RECHERCHES SUR LES MALADIES DU MIL ...

RECHERCHES SUR LES MALADIES
DU MIL
Rapport annuel 1983
Par
D,F. MBAYE
P h y t o p a t h o l a g i s t e ISRA-CNRA Bambey

Personnel :
lemba F.
MBAYE
Chercheur
Ngor
SENE
Observateur
Mbayang
SAMB
Observatrice
Saliou
SY
Ouvrier
Lamine D.
FALL
Ouvrier
Ngor
DIACPJB
Ouvrier
F.
DIONE
Ouvrier
Ngor
GNING
Ouvrier
ont Qgalement particAp aux travaux des stagiaires de 1'ENCR de Bambsy
et de l'ENSUT de Dakar.

TABLE DES MATIERES
_-_--------_--.-_--
___--m.L----_---_--
Pages
Conditions climatiques pendant la campagne 1983...............
1
Introduction ..~...~.~..............................,........~.
2
Chapitre 1 : REVELATION DES NIVEAUX DE RESISTANCE DES VA-
RIETES DE MIL AU MILDIOU ET AU CHARBON
3-10
1 - IntBret .........................................
3
II - Choix du matQrie1 ...............................
3
III - Choix de l'environnement et conditions de con-
duite de l'essai ................................
4
IV - Dispositif expQrimenta1 .........................
5
v - Techniquas culturales et travaux ePfectu6s ......
5
WI - Analyse statistique des rkwltats.............'. .
5
VII - RBsultats et discussions ........................
6
Conclusions .....................................
10
Chapitre II : ETUDE DE DEVELOPPEMENT DE L'EPIDEMIE DU
MILDIOU SUR DIFFERENTES VARIE"ES DU MIL POUR
CARACTERISER LEUR RESISTANCE ...............

11-14
Introduction ...................................................
11
1 - Matbiel et mdthodes ............................
11
II - Dispositif expbimental ..........................
1 2
III - RQsultats ........................................
1 2
IV - Discussions .....................................
1 3
v - Conclusion5 .....................................
13
Chapitre 'III : CONTROLE DU MILDIOU PAR LE METALAXYL ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
15-19
z - Introduction ...................................
15
II - Intér&t do 1'expQrimentation ...................
1 5
111 - MatBrials et méthodes ..........................
1 5
rt -.RésuLtats et discussions .......................
1 6
v - Conclusion5 ....................................
19
Chapitre IV : PROSPECTIONS PHYTOPATHOLOGWJES
.................
20-21
CONCLUSIONS GENERALES ET PERSPECTIVES .........................
2 2
Bibliographie .................................................
2 3
Tableaux, Figures .............................................
2 4
Annexas :..............................*
......................

-l-
IIt - CONDITIONS CLIMATIQUES PENDANT LA CAMPAGNE 1983,
(Tableau 1)
La campagne agricole 1963 au Sénegal se caractérise par un deficit
pluuiométrique dans presque l'ensemble du territoire national provoquant ainsi
une chute irrlportante de rendements des principales cultures,
Dans certaines regions, où il n’a presque pas Plu
( le Nord), les
recoltes du mil, du mars et du scrgho sont presque inexistantes. Dans d’autres
régions où la quantité tstale des pluies tombees aurait permis des rendements
convenables {au centre Sud, B l'Est),
mais la mauvaise repartitian de ces der-
nières a dissout tout espoir. En effet, la rupture des precipitations au moment
de la floraison (mcment decisif dans la vie d'une plante) et leur arr& precoce,
n'ont pas permis aux mils sorghos et maïs de poursuivre leur develappement nor-
mal et dans
certains cas de boucter leur cycle végétatif'.
Les observations effectuees ces dernieres annees semblent montrer que
le développement du mildiou n'est Pas lié & la quantité de pluies tombees
(Girard, 1974).
Par centre, pour le charbon,
l’erg&, l a bacteriose et l a pyri-
cularioipe, ce facteur est un des plus determinants.
L'évolution de la temperature
à Bambey pendant cette campagne se carac-
térise par une presque uniformité où la moyenne tourne auteur de 30°C, avec un
minimum de 21°C et un maximum de 40°C. Cette
temperature,
bien qu'excessive à
certaines heures de la journee est, en géneral, normale pour le developpement du
mildiou du charbon et de l’ergot. Tesugi (3935) indir;oe l'infection du mildiou
est plus importante quand la tempesature moyenne du 001 est de 20-21°C avec un

minimum de IZ-13°C et un maximum de 30°C. Le charbon et l’ergot se développent
normalement dans le meAne fourchette de températures.
L'humidité relative de l’air pendant la pdriode de culture du mil &
Bambey a varié en moyenne journalière de 79 $ à 100 $ et par décade de 69 $ à
89 $i ; ce qui n'est pae suffisant pour assurer le bon developpement des maladies
precitées
dont leur optimum voisine à 100 $.
En conclusion, on Peut dire que les conditions climatiques pendant la
campagre 1983 ne eant favorables ni au développement (es cultures, ni au foison-
neW:nt des
maladies.

INTRODUCTION
La culture du mil est connue depuis trss longtemps. Mais les renderaents
en grains à l'hectare
restent
faibles. Parmi les contraintes au rendement,
il faut citer les problemes causés par les maladies.
Les principales maladies qu'on rencontre sur le mil sont le mildiou
(Sclsrospora oramini
micrnsephala (Wallr)
TU~.) et le charbon
autres comma le
p y r i c u l a r i o s e e t l a bactsriose
s o n t moins importantes.
Faute d’avoir des méthodes de lutte chimique efficaces, économiquemant
rentables et n'ayant aucun risque pour toutes les composantes de la biosphère
d'une part, et compte tenu du bas niveau de production du mil dans le monde
rural senegalais d'autre part, ainsi pour lutter contre ces maladies, nous sommes
nous
orientés vers la méthode génétique de lutte, c’est-à-dire la création de
variltés rhsistantes
aux maladies. Cela signifie tout d’abord qu'il faut être
capable d'identifier des sources de résistance.
Nous avons mis au point un dispositif expérimental de criblage de
variétés de mil pour la resistance
au mildiou (Mbaye, i982). Aussi des methodes
de criblage vis-à-vis du charbon et de l’ergot ont et6 mises au point à 1'ICRISAT
et ont fait leur preuve. Cependant, ces differentes methodes de criblage prssen-
tent quelques insuffisances
:
1’) e l l e s n a p e r m e t t e n t p a s d e connaitre l a n a t u r e d e s resistances
iJenti-
fiees ;
2') il est difficile sinon impossible de maitrieer l'influence de certains
facteurs environnementaux sur le processus Bpidemiologique des maladies.
Donc, il s’avère urgent de trouver d’autres méthodes persluttant,, autant
que faire se peut,de faire une analyse qualitative de ces resistances.
Mais, nous restons convaincus qu'a long terme la protection du mil
contre les maladies devra necessairement
conjugusr dlfferentes methodss de lutte
judicieusement choisies et associees, compte tenu, par ailleurs des imperatifs
Bconomiques, sociaux et écologiques.
C’ est pourquoi, nws devons aussi prospecter d’autres voies de lutte,
telles que cslls chimique et agrocuiturale.
Aussi pour mieux cerner l'évolution et l’importance des maladies du
mil et des cultures en rotation avec lui, il est important de lss suivre pendant
la periode de l’hivernage.
Donc les principaux axes de nos activites
pendant cette campagne sont
les suivants :
1') RBvQlation des niveaux de resistance des varietés de mil au mildiou, a
l’ergot et au charbon ;
2') Etude de l'épid6miolog3.e du mildiou sur des varilljtes du mil pour carac-
t6riser l e u r resistance
;
3’) Contrble du mildiou par le methalaxyl ;
4’) Prospection en milieu paysan et dans les essais.
Remarque : Le nir*eau de developpement de l’ergot Qtant tres faible pendant cette
rnlrm#Tn.-? * nniia ",.-.,."-- n-- m.. --- --7** .

