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8.
l
/*
H&o +-
.,
tiQREPUBLIQUE DU SENEGAL
INSTITUT SENEGALAIS DE
9
-------
RECHERCHES AGRICOLES
PINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL
(I=N
ET DE L'HYDRAULIQUE
DIRECTION DES RECHERCHES SUR LES
CULTURES ET SYSTEMES PLUVIAUX
(DRCSP)
LE POINT DE LA RECHE KHE SUR LES CERCOSPORIWSES
DE L'ARAt HIDEAU SENEGAL
par
ous nane NDOYE
Sél :ctionneur
Communication Présentée lors du 3ème Atelier Régional
sur 1'Arachide
en Afrique de l'Ouest
Ouagadougou 14-17 Septembre 1992
Station NIORO
BP - 17
NIORO-DU-RIP
+-
I”I--

-1

LE POINT DE LA RE
RCHF. SUR LES CERCOSPORIOSES
DE L'
CHIDE AU SENEGAL
l
PAR
0 smane NDOYE
ISRA - Station de NIORO
Résumé :
L'arachide (Arachis hypogaea L.) occupe une place importante dans l'économie
du Sénégal où elle est cultivée depuis très longtemps puisque introduite vers 1659.
Aujourd'hui elle a perdu sa Premiere place au rang des exportations au profit du
phosphate, de la pêche et du tourisme.
Ce recul est dû à plusieurs facteurs dont la sécheresse, la Nouvelle Politique
Agricole et les contraintes d'ordre biotique telles les maladies.
Parmi les maladies la cercosporiose est la plus importante car pouvant réduire
les rendements de l'ordre de 50%. Au Sénégal la lutte contre la cercosporiose a
débuté vers les années 1950 avec l'utilisation de produits fongicides. Ces premiers
produits utilisés, qui étaient des poudres, n'ont pas donné satisfaction. Par suite
d'autres molécules chimiques ont été testées sans qu'aucune recommandation au niveau
paysan soit préconisée. La notaticn cercosporiose selon l'échelle ICRISAT, effectuée
à différentes périodes du cycle de la plante à partir du GOeJAS, a comparé des va-
riétés de 1'ICRISAT et des Etats Lnis avec les variétés locales. La comparaison a
permis une hiérarchisation des variétés selon leur plus ou moins grande sensibilité
à la cercosporiose. Récemment la utte contre la cercosporiose s'est penchée sur la
sélection et la création de varit$tés résistantes.
Les hybridations réalisées dans ce cadre sont entrain d'être évaluées.

2)
LE POINT DE LA RJX
RCHE SUR LES CERCOSPORIOSES
DE L' JCHIDE AU SENEGAL
par
Ou mane NDOYE
1sR.A - : tation de NIORO
I- Introduction
l
L'arachide (Arachis hypogaea L.) est une importante plante des zones tropicales
semi-arides. Grâce à sa teneur en huile elle est devenue l'une des principales cul-
tures industrielles de ces zones qui fournissent près de 67% de la production mon-
diale malgré de faiblesrendements à 900kg/ina comparativement aux pays dévelop-
pés dont les rendements avoisinent 2500Kg/ha.
Le faible rendement de l'arachide dans les zones semi-arides est dû à plusieurs
facteurs dont les principaux sont les pratiques culturales, mais surtout la séche-
resse et les maladies. Parmi ces dernières les cercosporioses sont sans nul doute
celles qui occasionnent le plus de perte de rendement.
II - Importance de l'arachide dans l'économie du Sénégal
Cultivée depuis très longtemps au Sénégal, où elle a été introduite vers 1659,
elle occupe de plus en plus une place importante dans la vie économique du pays. De
sa première exportation documentée de 70tonnes en 1841 (Gillrer et Silvestre, 1969),
sa production actuelle oscille entre 800 000 et 1,2millions de tonnes par an. Au
lendemain de l'indépendance du pays en 1961, l'arachide fournissait les 83% des
recettes d'exportation. Sa contrib,Jtion est passée de 98% en 1970 avant de tomber à
41% en 1975 (NDOYE, 1984). Aujourd'hui l'arachide occupe le 4e rang des produits
d"exportation après le phosphate, .La pêche et le tourisme. Ce recul de l'importance
de l'arachide dans l'économie du Sénégalest le résultat de plusieurs facteurs dont
la sécheresse, la Nouvelle Politiq?e Agricole et les contraintes d'ordre biotique
telles les maladies.
III - Les Cercosporioses de l'arachide
1 - Agents pathogènes et
Cercospora arachidicola Ho
personatum (Berk. et Curt.)
:)eighton,
stades imparfaits d
respectifs de la cercosporiose
;3récoce et de la cercosporios
t's dans les lésions nécrotiques
des feuilles. Les stades parf
thogènes, Mycosphaerella arachidis
Deighton et Mycosphaerella be
W.A. Jenkins,respectivement pour la cercospo-
.riose précoce et la cercospori
sont très rarement observés. Ces agents
;;e dévelo,ppent si l'humidité
ersiste avec des températures com-
prises entre 25 et 31°C (Po
. . . /.
-.----- --__ ,_s--~--.~

