SYNTHESE DES ACTIVITES DU SERVICE PATHD-MIL EN...
SYNTHESE DES ACTIVITES
DU SERVICE PATHD-MIL EN 1983
Par
0. F. MBAYE
Phytopathologiste ISRA-CNRA de Bambey

- INTRODUCTION
Les a&ivit& du service Pathologie du mil se sont principalement
déroulées à Bambey où ow@arativement B une snn&e normale il y a aut un ddfi-
cit pluviom8”trique de 250 à 300 mm. Cette situ&ion s’est trouvée agravée par
d’une part une skheresse de 5.Ojours .zzprès le semis et d’autre part, un z&%
précoce des pluies, ce qui nIa pas permis un d&oloppemeti normal du mil et le
foisonnement des maladVes. Les pri.nciBauX aM;es de nos a&ivitQs pendant la
campagne 1983 sont les suivants :
11”) R&&ation des nivetauc de résistance des va&%& de mil au mil-
diou, au charbn et à l’ergot.
F) Etude de J’Qpid&ni&.e&k? db mildiou sur des v&riéi& du mil pour
carcactériser leur résistancFt;
3*) Contr8le dk~ mil&iau par le methâlaxyl.
~$0) Fbyspection en milieu pcgrssn et dans les essais.
- Circonscnxrû le niveau de réaction de li;fYS%xxnt~ m&&i.&Ls eng;-ys;és
dans un pracessus de sélection par rapport aux maltiies du mil pour essayer deen:
aaractWser l a réaistmce,
-Rechercher des critères pour oaract&%aer une z6sist~anco au champ
de.a variétés du mil au mildicsu.
- Mise en évidence de la capacité d& certains fongicides sy&wes
à contsQler le mildiau* et de ptxtéger &ventuellement le mil en éliminazt ltkfec-
tien primaire contenue dans le sa1 bu / et en renfqaut les Sk&ion~ de. la
plante contre le pathogène Sri.1 pénétre,
- Circonscrire le niveau d’infestation des cultures en rotation avec
le mil et d’en rév&Ler les principe,@ gents.

REStJLTA!l'S :
Ii. RE'VEIATION DES NlVEALIX DE RESISTANCE DES VAQIETES DU KIL AU l\\rîILDIOU
ET AU CHARBON.
L'essai dans sa conception comme dans sa rilalisation pratique nous a
permis de cerner le spectre de r&sistance vis-&-vis d.u mildiou et du charbon du
matériel vGgétal sur lequel travaillent les sélectionneurs. Ce qui nous a permis
en conséquence de r&6ler un matériel intéressant en ce sens qu'il entériose une
rési&ance as588 forte aux maladies précitées.
Ce matériel a été conventionnellement cl&%8 selon le niveau de r&is+
tance des variétés t
-Variétés ne présentent pas de symptames, qu'on a appelées variétés
indemnes, ayant l'indice de s&&rité (S) égale à 0,
-Variétés ayant un indice de sévérité infkieur à 5 $. Ces vari&és
_
sont appelées vari&Ms hautement résistantes.
- Variétés 'want un indice de sévérité compris entre 5 $ et l.0 $, sont
appelées Variétés r&istantes (voir tableau 1).
CependAnt, on ignore les m&nismee génétiq~ qui r6gissent cette
résistance, sa stabilite et les facteurs biotiques et abiotiques de cet équilibre
dynamique entre lth8to et le pathogène.
L'étude de ces problèmes importants que nous devrions envisager de
fqon prospective, apportera s&ement une contribution non négligeable dans une
perspective de lutte génétique contre COS pathogènes. Nous avons aussi mis en
évidence un matériel qui est moins rési#%nt que celui qui est précitt5 l+haut,
Toute utilisation de ccc matériel requiert une ar&ioration préalable de la
résistance de oe dernier vis-&-vis des maladies considérées.
Un antre type de matériel a été défini. Ce dernier peu intéressant
pour les sélectionneurs à cause de sa forte sensibilité aux maladies, peut
?Are utilisé par les phytopathologistes pour des recherches fondamentales.
2. ETUDE DU DEVELOP DE L'EPIDENIE DU 1IILDIOU SUR DIl%RZWTES
VARIETES DU KIL POUR CARAC~ISEB LEUR RESIST.ANCE (T<ableau No 2>
Le but de cet essai est d'étudier le déroulement de 1tdpidémi.e du mil-
diou sur des variétés du mil pour déterminer des critères que définissent la
résistance au champ d'une variété de mil vi&vis du mildiou.
Le dispositif expérimental utilisé par Nottéghem et fi (1972) peur
étudier la résistance au champ des variétés du riz à la pyriculariose, Le prin-
cipc de ce dispositif est basé sur l'hypothèse suivante x Whe variété qui limite
une auto-infection limitera le développement de l'épidémietf. Donc pour chzque
weriété, des plantes situées à des distances différentes d'une source dtino,culum,
produiront des quantités d'inooulum différentes, et ce gradient dans ltintcnsité
de l~inoculum variera de fagon décroissante de la bordure infestante à l~cxtr&=
mité libre de la parcelle.
Cette expérïmentation nous a permis de mettre en 6vidence que pour
oaract6riser une résislznco au champ, les critères habituel& (Incidence ot
Sévérité) ne sont pas suffisants ; il faut tenir compta d'autres facteurs tels
que DATE DE DEBUT D'EPIDEI-IIE, DATE DE FIN D'EF'IDEXIE, TAUX DE PRCGRESSI~N

