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,*“-I-
i

y*“U e
L6
REP@jJQUE DU SENEGAL
C,N,R,A, DE BAMBEY
--_--_------------
UN PEUPLE - UN BUT - UNE FOI
MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL
INSTITUT SÉNÉGALAIS DE RiCHERCHES AGRICOLES
!).
RAPPORT DE FIN DE ST/jGE DE FORMATION
AU DEPARTEMEN-I DE BI/lLOGIE VEGETALE
DE LA FACULTE Dl$ SCIENCES
DE L'UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR
THÈMES :
1 - LUTTES BIOLOGIQUES ET;BIOCHIMIQUES DU STRZGA.
I I - TECHNIQUES HISTOLOGIQUES,
I I I - BOTANIQUE G6NfiRALE ET:APPLIQUÉE,
Stagiaire :
Maître de Stage :
,
Alioune Sylla MBODJ
M. Papa Ibra SAMB
Technicien qualifié
Maître-Assistant
Division Malherbologie
DGpartement de Biologie végétale
C.N.R.A. de BAMBEY
Faculté des Sciences
(Sénégal)
UNI$ERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DA:KAR
(Sénégal)

PRESE
-mm-- ITATION
.--w---
1 - BOTANIQUE GENERALE ET APE SQUEE
II - TECHNIQUES HISTOLOGIQUES
. Matériels adéquats
. Réactifs et Solutions
. Autres matériels
A- FIXATION
B - INCLUSION
C- COUPES MICROSCOPIQUES
D - COLORATION.
III - LUTTES BIOLOGIQUES ET BIO&HIMIQUES DU SA&iga
. Description SZkLiga Para$ite
f
. Luttes biologiques et blochimiques
IV - ANALYSES ECHANTILLONS DE $OL
. Matériels adéquats
. Méthodes d'extrablltion (les graines
. Fiches renseignements r 4isultats analyses
. Tests de densités
v- CONCLUSION

REME$IEMENTS
_-___j ------L-
Pendant deux mois, du 09/03/7987 au 08/05/1987, j'ai suivi avec
beaucoup d'intérêt un stage de perfec$onnement au Département de Biologie
Lfégétale de la Faculté des Sciences de Z'lJniversite Cheikh Anta DIOP de

DAKAR.
Je remercie Zes autorités d$ 1'I.S.R.A. qui m'ont autorisé à
faire ce stage.
Monsieur Amadou Tidiane BA, IMaz'tre de Conférences, Chef du Répar-
tement de Biologie végktale a bien voulu me recevoir et me permettre de
travailler dans son département. Je t'en suis très
reconnaissant.
L'accueil favorable qui m'a;&& réservé, d&nontre de la volonté
très coopérative des chercheurs de ce.département. Alors, je ne manquerai
pas de mettre en évidence les qualités d'organisation de mon Ma%tre de
Stage Monsieur Papa Ibra SAMB, MaîtrejAssistant à Za Faculté des Sciences

.
qxz n'n ménagd aucun effort pour met@ à ma disposition tous les éléments
e,t; toutes.Zes conditions nécessaires 4 ma formation. Je Zui dédie bien sin-
cèrement ce modeste petit rapport eff&tué à ses c&&.
Mes remerciements vont auss2 à Monsieur Nicolas Dl-ALLO, Maître-
Assistant, à Messieurs Manadou COUNDOYL, Kandioura NOBA, Assistants au
Dkpartement pour leurssoutien et encouragements,

MelZe Arlette CISSE et M. Jo!seph BOUSSIM, étudiants stagiaires
de Gme Cycle qui m'ont appris les techniques histologiques,
M. Souleynane SAKHO, Technicfen Supérieur, qui m'a appris toutes
les tiechniques de manipulations des ap areils
g
les plus sophistiqués,
. . . /..,

M. Abdoulaye SANOKHO, TechniFien Supérieur, ResponsabZe de l'her-
bier, pour les explications très imporhantes et utiles,
k#ne Fatou Kane AIDARA, Technicienne qui m'a beaucoup aidé dans
les analyses des &huntiZZons,
Enfin M. Joseph SENE, Aide-L#bo., mon collaborateur sur tous les
plans : photocopies et surtout sur le glan social,
Enfin, tous ceux qui m'ont ardé de pr2s OF de loin au bon dérou-
lement de ce stage. Qu ‘ils trouvent, i/zi, mes sincères remerciements.
---- i-----e
-+