4)
négliger devant le précédent"
Ces premiers travaux se sont li-mités à tester des formules de produits fongi-
cides par poudrage sur les feuill S de l'arachide (la lutte directe) et à essayer.
certaines
pratiques culturales (1
1.utte indirecte).
1-l. La lutte dire te
Les fongicides utilisés sont
- le soufre pur sous forme d
ofril
- l.e mélange soufre + sel de
.ivre sous les formes Sofr il
et Viricuivre dans les pro
tions 90-10
- le mélange soufre + sel. de
r sous les formes Sofril
et: Fermate dans les propor
ns 80-20
Cette lutte directe qui avai
té expérimentéeaux Etats Unis en 1942 (Jaubert
11252) avec beaucoup de succès n'a
t pas répondu à l'attente des chercheurs Séné-
galais. En effet Jaubert tire la
clusion suivante : "La lutte directe par pou-
drage avec des produits fongicide
ur le feuillage des plantes, n'est pas possible
au Sénégal comme elle l'est en Am
que. Le régime des pluies ne permet pas d'ef-
fectuer les poudrages sans risque
les voir lavés par une chute d'eau, ce qui les
rend inopérants. Etant donné :Le F
c de revient des traitements on ne peut les recom-
mencer, l'opération ne restant pc
yentable."
A ïa suite de 1'Gchec de l'c
Lisation des fongicides par poudrage, d'autres
voies ont été explorées.
z
. f
.\\
1.2. La lutte indi
te
-
Cette méthode se rapproche di
pratiques culturales des paysans de la région
de Casamance. En effet ces demie.
qui pratiquent le feu de brousse, cultivent sur
bilions avec parfois des rideaux (
mil, ont leurs arachides moins défoliées qu'à
la Station selon la constation de
ubert.
a) le labour
Un labour bien fait nettoye
terrain et permet de #supprimer la pratique du
feu de brousse néfaste car abaiss
le taux d'humus du sol. Le labour correspond
.noins à une action ayant une infl
ce sur les spores de Cercospora qu'à une action
favorable sur le sol.
b) le buttage
La pratique du buttage après
levée nous semble convenir particulièrement et
'de préférence aux simples binages
Ile élimine les herbes et favorise la destruc-
tion des feuilles tombées, infest
de,$pores du parasite. Elle limiterait donc
l'auto-infection.
___. ._--._
---.-_-_
--_-