CHAPITRE 1 : RE,'ELATIOM DES NIVEAUX DE RESISTANCE Dt:S VARIETES DE
_---- ---==
.---.-.----
1 - I.NTERET
Catte experimentation a pour but de circonscrire le nivtiau de réaction
de differents matériel9 engages dans un processus de sélection par rapport aux
maladiss du mil pour essayer d'en caractériser la resistance.
II - CHOIX DE MATER1 EL
Le matbriel végétal est constitu6 d'une part, par le materiel sur
lequel travaillent les sélectionneurs du mil au Senégal et d'autre part, par le
materie de la Cooperation Internationale fourni par L'ICRISAT.
Chaque type de materiel est integré dans le cadre d‘un projet de re-
cherche de selection dont nous maintenons la codification pour dssigner le type
do matériel teste. Ces projets et leurs codifications sont les suivants f
1°- Structure
et Evolution dse synthetiques (GAI%EV@)
Il s'agit dans ce projet de creer des synthétique9 et de suivre leur
évolution. Ce qui aurait permis en tout état de CWSI~ d e c i r c o n s c r i r e l e s c r i -
tères d'optimisation des paramètres qui definissent la valeur d'une varieté syn-
thetique. Le projet a ddbuté en 1976 et a abouti à li3 crsation de huit (8) syn-
thétiques. Cos synthétiques ont et6 multipliées en 4
qenerations. Mais seulement
29mf#Bae mt pu@hza int;Og]PAesdans l'essai.
Ce projet a été initie par le service
GAM-Ame1 du CNRA de Gambey.
zn - Création de liqnées
Ce projet a pour but de créer et d’explOitor des lignees ou d'amelia-
rer celles déjà existantes en vue de les utiliser en tant que telles. Ce prnjat
comprend deux sous-projets :
a) Sous-pro jet : GAML : Il comprend 10 entrées qu'on veut exploiter
en tant que lignees.
b) Sous-projet : fi : Il comprend 28 entrées qui sont des lignoes pour
lesquelles on est entrain de suivre un certain nombre de caracteres
et elles pourront être utilisées ultérieurement dans le projet
CREATION DES SYNTHETIQUES.
30 - Essais de rendements nationaux
Ca sont des essais de rendements multilocaux qui sont menés dans 3 à
5 localités du Sénégal. Les produits t'01ite8tt 9Blectionnes à partir des essais
regionaux et internationaux et des synthetiquas dérivses du projet amelioration
dos synthetiquos sont evalues dans un essai de Rendement Initial (PYT). Le mat&
rie1 selectionne
à partir du sous-projet Rendement In.illial est conjointement
évalue par Los chercheurs de 1'1 CRISAT et de l*ISRA dans un sous-pro jet do Ren-
dement Avancé (ECON) dans plusieurs localit6s. Les entrees qui sont selectionnd*
à partir de ce dernier sous-projet
sont recommandees pour des tests de pre-
v u l g a r i s a t i o n e t p o u r d o s e s s a i s regionaux.
Ce projet Comp:rend pendant cette campagne trois (3) sous-projets qui
sont 13s suivants :

- Essai rendement initial (PTT) : il comprend 9 antrees et 5 repeti-
tions ;
- Essai conjoint ISRA-ICRISAT (Essai rendement avancé) (ECON) : il
comprend ID entroes et 6 raputitions ;
- Collections Sauna : comprend 34 collections de Souna (440 entreesj
reparti avec deux témoins : IBV 8004 et Souna III. On a donc deux
s6ri.99 :
. série avec Souna III comme t6moi.n.
. skis avec IBV 8004 comme t;Smoin.
4O - Sélection pour la rasistance aux maladies et aux insectes (LRAM)
Ce projet a dgbuté en 1981 avec comme objectif d'incorporer la resis-
tance du mildiou et du charbnn dans les matériels de sélection "6lites". Après
quelques sélections, 79 entrées ayant un bon aspect visuel furent sélectionnées.
Los variétés seront test6es pour dvaluation vis-à-vis des maladies et des insec-
tes. Les inbreds appropries seront utilises pour développer des synthdtîquos.
L'essai comprend 81 entrées avec 2 répétitions et est mené dans deux
localites
difff$rentes, à Nioro ot à Bambey ; à Bambey, l"essai est implantd dans
deux sites diffbrents ; dans la pepinièro de MALADIES et dans les essais de
SR/I CRISAT.
5O - PQpinieres internationales de maladies
Ce projet comprend deux (2) sous-projets : PBpiniere Internationale
du mildiou (IPMDMN). Il est constitué de 50 entroes a’tiec 2 repetitions.
- Popiniére Internationale du charbon (IPMSN) : comprend 34 entrdes
avec 3 ropétitions.
Ce prcijet rentre dans le cadre da projets coop8ratifs avec 1lICRISAT
et a BtO initi6 par cet institut.
III - CHOIX DE L'ENVIRONNEMENT ET CONDITIONS DE LA CONDUITE DE L'ESSAI
L'essai criblage nous a conduit à porter notre choix sur la sole
“irrigable”, du cote EST de la piscine, B cot0 de la vanne pour permettre d'assu-
rer l'irrigation nécessaire au momant propice. Tout le matSrie végetal dans cet
essai a 6té implant6 dans la pépinière dt? maladies où la pression de s8lection
vis-à-vis des maladies du mil est assez forte.
L' essai criblage, comme tousles autres wsais, pendant l’hivernage
1983, a St6 mené dans dss conditions fort difficiles. En effet, en plus de l'in-
suffisance et de l’irregularité
des pluies, la Pompe d’irrigation est restea tout
le temps en panne, ce qui ne nous a pas permis d’apporter le complément d'eau
nécessaire à la fuis au bon d6veloppement du mil et des maladies. Cependant, la
pression de sélection das maladies a ét6 plus forte dans la PEPINIERE DES MALADIES
que
partout ailleurs dans l’environnement de Bambey.
Dans le but de mieux circonscrire le niveau d'intensitd et de rdparti-
tian de la pression de s6loction dans la parcelle de criblage, nous avons dessin6
le plan de la parcelle sur lequel nous avons materialiod le niveau d’attaque sur
les lignes témoins de sensibilito disp6rsGe.s à travers toute la parcelle. C:e tra-
vail nous a
permis do constater que la pression-de ?? alectiun a dtd tr$s forte
dans la parcelle d'essai (la sSv6rit6 moyenno (S) sur les lignes-témoins do sensi-
bilitd est de 97 $> et assez bien également repartio (!S varie ds 74 % 100 $).

-5-
p a r a i l l e u r s , l'arrât brusquo dus pluies n'a pas permis à certain
matdriel d'atteindre la maturitb.
IV - DISPOSITIF EXPERIMENTAL
Comme nous l'avons indique là haut, tout le matériol est implanta dans
la PEPINIERE DE MALADIES, qui est un dispositif experimcntal ~66 pour cribler
dos varibt4s do mil vis-a-vis des maladies (D.F. MBAYE, 1982). Le schema global
de l'essai est indiqué dans l'annexe 1.
w - TECHNIQUES CULTURALES ET TRAVAUX EFFECTUES
Pour les differentos techniques culturales, se conférer au document
intitule "Fiches tcchniquos établies cn vue de roalisation de l'enpdcinnta&5on
1980-1981".
Durant la conauite de l’essai, les travaux suivants ont éte effectugs :
*Pour le mildiou :
- observation et notation au tallage (incidence) ;
- matérialiser les hotes précocement attaqu4s par un piquet adéquat
apposé au 30e jour ;
- irrigation tous les deux jours, tard le soir pendant 30 minutes avec
les brumisseurs 8 pour assurer au mil un complsment d'fsau nécessaire à son dewe-
loppement,
irriguer avec les sprinklers à chaque fois que c’est necessaire.
Mais
il faut remarquer que la pompa étant presque tout le +:emps en panne, l'irrigation
n'a pas éte effectuée comme il faut.
*Pour le charbon :
- pose de sachets d'autof5condation au stade gonflement, à raison de
10 chandelles par ligne ;
- Au bout de 2 semaines, enlever les sachets pour éviter que le déve-
loppement des moisissures ne vienne interférer avec le charbon ;
- effectuer la notation selon l'échelle codifiée entre le 15e at la 20e
jour aprés la pose de sachets d'autofécondation,
*Pour l e s a u t r e s m a l a d i e s :
- e f f e c t u e r dee observations et évaluer leur incidence (Ce dernier point
n'a pas pu Mre réalisé faute de moyens humains).
VI - ANALYSE STATISTIQUE DES RESULTATS
Pour l’interpretation des résultats nous avens procédé à une analyse
de variante simple a un facteur. Dans les cas où il y a une différence signifi-
cative entre les moyennes, nous avons calcule la p.p.d.s. (la plus patite diffé-
rence significative).
Remarque : Pour le projet COLLECTION SOUNA,
pour une question de place, ne renfer-
me qu'une répetition par zntree et par consequent les resuftats n’ont pas pu ôtre
intogrés dans l'analyse statistique.

