i e s 1979 p
produitos
à l a sûisol‘i c l o s pluie:;
1973,
- L a nouvcile stratz herbacc:lo
‘1 3 7 3 rF!prGsonte la ~C->r:.li~‘?Z-tii
jusqu ‘21 rmturitb do 1 l<tj/ha L!V graine:; seulclqorit, donc moins I-J:.: I,
dc s graines Produites A- la saison des p 1 tl i e s p r d c Çi d 0 n t ~2 53 ,
E n rEsumé, 150 ;d du poids des graines produite:; a ii I; j CL:;
consomnC au cours de l'wnnÉ:e 1970-73, : ,i a suffit au r~?nou,~oii.i.ii;e!iY
d o la s t r a t e herbac6r. 16 ;- des graines reste disPonibJo pour 2-e
Cl/ClC 3YlllUEl StiiVant et S D r a j o u t e a u n o u v e a u :;toC;k d e graines ; > 2 <j c y ,. ii
a la saison d e s Pluies 1379,
Eprés d e u x anneos d ’ o b s e r v a t i o n , la Position des Rangrzur.3
~C~ÏJS la b i o c e n o s e d e s g r a n i v o r e s e s t m a i n t e n a n t ; connue. l-es facte:i-s
favorisant 1 ‘augmentation des populations, essentiellement d ’ ordrlu
trophiques, sont aussi connus e t l i é s e n derniere a n a l y s e h li: qcr;iJi:
d e 121 s a i s o n d e s p l u i e s (quantito e t repartition d e s pluies\\ ciai
influa sur l a r e p r o d u c t i o n p a r l e b i a i s d o J.a quantite, ot lie 1~.
qualit6,
de l:- production primaire.
Pour une modGli.sation compl&te p il r e s t e h Etudier l e s
f a c t e u r s d e morta1ittJ ; à 13 s u i t e d e s t r a v a u x de;‘& effectuc3sc .‘..c1 #:.-, T
résulLats a c q u i s 9 il s e m b l e qu’une virose s o i t impliqu;io en ~~~~~~~~ ,jiiy
facteur important de la di~ilinution,
v o i r c d e 1 ’ ecroulement des pu;.;:~--
lations de Rongeurs.
C'>st da.ns
ces doux axes : s u i v i d u s f a c t e u r s dc d5va1~;~;~2-.
ment des populations :, e t recherches s u r l e s facteurs de rnoztajii~..
,que Iz laboratoire cffcc;ucra s e s travaux en liaison avec 1’ Ii-12 i;::t~:i;
P a s t e u r de D a k a r , In FavultG d o Science:; de Dakar 9 1:: ~.~US~U~\\ ,j’l{i:,$.;,i.?.
i‘:aturelJ.:? do Paris, la C>JRZ de Jouvy e
n

Josas,-

i
BIBLIUGRP,FHIL
Iulos : L\\ l a sL:ite d e s 1: annses de Travaux de i:. et Y. CILLON au
SGnJgal, 3 articles :po.nt dbj5 parus, Gt 2 h parai-t;re dans la
~'13evuc de Biologie et drL:cologi.c du Sol:'
- Croissance posk-embryonnaire de; principales esp&ces
d'Iules (:-îyrinfjQ&3s, DiplopodE?s) en ?lili.F?i~ ';oucfanier~ au S~R~:CJLJ~,
- E v o l u t i o n snisonniürr e t vitesse dE renouvej-lei>ent <a
la p o p u l a t i o n d ‘1 ules (iïyriapodes 9 Diploilodes) en Gliliou Tropic -1. ~
Ronqcurs.
- r'OUlSt A G, rlU8ZRT 9. 9 F,DAIi 1'.
(,i 379 ). I1ynamiquc di-:>
populztions de :jûngeurs et df2veloppc:ncnk de 1 *Ag:iculture dan!5 2. L‘
zone sahélinnne. C.R,, CongrQs s u r l a l u t t e c o n t r e les I n s e c t e s C;I
nriiicti Tropicale, le partie : Cultures Tropicales, [Iarseille .lr?-.,:;
Mars ÎÇ79 : 773-793.
- HIJBERT 0. p I)Ci.i/!l71lE Y. (1931) le cycle saisonnier L:ES
lipides de rasa rve chez deux espGces d e Songeurs d u SénG~al, t.a TE;L:;;
----*.a
et lr! V i c 3 5 : 55..72.,,
- HUBERT D., COUTURIER G., PCIULET A., ADAPi F. - (IW),
LCS consf.2quences d'un suppl6mer~t alinentûire sur 13 dynamiquci doo
populations de Rongeurs au SCnGgal, I Le cas de Nastom s arythroic:r:zu~:
h.-I”
en zone sahe7o-soud~~nionnc.
L a T e r r e et 1-a V i e >5
‘.-7î-$-73-36.
- POULET A., "UUTIJRIER i;., iiliBÇRT 3,, ADAN F., (:$Xl);
Los consdqucnccs d'un suppl0o~r:t alimentaire su:: la dynamique cio:?
populztions dc Rongeurs au ShnGgal. II Le cas dc Taterillus pyg:lrq;;,;
an zone
- -
Sahelienne. j-,2 Terr,e et la Vie 35 (2)
- HUBERT C. P GILLCFJ 3.9 C,D*'l F, (1981) Cycle annuel du
régime alimentaire des trois princigmles espèces de ;7ongeurs
(Rodontia ; Gerbillid’3e ot Fiuridae) de Candia (56n6gal). IGammaliz,
45 (1).
E n c o u r s rie IlGdûction :
Fluctuations
de la Dynamique des populations do i;ongc~-~rs~
hypoth2ses c o n c e r n a n t leurs r é g u l a t i o n s dans lec ccindi%ions nr: lar;..l JLL.:,.
C e t article s e r a prBsent,l e n juillet 1981 & :‘invers $I l'oc:c:?sion di:
3fZ ColloCJuC sur les pi;tit.es mamrïiifbres africains.

BCTIWITES DU LAISUXATOIRE D'ORNITHOLC~GIE DE L'O.R.S.T.O.P'i
populltions d'anatide:;, leur écolqin et les df5rJBts c&s:Ss u U‘<,
rizi Art?s , serûnt poursuivies, comme annancé lors de la derni2rc
reunion,
dans le delta intérieur du kiger, Cette extensiail g6cLJiz:ir.
phiquc
est destine8 ?1 completes les Etudes deja effectuees :1.:i,;
123 V~!llO~ du fleuve SCni~gal.
Les Gtudes faites par P!. PlOREL et notamment celles rel('1 i:,.i.:'~;s
a la :;urveillancc d'une population d*oi saaux du Fer10 ont et,5 ~ai.~:'-
suivies. Ces recherches nesmettcnt de relier variations clirnati;;ue%;
et changements dans la vkgétation avec les fluctuations qualitati.\\,2L
fi, et qunrltitatives de la population aviairo,
Quant aux trnvaux sur fe fqoinvau doré, ils n'ont pu (Str(L:
repris pour les motifs dé,j& 6Voques dans le passé, en Effet, les
rcchcrches sur la reproduction et ses conditions nBcessiterai.cnt d:.-.
s6jolJrs
prolongGs en I;auritanio ; cf.2 p:2}'3 constituant une zone ;.lurl,iti-
nente et privilégiée de nidification dE: cette cspece.
L'essentiel des travaux actuels du laboratoire d'Orniti!~,-
logic concerne la faunistique et particulièrement la redactio;1 9:-i-
ticllc ou totale de manuels. D'une part, sur le plan loerll, avc:i:
l'inventaire detaillfi dc? l'avifaune du :;&riGgal et de la Gambj.c: .:i~i
rc!npl.7.cera la liste c'tai3lie en 1372 Imaintcnant ;Ipuj.s<Je e.: p!21rir:I,..i:.
0 'autre part, sur le isla*n cnntinental, avec la püri;icipation ,T\\ Ii:.:
confection d'un manuel ~Gneral sur l'evifaun~ africaine, COS tr<.:v.....j;:
qui utilisent les natu et donn6es >lccur6iules à In Station I!rnI.k!->cli.,-.
giquc de Richard-Toll , doivent permcttrc G toute pcrsonna, ~~i3;-l(-:i::!1.'.~:i,.,
r)u non, de connaîtra la liste, la distribution, les donnees I, ,'
(-J (3 1. <r; ( /
i '-I '
! :
-' ,- Ii_. ._ 2
de toute espocc aviennc du continent africain.

LES ACTIVITES DU LABORATOIRE DE VIROLOGIE
BACTERIOLOGIE DE L'ORSTOM
L'inventaire des malr;dies h virus et des bact6rioses du:;
plantes cultivér7s du C;knBgal SE poursuit. L'ann6c 1380 a iité pnrticu-
li.kreinE:nt consacr6e à 1'Btude des maladiss du maïs pour lcc~ucl unr.!
dizaine d'affections ont 6tC signalées dont quelques uner; prBsc;lt;i:nt
une incidence 4conomique certaine, L'identification des virus ust

en cours üvec l'zide du laboratoire de nicroscopie Clectronique 4::
la FacultR des 5cionccs do Dakar, La plupart de ces maladies soi1.t

d i s s 12 ni. n 5 e s
par le vent, l'eau et les insectes, et l'infectio;-, e.\\i;
capable de survivre dzns les debris v6-j6tuux. ;-es m&thodo-; do lii';I-1.
Les plus appropriucs,
sont consti.kuBes
p:lr le nuttzyage Cos d2brLi.:
V6g6tZluX9
l'erûdication des gramin&cs k;ouv3ges, l'éloignemont d;::;
cultures de sorgho qui est un rsservoir do virus et des trzitor,;c;n>r:
insecticides.
l!nc onqubte ~2 ogaloment ét6 faille sur les mzladies :AfCzc-
tant las plantes nûrûfch&res en Casnnance
: les problkncs poçti, ;,r‘i
les virus y apparaissent tr1?s importants,

Ce progrnmiiis initi6 dapuic 1376, s'est pcursuivi encct-
en l$UO par des études sur le mil sur les r~rob?Èmcs de sunsiSil,ti:
tout des ussais demonstrntifs en ;#G,lieu paysan. Parallhlemenk LYS
études traditionnellos ont Ct8 poursuivies, en ce qui concornti 1::
dyn;Jmiyuc des populations Et l'invont~~ire de l'entonof~une k
ili?
moindre dcgrd.
1 - BitAil 3E5 TRAVAiJX REALISES DE 'i/'76 A 'iYCl! 3üR LE MIL
La r6union d ‘Evaluation du programme d'amélioration [!ti mil
tenue B tlambey du 3 au 5 f5vricr 1381 a Btii pOUr nous Une OCCLt:?iL!ii
de dresser CC bilan gOn6ra.l. Aussi nous ne reviendrons pas sur 1~s
details de certains riisultz-ts que
nous avons eu l’occasion d6 j& de
'
prosenter lors des pr6cGdentes r6unions de concertation (voir les
divers rapports de 1976 h 'l98r3 et notre synthèse i.ntitulBc "Situatiti;:
du programme d'Entomologia du mil - ISBA - 6 - 10Ft).
NOUS nous limi-korons tout simplement ici à indiquer 19s
rf?sultats les plus importants qui ressortcznt des essais conduits
pendant la campagne Cc:nulfZu.
II
lu) Piàqeaqo lunlineu;(
En Y9S0, Spodopterû
oxcm tc! 7 encore pullul6 causa13 L; (.: 1 F: .,:h. 2-
tûnts
dGg8tr; sur toutes? les 6&rCaLes, mil, sorgho, maïs,
I- e s cl ii, 0 -s -t :;
ont GtG particuliBremcnt si2vGrcs sur mil. Cette ~3sphcc.s a pr!js;:;tri
trois g5ntirstions durant 1111 saison dcc; pluies, cg: qui s'asi tr:ldui:,
par dcr, dtifoliations

jusqu'ztu r;ioment de lJclpiaison ct même pi2ndalTt
la matuN.tion du mil. Co comport-:mon1; a sans doute :>tti favorisi: g;!:
une saison abondE[nment pluviousc en d6bu.i; de cyc:.eo entrecoupck: :j;;
plusieurs pariodes dc s&chcrssse,


