MBD KND REP':XI QU6 DU SENEGAL SECRETARIAT...
MBD KND
REP':XI QU6 DU SENEGAL
SECRETARIAT D'ETAT
PRIMA TURE
A LA BEC:IJZRCHE SCIENTIFIQUE ET TECI<KI.QUE
LE PREXIER CONGRES .BNZ:UEL DE
--
I
L'ASSOCIATIOB POUR L'AVABCE$ENT DES SVljENCES
E~T~M~L~GIQUI~S ~3 AFRIQUE (A.A,S,E.~.)
RAPPORT DE KIISSIO!: Eh'ECTUEE
DU 3 AU 0 DECEXBRE 1979 A 1IMDAM (NIGl@IA)
par Mbaye BDOYE
-
-
NUfhO .-.... -.-&L
Mois B. i’kin __.__... ~-..&~J
-.....
Destinataire
* Décembre 1979
Centre ITational de Recherches Agronomiques
'8, ! '
de Eambey
INSTITUT SENEGALAIS DE RECZHERCIIES AGRICOLES
(1. S. 8. A.)

1
J'ai participé du 3 au 8 ddcembse 19'79 à Ibadan (Nigeria)
au premier congrés annuel de l'A.-m
Joocietion pour l'Avancement des Scien-
ces Entomologiques en Afrique (A.A.S.E.A.) et à la dixième et derniè-
re réunion du Comitd Africain de l'International Centre of Insect Phy-
siology snd Ecology (T,C.i.P.E.). J'ai représenté à cette dernière reu-
nion le Docteur Rader DIALLO, membre Sénégalais dudit Comité et qui ne
pouvait prendre part ii la réunion.
Il faut dire que le Comité Africain de l'I.C.I.P.E, conçu
jusqu'ici comme un organe de réflexion et de soutien de la direction
du Centre a joué un grand r3le dans le développement et le rayonne.ment
à travers l'Afrique de l*I.C.I.P.E, Il a initié l'A.A.S,E.A. qui le
remplace aujourd'hui pour être un forqm de confrontation des différen-
tes écoles entomologiques sinon des differents entomologistes travail-
lant en Afrique.
II. L'A.A,S.E.A.
==========z
L'association pour l'dvancqment des S#ciences Entomologiques
en Afrique (A.A.S.E.A,) a pour but de développer, de promouvoir et de
diffuser le savoir entomologique dans tous ses aspects, particulière-
ment mais non exclusivement en rapport avec les insectes du continent
Africain.
Ces objectifs, llAssociatio,n compte les atteindre :
ID) En développant les relations et les échanges d'informa-
tions entre les membres, entre eux et entre ceux-ci et les société.3
nationales affiliées.
2O) En accordant une grande priorité aux problèmes socio-
écorLomiques du continent africain en r~apport avec les Sciences Entomo-
logiques.
TO) En organisant des réunions Scientifiques inter-afriIzaine5 o
4O) En participant ou en accueillant des congrés entomo:Lo-
Siques internationaux,
5O) En publiant un journal Scientifique d'un niveau inter-
national pouvant intére suer les Scientifiques d'Afrique et d'ailleurs.
Go) En entreprenant toute autre activité pour permettre
d'atteindre l'objectif global.
L'association accepte comme membre, toute personne interessée
par 1'Etude des Insectes et qui accepte les objectifs de l'Association.
T!es organisations des pays africains peuvent avoir le statut de membre
associé.

.
2
L'association est dirigee par un bureau composé de :
- Un Président
- Un Vice-président
- Un Sec&taire gbnéral
- Un trésorier général.
L'association publie déjà :
- The bulletin of Africain Insect Science (4).
- The journal of Insect Science and its Application (4).
- Elle a également publié un annuaire des Entomologis-
tes africains particulièrement incomplet .our ce qui
concerne les pays francophones.
,
C'était donc en application des Statuts, adoptés par le con-
constitutif de Nairobi en décembre 1978 que le premier Congrés
%z*:el a été convoqué en 1979 à Ibadan (Nigéria).
III, LE CO?TGRES DE 19794
-----__--_c-_---I-
-l---l---_-.w----...e..-
1") La taxonomie Entomolopiflue Africaine.
