‘. AAS/MS :'!Z!JUBtIQUE DU SENEGAL ...
‘.
AAS/MS
:'!Z!JUBtIQUE DU SENEGAL
DELEGATION GENERALE
PRIMATURE
A LA RECHERCtiE SCIENTIFIQUE Ei TECHNIQUE
RECHERCHE SUR LE MILDIOU DU MIL
LEROSPURA GRAMINICOLA)
RESULTATS DE LA CW'MPAGNE AGRICOLE
1 9 7 7
Par
Abdou1 Aziz SY
Laboratoire de Pathologie vBgBta1e
Juin 1978
Centre National de Recherches Agronomiques
de BAMBEY
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
1'
(1. Se
R. A. >
AVANT - PROPOS
-I ooo---
Dans 18s
zondi tion
a c t u e l l e s ,
aucun génotype ne peut Qtre
considéré comme ‘IF
\\11” s”i.1
‘ i n c l u t o u n’integre prealablement l a
résistance B 5 s n i n i c o l a ,
e t c e , e u Egard à lfitnpact
Qconomique
d u m i l d i o u s u r l a
roductivi
Q d u m i l .
L e fJrf%E
t rapport t r a i t e d e s intsractions gsnotype-environ-
nement, d e s methoc
s d’albtsn i o n d e l’inoculum o o s p o r e , d e l ’ a d o p t i o n
d ’ u n e Echelle d e r tatialn à
a lumière des observations
effectuees
a u c o u r s d e l a cari agne a g r i
ole QcoulQe, d e l’efficacite r e l a t i v e
d e d i f f é r e n t e s tee niques d’ noculation a r t i f i c i e l l e , d e l ’ e s t i m a t i o n
d e s deg8ts imputat 3sBs,g a m i n i c o l a j toutes ces komposantes Qtant
comprises au sens
arge et
d namique pour
une meilleure appréhension
d e s r e l a t i o n s
hBtE xarasite,
L e s r6sL t a t s affe ents
a u p r o b l è m e d e dormante, ü c e l u i
d e l a presence o u
3 l’aibsen
e d’inoculum p r i m a i r e
d a n s lrenvironns-
ment
Fanaye enfin, 3 c e l u i d
rble des sources secondaires d ‘infec-
t i o n f e r o n t l’objs
dfune b r chure q u i s e r a
publiea ulterieurement,
L ’ o r i e n t t i o n e t 1
contenu du programme ds recherche 1978
o n t é t é d i c t é s d’l 3 part
pa
les rdsultats
c o n s i g n e s d a n s le present
rapport, d’autre F c t , p a r u
e comprehension p r o s p e c t i v e
d e s o b j e c t i f s
d e l a selection.
2
P a q e s
AVANT PROPOS
... ..*..*.....*............-.
1
C:HAPITRE PREMIER :
ssai vari abilité
....................
4
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
4
4
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
expérimentation multilocale.
4
rie1 uégatal ...............
ironnements
................
5
périmental .................
7
lturales
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
tique d'interprétation ......
;
13 - ROsultats
ion
8
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
lations h8te-parasite
0
? ? ? ? ? ?
rianca
ICI
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
ement des génotypes ........
10
tion
génotype-environnement.
11
ison des hôtes .............
11
mporelle
de la pression de
............................
17
mérique
des résultats ......
17
aphique
....................
18
18
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
valution des maladies autres
............................
20
OS
.........................
22
d'obtention de l'inoculum
.,.........C................
23
..* . . . . . . . ,**...*.**..* . . . . .
23
..*......,.........**..e....
23
..*.....*..**.*.....*.a.....
24
. . . . . . . ..+................s.
24
J:HAPITRE TROISIEbME
ritique et
ajustement de
e d'appréciation des relations
asite *.*..*.......*,...*..*
26
31 - Préliminû
?? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
32 - Examen cr
??
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?? ? ?? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
33 - Adoption
elle échelle de notation..,.
27
C:HA.PITRE QUATRIEME
te relative
de différentes
es d'inoculation artifi,A'
. . . ..**.a...*...............
30
41 - IntBrBt
..*.~..C.....**..,~.....*...
30
42 - i‘latgriel
es . . . ..*....*..**..........
30
421
- Mat sriel végc
ta1 .........................
30
4 2 2 - L’i
loculum pé casite
......................
30
4 2 3 - Mét
lodologie
30
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
43
- RBsultatc : Diseus: ion .........................
3 1
43i
- R~E Jltats brl
ts ..........................
3 1
432 - Int 3rprB:Cati.c
7
des résultats . . . . . . . . . . . . .
3 1
433
- Dié 2ussion ., . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
32
4331 - Tr,aiten ant T1
= Témoin .............
32
4332
- Analyst
des effets blocs ...........
33
433:
- Analyse
des effets traitements . . . . .
33
C:H~APITRE CINQUIEME :
Es timati
3n des dégats ...............
35
5 1
- Prélimine ire . . . . . .
.............................
35
52
- Résultat5 : Di:scust ion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
35
CONCLUSIONS
GENERAL :S
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
37
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
REMERCIEMENTS
. . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
38
? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
BIOLIOGRAPHIE
. . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
39
? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
--
4
CHAPITR PREMIER
--+-
il - Résumd
I
Ce travaifl de baselconçtituo une des premieres approches
. .
1de
notre programme
mildiou du mil (Sclerospora qrarninicole.>;
3fin de cerner le
repartition du parasite, de r&vélcr la
pression
de sélect on inhéro
te 5 chacun deç‘environnements testés et
d'apprécier les in
i
eractions
;genotype-environnement g 36 h0tc.s de
structure lignée 0
population ont ete semes dans les cinq environne-
ments
suivants : B mbey, Darou, Fanaye,
Nioro, Thilmakha.
~
des résultats révble au 46~ jour d'observation
une pression
de sé ection (incidence et séverité
de mildiou) décrois-
sante dans 10 sans Bambey, Darou, Nioro,
Thilmakha et nulle pour
1:anaye.
on spatio+temporelle
de la pression
de sélection
Qcologiques ayant prévalu
tant du point de
vue résistante à
B ce facteur.
12 - PreliminTre
multilocale
- ce ner .le slectre de répartition de s q
raminicola
1 ression
de selection
mildiou dans cha-
cun des sites écol
atif de structures
géno-
tiques différentes
stabilité
du matériel végétal (lignée
et populations) au
intéractions
génotypes-environnements ;
ériel
de base permettant d'aborder entre
autres le probl
smes de rdsistance du mil à S. qraminico.la
(cf essai diallèle
2e contre-saison etT exploi-ter
au cours de l'hive
bler le mlatéricl intéressant
(sous l'angle du
comportement vis-
pouvant étre impliqug dans un
programme
de sélec
ation ; étant entendu que la
reaction vis-à-vis
titue qu'un crithre parmi d'au-
tres
et qu'en defi
e materiel
devra résulter
de
l'intégration
judi
critores intéressants (ex. com-
portement vis-à-vi
productivité
précocité, r6si.s
tance
I
ceux jouant le r8le
de
consid8rés comme facteur:;
prioritaires.
5
Cependan
, l a camp1
camp,]
raison d'une s8rie
dfh6tes plac0s SOL~S
d i f f é r e n t s e n v i r o n
éments ca lorte
une difficulté : l’intéraction
gQnotype-environne1 ent rend
ifficile 1'Qtablissement de la supdrio-
rit6
d'un rnatEsrie1
par rappc t à l ’ a u t r e ; plusieurs méthodes ont
St6 proposées pour p a l i e r
ztte difficulté :
- s
In du milieu en zones B l’int6rieur
$Jesquelles tous le
3 du milieu
(notamment temp6ratYre,
Iluviométrie, sol)
pr0s
identiques ;
- s
gbnotypes suffisamment stables pour
rendre
minimum 1'1
3vec le milieu ; au terrne
de ce scree-
iiing, l'utilisatio
qpes les plus stables devrait faciliter
l e c h o i x u l t é r i e u r
38s sup6rieurs.
122 - Ch
c i e l véq0tal
-* L,
3s (25 provenant
de la collection du
groupe Amélioratio
10 de celle de SR/Patho) sont carac-
térisges par
u n e s
létique soit de type lignée, soit de
type population. L'
3ustive de ce matériel figure sur le
tableau n04.
