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SENEGALAI%
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DE RECHERCHES AGRICOLES
P R I M A T U R E
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(I.S.R.A.)
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SECRETARIAT D'ETAT A LA RECHERCHE
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SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
(s.E.R.S.T.)
cuo40/1434
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COMPARAISON DE TROIS SOURCES DE POTASSIUM
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SUR RIZ EN SOL SABLEIJX ACIDE DE PLAINE
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1
DCcembre 1979
Mamadou KI1OUMA
Agropédologue
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STATION DE RECtiERCtiES RIZICOLES DE DJIBELOR
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,1.
COMPARAISON DE TROIS SOURCES DE POTASSIUM
SUR RIZ
EN SOL SABLEUX ACIDE
DE PLAINE
b
-
.? /y
4
1)
- INTRODUCTION :
'7
Avec le développement de la notion, souvent citée, de "la
fertilisation équilibrée" lies efforts
de recherches se
sont orientés,
avec une attention particul$ère,
sur
le rôle
de la potasse qui jusque
là occupait une place relatkvement secondaire
dans les formules de
>
fumure. Sur
le plan pratiqub,
l'effet spectaculaire de l’azote a souver
masqué la nécessité d'un apport de potasse aux cultures
jusqu'au momen-
où il a été clairement établi que l’eff.icacité
de dosés importantes
d'azote dépendait étroitemebt
de l’équilibre entre les différents élé-
:.
ments biogènes. Même dans l$s pays ayan:t une vieille tradition dans la
fertilisation, la nécessité’d’apporter
de la potasse n'est apparue que
i
tardivement
chez les agriculteurs. Cela s’expliquerait par le fait que
“la carence
en potasse est plus difficille à identifier
que la carence
en N ou en P car elle n’apparaît
habituellement pas durant les Premier$
stades végétatifs de la croissance”.
(Von Uexkell, 1976).
Dans les pays où l'utilisation des engrais minéraux est assez
récente, les premiers essais, de fertilisation ont souvent révélé
une
réponse ,très
limitée du riz à la potasse a pliquée, notamment en Inde
et dans le Sud-Est de la chine (Chang et aii .). En Chine, toujours, l’ai:
plication d’engrais
potassiques associés a de fortes
quantités de
fumure
organique ayant des tieneurs élevées en K, telle
que le fumier,
a entraîné
dans certains cas une diminution des rendements.
Au Sénégal
également,
un effet dépressif du Kcl sur les rendements
en paddy a été
constaté ces dernières
années dans un sol sableux acide de plaine de
la Casamance. Il existe cependant de nombreuses références sur la
réponse
positive du riz
à l'application d’engrais
potassiques.
Le présent essai s’inscrit
dans Ile cadre
d'une meilleure
connaissance de la nutrition
potassique du riz
dans les sols sableux
acides de la Basse Casamance très sollicité par la riziculture.
Une
étude comparative de l’efficacité
de trois sources
de potassiu,m y est
menée en conditions semi-controlées avec un suivi
de l'évolution de
différents paramètres
chimiques et électrochimiques. Un rappel biblio-
graphique
sommaire s'avère Ce\\pendant indispensable afin de mieux déli-
miter le contexte de l’étude.
2)
- QUELQUES ACQUIS EN
MATIERE DE FERTILISATION POTASSIQUE :
L'identification des symptomes visibles de déficience en un
élément nutritif quelconque, bien qu’étant assez délicate, demeure un
élément de grande importance dans le domaine
de la nutrition minérale
des plantes. La principale difficulté rencontrée dans cette démarche
d’identification provient souvent du fait
qu'un effet visible peut être
l’expression de plusieurs causes. Dans le cas du potassium, les symp-
tômes
visibles de déficience les plus couramment rencontrés peuvent
se résumer
ainsi : "Les plants sont rabougris mais le tallage est
seulement légèrement réduit.
Les feuilles sont courtes,
tombantes et
d’un vert foncé. Sur les feuilles les plus basses, le jaunissement
commence entre I.es nervures depuis les bouts et éventuellement elles
meurent quand elles sont colorées cn brun clair. Quelquefois, des
tâches brunes peuvent se former sur les feuilles vert foncé”. (Tanakn
et Yoshida, 1970).
- 2 -
a)
- Relations entre K et conditions adverses du milieu :
,
‘4.
Différents auteurs s’accordent pour affirmer
que les plantes carencées
en K sont sensibles à certaines ma&adies.cryptogamiques
et bactériennes
*
(Helminthos poriose,
maladie des tâches brunes,
xanthomonas oryzae etc >.