-6-
VII - RESULTATS ET DISCUSSIONS
R - Préambule
La réaction de la varieté vis-à-vis des maladies est appreciée Par
deux critsros :
1 - Incidence (1, $>
: pourcentage de plants malades quelque soit le
degre de gravite de la maladie.
2 - Séverite ( S , $) : qui sxprime la gravité de la maladie.
Les relations qui permettent l'evaluation de ces paramètres sont con-
signees dans l'annexe II.
D’autre part, nous basant sur l'expérience acquiso dans le domaino de
la résistance aux maladies et surtout dans 10 but d’harmoniser nos methodes d'in-
terprétation des resultats avec des centras de recherche avec lesquels nous avons
une collaboration scientifique trés Etroite (notamment l'ICRISAT), nous allons

conventionnellement classer les varibtds selon leur niveau de résistance :
- Variétés ne présentant pas de symptbmos : VARIETES INDEMNES
(Séudrite ( S ) = 0) ;
- Variétes ayant un indice de sévarite inferieur à 5 $ (SkS %), sont
appelles VARIETES HAUTEMENT RESISTANTES ;
- Variétes ayant un indice de sévdrite compris entre 5 $ et l0 $ (5 $(
sç.10 $), sont appelles VARIETES RESISTANTES ;
- Varietss ayant un indice de sdvérite compris entre 10 $ et 20 $ sont
appelles VARIETES MODEREMMENT RESISTANTES ou TOLERANTES (10 $4 S$ZOj$;
- Variécds ayant un indico de severité compris entre 20 $ et 50 k sont
appelles VARIETES SENSIBLES (Sf20 $450 ;:A) ;
- Variétes ayant un indice de sévérite superieur à 50 $, sont appdlees
VARIETES HAUTEMENT SENSIBLES (S> 50 a).
C e t t e c l a s s i f i c a t i o n peut etrc r e t e n u e p o u r l e s t r o i s maladies : mil-
di ou, charbon et ergot.
0 - RESULTATS NUMERIQUES
Les resultats numériques sont consignes dans les tableaux 2 à 16. Nous
allons analyser les resultats Par projet :
3.1 - Pro jet : Structure et dvolution des synthdtiquos (GAM-EVOL) vair tableaux
2 et 3
Pour le mildiou, les moyennes generales de l'incidence et de la sevérite
sont de 9, ‘% $ et 7,49 % respectivement. Les forts coeff. de variation de ces
deux indices montrent qu'il y a une grande variabilité ontrc las individus de
ces populations. Eu bgard à notre hypothèse de depart, nous pouvons classer les
différentes entrees comme suit :
- Variétés indemnes : 10 GAM 90 N Synt 3. 3e générat.
- Variétes hautement resistantes
: 4 GAM 3/4 Synt 1, 5 GAM 314 EB Synt.0,
5 GAM 3/4 ES Synt 3, 5 GAM K-80-85 Synt 3, 5 GAM VI 80w85 Synt 3
3a génerat, 7 GAM G65 Synt 0, 7 GAM G65 Synt 2, 10 GAM - 90 Synt 2,
10 GAM-90 Synt 3 ;

- Varietes rÉsistantos
: 5 GAM 314 EB Synt 1, 5 GAM 3/4 EB Syn 12,
S GAM 314 Sauna Synt 2, 5 GAM III-80-85 Synt 0, 5 GAM VI-80-85 Synt2,
7 GAM G 65 Synt 1, 7 GAM G 65 Synt 3, 10 GAM 90 N Synt 3, 10 GAM%IN
Synt 3 3e genorat, 11 GAM 90 Synt 0, 11 GAM 90 Synt 3, 11 GAM 90
Synt 2.

- Varietes moyennement rdsistantes : 4 GAM 3/4 HK Synt 0, 4 GAM 3/4 HK
Synt 2, 4 GAM 314 HK Synt 3, 5 GAM 3/4 Souna Synt 0, 5 GAM 3/4 Sauna
Synt 1, 5 GAM 314 Synt 3, 5 GAM VI-80-8S Synt 1.

En ce qui conczr ne le charbon, seules les entroes 5 GAM 3/4 EB Synt 2,
5 GAM VI 80-85 Synt 1 bt 5 GAM VI au-85 Synt 3 3e gBnarat se sont réwelees moyen*
nement résistantes. Toutes
les autres se sont montrdes sensibles.
7.2 - Pro.jet : Cr6ation de liqnees
3.2.1 - Sous pro jet : GAML (Tableaux 4 et 5)
----...---"L-
e-v..
Les moyennes générales de l’essai pour l'incidence et la severité sont
respectivement 3,67 $ et 2,13 $ pour le mildiou.
Toutes les variotes sauf une (H7-89
avec S = 5,04 7:) ont des indices
d e séverité i n f é r i e u r s à 5 $ et se sont revalues ainsi hautement rbsistantes.
Cependant, les coeff. de variation très elevés montrent une grande variabilite
inter et intravarietale. Pour le charbon, bien que toutes les entrees se soient
montrees sensibles à cette maladie, H7-88 (50,88 $) et H4-24 (54,2 $) s'en dis-
tinguent parti culi&reRent
par l e u r incapacite 81 contrbler c e t t e m a l a d i e u t e x -
priment une grande sensibilité à cette derniére.
7.2.2 - Sous-pro jet : lignees Fg (TabLeaux 6 et 7)
-------..-I.w
---.m---m.--
Ce matSri& se caracterise
par une grande variabilito inter et intra-
wari0taI.o vis-à-vis du mildiou.
En effet on distingue plusieurs profils de r6action vis-à-vis du mil-
diou :
- Les entrées E2-47-21-18, E3-29-48-16, Ell-12-23-18, El5-48-41-60,
El7048-41-60, E22-46-36-24 se sont révelées hautement resistantes ;
- Les entrées comme El-36-18-9, E4-48-41-47, E7-48-41-45, E9-2-34-31,
E18-46-36-25, El2-29-21-17, El3-48-24-14, El6-48-41-50, El8-50-40-32, E2G-48-24-13,
E21-11-46-27,

E23-11-46-25, E24-48-41-42, E28-45-44-43 ont exprimé un bon niveau
de resistance et l'indice de sévérit8 ast compris entre 5 $ et 10 $ ;
- E5-44-38-5, El4-2-40-40, El9-46-38-2 et E27-48-41-48, quant à elles
semblent moins rÉsistantes que les deux pramisrs groupes. Leur indice de séveri-
té varie de 10 à 20 $.
- Tout le reste du lot, e savoir, E6-50-40-30, E25-42-40-10, E26-Z-34-42
s ’ e s t r é v é l é i n a p t e s SI c o n t r ô l e r le m i l d i o u .
Cependant le niveau global de résistance semble acceptable car :Les
moyennes génerales de l'incidence et de la sevérité sont de 15,ll $ et 10,32 8
respectivement.
P ar rapport au charbon, toutes les lignées se sont rrJIv616es particu-
librement sensibles et inaptes à controler cette maladie.