++L
1 est réalisée par -rGvèlation
d e l'ino-
culum primaire car
3 de chaque environnement
(aucune
inoculation artifi.
t r8alisée
faute de disposer
d'un matgriel
oospore caractéris
3cun des sites choisis ; par ailleurs,
nous avons tenu & I
?r
aucun inoculum d'un site a
un autre
pour éviter
d'infe,
tes jusque
là vier es de mildiou ou de
transférer des raci
3iques é v e n t u e l l e s s ; pour ce faire, on
utilise couramment
L connu pour sa
hauta sensibilité, ce
[qui engendre l'incI
Jivant :
dans les conditions de Ehiuer-
nage, la matériel l
znsible (exemple TIFTON '239 d2 B2,
THIOTANDE etc..,) I
tr?s précocemont la
maladie
( en
cas bien entendu di
je l'inoculum primaire dans le substrat ;
.Le cas ochgant, à
Jne infection artificielle par
oospores
o u zoospor&) et S I
i-meme précocement détruit en raison do
sa haute seesibili
réduit
d'autant la pression
de séluc-
tien eu Egard au ri
lt joué par
1 'inoculum secondaire
(zoospores)
; d'un
l'usage d'une variGt6 moyennement
résistante (exempli
iuivaut à diff6rer l ’ i n t e r v e n t i o n d e 1’
l'inoculum seconda:
n'est pas négligeable puisquo les jeunes
p l a n t e s à tester nc
iécessairement réfractaires à l a pr6sencc
d'inoculum seconda:ire.
1
Pour
pal:
c lacunes, nous avons choisi d’employer
un MELANGE INFESTAI
je t e l l e m a n i b r e q u ’ i l y a i t u n recou-
vrement d e s spectrt
?ntion de ses composantes ; ainsi, ce
systbme de relais 1
irantir des r6coltes permanentes de
zoospores
qui cons.
jtant d e
'sdouchesl' déversées sur la
riat6riel tes té,
Chaque 1:
Iriel tsst8 e s t e n c a d r é e à d r o i t e ot B
gauche par une ligr
le vecteur cornpos& de 25 7; de E 683 B,
37,5 $ de
TIF. 239
; /‘: d e m i l d ‘oasis d e Mauri.tqr@e (Atar
% K s a r Torchane + -
; qui est semB environ
15 jours avant
implantation de ltt
:ment
dit (cxcept6 pour Fanaya en raiscn
de la pluviométrie
Iurte, algatoire
et insuffisante) ; à
noter qu t un décala!
ré entre les dates de semis engendre une
compétition nuisib:
; sem6s en deuxi&me date.
6
sensibilité : le témoin de sensibilite
est une entrée c
haute sensibilité et couramment
som6e
par endroit (une
x par exemple) afin de matérialiser la
manifestation réel1
ession de sdlection dans les conditions
de l'exp4rimentatio
ar appreciation du
taux d'infestation
Jl us concerne, l'évaluation effectuée sur
melange infestant a permis de révoler
i eurs à a0 g9 souvent meme, il y a une
5 Y d2B2 (excepté pour Fanaye) ; en toute
de sensibilité aurait dCI Btre seme a la
té.
iranne.ments
nnements revet une importance particu-
e aux maladies ; en effet l'identification
résistance stable dans le temps et dans
l.'espace supposent
ntaticn préalable du matériel vég&tal
avec une multitude
ions parasites ; les environnements dc-
vront 6tre retenus
de la haute pression de sélection qui
Les caractérisent.
1 s les centres de diversification d'une
c amment la plus forte variation éventuelle
parasites : le succes d'un screening
es dépend dans une certaine mesure de
"variabilite" pathogémique large, donc
sentativité des environnements considt5rr7s
avec les génotypes testés.
Pour ce
ui nous cc ncerne,
l'idéal aurait été de stratifier
l'ensemble du mili u BcoL0gi.c ue s4négalais en zones h l'intérieur
desquelles tous le
pararnètrt s du milieu (gradient thermique, pluvio-
métrie,
type de SO
etc...) : oient stables ; cette opération étant
difficile voire imi 2ssib:Le si raison descontraintes multiples (notam-
ment : personnel SI .entifiqus
et techniques, équipement de base,
aspects matériels I -vers), nc A.53 avons retenus les cinq sites 0x 2 .-
mentaux suivants : Iambey, DE ?OU,
Thilmakha
Fanaye, Nioro, '
ca,aEtiki
7 9 5 -_
sés par une pluvioi 5trie relu tivement différente (cf tableau na?).
7
Tableau no?
tion menshelle de la pluviométrie pour les
s precités au cours de la campagne
nous n'avons pu figurer le tableau
au
cours de la .-morne p0riode.
tions d'un site comporta 3G parcel-
; chaque parcelle élémentaire
compte 5 lignes de
100 plants) semés à 30 X 60 cm ;
ce même dispositif
chacun des cinq environnements.
encadrement de chaque ligné test par
le melange infestant est defini
caris le paragraphe
cf document intitulé "Fiches
techniques
de ltcxpérimentation
agronomique ;
publie en juin 1977 par
ISRA/Bambey,
sous une serie
nelle,
ils four-
ions génotype-
pas d'apprecier la stabilite des
Le modùle d'EBERHART et RUSfiEL qui
= moyenne de 1
= coefficient
mesurant la réponse de la i&me
la moyenne d
plac6e saur le
environnement est evaluge par
la relation :
II avec
2
Y
j
‘j/$
5
=
1
&
2
Yij/vn
J
‘i
j/”
ici
j=l
-
avec
&
j=l
1
= 0
j
L'analy
detaillE z des résultats portera sur la
date
d ’ o b s e r v a t i o n
no3
orrcspond zint a u
460me j o u r apr&s l e v é e ;
n o u s
examinerons glabal
ment les 3utres
dates pour tenter de
cerner l'evo-
lution du mildiou
insi que la d i s c r i m i n a t i o n
s p a t i o - t e m p o r e l l e
apfJr6o par-lâ séri
d'h0tes impliquée.
Resultat d i
: s c u s sion
L'analyc
des résci Ltats est faite de mani8re à integrer
les informations 1 latives a Jssi bien à l'incidence qu'à la sGv6rit6
du mildiou ( auf F écision c 3ntraire)
au travers
des environnements
sélectionnés
et pc r les 36 36tes.
13
- E> men des r
-CL--P zlatioiys h6te-parasite s o u s l.‘anqle d e
z ndice
d'environnement (cf tableau n02)
.
-
-
Tableau no2
Répz
tition
s p stiale
dos indices
d'environnement et des
moyc
nes y aff Srentes
pour les cinq environnements testes
.
T--
!
Param&tres
In zidence
!
i
!
S é v é r i t é
!
--LII “mr-..b-----.œ ‘----;--^---‘-a”~---;
!
T
!
1
!
!
7. .
I
j
J
!
j
!
. .J
?
!
!
!
!
!
\\
iEnvironnement
1
!
!
!
--m 1-------1-- --w-----m-- -a---i.“----
?-
; Bambey
70 T
2 0 , 4 9 8 1
9 , 3 8 5 ;
!
1 6 , 9 6 3 !
-II i---;;-8;4--'-"--;^4~~--~-""~~-~~~--!
i Darou
$6
o----------------”
!
?
!
9
!
9
!
, Fanaye
.
!-'TM"-""'-"-m' T---“‘---
, Nloro
: Thilmakha
Remarques :
1/ - L'incidE
c e (IL) t r aduit le pourcentage
de plants malades
quelqque soit par
illeurs 1 3 degré de gravité de
la maladie.
Y
des plants
l I(y
ta1
l-0
malades x 100
=
Total
des plants observés
I
(= s a i n s + maladesI_1
5/ -
La .sevéI t é S matE rialise la gravite de la maladie ;
ainsi , si :
. désigns les catdgories d e n o t r e é c h e l l e d”appre-
ciation des relati
hs h13te-F a r a s i t e : xi = lf2,..,..9
(‘j-1 = ct
endue de l'échelle, soit 9 dans notre zas
.
= ef
fectif (= nombre de plants entrant dans
la categorio xi) c ‘la categ nrie xi
= nc n b r e t o t a l d e p l a n t s o b s e r v e s , l a sévé-
rité e s t a l o r s QVE
uée par 1 a r e l a t i o n
a-
2. Ix - 1-7 y
i=i
i
i
-
-
x 100
- l-7 :C rd
3/
- Sauf rai
s excepti ons
(mauvaise levée, déprédations diver-
ses), 1 et S
s o n t
valuis SL r
un total de plants variant entre 200
et 320.
Au vu dl
tableau F rdcédent,
l a p r e s s i o n d e selection (inci-
dence et sévérité:
est d'aut ant
plus forte quo l'indice d'environnement
1 . e s t é l e v é * l e s ivers
enb ironricments peuvent être classes dans
lJlordre
des piessj ns de sel ection décroissantes :
Barr
ey (I . = 10,770 et 9,385
par >rapport
CI l'incidence
et à l a s é v é r i t é r specti!vem ;nt)9 Darou ( 4 , 1 4 6 e t 3;426), M i o r o
( 2 , 5 2 5 e t 0,765),
hilmakha
,-7,713 et -5,998), Fanaye (-9,729 et
-7,578).