Le thème principal en était, comme l'avait spcicifié la let-
tre circulaire du bureau reçu à 1'ISRA le 13 juillet 1979 :
'iLIEtat présent des services de Taxonomie en Afrique et
l*Etablissement de Centres d'identification des Insectes.".
Ce thème est d'une actualit& plus que brulante du fait qu'en
Afrique, pour toute détermination valnbleCP2estqu:~sincnt obligé de s'a-
dresser à des Fusea situés hors du territoire A?:ricain.
Ce thème a fait développer les points suivants :
+ The case for the establishement of Insect Identification
Centre (3) in Africa par R. KUXAR (Ghana).
+ The State of Present Taxoaomic Serv.ices in Southcrn Africa
par 11.E.A &IATERU (Zambia).
+ The State of Present Taxonomie Services in Northern Africa
Prof. HAPEZ (Egypt.).
c The State of Present Taxonomin Services in Eastern Africa
par C.P.F. DELIBSA (Kenya)*
La discussion de ces points et oelle dcl'intor%n-tion du Dircc-
teur du Commonwealth Institute of Entomology (CI%), ont permis d'ado!?-
ter une Résolution particulièrement importante pour l'avenir de la ta-
xonomie entomologique en Afrique. (voir annexe).

3
2 O) Le Programme
de formation d*Entomologistes Africains
de haut niveau.
fi
Ce point avait été instruit par la 9e réunion du Comité A-
fricain et adopté par le Congrés constitutif COilzItle un point essentiel.
c
Leconit& avait adopté la rosolution suivante :
"Le Comité Africain, conscient du grand besoin en entomolo-
,;istes indigènes dans les pays en voie de développement en g6nérsl et
en Afrique en particulier, approciant parfaitement l'importance de LIEri-
tomologie dans 1~Economi.e et 1~ sante publique dans ces pays ; appréciant
Cgalement l'important potentiel e xistant à l'ICII?E pour la formation de
tels cadres Scientifiques propose que L'ICIPE, en collaboration avec
les Universités africaines, crée h Bairobi au Kenya un cours internatio-
nal d'Entomologie en Afrique pouvant conduire au N.Sc. et au Ph.D1'.
Une commission composée de Messieurs ::
- Prof. A,S Msangi
Université de Dar-es-Salam
(président)
- Prof, NI. RAL?EZ
Cairo University
- Dr. $1, Abdillahi.
Ministè:re de l'elevage et des
Forets, Mogadishu (Sofmalie)
-prof.Thomas R. Odhiambo
Director, ICIPE
avait été désignee pour étriblir le projet à. l'attention du premier con-
,
gre s *
' Un document trés important a donc et6 '&dopté par le
,
congres
qui fixe :
- Les conditions d'admission aux deux niveaux.
- Le programme d'étude des deux niveaux.
Il indique de plus tout le support que peut apporter l'YCI?E
dans ces conditions(pour ceux qui voudraient plus de détails, ce docu-
ment existe à mon niveau).
A cette occasion il nous a 4th indique que l'ICIPi qui entre
dans sa deuxi$me ddcennie a acquis des i!onds importants qui lui ont déj&
permis de construire un nouveau contre en dehors de la ville de Bairobi
F
et 3'6quiper les stations 6. 1"intérieur du Kenya. Ce nouveau Centre com-
porte déjà un Guest Elouse de 30 places qui sera porté à 100 d'ici 1962,
cc qui crbera des facilités tout à fait exceptionnelles pour des étu-
I/
dia~lts de 3e cycle.
Pendant la discussion de cette question j'ai informé lez, col&
gue s sur l'existence d'un projet simi.$aire au niveau des états membres
du C.I.L.S.S.
qui est instruit par l'Institut du Sahel. J'ai demandé
qu'une certaine concertation puisse 9. '&tablir entre ces deux projets. Le
rrin.cipe en a été acquis et le Directeur de 1'ICIPE devra écrire direc-
tement au Directeur de l'Institut du Sahel pour voir les modalités.