t.3 - Pro.iet : Essais de rendements nationaux
. Sous-projet : Essai rendement initial (PST) (Tableaux 8 et 9)
eMwws....--w.m-
I-------L----"-"----"------~--
Parmi les entrées consid$rées, seul8 IBU 8004 CO. Syn 1 a exprim6 une
bonne aptitude B contr8lsr le mildiou (S = 5,45 %). Les entrdes comme TBV 8001
CO. Syn 1, fBU 8004 (M) CI Syn 2, Souna III (SI> Cl, IBV 8001 (M) Ci Syn 2 quant
à slles, se sont révé18as moyennement rdsistantes. Les autres ont eu des moyennes
de la
sévérit6 sup&ieures à 20 % et se sont, par conséquent, montr6es inopt$ran-
tes quant à leur pouvoir de contrble du mildiou.
En ce qui concerne le charbon, seule IBV 8001 CO. Syn 1 a exprim6 uns
certaine résistance (S = 18,73 %) ; toutes les autres sont sensibles.
3.3.1 - Sous-pro jet : Essai conjoint (rendement avan&) (ECON)
a.s"-"-a..M-m-m
----------u-_------_________________I__
(Tableaux 10 et 11)
Toutes les entr6es de cs sous-Projet ont exprimé une bonne aptitude
à contrbler le mildiou, car la moyenne maximale de la sBvBrit6 est 9,80 ‘$ (IBU6001)
au niveau de l'essai. Cette capacit6 à controler le mildiou est d’autant plus ac-
centu6e chez les entrdes ICMS 7879 et H7-66 qui se sont rév818es hautement résis-
tantes.
Cependant les forts coefficisats de variation des indices de l'incidence
et de s6vBrité indiquent qu'il y a une grande variabilit6 inter ou/st intravariG-
tale.
Par contre, toutes les entrées ont exprimé lune sensibilité vis-B-vis du
char bon, sauf ICMS 7819 qui s’est rdvélée moyennement rdsistante (5 = 12,17 %).
7.3.2 - Sous-pro jet : Collection souna
-.me.P...---w-m
.m---c-.w----~~-~"
Pour la série souna 1 II (tableau 12) beau coup df entrdes pour ce sous-
pro jet n’ant pas atteint le stade épiaison et ont séch6, par consdquent, n’ont
pas QtB intégrées, dans l’analyse des résultats. Finalement seules 199 entrdes
ont pu boucler leur cycle et donner des résultats analysables.
Selon notre convention de départ, ces 199 entrdes peuvent êitre class8es
en profils de réaction au mildiou diff6rents :
- 30 entrbes SE sont montrées indemnes de mildiou, 7 ont prdsenté des
moyennes de sév6rit6 inf6rieures à 5 % j 25, des moyennes comprises entre 5 et
10 % ; 48 des moyennes comprises entre 10 et 20 ,% et El3 des moysnnes supbrieures
à 20 $.
Toutes les cntr&o ont psIronti deti, chandelleo cherbonnloa :
- 54 ont des dagrès d'attaque inférieurs à 5 % ;
- 30 ont des degras d'attaque cci@pria sntre 5 et 10 $ ;
-41

II
II
compris entre 10 et 20 % ;
- Toutes les autres ont eu des degrds d'attaque supdrieur à 20 %,
- Pour la skie avec IBV 8004 (Tableau 13), 357 entrdes sont indemnes
de mildiou;15 ont présenté des s6vérit6s infdrieures à 5 %; 36 des s8véritr$s com-
prises entre 5 et 10 %, 25 des s6vérités comprises entre 10 et 20 % et 7 des sd-
vGri.t&s sup8rieures à 2 0 %.

En ce qui concerne le charbon, toutes las sntrees ont presente des
symptbmes de cette maladie, cependant on peut distinguer un certain nombre de
profils selon leur degré d'attaque :
- 73 entrees ont présenta des severites inférieures à 5 $
- 21
11
II
II
comprises entre 5 et 10 %
- 70
I l
II
$1
c o m p r i s e s e n t r e ICI et 20 $J
-262
II
II
Il
supérieur es à 20 %
- 14 entrées n'ont pas épié et n'ont pu Btre l'objet d’observation.
7 .4 - Pro.iet
: Sélection pour la resistance aux maladies et aux Insectes
(LRAM) (Tableau 14)
pour les localites de Nioro et Bambey (dans les essais de llICRISAT),
seules les observations sur l'incidence du mildiou ont pu être effectuees. D'au-
tre part à Louga,

10s entrees n'ont présenté aucun symptome de mildiou. Enfin
dans l’essai criblago, la plupart de, entrYrJs du soue-projet LRAM n'a pas b#ibr et
a uita eocho CO qui nous a mis dans l'impassibilité de
faire les observations
sur le charbon.
Les observations effectuees sur le mildiou dans les trois sites montrent
que :
- seule l’entree E8 137-1-I x E8 132-2-5-I ,a et6 indemne dans tous les
s i t e s considdrés ;
- la variété Sauna 111, a presenté des indices d'incidence infkieurs
à5%;
- les entrees ITV 8002, Souna III, ICMS 7703, NELC A79, TOGO-Short-S-S,
7673-1, EB 1371-l x EE 132-2-5-1, WCFS 1448-S 1DM-1 prgsentent des
indices d'incidences compris entre 5 et 113 % ;
- les entrées ICMS 8139, ICMS 8028, ICMS 7806, IBV 8001, IBV 8105,
IBU 8004, IBV 8108, IBV 8001, IBV 8004, IBV 8108, TGBSC-80, EBKC-C80,
TCMS 7909, ICMS 7703, 1 CMS 7909, SSC 9114,) TOGO-SHORT 3-1, TOGO-SHORT
2-1, IMPS 8002, IMPS 8021, 1038, VCF 42--l,, EB 237-3-A576 x 5934 x
700797 19-I-5-1, EBS-4-6-1-I-2-2, p4 89-5-3-1, N. Ep588-5690. 58-4-2
ont des indices d'incidence compris entre 10 et 20 $ ;
_ Toutes les autres ont présenté des fluctuations d'un site à l’autre
allant parfois de 0 & plus de 20 % ;
- Les ER 209-l-6 et WCFS 151-Si-1 ont presente des indices d~incidencs
supkieurs à 20 % dans tous les sites ce qui prouve leur inaptitude
a contrbler le mildiou.
quant à l'aptitude des entrees à controler le charbon, on peut dé5gager
les profils suivants :
- Entrees hautemofit resistantes au charbon : Nigerian composite, NELC
A79, SRC P.1505, 1031.1, IP2253 x EB 237-3-1-1, EB 137 1-I x El3 132-
2-5-l ;
- Entrees résistantes : IEJV 8108, ICMS 78-19, IBV 8001, IBV 8108, IBV
8106, EBKC-C80, VCF4 9-5, EB 137-I-1 x EB 117-2-l-3-2, EB 137-')-? x
El3 117-2-1-g-1, p4 89-5-3-1, El3 116-1-1-5-3-1 DM-l-l, WCFS 151-51-1,
SC2 (Ml-1 ;


-lO-
- Entrées moyennement résistantes : ICMS 814î, MBH 131 Brustted,,
SSBB78, IBW 8114, IBW 8001, IBV 8105, IB\\I 8103, 18V 8004, TGBS C80,
Souna III, ICMS 7703, SSC 9114, TOGO-Short-5-4, TOGO-Short-2-?,
IMPS 8002, ICMS 8043, 7673-1, WCF4 47-5-1, EB 237-3A576 x 5934-7 x
700797 19-Y-5-7-1, WCFS 148-SlDM-1, N.EP 588-5690.58-4-2, EBl16-'i-1-5.
3-l DM-I-2.
3.5 - Projet : PQpinière internationale du Mildiou (IPMDMN) (Tablaau 15)
La moyenne gén6rale de l'indice de sévérit8 est de 6,61 16 CQ qui denote
une bonne performance du matciriel.
Les varietés comme 700546, 700651, P7, P-524, P2672, P2964, IVG-P-78,
MPP-7147-2-1,
IP-1930, MC-P-8003, SDN 503, SSC-BR78 (Reconstituted), MAVOA n'ont
présenté aucun symptome de mildiou. Les entrees comme 700251, 700516, 310, p1607,
Pi610, P2609, EB-832, EB-292-2-i-8,