Cette hi r a r c h i s a t ion des sites
dans les conditions qui ont
prévalu au cours
d
n o t r e cx lérimentation s e t r o u v e corroborUo p a r
les moyennes géner
l e s respe
ztivemcnt par rapport
aux environnoments
et
a u x critères d’ ppréciati
In des r e l a t i o n s h8te-parasite ( i n c i d e n c e
o t s é v é r i t é ) : air-
i, Sambey caracterise par
l'indice d’environnement
l e p l u s é l e v é rev?
e egalerno lt la moyenne generale la
plus forte
pour les
deux para Stres mes Jrés.
Par cent
e, l'indi :e d ’ e n v i r o n n e m e n t l e p l u s f a i b l e e s t
observé pour Fanay
qui exté :i.orise une moyenne générale
nulle tant
p o u r l ’ i n c i d e n c e c; e pour la severité n a t u r e l l e m e n t ; ce constat
exprime
une absent
de mildi 31~ dans les conditions d'expérimentation
?i Fanaye ; à ce pr pos, nos
observations,
quoi qu'elles oient porté
sur un nombre cons derable cl 3
sujets (environ
14.400 plants de l'essai
patho, p a r c e l l e s d GAI%, c h a
nps paysans disseminés sur le parcours
Fanaye-Dagana) n'c t jarnais
:év616 la presence d'un
quelconque
inoculum ; ce derr e r result
3t'i Rous autorise à formuler les trois
hypotheses suivant s :
ale d'inoculum primaire dans l'environ-
nement consideré
dans ce cas eviter
toute contamination
à partir das sect
quoique present
a Fanaye n'a
pu se manifester
des facteurs
cosmiques (humidité
et
température nc
ne coïncident
pas avec les
exigences de $.- i
ne d'inhibition ; dans Yne
oxpérienca fine c
est de révelation de~I*$noculum
primaire sur subs
des sites d'implantation de
l'essai
variabili
ans contrBlées (lumi&re, tempe-
rature, hygrométr
de circonscrire
ce phénomene;
ecificite entre l'inoculum pri-
maire
éventuellen
et la sbrie
d'hôtes impliqu8s
de sorte que les
rasite" ne se traduisent par
aucune manifestat
ceptible. Cette hypothese dont
la vérification
r
relativement plus longs
que la
précedente,
suppc
ces physiologiques de
-2
S qraminicola.
Par ail
e sélection Observ&e pour
Bambey est superi
éristiques de Darou et Nioro en
depit d'une pluvi
ans les
deux derniers environne-
ments
n déduire que la manifestation
de mild:~un~o.!~u:
nte que la pluviométrie est elc-
Vée ; il semble c
soit effective
au sein d'une
fourchette et
qus
euil, l'engorgement prococe
du
substrat soit cor
ne rgduction, voire
d'une annulation du
taux d'infestatic
hiblrtion de l'inoculum primaire ;
c'est en tout ca:
nfirmcr nos observations reali-
sées en scptembrs
l'État de UTTAR PRADESH): cela
tiendrait - du mc
fait que la frequence do la CU;-
turc
de mil ameli
nsible et nettement plus ~?levBs
& Bambey, d'où UÏ
lus élevée en inoculum primaire
dans cet environr
rient.
132 - A
alyse de Jariance
13
1 - COrnPO ntement dos
--I--a--"--- q6not~eo~
--m-
*
2sultûts (cf tableau n03)
31
Tableau no3 : E
?ets varieta et d'environnement
!
!
!
,
.
!
!
!
!
!
Sevérité
!
1
:idence
!
1
!
!
!
1
. ----31-e*--
1
i
.---l---"-.---L----l-.
-------------------------------.
! SoL!rces
! Carré ! F !
ia.d.1.;
C
:.E.
! carré !
F
id.d.1;
6,C.E.
I variation .
! moyen !
.
.! Moyen !
!
:
1
----,--.s-m-m--m. .--WI-w. 1 e-m.
1
!
1 Traitements ,
179 11505
i----,-----I---- +
.
"--I-w "m-I
I VariotSs(=V.), 3 5 i 58!
.
~-----Lt Il-L.'.- "'mT om----.m i ---- .----q.--- +
-
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I
r
E ENV.+J.xEnv. !
144 , 921
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65647,76;
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----r"----r--"'r--'----~--~--------~--"--
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!
1 tNV.(LinBaireJ
1 r----
, 261
t
1 ;
19984,70;
!
----f”----~-----~“---------;--------r---””
i V.xEnv.(Lins$j
35 i 64t
8,76184,70,; 3 5 1
44229,58; 1263,70;95,21
! -'7";-;-'0wm-T "v.--s..-
.---- r”“-“““T”““i”-“-?----------?--------~-----
s
Deuiations 1
+----
108 !
2:
1,72 !
21 ,59!
3108 !
1433,48!
13,27!
I
; cumiJl6es
!
!
0
!
!
!
!
!
1
+; discussions :
sont de 77,45 et 85,74 r e s p e c t i v e m e n t
pour l*incidencE
: la valeur
seuil de
F corraspondant
au
couple d.d.1,
s'élè;e cil F. o5 = 1,55;F
=1 ,WFo
o(y
~1: 9 26
-w
la différence tr
t significative exprime i&tll,es 36 h?ites
testés differeni
significa ivement de par leur base ‘genetique.
1
22 - Inté
-w-m action génotype -environnement
(cf tableou 3)
-"m-------m-
-.m...~""--~----"--
t
Les F
3lculés s !h
nt de 84,70 et 95,21 respectivement pour
l'incidence et 1
sévrirrit6 l ; la comparaison bar rapport
aux valeurs
seuil permet de
Inclure à une differencc très hautement significative
voulant dire
que
.es envir Innements testés exercent une action trks
hautement signif
:ative
su. b les genotypes impliques du point de vue
de l'incidence e
de la se, lerite de mildiou.
13 - Corne
m-B I[raison
des hotes
,mB---.n----".m.m"L..-
13231
I Résultats (cf tableau n04)
w---m.-m---
12
T.ableau no4 :
oraison dlu comportement des hôtes
l
!
Paramètres
SévBritB
1
L----I"
.mb "'f- '-F"--="-&-"'-i
!
.1.
!
i
i
-I
!
!
!
!
'1: 1 B-E24 AF
!
.
.
.
.
!
-““-.!.‘-r”“““f”~
“-I-“-
--.
!
. . 0,92, +;10,12, t, 50,32; +;
. .
. .
!0
!
-'-'eI
0
11
r,
-r-----------+-
3L217
Prospect-76,
.
1w.-“.-- t’--‘“mD”“‘-““-
Prospect76:
0
! 1 2
; ;L221
M-m,-- ~--"--------+
!0
1 3: I 16576 AF C/S 77 ,
r----------------f-
!
-WI>--
!
14.
16715 AF C/S 77
, ,
I-m--
3,621
-0
T""-7C--i
3-““~“r’~““‘~‘-““~~~~~~
“-T--T-’
--T”T’-““f”r”“‘T’“f
? 75 ! 16703 AF C/S 77 ,
,44, . -, . 4 411 -! 9,32, -! 0,42, . -, . . -, . 11,3fq . -7 .
!--.--r-"-",---",---"--.~-
"'T-'T"
--T'-f"'-~T"T"-"'~~-~-~~~~~~~~
, 16 , T6660 AF C/S 77 ,
,02, -! 0 i 44, -, 1,24, -, O,OZ, -1 0,42, -;
.
. . . . .
. . .
!‘“““‘T-“-‘““~‘.‘-““““^‘T”
---T--T--L--T-.f-----~--~-.œ--~--~-----~--~
--em--
-0
T
T
, 16.567 AF C/!?l 77 ,
,50,
1
1-f’
-! 4;,86!
-! 9,92,
-1 0,30, -, 2,80,
-,
?,71, -0
% -
""'""T";""";"~"~~~"~~~~~~~~"~~~~~
80,46;
t; 0,23;
-, 2,37,
-, 31,90;
-;
I --s.-m -""---I--III-I-c-
f
-----;--~-----i--;-----i--t-------"~".~
.; 19
! SL212 Prospoct76
+;189,68;
t, 1,43,
+;13,35,
t, 60,39,
y
, m.--.-- y.'-"-~~~-"-""~-'
"i'""i".~'""'~"?.....~..~ -"mm"- "0 0
! 20
i EID-E26 AF
tQ16,01, tI 2,93, +!21,01! +, 38,6U; m1
i -“‘e’f -13----1-1-----m...