4
Il faut reconnaitre que le Projet A.A.S.E.A. est beaucou?
nlur avancé que celui du CILSS. L'ICIPE en supporterait toute l'orga-
zisation et solliciterait des bourses pour les futurs étudiants. Cet
Tnstitut organise déj& depuis quelques années un cours de techliiciens
Supbrienrs.
J'ai aussi posi le problème de la barrière linC:uistique,
E-1; on a reconnu la néces,sité pour les Scientifiques africains de pou-
T7oi.r utiliser les deux langues (l'angl,aise et la française). LtIJT?E
étutiic la possibilité de créer un cours de formation acc6ldré en Ln-
;lzis pour les francophones qui pourraient solliciter letir inscri;)tion
'X 3: c y c 1 c . Pour le cours de l'Institut du Sahel, l'inverse devr;Lit
Wre vrai?
Une diffdrence fondamentale existe cependant entra les deux
projets :
L'Institut du Sahel vise une formation dans toutes les I-i%&.-
plines de la Protection dea Végétaux, 1'AASEA vise une formation en
Xntomologie
seulement.
*
SO) ConmunicationsScientifiiques
Le congrés a regroupé 67 p:z.rticipants,vcnsnt presque exclu-
sivement des pays anglophones. J'&tais le seul francophone avec L:n
collègue Zairois. C'est pour cette rai,son que le congrés a bc,2!rcou:?
r6fléchi sur l'extension de l'Association aux pays francophoiics d'A:k'ri-
que et notamment en organisant une prochaine réunion dans un quelcon-
que de ces pays.
Au départ il avait été prévu d'organiser ce congrés 5. Y:lourrd6
au Camroun mais du fait que les autorités de ce pays n'avaient pas rG-
pondu à la demande le lieu a été chan&. Le choix de certains dclébu&s
:j t 4 tp.j,t
porté sur le SBnégal pour le prochain congrés, rk:.is moi-même
n'étant pas en mesure de donner une r6ponse, j'ai proposé que l'on con-
nul.t8t d'abord le,s aut;orj.ths rczvol~sn'~l.e,s. Ceci a amené le congrés à
fixer le lieu du prochnin congrés à L!zsaka en Zambie en nttendant de
Consulter les autorités pour 13Sl peut-Qtre.
Lé con,3;rds a en outre entendu 24 communications sur des su-
jets divers :
- d'Entomo1ogi.e m&dicale et vstérinaire.
c
- d'Entomo1ogi.e agricole et forestière.
- d'Ecolo.qie et de lutte biologip9-S.
- de Physiologie et d'EGhologie.
- de Toxicologie et d'utilisation des insecticides,
Ces communications sero:it publiées da;ns le bulletin de l'As-
uzciation 801x5 forme
d'articles.

4O) Formation .du bureau.
Suite donc ?u rapport moral, au rappo:rt financier et & la
discussion de plusieurs questions relatives cu :Lonetionnement même
de 11-1.A.S.E.A. et de son développemeni le bureiiu suivant
Président
Prof. ,Zhomas R. ODIiIAliBO
Vice président
ib . P.O. GDIYO
Secretaire géndral
Dr. C,P.li“. DE LIl:A
Trésorier gGnéra1
Dr. '2.3'. 0100
Représentants
a
Régionaux.
Afrique du Zord
Trof. I)I. !IL FE 2
hYPt* >
Afrique de l'ouest
Prof. A. YOUDEO!iEI
(I;i géria)
Afrique Centrale
K . I< . &I?! .A 3 2 A
(Zaïre)
Afrique de l'Est
Prof, A.S. KSAMGI
(Tanzanie)
Afrique .'ustrale
Dr. \\T~fT.5Li;jc:;iI-:~A
(Zambie)
Ceci traduit la prédominance des pays anglophones avec lrD-
gy- te plus de 300 entomologistes ; le Ghana, 53 ; le Soudan, 112 ; et
le ITigCria avec 61 en poste actuellement. Il faut signaler que 1'Zgypte
est le seul pays à avoir un enseignement du niveau bachelor en Entcmo-
logie.
Il faut signaler que la premi6re chaire d'2ntomologic dans ce
pays a été Cr&ée en 1937. Les trois autres pzys ont tous au moins une
chcLi.re d'Entomo1ogi.e dans une de leurs Îacultés d'Agriculture.
