CmTRE DE RJXXZRCmS AGRICOLES DE RICW4OLL ...
CmTRE DE RJXXZRCmS AGRICOLES DE
RICW4OLL
i&I&IaRaTIQN E>T ldAI1JTIEN DE IA FEiRTILITE DES SOLS HYYDFtaBiWmS
ElZILLL~WHESDE~VkuEEDU~~~sEsIEGBL
,!XlRHEsE DE RESULTATS D'EXPl#EUMlBTATI~ C.&+!PAGh? 1979
;PAR M. sm et P. COURTESSOLE

AXEUQIUTICN BT MAINTIEN DE LA FERTILITE DES SQS HXB.O-
~~~SE¡®p/oUEL(IL~cIRpEIESDELAV~~DU~~
SENUL
SYNTHESE DES RESULTATS D'U$~~TI~;CLIBBPAGl?E 1979
Le d¨¦veloppement de la culture irrigu¨¦e et notamnent l'intensification de la
c&¨¦alicul.ture (riz, sor+&o, bl¨¦, mass etc . ..) grke ¨¤ la r¨¦alisation d'am&a-
gements hydrcagriooles avec maPtrise de l'eau sont les objectifs prioritaires as-
sign¨¦s ¨¤ la %ED dans la r¨¦gion du Fleuve. Cette intensification de la culture ir-
rigu¨¦e,qui sera rendue possible d¨¨s la mise en eau des deux barrages de Diama et
Manantali suppose la maftrise pr¨¦alable de tous les facteurs de production et plus
amme de recherche intitul¨¦ ci
ant les op&rations de recherc
- qlilRl@~.-~TI~@. IxxlmyE RI! l?qKm&
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C&'J?DBES DE DIVEWIFICATI~ SUR Sti-n~~~~kE.$%&4?&~$@
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"DlMI" Dti N'DlOL
- DYN&XQUE DE L'AZOTE - FE~TILISt~TION AZOTEE EN CULTUBE DE DI-
V3RSIFICATION
- T?UiVhIL DU SOL EN CULTUKE IBBIGUEl3 IIUTENXVE
1 - rXi&C~~sitTIO~J HYDXQUE ET IIYdI~OD~id~~QUE DES SOLS iiLUVIAUX DE LA VALLEE
DBTEHJINATIQN DES Fk&JJEBCES D'IRRIGATIW I%J CULTUFUB DE DIVEWIFICATICN
SUR SQ "FONDE" DE FANAYE E!T SOL "DIEX!? DE N'DIOL
Les ressources en eau ¨¦tant pour la plupart limit¨¦es dans les zones arides et su-
barides il est tr¨¨s important de Xen les maitriser et valoriser leur utilisation
en Agriculture. Four ce faire les recherches se doivent d'0tre orient¨¦es dans deux
directions :
- d'une part, la connaissance des processus ¨¦l¨¦mentaires d¨¦terminant
la dynamique de l'eau dans le syst¨¨me sol-plante-atmosph¨¨re.
- d'autre part, l'appr¨¦hension d'ensemble de ces relations et leur
transposition au niveau des interventions r¨¦alisables dans la con-
duite des cultures.
L1irrigation, consistant ¨¤ r¨¦alimenter artificiellement le r¨¦servoir sol en fonc-
tion des besoins de la plante cultiv¨¦e n'est efficiente que dans la mesure o¨´ les
deux param¨¨tres ci-dessous sont connus au pr¨¦alable :
* syst¨¨me ou technique d'arrosage suivant les caract¨¦ristiques intrin-
s¨¨ques du sol
*rythme des apports d'eau ou fr¨¦quence d'irrigation permettant ¨¤ cha-
que fois de combler le d¨¦ficit hydrique ¨¤ la r¨¦tention sur la profon-
deur d'enracinement de la culture.
Les ¨¦tudes de caract¨¦risations hydriques et hydrodynamiques en ayant recours aux
m¨¦thodes neutroniques (suivi in situ des cin¨¦tiques d'infiltration et de ressuya-
ge) ont ¨¦t¨¦ entam¨¦es ¨¤ partir de 1976 sur les sols les plus repr¨¦sentatifs des
stations de Fanaye et de N'Diol ¨¤ savoir :

2.