En ce qui conccr,nc Aciqon'd ignefusalis,
nous üvonTZonstat6 un
01. C ’ e s t a i n s i que p o u
adultes o n t 6t6 captur
bitucllement f i n i s s a i o n
VOlS
d f Amsacta
!;loloneyi 9 o n t 6td tïes p e u
s i g n i f i c a t i f s en 1 P .: 0
,’ J Id ,
L e s foyers les plus importants o n t fGtc2 retrouv.Gs e n c o r e c e t t e anf;;lc?
$3 Louga.
P o u r c e q u i e s t d’Aciqona iqnefusalis, l a p o p u l a t i o n a
évolu6 d a n s l a z o n e d e Séfa presque dans les m&mes conditions quo
les années procedentcs m a i s l e n i v e a u e s t leggrenent plus bas.
Ici il convient de rappeler 1 ‘extrérne importance du i%ct ;i.~r
P l u i e p o u r l a levtie dc l a quiosccnco (i:Di)YK, 19kll) q u i est encore
unr: fois confirme.
r?O> Piègcaqe & if:2ssi.ettc jaune
lin assai
etudo d o la repartition altitudinale d o l’enL.or~-
f a u n e a y a n t c o m m e s u p p o r t dos c u l t u r e s d o mi.1 et dc nicbii a u rJ+
CI.,
implante au CNRA, Le tri à 1 ‘espece et 2 la famille dr 1 ‘ensuri;b.l;
des capturas nontrc u n e grande varibtti dtospèccs et. d e far:rillors
appnrtenant a t o u s le:.$ o r d r e s d'insectes,
Les espèces n u i s i b l e s coinrne utiles s’cntrecroisont i.::n;r’-
l! ct % ,5 niatres,
Ccrtcincs des esp&ccs sont tr&s inféodoos j I:I
f l o r a i s o n , d ‘autras beaucoup moins, Lt exploitation statistiyuo at
g r a p h i q u e d e s vCsu1 tuts nous Permettra d ’ a v o i r u n e idGc plus n;:.t-te
d es fluctuations des populations dos differcntes esp&ctis r’n all-titu:iti
Par rü;;Port avec l a f r u c t i f i c a t i o n ,
C o m p t e t e n u d e l’evolution de l’hivorn;Age, les r6su?.tals
enregistr6s e n 1920 nrit i.itf< tres p e u intercssants. Le ni1 en u n e
s e u l e d a t e d e somis a 1evS s u r l a pluie d u 7 aoQt. Les d6gats ~2
Raqhuva o n t étd tïes pou i n p o r t a n t s , b e a u c o u p m o i n s 6lcvr;s qu’en
1 9 7 9 , Les r6sultüts n ’ o n t p a s e n c o r e étcj analysCs, m a i s o n oeuk
retenir que les conditions gdneralos n'ont pas éto tres favorables
p o u r CL? t y p e d’essai P e n d a n t l ’ a n n é e Bcoul6e.
Une n o t e synthotisant 1 ‘ensemble d e s r6sultats concern..lnt
las Qtudos conduites s u r Aciqana iqncfusalis e n Casamance e s t :ii.spt;-
niblc, Nous ntinsisterons
d o n c p a s s u r les détai:Ls. i?ais les princi-
pales conclusions suivantes se degagent :
I l o s t a p p a r u n e t t e m e n t q u e Aciqona a>efusalis est lu
principal foreur du mil au Jenégal.

Le dégât du borcr ds iû tige est tr&s important sur i:iil
et Evolue avec Ic d6veloppement de la culture. Sur ios v;iri:jtCcj
t rûditi onnellas type Souna ou Sanio qui prQsuntent une for-le produ~;-
tioi-i dt? matière sBcho9 (les tiges peuvent atteindre jusqL!'~2 triJi:3
rn?h?S))
18 g6nGration [jeut pûsser touts la phase larvaicc s ;: r, :;
changer de site d'ali:*oniation. Cependant, dans certains CÜS, 1~
sur~30pulation, par sec: offats indirects, oblige 10s 1;3.~vc;s 2 ;>C;;CV,IJL

leur cycle sur un autre support, te r61o do l?. dispersion dos 1::1:!:..,:,
de troisiéno stade osi; sans doute d't5viter ces inconvunisntu.
? *,
AvC!C 1CS
nouVo.3ux prograrIincs
Lit' sdloction aïretés, 12
r,2duction do la hauteur dc la püil.Lc, si elle s 'accompagne d'unl!
rsduction trop fortc du diam$tro pourrait provaquer une augmcntati :‘:i
dG dkglits
cn cas do forte pull~~ation.
Malgré uno grande
variStt2 d'esp&cus entonophagos, 1~: l;a~.~):
de par2sitisme reste ?I;res faible, 11 sera donc necessaire do con(.]t,.f.i.r.;
bien d'autres études plus approfondio~ pour rendra fiable 1~)s pas-
sibilitos de luttu biologique contra 1~ pyrale, Cepondant dores 02
df.Ij?i, les oxp:-~riin~:ntaf;ions conduitos avec du furadan cionnvnt d:.:s
riisultats
satisfaisants,
Le problème dc; 1a rgduction dos populations di;ipausantos
pourraient trouver une solution si 1~ trempage des tiges dans Aus
s CI 1 1~ %i 0 n s insecticides cfficacos pouvait Atre cnvisagge,
v - LC3 F-SS,iqIS
-.
NICHE. (voir rapport d'activités géndral pr6sentb h
la rgunion avec la SODEVfl 10 15 avril 13Z'l) I
Dans CC cadra trois essais avaient 6té conduits. Deux d'cr;;;::;
COS c::sais
avaient un but ldémonstratif et é-taicnt ImplantGs e:7 rI~il~..:u
paysan,
IJ) rliéb6 hatif en culture pure
Cet essai a eu pour intérC?t principal de dG::io:~I;rer oi;
milieu paysan dans 1~. zone de Thilmakho. la po s si bi je i t 6 d;r! 1 a c u 1. t u :r .,
de niébè malgrci .L 'impzct parasitaire trbs fort, 3es essais trZs
simples comportant, ur15.. ;Jarcelle traitCe ct utle parccllo noil tr:;it;Si
0 nt GtC ii,-tplantds chez trois paysans differcnts,
s rwsultats ob!:enus j.1 SC? dtSgage quo d f une manihru r~:),-lc;~~::l,;
13s
de Ci; tte z1Jnt-i ont t;t6 tri:s sonsibilisgs par la pcs~;&i:i,;~.1;..~
de conduipe ccttr> culture de niÉbé. Cn effet & T:2jJr,lakha coml,to tr;;, ;
du fort parasiti:;:X dît 2 P,;ilsrJ.cta, aux thrips ot a-lx 5oror:; dc~ (1 0 1-l .-: ..: !i .: $
t~eûucoup d'entre 1~s CL.llt~~~S étaient 3rrivé; Ci ûbandurlnL:r la
culture de niBb6, La difftironce tr&s a[Jr~'arcntc e'l '1 980 cntro jJc:rc;;.;i1c~
traiti2(:s et parcelles non traitues 9 une r8colte #de ni.&bG dc: bonne
qualitC,
il n s LI r p 1 u s de pail.lc d'excoilente qualit4, ont conv<iii;c;;-i
beaucoup do l'intirêt do la culture,

I l sc dógaqe6I)alement le fait que malgr& la faible quuiili ;.
d'eciu tonbec (Thilmakha, 260,5 mm ; CN/RA - Solo PJ, 516,9 mm) et LI~C:
.
S 2î 1 S 0 i?
des pluias
pratiquement concantrsc en une quarantaine di? ~jours,
une produckion acceptable a pu être obtenue.
L'interet de cet essai aurait 6té nul, cependant, si apr‘:;;
la recolte le paysan ne pouwoit pas garder son produit ou si celtii-
ci doit être endornmag6 par les bruchcs. La conservation en fût.5 a
Utfi pratiquée sur no3 conseils. L'intérêt d'un tel proçede ressort
nettement des essais dynamique des dog8ts que nous avons conduit;
apres la recolte et qui montrant des taux d"attaque de brucho de
l’ordre de 100 t.: au b o u t dc 3 à 4 mois de conservation,
70)
.-
:<ssai minimum insecticide
Lot essai condruit en eollabor.ati.on avec le SRFGRAD (S.,.::
L; ,!; : L
Arid Food Grain Zcsearcl-1 and Developpoment Froject) a tout si [,ij:l ,? ;:.;; i; -t
montr:’ quravoc un rninimus do deux traitcnents insecticide ~VQC du
Décis certaines vari@te~ dc! ltIITA permcttcnt d'obtenir des ror;:ji,::x. ,-;I;,.
rul~tivcsicnt rilevés de p l u s da 16110 kg/I~a, C e typa d’assais nulkL~..~.-
oaux implant4s dans divers pays prr2sonte un immense inter6t [iorir l.2:;
pays cooperants,
PROGRRNï4E 1381
- Poursuite des Qtudes de dynamique do population ci,:;
ravageurs majeurs du mil et du niebe,
- P o u r s u i t e dzs Essais sensibilité varieta.J.c avec les
nouvelles obtentions.
- Essai sur le borcr de la tige de mil et onquéte
complk3mentairc
sur la Cocidomyie du nil,
- Po!ursuite d e s esszis dénonstratiPs d e c u l t u r e d u
niél]G e n c o l l a b o r a t i o n avec la SOI?E'JA.
- E:<ssai de culture associér: dans lc cadre du progrec:r;.i>
- E s s a i s cooptiratifs a v e c l e SHFGRr\\D.

LES ACTIVITES DU PROGRAMME D'ENTOMOLOGIE DU SORGHff
I
DU C/\\IRA DE BAMBEY
. ..~-=~=-=~=-=..œ=”
Les activitss
d u ~rogramms d lcntomologio se sont poursu.i.:ii.:.:‘;
pendant l'onnée 1980 pour l'inventaire des insectes nuisibles et :!OS
ennemis naturels, la dynamique de population et incidence des Fri;:c:i-
paux insectes, 1'Studc da la resistancc varietale pour la mouchu> du
pied, les forûurs do tige et la cecidonyie.
Il est à remarquer quo
la sscheressc pendant la campagne a perturhd non seulement la cr(;is-
sance des plantos mais zussi l'C2volution des insectes.
Les missions ont oté effectuces dans les cham;:s ptiys;:r;s 31;
les stations do rechercher; pour collectionner les i p, s c c t e s r a v c1 q ii ~-.i r i;
e t n o t e r l e u r d6g3t. P~c~ll5lemont, les o b s e r v a t i o n s o n t 6t:.; C~I;~L.:-
p r i s e s s u r les cultivar!; l o c a u x (congnsssnc) e t améliorrSos (C;i 90,
41-ÇC~,
I-YfJ 7056) implanteer; dans Los :;tations de Gambey, Nioro-[.i:l-Zi,;
0-t set%,
F o u r l a premikrc fais, un important dBg3t des iulcs su:: 1~::
ssmis tardifs 5 3smboy e Cte noté, I-cc; csp&ces 12s plus nuisibl,>:;
sont : Pcridontopyqe connani., P. spinosissima, '1.
.---Ca+*---
SP. ct kplothysanus ckupolloi vas, voltzensis.'"Se
-as"
les przmihres pl.uies,
cIne f o r t e popul?.kion dos adultes d e S~~ocjo;.~i;:~z:l
-..
;Ii Gtkl CCipturéc E\\UX Pi%ges lumineu:c et 10s larves do promiors sta:i:?,;
o n t attnqi~é t o u s l e s ossais & pambcy, P, Sfjf.2; 112s t:ol6opt>rcs (~:-~.1~:f:--
-- -a.--z.
dactylus saqittarius) et les ccrcopides (I%ris luhra) o n t 2tZ ; t-, ri’ I
-
-
breux pendant la premicro quinzaine d'octobre, /i la r$me Li;2oq~r:~ d:i~::;
1 ZJ. rrjgion de rjioucbol, une forte &nergcnco do coléoptercs (Shin:/,,i;.lê
-.* c ,-ld...c
infuscnta) d u moment de lû f l o r a i s o n a GtG ~bse;;vi?(> , D 1 :ll~tr~s irjsi.?c-
tos ont attaquu le sorgho mais 1 finfp;tution éf-ciit m;)d4r&, ~~o't~~i~l~~lil&Y,
p o u r l a moucha d u pied, las foreurs do tiges et les punaisas, ~sn-~hr:-
ridczs/n~labrcs,
chenilles dGfoliat~&xs et CGcidonyies, alors L(UC2 i;t
populztion d e s ~ûuteri.~~ux/cri.qucts,
PIJ@FCJ~S, forficules, chenillées
d’6pi Gtait faible.
A f i n d’évaluer l’irlipact 6conomiquo dc 2. infuscata, l e s
Gpiu dz CZ 90 ont 6té infcstr:s
ûrti f i c i e l l c m e n t 75 9 15, 30 adulke:;
p a r cpi, 16 répétitions), La perte a 6té calculz<!o 81 l'ordre de
3-13 ,; 4 base du rendement par Upi.