c) le semis en ran
-
-
jumelé
1 présente de réels avantage
pour travailler et récolter les arachides. Comme
il semble diminuer les attaques d
:-eu.ospora-,. on a tout intérêt à l'employer de
préférence au rang simple (Jauber
1952).
d) les rideaux de
1
-
Les repousses d'arachide rep
sentent un foyer d'infection pour les cultures.
Pour s'en protéger il serait inté
ssant de faire une expérimentation de culture
avec rideaux de mil semés en band
parallèles perpendiculairement au sens 'des vents
dominants.
Cette méthode possible
n culture indigène, est rendue délicate
en cul-
ture
mécanisée car l'arachide et
e mil ont des exigences culturales différentes.
Jaubert tire les conclusions
uivantes sur la lutte indirecte "un labour bien
fait enterre les débris d'arachid
de la campagne précédente et permet de limiter
l'infection.
Les spores fixées sur
es fanes ne contamineront pas les cultures ni les
repousses d'arachide , qui formen
un premier foyer d'infection. La destruction de
ces repousses, levées avec les pr
iières pluies est aussi très importante.
Les buttages en cours de vég
ation empêchent les herbes de cro?tre. Ces der-
nières forment en effet un microc
.mat humide favorable 21 la prolifération du para-
site. En outre les buttages en ra .nant la terre sur les feuilles tombées limitent
l'auto-infection.
La pratique d'écrans protect L%; constitués par des rideaux de mil, contre les
spores véhiculées par le vent doi
être mise en essai. Il se peut qu'elle procure
des résultats intéressants."
1.3. Conclusion su
les premières recherches
-
Des premiers travaux sur la
krcosporiose au Sénégal les conclusions suivantes
peuvent être tirées.
Au Sénégal la cercosporiose
! l'arachide abaisse les rendements en gousses dans
des proportions que l'on peut est
Ier supérieures à 20% pour l'ensemble des variétés;
il est donc important de luttercc
secette maladie (Jaubert, 1952). Mais les méthodes
de lutte préconisées ne se sont p
; révélées efficaces, c'est pourquoi. on &it
s'orienter vers d'autres formes d
lutte notamment la résistance variétale. C'est
d'ailleurs ce qu'a compris Jauber
(1952) qui conclut en ces termes : "malgré toutes
les précautions prises, nous ,n'err
icherons pas le CeecoGpora de se maintenir sur les
terres à arachides du Sénégal. Or
comme les pertes qu'i:L cause ne sont pas négli-
geables, il nous faut recourir à
Le méthode efficace, mais longue à mettre au point :
l'emploi de variétés résistantes.
. . . 1.

Nom des
:
!
!
pro+its
!
Dose
1
! Chlorothalonil
!
125Og m.a./ha i
!
! CGA 64 250
!
!
150g m.a./ha !
!
! Biloxazol
!
250g m.a./ha !
!
, Nuarimol
!
!
!
9Og m.a./ha !
! Carbendazime 4,5 Mancozèbe 33
!
4L p.c./ha
!
!
! Méthylthiophanate 2,5 Manèbe 25
!
!
!
4Kg p.c./ha
!
! Carbendazime 10% -- Triforine 10% !
2L p.c./ha
!
!
, Carbendazime 8 - Manèbe 64
!
!
2,5Kg p.c./ha !
!
! Carbendazime
!
200g m.a./ha !
!
!
!
, Témoin
.
!
!
!
!
!
Si l'on considère le nombre
yen detaches calculé sur toute la période couverte
pir.les traitements(du 51e au 1
e jour de culture), on observe que les mélanges
I- .
(Méthylthiophanate + Manèbe,
dazime + Triforinee:m m et
Carbendazime f Manèbe) ont pe
'assurer la meilleure protection des plans d'ara-
chide contre la maladi
le chlorothalonil, le Biloxazol et le Nuarimol
figurent parmi ceux qui ont
té la moins bonne aptitude à limiter le dévelop-
pement de la maladie ;
hent cependant très nettement du témoin.
Le mélange Méthylthiophanate
Manèbe a donné les meilleurs rendements en fanes
permettant une plus-val
r rapport au témoin ; il est suivi par l'associa-
tion Carbendazime + Tri
nsable d'une augmentation de rendements en fanes
'de.- 69%.
Conc:ernant les rendements en
ousses, le Méthylthiophanate + Manèbe, le Carbenda-
zime + Mancozèbe, le C
Carbendazime + Manèbe et le Carbendazime seul, se
sont montrés équivalents entre eu
et ont été responsables des plus forts gains de
rendements par rapport au témoin
+47 à 55%). Le Biloxazol et le Nuarimol ont donné
les plus mauvais résultats tant e
gousses qu'en fanes mais se distinguent tout de
même du témoin.
La Eréquence d'app
roduits fongicides a été aussi testée par Masses
(1981). Il a étudié l'effet sur 1 cercosporiose du mélange Carbendazime + Mancozèbe
à la dose de 4L/ha et l'effet du hlorothalonil seul à la dose de 125Og m.a./ha en
.^
application tous les 14 jours et
ous les 18 jours ~LE~ISZ pour les deux produits.
Les meilleurs résu
obtenus avec le mélange Carbendazime + Mancozèbe
responsable de gains de rendement
en fanes de 35% et de gousses de 16%. Quelque soit
le rythme des applications avec c
produit
(tous les 14 jours ou bien tous :Les 18
jours), Ies deux critè
tion étudiés restent inchangés. Il en va autrement
l
. . . /.

