PROCESwYERBAL DE LA REUNION DE CONCERTATION SUR...
PROCESwYERBAL DE LA REUNION DE CONCERTATION
SUR L'IMPLANTATION D'UN LABORATOIRE
D'ANALYSE DES PESTICIDES
Le 7 octobre 1'980 à 10h s'est tenue à la DG/ISRA la
réunion de Concertation des centras de 1'ISRA pour dafinir la Poli-
tique de lfISRA concernant le probléma de l'analysa des pasticides,
La réunion a ate présidea par S.M. Toura DG/ISRA par interim puis
par le Chef du Dépari:amant AGROBIO S, Diatta.p,i,
ORDRE DU JOUR DE LA REUN:IOJ
1 - Exposé du problème da ltanalysa des résidus
2 - Besoins des différents centres an matière dYanalyse de
dsidus des pesticidos,
3 - Propositions du lieu dlimplantation du laboratoire.
PARTICIPANTS
1 - Masses
Hubert
Secteur Centra-Sud
2 - Sitapha
Diatta
Chef AGROBIO p,i,
3 - Saydil M. Tour4
DG/ISRA p.i. ZOOVETO
4 - Mohemadou Ly
5 - Malagnoux Michal
- E,F. Collingtiood
CDH/FAO/'ISRA
; - E.L.P. Davias
OMVS/ISRA/ADRAO
- Arona
Guèye
LNERV/HANN
9" - Portolano
CRODT
ID - Plbaya
Ndoye
CNRA/Bambay.
Le Docteur Tour6 dans son introduction a mis en relief,
l’importance d'une bonne gestion des pesticides en génaral, et au
sein de I'ISRA en particulier car a-t-il souligné : plusieurs
services de 1'ISRA travaillant directement ou indirectement sur les
pesticides
et c’est suivant les résultats de ces différents tra-
vaux que les pesticidas sont préconisés aux différents util.isataurs
par 1 ‘intermadiaire de la Commission drhomologation des produits
agropharmaceutioues.
Cas dernières a.nnees il y a eu une importante introduc-
tion de spécialites agropharmacautiouas dont le contrble échappe
le plus souvent aux autorités sénégalaises faute de moyens ce oui
d’ailleurs a éta la source des nombreux litigas concernant les
marchés des pesticides,
Toutes cas considérations font qu’il est nacessaire pour
1'ISRA de se doter d'un laboratoire dl’analyse;-non wulement des
r6sidus de pesticides mais encore des fo.rm.uj,~tio~n& de Pasticides,
2
pour resoudre l’ensemble des problèmes inhérents à l’utilisation des
pesticides, il faut mettre en place une structure du genre Centre
de phytopharmacie dont les activités comprendraient :
- 1 letude physico-chimique des formulations
- 1 ‘étude des techniques d’application
- 1 ‘étude des residus.
HI STOR 14 UE DIJ PROBLEYIE
Depuis plusieurs annees et au moins 1972, Ilanalyse des
residus de pesticides a CIte reconnue comme une néçessitd .Des dif’fé-
rents projets et études oui lui ont et6 consacres on Feut kirer las
conclusions s’uivantes:
- un laboratoire d'analyse des pesticides est une
nécessité
- un laboratoire demande un lourd investissement
- plusieurs organismes ou instituts veulent se doter
d I un 1 aboratoi re
- un laboratoire de rBsidus ne peut être”rentable”
qu’au niveau national,
d’où l’idée de mettre en place un laboratoire national d’étude des
pesticides. Si cette idée est généralement retenus par tout le monde,
néanmoins sa réalisation reste difficile dans la mesure ou chaque
organisme veut abriter et gérer ce laboratoire national.
Devant cet état de fait les chercheurs de lrISRA et de
1’ITA ont élabore en janvier 1979 un document dans lequel ils in-
vitaient le SERST à trancher le problème après une étude objective.
Dans le même ordre d*idées un dacument est sorti au niveau du SERST
concernant le code de 1 ‘environnement,
A la suite de toutes ces initiatives, 1s Ier juillet 1980
une réunion regroupant plusieurs départements ministériels est con-
voquga par le SERST pour étudier l’ensemble des problemes d’analyse
au niveau du Sénégal et le 10 juillet 1980 au cours d’une ~beuxième
reunion il a et6 mis en place quatre commissions, dont la commissior
des pesticides. Le travail de ces commissions est coordonné par
1 t Institut Sénégalais de Normalisation,
C’est en vue de la préparation des travaux de la commis-
sion des pesticides que cette réunion de concertation a et% convo-
quee afin quà la lumière des besoins des différents centres 1IISRA
puisse faire des propositions.