-l-
I- BOTANIQUE G+RALE ET APPLIQUÉE
/
Arrivé un peu tard apkès le debug de l'année univer-
.;
sitaire 1986-1987, à la cité, liai pas pu suivre les cours,
car les élèves étaient trop en avance sur moi, e.t en plus la
classe était d'un haut niveau (#ème année.).
J'ai préféré avec l'abcord de mon Maître de Stage de
faire à la place les techniquesihistologiques aussi utiles et
liées à ma profession.
J'ai fait.des visitesi: et des travaux à l'herbier en
compagnie du responsable, sur 1Al documentation, la nomenclature
et la revue de quelques espèces; rares.
I
. . ./ . . .

II -~TECHNIQUES ~1sToL0GmuEs a
. MATERIELS BIOLOGIQUE$/
- Fragments de tige d'une plante.
- Fragments /le racines adventives.
/
- Fragments " 'explants.
. SOLUTIONS ET REACTIFbl
-, Ethanol 951
.- Alcool - 2p, 30, 40, 50, 70, 80, 85, 90, 95.
- Formol.
- Acide acétkque.
- Acide sulfjireux.
- Acide péri bdique.
i
- Solution Novachim (A et B).
- Toluène pufe.
- Réactif deiSCHIFF. F',
,
- Paraplast.!
- Paraffine Fondue.
- Bains de T luène.
- Baume du Canada.
,- Albumine djoeuf.
- Carmin 40.1
- Colorant (bleu - rouge - etc...).

- 3 -
. AUTRES APPAREILS
- Microtome.
-‘Microscope à Paraff'ne.
1
- Platine chauffante.'
- Tube de BOREL.
I
- Plaques LEUCKART. /
- Lames et lamelles. ;
- Pinces plates.
- Kleenex.
1
.
REALISATION
L'observation vitale est bien évidemment l'examen
idéal. La cellule est observée dans son milieu sans inter-
vention extérieure. Il faut s/woir aussi que l'examen est
/
de courte durée, car la cellule meurt par asphyxie ou par
écrasement. Mais dans le cas #'organe volumineux, l'inter-
vention mécanique est inévitable. Il faut disséquer et di-
/
lacérer le tissu, parfois il est possible d'exécuter des
coupes 'suffisamment minces et;de trouver quelques cellules
intactes.
L'examen se fera entre lames et lamelles dans un
!
liquide physiologique.
La technique de confektion des coupes histologiques
peut Gtre divisée en quatre ékapes qui sont :
,
. . ./ . . .

-4-
A- FIXATION
Elle consiste à tirer le matériel en veillant à ceux que
I
fp
les structures ne soient pas abîmées et donc proches de
ce qu'elles étaient du vitant du végétal ou de l'animal.
Pour cela l'opération doit être menée assez rapidement
afin de préserver l'archikecture moléculaire.
1
Pour cela, deux fixateurs: sont couramment .utilisés :
- a) Alcool - Formol - Ac;de
Il
acétique
= AFA
/
- b) Acide acétique - Acide chromique - Eau distillée Nava-
l
- b') Formol - Eau distillée
> schine
-J
B - L'INCLUSION
,
divisée en plusieurs étapes.
Elle permet d'obtenir un bloc homogène et solide.
Ces étapes sont :
- La déshydratation
- La préparation à l'incl+sion
- L'imprégnation au parap ast
B
- L'inclusion proprement Jiite.
c - LES COUPES MICROSCOPIQUES~
Le travail le plus délita+ et le plus difficile est la
!
coupe au microtome. Les r$bans obtenus après la coupe
/
sont étalés ou collés sur/des lames à l'aide d'une solu-
tion d'albumine d'oeuf. !
.
.
a /.

.
.

