M~NXl'E133 DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DU...
M~NXl'E133 DU DEVELOPPEMENT RURAL
MINISTERE DU DEVELOPPEMENT INDUSTRIEZ.
__----
ET DE L'ARTISANT
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J:NS”I’.C’TII’I’ SENEGALAIS DE RECHERCHES
AGRICOLES
INSTITUT DE TECHNOLOGIE ALIMENTAIRE
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CIEPARTEMEJYT DE REXZHERCHES SCJR LES
PRODUCTIONS VEGETALES
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STOCKAGE ET TECHNOLOGIE DU /lIL
DOCUMENT Pl3FSEtJTE A LA REUTXOIJ
D'EVALUkTI~~N LXJ PRC'ZZAMME MIL

L~autosuffisance alimentaire Fst un des objectifs prioritaires
du gouvernement sénégalais, d'où sa volonté de developper la recherche
sur les cérédes locales (mil, sorgho, xxïs), qui demeurent la base de
1~3X.mentation d'une populSj.Ci.on essentiellement rurale.
Cette volante est d'autant plus justifiée que l'on assiste au-
jourd'hui, dans les zones semi-urbaines et urbaines à une évolution des
habitudes alimentaires vers des mets de preparation dlorigine étrangke.
Cette évolution est certes liée k :L'insuffisance de la production nationale
qui couvre environ 6C p,lOO (-") de s besoins calculés sur la base de 210 ke;
__.
^. _. ^ ..". - +J&* d’lî,W.& clic L&$+w. -t-hWm-t%-Wsence -de --tirans=
formation industrielle des cérdales locales. Zn effet, les enquêtes r&ali-
sées dans ce domaine révelent que les sG&alais demeurent en grande majoritê
attachés aux habitudes alimentaires traditionnelles : leur préférence irait
au mil et au sorgho si ceux-ci étaient roussi facilement accessibles et
'
d'utilisation aussi aisée que les produits nouveaux importés.
Ltaq~nentation de la production au champ ne pourra avoir des effets
bénéfiques, au niveau régional et national, que si des techniques post-récolte
adéquates sont mises en oeuvre au niveau du paysan, L'utilisation de techniques
améliorées bernettrait au paysan d@augmenter ses disponibilités alimentaires
et de ~tr~ansférer le surplus vers lr.1s villes ou vers les zones rurales defavo-
*is&?s.
-vu-
--.-
(*) L;: ;:!L,j-nr1.j /I'rtie Je 12 production es t forunie par les mils et sorghosa
'-insi, ~YX l,~année 1977, le TVè plan annonce 700.000 tonnes de cértlaks,
les 3ils 0:; :.;or,yhos totalisent 55q.000 tonnes (soit 80 p.100) contre
1 ~j~~.O!X.
1 ji,.>L,i; .!I r i z et; lc m a ï s .
La superficie cultivée annuellement
en c.!.il e.1 :;or::ho s 'klève 2 environ 1.000.000 d*ha.

1. ;ü récolte
Allr: e3 t; ?nti&yqen *
xxmuellr! i: ‘t (3 oncerne :
- l e rrunassagc
d e s 6pi.s o u ‘lchandellel’ q u i s o n t s é p a r é s d e s
. s!,ierz.t ,pli.ées TIOU~ mexr 1.c~ C!;:~~ES Lt
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h a u t e u r dlho.me.
- ‘12 récup&ation Ier, :lpi13es 9 suitout c e l l e s i s s u e s des ch2,71ps
de c3:;e, p l u s ymmles (3 1 AQur -gwn-
.,.,es que celles provenant
;teo .:.utms p u c e l l e s . E l l e s S:UI! ui;j ‘!is&s .y*~ I’alkneni~tion
ani.~~zle eil’3u I des f iris ~O:~!C:; +;iq,~es (cases, sbris, palissades,
e t c . . . >.
ies te.~lps d e travmx (rkolte st :nise PI? kttcs) s o n t d ’ e n v i r o n
‘1 31 h/ha (. io~mirs - 1 :372). Ce :;hiffre, obtenu ,:Y> s t a t i o n , d o i t ê t r e eonsidér6
-. .._----~
~-‘o:r,i’ie un ordre 3F iya!:deur,
n8.r ---Y7
1 ;. 12s t C:I f2i L, ‘or i~e:xe!lt li& au rendement 3e