LES EI~SOINS, DES ;EWT'R
CDH/Cambérène
- L a p r e s s i o n p a r a s i t a i r e olevée sur les cultures légu-
mières,
exige des traitements fréquents.
- L a consommatSi.on à l’etat c r u e t aussitbt a p r è s r é c o l t e
des légumes implique
un contrôle des traitements et des délais de
c a r e n c e ( p é r i o d e e n t r e l e d e r n i e r t r a i t e m e n t e t l a recolte),
- N o m b r e d’ana,lyse p a r a n : 8 0 à 100 : d é l a i s d e c a r e n c e
8 6 2
: contr61.e au niveau
de .l ‘ e x p o r t a t i o n .
CNRA/Bambey
- Etude physico-chimique des formulations de pesticides
- Etude des doses d'applications (insecticides, herbicides,
fongicides... ) et de la dégradation des pesticides.
- Etude des résidus de pesticides (récoltes, sol, eaux,
environnement ).
- Nombre d’analyses par an : 636.
.LNERV
Rgsidus des pesticides dans les tissus des ruminants et
l e l a i t . -
- Residus d e s p e s t i c i d e s s u r l a végetation, l e s o l e t
l e s e a u x , - Nombre d”analyses par an : 200
100 pour 1-e contrôle des residus des pesticidos dans
le lait des animaux des Niayes
50 sur le sol des Niayes
5 0 s u r l a vegetation des Niayes.
L'intérBt port6 à la région des Niayes est dQ au fait que
depuis quelques années, cette region est l’objet d’un t r a i t e m e n t
aux insecticides dans le cadre de la lutte contre les Glossines -
d'autre part, u n e série de tests dtacaricides est egalement e n t r e -
prise sur le cheptel de ce secteur
CRODT
- Residus dans les tissus des poissons, des coquillages
- Etude de la pollution marine (ex. La baie de Gorce)
- Nombre d’analyses par an : 1560 à 2400
.
36D à 600 pour la recherche
*
12Otl à 1 8 0 0 p o u r l e contr8le.
CNRF/Richard-Toïl/D,jibélor/ÇCS
Ces différlants
centres doivent exprimer leurs besoins et
les remettre au service SR/Pestoc du CNRA de Bambey.
Hais comme 1'2. fait remarquer le Chef du Département
AGROBIO d a n s ltensemble,
c e s d i f f é r e n t s c e n t r e s d o i v e n t a v o i r l e s
memes besoins que le CNRA de Bambey seul le volume des analyses
p o u r r a d i f f é r e r :
- à n o t e r t o u t e f o i s q u e l q u e s p a r t i c u l a r i t é s
- contr8le d e s p e s t i c i d e s s u r r i z e n C a s a m a n c e e t
au Fleuve
- contr8le des pesticides sur coton dans le sol au
secteur centre-Sud
- p r o t e c t i o n e t e n t r e t i e n d e s forets, p r o t e c t i o n d e
l a f a u n e s a u v a g e t o x i c i t é n a t u r e l l e d e c e r t a i n s
br!iT, au niveau du CNRF,
Il ressort des différents besoins exprimés et des discus-
s i o n s q u e l e s a c t i v i t é s p r i n c i p a l e s d’un laboratoire des pesticides
a u n i v e a u d e 1'ISRA .-.-.'-.': :
- Etude des doses et des delais d e c a r e n c e
- Etude des résidus dans les plantes, le sol, l'eau
et sur les récoltes
- Etude des formulations.
Les problèmes très particuliers ne nécessitant pas de
grands moyens pourront @tre resolus au niveau de chaque centre.
LIEU D'IMPLANTATION DU LABORATOIRE
L e l i e u d ' i m p l a n t a t i o n d u l a b o r a t o i r e d o i t répondre a u x
b e s o i n s specifiques de 1IISRA e t a u x b e s o i n s d e s a u t r e s o r g a n i s m e s
e t i n s t i t u t s ( P r o t e c t i o n d e s V é g é t a u x , I n s t i t u t d e T e c h n o l o g i e
Alimentaire,
L a b o r a t o i r e d u Contr8le EconomiqueJ.