L'ensemble des pays francophones d'Afrique fait figure de
purent pauvre et n'arrive pas Q rassembler cinqu:rnte (50) entomologis-
tes au total dans les divers domaines.
IV. LA Xe REUNION DU CONITE AFRICAIN D@ LII,C.I.P.E.
==================================2=========~===
Elle s'est tenue en marge du CO?:~~~S et avait sur-tout un ca-
ractère de réunion de cloture d'une longue action débutée il y a 10 ans*
L'ordre du jour de la reunion comportait princip-lement :
b
- Discussion et adoption du PV de la réunion du S!e comité.
- Adoption du rapport sur le projet de formation d'Entomo-
logistes de haut niveau.
- Adoption !du rapport sur la création de Centres d!Identifi-
cations en Afrique,
En questions diverses le problème du soutien à 1lI.C.I.P.E.
a été abordé, mais on a bien fait ressortir que dans 1~imnédia.t les re-
cherches menées dans cet institut étaient un peu trop localisées pour
susciter un soutien tout azirïns2
de certains pays.

Il fallait cependant reconnaPtre que certains p:rogranmes comme les
Y. r1Tl ,y ??ormr' 9 les llShootflyl', ou encore les ltTermiteslV pouvaient avcir
valf:blement une dimension africaine. Bous l'instant parmi les pays
zfricains sîul le Kenya et le Bigdria soutiennent financièrement ltXikG,
v?ic: comme je l'ai. dit plus haut, cet institut lsG2éficie d'une uide
internationale tres appreciable du PBTTD et de la FAO.
Ce congrés 6teit pour moi l'occasion de nouer de nombreux
contacts et surtout de me rendre c0r;p-a;~ de l'état de 13 recherche en-
tomologique sur le continent , principalement dans les pays nn~lophones.
De tels contacts sont indispensables pour tous les cherchc!Jrs de notre
institut ?our leur permettre de mieux apprécier la vuleur des travaux
L-,ntrepris ici même sur le plan national.
Certes les conditions de participation ne m'ont pas permis
de pr6scnter un aspect de mon travail et d'en discuter, m::is cela nta
pas diminué fondamentale:oent les enseignements q.ue j'ai. pu tirer de cct-
te réunion.
Jlr,i tout d'abord acquis la convicticn que sons moyens hu-
t-ains et nat8riels, i.:L n'est pas possible de conduire correctement des
tr<zvatux de recherche de valeur. En second lieu, je pense que les recher-
ches en Protection des cultures en gCnéra1 et en Entomologie en parti-
culier doivent davantage attirer l'attention deo autorités qunant b. leur
importance dans le développe!?ent agricole, le Uigéria semble en nv8oi.r
pris conscience it travers son Institut Agricole de Becherche et de Por-
3ation (I.A.R.T.) qu'on 1x0~s a fait visiter au cours du congres,
C'est conscient des problèmes qui se posent à ce niveau que
le congrés de l'A.A.S,E,A. s'est fixe comme thème de réflexion princi-
n.Tle pour 1980 : "L'entomologie appliquée dans la vulgarisation des
nouvelles techniques agricoles!'.
On peut dire que c'est précisément là le souci de tous :Les
cntoz.ologistes
africains quand bien même ils so::~t souvent obligés d'en-
treprendre des recherches de base nour eclairer certctins points de fond.
Ils ont tous h coeur lr. solution des divers problèmes que l'Afriq,uo
peut rencontrer dans ce domaine.
Il me plait ici de remercier la Direction Gdnérale de lYfSRA
d'avoir mesurer à sa juste valeur lliaportance de cette rencontre en me
~?rmettcnt d'assister au premier congr&s
annuel de l'Association pour
l'Avnncerc.ent des Sciences Entomologiques en Afrique. Le S4l:ég:?L peut h
I:i on
avis non seulement tirer partie de telles rencontres mais aussi bcau-
coup leur apporter.

7
A3KXE. RATPORT DU GRCUIE $)E T.@AVAIL SUR
LES CE!?TRES D'IDEX'Tï?'ICATION DES
IYSECTXS ADOPTE PAR LE COXGRES
*
CO?!KE !JXE RECOKi.1AY$ATIOi\\J.