(EB 132-2 x 700431-34-5) x P-7 x SC(S) 4-27-
2-1)-1, P-7 x (B-282 x J-804-1-1)-3-l, NELC-79 (original), NECC-79 (Reconstitu-
ted), IVC 80031, IVG 80082, IWC 80135, IVG-P-8001, MC-80116, SDN 714 se sont
réw818es hautement résistantes et ont présent8 des moyennes inférieures 73 5 %.
En outre, les entrdes 700512, P-105, P 513, P 2894, F4 Fc-1436-4-3-2 x J-
104 ST) 1, VC-P-8004, SC-14 (M) 160, 8. Témoin, Local suscept. 1, local Suscept 2
ont présent8 une bonne resistance,
Enfin, (B-262 x 3/4 Ex B-100)-11-9-2, 7042 se sont rév&lBes très sensi-
bles au mildiou et ont depassé m&ne les témoins de sensibilité locaux.
pour la rosistance
au charbon, les entrdes p-2672, IVC-P-6004 sont hau-
t effrjbt r é s i s t a n t e s ; P 473, IVC 80082 sont résistantes 700516, 700546, 700651,
P-105, P 524, P-2894, NELC-H79 (ORIGINAL), IVG 80135,, IVG-P-78, IVC-P-8001, Ip-
1930, SDN 503, SDN 714, MAVOA sont moyennement
r8sistantes. Par contre, toutes
les autres sont apparues très sensibles au charbon.
CONCLUS IONS
L'essai dans sa conception comme dans sa réalisation pratique nous a
permis de cerner le spectre de resiatance vis-s-vis du mildiou et du charbon du
matériel vdgétal sur lequel travaille les selectionneurs. Ce qui nous a permis
en conséquence de
rQvéler un matériel intéressant en ce sens qu'il extériorise
une rhistance assez forte aux maladies précitdes.
Cependant, on h gnore les mécanismes ggnétiques qui r$gissent cette r&
sist ance, sa stabilite et les facteurs biotiques et abiotiquos de cet equilibre
dynamique entre l'hote et le pathogene.
L'étude de ces problémes importants que nous devrions envisager cde fa-
çon prospective, apportera sûrement une contribution non négligeable dans une
perspective de lutte genetique contre ces pathogènes.
C'est dans cet ordre d'idee que nous aimerions aborder le probléme de
l'étude de ltépidémiologie du mildiou sur différentes variétes du mil pour carap-
t6riser l e u r rdsistance.

-Il-
CHAPITRE II - ETUDE DU DEVELOPPEMENT DE L'EPIDEMIE DU MILDIOU SUR DIFFERENTES
_-e- --em---
..,.s_--w-.v-d.--
VARIETES DU MIL POUR CARACTERISER LEUR RESISTANCE
INTRODUCTION
Compte tenu du niveau de technicité et du pouvoir d'achat trés bas
des paysans en Afrique de l'Ouest en genéral et au Sénegal en particulier, l'u-
tiliaation de variétés de mil ayant une résistance stable contre les principales
maladies, s'est révQlbe la stratégie la plus rationnelle. L'experionce montre
que la resistance
la plus stable est généralement la résistance horizontale.
Cependant, il apparait difficile de quantitier cette resistanca horizontale, car
pour la mesurer, il faut utiliser d’autres mbthodes Que les techniques habituelles
pour la mise en évidence de la rbsistance verticale.
pour Vandar Planck (1968, 1375) la rdsistance horizontale se manifeste
de manière égala contra toutes les races de l'agent pathogène, de ce fait, 1~
parasite qui forme de nauvellos races, n'en tire pas benéfico.
C e t t e rssistance
h o r i z o n t a l e s e m a n i f e s t e d e 3 maniéres :
l- dans les mêmes conditions d'inoculation avec la m4me concentration de
c o n i d i e s , le nombre de 18sions formdes est /plus pptit Que chez uno va-
riote sensS~le ;
2 - la pdriode de latente (entre l'infection et apparution des symptomes)
plus longue ;
3 . la sporulation sur lesions est moins abondantes et sa periode est
raccourci e.
Notteghom et a1 (1977) ont utilisa un dispositif d'essai nomme DITER
pour étudier la rdsistance au champ dos variétés du riz à la pyriculariose. Le
principe de ce dispositif est base sur l'hypothèse suivante : “Une varidte qui
limite une auto-infection limitera le développement de 1'Bpidémie". Donc pour
chaque variete, d e s p l a n t e s s i t u é e s à d e s d i s t a n c e s d i f f é r e n t e s d ’ u n e s o u r c e d’i-
noculum, produiront des quantités d'inoculum différentes, et ce gradient dans
l*intensitS
de l’inoculum variora de façon d8croissante de la bordure infostanto
à l ’ e x t r é m i t é l i b r e d e la p a r c e l l e .
D’autre part, A.A. Sy (1977) a montré que 13 quantité et l'efficacite
d'infection des oospores de S. Qrami.nicola produits sur des varietés du mil va-
riont en fonction do la nature génétique de ces variétés.
Pour tenter de trouver des méthodes de mesura de cette résistante chez
le mil nous allons essayer d'adapter le dispositif DITER utilise sur 10 riz au
mil.
1 - MATERIEL ET METHODES
1 . 1 . - Materi el
L e m a t é r i e l utilisd d a n s c e t t e e x p é r i m e n t a t i o n e s t compose d e varietes
Qui ont eu un bon comportement dans l'essai criblage de l’hivernage 82.

-129
1.2 - MBthodo
La m4thode est la suivante : semer une bancie infsstante avec un mélange
de variét4s et y favoriser le d4vsloppement de 114pid4mis. perpendiculairement à
cette bande, on &me des lignes-tests. On effectue des notations de la maladie

tous les 10 (dix) jours en trois endroits,
au contact de la bande infestante, au
milieu et à l'axtr&mit4 libre de la Parcelle. Ainsi pour chaque vari4t4, l'Opid4-
mie est caract4risGo dans le temps et dans
11e8pace. pour caractériser la rbsis-
tance harizontals des vari4t4s testées on les compare avec uns vari4tÉ hypothoti-
que dont la production d’auto-inoculation serait négligeable et dont la quanCit4
de la maladie en Fonctian de la distance à la bande infestante serait :
Y=a.t.b
ou a= letb= 0
X
Donc la r4sistance de chaque vari4té paut &tre caract4ris4e
par les
valeurs de a ot b.
II - DISPOSITIF EXPERIMENTAL
Le dispositif comprend des parcelles (varicSt4s à tester) de 5 lignes
de 5 m sspac4es de U,9O m, soit une surface do 22,5 m2 chacune. Chaque variété
est encadr4e par 3 lignes de vari4té r4sistante
semée
à 0,60 m. Cotte bar,de sert
5 deux séries do variétés dispos4ss de part et d'autre de celle-ci (voir schéma
en annexe). Ls bande infestante est semée trois semaines auparavant.
I I I - RESULTATS
3.1 - Préliminaires
Pour 4tudier le déroulement de 1'4pidémie et le comportement des va-
riétés vis-à-vis du mildiou, les observations suivantes ont 4t4 effectuees :
- date de début d'4pidémj.e ;
- date de fin d'épid4mie ;
- notation de la maladie, tous les 10 (dix) jours ;
- taux de progression journalior de la quantité de maladie, r, 4yal au
coefficient do r4gr ossion de log
x
par rapport au temps ; x e x p r i m e l a quantit4
de maladie. Nous avons r4parti leAooVx r en six (6) clzssos (tabluau 17).
3.2 - Hésultats
Le tableau 18 rcprésentc 1’4volution de la s4vérité du mildiou aux trois
(3) points de la parcelle en fonction du temps. Los courbes de la fig., . . repré-
sentent graphiquement cette Bvolution spacio-temporelle du mildiou à travers les
parcollas d* essai. O n o b t i e n t diffarentes f o r m e s d e courbas :
- les courbes de forme 1 ; Ex : Souna III
- l e s courbas a x + b ; Ex : CSM?
- 10s autres formes de courbes existent.