‘ ,
.
'!) Rouche du pied : Le pi6geage de la mouche du pied Atheric~,::~~
Spp, 3 Qté poursuivià-l'aide de l'âppat de la poudre de poisson,*----
fi BamI-iey9 les piègoages duront toute- i'annbe alors qc13 Nioro-du-.,ip,
C,Sfa, Fanayc,
Louga 9 Fi Édhiou ct Sinthiou-Galèn~e 9 ils SC: r6sur;etnt t.:
la saison humide. Le pourcentage dos males captur&s, pour lPens:.:rr;2J!.2
des endroits, était faible (3-12 t:.). j..iï population do l'insoct~ v,....~i;:
on fonction du voisinage de la
culture ot lés c:onclitions cl.i~naCLli;.~~:.;.
1 .
I_ ii IJ i~S~iO~.:S L;(; pojju.l;ition iht:(i,.: :!. , si? b;itlJL:j;.k (;:j;(]r[~c >;uj.j; :
$3 SGfa - p .r e r,ii è r 2 quinzaine d'août.
La collection fait!? & Sedhiou et
lE?S LidlJl tC?S d’kthericm.
L'idr,ntification
de 75 os.?àces
,; p2rmi. lesquelles les
, A-. linoata, 5, -
rubricorriis, -:-: ,
*A -
A Sanboy, l'incidence de l:.? mouche étai-t naxirwm (40 'i' ::..::lr;&?
.À v c c pori12 2il <-: :.!1:illir.L! :!Ver; cc:::! !lr-~,~ort) s tir 1~; cj
4 , '.l ,Uil. A Sefa, 11infcst8tion sur tous
cultivar Congossanc s’e5t montre plus
cultiwars aniéIiorés,
2) F o r e u r s d e ticle- :L'incidcnco d e s f o r e u r s 3 S éfa aux 45a vt ;y:;&
jours apr:?s lev8e se chiffre IE-20 $ plante avec dt5gâts feuillage
0t 7-9 ;I plants SVCC cuzur-rnort s u r l e :3cnis d u Fy,.8,5Q. La dissec,t;iclr;
des
_
tiqcs post-récoltn 3 montrr? que Sesamia était plus important quo
1 es kîutros foreurs nota;.!r?Xnt
congossane a hGberyl
la population la plu,s' importante
s par IOC) tiges) par
r a p p o r t a u 7 7 4 3 (B-12 larves).
5) Cécidomyie : A Dambcy,
la période de pullulation rlc l'ir:scc-t.~
SC situe pendant la dleu::i.+ rnc scr;-laine de r;iai. (103 $ épis attnqu:;s <:.*v;..I.:
l-12 2dultes par cZpi.>. A p;lri;ir do fin juillet, les adultes n'ont; ;.:I~:I
6té observes e n r a i s o n d, la non-disponibilité ,rl'épis en flo~~.i::;;.!.
[Jne faible population z et? toutefais re;narquéti de mi-octobre h i.;i-
d6ceni;bre. L a s parasites (Tetrastichs, >u pc2 i mu s ) p r 5 se n .i;ai ~3 r: .t an!? ,t, r 25;
f;liblt: population il la fin do saison.
III - CLEVAZC 3;:s 1',;Sz[:TES AU LAig[]i7ATQrijL
1) P a r a s i t e s dtismQaux nuisibles : L fSl,vagc C!G~ insccts:;
WI--
nuisibles aux diff6rents st;:ides du ç-JGveloppcmen-; a pc,!rmi d’o~~scrvor
l a sorkie d o s parasitas suivants :

4 moptèreJ2-
~nnteles syleptae .w
Tctrastichus atri.clnv_.
-...a.. u
T-. dipl-osidis
-
-
-
iYprostocctu_s, Sp
CU/lE!lfilU!3 jIOpC3
..m
EI-, australicus
-
-
-
Trathala f l a v o - o r b i t a l i s
P--e
-a
Fristomerus S p
-1-
2) découche du pied : Les coeurs-morts de mil, sorgho et m~uv?i~:.;o:~
herbes ont GtQ rfiqulZ&rcinent
_
coll.ectionnGs et incubf2s au laboral~2:rc
en bonnets de plaskique, [-'os~$co dorninonte sur sorgho est Zthcri;~oi;.i
. ..--A---
socca ta
-
-
- avec un rapport de sortio ,par scxo 1 mâle : 4 femelles. ;:;A
E?S~.j~CC (7. été é g a l e m e n t :>lc!v6 sur Pcr;nj.s&,Um tyg,+oirjes 9 9, 211~iccl~1 II..:.:-~
---.--Y- -
et ßrochiaria 1;~. Lco agitées espUces rencontr6cs sont :-L;I~IJ;..I.:.- -.-
fols ct A t h c r i q o n a sg, (7). ‘juelques rnouchos (,z,iopr;i 3pp) ont?:.
collectionnGes des CCOULS morts du surgho.
IV - 5-T!JDf 3C Lr-\\ RESIJT;;iJCE WARIKTCLC
----I--w-
2) foreurs do t i q e : Dans uno pt5piniiro intornationala ",'l
\\ L. i
i: p( :4 ;:. '; > ,
implantbcs à SGfa, l e s o b s e r v a t i o n s prizcs a u 4!;6 <jour dr-= l a lus~!!,,
montri?icnt une incidence de 6 S3 25 $ p 1 an t c s 3 v F? c d é g â t f e ci i .I 12 iJ f c! ii
de 1 S.. 9 i,: plantos üv:?c coeur-lmort, Ler, cntrc>es les moins 3ttrl;iIl;io:;
Srjtlt
: IS 1 1 5 1 , IS 2%[15, 15 G04.Q. A p r e s l a rGc0.l. tc, 13 pojJulatir,n
l a r v a i r e btait i m p o r t a n t e ( 5 0 l a r v e s p o u r ‘100 tiges) c h e z 12 ‘30ngi.j::-
sano (le t8moin local). L):ins l'essai rZgions1 contenant '16 entr;)c-:-;
les o b s e r v a t i o n s ( 3 0 , 45, 6C jours de, la levée) ont montr:: r;I; i:
plantes avec dégats
feuillage et 3 9 ,', plantes avec coeur-mort, iür,
entrG% If; 2205 et 27U-?4-l-1-? ont Gté retenues.
Pour 1'8tudo de la prsfbrence dz l'hôte des foreurs, 2 VG-
rietus de sorgho ont r:t6 semQos e n association avec 3 varietes d u
mil . i-os f o r e u r s nciqonn
ont préfer 10 mil et les Yesamio le sor;;1?3.
I-a d i s s e c t i o n post-récx;e d o s t i g e s 1n1o pas indique unu diff5ronc.I
singificative c o n c e r n a n t las t i g e s attayudss (33-3’7 1':) ; m a i s 10s
. ,I ,.
var1~t2~2s congnssane ot !IF4 10X unt ht:bcrgC une population de fora:!Ir:;
d e J.tordro d e 30 à 40 lnrves/~lilL t i g e s par rapport & la vr:ri:.iL...:
95.40~3 (Ici larves).

.-, -c
a:. :
3) Zécidomyie : La pG;jini-:!r@ intarno-kionalc (15 ontr;:cc) imp.l:.-::;.:33
à Sufa a indiqué une incidence du nuisible assez fort - C7 ja Ai:>
attaques avec 1 - 5 adultes P::Ir Gpi, 15 /.' dpillets et 311 ;; gr::i,.l:.
infestas nais, très peu d'lpis Qnorgés k F? r di v e me n t. ont ~1 te c! ?; tCzi '_, i: '_ 13 L>
A gambey l'incidence du nuisible, utait presque nulie,
tyiZlE?3 d'inscctzr, Au 26 jours ii, la 1 f? v c il? , l'incidence de 1:1 ~loucj.;~::
du pir:d a 6t6 notG do Il li 14 /d plantes avec ponte et de IU-ZO 11
plantos

Zvec cocilr-mort,
Lfinc:ldence des chenilles dufaliatricus ~1
-: t 6 ,-, 0 JC [: 21 3ambuy (74 id plantes attaqu6e:;, 5 larves par planto).
L a s entrtles qui r\\‘QiJt pSS subi d'attaque sont o CE 67, C;GIRL- i;;;- j f
CE 1'11-6, A612
x 68. 29, 3obo ilyo, 74'iO.SS,O51.g3, A512 :( 75-i,
CE 'I!?l-24%A2,

ïÎN IOSG x 68,209 7351~VÎ5, ci: 151~262-k, CE 'lcL6:,
C[I 1,5:?-SO-PL, ZIO-P4-1-1, I: Sufa, les forau*s ont attaqux 3Y L) oI;
2% y, plantes : dCg3t f e u i l l a g e c-!t coeur-clort respcctivem~lt, izcj
entrr?eç montrant moins de '2 y< d'incidence sont : 7603,Cl36, A 6,i:? ::
75,;,

IS 2TO'i, 7kID KW,, 74'IOO.47, Ci_ 151-348-42, La dissection do::;
tiges a :iiontrrj quo 50 ;] tiges ont GtG attaquees avec unc doneS!-!
larvuirc de 1 7 l a r v e s par Ii3 tiges, pourtant plusieurs ontreos n'ont
L' eu d'ottaquo. L a cdcidomyic 6tait prcGsente ;‘: SGfa oiJ l’irlfe :; t ;:a -
F?in ?Ittcignüit 47 ;Z s :Jr CIpis
e n f l o r a i s o n , 1 0 i:; s u r hpillet:;; ot
20 ;s s u r g r a i n s . T r o i s entrzes : 11; 12660~
SGRIL-FiR-1, /'Y 61? x
17175 o n t montrE noir,s d’attaq!ie ,Quolques entr6ss s e u l e m e n t ont ,I ::..;
rQcolt5es et le rzndemcnt par opi a été compare, Les entrees %j</-::i:-
I-l-l, A 672 x 74-34, 7'kIO,'I40,1,2, TX 2766, 74100,82,3.1 ont don~i~i
les ror?i.dements les plus Uleves.
Pour l'ensemble des insectes rcncontr%s, une vingtaine
dr entrtlec
o n t Bt6 f i n a l e m e n t r e t e n u e s (T x 27’73, 3pU-35, IS ;C:Sii’l 9
<I 41% x 63,299 CE 111-6, ci 15&3-w, ;:ij ,)O55 x 46,2!], 74~0:1,62,
CC 15&5OPL, i:E 67, 7X!?, CE 30, 9obo :iyo,

TX :!76'7, A 513 x 7:7,;,
741~~,~~,051.03, CE x IPl-241:-A2p 1s ~~3556C,
'ï' 5 , 4 136 3 p Y G 1 Y? L -i 'ii< - 'i ) ,
Iln raison d’une faible infestation dos nuisible:;, c e $ e n t r 5 rJ ç :J g r f-1 j-j .I;
testLies à nouveau durant la prochaine Cl2 il1 23 (3 n L? il Il L! :L C 0 n fi r 1% t i o il ,

LES ACTIVITES DU PROGRAMME D'ENTOMOLOGIE DU RIZ DE DJIUELOR
(prcsentQ!zs
par Etienne)
A - IlJVti\\iTAIr~E
EVTCP'i~~LOGIc
sGm)9=-w-----L--
DK L1AGROCG5TiC3e DU RIZ
-se_-----
-"-------------.---l----- _____
-.------.-------------- __________
De nombreux: ochantillons d'arthropodes appartenant au;<
nuisibles du riz (ravageurs ou a leurs ennemis naturels (i:ntomo-
phagns, prodateurs ont tlt:5 r:ScoltGs, determinés et r;iis en collet-
tion,
Ces donnees Sorlt souvent nouvelles pour la Casamanco et
concernent notamment :
,- ,
ii - Pour les rawzgours 9 difforcntcs esnbcos d'acariens (? CL:-
pèccs dont une mentionn:Je pour la prcmibre fois du Continent Africzi:-,
-* une FICIUV~~~E espèce d'2liqonychus), de Chrysemelidae, AleurodidiY,