Le congrés de l'A.A.S.E.A., conscient de la n&cessité d'd-
tnblir un CU plusieurs Centres d*Identificfition des Insectes en Afri-
q.;le, aprés avoir constaté les besoins croissants dans ce domaine li4s
ii l'augmentation de lrutilisation des pesticides, aux besoins de pro-
tection de l'environnement et à l'adoption des mhthodes de lutte intx-
grée, nntnnt qu9 de noribrcux groupes drinsectes d'intérêt agricole,
forestier, vétérinaire ou médical ne sont par du tout co:lnus ou le
sont trés mal, apprécisnt enfin le désordre qu'il y a dails la détcr-
mination de plusieurs groupes d'espèces, recommande ce qui sui-t :
a) Que certnins tertres puissent être retenus comme noyaux de base
pour le système sur le,3 critères suivants :
1 - Existence de collections de référence.
2 - Présence de taxonomistes loc~.ux cztpables de s1rperviscr
le développement de leur centre.
3 - Conditions économiques &n6rales favorables.
4 - Existence de moyens de communications satisPr.is,zntc.
Sur ces bases le congrés propose de retenir les centres
suivants :
1 - Nairobi Trusewr. Kenya.
2 - TJniversity of IPE, ITnturnl History Museuz Ile-Lli'E,
Nigéria.
3 - Institut Pondamental d'Afrique Xoire, DAKAR.
4 - Entomological Society of Egypte. Collection in Ccliro.
b) Que chacun des Centres proposés accepte de recruter 5 o:~ 6
Scientifiques qui seront formés en Entomologie et que de plus lllnsti-
tution leur assure une carrière en tant que taxonomistes. L'A.X.S.E,A,
a
assistera, les différents Centres pour 12 formation de ce pcra~n~~.cl, ct
propose que l'on recrute de jeunes chercheurs.
c) Qu'une mission complémentaire de 2 personnes noit envo;hc par
l'JL.A.S.E.A. pour étudier la fa.isabili.té du projet dans les diffhre::1tz
Centres retenus. Cette mission doit réaliser les thches suivantes :
1 - Etablir les possibiliths existantes dans les Cciitres
retenus.
2 - Déterminer les groupes d'insectes pour lesquels le &ct;l-
tre dispose des collections les plus compl?tes.

8
3 - Apprécier les possibi.lit&s des différel:ts sp~cinliates
les plus proches de ce Centre ainai que celles de0 Uni-
versités locales.
4 - Trouver 'les sources de financement pour octroyer des
bourses DDE formation h de futurs t:Lxonomistesc
5 - Définir ce que devront 8tre les rel.ations entre les
Centres Africains et leurs homologues étrnngcra.
6 - S'enquQrir des programmes de développement
Îu turs des
diffbrents Centres retenus.
7 - Déterminer les voies et r.loyens que 1'A.A.S.E.A. peut 'u-
tiliser pour renforcer cc3 Centres.
8 - Faire un rapport complet sur cette question nu prochain
congrQs de 1980, qui aura lieu 21, Lusaka en ZAF131Er
d) Que l*A.A.S.E.A. initie une série de missions entom010giq:Ies en
Afrique, Ceci permettrait de procurer suffisament de mntéricl aux di-
vers spécialistes q"i entreprennent dca révisions générales sur les dif-
fércntes espbces. L'A.A,S.E.A. devrait alors coordonner la collecte dez
spccimen de tous les CO~L~S du continent Africain et s'occuper~~it de 10s
c~.voyer aux différents spécialistes pour étude
ct de publier les arti-
clcs issus des divers t:%vaux.
L e s
sp4cialistc~s
pressentis doivent retourner aussi. bien le:
holotypes que lea paratypes des
,
specimen idelitifiés et de ceux decrits
:pour 1i première fois aux Centres désignco COIXI~ dépositaires de Ct?S
,roupcs en Afrique,
e) Qu'un comité re azreint soit créé plus tard pour superviser nassi
bien les missions entomologiques que la restitution des tylcs nux cli,f'-
férents Centres retenus, comme dépositaires des groupes d'espéccs con-
cernes.