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REPUBLIQUE DU SENEGAL
SECRETARIAT D"ETAT A LA RECHERCHE
;lINISTERE DE L'ENSEIGNEf-lENT SUPERIEUR
SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
ESSAIS POUR UNE MISE AU POINT DE DENTS PERMETTANT
LE TRA'VAIL EN SEC SEMI-PROFOND AVEC LE MINIMUM
D'ENERGIE'EN AFRIQUE TROPICALEI SECHE
Par
R. PIROT et
F.. PARIS
3CCEMORE 1980
Centre Nati.enal de Recherches Agronomiques
de Oambey
INSTITUT SENEGALAIS DE REC&RLHES AGRICOLES
(1. S, 4. A)
:
j
:
i
AVERTISSEMENT
Cette première sQrie d'essais est très incomplhte et comporte de
nombreuses lacunes, Ces quelques pages n'ont pas la pr8tention de %vouloir
faire le point
sur un problème relativement peu connu
en Afrique tropicale
francophons mais de
mettre au courant les personnes
qui s'y intGressent,
d'ouvrir
la discussion et de continuer des essais en commun avec de nouvel-
les idées.
Les essais qui suivant ont QtB rfZalis6s sur la terrain avec les
moyens du bord. Mous espi?rons
qu'ils pourront Qtre
continues av6c rdes moyens
un peu plus s&rieux et ql-i'ils en seront
plus rigoureux.
11 t3st
à noter que
la division da machinisme agricole est tributaire orautres services pour
certains appareils
ce qui explique l'absence de certaines mesures.
1 - OBJET DE L'ETUDE
L'avantage technique du labour n'est plus :i c.itlmontrer sur les
sols argile-sableux du SBnSnal.
Il aunmento de fagon intfiressarlte 1Ys
rendements. Les plus sensibles sont les cér6alos
Olaboroes telles qL:e
le maïs
(-1.50 jX) et 1e riz (-k100 $)
; il l'est moins pour l'arazhids: la
mil et le sorgho (13 a 30 's).
Plalheurausement
le labouc est difficile à wulyariser :
* 11 ;loit t4trt:
effectue ps;loant des périodes charg4es:
(contrainte la plus importante),
- i>é!lut d e cycla :
au moment de 13 nisc en place des cultures
(Freparation s e m i s ) l” s a r c l a g e ;
- Fin de cycle : au moment des recoltes.
* I l e s t
lon[i a effectuer e t
coutoux :
u n hectars laboure a n
traction bovine demanda.
6 jnurs ci3
travail (25 heures). Il sa fait ;)aysr aux environs
de 10 000 F/ha.
Eh motorisation (12 000 Fjha).
Si l'on prend
comme contrainte majeur celle de 1'6poquo des travaux
il est alors
indispens3bl.o iie déplacer le moment; ciu travail poLr que le
paysan accepte de travailler son sol.
Actuellement deux eoluticns sont pcs-
sibles :
- t r a v a i l e n sec a v e c l e p r o b l è m e
d e l ’ e f f o r t LB t r a c t i o n
encore
pj-us important.
- r e p o r t
::u labour (technique bien connue en nrido-culture)
ou l'eau est conservae
pondant et apres la rfico1-i.c de
façon a travailler
dans de meillouccsconditions.
Cette derni&rs technique serait de
loin la meillcurz,
bien qu'el.!e
ne permette pas llonfnuissenrnt de matière organique,
cepenc-lant le ;~;;ysa:.i
donne 1’ impression
ci'Utre fatii)ué par une dure campagne et est ;~lssez rjt<,35nt
aux travaux
qu'il ne sonsidùre pas comme indispensables.
Il reste
donc & f"heure actuelle, le travail en sec effectué en
Avril-Plai.
Malheureusement un labour
?J 15-17 cm demande un effort de traction
important ,ras toujours compatible
avec la pui ssance disponible d'une paire
de boeufs. Sl est -Jonc interessant de rechercher un
outil permet-tînt un
travsil r e l a t i v e m e n t profonci (15-17 cm) et demandant
un effort de traction
plus faible que celui du 1aScur.