,_
Cicadcllidae,
et Delphaciclne .
,‘i ‘7'_ - Pour les entomophaqes :
a/ - Des foreurs :
-I.weI-m.,q-*--
des parasites du stade oeuf dont dos Trichoqra::!i;l;;:2
obtenus cio Chi10 c t S ci r po pha ga
i.3 t 3 es p &ze o n ~1 u v :: 1..:. :;
de Tolononu~elir,nidae) inféodr;es ch EI c u ne :; o i -L ,A i-1
-.T-"
- diis para31* t e s ovolarvüires :~VCC d o s Phanorotorna SP
PU. 111_.--
obtenus do Chilo,
.I -....Iu
i.!ali’-irp;-l;!, Scirpop6ac]a Et uns c’;,.:‘;~..:i?
nouvollc tic ChelonÏYi"F
M--v ~~????î.rpophz~~~.
- des parasites du stade
Chrysalide avoc un TetrastichL3
z (iulo;Jhidac) obtenu de Chi.10 diffusili.nKP--
-
b/ - Des Diotkres nuisibles :
--.-,,-i.----,-,,--,,,,,
AVE?C CIL!S é c h a n t i l l o n s d’Eulophidac obtenus de jjl~:l;~:;
de Diopsis thoraçica et dr0rseoli.a
2 oin si que 22 c,
C.IiapriicG parasites d e l a r v e s d!G’rseolia. T!es pupz::
diHydrellia ont donne des iulo~mac du genre Tetra:;-
t inl'üF ;J-t;c]o c;
-IL --w--_c
Braconiduo du g e n r e Opius,

D'une faGon gén6ralo ces prelèvements ont mis k?;:
4videncc le présence d'especeo nouvelLes ct parfois ri&,...:
de genre nouveau pour l*Afrique, Ce matcrie etudid ar:tu,;l-
lement par
dilUrcrs spécialistes permettra 9 esperons l, :.]z:-,::,
u n ;xroche a v e n i r , d e d r e s s e r un .inventaire pr6cj.s d.2 1 ic.:i...:;~-
mofaune du riz c?t plus particuli2remci:t :
Lo taux d'attaques a Gtti p o u i.mportant p o u r le
contrBl2 cffectut? au moment du tallage. A la maturatioi-1
le
contrôle pzr dissection pour chaque varidttS de 4.0~
tiges
x 8 r;ly,.jtiti.ons a pcrrniu di! montrer des riiff>rc,li;:..
significatities dans 162 taux cllûttaque~; des varidt:;o : ,l 1 2

* <% k I ,,a , _,
en comparaison, C 'ast ainsi que 15 vari.jtGio II\\ ~15;:~-(;i:[]-:;,
If? 1 i33.0-5:!-2 -4-I et Or 51-IIC-2 se sont aw4rOe:; 10s r.ioirl-,

attaqubos. ILE vari6tG Er El-46-.5 est sigr~ificativement ,iL.::-;
attaquee avec un taux de %'L,!1 ::I ot la DJ 684 D wtant; :3jerj:-iiw
ficativenent Ii2 plus fortement infestée de tou,Gos avec L]~T
taux d'attacjuo de 31 ‘5. L’otude du comportement variCGtu]-
du riz en chattlp mgrite d'etra poursuivie, Il conviendrait,
cependant, de pouvoir confronter les r6sultats on cha ii/33
par une otude des mêmes varigttis sous infestation contrh.I22
afin d'avoir une idQo plus prOcoce de la scnsibilite en
résistance
tries d i f f é r e n t e s waridt:.ls 2 1’Bgard d e s borsrs.
Ceci ifilpliquo la mise ':n place d'un Glevsge de Chi.10 &:n
l a b o r a t o i r e p o u r pouvoir procbder à ut-e t e l l e etude.
F - @X~'J-J~-! CCiNCi:i'iillXJT LES INSECTZS MIJISI~LES DIJ SCJci
------------== -----------.-----------------~ _______
- ---. ---~------------------------===:=~=.==~
Une parcelle de soja d 1 e n v i r o n 3 :1 i11 m2 de 1 a VC! -1% i ; :, .I
ISRA 44 A/?:9 I 6tG tanuo sur le plan entcmologiquo Li li.
S t a t i o n de LI jiSSlor. Les prer.lièrcs
observations C!C. cott:,
annCe ont rnontr6 grossierement [qu'il y avait 2 ;3robpi!5
d'insectes susceptibles d’Qtrc nuisibles au soLja :
1/- des z!6foliatcurs q u i s o n t ropr6sontés p a r des cheniJ’&:;
a p p a r t e n a n t ;I: ]pl.usieurs cspOccs de lepidopteres a v t3 c
Siacrisia pl!nctiilata 9 S pi.l(~SOiilLl immaculata, Ut~:tl~~&~

.d
-
-
pulc.hcl~,Cooliadc:;
forcstan, ~podopta~it~reli- ct
Pyremeis
-
cërdu:~~~. -
-m.-e-....

-: ‘j
%/ - d e s p i q u e u r s do g r a i n s avec des Hdt6roptGres
54 ;J j3 C! r -t (2 1-1 Y.1 .--t :
a u x genres P$ioperus 9 Cap-tosoma e
1-13 c o n t r ô l e d e cette ann6e n p e r m i s d’avoir L!n:;
promi&re iri:Je dr?s ravegours
uusccptibles d’21ttLlC.juI!r
1C s
o j:3. Ci: 2üS3iilanCE. I l c o n v i e n t 3e poursuivra c.:t
i n v e n t a i r e q u i e s t i’or cc?mont incomsle t a p r è s un0 scui,
carn;xgne d ’ o b s e r v a t i o n e t dûns d e s conditions Jo cu;. ::.:J::.;
isul6e q u i , probCiblcriient; > concourent h sous-es%iGwr
1~ problkmc insectes dc cctto cult,Jro,

LES ACTIVITES DE LA SECTIO15! PROTECTION
DC1 CDH DE CA?IBEREfiZ
(kr. ~ollin,JlLtood
- L . . SLJU~dOUXll~ -
1 , ‘i . 5 nventaire d e s r a v a g e u r s
deperissement prernat~~r9 d e s p l a n t e s . C e t i n s e c t e e s t probablemen2
o r i g i n a i r e d e s E t a t s - U n i s ou i l e s t surtout connu comme ennemi do:;
c u l t u r e s o r n e m e n t a l e s - chrysanthemo e t gerbera-. E n 1 9 7 0 , i l est
sign33.16; u n e premihre f o i s e n A f r i q u e a u I’onya où i l a u r a i t et6
i n t r o d u i t a v e c l e s b o u t u r e s d e chrysanth?me ve;lant tJ@s iltats-Llni::,
p u i s i l p a s s e a u x I l e s Sanarios, I;alte, e n Europe n o t a m m e n t o n F-ï%;,::;3
si; EJTI Grande Bretagne s u r
boutures e t fleurs COUP~~~S, 11 attoinl;
e n s u i t e l e s I l e s ;lauri:c e t l a iieunion e n 197F3,,
L ‘introduction do c e r a v a g e u r souleva, lin:: f o i s encoy; 9
1 ‘urcjf:nco ,je l a crea-tien d’un service d e quarantaine p o u r toutu
i m p o r t a n t i o n de rii2tericl Vi.\\gCt3.]. .
1,2.,i,
Huliothis arrr.iqc!r.%
-
-

..-;
i,?.2, Cryptophlebia leucotreta
- c
J, l'aide d'une phBromone sexuelle de synthosc (m6langcz t-_.
2 isomères géamktriques d'acctoxy-l-dod6cGne) fournie par l'IF?;?,'\\
( France ) ’ nous essayons r~'~tah1i.r une corrélation entre Le nombr:;
do nCIles c a p t u r e s a u Pi&ge 21 glu et las ddgâts sur poiwron, Zr,
ISZO, la phéromone a
permis un suivi précis des vols de l'adulte.
lin e s s a i vienk d’etre mis en I?lace pour comparer la r!is:!.B-
t a n c e n a t u r e l l e a u ,Thrips tabaci des varietos d ’ o i g n o n retcnlJr?s p;::r
1 52 c * ,3 , j-1 , p o u r .lrur productivitr~, leur tolérance à la chalcu:?..,
1.4.
t1 ç s a i s “insecticides”
‘1 ,4.1, T h r i p s t a b a c i s u r oignon
-.-
Un assai viL1n.i; d’etrc inst-ilJ.ri p o u r t e s t e r l’cfficacit~, .J;
divars insecticides contre Phri.. tabaci sur ViJlet de Galmi, vir:r!. .-1::
- - .
d'oignon sensibie aux aktaguoe de cet i:lst7Cf;e, Insecticides .!;eoi;,?.:, ;
acGphate,
dirGthoate, quinaiphos 9 endosul f a n , diazinon, malat,hion9
del tunéihrine.
Cryptophlebia laucotrcta sur poivron
? ? ? ? ? ?
? ?
-.a
Les chenilles do c e lépidopttirc p e u v e n t c a u s e r d e s pcrt,s>;;
trbs importantes, allant jusqu ‘2 GO-70 ;J des fruits de poivron o il::
essa* sera mis en place, Pin avril, pour ktudior 3 doses (Ii fF‘fjror-, ‘;,:s
des 3 pyrethrinoîdes d i s p o n i b l e s , doItaml~thrino, cypermuthrinc oi;
fenvaI:.:rate e n c o m p a r a i s o n a v e c llaci~phaLc et 1 fendosulf2n, <os
cheniLles s o n t difficiles 3 detruirn v u l e u r node d e v i e exclusLvc~;<:;-~~;
endocarpique.
1.4.3, Helicthis a r m i q e r a s u r tomate ( j a n v i e r - m a r s I’W’l ) :
pulv.
clas’sique
EIut de l'essai
o comparer divers insecticides chimiques
pyrgkhrinoîdes - deïixr!1:.‘thrino, cypermuthrine, f'cnvalératu -? avol:
u n organe-chlore, l’e~dosulfan, u n organe-phosphor6, l e pyridaphc.,-.
t h i o n e t d i v e r s e s spkialites commerciales de Bacil.lus thurinc$aq:;i.s.
--.--a
S e p t a p p l i c a t i o n s o n t oto effectubes a v e c u n puiverisateur r‘~ do.3
à prc ssior, entretenue. i:lles svaient lieu chaque sem;jj.nz ~ ~1;:s 1 ';;,J;)::--
rition d e s o e u f s , e n v i r o n 3 s e m a i n e s aprks l e repiquage.