- sol brun-rouge subaride sur sable dunaire (station de N'Diol) pour
lequel un projet de mise en valeur de 1 000 ha en cultures marat-
ch¨¨res par aspersion doit Btre r¨¦alis¨¦ par la S&D (projet dit
Diagambal)
- sol hydrcmorphe peu humif¨¨re ¨¤ gley sal¨¦ de
rofondeur sur limon
argileux ou "Fond¨¦ Cuaka" (station de FanayeP o type de s'il. de
bourrelet de berge faisant l'objet actuelle
t en amont de la
vall¨¦e d'une pression de colonisation dans T
,/ 8dre de l'op¨¦.ration
"p¨¦rim¨¨tres villageois".
- sol hydrcmorphe peu humif¨¨re ¨¤ pseudogley & taches et concr¨¦tions
sur mat¨¦riau argils. -sableux ou "Fand¨¦ Cuakadjidiou" (station de
Fenaye) se pr¨¦tant Xen aux cultures de diversification (tomate,
bl¨¦, sorgho et mars).
Les parsm¨¨tres hydrodynamiques essentiels de ces sols ont ainsi ¨¦t¨¦ d¨¦termin¨¦s
¨¤ savoir : la perm¨¦abilit¨¦, la capacit¨¦ au champ et la cawcit¨¦ de r¨¦tention
(voir rapports de synth¨¨se oampagnes 1977 et 1978). Ces d¨¦terminations ont per-
mis de tirer les conclasicns partielles ci-dessous quant aux techniques d'i?ri-
gation ¨¤ mettre en oeuvre pour la dmise en valeur rationnelle de ces sols :
a) pour le sol brun-rouge subaride ¨¤ forte percolation et ¨¤. tr¨¨s fai-
ble capacit¨¦ de stockage en eau, les doses d'irrigation doivent
&re les plus faibles possibles (doses devant correspondre au plus
¨¤ la capacit¨¦ de r¨¦tention) et les fr¨¦quences multipli¨¦es et ce en
fonction de la demande ¨¦vaporative du moment.
b) sur sol "fond¨¦ Cuakadjidio@ assez pem¨¦a~~e pour lequel les tech-
niques d'irrigation pratiqu¨¦es dans la r¨¦gicn sont soit la sub-
mersian (cas de la riziculture) soit la semi-suhnersion ou f'irri-
gation ¨¤ la raie cloisonnde toute ¨¦conomie d'eau suppose une r¨¦-
duction des doses avec des aythmes d'arrosage rapproch¨¦s.
o) pour le sol "fond¨¦ Cuaka" moins pcurm¨¦able par contre les doses d*ir-
rigatian plus fortes ¨¤ des intervalles de temps plus larges peuvent
&re appliqu¨¦es sans crainte de perte d'eau par percolation pro-
fonde.
Ces conclusions partielles demandaient & btre confirm¨¦es ce qui nous a conduit ¨¤
orienter nos ¨¦tudes ¨¤ partir de l'hivernage 1977 sur la d¨¦termination des fr¨¦-
ouonces d'irrigation SUT ces trois types de sol en retenant camne cultures-test :
le sorgho, le bl¨¦ et la tanate.
1.1. DETEBKINATICR DES FREQUENCES D'IRXIGATICI5I DU SCIRGHO DE CASIER E!T DU DLE
CULTIVES SUR SOLS "FCNDE OUAK&JIDIOU" E!L' FCNDE "CUAKA" DE FANAYE
Si au cours de la campagne 1978 les ¨¦tudes de fr¨¦quence d'irrigation se sont li-
mit¨¦es au seul sol "fond¨¦ ouskadjidiou" avec comme culture-test le sorgho de ca-
sier, celles-ci. se sont ¨¦tendues au cours de la campagne 1979 au sol "fond¨¦ Cua-
kaflavec les deux cultures de diversification que sent le sorgho et le bl¨¦.
Le dispositif d'¨¦tude est constitu¨¦ de 3 parcelles de 150 m2 chacune s¨¦par¨¦es
les unes des autres par des diguettes comportant des films plastique enterr¨¦s
.*./ .**

3.
_j<
verticalement pour empecher la diffusion de 1"eau d'irrigation d'une parcelle 3, l'autre. Les
traitements ci-dessous sont appliqu¨¦s :
. Traitement 1 : 1 irrigation par semaine avec une dose de 60 mm (soit
600 m.j/ha) .