En rizière submergée, le stress cause par 1 ‘excès d’ions tels que Fe’+,
Mn2+ e t S2-
a pu être
atténué par une nutrition
adéquate en K. Selon Béringer
et Al, dans des conditions de nutrit$on
adéquate en K;
les plantes secrètent
moins de solutés organiques radiculaires.
Il en résulte
une diminution de la
perte en oxygène; la toxicité est ainsi réduite par formation d’oxydes de fer
et d'oxydes de manganèse qui précitent à la surface des racines.
Une meilleure tolérance
des plantes au sel est également signalée dans
des sols où l’approvisionnement en K était meilleur
(BERINGER et TROLLDENIER
1978). D’après le rapport
publié lors
du colloque intitulé "Utilisation des
engrais et santé des plantes" tenu en Turquie en 1976, il ressort des
données
bibliographiques pour l'ensemble des parasites un effet favorable du K dans
65 % des cas et
un effet défavorable
(stimulation des maladies ou des ravegeurs
dans 23% des cas. La réduction la plus sensible C~oncerne
les maladies bacté-
riennes
et fongiques (7 cas sur lO), suivent ensuite les insectes et.acariens
(6 cas sur
10) tandis que les nématodes et les virus ont été plus souvent sti-
mulés que réduits.
(Revue de la potasse N02/1978).
En Chine, Chang et Liang (1978) ont constaté que sur riz
une maladie
physiologique appelée "Red Blight" apparaissait là ou la teneur
en K disponible
du sol (extrait
à l'acétate d'ammonium 1 N et dosé au photomètre à flammes)
était inférieure
à 60-75 ppm. Dans les sols où la teneur
en K disponible est
supérieur
à 150ppm, la maladie n'est géneralement
pas observée.
b)
- Relations entre
K et réppnse des plantes :
Il est généralement admis à travers la littérature
q
lorsque le K
échangeable du sol est inférieur
à 100 - 120 ppm, une
%
réponsey
appliqué est
probable;
en particulier lorsqu’il
n'y a
pas d’autres facteurs
limitant le
rendement. Il n'en demeure
pas moins que la réponse
des plantes est intimement
lié au type de sol
et à l'année 'de culture.
En Basse Casamance, un effet positif de la paille de riz enfouie
(.1,66 % de K20) sur les rendements
en paddy et paille a été
noté sur sol argile!
(BEYE 1973).
L’auteur a
également montré
dans le
même essai où il comparait
l'action de la potasse et de la paille enfouie sur
le développement et le ren-
dement du riz, sur sol argileux
que:
Le bilan de la potasse est negatif pour
le témoin (sans potasse, ni
paille), légèrement exédentaire pour La
potasse seule; de même que pour la
paille et largement exédentaire
en présence de Pa:ille et de
potasse.
Sur rizière
sableuse et acide, l'efficacité de deux modes d’apport
du chlorure
de potassium (tout au repiquage ou en 2 fois: repiquage et tallage
maximum) à des
doses croissantes : 50,
100 et 150 kg de KzD/ha a été comparée
en présence
de N et P à la
dose de IOOkg/ha sous
forme d'urée et
de supertriplc
respectivement..
Les faits
marquants de cet essai sont lors suivants:
- Un effet hautement significatif de N P
- Une absence d'effet de K
- Un effet linéaire
des dases de K
- Une absence d'effet du mode d'apport.
. . ./ . . .
-3-
Malgré le manque d'effet de K dans les
sols sableux acides de Basse
Casamance,
l'emploi d'engrais potasqique a été néanmoins recommandé vu les
risques de carence liés à l'intensification de 1-a riziculture avec I’utilisatio
de variétés
à haut rendement.
Sur ces sols également,
la mqyenne des rendements en paddy sur quatre
années de la combinaison LOON - 40P - 50K
ne diffère
pas significativement de
la moyenne de
la combinaison 100N - 40P. La formulation binaire s’est même
révélée arthmétiquement supérieure à la formulation ternaire
au niveau des rend
ments en paddy (4,9t/ha pour
100N - 40P contre 4,8t/ha pour 1.00 N - 4OP- 50K.
L'enfouissement de paille a awru les teneurs en
K du sol aussi bien en
sol argileux
qu'en sol sableux, maig cet effet positif est souvent atténué par
le lessivage dans le sol sableux. (BEYE et AL 1975).