3,8
!
390
I
!
4 , t3
--
I?em/test statistiqua 0 ppds (5 ;:I)
.I;c!s riJsultuts confirnont la tr&s bonno ~!ffj.c::lr:itG dE?s pyrGthrinol:li'~:~ !;;!:;I;L.>
!i.
- armigera ainsi quo de l%ndosulfan.
*si lc pyriaaphenthion n'est pks trC?s efficace vie-&-vis d'/-j. dri,li~er;,
il s'est par contre réw61é E3xCOllC!nt acûridc, supprimant quü:i %o talr~r.ir;i-i$
1 e 3 acarions sur lec, parcallos traitces 'avec cet insecticide.
Le ûac.i.llus thurinyiensis r*ost montr6 pou efficaca clans la lutte ~ ,_ .'. .,
?
L. u ,
/
1, -. -2
;j. armigera et
effet acaricide.
?????
- ..e

1.4.4. lJ,cliothis armiqera sur tomate : technique U.L.W.
Un essai de lutte contre 1-;, armiqera East en cours à :jjic:.i
(Sodor) pour tectcr la kechnique de pumrisation i3 tr&s bas "&,::l'~
(U,L.!'.) dans les conditions do culture do la Rugion du Fleuve I;!.,-i.:i:. 1, 1
e t v:;rificr l e s rf5sultats
_G
obtenus au CDi-I avec cctte mdthode.
1.5, kissions d ’ i n v e n t a i r e e t d’dvaluation des dégAts dus a u x je,,; .i::;.;,.L
et champignon:; en Iz;iC;iira;3:ncs , S6nr'Jgal Oriental et ZCgion du FlegViZ,
1 .r:, Sortie de 2 f i c h e s illustrf5cs de vulgari s a i; i 0 r3 c 0 ri c e r n 3 il -L 1. i. :
enner.zis
d e l a pc,iiwie dz terre et de 1.~: toinnto.
2. _
Ih~to;atholoqi~ (E,F, Loliingwood)
2,%. Ctudu de r Ssis tance vari6taio
comptages
et; observations phytosanitairvs sur toutes 1~;:;
vari:>tGs et le rnüt6riel g6nGtique introrll.:Its
à la station p o u r lu!.::
rosistance aux differentes m a l a d i e s cryptogamiqces
et aux nt:ï;laU:;;di;.,:
à galles,
3 .3. nrugrsmme
t~[Jm~liorc!tion” - rcsistancc a u x m a l a d i e s
e Tomate
: amGliorati.on ~OSSO~, Poursuite de la sélection gO~-;i?l~,-
gique et expérimentation dans la rigion du Fleuve d'yne nouvelle
variCi’c6 p o u r l a conso;:ve rr5s istante a u x ilématodes à g a l l e s (i:eLul:lo-.
gyne sp) e t a u fcsarium oXyei)orl~rii f.se. lycopersici p a t h o t y p e 7 ut .:_s
-
ÏOiTlatC3
: Am6lioration Xoeurck 1 RabCi; - Il3tsoductj~i m un croisi:,mun.t L;J..,;
dcs’vari.CtGs r4sistante::; a u x nérnatodos d u g$ne de rlsistance zil
Ploloïdoqyne sp. dans la v:lriété de tomate adaptée à llhivcrnugv ;~o;;;,ir:<.
1 ;\\laiyo t.
2 .h,
Etude d ' u n e "malaIJ.io d'origine viraj.ci' (symptfiws de l*]'::Z :
Tcmato Yolloü, Leaf Curl) sur tomate.

SI
r;
L . d .
eItudc de l'agent rcs;,onsnblE des "racines roses" de I1oignon
cl û n s 1s Gandiolais.
3
,-. 6.1.
ConLrRlo I?hyzactonia solani sur pomme de terre
-WL
Fongicides teotbs : 1: Cl!!?, captaf31, iprodione, pyracarboliUo,
Thioohanate-éthyl.
2.8.3.
Pourriture du col.let des racines sur haricot
Plusieurs essais ont et8 mis on place, Fongicides tast:ls u
captafol,
thioF;hanate-ii,chyl,
métalaxyl.
2.6.3.
Contrôle de @GudoperonosporG cubonsis sur imelon
Un essai a 6trI mis on place. Quatre fongicides clossiquo~:
ont r<tC testés : münBbo, :-,~ancoz;jbc, capt:-ifol, chlosothalonil.
2 .6,4. IJn essai de contr61.o du Xünthanonas vesicatoria
(1,1;3.l~~iiiC!
bactsrienne) sur t 0 !ïlct te 0 J .i; ‘J r CT v U 62 1-1 “hi\\Er+‘.
I

-
CI
L , 7. r..
'!1 usieurs essais (1~ phytntoxicitti ont Gté mis 0,~ place: L;U~ i;:!..:'L.-;
on p"pini&ro oour tester diverscs combinaisons de fongicides ut
d'irisccticides.
Assistance ot suivi du progromr,le de production do 1.3 toi:l<k:?
industrielle dans les p::rif~lbtrOS de la SiiLD : Docteurs de ~o~:iio.!.
(30 ha), GuOd6 (40 ha). ;;aya (30 ha).
2
Con%r6le phytosanitairc do la production de scmenccs do ois:.ti'i::
?? ??????
de terre en collaboration avec la section "'multiplication do seno!~c!, ;
suivi rSgulier
de 1'Stat phytosanitaire dos pnrccl.les de r;lulti;2lL-
Catioi? ; mêmes observations effectuees 2 la Station Horticole i. j'+:
Sangûlkam.

Ces essais ont pour objectif le cfioix d'irisecticit1es ooir
la protection des seccos d'arachides contre la hruchc. ils onk EttS
faits dans le cadre d'une convention entre 1'Institt~t :$negalz!is GO
Recherches Agricoles (I.:,.E.A.) ct l'Office National de CoopB ratio
et d'Assistance au Deweloppement (Q.;~;.C.A.D.),
Les expGrimeritations ont ete faites r'e p2yrier & Juj,ll(; !.
1360 à Bambey et dans le %partcment de Ttiiàs et comportaient cIeu:
types d'essais D
1/ - Essais de com~ortemcnt insecticides en poudre et CI-~ l.ic]~ii u
a v e c l a cyperm6thrine,
l a CiQcaméthrine, ltti!tr.imfos
eL l e p~rimiph~3:~
methyl.
v - Cssa.is de pr6vulrjiarisation en plein eir et az magesi,is
. I
avec la decamo thrine, le mti t h a c r i f o s e t l e pirirniphos rn6thyl
L e s r é s u l t a t s o b t e n u s n o u s p e r m e t t e n t . du me,ttre 2 l a d i s -
position de 1'!2FlCAD de nouvelles moldcules pour le protsction des
arachides contre la bruche.
La PQ camé ti?rine
Le Î$ thacifos
Le i.:irimip hos mGthy1,

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F\\ - ESSAI DE COMP[lRTI:MENT D'INSECTICIDCS SOUS FORME
2E: PI)UDRE A POUDHER
-
-
I- OBJECTIF
Tr?s-tc!r ou (:[jnrirmEr l'efficacit6 I!n comp3raison 3V(?;; 1.:.
$JexionR
cjt?s
spkcialj.*$!s
suivantes :
- 1'EKAMFT
- le RIPI$RD.

II - LIEU - CNRA Ep,MI3EY ,
III - I~.~SECTICIDES ET DtiSCS - PERIODES :
CypernGthrine (Ripcord pF' O,q F:I) 5O.C g/t du l4/c13 au Î<'.;-
E thrirnf oc;
(Ekarnet PP 2
$ 500 g/t du 14/33 au 1:; I’,
Brornophos
R
(r.J- .
~XlOll
PI) 1
y,.,) 500 y/'t du q4,'03 au si ~!;,/? u
IV .m /$YENS
Les insecticides sont rnGlang6s pa.r brassage S 5 tonn::s
d’arachiiies qui sont nises ençuiti-; dans
t&iiCjuE s CIE
5 tonnes,
v - RESULTATS
IJ~ note une bonne protection en surf'oce
et u n trLs mdu~~i:i.cI
coixportement ocj fond des silos, L'Etrimfos et la C:yperm6thïi nr;
rcstcnt ûu meme

niveiau que 10 Bromophos, notre rSfErCncC. Les aiTa,-
chidcs avaient un taux de bruchage Je 20 ;: eu &Part d'où un c!-)n-
LriYle dif'ficile ce I'infcstation,

41
1 - Oi33CCTIF
fiudo ciL.J comportemci~t de dive:::; insecticides cn pulvir.j.-
üation liquide Ci bac; wulumi? e 1’1 ?I~I? do Lr a,i t e r le :; arachides p e n d ::r;+;
1aUr mise en place au niveau C!L:s ba.;lLies transporteuses,
II - LIEU
2. N .R *A . Llombey .
Le t;roitament 3 é t é f eit par u n pulvt~risateur & moteur <,‘J
fur I-:t & mesure: d e lf’i!coUlement des arachides s u r u n e bande trû:‘lC.
/
<a-
porteuse,
AVCC l a
pulvérisztizn liciuidc, nous ~VO~IS oi;tc!nus de ~C~-IS
résultats a v e c d a n s 1’ordrC 9 j.a dtica,mÉti-,rir,e Y la. zyperr;$thrine, 12
pirimlphos mtl! thyl.
Dans 1 'cnsemhlc 9 le taux du brûchagr n’a, pa.s vari du i-;:i.,~;:J
de [; ;$ e11 3 m o i s d e stl,ckage o t sans aucun traitement cl 'entru Lier.,
ijans ce :zns il faut n o t e r l a grande performa,nce d e s pyrQthrinoPr::s
dCca$ t h r i n c e t cypzrm6 thrine qui l!~algrG
un taux de brochage G~EV:.,
d & s arachides au départ, (23 2 28 ;Ii) ont iílûintrii;U .Le d6veloppemont
do l’infest~~tion dans l e s proportions correcto.; 4 5 9 7‘
La protz Id-
tio;: en surface et dans la 17iaSSe est tr&s bonno, rqa.is lés ba.rdis zt
le fond restent difficiles h prot6gcï
COITirTle dans .ia plupart des
essais
- .
L-2 pulvérisation liquicie
:;out tSkre testrle au niveau L i;rl
u t i l i s a n t I-e décamCthrinc SI 0,25 pprrIp la cyperm4thrine ;i 12 ppm P.{;
le pirimiphos m&thyl 3 8 ppm.
Ii sera n6cessaire dlassuror des traitements de coUvorl:i:ri;
pour une meilleure protection
surtout en plein air,

ESSAI DE COYlPORTEViENT D'IN3ECTICIDES EV POUDRE
EfJ f'I% b'b El4 FiRXL
RGgion de ThiGs o
TBmoin non trait6
II - iO\\'EN~
*
Formation de !I tas de 12 tonnes avec dos bardis de 5 x .: i.1
ct 1 I;I de haut dans des magasins en durs,
IV - ;:r;SL!LTATS
Los cssais ont <St6 mis en glace dans 13 2e quinzaine d' .\\j1:?1~
L e s magasins n'ont pi352 I.56 traitós, nais ont é.î;G bien ncttoy:?s,
N6anrnoins on note un c0ntrôj.o extrememont Efficace avec toutes 12:;
s~p~ci.~lit6s et particuli~:rr?murk. avac l',y,ctellic,
(;ecj. malgr$ u1-j :..!:J::
d e bruchage
initial
tr>s O~CVC; dt! '1'1 3 2;) ;.,
?J~us pouvons f2.iro la classification suivanto :
,i/ - Actcllic
“l
/ .

- Dcci$;
? -
Damfii:
4- Ï-i5moiil non trait6

&SSAa DE PREVULGARISATICN EN PLEIN AIR
Tester dans 10s conditions habituellos de l'OTiZ/iC; des
:;pSciûlitcs commerciales qu.i 30 sont montr&as cfficacks c:u niv151i.:
1 et :iu niveau :? D
- 10 i:-l:~thaCrifOS
(Oa,-;fin)
- 1~ pirimiphos m6thyl (2ctollic)
- la d~~cam~thrine

(D6cis).
D~2cam&thrine
( il 6 ci s )
0 , 0 5 $
500 g,/,t 2 7/!12
au 29jG5
Methacrifos
(Danfin)
2
1'1
,' :

500 g./t .36/T;2 xu 27/1.:5
F-lfithacrifos
d
s u r g y p s e 6pur6 il
7
‘-

;.i
5 0 0 g/t 12/03 a u 12/or.
Pirimiphos rnéth!Il (Actellic) ,à
r,
PC

, L?
500 g,/t 8?2/LQ au ?'?j!‘i!?*
Les insecticides sont malangf5s par Sr3ssago à 100 tonnes
d’arachides 1pa.r les agents de 1’13~1Ci’iO, !In a forrn6 des bardis de
12 x ,12. x 1 m.
Globalement il y a un meilleur comporte,ment du pirirniphi,;
mCthy1 qui n'a subi qu'un c!ccroisr;omcjnk da 7,15 1, du taux de bruni.. ,g~
au bout de 3 mois. Il c:;t, suivi par le nGthacri.phos sur talc, Ii! :'I L..--
m6thrine r;t 1% :aéthncrifos s u r g y p s e avec d e s a;croiseements 3t.r :;-t.;;,
dc bruchoge do 7,50 ;,;, Y:!,54 $ et l,>,fi:7 ;;.
La protE?CtiCn eii surface est b o n n e , par contra au rii:Jc:<i;'
d 0 S 5 1.1 r d i S comme toujours il y i’l ur, bruchago trtic; imporkant.
11
faudra tenir camp-i;o d;1 ce fait constant dans la constitutio;) d:~::
s e c c Cl 2 en dir,linuailt 12 plus possible les socs cN3ns tit uants Los :!;!Y:. ,i
2 rci;iaîquc!r que le m~thacrifns
sur gypse é.pur8
IL!L la déccr,~(-!thrig:;
ont ,>-t;I mis en placu tardivement C;~C!C un taux dz bruchagz ossoz
Glev i 2u d é p a r t plus dr: 3-j :‘it d ’ o ù leur iil:3.UVai:3is perforr;Juncc ;1 1] ;j _ :L.
rente ;i CC propos, coriii‘,io nous llavons noulign6 dans nos di.ffJrC!:l;I;:
rû*yj?ûj‘.t!: , il est essentiel. dl’aSSurer la prüt@c-Lion l e plus t ô t pc:..:-
sib:lc, sang q u oi on ~1 bout i t 2 cl 13 t r &S IX u v;i s r 4 s u.1 ta t s L E: n r; f [' _; .k
q ua n d 1;; 2e g$nCratio-i ci e b r u c I-3 2 3 tppamî t i l d e v i e n t difficile i,..
c i r c o n s c r i r e 11infest:2tion.