Il doit permettre à la fois des actions de recherche, de
contrdle à priori et des actions de contrôle à posteriori,
Il d o i t A t r e à proximite d u p l u s g r a n d n o m b r e d ' u t i l i s a -
t e u r s e t d e s l i e u x d e prB1èvements d e s é c h a n t i l l o n s (denrdeo pBris-
sables - import-export - degradation des pesticides).
Il d o i t p o u v o i r a c c u e i l l i r l e s p r o j e t s r é g i o n a u x d e s Xa-
boratoires d’analyses comme celui de la FAO sur l’analyse des con-
t a m i n a n t s o u l’OUA sur l’analyse des résidus de pesticides.
En tenant compte de tous ces facteurs et de c e u x specifi-
q u e s à t o u t l a b o r a t o i r e d ’ a n a l y s e d e s p e s t i c i d e s , I l a été r e t e n u
d’implanter le laboratoire des pesticides au Centre de Développement
Horticole de Cambérène e t e n c o n s é q u e n c e d e l e p r o p o s e r comme si&ge
d’un é v e n t u e l L a b o r a t o i r e N a t i o n a l d e s p e s t i c i d e s .
5
Le Centre de I.‘ISRfl du km 15 constituerait un deuxième
choix de lieu dlimplantation.
La séance est levée à llh30.
Le Secretaire de Séance
Le Président de Séance
S. Diatta
DIFFUSION
- DG/ISRA
1
- D/CNRA Bambey
1
- D/Djibélor
1
- D/Kolda
1
- D/SCS Kaolack
1
- D/Dahra
1
.. D/Richard-Tell
1
- D/LNERV-HANN
1
- D/CDH Cambérène
1
. D/CNRF
1
- D/CRODT
1
- AGROBIO
1
- ZOOVETO
1
- Ualagnoux Michel CNRF
1
- E.F. Collingwood CDH
1
- E.L.P. Davies R. Tell
1
- Arona Guèye LNERV-Hann
1
- Portolano
CRODT
1
- Mbaye Ndoye CNRA Bambey
1
- Masses Hubert SCS Darou. 1
SUR L'IMPLANTATION D'UN LABORATOIRE
D'ANALYSE DES PESTICIDES
Le 7 octobre 1'980 à 10h s'est tenue à la DG/ISRA la
réunion de Concertation des centras de 1'ISRA pour dafinir la Poli-
tique de lfISRA concernant le probléma de l'analysa des pasticides,
La réunion a ate présidea par S.M. Toura DG/ISRA par interim puis
par le Chef du Dépari:amant AGROBIO S, Diatta.p,i,
ORDRE DU JOUR DE LA REUN:IOJ
1 - Exposé du problème da ltanalysa des résidus
2 - Besoins des différents centres an matière dYanalyse de
dsidus des pesticidos,
3 - Propositions du lieu dlimplantation du laboratoire.
PARTICIPANTS
1 - Masses
Hubert
Secteur Centra-Sud
2 - Sitapha
Diatta
Chef AGROBIO p,i,
3 - Saydil M. Tour4
DG/ISRA p.i. ZOOVETO
4 - Mohemadou Ly
5 - Malagnoux Michal
- E,F. Collingtiood
CDH/FAO/'ISRA
; - E.L.P. Davias
OMVS/ISRA/ADRAO
- Arona
Guèye
LNERV/HANN
9" - Portolano
CRODT
ID - Plbaya
Ndoye
CNRA/Bambay.
Le Docteur Tour6 dans son introduction a mis en relief,
l’importance d'une bonne gestion des pesticides en génaral, et au
sein de I'ISRA en particulier car a-t-il souligné : plusieurs
services de 1'ISRA travaillant directement ou indirectement sur les
pesticides
et c’est suivant les résultats de ces différents tra-
vaux que les pesticidas sont préconisés aux différents util.isataurs
par 1 ‘intermadiaire de la Commission drhomologation des produits
agropharmaceutioues.