La formation
en excès de fer ferreux, d’alzides
organiques ou de composés
sulfureux est également
un handicap majeur dû à l’incorporation de la paille
en sol sableux soumis à la submersion.
3)
- SITUATION DU PROBL#EME ET OBJECTIFS :
Il a été constaté,
dans les rizières
sableuses de plaine de la Casamanc
un effet dépressif
du potassium dans les combinaisons à base de N, P, K.
L'absence de différence significativg entre
d'une part,
les traitements N P et
les traitements
N P K d’autre part, ne se reflètait
pas nécessairement
dans les
teneurs
en K de la solution du sol. Parmi les
multiples causes possibles recens
à travers la littérature,
nous avons relevé
les aspects suivants:
- Des rapports
inadéquats entre N, P et K dans la formule d’engrais
u t i l i s é e , compte tenu de la disponibilité de ces éléments dans le sol. Une
diminution du prélèvement de P a été signal6e lorsque les engrais potassiques
sont utilisés alors que les plantes sont le siège de désordre
physiologique
résultant de l’ingestion de sels.
- La pauvreté des sols
en matière organique. Dans beaucoup de sols
tropicaux, la capacité à retenir les
cations sous forme échangeable se situe
dans la fraction organique.
- La forme et la
méthode d'application de l’engrais potassique en rela-
tion avec le type de sol et avec le type de culture,
- La présence dc polymeres d’hydroxy-aluminium qui aux faibles valeurs
de pli empêchent 1~ fixation des ions K-t.
- La nature filtrante des sols sableux qu!t favorise un int.ense lessivat.
des éléments biogénes.
- La contribution du potassium non échanqcable à la nutrition minéral<-
des plantes qui a permis dans certains cas d’expl;.quer le manque de réponse.
- L’emploi à fortes doses d’herbicides qui peuvent inhiber le prélèvemt
de l’ion K+ par 1~s r::cines de riz.
Le 2,4D (2,4 Dichloro-phenoxy acétic acid>
et le M.C.P.A (4 chlore - 2 méthyl - phénoxy acetic acid) à des concentrations
de l’ordre de 10-4 molaires inhibent le préléwcmert de l’ion K+ par les racine:
de riz.
(Zsoldos et Al 1978).
. . . . / . . .
- l!! -
Les sols qui nous intéressent, sur ce problème particulier du potassium,
ont les caractéristiques
suivantes:
- Une faible capacité d'échange cationique,, (C.E.C( 1 meq/lOOy de terre
- Une faible teneur en matière
organique (5,8 %o)
- Un pH acide - (entre 4,5 et 5).
- Une texture très grossière (sables totaux > 90%).
- Un pauvreté chimique notoire (Voir tableau
ci-dessous).
I
N %o
!
K*O /Oo
!
P95 %o
i
Pl. 0. mo
!
Ammoniacal
!
Soluble
!
!
Total
!
!
!
!
!
!
!
!
?
!
!
!
I
0,0021
!
0,47
!
1,30
!
5,76
!
!
l
!
Ces sols de plaine, formés sur d’anciens sédiments
fluvio-marins re-
célent des teneurs
en sels élevées, par endroits.
La fumure minérale utilisée dans les
expérimentations antérieures
était sous
forme d’urée,
de superphosphate et de chlorure de
potassium. Nous
avons entamé nos investiyations en mettant l'accent sur
l'incidence de l’anic
accompagnant le cation K+ dans l’engrais
potassique sur la réponse
du riz.
Ceci
se justifiait d'autant plus que l'anion Cl- apporté par le Kcl est répu.
être
toxique lorsqu’il se trouve en grande
quantité dans le sol. Le sol étud.
est bien pourvu
en Cl- , parce
qu'affecté par une salinité chlorurekdique.
Dans une premi?:re approche
nous nops sommes limité à la comparaison de trois
sources
de potassium. (Kcl, KN03 et K2t-l PO4).
4)
- METHODOLOGIE :
L’essai a été
mené dans
des pots en plastique pouvant contenir,
chacun.
10 kilos de terre
et muni d'un tuyau de drainage. La terre provient de la
nouvelle Station de Djibélor (P. 20).
L’azote
et le phosphore ont dté apportés sous forme d'urée et de
supertriple respectivement. 100
unités pour l’azote, 90 pour le phosphore
et 3 niveaux pour
.Ze potassium : 40, 80 et 120 unités
par hectare et par
source.