.Traitement II : deux irrigations par semaine de 30 mm chacune (soit 600 m3/ha)
. !&aite : trois irrigations par semaine de 20 mm chacune (soit 600 m3/ha
Ces doses ont ¨¦t¨¦ d¨¦termin¨¦es en prenant pour ces deux types de sol une capacit¨¦ de r¨¦tenticn
moyenne de 20 y< et un enracinement moyen de la culture de 30 cm.
1 -ilESULTilTS OITTENUS POUR LJ3 SORGXO CULTIVE SUR SOLS "F@?DE OU&&"
F?T"FQMDE OUUWJIDIOU"
f
!
1
1
f
WAGNE 1977
I C&&&~E 1978 *
CAMPAGN$ 1979 ; t f
!Type de Sol f Traitement !
1Nb to!quanti+Rende-!Cy-fNb !qwn-@en-ICy-!Nb 1quanlRenrI
!
1
!Cycle !-ta1 1t.4 to-1 ment fclefto- Itit¨¦ tde- lclolto- Itit¨¦ide-1'
1
1
I
!d'ir-1tale
!(Kg,/ha)!(J)!tal Ituta-!mentl(J)!tal Ito- Imentl
1
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jours)Iriga-1d'eau 1 1 !d'ir!le Ikg/ 1
t
1
!tiam3!(m3)
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1
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1
1
1
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:r
!
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1 SOL 'F@JDE f
Tl
!
!
90 12 t 7200 I
1
4700 195 !7200
12
!4580t92
1
I
1
f
:
I! f98 t b400 !!4350195 f' h8003455o: 1
!"Ou&ADJI-
2
T2
!
96 26 7800
4400 28 26
1
DsOU¡±
;
T 3
1
100 f
!
42 8400 f
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4285
!84oo 42 f43oof105f 42 f840014425f
; FCMDE
f
Tl
t
f 90: 1 2 flr200w50~1
I¡±OuAKA¡±
1
1
1
112
i
t 94f 2 6 fI80ofq60of
1
1
Ii081 42 k+&O~#d
1
!
1
!
1
De ce tableau de r¨¦sultats, il ressort que l'augmentation des fr¨¦quences d'irrigation n'a au-
cune incidence sur le rendement sur sol "fond¨¦ Ouakadjidiou", Sur sol "fonde ouaka" par con-
tre le rythme d'arrosage de 1 fois par semaine donne une plue-value moyenne de rendement de
485 kg;lipa.
2- RESULTATS OH?ENUS POUR LE BLE CULTIVE S%IR SOLS "FCNDR OTJ~IUDJIDIOU"
" .
l . ¡®./ l **

Ces r¨¦sultats ont trait ¨¤ la seule campagne 1979,.
:TYPE DE SQL
ImITa37mT t
W&NE 1979
r
!
! Cycle
t Nb Total !Qaantit¨¦ tolRend;ent
$
1%
t
1 (jours)
ldfirrigaxiitale d'eau/1 (K&a) 1
1..
1
!
1 .
izLJJnn
1
m2
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1
f
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f
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Tl
90
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f
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1 0uAKADJ1D1Ou" f
Al!2
94
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f
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1
T3
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1 42 1 8 400 f 4 060 t
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1
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t
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t
f "FONDE OUAKA" 1
T2
f
95
! 26 ! 7 800 t 4 430
I
!
f
1
f
T3
t
100
i 42 f 8400 f 4 200 r
!
!
!
1
!
1
i
L'analyse de l'ensemble de ces r¨¦sultats d'¨¦tude de d¨¦terminaticxl des fr&uences
d'irrigation sur sol "fand¨¦" montre donc que :
- sur sol "fond¨¦ ouakadjidi&' assez perm¨¦able, la multiplicaticm des
fr¨¦quences d'irrigation, quoique n'ayant aucun effet signifiqatif
sur le rendement est pr¨¦f¨¦rable pour limiter les pertes d'eau par
percolation profonde.
- sur sol "fond& Ouaka" par contre le sorgho et le bl¨¦ sont ¨¤ irri-
guer une fois par semaine.
1.2.E?J?UDEDESlUTRMESD'ARROSbGEDELk TWTECULTIVEE SUR SQ
RRURROUGE SRBUIDE {"DIEEU") DB N'DIQ
Cette ¨¦tude entreprise au cours de la campagne de saison s6che froide 1y7y/80 ¨¤
NfDiol a pour objectif la d¨¦termination des tours d'eau ¨¤ appliquer ¨¤ une cul-
ture de tomate en irrigation par aspersion.