‘quelques séchoirs plus :r-ophis tiquds (solaires) ont Bté tes tés, mais
-,;ins ~$3 ul tats c: mc luants (perf ormamces faibles : (augmenta tien de t,erapér;ituxe
3e seule.nent 18’ dans les conditions tres favorables drensol.eillement
5.1 pays,
!ïl c? i
, *:< surtout un coût trop &Levé). Les expériences ?-. reprendre dans ce domaine
Ioivent ,Stre situees en Casamance (région où le risque pluviom4 trique post-
&cc.lte est le plus eI.eve’), si ce point s’avère être une contrainte impor-
tante.
3. La battage
Ce paragraphe regroupe en réalité :
l
- 1’ é,grena.ge , terme employé lorsque l*op&33.ti~on est manuelle ou ’
le fait de petits appreils. Cette op6ra.tion est toujours suivie
du vannage qui permet de séparer les grains des divers déchets
_ _ _ _
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(paille, rachis, etc...).
- le battage, terme retenu pour de plus gros cippareils, rareL!ent
i
manue 1s , mais plus fréquemment B moteur ou uti.lisant l’énergie
,
:.
&niW 1-e . ‘33% souvent, cette opération combine 1’ é&renage et
i
l e V2dltlQF ; le produit obtenu est propre .
j-1 . L’ égrenage
- -
Fradi-tionnellement,
il est effectué par les femmes au pilon-mortier
c; t il est toujoum
suivi d’un vannage. ‘Le rendement de ? ‘opération est faible :
r;~it. a.pgroxina+iV@ment, pour un rendement de 5CJc’ !&ha, 150 h/‘ha.