Il a été tenu compte de l'azote et
du phosphore apportés par KN03 et
KzHP04 . Un témoin absolu et un témoin (N,P) ont été adjoints aux traitement:
Le dispositif expérimental
adopté est
celui des blocs aléatoires complets abt
3 répétitions.
Deux pots de bordure
encadrent les traitements
à chaque extrémité du b:
contenant les pots de culture. Le bac est rempli
d'eau jusqu'à la mêmle haute:
que
l'eau de submersion des pots. 1-3 submersion des pots est rfalisée à l'ai
d'eau démirkalisée.
Le phosphore et le potirc
.,,.,ium ont
i?tc': apportuavant le repiquage
des
plants de riz (vari.dtc DJ 684D!.
L ‘azote a f?té apporté 4 semaines après
repiquage.
Quatre pieds de riz
ont r;t-t; rcpiquk dans c!>aque pot, ‘21 jours aprk
mise Fn germination
des graines. Les graines germees
ont Gjourné
dans une
solution nutritïve conçue pour In riz, jcrsqu ‘au moment du repiquage.
-5-
Les analyses suivantes ont été effectuées :
- a> - Sur le percolat, recuqilli sans contamination par l'air ambiant
tous les 15 jours:
pH, C.E, Eh, rJ ammoniacal, K et bilan ioniqL
- b) - Sur
feuilles
Au 402
jour après
repiquage et un mois avant la récolte :
N, P, K, Na, Cl, Mg et Si
- c) - Sur
paille, à la fin des essais :
K, Na, Cl et Si.
- d) - Sur
les échantillons de sol à la fin des essais:
pH, CE et K total.
!
!
!
!
TRAITEMENTS
!
NOMBRE D'UNITES/ha!
SOURCE DE POTASSIUM
!
!
!
!
N
P K
;
!
!
1
!
TO
!
0
0
0 i
!
!
!
Tl
!
100
90
0 ;
!
T2,l
!
100
90
40 J
Kcl
!
!
1
T2,2
!
100
90
80 ;
Kcl
!
T2.93
!
1.00
90
120 i
Kcl
!
!
!
T3,l
!
SO0
90
40 ;
K2HPO4.
!
T3,2
I
100
90
80 i
KZHP04
!
I
!
T3,3
!
100
90
120 1
KZlHP04
!
T4,l
!
100
90
40 i
KN03
!
1
!
T4,2
!
100
90
80 ;
KN03
!
T4,3
!
100
90
120 i
KN03
!
!
!
5) - RESIJLTATS :
A - LES RENDCHLYTS :
a)
- Rendements en grains :
Le tableau de comparaison
des moyennes montre que:
- Tous les traitements
sont hautement
siqnificativement différe.
du témoin absolu TO (Sans engrais'). Ceia confirme la
pauvret6
cliimique des sols sableux de plaine.
- Seuls
deux traitements :
- T3,3 (K21HPO4 à 120 Unités de K)
- T2,.1 (Kcl à 40 unit4s de K)
sont significativement différents du témoin N.P - iT1)
- Le Kcl s’est révélé être la source d’engrais
potassique
la plus performante
dans l'ensemble, au niveau des rendements
grains.
- A la dose de 40 unités par
ha, le Kcl (T2,l) a donné des rend.
ments supérieurs
à celui de
tous les autres traitements.
- L'effet dépressif du pota
ssium qui
a 6té constaté dans les so'
sableux acides de plaine, par
l'emploi du Kcl, ne s'est pas
manifesté dans notre essai.
. . . / 1..
-. 6-
Par contre un léger effet dépressif sur l.es rendements en grains a été
enregistré dans deux traitements à base de KN03 aux doses de 40 et 80 unités dt:
(T4,l et T4,2) et d ans un traitement à base de KZHP04 à la dose de 40 unités de
K (T3,l).
Les courbes d'évolution du rendement en fonction de la dose de potassium
font ressortir
deux tendances Opposé;es pour les trois sources.
Le Kcl d'une
part,
a atteint son rendement maximu? avec 40 unités/ha de I< alors
que pour le
K2HP04 et le
KN03 dlautre
part, les 40 unités correspondent à
un décrochage qui
sera
suivi d'une hausse presque linéaire;
le témoin N P étant pris
comme réfé-
rence.
L'efficacité du Kcl à la dose' de 40 unités/ha est clairement
mis en
évidence par ces courbes
(Fig. 1).
Tableau 2 : Rendements en grains en grammes/pot
!
!