Cas dernières a.nnees il y a eu une importante introduc-
tion de spécialites agropharmacautiouas dont le contrble échappe
le plus souvent aux autorités sénégalaises faute de moyens ce oui
d’ailleurs a éta la source des nombreux litigas concernant les
marchés des pesticides,
Toutes cas considérations font qu’il est nacessaire pour
1'ISRA de se doter d'un laboratoire dl’analyse;-non wulement des
r6sidus de pesticides mais encore des fo.rm.uj,~tio~n& de Pasticides,
2
pour resoudre l’ensemble des problèmes inhérents à l’utilisation des
pesticides, il faut mettre en place une structure du genre Centre
de phytopharmacie dont les activités comprendraient :
- 1 letude physico-chimique des formulations
- 1 ‘étude des techniques d’application
- 1 ‘étude des residus.
HI STOR 14 UE DIJ PROBLEYIE
Depuis plusieurs annees et au moins 1972, Ilanalyse des
residus de pesticides a CIte reconnue comme une néçessitd .Des dif’fé-
rents projets et études oui lui ont et6 consacres on Feut kirer las
conclusions s’uivantes:
- un laboratoire d'analyse des pesticides est une
nécessité
- un laboratoire demande un lourd investissement
- plusieurs organismes ou instituts veulent se doter
d I un 1 aboratoi re
- un laboratoire de rBsidus ne peut être”rentable”
qu’au niveau national,
d’où l’idée de mettre en place un laboratoire national d’étude des
pesticides. Si cette idée est généralement retenus par tout le monde,
néanmoins sa réalisation reste difficile dans la mesure ou chaque
organisme veut abriter et gérer ce laboratoire national.
Devant cet état de fait les chercheurs de lrISRA et de
1’ITA ont élabore en janvier 1979 un document dans lequel ils in-
vitaient le SERST à trancher le problème après une étude objective.
Dans le même ordre d*idées un dacument est sorti au niveau du SERST
concernant le code de 1 ‘environnement,
A la suite de toutes ces initiatives, 1s Ier juillet 1980
une réunion regroupant plusieurs départements ministériels est con-
voquga par le SERST pour étudier l’ensemble des problemes d’analyse
au niveau du Sénégal et le 10 juillet 1980 au cours d’une ~beuxième
reunion il a et6 mis en place quatre commissions, dont la commissior
des pesticides. Le travail de ces commissions est coordonné par
1 t Institut Sénégalais de Normalisation,
C’est en vue de la préparation des travaux de la commis-
sion des pesticides que cette réunion de concertation a et% convo-
quee afin quà la lumière des besoins des différents centres 1IISRA
puisse faire des propositions.
LES EI~SOINS, DES ;EWT'R
CDH/Cambérène
- L a p r e s s i o n p a r a s i t a i r e olevée sur les cultures légu-
mières,
exige des traitements fréquents.
- L a consommatSi.on à l’etat c r u e t aussitbt a p r è s r é c o l t e
des légumes implique
un contrôle des traitements et des délais de
c a r e n c e ( p é r i o d e e n t r e l e d e r n i e r t r a i t e m e n t e t l a recolte),
- N o m b r e d’ana,lyse p a r a n : 8 0 à 100 : d é l a i s d e c a r e n c e
8 6 2
: contr61.e au niveau
de .l ‘ e x p o r t a t i o n .
CNRA/Bambey
- Etude physico-chimique des formulations de pesticides
- Etude des doses d'applications (insecticides, herbicides,
fongicides... ) et de la dégradation des pesticides.
- Etude des résidus de pesticides (récoltes, sol, eaux,
environnement ).
- Nombre d’analyses par an : 636.
.LNERV
Rgsidus des pesticides dans les tissus des ruminants et
l e l a i t . -
- Residus d e s p e s t i c i d e s s u r l a végetation, l e s o l e t
l e s e a u x , - Nombre d”analyses par an : 200
100 pour 1-e contrôle des residus des pesticidos dans
le lait des animaux des Niayes
50 sur le sol des Niayes
5 0 s u r l a vegetation des Niayes.
L'intérBt port6 à la région des Niayes est dQ au fait que
depuis quelques années, cette region est l’objet d’un t r a i t e m e n t
aux insecticides dans le cadre de la lutte contre les Glossines -
d'autre part, u n e série de tests dtacaricides est egalement e n t r e -
prise sur le cheptel de ce secteur
CRODT
- Residus dans les tissus des poissons, des coquillages
- Etude de la pollution marine (ex. La baie de Gorce)
- Nombre d’analyses par an : 1560 à 2400
.