““‘~“T”“‘-~“r’--“r--~-.~...---~..~
1
21
i 1'7199 AF C/S 77
63,06;
t, 0,60, -, 5,71,
-, 45,34,
t,
.
.
.
. .
.
.
.
,3-11-w --1--m.-----------
---T"'y"- "-wT -'r""'T m'?'"" '"T" f -m-m-
!
,
25
y
73 676 AF
,11, -, 1~,51,
-, 8,60,
.
-! 0,07, -,
. . ,
.
*
. , . 0,65,
T"T-y-T"ii
-!9
-e
,
!
.
--.I--
---m.------I
-0
mm
t
TN--
401 AF C/S
32;
i
26
!
‘15
0 -516
.--
--
mm
?
,48T -i 4
L-q um -e
T
,10; t, 9
.--b me +
:
; 32 ; E 683 8
!
,74; +;33
! -,. -,
i
$-’
.
; 114-1-R
,061 -; 0
. .
.--
-,m
T -w
,035 -, 0
.
.-q ma- t--,
!
35
i SDN 634
,53; -s 4
. .
.-... T-‘-T--’
07; -.f 0
. .
I --F
t
!
0
!
!
! b ; -t.p F*d
!
,028
! 9 727
!&4,770
E 0,900
! 7,578
! 39,816
1
!
i
!
!
!
!
!
!
!
14
Remarques :
8,
12, 14, 19 et 32 presentent des
V a r i a t i o n s s i
t
différentes de zéro
au seuil de 5 ;;.
affecte à une moyenne variétale
considérée
dans l'ensemble des sites)
est supérieur CI l a grande
m o y e n n e
nsemble des hOtes places dans llenscmblu
pouvons traduire
par :
l
3/ -
signe
mo ns (-) exprime la relation inverse.
i
I
131232 't
Discussion (cf tableau n"4)
--m-e"--II
Il eQt!éte particulierement interessant de pouvoir étudier
la régression mildiouL,rendemcnt afin de doterminer le’
seuil critique
d ’ i n c i d e n c e e t o
tJ de sevér$.td
au-dela duquoi la diminution de rende-
ment s’av,+re
suf isamment bignificative dlun point de vue Vconomiqus
pour
justifier u e int,ervehtion
; cette étude n'a cependant pu @tre
réalisée
en rais n des dég ts supplementaires o c c a s i o n n é s p a r l e
deficit
f
et la ma vaise rép b
r t i t i o n pluviométriques, l’echaudage, les
oiseaux de même
ue les at aques par Arnsacta moloneyi ; de telles
i n t e r f é r e n c e s r e
daient di "f ficile voire impossible l’appréciation
objective de la
hute de rendement
imputable au seul mildiou.
e profils se degagent a u t e r m e
d e cette
intéractio
u travers
des environnements impliqua:; :
a1 c a r a c t é r i s é p a r :
e reaction
au mildiou ; en l’occurencc,
fur-r tauxet,une
i o u faibles (inférieurs h l a g r a n d e
moyenne no
Agression
(b) la plus faible possible
signifiant que 1
mance précitée
est stable quel que ,scit
l’environnement
aviation cumulee (S2d.) la plus faible
différente
d e zEi$o
; ce qui signifie
iqué est faible ou-encore
que les carac-
vées sont quelque peu prévisibles et
reproductibles.
nous pouvons d o n c f i g u r e r c e materiel
!
J Paramotres
0
!
!
0
Signes
!
! -m--m mL--..-----“l----...-- y’..“~““~-‘--!
i
(4
j
0
!
(-4
!
!
?
!
(4
!
1
1
En ve tu
de cet 0 analyse, nous retiendrions a priori tous
les hbtes affec QS du sig c (->
pour ZOU~ les paramètres mesures et
CeY
aussi bien
o u r l’inc
dence que pour la sévérité
; cependant,
dans le but de
'incI ure
ans cette aatéqorie
que du materiel dot.t?
d'une haute rés stanceot
-
-
st,abilitg, nous avons choisi de n’admettre
eue les h6tes a ésentant
es caracteristiques
inferieures ou égales
g 50 yg des gran es valeur
moyennes.
Aussi
les h6te !$ :
13)
16 5 6 AF C/S 77
15)
16 7 3 A,F'C/S
77
16)
16 t
,- 0 AF C/S 77
17)
16 5 7 AF C/S 77
25)
13 t 6 A F
26)
15 4 1 AF C/S 77
27)
700
16
28)
SN 2
33)
114
,-
34)
SN 3
35) SDN
36) SDN
constituent un
xcellent ql atériel tant
du point de vue résistance
que stabilite p r rapport a S. q r a m i n i c o l a ‘ 9
ce matériel se révtilo
3tre le plus ap ropriespo r
ce qui a traiT L la résistance au
mildiou
dans le cadre s it d'un p ogramme
de sélection, soit de prévulgarisa-
tion,
etant ent ndu que 1 on ne doit ü aucun prix perdre de vue les
autres dirnensio s du prob Gme : resistance
a la sécheresse,
précocito,
productivité, q alités te hnologiques du grain etc...)
Cette 2atégori.e
supérieure de matériel peut-Btre
figurée
par
les matrice
suivante
.
!
Inciden
Séveritd
-3
!
I
1----------------------------, *
!
b - , 0 , 5 4 L
(4
!
b ,&0,45Cb
1
!
Y.& 4,8631 Y..
(4
!
!
!
!
!
!
S2diC32,38
<g2di(-)
!
0
S2di~19,Y0B~~2di
(0)
!
?
!
!
1
!
!
!
Remar Jer l e s v‘4 leurs particulibrement
faibles voire
nulle
(cf b pour la s Uérité
a f‘I
ectant l'hi3te 700 516) des cinq entrees
soulignées qui
émontrent
aussi leur trCs
nette superiorite.
16
t aux trois
exigences do
des valeurs supdrieuros
incidence et sévérité oru-
citées ne sera
e son intéret
indéniable ;
ce matériel
fer
n pendant au moins une C~:;I-
3 caractérisés par
des
valeurs moyenne
‘di (d'où le signe + qui
leur est affect
eau n"4) sont inintéressant an
raison :
et de la sévérité
particulikro-
e sensibilité au mildiou
régression très
puissant
d'où une forte
e l'environnement sur l'expression du
g6no-
élevé manifestant une variance
luctuations.
ourrions citer
entre autres:
r definltivement, soit (au cas
autre) à exploiter aprC;u
l
L'usage de la lignée 121) 17 199 AF s'avère alaatoirc
un depit d'une
ncidenco
:
.
:
.
8,22 avec b = 0,75) et d'une sévérita :
(Ti L 5,71
auec
b = 0,60) relativement
faibles
et en raison d' ne var an e trop forte :
C
S2d i l-- 69,06 et 45,34 respectivement.
(11) SL 217 oro~pk~~.~~u~~ la"~~~~~('~~4~L~~53~~o~~e~~~~~~t~s
d'un0
stabilite moven e oarallelernent 3 leur mauva&se performance : leur
m@mc sous une pression de'seloction rclativs-
ment faible.
1) lignée Souna (31) Lignée souna,
en d6pit
iv ment faible (1 = 9,32 ; S = 6,Y4) est
$
inacceptable pa
rapport EUX deux paranktres de stabilité
(1,ll et
respectivemont pour l'incidence et la sdverite,
Remarques :
11 -
~d'une meilleure sécurisation, nous avons
volontairement
ait preuve d'une extreme sovarité dans le choix du
materie résist
17
; b
a lilité observés chez les hbtes résistants
enItre autres par l'une des deux proyositicns
il 0
*l pathologie :
1
!Y rencontra est le m@me quel que soit le
hbtes est doté du ou des gones de r&sis-
1 I rencontré est variable d'une site ù 1.'w-
; P ossèdent chacun l'assortiment complet
de gknes efficac
1 agamme Qventuellc de races physiologiques
du parasite.
d'un sujet (cf b) exprime que ce dernier
la même mani::re sous un large spectre
u encorE
qu'une tel hôte réalise la meilleure
aux autres varietes) sous les conditions
Glection forte) et que, place sous des
rrnance ne F1cr&vo pas le plafond"(compar3-
ondrait” 5 cet environnement : b t2levd) ;
t donc une bonne rusticitd et uïïe
xcellence le matériel de choix pour
s testés.
I
t
.A.. ernporelle de la p.ression de sélection
Iha
nous nous contenkerons de comparer
en cironnenent au cours de la campagne
umérique des rgsultats (cf tableau n05)
‘indice d'environnement pour lincidenco
de mildiou au cours de la campagne
! T---T
-
-
-
!