Dans le tableau ?9, sont consign4s 10s valeurs do r en fonction ces 3
positions d’observation de la parcelle. Il ressort de ze tableau une grande h4t4-
rogén4it6 des taux de progression de 114pid4mie à travers la parcelle d'essai,

-li-
En effet, pour certaines varietes comme CSMl, IBV 8004 et IElV 8202, on remarque
un r croissant en allant de la bordure infestante vers l'extrémité libre de la
parcelle. Df autres par contre, ont des r decroissants: au fur et à mesure qu'on
s'&loigne de la bordure ; Ex : Souna III. D'autres cas de phénomènes sont obser-
vés :
rl 4 r2 3 r3
Ex : CSM44
rl > r2 < r3
Ex : CSM35 et Bambey-TQmoin,
Par ailleurs les dates de debut et de fin d'epidemie (DDE et DFE) et
la note de fin d’0pidémi.c (NF-E) varient on fonction de la variéte. Pour les va-
riét& IBV 8004 et IBV 8202 bien que leurs DDE et DFE soient diffkontes, elles
pr8sontcnt des At et NFE identiques. P a r c o n t r e l e s varit%& CSMI e t CSMIQ, b i e n
qu'ayant des DDE identiques prdsentont des NFE et At diffgrentes (tableau 20).
D'autre part, pour certainss
variétés (Souna III et IBV 8202), les
notes de fin d'épid6mi.o en positions 2, 3 sont sup&ieuras ou Qgales aux notes
do fin d'epidemie en position 1.
En outre, gr5n&alemont,
les notes de debut et de fin d'epidemic sont
suphieuras ou bqales en positions 2, 3 qu'en position 1.
IV - DISCUSSIONS
1
Partant de l'hypothsso de d6p3rt, la courbe en - est attendue. Mais
comme nous l'avons remarsué, cette courbe ktl.dst observ6e Gue dans le cas de Souna
III. Un phénom%ne qui peut paraître surprenant est ramarqud aussi : des courbes
de r en ax + b et autres. Cependant, una hypothèse peut être émise pour expliques
ces phenomènos : le pathotype local subirait en se multipliant sur la bordure in-
festante une selection favorisant les races ûyant ju*te la virulence nécessaire
pour attaquer les varidtés qui composent cette bordure infcstante. Ces races se-
raient peu ou prou
virulentes sur certainus variat6s à tester ce qui a pour ccn-
seiquonce ds créer une "pr6munition locale et temporarre vis-à-vis du pathotype
local non modifié"
(Louvel, 1977) surtout sur les plantes en contact de la bordure
infustante.
Cette prémunition est fonction du rapport entre la quantite de spores
des
races avirulentos et virultintes : plus ce rapport est grand, plus l'effet de
la pdmunition est manifeste (Mas et Uolot, 1977). En Plus, le sol do Bambey Qtant
infeste en permanence (Girard, 1973), 10s p l a n t e s n o n pr6munis” s e s i t u a n t v e r s
l’extr6mité
l i b r e d e l a p a r c e l l e , o n t p l u s d e probabi2it6 d’&tre pr6cocoment st-
taquées et pr6sentent plus dc quantite finale de maladie. C'est ce qui explique-
rait aussi des
ddmarragee d'QpidQmio plus pr6coces en positions 2 et 3.
D’autre p a r t , on remarque que les valeurs de r sont genéralement très
faibles. Ceci peut s’expliquer par l'absence de conditions Bpidémiologiques
iddales (voir debut).
Conclusions
Cette exp8rimentation nous a permis de mettre en dvidence que pour ca-
ractériser une résistance au champ, les critères habituels (Incidence: et sdvdritS)
ne sont pas suffisants ; il faut tenir compte d’autres factaurs qui sont d'autant
pas moins importants, tels que DATE DE DEBUT D'EPIDEMIE, Oate de fin dl6 iddmie
Toux de progx$saion da 1'fiPid;mi.e QtC..r, 133.~ :û rbaistankg qst uf~ù 15s~-ftant0
dtLntsro&i3na d&s diff&runt@$
composantes du TRIANGLE DE LA MALADIE : WDTEX PARA-
SITE x MILIEU.
Cependant, eu Ogard aux conditions très difficiles dans lesquellas est
menf5e cette expérimentation, il faudra affiner
les résultats, en reprenant
les mêmes critères et en charchz.nt d'autres.

D'autre part, l'étude de l’h6ritabilité et de la recherche des ,Cac-
teurs du système qui limitent la quantitc5 de maladie doit être abordt5g pour ca-
ractbriser
mieux cette rbsistance.

-15-
CHAPITHE III
: CONTROLE DU MILDIOU PAR LE METALAXYL
_--_----_-_-
--.v-----_-_-
1 - INTRODUCTION
Plusieurs exemples montrent que l'utilisation unilatérale d'une seule
mathode de lutte contre les maladies d'uno culture ne permet au maximum qu'une
protection
partielle de culture contrd les agents pathoganas consideréa. En outra,
c e t t e p r o t e c t i o n partinlle, acquise parfois avec beaucoup de difficultés, peut
s'amenuiser ut voire m&me devenir inefficace ? cause de phonomènes divers affec-
tant les composantes biotiques et abiotiquos qui determinent l'equilibre dynami-
que
entre la plante-hbte et le pathogene. C'est pourquoi, seule une conjugaison
judicieuse de plusieurs methodes de lutte bien choisies permet une protection
sfficace contre les maladies d'une culture. C’est dans le cadre dlétuda d’autres
mothodes de lutte contre les maladies du mil autres que la résistance variotale
quo nous avons aborde cette expérimentation-ci.
Nous prenons comme réferenco las rdsultats etablis en Inde
par 111CH15AT
(R.J. Williams et al., 1980). Salon ces auteurs le m6thelaxyl (Ridomil en poudra
à 25 $ a,.i.) à la dose de 2 g de matière activa par kg do semsnce assurerait une
bonne protection de HE3 connu pour sa hauta scnsibilite au mildiou. Mais les re-
sultats obtenus
par A.A. Sy (1978) contredisont ces données. pour ce dernier au-
teur, lu ridomil s'est rovéld inopdrant p et il semblerait que las
normes d’ex-
périmentation (dcartomont
30 x 60 cm notamment) aient jou8, a moins que ne soient
impliquées dos racns physiologiques spécifiques de l'aire Ecologique considéreo.
partant do toutes COS considGrations, nous svcns essoya 3’Qclaircir la
situation en testant la rdproductibilité des r6sultat.s obtenus par les uns et les
autres pendant la promièro annQa d'axperimentation et en affinant les r6sultats
dans une deuxième exp6rimentatior-i.
Los travaux ont début6 Pondant l’hivernage ,1979. Mais ils ont Gte in-
terrompus pendant trois années et n'ont Otrf repris qu'on 1983.
II - INTERET DE L'EXPERIMENTATION
Cette experimentation permet du mettre en evidence la capacite de
certains groupements ChimiqUa6 dc contraler le mildiou ut do prot0ger Qventuallo-
ment le mil on éliminant l'infection primaire contanuo dans la sol ou/& en ren-
forçant les rdoc&ions de la plant
e contre le pathogène s'il p6nrZtre. Donc les
resultats escomptés pourront être utilioos d'une part, au niveau du monde rural
p o u r proteger l e s c u l t u r e s d u m i l e t d ’ a u t r e p a r t ,
au niveau de la recherche pour
memer des travaux OCI l’infection du mildiou n'est pas souhaitee.
III . MATERIELS ET METHODES
" 1979 -
En 19rsn plus du ridomil, nous avons aussi teste le captafol qui est
répute efficace contre les mildious. Les difforonts traitements sont les suivants:
- Tl, t r a i t e m e n t à r a i s o n d e 0,5 g m.a r i d o m i l à 2 5 $/kg d e semonct! ;
- T2,
traitement à raison de 1 g m.a ridomil à 25 $/kg de semence.
- T3,
11
II
de 1,5 g ridomil à 25 $/kg de semence.
- T4,
Il
11
de 0,5 g m.a captafol/kg de semence.
- f5,
II
II
de1g
U
Il
3,
* T6,
II
1,
de1,5g "
II
,r
- T7r témoin absolu (sans traitement).