L’appareil t5tait annoncé pour un debit de 30 i&h. Au cours des tests,
les résultats suivants ont 6t4 enregislr&3 :
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On remarque que le Gbit est fzible et :~ue la qualité du produit
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obtenu necessitc un vannage et une reprise des :-.xhis et glumes au pilon
ixxxr récun6rer l e s 20 p.130 des pertes enrcC:istrdes en :noyenne.
Après utilisation, les commentaires suiwnts ont. été formulés :
j
- le travail. est sixple mais extrêne.w2 t pénible, les gra.ins de
sable de 1 I abrasif se d&taohent trop faoilexnt ;
- aucune ïnodi..fScation n’a été réalisde sur cet appareil qui n’a. pas
dépassé le stade protozype ; il. était intéressant de le signaler a cause <de
son principe de fonctionnement.
3-2. Le brr t ta.ge proprement dit
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ax5lioration.s sensibles ont et6 ao:)ortées (rCduc tion des pertes à moins de
1 0 p.1 NJ, adaptn.tion d 1 un sys terne 4.e ne t toyzge ) et un cons truc teur (!&%,A)
s’est intéressé au prototype à partir de 1962-63 ; il a sorti une présérie
de 13 machines. Puis, vers 1970, 1i:t 2 ISCOi*ii; a rf?i:lpl?t& ~JW,h e t a continue
?L trwailler sur cette batteuse nour sortir le :nodèle actuel “2S 1000” en
1973, mais il nIa étC vulgarise qu’en 1971. IJn cons truc: teur français ( GROT)
a repris le même principe et construit une batteuse qu’il a introduite au
Sénégal en 1977-78.
Tout récemment (1980) p nous avons testé un second principe de bat-
tage au CNR.4 de Bambey. Il a permis la réalisation de 13 WB’~ de Eourgoi~~
(fig. 9) qui est diffustse depuis 1981.
j-2-2. Caractéristiques des différentes batteuses
i) spécifications techniques
sont résumées dans le tableau 1 dont nous tirons deux catégories de iw.chi.nes :
- les batteuses à débit relativement important (1000 kg/h), lont les
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principales cibles sont les coop&:tives et les entreprenneurs
privés9 Leur rayon d’action est ïG;;ional, par conséquent les
d$placemen ts sont très frgquents o Zlles sont pratiquement toujours
entraînées par trac te,ur. :La BS 10013 et 12 DAK II entrent dans cette
r
categorie.
Leur point commun est un prix dlevé, qui les met hors de portee des
exploitants et :nême tree souvent des villass.
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ii) les principes de fonctionnement
- la 13s 1000 et la UK II : (fig.19)
Les épis disposés sur la. table d'alime n1;2:kion (1 ) sont intro W,ts
msnuellement sous la, hotte fie protection (2). i:n kambour engreneur (3) force
1'int;roduction des épis entre le b:~ttcur (4) et, Le contre-batteur (5) ;
lt&genC~~ est réalisé par friction WeC les sur%;Lces &brasives et- 1' &CZCY
:&&G.ssrtnt entre le batteur et le conke-batteur :tssure un dépiqua~e ,?ro-
f:ressif et sans 'brisures du .;rain. Le produit brittu ?si recueilli dans une
cbembre (6) et: entraîne régulièrement !)ar Ic Gs!ributeur sur le crible (3).
k grain chute 51 travers les mailles de CO criblt d,t.ns le couloir de ntst-
t(JYq? (9) vers le convoyeur a vis (AO). ie nettoyaTe du grain s'effectue
ptir separation densimétrique.
Un courant d'air issu ~du ventilateur (II),
p;xsse oar
L le couloir (9) et au travers de:; maillez, .iu crible (G), entrainant
les déchets vers l'ext&?ieur.
La majorit6 de 12 poussière est evacuée par un
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- aspTrateur'm- !.~'ensachage est effectue à L'aide ;L'un élevateur 2 cadets
(non fi:yLlxé j . :,ux -;a UAK II, uni' gille vibrante situCe juste avant l'ensa-
chcur effectue une derniere separation entre Les .gYGn.s et les 1$2mes.
162s principaux réglages portent sur :
.i- 12. vitesse de rotation du LX tteur
+ llintcnsité de la venti:L2t;ion pzr ouverture 3u fermeture des
volets situés sur le ventilateur,

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- 1 *~;L~UE trop rapide iiu bsttem et du zon’,re-batteur.
Cette
dernière >. une inci.ctencf> ki.recte sur 1~4 :;ua:Lit;6 du travail
cm2 pr;: ti8zLuement, dms tous les cas, les dechets sont rebattus.
jj-2-4. !æ parc de batteuses
Nous zous intéressons aux principa!.es carac tésistiques de son intro-
--.. - --..----
- -
cuc tien en mlieu 3ZGX statistiques,
utilisation, contraintes).
- - _ -
i) sa mise en place
-

: - Le
IN~rliOiNc proqrnmrne
TION

pluridisciplinaire
sur
le
mil,
~ccmme
les
objec-
tifs de développement aqrico.le (SECX, 1384), sont autant de preuves J ‘une
2pti on. nationale dlencourager la production
millicofe au Sénégal. Cependant
32~; efforts risquent. d’être vains, sans un contrôle cies pertes post-r:icoite,
2e 197’7 :i 1983, le programme “IPZSTW (Pcsticides - Stockag+e j 3e
1. I ISk”i R mis nu point, développé et vul@xrisé un ter-tain nombre >de méthodes
.1e nrotcction chimique 3~ mil en milieu paysan. (L‘Y, f 37i3, 1982, 1483) ei;
crntrepris l’amélioration des techniques et méthodes de stockage (LY, 1981).
11 partir de 1983, le programme 11FZ3TCC11 devie.nt “Profil des Pertes -
i;tocka~~~~ avec l’arrivée d’un jeune chercheur entomologiste. Ce dernier part
--
sur de nouvelles bases tout en gardant l’objectif de r&uire les pertes post-
1
récolte surtout au niveau paysan. ?~US orienté vers 1’entorrroloyri.c et 1 a. lut i;e
inté!Fée contre les insectes des denrées stockées, ses acti.vi tés ont gravité
j,e-uis autour .Aes themes suivants :
1 - Inventaire des insectes et des méthodes T,radi tionnelles de
stockqe du mil,
2- Etude de Sitotroga. cerealella,
principal rnvageur du mil s toc>&
en milieu pi!.y:>Xl a u Sénégal.
3- .léthodes de lutte (intégrce). Evaluation et wélioration des
1;7é thodes trahi. tionnelies -ie conserva tian :lu .xi.l.