I
-?
0 +---Y
?
D2 = 34 jours
!
D3 = 46 jours
E
"""""""""
!! !S j. t .2 ,c
! “~“-.““-.““-“““““”
!
0
!
!
!
j ;3arnbey
1"""""""" ",m""-"""" "-em.""""" """""œ."O".,
!
t Dürol”l
T-2,955(3$2,519(3); 4,146(2): 3,425(2);
i-.-l”““.“” “““ml””
~"""-"""--~""""""-"-;---------i---------~
F Fanaye
! -5,035(5)~-4,033(5);-9,72~(5);-7,578(5)j
""""""""" --i-r-e--- """"""""" """"""I""*
“““““-*““I”““““”
T””
“I”““”
.!. “““.
;““”
i
PJi. oro
!
-1,675(3), -1427(
: 0,818(2); 0,129(2); 2,525(3); 0,765(3)j
!
t-.
""""""""I """"1-11""" """"""""1 """"II"""
!“,- “T-d
““““““II
1 Thllrirakha
4~) y-3,342(4); -2,740(4);-7,713(4);-5,998(4;);
4-a
-
N.-B. :
parenthbses expriment les rangs : on
> à l'indice le plus élevé et celui (5)
us faible.
142 - g
ression
graphique (cf figure 1)
143 -0
scussion 1
* C'est
le site d'e Banbey qui d6ploie la pression
de sélvc-
tion la plus puis
ante dans, le temps et dans I'espace prospect4s.
La supé iorit6 précoce de la prr,ssion exercée ti
Bambey
p;,ie; yDgye e conditions pluviométriques plus favorables au
7
Nioro qu'à Bambey) pourrait s'expliquer par le
fait que le stres
hydsique enregistré en
début de campagne à Bsmbcy
aurait engcndr6 u
"dérnasquage"
de certaines potentia1itB.s
g&nétiqu:?s
dc L qraminicola
lequel au lieu d'etre
inhibé par
ces conditions
relativement défa orab:Les, se trouve "d6represséi' s nous assistons
alors à un démarr ge rapide
1'6pid6mie à Barnbey,
Le main ien du ni.veau sup&rieur
de maladie dans ce site
(par rapport à
Da ou et Nioro) tiendrait alors au fait que l'inoculu~:
ayant gard8
tout
on pouvoir
infectieux, conserve également toute 3(3
suprématie aprés
nstallatiion définitive d'une pluviombtrie normal=
et ce,
d'autant p us que lai flambée pr6coce
de la maladie aura eu pour
consdquence l'édi
ication des sources secondaires d'infection parti-
culihrement effic
ces dans le maintien et l'extension de l'épidemie,
-x L'éta
stationnaire afférent
5 Fanaye traduit une absence
permanente
de man festations perceptibles
de mildiou.
* Le ni eau relatiivement faible osract6ristique
de ThilnS~I:ha
s'expliquerait d'
ne part piar
le niveau faible d'inoculum (le matérinl
v6gétal le
plus f Bquernment utilisé étant de type local, naturellz:.ent
sClectionn6 et pr sentant une bonne toldrance au mildiou ; 1'inoculur:i
persiste;;donc en
quilibre ,auec l'h6tc
et sans que son niveau et sa
répartition soien
aussi imlportants
que pour
des sites tels que
Barnbey) 9 d'autre part:, par; les conditions notamment écologiques ne
coïncidant pas av c les
exigences cosmiques du parasite.
l
* sous
a forme incidence, la pression de sélection est
plus
puissante ü
5 jours pour Darou
que pour Nioro
tandis que la
composante s6veri
B ob6ït &l une r6partition inverse. Cette inversion
(meilleure
effica ita de l'~inoculum caract6ristique
de Nioro par
rapport & celui
d
Darou) piourrait entra autres s'expliquer par le
phBnombne de dére ression
d~ont nous avons fait mention plus haut.
La pres
ion de sk~lection observée au 46e jour est cependant
suporieure à Daro
qu'B Nio~ro en raison probablement
des conditions
de milieu
plus c nforrnas
maux besoins du parasite p
du reste, Darou
aura 6té
l'une de
rârC3s St~ations h bonhficicr
d'une pluviométric
~'normaleîf.
De mani
re gGnér&c, l'évolution spatio-temporelle de le
pression de s6lec
ion se,nbl~e lide B la stratification 6cologique dc7
base,
21 la tendar e
de l'hi~vernage, aux pratiques culturales couramment
utilisées dans ch .cune des 'strates considdrees (l'implication d'un
r7at6ricl
am6lioré comme le retour de ce type de mat6rie.L sur
iui-mB;ne
90ilt p l u s frgquen
s et remontent à une pdriode bien plus reculAn pour
fianbey que pour T ilmaltha ou Fanaye h fortiori), aux caractoristiquss
~u.~ww.ee.-.L-. -.-.A.- ..u. e-e.4 t3AUEY
,
-.
-“-.
-..--“,“...--+ . ..“-.a--..--+
. . ..a..----$
DAROU
7”HiLMAKHA
--
-....
..--y
.A.-
-
x
_-.
-_-
.--x
.,“-
.
. - 71
-rrra
20
agro-p6dologiques
B la présence et à l'importance de l'inoculum
primaire etc...
Nous er
tiendrons 18 pour cet aspect ; par
ces remarques,
nous voulions sirr Lement apbrocher voire cerner
la dynamique du ph6-
norr:lhne Etudiée
de 3 le tomph et au travers des environnements test6s.
15
- Survei Lance de. 1'6volution des maladies autres
que le
mildic
Ces obs
rvations, réalisées
d a n s les seuls sites de Nioro ut
Darou,
n'ont fait L'objet d'aucun protocole expérimental
; simplement
nous avons tenu 2 identifier et h apprécier les autres
maladies
L c h a r b o n , Pyr.icL
ztriose.
r o u i l l e ,
qloeozercosporiose
e n g e n d r é s rcs-
pectivement par 1 Lypospkri~m
'
e e n i
-c i l l a r i a e , fiyricularia qris3a,
Puccinia penniset
p Gloeoceycospora sorqhi
; nous avons ggalemcnt
tenu compte d'un;
maladie
foliaire-(X)
jusque là indgterminée mais
qui semble relati
sment fré
luente-/.
Les not 3 1, 2 et 3 sont réparties selon les seuils
s u i v a n t s :
tE
5 7;
X
<
: 1
tE X
4 25 ;6
: 2
ts
: 3
x > 25;5
p a r ÇOL is de bri :veté, ne figurera
dans cette liste que
le matériel dot6
u p r o f i l .d&al pour ce
qui est de la résistance au
mildiou (cf tablE
Ll Rot;).
2:1
5
Tableau no6 : Sur eillance de l'évolution des maladies autres que 1s
mil iou.
Materie
.““““I”“““““-“““”
!
j(13)u5764~c/~77
!
!'""""""""'"'"""'
1 (15)15703AFC/S77
!
,..'"""""""1'""'"'
.
;(16)16660AFC/S77
!r--""""*"""""""""
!
;(25)13676 AF
!
!""",""""""""""""
; &26)15401AFC/S77
!
1'""""'"'""'""'""
;(27) 700 516
!
~",""""""""""""""
;(28) SN 29/9
1
I
i(33) 114-1-R
;(75) SDN 634
.
!
!""""""'""'""""""
;(36) SDN 347-l
Nous no s attacherons 2 l'identification et à la definition
precise de la mal jie (X) en raison
de son importance
non négligcablc
(comparativement
la gloeocercosporiose ou à la rouille
m@mesqui
semblent peu grav
j dans les conditions de la campagne agricole 1?7'7t
tout au mnins pou
les 5 environnement5
prospectés).
La pyri ulariose 3t le charbon ont
des manifestations qui
méritent d'être s ivies dan 3 les années à venir.
16 - Conclus ons qéner 310s
L'essai variabili te, dans sa conception
comme dans sa roa-
lisation
pratiqu
constitu 3
un travail
de base ayant permis
de
circonscrire :
8 spectre de répartition de S graminicola
2
e spectre de resistance du materiel vegétal au
terme des i)ntÉrac ions hf3te -parasite ainsi que la revelation des
ho-tes intéressant
en ce qu 'ils exteriorisent
une résistance"flon
spécifique" au mi diou quel que soit l'environnement considord.
L'essai diall.èle
Etabli en deuxiemc contre-saison
et qui
sera testé
en vra
e grandeu : pendant la campagne hivernale
1978 se
compose de lignée
judicieu ;ement choisies ü la lumiere des informa-,
tions acquises da s le prés
;nt chapitre.