2.3. Conclusions sur les recherches actuelles
-
La résistance variétale constitue la solution la plus idoine comparée à la lutte
chimique.
Cette dernière pour être efficace doit respecter scrupulesement les recom-
mandations notamment l'application rigoureuse des calendriers de traitements ; 'Les pro-
duits doivent aussi être disponibles au niveau des utilisateurs, ce qui relève de la
gageure vu le prix exorbitant des intrants agricoles.
La recherche a pris conscience
de l'importance de la cercosporiose au
S&GgaL. Cependant l'un ou l'autre
es deux types se manifestait le plus suivant les
ainées. En effet 1
et 1952) concernaient principalement les
z3nes centre et c
nt sur la cercosporiose tardive.
et pluviométrie suffisantes dans tout le
onditions actuelles, caractérisées par
une sécheresse quasi permanente au
ord et une réduction des pluies au Sud.
pandue du temps de Jaubert, la tendance
En effet selon Subrahmanyam et
rtout ou l'arachide est cultivée,
e dans la partie Sud du Sénégal.
ur la cercosporiose était la
région de Casamance. C'est ce que c
firment d'ailleurs Mortreuil et Khalfaoui (1986)
en disant que le criblage ne peut ê e effectué qu'en Zone;s centre et centre-Sud.,
donc dans des zones qui présentent
s attaques moins importantes qu'en Casamance.
La lutte contre la cercosporio
doit être concertée au niveau régional. En effet
nous ne savons paQ encore s'il exis
des races géographiques différentes ou non ;
dans l'hypothèse où il existerait d
férentes
races la création de programmes SOUS
régionaux ou même nationaux serait
plement justifiée.

REPEflNCES
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__-.-.
----
- - M I - , -

*
12)
,
Tableau 1 : Variétés d'arachide sé ectionnées
au Sénégal entre 1920 et 1960
1
!-
! Année de
! Variétés
!
!
!
Origine--
-j
, Diffusion
,
!
!--------
!
!
!
!
!
!
24-5
!
1935
!
rampante !
120 !
population du Sénégal
!
!
!
!
, 24-11 ;
1935
rampante ,
120
f
population du Sénégal
!
!
.
!
!
24-48
i
1935
!
rampante !
120 !
population du Sénégal
!
!
!
!
!
!
29-24
!
1935
rampante
120
;
population du Sénégal
!
!
!
!
!
29-56 !
1935
!
rampante !
120 !
population du Sénégal
!
I
!
!
' 28-206 ;
1936
!
érigée
120
f
population du Mali
!
!
!
!
!
29-70 !
1936
!
rampante !
120 !
population du Sénégal
!
!
!
!
!
j 30-86
;
1936
rampante ,
!
120
!
population du Sénégal
!
! 31-33 !
1940
!
rampante !
120 !
population du Sénégal
!
!
!
!
j 47-16
f
1958
rampante
120
i
population des Indes
!
!
!
! 48-11.5 !
1958
!
érigée
!
120
I
population de Côte d'ivoire !
!
28-2.0,4
1
!
?
!
érigée
90
i
population du Bénin
!
!
!
!
I
!
!
!
!
!
I
!
!
!
!
!
-
-
Source : Mortreuil et Khalfaoui, 1986
-....---,-
-_--
~_..
--
-+-.~

.._
-Iv-
----/_I-..-”

Figure 1 :
Zones où la csrcospo ,088 précoce est une cent rainte au développement
d e lfarachf,de.
)ak
e
m
Koumpent’oum
Source : Subrahmanyam et.Smith, 19 8k

14)
:
Zone8 03 la cercoapor
se tardive est une contri:, inte au développement
d e l’alcachid+.
r’ oMQkhé
h%L
’ ‘ .
:’
mKoupentoum
/‘j;
‘/
0 Taq$acountla
---
P - - - “ - - m