Tableau. 1 : Inventaire des insectes des denrées
au Sénégal et hBtes (1984).
I Source d'Infestation
Ordre-Famille
Espèces identifiées
Coléoptère
Tenèbrionidae
Tribolium confusum DW,
Col6optère
Oryzaephilus surinamensis (L)
Silvanidae
t- Coléoptère
Sitophilus zeamays (L.)
C u r c u l i o n i d a e -~
--. - ._.- - -.-. --_.
Coléoptère
curculionidae
Sitophilus zeamays (L.)
Lépidoptére
Galleriidae
Corcyra cephalonica (Stnt)
Lépidoptère
Gelechiidae
Sitotroga cerealella Oliv
Lépidoptere
Geléchiidae
Sitotroga cerealella Oliv
Coléoptère
Tenebrionidae
Tribolium confusum DW
Lépidoptere
Phycitidae
Ephestia kuehniella Zell.
Lépidoptére
Phycitidae
Ephestia elutella (Hubn)
Colkoptère
Bruchidae
Callosobruchus maculatus (F.)
Coléoptère
Bruchidae
Caryedon serratus L.
Coléoptère
Bruchidae
Bruchus elnairensis Pic
--
Coleoptère
Dermestidae
Trogoderma granarium Everts
riz décortiqué
coleoptere
Cucujidae
Cryptolestes ferrugineus Steph '
Coléoptère
Cucujidae
Cryptolestes pussilus L.
Hémiptère
non identifié

4. la suite de l’observation de l.‘infestat.ion du mil en fonction des
conditions et dez methodes de stockage, 2. cereallella s’est. rev6:16 strc- le
principal ravageur du mil.
2-2. Description
2. cerealella est un petit: Gpjdo;ttèrc d e la Îzmiile iïes ‘&!.ectidae
i
( SEC x ’ 7 ,383). Sa distribution mondiale est très 1:qye. h ~én&yCl on le ren-
i
contre en plus du mil sur le riz paddy 1~ sorgho et .Itto t?pis de maïs.
2-3. Dé&ts
2 - j - 1 . !:Jature Intensité des dég%ts
m
I
Les dég%ts ?l’alucite se reconnaissent
par La présence de trous de -111
.-
le su;’ ieS ,pG, ?ar suite du dévelogpenent des larves dans le .;yain,
l&S épis attaqués *%pparaissent garnis de trfcus (SECK, 1$84), avec une perte
de poids.
L’ir&es talion de Se cerealella est plus i.:Aportante sur les épis ,qu~
sur le nlil. battu (SECHI, 1 98j). Sous cette deuxléne forme > elle se limite aux
quatre (4) premiers centimètres (SkXK, 193j). De plus elle est moins iillpOl?-
tante que celle de coléoptères du pnre i’riboliurn et de Iépidoptères Ju
ganre Ephes tia (SEC& 1383).
2-3-2. Infestation au champ du mil par 3. cerealella
L’infestation i n i t i a l e d u m i l p a r l’alucite a ét6 évalu~.%~ SUI ;2es
kpis récoltés ü maturité dans deux conditions de cul.ture (champs :le 3::se nt
Ch<amps éloignés). k 1. f aide d’une nouvelle mRtho-lolo$e (3XCK, 13851, on ;:
évalué et exprimé les d.Eg%ts de Si totroga en nombre de zwins .it Laqués :~:r
ccntimétre carré (nga/cm2).
Par ailleurs, on 3 not6 ‘lue :
- ltinfestation
du mil paz I.';zlLzCi te c ox7e nccl bi en au 4: hrtn p ,
- elle est plus grande dans les c.Iw:lps Je mi!. de case ‘juc ùan:;
les champs eloignes.