Cet ess i nous au :a
en outre permis une meilleure orienta-
tion dans le chai
des envi
:onnements devant manifester une pression
de selection élev e, tE!lS q
Je Bambey, Darou,
Nioro en vue d'un
screening ultérie r.
L'étude
des inter Ictions
génotype-environnement sera
affi-
nec et prolongée
ar l’essa
_ diallale pr6cit6
; cependant, cette
etude,
pour étre
ffectivem :nt valorisée,
exige un équipement de
laboratoire
minim ri permett Int d’effectuer un certain nombre de tests
fins qui devraien
débouche Y, par
éliminations progressives sur la
circonscription
d
probleme
combien important de l'existence eventuelle
do races physiolo iques (le résultat de cette investigation conditicn-
ncra dans une lar 3 mesure
la strategie a adopter
en matierc d'ame-
lioration de la r
3istance 5 celui de l'inhibition ou de la dormanco
6wentuelles de 1' noculum p :imaire
quand ce no sera pas tout simplo-
ment d'etablir la oressnce IU l'absence d'inoculum (cf Fanayo) ; ici
comme ailleurs, 1
démarche
scientifique devra nécessairement Cltre
comprise dans sa
lobalite
recherches
fondamentale et appliquee
s'engendrant mutu llement 1 une l'autre.
23
CHAPITRE DEUXIEME
N
DE L'INOCULUM OOSPORE,'
xpériences, leur reproductibilité, la
pliqués au cours des interactions
hAts-
parasite etc...,
- s'il en etait besoin .. tout l'intUr9t
de confrontation
de l'h8te et
du parasite.
e
technique d'inoculation artificiclie
s
pouvant chacun jouer
un r6le de facteur
limitant :
i
que de l'h8te genérateur de materiol
u moins grande vis-à-vis
de a qraminicola
organes
de base (appareils radiculairs,
est
issue la source d'inoculum;
de l'edification dudit inoculum primairs
sur les structure
temperature, hygrometrie)
et méthode de prélevement des échantillcns
infestés
et méthode de preparation et de stockage
du matériel
- Qhoix du
sujet à infester artificiellement
ethnique d'application (en l'occurence, enrobage,
adjonction,
e au substrat etc...)
prsdominant au cours de la confrontation
seuls
sont préleves les fragments
nocrotiques corac
ldiou et suppos6s être riches en
oospores
à
: le sechage est
realise au soleil7 l'abri
des poussieres
avant broyage, lc materie est trie ti
d'organes pauvres
en oosporas
expérimenté le broyage meca-
nique au mortier
uel (entre les doigts)
le
tamisage nous a permis d'obtenir :
"poudre oospore:'
dont les particules poss2~
dent une teille inférieure ou Egale à 50 mi-
crons (pour enrobage
ou determination de la
concentration notamment)
"poudre oospore"
dont les bléments ont un3
50 microns mais inférieure
ons (pour adjonction dans les
2 4
18termination de la concentration
en oospores :
5 x 10 -2 gramme d
t "poudre oospore
" B 50 microns est placé dans 5 ml
d'eau distillée s ;Srile ; apr&s
homogeneisation l a c o n c e n t r a t i o n est
Bvaluéo à l'h5mût metre ,d:j Molxsez
; si c'e n:*.es-t lw rcdmbre 4 i.oaspo.rt3s
crlnptdos d o n s IO-
ml do owponsion loinombro total
N d'oospores par
gcmna dd “poudré oospore” & 5 0 m i c r o n s e s t f o u r n i p a r l a ralation :
3
IXnxlQ X5,
N I= .
5 x ICJ”
I
I
tockage :
dans des flacons fermds et sous conditions
d e l a b o r a t o i r e .
23
- Resulta
-
a teneur Ie
n oospores est plus faible pour une pou-
dre obtenue par
b oyagc au I11 ortier
que colle obtenue par broyage
entre les mains
a teneur an oospores est plus élevée pour
unc pou-
dre
issue d'un
e moyennement sensible que celle provenant d'un
hote hautement
sible (TIF 239 d2B,)
L
concentr$tion Ogale,
l'inoculum oospore issus
d'un
hBte moyennement
ensible E 6E3 B est plus efficace que celui prove-
nant
d'un hbte
tement s e n s i b l e ( T I F . 2 3 9 d2R2).
broyage
au mortier
augmente la quantite de parti-
s qui constituent un fffacteur
de dilutionl' de la
'inoculum obtenu par cette
méthode (matériel de
b;se
noculé étant TIF.239 d2B2 : adjonction de 2 X 10-c-
0 microns + enrobage de 100 grammes de semences
re 50 microns dont la concentration de
base est
ramme) s’est revélee efficace dans les tests de
: 27OC,
70 $ d'humidite et 25.000 I~X. h un nàtre
du plafonnier
ent thermique allant
de 27 à 2Z°C, humidité
saturante, obs
nos observations revèlent
que les oospores
ment sensible) n’erngendre
aucune manifasta-
a
m@me concentration
d6termine la maladie
sur
TIF 239 d2B2
noculum oosporE
provient de E 683 B
De plus,
les tests realisés
par 10 CM1 (Commonwealth,
Plicological Instii ute) ont etabli la trbs nette supériorité des oos-
pores issues
de E 683 8 par rapport aux
inocula provenant d’autres
rdgions.
i&ro
de ces quelques remarques
qui m6ritent certes
nous pourrions formuler
l'explication suivante :
1'hlSte hautement
ensible est tres précocement
attaqué et ddtruit par
qu'il n’autorise :
- r
i une bonne maturation
physiologique des oospores
25
. une abondante prolifération de ce
type de matériel
ainsi, donc, I'hl
3 hautement sensible fournitiait des oospores
peu
ou prou fonctionr
.les et de surcrolt en quantité relativement faible
c ex : 34‘105 OclSf
:es pûr g
pamme de F1poudie
oospores pour
TIF.239d7C2)
par rapport B l't
;e moyonn ornant sensible (42.105 oospores/g pour -
E 683 B), lequel
lnfbre au parasite la
possibilit6 de diffgrencier
des organes sexué
de repro r:
juction physiologiquement murs et partant
fonctionnels.
Dès 101
, nous
de Irions reconsidérer
la notion de i'SICK-PLOT'i
cette unit6 est c
Jramment
znsomencée par
du matgriel sensible pour
assurer une bonnE
lersistan
:e de la maladie dans le sol afin d'y
entretenir une tl
i forte p
:ession de selection
; les quelques remar-
ques qui précèder
rév8lent l'importance bute particulière du
choix
des hBtos à implz
;er swr 1
E? lieu d'un sick-plots1 pour
lui conférer
un pouvoir
infecl
3ux Blevé
: mélange de matériel vég6tal de compor-
temcnt variabla i
:-à-vis d e3 S. qramin.ic0l.a.
CHAPITRE. TROISIEME
IQUE ET AJUSTEMENT DE L'ECHELLE
/'
PPRECIATION DES RELATIONS
HOTE-PARASITE
:/
31 - Prélini aire
~
Ile de notre premikre experimentation,
nous avions
de notation permettant d'apprécier l'interaction
hote-parasite ;
tte grille comporte 9 catégories definies selon Le
e sympt8mes perceptibles
se axillaire attaquée
- Plusieur%
repousses
axillaires attaquées
se manifestant sur
moins da 25 $ des tallos
principales
sont infestees dans des Proportions
ou égales ü 25 $ mais inferioures SI 50 $2
principales sont manifestees dans des proportions
ou égûJ.cs à 50
70 mais inférieures à 75 $
sont infestees dans des proportions
ou bgcdcs à 75 ,$ md.s~infC)fiaures à
100 $
survit
en depit d'une attaque de 100 7;
precoco do l'h0tc.
C!est
au travers
e cette grille
que nous sommes parvenus à quantifier
de l'incidence 1 (taux d'infestation) et de
6 de l'infastation)
evaluées par les relations :
Total malades
total plants observes
x
100
X .
=
es catégories de notre
échelle d'appréciation des
1
elations hste-parasite : x. = 1,2 ,...... 9 9
1
E(xi)=
tendue de l'échelle,
soit Y dans notre cas
Y
=
i
ffectif (= nombre de plants entrant
dans la
ategorie xi) de la categcirie x.1
N =
ombre total
de plants observes.
27
Toutes
es observations Qtant faites sur les m8mes sujets :
pour chaque h6te
t chaque type de traitsment : 50 plants minimum par
repetition déterm nés au hasard et fixes une fois pour toutes en
début drexpgrienc
une telle demarche nous permet d'apprécier
1’6vn-
lution de lrincid
e et de la sevérite de mildiou au cours du temps.