-5-
D - LA COLORATION
Avant la coloration, il fiaudra d'abord, ôter toute trace
j
de paraffine ou de parap Ifast sur la lame, en la plongeant
dans des bains successif s; de toluène,de l'alcool à des
doses différentes et penld/bnt 10 minutes dans chaque bain
et à l'eau distillée.
i
La formule est TAED -> Toluène - Alcool - Eau distillée.
,
En dernier lieu, la déshyyratation qui consiste à mettre
les lames dans différentsibains d'alcool et de toluène et
enfin dans le Toluène pur.avant de coller avec les lamel-
,
les la partie intéressante à voir au'microsc'ope.
/
N.B.
: Les techniques histolocJiques dont jPai fait les travaux
ne sont pas totalement maîtrihées, ceci à cause du temps court
consacré à cela.
Un stage de perfectionnement $era la bienvenue l'année prochaine
/
pour de plus amples connaissadces. Car la technique histologique
peut rendre beaucoup de choses à la Division Malherboloqie pour
/
la fixation, la conservation, /et des tests de germination des
graines, ainsi que la préparadion des réactifs, la déshydrata-
I
tion pour la conservation à langue durée des gantes et de mi-
- -
lieux.
,
I
/
. . . /
. . .
j
f/

e
- 6 -
I I I - LUTTES BIOLOGIQU ; ET BIOCHIMIQUES DU STRIGA
. LE STRTGA
De la famille des SC
jfuliariacées,
le Stkiga est une
plante herbacée haute de 30
35 cm. Très connu des paysans
par ses ravages. De ce fait,
.l porte beaucoup de noms tels
que : Vampire, HG'te indésira
,e, Suceur, Ennemi des cultures.
Le StLga est une ma 'aise herbe nuisible dans les
cultures de céréales et est
.pable de détruire toute une ré-
colte. Les terres infestées
iuvent rester pendant de longues
durées sans productivité. Le
;ttriga attaque toutes les cérea-
les, il devient un problème
,ès inquiétant dans les cultures
de mil, sorgho, mazs et surt .t sur le Sanio.
Le parasite attaque
1s racines de la plante hote, en
la privant de tous les éléme
s nécessaires à la production
tels que, l'eau, l'azote et
s éléments nutritifs, particuliè-
rement les sucres. Il est un 'arasite obligatoire qui ne germe,
se développe et fleurit que
leurs racines rencontrent celles
de la plante convenable, sur
esquelles, elles se fixent au mo-
yen de suçoirs (Haustorium)
mbreux et petits.
Quand le Stktiga atta,
e une plante hbte, telle que le
mil, ce dernier n'atteint pa
son complet développement.
On constate alors su.
le champ que les épis sont consi-
dérablement réduits et reste:
stériles ,?,les feuilles jaunis-
sent, la tige s'amincie et dl ient sèche.
. . /
. . . .

Quand un champ est indesté de SXtttigu, on le remarque
surtout par le comportement maigre de la culture.
OA constate qu'il y aiun rabougrissement de la plante.
Enfin de cycle, le mil ne pro,uit
d
pas d'épis, il devient sté-
rile. Vers la fin des pluies,! le Stttiga apparait dans l'ensem-
/
ble de la parcelle, c'est en c/e moment que le paysan se rendra
compte que son champ est infejté de SXa.iga ; Trop tard pour y
I
rémédier,les pertes deviennent énormes et importantes et aucun
épi ne sera récolté.
Le paysan ne dispose 4ue de peu de moyens pour lutter
contre ce fléau. Les techniqu$s employées par le paysan pour
enrayer cette plante sont : Ilarrachage, l'épandage de fumure,
mettre une forte dose d'engrafs azoté ou bien mettre les par-
celles en jachère pendant de longues années, les cultures légu-
mineuses, beaucoup de sarclag+s, des cultures associées (légu-
mineuses - céréales), la rotation des cultures. Tous ces fac-
teurs ne font que diminuer oujréduire l'apparition de cette
plante, mais ne peuvent l'enriyer, ni l'éliminer totalement.
La graine de S;tkigu P$ut conserver sa vitalité sous
terre pendant 15 a 20 ans, Sa+s la plante hote, et de germer
dès qu'elle trouve son h8te cfnvenable.
Beaucoup de produits &nt été mis au point aux Etats-
!
Unis et même sont capables deidévitalise* les graines, soit de.
tuer les pieds de S?kiga. Mai.+ ces produits sont d'un coup
onéreux et ne sont pas à la p+rtée de nos paysans.
l
.a.
/ .
.
.