,*
if-:5-j. +rte pondérale sur des stocks paysans
L e perte. 3 4x6 évahée ilans c i n q (5) viIInges, .5 r a i s o n d e cinq (5)
‘FL~Y:;F~~ p;ir -ri 1.1 ;:,:e, -3 pri:s sc:pt (7) ~noi.:; !Je stock;@. k x>ourccn-l;age e n p o i d s
:ie rhl yrdu :. ét6 !JE 1 ,7~/ p.‘1 00. I:l varie de 2,;6 cî. 3,78 p.100 e n t r e v i l l a g e
tz t & I: Si 8, 6, p. 1 33 entre p’Ly:;wis . (ZECK, 1 383).
Ces ch i. ?frea pmvent nmal tre faibles * Cependant ils doiven-c être
considérés ColilAqe 3es valeur:; :is saison s Cche , périnie où les populations de
.:iitotroTa n e s o n t ~7s i71partantes (.;XX, ? 3133) . Cette étude sera. reprise en
tenant compte de la snison des pluies.
dévelopge~ilent en f’onction de la température
___._.____-_ .-------^I----...------
:I)ans l e s condl Mons 4~ la’borntoire,
l e c y c l e ? dur& 25,6 J o u r s 2
1?“C contre 31 joïlrs à .?,3”C. (ZiGC:!, ’ 93,j).

i
5-z. Lutte biologique
lu suite de l;! capture d’hpénoptkes p:r;asites su1 des stocks de
.-- - - - - -
!ÏIil, 3,s essais on% été tentés e t une investL:stion faite sur la nues Cor.
----.

-très longtemps d’où lti:nportance et une utilis2Uion P?(:ore très large des
~---.
Les pertes ~~c;:rtielles obtenues pour 2. cerealella seront CO!Jplétées
2”lgc!: tw2 t., le i1G.l doit cesser Ae n’ê Vre que “la céréale du paysan”
pour se substituer a~, riz e t, au. bl6 dans les villes.
Dans ce t te cip tique, 1’ T’~A, le SH/%chnologi.c? pas t-récolte et le ser-
vice stock&g doivsnt ensemble réf:1 rkhir 5 une conservation une première et
ww ::e~ Qnite tr:~ns::‘3r~.lati,on d e ,nême qu’,$ des nor:::es de quaii t é . C e dernier
zsnect -reaet-t277 !;l !‘i:*dtio.n .le ;)rix p l u s in.cit&eurs >r, l a production quIme
s i.:;lp2.e ;-Il.,l tO-c..jn~~(~:iil!la-‘;il;)ri.
l
i.

!: - NQTE DE SYNTHE5& SM
-.----.---,-L-.--II---."... LES
e..-. - ESSAIS
-.w -_..- . .,e, TECI~N~lL~lGUJJEIS
N... -a ---..
EFFEI=TES
_,.-__ _ e.-+. .- .a- -__
SUR LES VARIETES DE MIL DU CNRA
--.~._-._.-----‘<--_I_..
--.__ A.-. ~.
- 1 B w 0001
- H'766 (GAM 8X.13)
r
3

Les Ossais ont porté sur le3 (IpilLations suivantes :
- decorticage
- mclrture
- préparatiurx5 culj taire: ~“lâ3x1’ e
t