JOURNALIER DZ LyEPIDWIE etc...? car la résistance est une résultante d%ntorso-
tionrdes &iffére.ntos composantes du TRIîLNGLE DZ LA HALADIE,ICTE x PAEW3ITE1 x
NILIEU,
Copendsnt, m égard aux conditions très difficiles dans losquelles
est menée cotte expkrimentation,
il faudra affiner les résultats obtenus et
continuer la rochercho d'autres critères d'appréciation .
D'autre part, lrGtudc de lîhéritabilit6 SO des facteurs du système
qui limitent la qpantite de maladie doit être abordéo,
3. CONTROLE DU NILIDIOU PAR LE: RMIB&AXYL
Cotte expkimontation dovrait permettre de mettre en kidonce la cap+
cite do cortains groupements chimiqws de contrâler lc mildiou et de protéger
6ventuelfemcnt le mil en éliminant l'infection primaire contenue dans le sol
ou / et en renforgant lcs;&aotions de la planto contre le pathogène s'il pén&
tre. Donc les résultats escomptés pourront être utilisés d'une part, au niveau
du mrmde rural pour :pro%ger les cultures du mil et d'autre part, au niveau de
la recherche pour mener des travaux où l'infection du mildiou n'est pas
souhaitéo.
Cotte expérimentation a été menée pendant dmur ws :
-En 7,979, en plus du ridomil, nous avons test& le captafol qui est
réputé efficace contre les mildious. Les différents traitements sont les
suiv~ants t
- Tl, traitement à raison de 0,5 g maa* ridomil à 25 $/kg semence
- T2, traitement à r,Wson de 1: g rn*a.
.,'L.
MIIl",
.Aœ
- T4,
-Kœ
d’,
0,5 g mrs Captafol/kg semence
- T6,
,'L.
A',
195 g
,'L
NJ',
- T7, Témoin absolu (non traité)
Ek ii983, Le dispositif oxp6rimental est disposé en 11 blocq:plit plot avec deux
facteurs : traitement et écartement. Les différents traitemonte sont les avants :
- Tl:, traitement à raison de 0,5 g m.Ct, ridomil à 25 $/kg semonce
- T2,
JL
,L
lg m.a.
.*".a
A,
- T3,
-‘L
-“aœ
2g
“JL
UNa.
- T4, Tl + traitement foliaire à raison de 0,5 g rn.a* ridomil 25 93
par 1 litre d'eau à la montaison f
- T5? T2 + traitement foliairo à raison de 1 g m-a. ridomil à 25 $/l
d'eau à la montaison ;
- T6, T3 + traitement foliairo à raison de 2 g &a. ridomil 25 $/l
d'eau à la mon-bison.
/