TO
6,03
a
!
T4,l
10,95
13
b
!
I
1
!
T3,l
11,88
bC
bc .I
!
T4,2
12,17
bc
!
bcd
!
!
!
Tl
12,57
b c d
bcd
!
!
T4,3
13,45
!
!
cde
bcde
!
T3,2
14,28
cdef
bcde
i
i
!
!
T2,3
14,37
cdef
bcde
!
!
T2,2
14,79
clef
cde
1
!
!
T3,3
15,46
e!f
de
T2,l
16,30
f
e
1
!
P.P.D.S.
5 7;
!
1 50
1
b) - Rendements en paille :
Tableau 3 : Rendements en paille en grammes/pot
!
!
!
T O
12,27
a
a
!I
!
I
!
T4,3
20,62
b
b
I
!
T4,2
2 1,46
bc
bc .1
!
1
T4,l
22,ll
bc
bcd
;
!
!
T2,2
22,30
b c d
bcd
i
!
T3,3
22,81
bcde
bcd
!
!
!
!
T3,l
23,72
de
b c d
!
!
l
T3,2
24,Ol
!
de
bcd
;
!
T2,3
24,44
cde
b
c
d1
!
l
Ti
25,20
dF!
cd
!
1
!
T2,l
25,61
e
d
I
!
l
I
f
1
P.P.D.S
r> 00
1.
4:
;
? ? ? ? ??
? ? ? ? ? ?
- 7 -
La comparaison multiple
de moyennes montre une différence hautement
significative entre tous les traitements et le témoin absolu (TO).
Le témoin N P (Tl) s'est révélé significativement supérieur à
tous
les traitements à base de
KN03. NouS avons là un effet dépressif très
net du
KNO3 sur les rendements en paille. Cet effet peut 6tre imputable à la dénitri-
fication qui a
probablement affecté le NO3 de KN03.
Aucune autre différence significative
n'a été notée entre les autres
traitements (excepté
TO) et le traitbment
N.P. Comme pour
les rendements en
grains, le
Kcl à 40 unités par ha a donné le rendement le plus élevé.
Tous les traitements,
à l'expeption du Kcl à 40 unités (T2,1), ont eu
un effet dépressif
sur les rendements en paille. Le témoin N P étant pris comme
référence.
3 types de courbes se
dessinent dans l'expression des rendements en
fonction de la dose de potassium. Le,KN03 accuse une baisse plutôt linéaire à
mesure
que la dose augmente. Le KzHP84 connait
également une baisse mais moins
accentuée, avec un léger relèvement
Z-i la dose de 80 unités/ha.
Le Kcl amorce
une légère
hauase à 40 unités/ha suivie d'une chute assez
rapide
à 80 unités. Le rendement à 120 unités est intermédiaire entre ceux à 40
et à 80 unités.
D'une façon générale, la supériorité
qui s'était manifestée dans l'ex-
pression
des rendements en grains, en faveur
du Kcl, s’est traduite
dans les
rendements
en paille.
c>
- Rendements en matière
sèvhe totale :
I
Des rendements exprimés en matière
sèche totale (grains+paille) et
groupés sous forme
de moyenne par
source font ressortir la supériorité du
Kcl
sur les
deux autres sources et
des différences peu sensibles entre le
Kcl et le
K2HPO4 d'une part
et le témoin N
P d’t)utre part.
Rendements en matière sèche totale en
q/poL :
I
Témoin absolu
?8,30
!
!
Témoin N P
37,77
!
XC1
39,27
!
K 2HPO4
37,39
!
KN03
33,59
!
1
1
B- INCIDENCES SUR LA CHUlIE
DES SOLS :
Des analyses effectuées tous les quinze jours sur les
solutions du sol,
en l'absence de toute contamination par l’air
ambiant, ont permis de suivre
l'évolution des paramètres les plus caractéristiques.
Pour ne pas alourdir inutilement le présent rapport,
nous avons regroupe
les trois niveaux de
chaque source
de pota ssium sous forme
d'une moyenne.
pw:
Les waleurs
obtenues en début de submersion
sont élevees lorsqu'on les
compare
au pH 1/2,5 du sol, ainsi
la tendance à la hausse, constatée
dans les
sols acides soumis à une submersion prolongée, n’a été effective rw’à partir
de la 8ème semaine.
/
, . . I . . .
: ;
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:
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3
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:
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l
iqr I
r.
-
.