- 8 -
11 importe donc de tr'uver des méthodes de luttes
"
efficaces et peu coûteuses, telbes que la culture des plantes
pièges, la lutte biologique, lai sélection des variétés résis-
tantes. La mise au point d'inhibiteurs ou de stimulateurs de
germination.
. . ./ . . .

- 9 -
IV - MÉTHODES D’ANALY& ÉCHANTIL LONS DE soi.-
- Matériels adéquats
------------- ----
- Echantillon de sable.
- Colonne en verre avec robinet.
- Solutions et réactifs.
- Eprouvettes à col étroit.
- Béchers.
- Pissettes.
- Pipettes.
- Erlen Meyer.
- Fuel gangé.
I
- Eau distillée.
;
- Agitateur électrique.
- Tamis en fer (2000 mm, 1000 mm, 500 mm, 200 mm,
100 0,080
mm,
mm, 04020 mm).
- Tamis locaux (fabrication locale avec tissus de
Gas).
- Silicone graisse. :
- Saniflor.
. . ./
. . .

- 10 -
- Cotol.
- Eau de Javel.
- Cmo (liquide et Poudre).
- Bocal en verre granbe capacité.
- Méthodes d'extra&ition des prairies
--------------------------- -w-m--
a) Prélever 10 à 30 g de sable, mettre ce poids dans les
tamis disposés par ordre; de grandeur décroissante sur
l'agitateur électrique ep appuyer le contact et régler
I
à 15 minutes.
b) Récupérer le sable dans ne tamis 0,100 mm qu'on appelle
tamis de StkLiga, peser c/e poids à la balance de préci-
I
sion et noter sur la feu'lle ; mettre ce poids dans un
1
bécher,
ajouter la solutkon de Carbonate de Potassium à
. ,
la densité 1,4, remuer le plus longtemps possible jus-
!
qu'à ce que le sable et Fa solution soit homogénéisé.
c) Ensuite, on verse le touf dans la colonne en verre dont
le robinet est fermé, rincer le bécber avec la méme solu-
tion, le reverser dans 1s colonne, ensuite, ajouter de
l'eau distillée en nettoiant les bouts de la colonne.
d) Attendre pendant 15 à 20;minutes jusqu'à ce qu'il y a une
nette séparation entre l$ sable et la solution.
e) Ouvrir le robinet de la colonne pour laisser passer le
j
sable en premier lieu et.ensuite prendre le tamis pour
recueillir à travers la $olution les graines de SXkLga
.
.
...“.
/

- 11 -
et les autres particulesjqui étaient en haut de la colonne,
ensuite rincer les bordside la colonne pour faire descendre
les autres graines avec de l'eau distillée.
f) Laver les graines contenues dans le tamis avec beaucou,p
d'eau et pendant longtem$s pour enlever le produit, ensuite
rincer avec de l'eau dist/illée
l
, puis sécher et regarder au
microscope s'il y a des graines.
/
Quand tout cela est fait,; le gros du travail est le comptage
,
des graines.
Cela demande une méthode,; une efficacité, une finesse et un
travail de patience.
N.B. : Des pertes de graines peuivent'se produire sur les differen-
l
tes phases de l'opération d'extrb&i.on des graines :
- au moment de tamiser le sable,:
fJ.
- pendant la récupération à la cblonne,
- au lavage à l'eau de robinet e/t eau distillée,
- même au comptage car les grainbs peuvent étre collées.
. . ./ . . .