Le dispositif exp¨¦rimental est constitu¨¦ d'une parcelle de 200m2 ccmportant
trois tubes neutroniques implant¨¦s dans le sol jusqu'¨¤ une profaazdcur de 1 m¨¨tre
avec suivi de l'humidit¨¦. du sol avant et apr¨¨s irrigation. Les irrigations ¨¦tant
d¨¦clench¨¦es chaque fois que la r¨¦serve en eau dans le sol dans les 50 premiers
centim¨¨tres atteignait 70 % de la capacit¨¦ de r¨¦tention.
C¡¯
. . ./ **.

5.
Le tableau ci-dessous donne le tour d'arrosage le plus efficient dans les
conditions de sol et de microolimat de la statica de NeDia
p . . -.+
1 Quantit¨¦ totale
I
ii
sion mm
dta er 'ans
d'eaua art
1
.- f
f
f Repiquage etd¨¨butde v¨¦- !
993
!
15
f
139,5
f &tatica (Octobre)
1
Tous les ;ioursl
f
t
f
P&iode de maturit¨¦ et
12,4 mm
186
i
f debut r¨¦colte (Jsnvier)
f
15
tous les 2 jours
I
1
i
I P&iode de la l¨¨re r&ol- f
9,3 mn
t
14
1 te ¨¤ la 2¨¤me floraison
itous les 2 jours
f
130,2
t
I (FBvrier)
!
!
1
1
1
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i P&iode de la 2¨¤ne rdcol- f
9,3 mm f
15
1
139,5
t
1 te bd
tous les 2 jours
1
I
t
I Totalaspersianpourla culture
I1
89
I
!
920,7
I
f Efffcience de l'eau d'irrigation 8
Pr&wticrn
Qdfwu mm3 = 3?44
f
II -DYNAMIQUE DE L'AZOPE - FERTILIskTICN AZUl?EF EN CULTURE DE DIVRRSIFICATI?IN
Au cours de la campagne 1978 un essai de courbe de r¨¦ponse ¨¤ l'azote du sorgho irri-
gu¨¦ sur sd. "fond¨¦ ouakadjidiou'~ avait fait ressortir que la dose la plus efficiente
est 115 kg N/ha fractionn¨¦s en 1/4 au d¨¦nariage, 1/2 au stade tallage et 1/4 au stade
EormatiQi des grains.
Eh hivernage 1979 le m@me essai a ¨¦t¨¦ conduit ¨¤ Blaye sur sol "fcnd¨¦t' de bourrelet
de berge. Le tableau ci-dessous donne les r¨¦sultats obtenus.
. . ./ . . .

6.
nanbments
*LuLu
en kg/ha
: bfoyenne f
TFwITm
f
f
Rep I
' RepII
; Rep 111 f, R,ep IV
f
-&*
1
Kg/~
f
t
f
1
(1'
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!
1 23 kg N/ha au semis:
2 ~$56
1 2 491
I 3 158 %
1
3544
1
2912
f
1
(11
f
f
!
f 23 kg N/ha au semis'
1 et 23 kg/ha au tal-1 3 088
3 263
f
f &3e
(21
f
f
f
f
f
t
1
1
3 649
f 3 Si2
; 4 000
f
4 175
f
3 934
t
f
f
t
f
!
f
I
1
f
f
23 kgi(ha au semis +i
-f
i 2.3 kg N/ha aytal-
t
I
f
f
*f lage + 46 kgSl/ha ¨¤f 4 210
; 4298
4 351
;
4 223
f la montaison + 423af
t kgN/ha ¨¤la flora?
f
1
I:
!
f
t
1
!
!
f
f SOil
(4)
1
!
!
1
!
f 23 kgN/ha au semis;
r
1
i
1
f
f
f
t + lage 23 + kg 46 N/hs kg
N/ha au
talr ¨¤I 4 850
i 5 025
f 5225
;
4 975
f
5018
;
f la mcntaiscm + 46kgf
:
1
t
1
f N/ha ¨¤l~#.oraisca~
1
1
!
1
23 kg N/ha au semisf,.