- T'7, témoin absolu (non traité)
Les diff&ents écartcrnenta sont les suivantri t
- 0,60 m x OP30 m
-0,pO m x 0,90 m
Las r&ultcats des deux %~V%S d*exp&imentation montrant t
1:") Le ridomil WP 25 (methalsxyl) peut contrôler le mildiou du mil.
Cependant, ce oontr8I.e pas simple traitement de semence eat peu ou prou
efficace à partir du stade NONTAISON sous une prcssi5sn d~inoculurn con&wte et
forte, 11 serait interessant de v8rifier 1'efficacitS du produit comme traite-
ment de semence sous conditions êpidémiologiques natwellos.
2*) Pour assurer uno bonne protection de la plante jusqu'au stade
EUFURITE, il faut c:; plus du traitement de somenoe~ un traitement foliaire
supplBmontaire avec unc dose minimalo dc 1 g de m.a.,/l litre dtesu au stade
montaison. Cependant, nvnnt ltutilisation &cntuello de ce produit, il est
indispensable de vérifier les résultats obtenus par des GherGheux3 grecs
(R. FYTIZAS et AL., 7983) à savoir que ce produit est cancérigène. Dans cc cas,
il faut le proscrire à jam~sis.
SO) 21s facteur ECARmm ne semble pas jouer un rôle d&erminan-t dans
le dévoloppemcnt de la maladie, copend,mt il devient importent vi s-&-vis du
rendement.
4O) Le Ca;pt;,sfol s'est r6velé inefficace comme traitement de semence
aux doses consid&Gcs. Cependant, il est essentiel de tester ce produit 8~uo une
gamme plus large et plus varibe d0 concentrations pour mieux circonscrire son
seuil d'efficacité. Son utilisation en traitement foliaire en combinaison avec
10 traitement des semences. doit ?A%re prospectée, surhut que des r&ulta&s par-
tiels intércxwants ont 6té obtenus avec ce produit cn traitement foliaire
(G-9 1974).
4. PROSPECTIONS F33YTOP$HOLOXQUES
Le but de ces travaux ost de se rendre compte sur le milieu r6~1 do
ltimpact des maladies du mil SUT cotte culture pendait la csmpa&ne agxicolo 1983
et de Acolter des inaoula dans plusieurs loccalitBs en vue des études sur :La
variabilité physiologique de S, graminicola.
Ces travw ont permis do constater que t
l") Les conditions climatiques pendant l'hivernage 1983 nt3 sont fava-
ræbles ni au développemeti des cultures, ni au foisonnement dos mecladios $
2O) Le niveau dtinfestation des maladies est en gén&al -MM faible ;
cepondsnt, il v;zrie C%%G sono à une antre 1 c'est dans la 5ono comprise entre
Diourbel et Kmlack qu'on observe plus de maladies d:ms les champs de mil 3
Jo) Ltinoidence des maladies dépend des teohniquos culturaJ.os, de la
varié-t6 utilis&e et des conditiarrs edspho - climatiques ;
4*) C'est en Cawnencc où la pluviométrie est plus importante quvon
rencontre beaucoup plus les mal.adies des inflorescencencommo le charbon, l'ergot
et les moisissures.

,kJNCLUSIONS GENFRAU@ ET PlEXZ'ECTrVES[
Le
Les r&ultnts ticoulant des trav-aux effoctu6s pendant la campagne
sgricole 1983 ont permis de mettre en évidence que :
- il exista une grande variabilité dos interacti~H6te x Parasite du
mat&i.ol fourni par :Les sélectionneurs.
En effet, parmi ce mat635cl an peut
trouver toute sortc de réaotions : hautement sensible Q hautement résistant.
Rais on ignore la natum ot les méwînismes qui rugissent ces réactions. 10;s
études fondamentklos doivent Ctre abordées dans m xmehe ;rrmir ;
-pour mieux apprécier la ualité de ces réactions om ne peut plus
se contenter des critères habituels ?Incidence et S&v&ité), mais tenir compte
aussi d*autres comme DATE DE DEBUT D'EPIDEKtE, DATE :DE FIN DIEPIDEIUE, TAUX DE
l3UXRESSION JouRNîiLIER D~EPIDEUIIE etc... L'approfondissement de 1'8tudo de ces
questions ot d'autres doit ôtre commencé pour mieux las m&riser.
-il existe d*.autros méthodes de lutte telle que l*utilis&ion des
produits chimiques qui peuvent contrôler le mildiou du mil 5 en effet 10 ridomil
W 25 peut contraler le mildiou sail est utilis0 en traitement de semence plus
un traitement foliaire avec la dose minimale de 1 g de m.a./litre d'eau au
stade HOPITTAISON. Cependant, il est indispensable do vérifier les informations
selon lasquellos que ce moduit est cancérigène et dans ce cas il faut le
proscrire à jamais. La recherche dtsautres formules chimiques capables de con--
tr&ler les mal-adics du mil garde en voit toute son actualité,