32 - Examen d ri
tique
e de cette échelle (9 catégories) avait été dicte@
par le soucis de
aisir de manilre
la plus exhaustive, la discrinina-
tion
des ggnotypo
testés au
terme de leur confrontation avec
S qraminicola.
2
tago dlBtre relativement
complète et opérationnelle
quel que soit le
tade physiologique considéré,, cette Qchelle al.1i.e
c
lrinconvenient d' ne lourdeur de maniement sur le terrain
eu égard au
ension des essais implantés.
semblait prématuré d'etablir une
avantage d'un maniement aise sur
onvénient d'une moindre precision.
ctive du programme d'amélioration de la
l'aspect qualitatif des intérac-
tion hBte-parasit
l'angle pression
mildiou) de merse
el hautement résistant adoptes au
vironnements
(cf kesultats affé;
nt des notre part
un réajustement
ar ailleurs
à l'impact économique
(2) et (3) : Dans nos conditions
'interviennent que tardivement ct
omique fondamentale ; nous pouvons
manifestant que des attaques 1iZcs
ns excellente tolerance vis-à-vis
de L qraminicoia
il nIy a aucun intérêt particulier à dissocier
ces deux types de manifestations qui d6sormais seront identffiées por
rapport 21 une m@m
es categories
no (8) et (Y): au cours de notre cx-
s n'avons jamais observé
de plants attaques 3
des tnllcs
sont affectés) et qui soient porteur.?
uctives indemnes 2 100 $ de maladie ; ainsi donc,
dans la catégorie no8 no pr&senteraient aucune
liere quant à leur résistance au mildiou ;
nfin, lIetendue bornée par les catégories no3 et 7
nt
tenant compte notamment des implications econo-
de l'intér@t de ca type de matériel dans les pro-
33 - Adoptiod d'une nouvelle échelle de notation
f
la lumière des observations précédentes
que nous
une nouvelle Qchelle qui devra nécessairement
des trois lignes de force apparemment di-
vergentes mais
liees sur les plans scientifique
et Bcono-
mique :
2 8
rtance économique devra 8tre matérialisée : la
dStoction de CU
dotés d'une haute résistance et stabilitg
ambne l’expérim
à p r i v i l é g i e r c e
type de materiel et à opter
*
pour
une grille
étendue et la répartition
des rephres se trou-
vent fortement
ces du point de vue qualitatif et quantitntif;
‘ é d i f i c a t i o n
d ' u n e platefor-
me de base pour u
v o i r e r é g i o n a l
d'amelioration
du mil et
dont
a1 n'est plus a démontrer ;
du fondement de
lateforme
ddpendent la solidité et la fiabilitti
de l'édifice donc
son efficacité : l’étendue de
l'échelle devra @tre
suffisante
pour
au mieux toutes les nuances de comportemont
des génotypes
tan
il est vrai que deux sujets a
base génétique dif-
ferente
p e u v e n t
la m&me cible par
des voies partiellement
ou totalement d
cette dimension revet
une importance ca-
pitale en ce qu
leure compréhension
des
i n t e r a c t i o n s
h6
tion précise dss mécanismes
de résistance -
pour
une recherche
de méthode
officiente de 1
A y regarder
de pres, cet
2lSpect e s t
pl?iFi
nne -
de manière prospective
i l e s t v r a i -
recherches
fondamentale et appliquée s'en-
l ’ a u t r e et; s e révelent @tre l e s d e u s
il importera
d'en respecter
l’equilibre;
il nous faut admettre la nécessite
de tenir
compte de
1'hBte
e n t i t é a f i n d ’ a p p r é c i e r
ut
de pouvoir travailler :d
> conditionne le plus la
resistance et la
l'implication d'une Bchella
unique
privilégie
ifestations biologiques
d'un rneme sujet,
orce
nous est de concevoir
une échelle qui integre
a p h a s e r e p r o d u c t i v o , Cette
l a précedente d u f a i t q u a
végétative trouvent
leur
r e p r o d u c t i v e .
permettra d’établir et do
c e r n e r l e s
sélection exercée
au cours
de la phase
. Rendement- ression de sélection exercee
au cours
de la phase
. Prossion d
sélection exercée
au cours de la phase vegétative -
selection exercée
au cours de la phase reproductive.
ous d e v r i o n s parvenir h saisir
quelque peu les
itionnant
la résistance et/
N o u s av ns en définitive opte pour
l'échelle de notation
ci-dessous codifi e.
29
--m,
l
!
-E
;Catégories
e végétative
!
Phase reproductive
!
,
.--II-,---m--m
-"---m-I"- -----.--e-----r-----r r"-"r"r------i-r-----"""---"-".
.
!
1
!
Absence de symptômes pers i
!
!
ceptibles
!
,.-Y-LI--L"I-lf--II-I----
""-"'-'-"--'"-"---~-----------------------------~'
Une ou plusieurs chandelles i
axillaires attaquees
.
!
----~-"-------I-I----"-------- !
Chandelles principales
,
attaquees dans une propor,:
I--II--------L---------"------
Chandelles principales atta-i
cians une proportion
i
superieure à 5 $ mais infe- I
rieure ou égale 33 25 $
!
------------------------------
Chandelles principales atta-j
une proportion
;
superieure à 25 $ mais in-
i
férieure ou Ogale à 50 :,:
,
-----.1---1---m---4"
----II-------------"----------
Chandelles principales attn-i
quees dans une proportion
;
supérieure a 50 76 ou totaleFi
ment absentes,
.
!
!
Remarques :
e et de la séverite reposc sur
le m@me principe
par exemple un plant compor-
tant cinq talles
cipales,etltalle axillaire
(portee par une ta
malade% le rapport est majoro
comme si la talle
d'une tallc axillaire infestes:
Qtait elle fierne m
ainsi dans l'exemple precité, nous compterions
3 talles principa
s malades et non pas 2 sur un total de 5 talles
observees.
hotes testés sont caractérisés chacun
est propre, les notations se-
des stades physiologiques ; 1~.
apres levée manquant manifestn-
30
CHAPITRE .QUATRIE,ME
' EFFICACITE ?ELATIVE DE DIFFERENTES TECHNIQUES
/
D L'NOCULATION ARTIFICIELLE
/
/
41
- Interet
En
vue
3 1'Btablissement d'une méthode de
lutte intBgr6e
contre le parasit , force
nous est de cerner
quelque peu la nature
des relations h6t -parasite
afin de nous imprégner
des mécanismes de
résistance et d'a ression des organismes
impliqués.
Le prés lt chapitre vise h definir la ou les technique
(s) d'inoculation artificielle
la ou les
plus efficace (s) et
rcproductible (s) oour
une meilleure
appréhension des mécanismes
d'interaction hBt -parasite,
L'effic cité d'une technique sera
Gvaluee par
son aptitude
e engendrer
une p sssion de sélection (incidence et/ou sévérite)
forte;
cependant, nous a ans Volontairement privil6gié
les techniques qui
semblent les plus sonfclrmes
aux conditions naturelles de confronta-
tionsde l'hbte et Au parasite j c'est ainsi que, délibérément, nous
avons elimine la
schnique qui consistaiten. une injection intratio-
sulaire
de suspen ion de zoospores
au niveau des cornets
de sujets
à teetea : nous p isons, qu'outre le pouvoir infectieux ainsi trans-
mis,
le traumatis
s morpho-physiologique engendré par cette
methode
modifie le compor
sment d'un h8te m@me résistant.
42 - Matérie
et méthode8
421 -PJ tériel végétal
L'h8te
inociulér est une lignée choisie pour sa resistance
moyenne (E 683 B) dis-&-vis de S qraminicola.
422 -L
inoculum parasite
3 "pc!udre oespore"
est issue du sick-plot 1976
a Sus>pension de zoospores provient
de la lïgnoc
P 105
(Mil d'oasi
venant de Mauritanie)connue pour
sa haute sensi-
bilitb au mildiou ;
'infestante (cf traitement T6) est obtenue & partir
d'un rnglange de s nences :
E 683 9 = 25 $ ;
IFTON 239 d2B2 = 37,5 % ; (P 105 + P 106 + P 'lO7) =
37,5 7%
423 -M
thodoloqie
Six tra
tements ont éte appliques à Bambey :
T1
= Témoin sans apport d'inoculum)
T2
= Semence
enrobdes de "poudre oospore" à raison
de 1 g de
poudre
0 microns pour 100 g de
semence ; la teneur en
oospore
de la poudre m3ce s161bve à 34 x
105 oospores/g.