-16-
Le dispositif cxp5rimental est un dispositif en blocs simples 2 4
(quatre) rupetitions avec une randomisation complrSte dans lequel les parcelles
Qlementaires matérialisant les traitemonts eont composeos chacuno de 2 lignes
(25 plants) semées en 0,60 x U,30 m, Chaque ligne est encadree par deux lignes
infestantss samecs une dizaine de jours auparavant. Chaque parcelle élomentairti
a 7,20 m de long et 2,40 m de large (cf schema de l'essai on annexe 1.
- 1983 -
En 1983, le dispositif experimental est dispose on 4 blocs en split
plot avec doux facteurs : TRAITEMENT ET ECARTEMENT,
Les diffbronts traitements sont les suivants :
traitemont à raison de 0,5 g m-a. ridomil B 25
- Tl,
$/kg semence
- T21
II
11
lg
"
II
1,
II
- T3,
Il
1,
2g
"
1,
Il
Il
- T4, J-I + traitement foliaire à raison de Il,5 g m.a. ridomil à 25 $/Il
d'eau à la montaison ;
- T5, T2 A t r a i t e m e n t f o l i a i r e à r a i s o n d e 1 g m.a* r i d o m i l a 2 5 S/I 1
d'eau & la montaison ;
- T6> T3 + traitement foliaire & raison de 2 g m.a. ridomil à 25 $/l 1
d'eau à la montaison ;
- T-7, temoin absolu (non traité).
Les differents écartements sont les suivants :
- 0,60 m x 0,30 m
- 0,90 m x 0,90 m
Les parcsllos glementairos qui subissent des traitements folisires s o n t
separees des autres par une barriére pour bviter toute interfbrcnce
du fongicide
entre les traitements (cf. schéma do llossai en annexe...).
Pendant las doux anneos d’experimentation, las travaux suivants ont Ctcl
effectues :
Les notations de l'incidence du mildiou ont été effectuees aux stades
TALLAGE (25e jour après date de semis) et de MONTAISON (45e jour aprés date de
semis).
Les hbtes precocement attaqués sont materialisés
par un piquet rouge
pour pouvoir les comptabiliser, dans la note finale.
A la maturite, on note l'incidence et le sévbrité selon 116chella cGdi.-
fiee (vGir annexe).
On Bvalue d'une part, l e p o i d s t o t a l Jes g r a i n s ( a p r è s sechage e t b a t -
tage) et d’autre part, le poids do 1000 grains, pour chaque parcelle élOmentairo.
IV - RESULTATS ET DISCUSSIONS
4.1.- RQsultats numeriques (tableaux 21-26)
4.2.- Resultats qraphiques (fig.
>

-17-
- En 1979
Toutes les parcelles traitées avec le ridomil ont présenta moins de
maladie que celle qui n'a pas été traitée (Témoin) à tous les stades de dbve-
loppement du mil. Ce qui prouve une certaine aptitude du produit à contrBler

le mildiou du mil. Cependant, il n'y a pas de diffgrence significative entre
les differents traitements considérds. En outre, cette protection, toute dose
comprise, devient insuffisante à partir du stade montaison et voire nulle en
fin de cycle.

Les traitemente effectues ewec du Captafol se sont tous révQ1Ss inef-
ficaces. Certains memes ont semblé stimuler le développement du pathogène sur
l'hbte (T4 et Tg) ; en effet, ils ont présenté plus de maladie que le tr5moin.
Seul le traiterwnt Tg (1,5 g m.a de Captafal/kg de semence) a pu 6galer le
tQmoin.
Pour les caractères POIDS TOTAL DES GRAINS et POIDS DE 1000 GRAINS,
il n’y a pas de diffQrence significative entre les traitements et le temoin.
Ce qui confirme une fois de plus lfinefficacit8 des produits utilisés unique-
ment comme traitement de semence.
Tous les traitements avec In ridomil ont r&ard$ l’incidence de la
maladie jusqu'au stade TALLAGE. Les traitements complémentaires foliaires au
stade MONTAISON ont continué le blocage de la maladie jusqu'au stade GRAIN PA-
TEUX sauf le traitement T4 qui ne se différencie pas significativement des
traitements de semonce uniquement. Les traitements T5 et T6 ont efficacemant
contrôlé le mildiou jusqu'au stade MATURITE, quelque soit l'écartemgtlt consi-
déré. L'indice de s5veritS pour CBS deux traitements sfS18ve respectivement
à 4,73 $ et 10,44 $
pour l'écartument 60 x 30 cm et 14,88 5 et 6,93 7; pour
1’ Ccartement 90 x 90 cm,
En outre, toutes les parcelles traitées ont eu des meilleurs rende-
ments que la t6moin et les meilleures performances ont été obtenues avec les
t r a i t e m e n t s T4 e t Tg. Cependant le facteur ECARTEMENT semble jouer un râble
ducisif d a n s 1s rendemant.
Du fait que le Coefficient de variation (CV) du
facteur ECARTEMENT devienne plus dluvr$ que celui du facteur TRfifTEHENTpowr fe$
caracthres POIDS TUT&L DES GRAINS et POIDS DE 10061 GRAINS, manfrar qvo ce premier
facteur
est trh3 impnrtbt, psur ~86 c a r a c t è r e s . En Er-tffrfJ, l’ama;yoe otatictique
mon*co cies differoncas significativao dc; roridom$nt;e solon lu typa d'écartomcnt:
16s meilleure rend@mbnta o n t 4té o b t o n u a avec 1’Qcartomont
90 x 9 0 c m .
D’autre part, il n'y a pas de diff&ence significativa entre les dif-
fgrents traitements et le témoin pour ce qui concerne POIDS DE 100OGRAINS ; ce
qui laisse supposer que l'infection par le mildiou n’altère pas de beaucoup la
qualit. de
la graine..
4.2-DISCUSSIONS GENERALES
L'expérimentation menee pendant les deux années montra que tous les
traitements
de semence par 1~ ridomil ont pu freiner le dr5vclappemet-k du mil-
diou jusqu'au stade MONTAISON. Passé ce stade, cette protection devient insuf-
fisante voire même nulle. Ces résultats confirment ceux obtenus à l'ICRISAT( ).

-18-
Mais un traitement foliaire complementaire à des doses de 1,s g de
m.a et 2 g m.a/l 1 d' eau a pu prot Qger corroctament la plante jusqu'au stade
MATURITE. Pour expliquer ces résultats, nous allons Qmcttre un certain nombre
d'hypothèsas plausibles.:
1”) Le ridomil a pu detruire virtuellement l’infection primaire contenue
dans le sol ; mais par des phenomènes de lsaemivago, 30 produit a été emportb
laissant ainsi la plante exposbe à une infection secondaire venant des lignes
infostantes cu/et a une tardive infection primaire dûe au développement rsci-
naire du mil qui est allé rentrer en contact avec les oospores non détruits
autour da la plante.
2’) Le ridomil, fongicide systémique a pu être absorbe par la plante. Ce
produit digeré et métabolisé par la plante devient inopérant au fur et à mesure
de son assimilation.
Une bonne protection jusqu'au Stade MATURITE dans les parcelles qui
ont reçu un traitement folioire complémentaire est dOe au relaie de couverture
apporté par le second apport du produit au stade MONTAISON.
D'autre part, les résultats de 1979 montrent l'inefficacitg du capta-
fol a contrôler le mildiou aux doses considérees.
Ce resultat pouvait btre prd-
visible eu egard au mode d'action du produit qui agit par contact et au caractko
systomique du mildiou. En outre, le phenoméne de stimulation remarque a et6 ob-
servé ailleurs. En effet, certains fongicides peuvent avoir des effets variables
en fonction de la dose : à faibles doses, ils peuvant avoir un effet stimulateur,
par contre, à fortos d o s e s , ils agissent on inhibant le développement du patho-
gène. Donc pour misux circonscrire le niveau d'efficacitd du produit, il est
essentiel d'utiliser dans les prochaines Btudos une gamme plus large de concen-
trations de ce produit.
Par ailleurs, 10 facteur ECARTEMENT ne semble pas jouer un r8le déter-
minant dans le ddvcloppemont de la maladie ; ot c e c i p o u t s ’ e x p l i q u e r p a r l u f a i t
d'une part que le sol de Bambey est infecte partout et en permanence en oosporas
(Girard,
1973) et que d’autre part, 10s zoospores sont capables de se propager
sur d'assez longues distances (Williams et al.,
>. Donc, toutes les plantes
ont presque la même probabilite d’être infectées quelque soit l'écartement con-
s i d é r é . Par contre, quo ce facteur ECARTEMENT joue un r8le prepondérant
dans la
r0alisation du rondement, c'est un phenomeno d6je connu depuis longtemps.
Les informations de dornières minutes (R. F-ytizas et al., 1983) attes-
tent à une action Concérigènc du fongicide ridomil \\rJP 25 sur les rats blancs. En
effet,