1 - Four les traitements
do semences d'crnchideçu-
3 - L!ans tour; les cas assurer Lin trai temcnt de couverture tout!Wj:,
1:;s t r o i s serainec, U r a i s o n dé; 100 g@ il.c/mZ?.
4 - IL e s t ontendu q u e COS nouveaux i n s e c t i c i d e s viennent s *:1 jc:u.L.-x::
?I C C U X 66 jà rccommandr-!s p o u r l a p r o t e c t i o n C/V~ arachir!c,z,,
K - IlkilrinE? est la spicialité utilisCe p o u r l a i:lrotection de:; :;t,r!r::;.~
c-t 1 *hygiGne publique, 2110 est i d e n t i q u e a u Décis q u e n o u s clvo~i:.:
-t~sL:l. Il y ~1, UÏÏ sim,r;lc c h a n g e m e n t dra,~pelletiol~~,

A vc c de s :FICI~@ ris 131 us Û dequa ts , il se PEI po ssi ble do fz1.i ~~1.
uno willeure discrimincitian ontro les /produits, c a r 17 0 n i;cuIor>lc!l i.
1FO ex~tirimentations sont faitos sur grande échelle (5 lu IDD Iv;:!? .~:"
mais encore le taux do
/
bruchage n'est quiun nloylon qlobai de dGta~-,
:r,ination.
Tout en poursuivant les essais, il SC *'
J?dl-L '
neces3airt.j
ds
SC pencher sur I.c traiternont des magasine ot des sacs qui oarco i,i e
mal troitris,
4
I
-
favorisent les infeststion:;,
Depuis cinq ans dos essais de pulverisation liquide soh-t
effectues, il est alors Ccessaire d'etudier de faFoh plus preciso
les modalités de son application afin de pouvoi:c poursuivre les
essais h un niveau suplricur,
.
Dans lfense~ble, il existe actuellement suffisammr~~t d'i;.i-
secticides pour pElrer <3 toute infestation dos a::achides. Lo probl .I,J~;
est de bien les choisir et de les utiliser dans les conditions
prescrites.
Il est n6ccssaire rl'ar;iGliorcr le syst&me post...recolko :.Y::..
arachides pour diminuer do façon notable l'attaque des L~rucjlo:;~ ;;;:
accel.!rant la r6colte ct ic: groupago dcn:; les s t? C C fJ 5; 9 en fais:.:+; u ,
tr:iitûr;ient prCcocr?./.

1 - 1 “ITi:ODUCTI Oî,J
Environ 40 esp6ces d ’ o i s e a u x a t t a q u e n t l e s c u l t u r e s c>ï[l,::-
liércs e n A f r i q u e . L e p l u s i m p o r t a n t r a v a g e u r d e s cultures est ii:
Cj uelca quelea,
A l’lESctielle d e l a r é g i o n , les d6gâts caus8s par l e s oiscz~ux srij!121vi,;:
à 7 :: E! l’Office d u Miger a u M a l i ( e s t i m a t i o n f a i t e en 1/73), i-1 15 -
25 y.;“ puur l a rGgi.on d u L:ZIG T c h a d ( s o r g h o ot mil - (1776), 3 IU -
2 5 iJ p o u r l e s rizihres
au Suc! du Cameroun (1 VBrJ i
b 18 - 2 0 ; i il n r-i ‘;
l a r6gion d e Trinoli (:cultura de blé). Une dos c~nséquonccs de
l ’ i m p a c t d e s degåts dils aux oiseaux granivores constatée 3 plusieurs
reprisos, a 6té 1 ‘ a b a n d o n d e s c u l t u r e s céréalihres et m6mo l e dGpl::-
cement d e l a p o p u l a t i o n r u r a l e .
nu cours d e l’enquete à t r a v e r s t o u t e lr~fr.iquo offect;J;Xr:
en 1770 par les experts du Projet ~~AF/~3-~55, connu sous 112 nori; I:i?
P r o jci ‘iuelea, las aut.or.it:js de t o u s les p a y s v i s i t é s (315 p:Jys :I.I
total) ont dé;loré u n e f a r t e dépredation aviaire s u r l e u r c&rcAu-
liculturc. C e p e n d a n t , ?2 pays dispusent dSj& d’u.-lit63 d e l u t t e
a n t i o v i a i r e p l u s ou moins Gquipbes,
n
? ‘ 10
Né thodos indirectes
L e s methodes indiructes do protection des cultures COÏltl;:
les dCg5ts d e s o i s e a u x g r a n i v o r e s c o n s i s t e n t à diStruire 1~s cor~c;?n-
trations a v i a i r e s pote~;tiellcnent d a n g e r e u s e s pour les cul Lurus, l L. r-,:’/
moyens
utilisas sont : les pulv6risations aGriennes d e produits
chimiques, 1 ‘emploi d%xplosifs,
L e s p a y s a n s n ’ o b t e n a n t pas U’Yiibk
rapide, procàdcnt souvant a u brQlagc d e s n i d s , a l~abattaye d o s
arbres porteurs de nids, et quoique fois pratiquent lo PiLyuac-2 ~
:! ,2 . Néthodos d i r e c t e s
L e s niithodas indirectes d e p r o t e c t i o n visont B dotruir!::
les uisoaUX à proximito et mena dans le champ, à obtenir 1’6loi-
gnonont d e s o i s e a u x des chainps, L e s m o y e n s u t i l i s e s s o n t : l e

PJ
3
‘-*
.
Difficultes
dfapplication
Malgr6 l'application des mothodos indirectes dans la ri5yiun
sah6licnne pendant plus de 30 ans, c'est seulement depuis peu dc
temps
que l'on a constate une diminution do populations avisires
cibles, Il s’agit prSci.sBment de la valleo du fleuve SenAyal ou dur-:
f a c t e u r s yeographiques, mé%Coroloyiquos
(sechcresse) et ûnthropir~uos
(lutte antiaviairc ,?t dGforostation) ont conjugue leurs actions i2 U II 1'
aboutir à une forte di~;rinution dos populations de Quelea queloa.
-
Par çontsc,
les mio!thodes directes jusque-15 mises au ~~oi.:it
sont pour 12 ~lUji2rt S(Ji% inefficaces, soit onZreuscs, Par exomi;le,
parmi ces dernikres, le gardiennage, système 10 moins cher ct 1;:
plus largement appliqu2, demande lle~ny~agoncnt do 4 2 6
oersonn‘:;::
par Ihoctarc dans le cas des cultures du riz.
3 - i'ARTIC1 PATI GI\\J PNLJE/'F!i!
En 1957, une rcqui?te a 6tr.l introduite par les pays r!-re,:;i.!z~..,
de 1 VXLAt'AV, 10 Niyéria e t l e U, oudan, F:.IJ~~&s du Fonds Spécial ~CC;
Nations-Unies et de la T/\\U, pour la mise 3n plac;e d’un praj;>t; 32
recherches sur la lutte antiaviairc.
Cn 1971, le k)TJu~J a finance un projet de “Rccherches sur 1-2
lutta contra l e s oiseo~u:: g r a n i v o r e s (Q uclea quol.ea) El ot ; 1 executi;III-r
e
n
û IJt6 confiée & la ;--fil-J, L-JS activites
du Pro;= s'etendont s;:r
les pays membres de 1 'OCLALAV (YEnin, Cariioroun, cat;o d’xvoirc,
i:.;i:.[l.j.,:;
,
/-i~Ute-Volta, Mali, Kilyer, Senéqal ot Tchnd), ~1~1s 1,~ /jig;;rig ci; ,;L:J
Soudan,
A partir do 1374, l e P r o j e t o c o n t i n u e ses activites c;e:.~:
1C S)Ul?bOl2
RkF/73-g55,
2 la demande de la Somalie ot de l*Ethiopic,
le 3rojet a otendu ses travaux sur cas deux pays.
De nombreux rcsultats ont tAt6 obtenus sur la biologie,
1 ‘Ocologis,
lr6tholoyie aviairc et beaucoup de méthodes de protec~;.io=
dirccto ont nté expérimontCes, Plais, beaucoup de points $bauchB:j
COmf3Ortaient des lacunes, c'est pourquoi lus pays membres de 1~:>;:1.+:\\[-,
SC
t
sort adresses en 11?7? au ~NI!D et a la Belgique, C'est ainsi que
deux i’rojots d’assistance
tcchniquc au niveau rSgiona.7. (OCLI:iLiiV) ;:our
la protection des cultures contre las dCyr4ts d e s o i s e a u x granivor:;:;”
et du ‘Projet CCP/RAF/'l26 (EIEL) P’d’Assistance technique a 1 '['CLJ\\L-;:i.'
p o u r l a p r o t e c t i o n d e s c u l t u r e s c o n t r e l e s deprédateurs, e n Par;;i-
c u l i c r l e s oisoaux yranivoresPt.

a) Idenizific:ltion de? esp&ces d'oiscaux nuisibles, t5tudu ~i;~: l.~:jr
distribution, migrations, compor~toment alimentaire, dynamique tic
populations, ctc,..

b> Wm:~liorat,i.on des m6thodos de pulv6risation des zvicirlcs,
~974-1977 :
c) Etudes intensives
ot extensives des differents aspects de
lt6c010gic et du comportement dc Quelea ;
d) Xtudcs de la distribution ct des migrations des autres ùsP,;cnz
d'oiseaux nuisibles,
B) Evaluation des d6gBts
aviaircs dans différentes rrigions
d'Afrique ;
f) '\\melioration de l'efficacite de la lutte indirecte par dZt~.:r-
mination de meilleures Indthodes et de pGriodes appropri~‘u~
de destruction des concentrations d 'oiseaux qranivorou ;

g) Seloction de produits chimiques .
;I:oins nocifs pour 1 lL:nvi.?!;I:-
nariicnt ;
11) ~inplification des metncdcs de locslisation des concc;Ïl~~,.~-~;-,;:-,.;
dos oiseaux î"
i> Ztudes et exp~r:iclJJntztion de difftircntcs
m~tiloàes de ;~ri-!~~.!ci;.iLj ,
directe des cultures contre les ciseaux.
1379-1901 :
.j) fissistancc pour l'applicatinn des acquis des prcjets pr.-r:.:d;i.,-;:;!;
en matiere de prot::ction indirecte ;
1:) Ztudes
des migrutions en vue dcj 3.2 définition dtunn ~~~r~~~.‘T~i.~.
optimale d'interventions.

i ) !:laboration d ’ u n e miithoda vulgarisable aupr:3s des aqricul tour,.,
et de destruction dos p e t i t e s c o n c e n t r a t i o n s dc2s oiseaux nui::iLL:: : ;
rn ) Etudes d e p r o d u i t s chiiqiques rgpulsifs, e t a u t r e s mcthodes d;:
p r o t e c t i o n directo,
lYJ2

:
-e
n ) Z t; u d e a d’écologie et d’&thologie dos autres espèces nui3iblou ;
0) Perfectionnement cics :;~JC
yUtYmes d ’ i n t e r v e n t i o n à p e t i t e L!chell~:; ;
p ) CZrt0graphi.o d o s rJf>c~fits d’oiseaux et assistance pour la ~.;r~;~~~~:ti~l:.
des systames adGquants d u p r o t e c t i o n d o s cu:ltuze:: g
q ) ‘-tudes dzs m6thodus Ucologiqucs de diminution d ‘impact d o s Lj i r‘ :: 12 L ;:
sur les cultures.
r) Etnblisscnent d * u n systkmc d’avcrtissomant aviziire ;
s ) C o n s t i t u t i o n d’une “ b a n q u e r6gionulo rie donnéesFI e n ..natitirz :L~.:-:.I.-L ;
t) Xonforcemant, d e s unitGs n a t i o n a l e s d o lutta antiaviairo.