R
- 12 -
- Etablissement de Fiche de
--_----__-----------------
ntr6le
-w-m--
Fiche de Renseignements
Résultats analyses : Avec
lution de Carbonate de Potassium.
-
--
N”
1
Densité
NOM
NV
3fds
Poids
Nbre
TOTAL
du
Ident Sachet
3tal
pré-
Poids,
utilisée
Prélè-
de
[ ;ENE-
Obs.
PAYSAN
Par-
schet
levé
tamisÉ i t graineS RAL
celle vement
Igl
-
-
-
-
1,4
Vibra SECK
3919
6
100
34,65
128
1.4
[bra SECK
1919
9
100 I24,40
118
1,4
4bdou BIGUE
1919
53
100
32,t35
120
1,4
Ibdou BIGUE
1919
26
100
26,lO
132
1,4
Ibdou BIGUE
1919
30
100
24,25
,121
1,4
?amba THIAM
607
35
10
3~
625
134
samba THIAM
607
47
10
9,50
643
1,4
samba THIAM
607
77
10
2,90
425
1,4
jamba THIAM
607
75
10 - 3,lO
325
-
-
- Observations
------------
Dans certains cas de prélèl ments de sol, il y a des sachets
qui ne contiennent pas de ! aines de .WGga, mais on y trouve
parfois des brisures de ti!
s et de feuilles.
La densité de solution de ( rbonate de Potassium favorable
est = D. 1,4.
On peut toujours aussi util ser la densité 1,3 qui est un peu
faible ou bien la densité : 5 assez forte.
. . ./
. . .

- 13 -
- Tests de densités
---m-e-----------
Des tests de densité variab es ont été effectués avec dif-
férents produits, tels que
carbonate de calcium, chlorure
de potassium, carbonate de
otassium, etc...
Les résultats sont ci-desso s indiqués :
Tableau récapitulatif des t sts de densités avec solution
de carbonate de,potassium.
-
--
--
-l-
Densités
Nbre de
Numéros
H
Perte
testées
graines
BdS
Observations
-
1
I>l
40
26
Densité très
faible
182
38
20
Densité fai-
ble

183
30
8
Densité sen-
sible
1,4
37
6
Bonne densi-

1,s
40
2
Densité ex-
cellente

-
- Observations
------------
D'après ce tableau, nous av ns pris un échantillon de sable,
on y a ajouté quelques qrai es de Skttiga comptées au départ
après le passage à la colon e. On a su que plus la densité
est grande, plus les graine montent et l'entassement sur
le sable diminue et les per es deviennent presque nulles.
La densité 1,5 est la meill ure mais elle épuise vite le stock
de carbonate c'est pourquoi nous utilisons la solution 1,4 qui
est suffisante pour séparer les graines.
/
. . . . . .

- 1.4 -
v- CONCLUSI/ON GÉNÉRALE
L& but de mon stage a4 Départemeht de Biologie végétale
était de faire une formation sur les méthodes et les techniques
d'analyses et d'extra&ion desigraines de S;ttLiga dans les prglè-
vements de sol effectués pendant: la campagne hivernale 1985-1986.
/
Le but a été atteint d'un côté, 'car le travail effectué est posi-
tif dans la mesure où la technique a été maitrisée, reste mainte-
nant la concrétisation et surtojt la continuation de ce travail
au niveau de BAMBEY. Pour cela,!il faudra faire tout le nécessaire
pour acheter le matériel nécessgire et installer un laboratoire
similaire à celui de l'Universi$.é ou presque afin de pouvoir abou-
tir au résultat escompté pour 18 bonne lutte que nous menons con-
tre le Sthiga.
Je termine ce rapportide deux mois de formation très in.-
suffisante pour les thèmes que je devais faire et demande encore
que ce stage soit renouvelé l'aqnée prochaine pour une meilleure
maîtrise des techniques histolo$iques car cela nous permettra de
!
bien aboutir aux réalités que nius visons.
Mais quand méme je remercie tous les auteurs de ce stage.
Je remercie ici mon Chef de Sertice M. Moctar WADE, Responsable de
la Division Malherbologie du C.$.R.A. de BAMBEY qui n'a ménagé au-
cun effort pour que ce stage ai+ lieu, en mettant à ma disposition
tous les moyens matériels et suitout
4
financiers pour le bon dérou-
lement de ce stage. Je le remercie très sincèrement et du fond de
mon coeur.
/
. . . . . .