1
1
+ 46 kg/ha autal- f
!
s
t
lage+46kgN/ha f 5 100
; 5210
; 5182
f
¨¤ la ncmtaison +
46 kg N/ha ¨¤ la fl+
!
I
raison
I
1
1
t
(6)
:
1
1
f
1
I
r
f
c.v = 8,~ y6
-1
1
i
f
ib
De ce tableau de r¨¦sultats il ressort que les deux fractionnements donnant les
rendements les plus ¨¦lev¨¦s sent :
,. (5) et (6)
III -TRVAIL DUSOL IB CULTURRIRRIGUEEINT~SIVE
La mise en vctleur rationnelle des grands p¨¦rim¨¨tres hydrcagricoles existant dans la
r¨¦gion, du fait de la faible densit¨¦ de la populaticm rurale impose le recours
A la
m¨¦canisaticm quasi int¨¦grale. C'est sans aucun doute l'optlration "travail du soll'
qui constitue le maillon le plus contrai&wnt de toute la chaine de roduction de
par la c?npacit¨¦ des sols (exigeant de fortes puissances de traction P et le calen-
drier cultural tr¨¨s ¨¦triqu¨¦ de l'exploitant.
. . ./ l **

F
7.
*
*
%Ai
)
C'est dans lkb$ctif de d¨¦finir les techniques de pr¨¦paraticP1 des sais les
plus adapt¨¦es aux conditions p¨¦dologiques de la k¨¦g?cn que l'op&aticn de re-
cherche cidessus a ¨¦t& entam¨¦e en 1976 avec,fq&$&@,@ des ¨¦tudes B partir
de 1978 sur les fa?ons culturales les mieux indi.q.&es 1 wx la pratique de la
double riziculture irrigu¨¦e SUE sal halalld¨¦ (vektisol .
P
Tout ccmme au cours de la campagne 1978, les cpatre fa?ons culturales ci-des-
sous ont ¨¦t¨¦ mises en comparaison en 6 r¨¦pdtitims :
1 - nankravail du sol (z&o Tillering~
2 - Travail superficiel du sol au Rotoydtor
3 - Trav~i.1 profond du sol (labour ¨¤. 33 cm ¨¤ la charrue
¨¤ soc repris par deux passages crois¨¦s de Rotovator)
sans enfouissement de paille de la culture pr¨¦ct$dento
4 - Travail profond du sol avec enfouissement de la paille
*
de la culture pr¨¦ckknte.
Le tableau ci-dessous donne les rendements obtenus ainsi que les r&ultats de l'analyse sta-
tisti~e t
I
*.-.
.i
REPZ?.l!ITIOW 1 I. ! II 1* III f IV ; T
f
1
1
! TRAITcIBaE;NTS
!
1
!
1
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1
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1
1
I

8 ooo
!
I
8 ooo
! 8 200
! 7 200
! 7 200
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:
7 900
f
t
2
I
! 7 600 t 8 000 f 8 400
1 1 y 000 f 7,000
f 7 600 f
7 900
t
!
1
3
t 8 ooo
f y 200 f y 200
f y ooo
t 8 600
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9 OGG
f
1
!
!
1
1
1
1
4
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y 000
111 OOG
110 ooc
!Ici 400
111 2OG
f 8 806
f
10 000
f
!
!
!
1
!
!
1
1
!
cv = 8,9 %
t
?
I
De ce tableau, il ressort que contrairement aux autres ann¨¦es, le travail profond
et surtout lfenfouissement de paille ont un effet significatif sur le rendement. Il
semblerait donc que l'effet b¨¦n¨¦fique de l'enfouissement de paille en riziculture
requiert un certain nombre dtann¨¦es/qo# manifester. Dans la mesure o¨´ ltexploi-
tant est ¨¦quip¨¦ pour procf$der ¨¤ cet enfouissement, lPop¨¦ration peut s'av¨¦rer payan-
te. Cependant, les ccxttraintes de disponibilit¨¦ en eau pour proc¨¦der aux pr¨¦irriga-
tions ¨¤ temps fant qu'il est
pr¨¦f&abl.e pour lli,nstant de pr¨¦coniser pour la
riziculture irrigu¨¦e dans la r¨¦gian la technique du travail superficiel.
Cette ¨¦tude a ¨¦t¨¦ reconduite en saisan s¨¨che froide 79/80 sur des parcelles plus
grandes (parcelle ¨¦ldmentaire de 1OCC m2).