_: ,
PROJET FAO BELGE GCP/RAF 126 (BEL)
LES ACTIvITi3 DU PWBJ%T CCP/RWF 126 (BU,)
Le projet 'ii;F 126 (BEL) assiste l'OCLALF\\V dtzpuis Gvri7
1973 ot pour une duke Oc 3 ans. Sa zoni2
d 'intervention COrreS!2oi-i;’
à colla du Groupcillant Flauritanio œ S6nugal de 1.~OCLHLAV, Frost-\\:-
dire la SGnégambic, i-e Sud Mauritanien ot Ilûuest du ila-:i, s "n L) z ;:.

est dc contribuer au rErlforcemcnt du dispositif' de lutta de 1'7':
I?LL. :L;::;/
par Ia recherche appJ.iqu6e9 14 formation Eit la participation dire:.:::
aux opérations de lutte,
Les grûnds
axes du travail s'orientent comme scit :
7) protection directe dos cultures
2 ) p a r t i c i p a t i o n :~UX campagnes de lutte chirriqL;a
-3) importance des dt2gats caus6s par les oiseaux
4) importance des populations des principales espèces
S) formation.

?;O~S résumons ci-dessoue les principaux rCsultats enreq,istrSs pour
CC5
différentes pûrties,
1 - PliUTZCTIOM DIRECT':: DZ CULTURES
a) L es sy stèmes
traditionnels d e p r o t e c t i o n or-,t Qté étudi?s &.;-l:;
la wallde du S6nSga.f.. Le syst8me de cordas manoeuvrEes
,,L4r
;.-. :ji;
g a r d i e n ,juch+ S;ur u n e gugrite y uut PCIJ déVe~oyp& c! t p~u~‘r-.l.i I;
C!tre aussi üppliCiu6 au riz.

5 2
pour queloa s o i t environ 60 h/ha o u 7.5CO C'FA/ha e t cjs 1'?:,
nids/hcura p o u r lu m o i n e a u s o i t e n v i r o n 1/2h/ha o u '7i! Cliii'i;fJ,
Cette méthode simple et efficace cjevrait Qtre largement \\i~i.:.-
garisée.
c ) L'utilisation d o s f i l e t s d e c~pturc e s t a s s e z controver;iJ:: :,',
s o n efficacito cst limitde, CepenLTntp e n G a m b i e , l e 5e~'v:L~,::
,
de la P.V. p r a t i q u e c e t t e m6thodo depuis plusieurs a n PI lo s !: '.;
annonce des rE?ndC!blEntS
intéressa9 i;s (44 oiseaux/ jour;‘filc? 5 ;.
d) Lrempoisonnement de l’eau par des soporifiques est uno rn~‘L!:;i3:
potcritiellemen-t intsrassante mais aucun essai n'a pu 8tr::
e f f e c t u é jusqu'n prSsent.
:.!
L'empoisonnement au niveau des cultures est une autre mtiti’ii;::k
>
q u i a et.6 dbv~~~ec p a r le p r o j e t e n 1980.
[I~I empoisonne une setitc partie de rizikre avec une pulvr’jr::-.
sation d e t o x i q u e ( c a r b o f u r a n , aqviron 0,l - cj,3 gma/m2) 21;
l e s o i s e a u x sont attires à cE3.t e n d r o i t p a r UT; “reposoir
artificiel’)
(t:raiYCilt3S
épineuses coupSes) ot l ' a b s e n c e dl2
gardiens. On elimine ainsi plusieurs centaines de dépr:iij:i-l;x::~Tj~.;
dés le premier j:~ur, L a z o n e trûitGe d o i t @ t r c b.ien ddlii~l:i. i;%::.
e t l e s g r a i n s trLAi.tGs rdscrv6n pour les p r o c h a i n s sai!iis..
Au cours de 4 essais rnends a u F l e u v e ot f31i Gambie 9 o n n !ki ,:3::5
constaté de mortalitt-i! sur la faune ativiennc non-cibld,
Les
prcmit:ros ~.i~n:llyscs do rosidus montrent une d 6 g ra do. L 1. u ,-,
sstisfaisante e n p a r t i c u l i e r sur l e s g r a i n s dacortiqu:is :::
cuits.
Cette n!i.ithoda o f f r e 1 ‘availkago d ’ ê t r e rapide, QOU
c o û t e u s e e t de co:;lbinor l e s protections
rnodcrne (St trcli!:i I;:i::‘;,.-
ne118 c a r l e s riisuj.tats dependent largement de l:l l.lro~Lci: ti..,::
classique sur J-o:; aukres parcelles do la rizicre, !-a r;j3.j;h:c;
dei-lne d e b o n s
rssultats e n p a r t i c u l i e r s u r l e s gondarrnc;: ; 1,
les moinoaux cl; sors dS1~oloppCe a u c o u r s d o la contrai-si.;ir.:.::,:-;
tic r i z 19131,
f) I\\ucun e s s a i do kpulsifs n’a e u l i e u o n 1900 p a r man~~cio ti:;
turrains dtcssaTs. I-as e s s a i 3 d’enrobage d e s s e m i s L]E riz
p o u r r o n t Atre repris c e t t e annoe dvoc l'aid!? do l a T;FiX.
g) Le rentierrient dc ia l u t t e p a r explei:3ifs ht:; estin& ent;:k
i3
150 e t 25Cl moineauh tuSs/kq d'oxrjlosm (dans l e s d o r t o i r s
nocturnes
dc .la val1612 db <én$gai,
Cette méthode do lutta est devenue onereuse suite au zench,-
rissement des prix des explosifs,
Difffirents p3.ramhtres o n t t>te ovalues a u c o u r s d e s pulv*::-
r i s a t i o n s aoriannos d e pesticides p a r l a p o s e d e papiors i' ; : . r i _
LIS>, il. _.
IlleS,
d'oiseaux encages e-t par llobscrvation directe, Le ;:y,<,-i~p.it;J
II_-

a confirmé son efficaçit2 nais son prix resto élevé. La dt5grad:r.'tj., !
plIA3
rapide d u parat+ion-ithyl p a r .l 'ûdjonction d'une bac;r: jus ;;:-
avant la pulw2risûtion est à l'étude LUX laboratoires Gj.(!!I li
Marseille.

variations des rendomcnts entra les r&pctitions d'une im6me v:3rit:ta.
sont consid6rables. En 1379, i.I y av3.i.t L!U beaucoup do dUg;4ts .~IJ::
le3 pnrcellcs non
prottig5os par les filets : ces drsg3ix ont pu Ft:N:.:
attc,,Ws a. 13 rkColtE3 i:;3r [;Os PossibilitGs de rcmplazcr,lçint de &i;:.:..:;
perdues et par d ' a u t r e s c:luses (r6colte i;rop t a r d i v e , Bqrenage, , . ) *
Cn 1330, il n"y a eu q1JO des dégats tr&s i<qers et dans-J.'orlse:ib?:
les parcelles sous fl!.etn avaient des rendements inf6ricurs 3 C:~L);;
des parcelles non
prot6rjGos (PI-1 otosynthhse dininuse ) ni!:roclin;it :J),
L * ûnal yse de toutcs ces donnfies n * u:;t par encore tsrninlAe,
L1importance r e l a t i v e d e s espbces aviairos s u r 1~s culturus tic ;3.,: +1
COtiiiilCtlCO
à E?tre m i e u x Cai2nUE.
L e s eSp6COS 1CS pIuS importantes so17t g
- pour le petit mil : no 1 : moineau doré (au Nord du ,15û f,! >
autres : Ploceus Spp, rjuelca ( b o r d s d u l.i.:c>
Bubalornis al5irostri.s
- pour le sorgho de docrue : no 1 : pqoineau doré
autres
: Lamprotornis chabybeata, Streptr;p:-:li. .:
SPP.
- p o u r l e r i z
n0 1 : Iloceus
cuculla tus (I:; I!CI)
Q u e 1 e a q u (3 1 ea ( L on o d I -: i i> i-1 ;_, .-T.! .-
'I-011)
Eupleci;es üfer, Ploccus
meJ.anocephalus
on contre-saison
: Ploceus inelanoc:!phalu:1;
Fioineau do r6
- p o u r lo maïs
no 1
: Ploceus cucullatu:~
autres
: \\.Jsittac;ula kramasi
- p o u r l a t onate rtjgion d e P,lL!our
: Plocou c; cîculJ.ntus
du Fleuve
: Lamprot;ornis chabyi~cci t;i
Thi$:; idord). Le sorghcj de décrue subit des dégCtts estiril& 3 plu:; :.::-
10 ,', dans l a vall6e du FLZUVL3 (7901 ) et ;,.Lus d e 1 5 $ d a n s lû Gorqo:-

Ii/ - IP4PURTANCE CIE PGI-IUL.ilTIOf:iS AVIAIRE:;
- La population de Quolea
ucloü est act;L~oîlcment trtii;
faible L;;I~~S la va1161:2 du
d’adultes Lo~i~
de 13 reproduction do
Ta11 et du lac de Guinrs.
- La population de Passer Lutcus, le Moineau dorr5 est
extromcmont abondanto et ne peut Btro sCricusemcnt evaluee 5 ls:lou2,.
actucllc.
L’O&LI;LAV estime avoir élimine une moyonnc de 15 millic;-i.3
d'individus par an 'ciu cours des trois dernicrcs artnées nuis la ;~oi:;-i-
lation ne paraît pas en di2clin.

Une carte dn fr5qucnce Elnr~ucllf? dos dortoirs do ccLt;2 i.::;:-: ,-
ce dans le bassin du Fleuve a 6t6 Ctablic par carr5 unitaire (jr; “j:’
(environ 1 t3 km de côt2) Pour 10s ann4os 1957 h 197:/. Cotte cllrE~:
scmblo
montrer que las G~Tuipes
do lutte (par c;xplosifs) dcvr3icn;;
être multipliées par 10 au moins pour assturer une rtiduction du 1..
population.

!-a r::productirjn û lieu sur ui7c supcrficic immensr: q:.ii
sornblu cn extension v(3rs 10 Jud, En 1 1 9 7 9 , o n a trouv6 ~12s coioi:ilsc;
~usSU’& Lougti 6?‘c en li'98ll jusqu*h ookesse (.î5Q 'jOp,j). Ces reproc;u-:~~:i.:~!-rI
dans lo Sud ont lieu tardivcmont et il pourrait s'agir d'une sct:i:inL: :
reproduction.

Pour 13. lutte, ii faut rccommandsr Ic dCnichagc r8~~1nu22. ,. .:T.
19s po;2ul2tions pour la protection du pt2ti.t mil. Aucunc nGthcdf2 n::
iIcut actuellement reT.Placcr les explosifs dans .La ;;rotection du
sorgho dc dQcruc. Los traitements du dortoirs par des pulvi~3?ioati;;,;:;

terrestres sont 21 l'essci nt pourraient s1nv6~c:c &tre une solutiun
int6rcssante h cause? de sa rapidit6. pour lu riz do contra-saison,
1~ methodr: d'cmpoisonnom:!nt partir:1 des rizit’rc:; a donna cl:.?~ r:;z,ul /;,:i.,.:
encourageants.