De plus il n'est pas toujours facile de
f a i r e penétrer l a c h a r r u e 2a1ns l e s s o l s r e p r i s on masse. Aussi on a pens6
h des
dents dont il f3ut étudier la forme de
façon 9 pallier
nos problemea.
Des essais de travail
Pelativemcnt profond ont -Ieja 6tt! effectués CI Gambey
avec des dents GOUVY. C’est
une den.t en forme
de couteau avec une pointe
diamant à la base. Ii y’a
3sset peu
d'observations du t r a v a i l
effec.tué p a r
ce type de
dent. Des comparaisons ûgrononiques a i n s i q u o &a rn~wrf23
:!*cffort
d e t r a c t i o n n é c e s s a i r e s
ont r!ohne en moyenne une ôug-:rentation CO m::itie
ris celle du labour et dos efforts d'environ 900 kgfdank. -il t~)a& fwb& wsj.ble
de relier ces essais T1 ceux effectués
cette année et il serait bor‘i gour
l’annec prochaine dlin%roduire cette
dent en comparaison,
,,
Ls prob!.I~me avait
et6 posé au CEEMAT qui nous avait rbpol3dU PJ.2
une proposition dc :;ont
:j, motorisûtiofi d o n t 10 prof’ii. avüLh ts?U Btudil
pour limiter l'effort demal?de.
Cette dent a 6th redessinée pour la culture
attelée (voir
dent PJ0 '1). L'effort demande est alors i n f 6 r i P u r ZT c: 13 ?. ti i
d'une charrue 31
profoncieur égaloc
( De plus, avec uire
,lcnt
d
.
on ne travaille
pas forcément
tout le sol, ce qui donne une certaine Bcononie 4térwrgie).
flpr&s une mission L:u CEENflT, il a étb
ddci.d& !.I’&ten:fre catte
etude
a la
petite motorisation
et d'augmenter la gamma de dents avec des offorte
absolus plus
importants que
ceux de la cu:i,.ture attolee en y rajout3nt des
dents ?I ailes donnant une surface travaill4e
nettement plus impartante
que
la dent r\\J" 1.
II - CONDITIONS D'L~~PEE~I~lENT~!TION
1 - Conditions physieea des essais_
- Periode : fiwril-?lai 1920
- Emplacement : So3.e C, CNRA Bamboy precedent s o r g h o
terrain
nu
- Sols deck
0
10
7,a :Ii <argile + limon (8,8$
10 20
8,6 y&
10,5;
20
30
d
10,l $
II ,E!,o
30
40
Il,6 s
12,6;:
40 50
12,3 jt
q3,3$
- Humidite du sol 0
10 cm
0 >6 >i
10
15 cm
Il,,9 $
15
20 cm
l,,l $
2 - Materiels uti!.ises
21- Tracteur et cadre dynamoaètrique (voir figure).
Le tracteiJr utilisé est un TE EJOUYER équipr5 d'un cadre dynamo-
métrique pour
mesure de l’effort de kraction horizontal.
Il est equipé de
4 pneus de Ei x 24 (2x2) qui sont gonfles à l'eau (.ceci pc;1r avoir
une meil-
leure adherence).
Il est bien ontendu que 10 tracteur
n'est qu'un moyen
de traction et de mesure et que
son mode d'équipement n'influe en rien sur
les mesures
effectuées.
Le dynamomètre
utilise est un dynamomètre hydraulique
AMSLER
à enregistrement avec une échelle 0 - 1000 kg x f avec lecture possible de
10 kg x f. Le déroulement du papier se fait proportiqnnel~ement
à la dis-
t a n c e p a r c o u r u e p a r l ’ i n t e r m é d i a i r e d’une r o u e f l o t t a n t e , Le dynamomètre
est equipé d'un frein hydraulique permettant de limiter les battements et
*
d e f a c i l i t e r l a
l e c t u r e .
22 - Differents types de dents
+Dent No 1 (voir figure)
Dent G (CCZMAT-ISRA). Modele réduit de La
dent uu ,jumbo Sus ter.