- 15 -
A Messieurs Léopold SIRR et Jacques FAYE, tous du Dépar-
tement Systèmes,
A'Monsieur El Hadj GUFYE, Directeur du C.N.R.A. de
l
BAMBEY,
A Monsieur Moussa TOURE, Responsable de la Formation,
A mes collègues du Selvice et du Pool III :
- Aly NDIAYE, Technic'en Horticole, Responsable des
1
Essais à SRMH
1
!
- Pathé FAYE, Ouvrier; qualifié à SRMH.
Enfin tous ceux qui mront aidé de près ou de loin dans
cette tache difficile. Je leur bis merci du fond du coeur.
d
Alioune Sylla MBODJ
SR.MH
-------------------

- 16 -
BIBLIOGbAPHIE
l- AYENSU F.S. et al. 1984. SAhrga Biology and control I.CSU
Press International Devel pment Research Centre.
p
2 - BOUFFIL F. et 2. AUBERT J.R.: 1948. Methodes de luttes contre
le S~~iga parasite du mil:. C.N.R.A. BAMBEY A. T. vol. III
5 et 6.
3 - GABE M. 1968. Techniques cyt/ologiques.
/
MASSON et Cie Ed. PARIS. (
4 - GAUTHIE A. 1928. Technique botanique, 2ème Ed. J. LAMARRE,
PARIS.
/
5 - HOFFMAN G. 1968. Contributiqn à la lutte contre le S;taiga
he&manaZhcca (DEL. BENTH.)!. Etude des cultures.
Diplôme d'agronomie tropqcale.
6 - JOHASEN D.A. 1940. Plant miqrotechnique. M.C. GRAW-HILL
Book Company, New York add London.
7 - LANGERON M. 1949. Précis de jMicroscope,
5ème Ed.,
MASSON et Cie, Ed. PARIS.!
. . ./
. . .

- 17 -
8 - LISON L. 1960. Histochimie et Cytochimie animales.
/
9 - PAKER J.R. 1966. Cytologicai Technique, 5ème Ed. METHNEN
et Cie, London.
10 - RAMATAH K.V. et al. 1983. Manuel d'identification de lutte
contre le Sbcga. ICRISA$ Bulletin d'Information no 15.
8
1 1 - VENNING F.D. 1954. Manual 0" advanced ejlant microtechnique
WM-C. BROWN Company, DUBdQUE-IOWA.
-m-j-

- 18 -
MATERIEL DE LABO;, + PRODUITS RÉACTIFS
- Colonne en verre avec robinetk
- Eprouvettes à col étroit - 1010 à 2000 cc.
- Bouchons en caoutchouc.
l
- Pissettes.
- Pipettes en verre graduée.
!
- Béchers.
- Erlen Meyer.
- Fuel
atlgé.
T.
1
3
- Bocal en verre grand modèle. j
- Tamis en fer 2000, 1000, 500,;200, 0,100, 0,050, 0,020 mm.
- Tamis locaux (fabrication local avec morceau de gaz).
- Densimètres et Alcomètres.
i
- Chlorure de Sodium.
- Carbonate de Potassium.
- Chlorure de Potassium.
- Bicarbonate de Sodium.
- Chlorure de Calcium.
- Ethanol.
- Alcool 100' ou 95'.
- Eau distillée.
- Paraffine ou Paraplast.
- Parafilm.
- Toluène.
.*. /
. . .

- - . .
- 19 -
- Baume Canada.
- Carmin 40.
- Albumine d'oeuf.
- Formol.
- Acide acétique.
!
- Acide sulfureux.
- Acide périodique.
- Pinces plates.
- Lames et lamelles.
- Kleenex.
- Tube de'BOREL
- Colorants.
- Microtome pour coupe microsco ique.
- Microscope pour comptage graines et coupes microtomiques.
- Colle ARALDIT.
- Bidons plastiques 10, 20, 30, 140 litres pour eau distillée.
- AJAX.
- Cotol.
- Saniflor.
- Silicone graisse.
- Platine chauffante.
- Gaz (équipement).
- OMO (Poudre et liquide).