“cere”)
- panification française
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6 - CONCLUSIONS - PROPOSITIONS D'ACTIONS DE RECHERCHE
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5.1, C o n c l u s i o n s
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-
Les t r a v a u x r é a l i s é s dans le domaine de la technologie
post-secolte,
ont abouti à de nambreuses solutions techniques :
séchoirs, batteuses, greniers, silos, magasins, décortiqueuses,
moulins, Les tentat ives d’introduction en milieu réel ont montré
que ces solutions te’chniques :
- sont performantes, mais hors de portée de l’exploitant
s é n é g a l a i s (coOt p r o h i b i t i f e t s u r d i m e n s i o n n e m e n t ) ,
A insi, la décorticage et la mouture ne sont rentables
qu’en milieu urbain ou semi-urbain en raison des quan-
tites traitées quotidiennement,
- ne permettent d’envisager la mécanisation, que dans la
perspecti.ve d’une production orientée vers La commercia-
l i s a t i o n .
- se sont parfois bien développues : moulins et batteuses.
- -
. - I
6.2. Propositions d’actiona de recherche
L e s c o n c l u s i o n s c i - d e s s u s n o u s a m è n e n t 2 f a i r e c e r t a i n e s
pecommandations pour des actions futures,
.
1 - Evaluation des pertes dans les filiéres t r a d i t i o n n e l l e s
et intermédiaires, 11 s’agira d’estimer, 21 travers les méthodes actusl-
les ou à mettre. au point, les pertes au moment de la récolte (chandelles
n o n recoltées a t t a q u e e s p a r l e s o i s e a u x et/ou les insectes, pertes en
cours de transport.,,,, ), durant le stockage (insectes, moisissures,
rongeurs) et au niveau du décorticage et de la mouture,
On a u r a a i n s i u n e appreciation plus précise de l’importance
et de l a n a t u r e des pertes tout au long d e l a cha.Sne post-récolte,
.
on p o u r r a alors definir l e s a x a s p r i o r i t a i r e s d e r e c h e r c h e p o u r u n e
amélioration des techniques actuelles en vue de la réduction des pertes
constatoos, 2 - Etude de 1. *influence des techniques de stockage et de
t r a n s f o r m a t i o n s u r l a v a l e u r n u t r i t i v e des produits finis,
zn s a i t q u a 10s attaques d’insectes et de moisissures am&-
n e n t wn coulement d e s p e r t e s q u a n t i t a t i v e s mais des pertes qualita-
tives, 11 o n e s t d e mE?me po~ur l e s pczrées ah niveau de la transformation,
a i n s i q u e n o u s l’avons Vu, Une f o i s les p e r t e s q u a n t i t a t i v e s definies
à ces deux niveaux pour les diff’Brenl;es techniques actuellement utilisée:
il s’ac~ira d e determiner l ’ a m p l e u r des p e r t e s qualitatives du stockage
a l a -trar!sformation primaire, t a n t pour l a f i l i è r e traditionnalle
que
p o u r ccJ.lc interm6diaiie.

,_
b . .
3 -‘Recherchi.de nouvelles techniques de battage et de
transformation plus conformes aux besoins des ruraux et Qconomique-
ment viables,
Les techniques actuelles (de battage surtout) repondent plu-
t8t aux besoins des gros producteurs et des "paysans et pointe@*,
c’est-à-dire ceux produisant essentiellement pour le marché, ‘~1
s’agit donc de mettre au point une chafne de battage - decorticage a,
mouture adaptee aux petites quantités quotidiennement transformées
en milieu rural, Ceci permettra de diminuer le coQt des prestations
et de continuer la politique d’allegement des travaux de la femme,
La réussite d’un tel programme suppose évidemment une
collaboration très étroite entre :
- d’une part les chercheurs travaillant dans ce
domaine au sein mr5me de 1'ISRA ;
- d’autre part entre 1'ISRA et 1’ITA qui intervient
Egalement dans ce domaine,
_ I _ -
-
_ - -

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milieu paysan au Sénégal (version revue et corrigde).
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Rapport d’activité Projet CILSS de lutte intégrée,
Composante Nationale du SénCgal.
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