L'Qtangor. e s t
e n f e r d e 2 0 x 7 0 e t l e s?c est rjn a c i e r 5 r e s s o r t
*Dent fio5
( v o i r f i g u r e ) . Dent
équipoe seulew3nt ~!Jal.lsron3 B
la base $;e l'etançan.
*Dent !\\ID 11
( v o i r fitiure)
Dent îJ”‘l”h laquelle on a rajouté
des oi.i.erons & la base. la
A-..L HrL)I,, _ LLL -, _._... 4-- -L 3‘ 1 ---~ '-- :
- - - 1 1 -
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Df WI
deman!;ait un effort important pour IJZ trav3iJL pr:~ difftI!r,.:l*t <;e
l a dont PJ03.
3 - r1ssures effectuées
-. * .-.m
31- Pour les ii types ;1o dents ont et6 effei:LuBes .tes !nseU:res
suivantus :
ce prof i!. es:
obtenu 2
l'aide d'un prof’il:J~rophe
; ce sont 38s
tiges
métaliiques =oc!!.:iss.Int sur un support et que 1.'~ i laissli tonbrr zu
dessus du p r 0 f il 2 B c 0 u :3 6 p a r 1 a de
n t , 3 n a p r i$ 5 0 i
r: oli par 2 v L. n t :.i e v i .: i FI i:
le profil
de toutes Los mottes et Lie la terre. Le bc,tit sup$;i e;.rr est pci.nt
en blanc
e t re-3onne s u r u2
fond n o i r , le p r o f i l inf6riour. ?n
prexl un":
photo de l'ensemble, ptiotn qui. e s t r e p r o d u i t e
e n s u i t e sL.!T‘ papi:?r millime-
tré à i'échelle '1/4. Le profii
ainsi obtenu est decc1up6 et passu ,::;ns un
planimetre é~ectro!ii,-(ue pour
mesure 4s la surface. L.es mesufcs
orh $tO
f a i t e s b d e s v i t e s s e s
differ;?ntes et h des profondeurs d$?fGrcnCas.
32, Des essais I.!e jumelage ont étd effectuws afin S!e Jefinir 1'6car-
tement optimum entre .l.es dents.
33- Essair divers
+:-In.:liriaison de llétnnçon par
rapport a!-. sol. (G'.i"
'3 rl ('
120‘ i
-*Rryle des ciiles (50°
1 îC"
1900)
*Largeur totalo des ailes (largeur du travail)
IOC irlrJ
100 mm
250 mnl
* L a r g e u r .jes a i l e s :
5 2 111 r,i
112 mm
17c !ïllli
Pour ces essais l e s e f f o r t s o n t CtE m e s u r e s $3 profon,ieuv eonstanta.
Pour 2 seulement .!c ces zssaia
6.. ht6 effectui: ?i 1.2 rupartition 48:s motttis
dans t o u t l e p r o f i l (aï?llilcs drus ailes e t lariic ;. tics ailes),
I I I -
FESULTnTS_
1 - E s s a i d e s diff5rcnts t y p e s d e der?ts.
Vitesse enclenchse : Z" lente.
ll- i j e nt s ir.1 p :' 3 (voir
figure)
+Dent 1;!3: - surfûco travailleo : 3 , 74 !-lin2
'-
Effort moyen
: 137,5 kg
Effort spécifique :
35,8 kg/:.jn3
*Dent X02 - surfac? trevaillQe :
4,62 dm;
EPfort moyen
: 145 kg
E f f o r t
spécifique :
31 ,4 kgjclmî
*Dent No3 - surface
travaillée :
5,&2 ijm>
Effort moyen
: 347,8 kg
Effort ap6cifiquc :
45,7 kg/dm2
++Dont Noil - surface travaill0c :
S,33 dm2
Cff ort
moyen
: 274 kg
r.n-l
I
. . C.
-
I.
On remarque qua :
.+-LT: dent I\\I04 est
pou inturessanta par rapport. d la rient l’l”3.
“Les
d e u x prE?iïiièrEs 11ontr; ront plt!s int6ressantcs P;)ur 13 :.:uI.turc atCelAe :
e f f o r t sp6cifiqurz faiLl: e t effort a b s o l u r e i a t i v o i n c n t p e u itnpcrtazt .