ces auteurs montrent que l’administration chronique pendant 23 mois du
fongicide Ridomil Wp 25 à trois groupes de rats blancs comprenant 15 males et
15 femelles et aux concentrations de 800, 400 et 200 mg/kg de nourriture, pro-
voqua le développement des lymphomes des glandes lymphatiques, notamment mesen-
teriques e t trachée-bronchiques.Il p r o v o q u a a u s s i le devcloppement
d e s lympho-
mes de même origine aux poumons.
w - CONCLUSIONS
Les résultats de deux années d’expbrimentation montrent :
1’) Le ridomil WP 25 (mothalaxyl) peut contrbler le mildiou du mil. Cepen-
dant, ce contrblu par simple traitemont de semonce est peu ou pron efficace Zi
partir du stade PilOFJTAISON sous une pression d'inoculum constante et forte.

-19-
Il serait intéressant de vkifior l'officacit6 du plroduit comme traitement
de semonce sous conditions épidbmiologiquos naturelles.

2') Pour assurer une bonne protection de la plante jusqu'au stade MATURITE,
il faut en plus du traitement do eemenco, un traitement foliaira eupplémantaire
avec une dosa minimale cle 1 g de m,a./l 1 d'eau au stade MONTAISON. Copendant,

avant l'utilisation éventuelle de CQ produit, i l e s t i n d i s p e n s a b l e d e v6rifior
les rBsultats obtenus par les chercheurs qrecs 2 savoir que ce produit oet can-
cariqène. Dans ce cas, il faut 10
proscrire à .iamais.
3') Le facteur ECARTEMENT ne semble pas jouer un rBlo ddterminant dans
le dévoloppemant do la maladie, cependant il dsviont important vis-a-vie du
rendement.
4") CO captafol s'est rOvélé inefficace comme traitement de. eemenco aux
dosce coneid&ées. Cependant, il est oseentiol de toeter ce produit avec une
gamme plus large et plus vari. de concuntrations pour mieux circonscrire son
seuil d'efficacité. Scn utilisation on traitement foliaira on combinaison avtic
le
traitsment des semunces doit âtre prospoctue, surtout que des r6sultats par-
ticls intdressants ont Sté obtenue avec ce produit on traitement foliaire.
(Girard, 1974).

-2o-
CHAPITRE IV - PROSPECTIONS PHYTOPATHOLOGIQUES
z=====;==zz=
Lo but de ces travaux est dcj st~ rendra ccmpte sur le milieu réel de
l’impact des maladies <lu mil sur cette culture, pondant la campagne agricole
1983 et de
rbcoltor das inocula dans plusieurs localitds pour les études de
la vsriabilite
phyelologique de 5, qraminicola.
Cependant, il faut tout d’abord, souligner que les conditions olima-
tiques ptindant cette campagne-ci ne sont favorables ni au dr.Zveloppemcnt des
cultures, ni au foisonnement dos maladies. En outre, COS prospections ont 6tB
effectuées pendant que buaucoup de champs sont au stade FLORAISON, ce qui fait
que certaines maladies
comme le charbon, l'argot et les moisissures n'ont pu
Gtre observées dans ces cas.
Par ailleurs, compte tenu, dti l’ulluro de la campagna d'une part, St
du personnel dispcnible pour 1~s observations d’autze part, Xe nombre d’obser-
votions a étQ limite. Cependant, cela no nous a pas empQché du recueillir dus
données assez int4rrssantBs. Ces donnees sont consignees dans le tableau.ci-dessus
Des rÉsultats de23 observations, on peut ti3:er lcç conclusions suivan-
tes :
1") Le niveau d'infestation des maladies est en gQnéra1 trbs faible ;
cependant,
il varie d'une zone h une autre : c’est dans la zone comprise entre
Diourbol at Kaolack qu’on observe plus de maladie dons les champs de mil,
2') L'incidence des maladies dépond des techniques culturalas, de la va-
ri6t0 Utilis&e et des conditions Qdapho-climatiques ,,
3") C'est en Casarnance où la pluviométrie est plus importante qu’on ren-
contre beaucoup plus les maladies des inflorescences comme le charbon, l’ergot
e t l e s m o i s i s s u r e s .

-21-
Tableau
: Prospections phytopathologiques pendant la campagne 1903
(7-9.09-83), dans les ragions de Diourbol, Sine Saloum et
Casamance.
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; 69,O !
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-229
P
CONCLUSIONS GENERALES ET PERSPECTIVES n
Les rosultats découlant des travaux effectues pendant la campagne
agricole 1983 ont permis de mettre en évidence que :
- il axiste une grande variabilitb des interactions Hote x Parasite
du matériel fourni par les sélectionneurs. En effet, parmi ce mst&iel, on peut
trouver toute sorte de réactions : Do hautement sensible à hautement resistant.
Cependant, on ignore la nature et les mecanismes qui regissent ces rtSa.ctions.
Ces etudes fondamentales doivent être abordges dans un proche avenir ;
- pour mieux apprécier la qualite de CQS rdactions, on ne peut plus
se contenter des critères habituels (Incidence et severité), mais tenir compte
aussi d’autres comme date <Jo début dlépidSmie, date de fin d'epidemie, taux de
progression de l'epidémie journalier etc.. . L’Btude de ces cr.ittt?res et d'autres
doit i3tre commencee et approfondie pour mieux les martriser.
- il existe d’autres méthodes de lutte telle que llutilisation des
produits chimiques qui peuvent contrOl.er le.mildiou ;en effet, le ridomil WP 25
peut contr6ler le mildiou du mil s'il est utilisé sn traitement de semence, plus
un traitement foliaire avec la dose minimale de 1 g de m.a./l d'eau au stade
montaison. Cependant, il est indispensable de vérifier les informations selon
lesquelles quo ce produit ast cancbrig&ne et dans ce css il faut proscrire ii
jamais son utilisation. La recherche d'autres formules chimiques capables de
contrlller les maladies du mil garde en vois toute 5on ûctualite.

-23-
BIBLIOGRAPHIE
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F (1) o F c$k&lG pour Lvincidancv.û
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FO,çps et FO,Cl. 2 F théoriques ~twc seuilrs de 5 % et ll % respectivement.

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(-1 a NS (non significatif)
l-t-) t S (si&fi.c&if)
(k> t HS (hautement significatif)
F (1) et F (S) : F calculés pour ltincidence et la s&érité rospeotivement,
FO,05 et FO,Ol t F théoriques aux seuils 5 $ et 1 5 respectivement.
PI%S (1) t PFDS pur ltincidence.
Pms w t PFDS pur la sévérité,

TlaLE;sIT 8 : BNsm 83 JJXUET EIENDEZWS NATIOIWJX, SOUSuRoJET
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F (11) et F (fi:) t F cx&zu~Q pour l'imidcncc ot la &véait6 mqmtrivamnt
FO,,Gj et FO,OB t F th6ari~es paur les smiJ.s 5 $ at ?I ‘6 mspc+bivame.r&

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ESSAI CON,lRIUNT
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FO,@ 0% F0,01 I F théoriques aux seuils & 5 $ et li $ respectivement.

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respec~tivement.

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ECHELLE DE NOTATION DL! MILDIOU
1 -
Pas de symptames perceptibles.
2 -
SymptBmes pr6sents sur des shalles auxiliaires.
3 I
Sympt8ine.s pr0sents sur les talles principales mais il y a trois ou
plus chandelles productives.
4 -
Sympt8mes prosents scur plusieurs talles principales mais il y a seulement
une ou deux chandelles productives.
c-
2
-
Sympt8mes pr6sents sur les tiges et des talles principales et il n'y a
aucune chandelle productive (la plante peut mourir au stade jeune).