Le
comeortcmont (alimentation, reproduction, t.i5p~~lc~rW~~i;:.: j
du I_LOCQUS c1.icu11atus 9
le Tisserin Gendûrmr; est Gg;tlemont t3t;udi.z.:
notamment ûvcc 1.:3 coopor3tion du Service de la nrotection des !i:j::+i$,:~.!;<
de Gambie qui utilisa les filets de capture Et il mis au point lun jr-II; !-

PeSSailt systCme d!app;3t e.mpoissonB dans 1~s vilJ.ages,
Les autres dGprédatcurs Sont etudies en fonction dos ooprz-
tunitrSs, Le caractkre dGprt?dateur de ces ospéces est souvont mal CI:!!,-
nu et des analyses détaill@es de leur alimentation seraient à t?!ltr;:-
Prendre,
C'est 10 cas notamment pour Ploccus melanocephalus, ;!&;i,[:
Gcndarmn à tete noiro,, (riz) BuOûlornis albirostris, AIect0 c‘l ;.JC?C
blanc {Petit mil) Lonchura cucullata, Sp~rm&te-~~ett13 (riz>,
-
-


LES ACTIVITES DE L?OCLALAV
(P r6sonWi3s
par 13, i\\ffoyûn)
Les activitds de recherche ou d'étude de lfOCLALrlV en 'iI/-;.
se sont limitées à deux actions menees au Niger et au Mali ot i:o
concornent que le criquet Pélerin.
1 - ETUDE RETROSPECTIVE DE LA PULLIJLATIO:~; EXPLOSIVE DU !:RIQU::T
P <LERI /\\l AU I‘.îA LI E:T ,! U NI G EH
Cette étude a permis :
a) de fai.rc ressortir que la plupart des zones de gr:1!;.--
risation (rlauritanio - Plali - P!iger) o n t “fOnCtio;;i~5”
en 1380 ii des périodes différentas et avec des tici;::r;i;ur;
de populations en début ot en fin de saison des Pli.ii,:;ü,
b ) d o c o n f i r m e r que lo i\\lord d u Mali (1’ADRAR des Ifor:::s,
le Tarmnna et le Timétrino) constitue en p6riOde 3~:
rtimission l e s e c t e u r cl6 de t o u t e la provention Acri-
dienne dans la zone souslsurvcil.Lanco de 1 ~C1I:L.:iL?,‘J,
II - ESSAI DE DECANETRI1JE SUR LARVES DE C R 14 U ET P El- E RI M A U ,1-I G Z; i
D’après cet essai ot un autre qui ava;it rSt6 entrepris 2i.:2
ailus en 1978, il apparaît que les dosos n6cossniras B 13 dostructici-1
du Criquet pél;?rin devraient se situer ontro 2 5 et 50 g d e matiSr;J
activc/ha selon le stade des insectes (jeunes larves ou ail6s)
faculte de récuperation du Schistocerca ~3
3LmblE; 1 ~SSE
z z2 elov~e

; LL*J:“~
3” . ,>.;-
il
fie donc ces doses élcv8es,
A ces doSeS,
le prix de revient par hectare trait6 est
prohibitif et ne peut absolumont pas concurrencer en particulier
le FBnitrothion.
Recherches aviaires
Se reporter aux travaux des Projets aviairus
Projet PNUD/FRD RAF/77/847
Projet Relgo/FACl R/')F/'ILS (Bel).


!3 ?
(présentées par Koyta)
Le dE'v21oppement do la riziculturc constitua ~1: do:3 V31,5i;:c:r-ik:,
principaux des objectifs assigngs à la T;/!ED. On assiste, on offct $1
des efforts accrus en matioro dtextension des surfaces amGnagiGa:; e
Les successions culturnlcs sont simplifi6es, CE? qui a pour con2~-~<;i.!I!,Xc'2
d'uniformiser les assolements co processus aboutit & la constitution;
de vôstes surfaces occ:upt~es par la merno plante ou la m@mc vari.GtC,
et parfois à la succeii3priori d'une meme culture sur elle-meme, CIus!;
le phénomène des "monoculturesl'.
[Gais la productivité que l’on est en droit d’atteindre rljc!
trouve très souvent rotardéc par divers facteurs limitants et pr6-
existants : aprbs ltalimentation en eau, p rédominent les ennemis do
la culture. Ce sont les mauvaises herbes, les rats, les maladies,
les nématodes, les in.-,%,
Qmctes et actuellemont les virus et les bûcJctri:~s.
Pareils syst;Wmes ont nécessairement recours à des applica-
tions plus répétees ot plus intensives de biocides agricoles afin
do maîtriser la situatiun phytosanitaire et le salissement par dos
mauvaises herbes.
Les dég5ts do ces d6prGdatours, objet de ce rapport 2::
prosentent parfois comme des infestations brutales et importantos
plus ûu moins localis6c.s ct qui ne se renouvellent pas tonus les CI~;;;
aux memes endroits.
1 " PRIrJcIPflIJx PnRfi?SITES RENCONTRES S!JR LES DIFFERENTS TYPZ:
Df CU!LTURES
R 1 z
1 nsectos
“.m.œ~““.“.a
Tout d'abcrd IJOUS ci-torons les foreurs de tiges, COS inscz~i; ;.;
sont présen ts en permanence et partout dans des cultures 21 des /J~PII-
lations variables. Ce sont les Lepidoptbres mineurs : CHILO sIl'r'i:'iL:f':;,',i_I,;,
s IISi\\FlIii s P 9 e 1; i:lA L I A A PH il S P qui occasionnent des doc$ts de 5 & 711
et ou plus selon 10s ans,

A ceux-là nous joignons deux insectes dévastateurs recomn~:::-t
rencontrés par l@expert en Cntomologie de L'ADRAO qui sont t
1) - 4LCUi?CCYSOTUS INDICUS : David, mouche blanche de 1.::.
famille ALEURODIDAE,-i-'cspèce
est prua
&Fente toute llannée occasiu,ir,:::?V
des d6gdts plus importants pendant la contre saison chaude Avril - ,,oi,
2) - Jes i\\r:ariens du riz T Los especes AI.lOLYÇIS SI,
famille PI-IYTOSEICAE et ULYCONYCHYS (Rectiolla) sp famille Tetrur,;:-
chidae est fréquemment rencontrQ dans toutes les cultures ldo la rno“!:;::-iu
vallue en contre-saison chaude.
Rauvaiscs herbes': principal flCau des cultures qui occasionno~~t
des dogats tr%s sensibles. Les cspt'cos les plus redoutables et qui
sont en voie de ProliflSration sont :

OYZA SAfiTHII, CR\\IA LONGISTAK'KTA,
ISC~:AEî~lLJM RIJGOSWI, ; Y-J ;-1 j-: [j:,
ROTC[~!DUS (surtout les petits périmêtres), SCIRPUS spl COMT~LLIM?I
DIFFUSA, AT1ARAklTl-W~ IPill'lEii sp, ECHINOCLOA SP.,, Les pnlntos aq~];l~;i:-:fJ:?-;
prolif&rent dans les canaux d'irrigation.
;jaladies Cryptoqami.ques
:
La pyriculariose des feuilles end&mique des riz sauvagw
se manifeste d'une façon localisée.
F;aladies Bacteriennes:
La striure bacteriennc est rencontrée par l'expert do
llRDRAO en 1978, le XAPITHDVONAS TRANSLUCLNS VAR ORYZICOLA,
Cette culture bien que peu developpéc (dans les perirn$trc:;
présente quelques parasitismes,
INSECTES : attaques de mouche genre Haplodiplosis sp ot qucL::::cro
foreurs de tige.
ilauvaisos horbesk:
Durant la contre saison sèche froide, la population dt:.!:iv,,;:;-
ticos est peu importantu, Lfesp&ce la plus redoutable est 1s Cyj:~:"L!l'l~
Ll?: ..1
ROTLNDLIS et quelques POI?TULACA sp,

î,; A 1 s :
Insectes : A u dol2 d o s c h e n i l l e s defoiiatrices (LBpidopt&ros:),
le ?y;::~ll.JST~\\ NIJBI LATIS e s t l e p r i n c i p a l dopredateur rencoi-itr; :;ui
p e r f o r e l a t i g e d u mai::;, a r r i v a n t s o u v e n t d a n s le r a c h i s d e 1’J;:i.
i;nuvaises herbeci-:
L-C :3 di c o t y 1.6 do no s a n n ue J- 1 e s Or 12 se n t r> 1-i i ?, .; :l
d e comp(5tivit6
s u r cettu c u l t u r e : c or ;Fi ;L 1 Nil S P , PORTULACS !; P 1
dRF~rlr:A:JT!-;US S I . . ,
P a r contre les cyperacées espucos CYPERUS AOTEUDW o - t
H EL 1 Ci:;-IRRI S P , JUNGUS S P s o n t les plus r e d o u t a b l e s .
P r a t i q u é e a n c u l t u r e i n d u s t r i e l l e , e l l e e s t t;ri?s sensibl::.
aux Problbmcs pûrasitairos
s u r t o u t llHLLI3THIS AVIGERA e s t 1 'CS;J:.:C..:
l a P l u s r e d o u t a b l e c a u s a n t d o s degats a l l a n t d e 10 à 4 0 ;“, souvot~t.
Q u e l q u e s c a s , d o v i r o s e s s o n t rancontros
Naladios : ALTERNARIA SOLANI e s t l a p l u s r e d o u t a b l e ,
O i s e a u x g r a n i v o r e s : L e s p e r t e s d e r é c o l t e occasionnée ;K L
l e s o i s e a u x g r a n i v o r e s s u r l e s differcntcs c u l t u r e s 3 r i z , m a l s , bl2,
t o m a t e s o n t d ’ i m p o r t a n c e s v a r i a b l e s :selon l e s s a i s o n s , L e s d6gât.y;
l e s p l u s i m p o r t a n t s sorît o b s e r v e s d’Avri1 2 Suil:Lot ( R u e l l e PNUC;‘i-.‘>;I!),
L e s p r i n c i p a l e s e s p è c e s s o n t : l e Noinaau dore (Paster
Luceus), Ploceus ~~lELAN~i:;-:FiHALUS,
EUPLCCT~S RFfi? , 4 l.liZLCR-C1 1JELiII1 , , I
Il p a r a i t probable q u e d e s p e r t e s d e 5 a 1 3 ;- a u moiris
d o s rocoltes s o n t o c c a s i o n n é e s p a r l e s o i s e a u x g r a n i v o r e s ( R u e l l e ) .
L a p o p u l a t i o n dos m u r i n é s obscrvee dtirant l e s culture:-. d u
contre-saison pI.~ls p a r t i c u l i é r c m e n t d e N o v e m b r e on Iqai, bien qus ni:
p;ctjsentant p a s de prèocupations m a j e u r e s mdritc u n e a t t e n t i o n P22L;i-
culikrc. E s p è c e s rencontses s o n t : A?VICANTHUS S P . , .
I I - Lk LUT.T,C. CH,II?:IQUE ET S E S LIkT1-TG :
L e developpcrzn t d e l ’ e m p l o i d e s pesticidos sfcst monkz.1
dans un prcmicr t e m p s , oxtrcmemcnt b6néfique, e t d a n s Prosquo tou:;
l e s t y p e s d e c u l t u r e . !\\ l a d a m a n d o c r o i s s a n t o d e c e s bioc.ides c!j.jri-
colos au niveau dos pGrim&tres, i l conviant d c reconnaitro 10s l.irn.iti;r;
d e l ’ e m p l o i e x c l u s i f d o s p c s t i c i d e s c h i m i q u e s (surtotit insecticiiJ(;:;;
pour l a p r o t e c t i o n d e s P l a n t e s e t leo r i s q u e s diI/ers qu8iJ.s CnYr.iiisi::;;-L :
l e u r polyvalente, l e u r remance e t s o u v e n t l e u r stabilit6.
T o u t c e l a a entraîne une augmentation de la complexi.tG des
problemes phytosanitaircs e t u n accroisscmont d u p r i x d e r e v i e n t do
l a p r o t e c t i o n d e s p l a n t e s ,

Il est indisponsablo de modifier les pratiques coui:a:;+tic
_I
de lutte contre les ennemis des plantes.
L'applicatio:~ de principes de lutte intégrée dans nos
régions où se développtint les %onocu3turos” sur de grandes 5t;t!r,dLir>,y< ;
en effet c’est dans de tels systGmes aGricoloç que l.es inconvur!i::t;il,:
de lutte chimique autorxtique et aveugle risquent dletre las plu:;
graves, C'est dgalemcnt dans 10s niemes rzgions que 1. roryar~is:2tiu,i
d'une surveillance efficace est la plus facile et, on ?cut esp6rer
des progrès rapides dans la mise cn oeuvre des méthodes n[luvoll:.:; D
Cette premiS3ro étape do lutte int6gr6e pourrait f3tro
llarnGnagomont rationne:1 de la lutte chi;niquo (lutta dirigSo),