TABLEAU 1 : B. VAElLEtrES QUI SE SONT RXVELEES ASSEZ PEXFORXANTES PAR R1PPoRT
AU KtLDIOU
; tiO GA&I 90 N Synt 3. 3ème génération
0
35,871
1 4 GDI 3/4 H!X Synt 1
493
40,Q
;' 5 GAM 3/4 EB Synt 0
1974
31135
i 5 GA24 3/4 EB Synt 3
0,62
23,87;
f ~GAldVf8043~Synt3
2964
3W5
I 5 GAN VI 80-85 Synt 3, 3ème gén6,
2,20
lb42
i 'jj'GAE G 65 Synt. 0
54
28,47.
1. 7 GA@I G 65 Synt 2
3,98
a25
;.lQ GU.1 90 Synt 2
2,88
24,82
1 1.0 GA&I - 90 Synt 3
4,49
30,PO
1 5 GAiN3/4 EB Synt 1
9,67i
35,52
t ciaIEtM3/4~Syn.t 2
Y,19
$Y,90
f 5 cAH3/4 SouNASynt 2
7,.1-J
37,fQ
1 5 mm v1--8cb85 spt 0
7rm
4il,42
'I 5GAM VI-80-85 Synt2
9tog
27,49
1 7; GAE G 65 3ynt 1
7i,18
39,33
f ~GAHG 65 Synt3
6,47
3b.65
~lOGAI490NSynt3
5,7@
41y7io
r 10 GUI 90 N Synt 3, 3ème générdicuz
5190
29,or
; Il GAI: 90 Synf 0
8933
42,62
( 11 GAH 90 Synt S
$57
3?i,?O
1 11, GAIfI. Synt 2
7,65
26,52
483
40,67
0,81
32,OO
%PP
34,577
t H 18 - 83
4Yv.J
48,20
; H'f - 88
5904
kW33
1 W - t24
2,7d
45,x
f HI.2 -r 30
WI7
20,42
tu-35
a,83
31!,12
t1 w - 24
0,50
54,20
! m - 116~
%Y5
@,Y0
b - 47 - 2-t - 18
348
42,6$

~3 - 2g - 48 - 16
2999
4ç ,.-ix
I
El.? - 12 - 23 -18
4,70
39,.w
E 14 - 48 - 42 - 60
3,1:3
5wT
I
E 17. - 48 - ~$1 - 6.0
2,n
55,x
1
E 22 - 46 - 36 - 24
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1
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f
1
Eg-2-34-31,
9130
34956
E ?iO - 46 - 36 - 25
6,leo
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31,22
1
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1
E 20 - 48 - 24 - 153
9,91
5’7943
f
E 211 - 11 -46-27
9,39
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1
E!G.Q-11 - 46 - 25
1
5,31
55,.70
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8,37
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x 28 - 45 - ~$4 - 13
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i
IBV 8004 CO - Sst 1;
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1
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1
BAM EY - ?i?lmoIN
5,65
26,lO
1
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1
8,33
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6,87
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8,96
27,84
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0
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1
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0
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NC P - 8003
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1
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1
SDK 503
1

34987
; ssc - BB 78 (REC~NSTITUQ~
0
1
1
0
1
I7,25
1 EUVOA
11
1
28J7
: 700251
1
489
1
t
S
t
6,62
26,oL
700512
1
1,2,35
: 7~516
1
2,94
t1
14,K?
I P-IQ5
5949
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1
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P- 310
1
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1
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1
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1
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i
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1
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1
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1
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1
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1
8,33
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1
2545
590
t
f5,48
6,09
1
35,4~
?

. .
: . . .

SUITE TABLEAU 1 :
ï%ALADIE
;
MII;DIOU
I
, V~IETES
1 (sévérité, 5)
1 (Sévéiité, 5) 1
.
.
a
; H.S 122
0
3,57
” 123
0
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0
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Il
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0
I
290
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0
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1
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0
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0
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1 (Sévérité, $3)
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2,62
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f
H,S 362
0
Y,16
I
Il
363
797
1,88
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ff
364
0
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11
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0
2,20
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11
3,70
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Il
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II
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0
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