.._
..-
Le retard entre la submersion et les premières
mesures,.combiné à une defec-
tuosité du pH mètre, est sans doute à l'or.igine des valeurs élevées. A.une
exception près
tous les pH.initiaux sont supérieurs à 6. Malgré
les fluctuation
des valeurs enregistrées
au cours
de la submersion tous les
pH ont légèrement
augmenté à partir.de.la
8ème semaine. Aucun effet significatif de la source de
potassium sur
l'évolution du pH n'est à signaler.
Eh :
Le Eh moyen a connu une baisse très
sensible dés la Zème semaine de
submersion sauf pour les traitements:& base
de KM03 pour-lesquels une Kégère
hausse a été enregistrée.
A partir de la .4è semaine de submersion, la baisse
est générale et sera
suivie d.'une alternance
hausse-baisse qui se terminera par
une baisse très
accentuée. Toutes le$ valeurs
Ob:tenues en fin de submersion son
négatives. Il y
a eu un impact de la forme de l’engrais
potassique sur la
réduction, variable
suivant les périodes. Durant les 6 premières
semaines les
traitements
Kcl et le témoin
absolu ont été les moins réduits, Après
6 semaines
de submersion, le témoin absolu et les traitements
KNOJ ont enregistré les
valeurs les moins basses. La moindre réduction
dans le cas duKNO3 s'expliquera
par la présence de nitrate
dont le r61e atténuateur de la réduction a été
confirmé .
Conductivité électrique : -
-
Toutes les valeurs de conductivité ont baissé dès la 2ème
semaine de
submersion. La baisse sera régulière
pendant toute la durée de l’essai avec
des valeurs
finales inférieures
à 2 mmhos/cm à 25°C.
Les courbes peuvent être
subdivisées en 2 groupes.
Dans le l” groupe
comprenant le
Kcl et les deux témoins (TO et Tl), les valeurs
de la conductivits
ont été sur
toute la période
de submersion, supéri.eures à celles du Z” groupe
comprenant K2HP04 et KN03. Les deux groupes conservent cependant une allure
identique.
Le Kcl de par sa forte contribution à la charge
ionique des solutions
a eu la valeurs
de conductivité les plus élevées parmi les 3 sources.
Hc93-:
Parmi les
éléments dosés, le HCO3- est le seul qui, apres avoir atte'y,
un minimum se situant #entre
la Z" et la 4O semaine, a amorcé une hausse qui
s'est poursuivi durant tout l’essai.
L'évolution des bicarbonates dans
l'ensemb-
est assez symétrique
de celle de la conductivité électrique.
La similitude
souvent constatée entre
augmentation das teneurs en bicarbonates et hausse de 1:
conductivité s'est inversée à partir
de la 4O semaine de submersion.
Toutes les
valeurs
sont comprises entre 3,5 et 6
meq/l après
1.4 semaines de submersion.
Les
deux témoins (TO et
TI) et les traitements
Kcl ont présenté les plus fortes
amplitudes.
Cl- :
Les teneurs
en chlorure, très appréciables
au départ dans
tous les
traitements,
ont connu leur
maximum pendant la 2ème semaine de submersion (entre
252 et 285 meq/l pour
tous les traitements). Tous les pics seront
suivis d'une
décroissance rapide
jusqu'à des teneurs inférieures
à celle de départ. Une fort!-
contribution du Kcl a eu lieu pendant les 2 premières
semaines. Jusqu’à la 6O
semaine les différences sont
peu marquées. La ségrégation
qui s'est opérée par
la suite aboutit à
des valeurs
finales du même ordre
de grandeur.
Quelque
soit la source les teneurs
en U- restent élevées
pendant les 6 premières
semaines.
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I I
- 12 -
a--
A l'image du chlorure, les teneurs en sulfate ont enregistré
un maximum
pendant la Zème semaine de submersiqn.
Une baisse rbgulière s’est amorcée à
partir
de la Sème semaine. A la 14è semaine toutes les teneurs oscilhnt
autour
d'un milli équivalent par litre.
Des 3 sources, le Kcl a eu la plus forte
charg
en sulfate pendant les 10 premières
semaines de submersion.
Na+ :
Les teneurs, élevées au départ,
diminuent rapidement avec la durée de 1
submersion
jusqu'à la 6ème semaine, de là une légère
hausse s'est amorcée dans
tous les traitements. Les teneurs finales restent
cependant très faibles. Les
traitements à
base de Kcl ont été les plus riches en Na+.