*La dC3llt N”3 a s t p;.uc: int6raasanta p o u r la r n o t o r i s ü t i o n c o r el!.e correspoïl~~
St u n v o l u m e de
sel tritVi~i!.lé
a s s e z important,
12- Nesurei A v e r s e s ,
Los quatre Uents ont
fait l'objet 58 mesure de l’effort. en
fonction
d E 1 a pro f ;J Ï? (de cr F! .1; o n .I
'ons~tio:i d e l a v i t e s s e r6elLe ( v o i r fi:ruro).
*Fffort
-
- e n f o n c t i o n cle J-a p r o f o n d e u r :
o n remarque que la c!t?ilt :JO’+ ni e s t
pas B retenir,
L a d e n t i1lO1 est p l u s int6ressanto 3 faible profc!n5etir
que
l a dent
NZ. Zo.l:l
s"inUe:cso p o u r d e s p r o f o n d e u r s sup6rieures A 25 c:cI, L e s
e f f o r t s d e l a :!ent
Pio3 ::estent ccnpatibles avec la petite motorisation
(vcir p r o f i l trawailJ.6) ,,,
“Effort
en fonction 30 la vitesse.
LE !jraphe corrusponc.ant
ù la dent No2 a une pente nettemont <;ifféronte Aes
t r o i s a u t r e s c o u r b e s . Les d e n t s 1 - S - 4 s o n t i s s u e s je l a deilt G ( d e n t bjDl).
La deuxieme (.i") leur
e:;t tota?.emerk dif FQrente. EJ.le
convien:;rait mieux
à des faibles vitesses, don,; $ la tracti;Jn
bovine. L’rScnrt avec la
dont
iJ"i est cependant assez faible.
q3- jurnslaoe 40 cior,ts (,tioir F i g u r e ) .
Profondeur fixbe Il 10 cm, Toue
les efforts de traction n1 ont pas pu C?tre mesures. On
ne pourra. .1oÏ1c établir
une relation antre
l!eI’fork st l’écartement
des dents, On peuk prendre
qommo critgre GO
c h o i x u n e profondeur travaillée er;tre les
,.'orits dc 13 cm
environ.
-ED e n t k! O 1 - L'Ccartcment 25 e 3;3 cm s e r a i t l e plus ûppropriZ, S u r
C-os i,Cijfiis
recueillis (jr? cri!),
13 hn:.~tzur tr;lv:ait.T 53 entre
les 2 dents nrt m:.nimum,
on observe 10
cm environ.
*Dont I:~o2- L’Ecnrtcnont 30 - 35 cm
s e m b l e l e p l u s inb6rossat-k.
P-Dent NC3 - L’écartement &O cm
semble le plus approprié,
2 -
issais :ii.vers,
Les essais divers ont été effectues avec lzi :ient N03, L'an~~13 :Yu
soc avec i'horizontalc a Gta fixg B 20° qui est l'ergle dBRi.ni par Snehnecow
_... _ ..-..-
corresponda, ,t au
!.rinimc.!i d ’ e f f o r t p o u r l e s sol.9 s a b l e u x .
21-
Inclinaison cle l'etançon (voir
fiquro).
L'inzlin,oi.son de 60" reste celle qui Uonne 1.o plus faible effort.
Un pourrait o::p!.iquor
le phenoméne en proposant ce qtii suit : l'etançon
à 120~ fonctionne zommc une ancre
dans le sol la terre SC
trouve "coinzee"
entre
l'etancon et le soc. Tandis que dans le cas ,ie 1'Btançor1 3 6Q", !a
terre
peut s e GkQ3f.;er l e I.oi7g d e i
retançon, lirnit~;r-t ainsi 1'effo:c.t.
L' observation cies travwx de ces
dents montre
bien, L:ûns le Ior cas
une trace
de la dent aVo3 ;Jeu
de ,nottes d6gûgéos,
aU coritrairu : Lins le
2$me cas
on nbservc
un ,':;
,.i,dagement oe grosses
mottes au ilessus :lu niveau du SO:.
Il serait intorossant d’essayer un
Qtançon h 45O.
f
a
_I_
__,...
-
-.,_-
..--.