36D à 600 pour la recherche
*
12Otl à 1 8 0 0 p o u r l e contr8le.
CNRF/Richard-Toïl/D,jibélor/ÇCS
Ces différlants
centres doivent exprimer leurs besoins et
les remettre au service SR/Pestoc du CNRA de Bambey.
Hais comme 1'2. fait remarquer le Chef du Département
AGROBIO d a n s ltensemble,
c e s d i f f é r e n t s c e n t r e s d o i v e n t a v o i r l e s
memes besoins que le CNRA de Bambey seul le volume des analyses
p o u r r a d i f f é r e r :
- à n o t e r t o u t e f o i s q u e l q u e s p a r t i c u l a r i t é s
- contr8le d e s p e s t i c i d e s s u r r i z e n C a s a m a n c e e t
au Fleuve
- contr8le des pesticides sur coton dans le sol au
secteur centre-Sud
- p r o t e c t i o n e t e n t r e t i e n d e s forets, p r o t e c t i o n d e
l a f a u n e s a u v a g e t o x i c i t é n a t u r e l l e d e c e r t a i n s
br!iT, au niveau du CNRF,
Il ressort des différents besoins exprimés et des discus-
s i o n s q u e l e s a c t i v i t é s p r i n c i p a l e s d’un laboratoire des pesticides
a u n i v e a u d e 1'ISRA .-.-.'-.': :
- Etude des doses et des delais d e c a r e n c e
- Etude des résidus dans les plantes, le sol, l'eau
et sur les récoltes
- Etude des formulations.
Les problèmes très particuliers ne nécessitant pas de
grands moyens pourront @tre resolus au niveau de chaque centre.
LIEU D'IMPLANTATION DU LABORATOIRE
L e l i e u d ' i m p l a n t a t i o n d u l a b o r a t o i r e d o i t répondre a u x
b e s o i n s specifiques de 1IISRA e t a u x b e s o i n s d e s a u t r e s o r g a n i s m e s
e t i n s t i t u t s ( P r o t e c t i o n d e s V é g é t a u x , I n s t i t u t d e T e c h n o l o g i e
Alimentaire,
L a b o r a t o i r e d u Contr8le EconomiqueJ.
Il doit permettre à la fois des actions de recherche, de
contrdle à priori et des actions de contrôle à posteriori,
Il d o i t A t r e à proximite d u p l u s g r a n d n o m b r e d ' u t i l i s a -
t e u r s e t d e s l i e u x d e prB1èvements d e s é c h a n t i l l o n s (denrdeo pBris-
sables - import-export - degradation des pesticides).
Il d o i t p o u v o i r a c c u e i l l i r l e s p r o j e t s r é g i o n a u x d e s Xa-
boratoires d’analyses comme celui de la FAO sur l’analyse des con-
t a m i n a n t s o u l’OUA sur l’analyse des résidus de pesticides.
En tenant compte de tous ces facteurs et de c e u x specifi-
q u e s à t o u t l a b o r a t o i r e d ’ a n a l y s e d e s p e s t i c i d e s , I l a été r e t e n u
d’implanter le laboratoire des pesticides au Centre de Développement
Horticole de Cambérène e t e n c o n s é q u e n c e d e l e p r o p o s e r comme si&ge
d’un é v e n t u e l L a b o r a t o i r e N a t i o n a l d e s p e s t i c i d e s .
5
Le Centre de I.‘ISRfl du km 15 constituerait un deuxième
choix de lieu dlimplantation.
La séance est levée à llh30.
Le Secretaire de Séance
Le Président de Séance
S. Diatta
DIFFUSION
- DG/ISRA
1
- D/CNRA Bambey
1
- D/Djibélor
1
- D/Kolda
1
- D/SCS Kaolack
1
- D/Dahra
1
.. D/Richard-Tell
1
- D/LNERV-HANN
1
- D/CDH Cambérène
1
. D/CNRF
1
- D/CRODT
1
- AGROBIO
1
- ZOOVETO
1
- Ualagnoux Michel CNRF
1
- E.F. Collingwood CDH
1
- E.L.P. Davies R. Tell
1
- Arona Guèye LNERV-Hann
1
- Portolano
CRODT
1
- Mbaye Ndoye CNRA Bambey
1
- Masses Hubert SCS Darou. 1