Ca++ :
Nous
avons noté un appauvrissement
en Ca++, dans tous les traitements,
avec la
durée de submersion. Les teneurs
initiales, comprises entre 14 et
Zlmec
ont toutes chuté jusqu'aux alentours d’un
milliéquivalent par litre.
Les dif-
férences
au départ en faveur
du Kcl se sont atténuées au cours
de la submersion
Mq++ :
L'évolution des teneurs en
Mg f-t est assez semblable à celle du Ca*. Il
y a eu une baisse très
rapide des teheurs
pendant les 6 premières
semaines. Les
différences entre traitements
ont étB très marquises
pendant les 10 premières
semaines, le témoin et le Kcl se détachant du reste.
N-NH4 :
Le maximum s'est situe dans la
Zème sema.ine pour
les temoins et pour le
traitements à base
de Kcl. Ce
pic sera suivi d’une baisse rapide
qui aboutira s
des valeurs presqu’insignifiantes,
de 1 ‘ordre
de 0,002 500.
Les traitements à
base de K2HP04 et de
KN03 n'ont pas présenté
de pic, ils ont été appauvris
en
NH4+ durant
toute la submersion.
Cette absence de pic pourrait traduire l’exis-
tance de conditions défavorables à la minéralisation de l’azote dans les trai-
tements ayant reçu
K2HP04 et KN03.
P95:
Les teneurs
relativement faibles au départ ont connu une baisse durant
les 4 premières
semaines de submersion. Cette baisse semble être la résultant,
de l’exportation par les
plantes et
de recombinaisons diverses.
La hausse qui
suivra aboutira, après
14 semaines de submersion, à
des valeurs
qui seront
supérieures à celles enregistrées
au départ,
sauf pour
les traitements ,à base
de Kcl qui ont eu dans l'ensemble les teneurs les plus élevées en P2O5.
Les valeurs
ont été particul+èrement
faibles pour les traitements
(N,P
L'adjonction de potassium a eu un impact sur la teneur des
solutions de sol en
P 05 avec un effet nettement plus marqué pour
le Kcl, suivi de K2HP04 et de
KfiO,.
K+ :
Les témoins absolus et
NP et Jes traitements à
base de KN03, avec une
moindre
intensité, ont présenté
un pic pendant la 2O semaine de submersion.
Hormis ces
pics, tous les traitements
ont accusé une baisse constante pendant
les 14 semaines dc submersion.
Comme pour le P205, ce sont les traitements
Kcl
qui ont dosé le plus de potassium. Il y aurait une meilleure disponibilité de
1 ‘ion
K-I- avec le Kcl.
Les teneurs des trait.ements Kh!O3 et KifiPOh restent très
faibles durant toute la submersion.
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- 15 -
D) - Interdépendance
chimie du sol et productivité :
De l'étude de l'évolution des différents parambtres des.solutions du
sol, il ressort que la supériorité des.traitements à base de
Kcl (au niveau
des
rendements
moyens en grains) pourrait s’expliquer par
une plus grande.disponi-
bilité du P205 et du K+ sans qu"il soit toutefois possible d’établir
une bonne
corrélation entre les teneurs
moyennes en ces éléments et les rendements moyens
en grains.
(Voir
tableau ci-dessous)
i
!
RENDEMENT MOYEN !
TENEURS MOYENNES
TRAITEMENT
--------,------------___________I_______
!
EN GRAIN g/pot !
K+ meq/l 1
P205 PP"'
i
!
!
!
!
!
!
6’0
1,ll
!
2,t32
[Tl (N.P.)
12,57
1,13
1,98
!
!
!
;T2 (Kcl)
15,15*
1,49*
3,78"
!
!
!
!
!
;T3
(K2HP04)
;'
13,87
2,96
!
1,03
!
!
!
!
;T4 (KN03)
!
12,19
!
1,06
!
2,6l
!
!
!
I
I
1
I
L'adjonction de potassium sous forme de Kcl n'a pas eu d'effet dépress
sur les rendements en grains, contrairement à ce qui avait été observé dans les
essais aux champs. Un effet dépressif s été constaté avec le KN03 2 40 et 00
unités/ha de K, et avec le K2HP134 à 40 unités/ha de K.
E) - Analyses véqétales :
Il est à signaler
quedes symptbmes de bronzing et
un desséchement
du
bout des feuilles de base ont été observ6s dans toIus les traitements avec une
moindre sévérité
dans seulement deux traitements T2,2 et T3,l (Kcl à RO unités et
K2HP04 à 40 unités, respectivement).