-
.-
...-.
5
<
22-
Effort an fonction de l'angle de coupe dos ailes. (Voir figure),
Nous avons prie
constante la largeur de travail, la longueur des
a i l e s v a r i e
d o n c . Ceci a une grosse influence sur l’aspect du .travail
obtenu
id3nc s u r l’effort 68 t r a c t i o n . Eû
variable angle
de coupe est est .Jifficile
Y; isoler.
I .
La ,&,7t & ?bO
donne beaucoup plus ;ie mottes resscrc103, +:e qui
est normai.e ::::T 10s :liLcs sont ~1:~s 1..ongucs. De plus e1j.e domine moins de
terre
fine (voir Graphique des grosseur3 de
mottes) C;~E: les autres
dents.
Elle agit un pou au niveau du sol comme un pic.
C'est cependant le soc qui
donne le plus qranil effort. 1.1 y 3
donc lieu de trouver un compromis entre le travail
effectue RC l’effort
demandé. D’autres angles seraient à essayer.
23- Effort
en fonction de la longueur totale du lPsocPt.
Il
augmente avec la longueur
de trevoil ce qui esk Svide.Tt. Plal-
heureusement la surface travaillée
n'a pu Gtre mesurée (faute de muterie
photo) pour Qtablir le rapport surface travailleo sur largeur
des :ailes.
A
prévoir pour
l*annee prochaine.
24- Effort
en fonction de la lxqwc des
lames des ailes (épaisseur)
On remarqcre
qule l’effort croft avec la largeur des ailes
co qui
est normal.
Lorsque l'on regarde le graphe des grosseurs :.le mottes,
on voit
que la
dent 2 50 mm de largeur d’ailes
donne plus de petites motte'3 et terre
fine que 10s autres, ce qui
n'est surement
pas souhaitable. Il y’aurait
lieu de chercher entre 50 cm et
110 cm si
une largeur d’ailes donnerait plus
de grosses
mottes avec un effnrt moindre,
IV
- ONCLUSION
Il est Qvident que cette étude est tres
incomplète et manque de
precision3. Cortoines
masures cnt dtf5 omises, principalement les observations
aylronomiques. Cette
Etude est delicate dans
la mesure ozI l’on compare des
rutil sur
#clos terrains pas specialement homoyènes. Los mesures
doivent donc
se f a i r e d a n s d e s e s p a c e s r e s t r e i n t s , Il y’aura lieu de preciser
la technique.
D’autre part il y aura
lieu de se pencher sur des dents de culture
atteles e t v o i r s i 4’ autres profils
que les dent3 1 et 2 sont intéressantes.
Enfin toutes les observations de cette annec seront a confirmer
en 1981.
V - SUITE A DONNE!?~
Il y a donc lieu de reconfirmer
les Etudes de 1980 par
do nouveaux
essais en '1981. La ,techn,ique proposee est d’encadrer
chaque passage
de dents
(environ 100 m de 1onguelJr) par une dent commune (dent rIni par
oxenple).
On aura ainsi
'Jr-ie relation plus juste entre les dents et la
dent
No1 ce qui permettra de ‘comparer les
dents entre elles.
*Mesures physiques
Il y a lieu de les cffectuor puur chaque essai
ik rrosseur des mottes sur tout lc profil. Cette opdration est 3988;: lcnjue
F: faire à ia main. Il a dte mis au point un cribio Qlectriqoe (L.I:L dovait
donner la nossibilit4 de faire des mesures plus rapidement,
*Fnisonnenont
A mener avec le profilographe.
*Etudes à mener
Il y aura donc lieu de completer ceux de l'année passc5e par :
- etude do l'effort specifique en fOnctioi1 do la profondeur,
- évolution de :a surface travaill6e en fonction de la profondeur,
- bvoliition de l’effort specifiquc en jumelage,
- étuoes do l'angle des ailes avec une largeur de travail constante.
En fin comparaison de differentcs dents a&Jec la charrlje,,
*Essais agrnnoniques
Camparaison de cultures avec semis sur ou entre le passage des dents.
Toutes les critiques sont les bienvenues si elles sont constructives.