Une étude de l’évolution
du fer ferreux
aurait été précieuse pour l’interprétation
de ces symptomes.
Résultats d'analyses de feuilles 1 mois avant récoltr :
!
!
!
!
!
!
!
!
N76
!
P%
!
K% ! Na% !
Cl%
! Mg%
! SiO2%
!
!
!
!
!
!
0
!
!
!
!
!
!
!
TO !
1,61 !
0,20 !
0,8J3 !
0,04 ! 3,42 !
0,49 !
14,8
!
!
!
!
!
!
!
(
TI !
1,75 !
o,zn
!
1,03
!
0,02
!
4,49
!
0,66
!
12,a
c
l
!
!
!
. !
!
!
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\\
T2
i
1,75 !
0,24
!
0,91
!
0,02
!
6,23
!
0,27
!
14,3
(
!
!
!
!
!
1
!
i
T3
!
1,6U !
0,25
!
l,oo
!
0,03
!
4,70
i
0,19
!
20,87
i
!
!
!
I
!
!
l
T4
!
1,66 !
0,26 !
1,Oh !
0,04 ! 4,12 !
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1L
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- 16 -
Les différentes
analyses effectuées sur
feuille (40 jours aprés
repi-
quage et 1 mois avant
la récolte)
et isur
paille à la.récolte
ne montrent
pas
de différences sensibles entre traitements. Les teneurs en azote enregistrées
ont été
faibles, inferieures à 2X dans tous les cas. Ceci
met en relief toute
la difficulté liée à l’interprktation. des analyses foliaires dans la mesure
oZI les symptBmes de carence
en azote h'étaient apparents que sur le témoin
absolu (sans engrais). Les
symptllmes @e carence en
potassium observés sur
le témoin.absolu ont kté confirmés par la faible teneur en potassium des feuille:
un mois avant la récolte (O,Q3 TO>. Le rapport
de la teneur
en K
de la
paille
du témoin absolu a la teneur en K du traitement N P est conforme à la réponse
modérée enregistrée, il est de 1,‘2. (H.R. Von Uexlkull 1978).
Le
niieau de la silice de la paille
est exceptionnellement bas quelque
soit la source d’engrais
potassique considérée.
Seul le témoin N P atteint les
10% en SiO2.
F)
- Analyse du sol :
L'analyse des sols des différqntes sources de potassium à la fin de
l’essai révéle
une légère
baisse des.PH eau par rapport au pH du sol.de
départ.
La conductivité électrique
du sol a diminué dans l'ensemble avec cepen-
dant un écart
moins important dans le témoin absolu. Les teneurs en K20 total
sont plus élevées dans les traitements
à base de Kcl, Le KNOy
et le KzHF'04 ayant
m&me des teneurs inférieures
à celles des témoins absolu et
k!.P.
!
!
!
TRAITEMENTS !
PH
!
C.E mmhos/cm !
K20 Total
!
1JW
!
l/lO
!
%
1
1
1
--------------------.--------~----------.-------~-----------.---------~--------
I
!
!
!
(
TO
!
493
!
0,14
!
0,313
(
!
!
!
Tl
!
411
!
0,07
!
0,33
i
!
!
!
(
T2
(Kcl) !
3,9
!
0,07
!
il,42
,
!
!
!
T3 (KzHP04) !
490
!
0,07
!
0,19
1\\
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!
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T4
(KN03) !
4,l
!
0,lO
!
0,28
i
!
!
!
(
!
!
!
G)
- Conclusion :
La comparaison de 3 sources de
po.taSsium (Kcl, KzHP04 et KNO3) sur
sol de rizière,,,
sableux et acide, en conditions semi-contrblées, permet (de
tirer
les conclusions suivantes:
- Supériorité
du Kcl sur
le KzHP04 et le KN03 au nivc.su des renlzîements
en matière
sèche (grains et paille).
- Aucun paramètre
chimique ou électrochimique
nia pu istre corre.lé
de
façon significative avec les rendements observés. Les teneurs des solutions
de sol en
K~O et P2O5 semblent être les paramètres exprimant
le mieux les
rendements.
- 17 -
- La différenciation visuelle des traitements.(morphologie,
coloration) n’a été probante qu’entre le témoin absolu et le reste des
traitements.
- Contrairement à ce qui a a i t été constaté aux champs sur le mfime
type de sol, le Kcl n’a pas eu d’e 1 fet dépressif sur les rendements,
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