-2
(Sick-plot 1976)
T3
= Adjon
ion de 2 x 10
g de poudre
250 rr
rons par
poquet
T4
= T2 t
T5
= Dépot
à l'aide d'une pissatte) d'environ
6 ml d'une SUS-
pensi
de zoospores de concentration Qgale à
140.0
zoospores/ml ; les zoospores ont ete prelevees sYr
la li
ée
P 105 (Atar ville) ; l'inoculation a eu lieu au
18e j
r et
répotéeau 230 jour aprus levée.
T6
= Ligne
infestantes issues de m0lange de semences (cf
5 422
Tableau
no7 : Et
e comparative de plusieurs techniques d'inoculation
de S. qraminicol
: 7-l
= TEimoin ; T2 = Inoculation par enrobage ;
T3
? A d j o n c t i o n
inoculum oospore dans les poquets ; T4 = T2 t T3
T5 =
Injection d
suspension de zoospores dans les cornets ;
T6 =
Utilhsation
e lignes infestantes
I = Inci
nce ($1 ; S = Sévérité ($)
!
!
T---
!
0
, Traitements ,
T'l
!
T2
;
T3
i T4
; T5 ,
"j-6
,
.
.
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
!
T--'"T'"-"T--."-T"--~----~"---~----?----?----?"---~
?
23
;o,o ;o,
.
,0,30!0,26,0,0 ,O,O rO,U ,O,O
,1,21,0,80,1,16,1,C4,
.
.
.
.
.
.
, -.-...-----1B”-me-
r----~--"-r----;-""-t'""r"""f"""T""~----~"---!
T----T--
!
27
1090 !O,
.
,0,60,0,45,0,0 ,U,O
,0,31,0,10~1,21,0,80,1,20,1&4,
.
.
.
.
.
.
!
!
30
f 0,32j 0,
I”-“--‘“----“-‘T-““r”
34
;0,62;0,
!
43 - Fiésu1t
2 : Discussion
431 -
sultats bruts : cf tableau t-t07
432 -
terprétati0.n des resultats.
; analyse de variancc
(
tableau:: no 8 et 9 .
ncidence
Tableau.nO : In
dence mildiou analyse de variante
!I
!
!
!
L
!
pdes carrés ,
!
F
j!
Origine
!
d.
1;
des Qcarts
'
!
IF thQoriquo t
!
Variante !calc i---y-r------1
31
!
!
!
!
; 5 /o I 1 ;Ll
;
.
/!
u------"--r--"---~----
!
ahcs
'!
!
3
l
!
' T r a i t e m e n t s
!
!
5
!---"---"""l----"-r----
!
Erreur
!
15
!-------~"",------?-"'
-r-~,---“-“,“-““--“t-----------r-----r--.~-~
-m---e
I
Totul
1
23
109,37556
!
1
I
t
l
l
Rerrarquos :
&+
6
656 ; C.V. = 79,5 ;b
awec X = 1,05
3%
Tableau
no9 :
mildiou ; analyse de variante.
!
!
-m---m
mm"--"
---"----w---w"---
1-"-"-1---e-
--m-.?.-
I-
Remarques : d x = +
0, 599 ; C.V. = 99,B
avec X = 1,20
433 - Oijcussion
4331
- Le traitement Tl = Temoin
-e-"wm*-m-I--"m --m-1111-
ion observée sur le témoin en dehors de toute
ielle d'inoculum exogene et en dépit de la prosence
9 nruinuapour
sa haute résistance) implantées
avapt tiendrait
aux hypothèses suivantes :
sente d'inoculum primaire (oospores
notamment)
dans le sol
tion de semences souillées intérieurement et/'
ou extérieurement
s oospores
et/ou du mycelium
aque par une source secondaire
d'infection pro-
quelconque (vent, insectes, eau d'irrigation
ugaisors de partie ou totalité des éventualités
pr6cédentes.
du protocole afferent B l'essai variabilité
(usage de liqnges
festantea rr5vélatrices
de l'inoculum primaire
naturellement
pré
t dant le sol),
des manifestations de mildiou
observables
dans
parcelles
non inoculees artificiellement (par-
celles des Select
neurs et champs paysans), compte tenu par
ailleurs
dos résultats par
1s fournis par
l'essai intitulé "Tests de rUv6la-
tion de l'inoculu
riniaire caractéristiques
des sites dfimplantation
de l'essai variab
nous pouvons affirmer
que, dans les conditicIns
actuelles, le sol
Bambey est naturellement infest6 par
5. qraminicola
sous sa forme
in0
um primaire
en raison d'une contamination pri-
maire associée à
frtiquence élev6e de successions mil amélioré SUI
mil améliora .; ce
i constitue
un facteur de persistance
du parasita
dont la longévit
ait
jusqu'à 10 ans (ROf?.CHiiARDT,, 1927).
il?
souillees
L'hvooth se
semences ext6rieuremenflserait trùs oeu oro-
bable : les séhenc
s sont issues de chandelles saines (en tout' cas,
ne prgsentant aucL
le manifestation perceptible) r8coltées sous des
conditions peu fav lrables (contre-saison)
au mildiou au point que
rn@ne des hr3tes haL ,ement sensibles tels que TIFTON 239 d2B2 ou
TWIOTANOE arrivent à fructifier normalement ;
vue sous cet anqls, la
transmission inter le par les
semences, non encore rigoureusement 6tc;-n
b(ie,
se r6v&le Qg .lement peu probable.
33
tion de barriores de résistance avait pour but
atiotn de sources secondaires d’infection ; i l now
ipuler la non implication de ce type d'interfG-
t d e l a f a i b l e d u r é e d e v i e d e s o r g a n e s
asexués
h se.lon SAFEIJLLA et al, 1963).
de cette analyse quo le sol caractéristique do
ent infeste et que dans les conditions actuelles,
par l’inoculum primaire naturel
tendent à
'efficacite imputables aux différents
traite-
r ae type d'essai en terre vierge de
; ce
qui est à exclure en raison des risques
l'environnement considere;
un fongicide dont le rBle revient CI
attaques de ce type ;
Brer
sous conditions contrblees au
d e p o u v o i r experimenter e n v r a i e gran-
notre latitude de manoeuvre est considérable-
ulle eu egard
au sous-équipement exagéré en
résultats obtenus
dans cet essai devra,
tenir
compte de cet effet Tampon imputable
i n h é r e n t a u s i t e experimental.
- i_ni-,1yse des effets blocs (cf tableaux no 8 et Y)
-"---"-m--11..".-----
Ces effet s sont eignificatifs a u x s e u i l s d e 5 $ e t 1 I,: :
F calcule = 8,53 et 4,91 r e s p e c t i v e m e n t p o u r l ’ i n c i d e n c e e t l a sSverit3
tandis que les vale drs s e u i l s ’ s o n t d e 3,29 e t 5,42 e t 3,29 e t 5,42
pour 1
'incidence et l a severité respectivement ; il n’y a r i e n d’extra-
o r d i n a i r e 81 c e
q u e Les difftirences
soient significatives entre dates
dlobservation.
- Analyse des effets traitements (cf tableaua no (3
em-- I-,------"---"-"--"-------
et Y)
de variante révèle une diffdrence
significative
tres
mesures au seuil de 5 ;o.
.
ion de la PPDS (PPDS C,.,5 = 0,928 x 2,131 = 1,98 ;
947 = 2,73)
comme celie du test de KEULS per-
ger les différences entre traitements
; a i n s i ,
S, nous avons :
34
Incidence
S é v é r i t é
-1111
!
; Ti i
5 p6
!
Ti
-
-
i
1
l
!
!
!
-
!
!
0,OY !
!
!
!
!
11
!
!
CI,77 !
!
!
0,37 !
f
!
!
T2
i
!
!
!
!
!
E
l
!
!
0,56 !
I
!
0
T3
;
0,86 !
i
.
!
!
!
!
l
!
!
1,23 !
!
!
0,87 !
!
T4
i.
I
1
I
!
!
!
I
;
! T
?
3,09--i--I
!
2,14--T---~
!
5
!
!
!
!
!
!
!
3,18 !
1
*!
!
TG
;
3,71 ! J
1
+
L !
!
!
! !
i
!
!
i
!
--
1
I
1
!
Remarques :
L e s tr2
temertts non reliés par
un trait différent
signifi-
cativement au seL 1 indiqué,
Au seui
de 5 $, les traitements
no5 (zoospores dans les
cornets) et
no6 ( lfestantes) manifestent leur sup6riorité par rap-
port aux autres t
aitements p c a r6sultat
t e n d à c o r r o b o r e r l e r81e
important
joué pe
les zoospores
dans le processus infectieux done
dans la persistar
3 et l*extension de l'épidémie.
L'usagE
je variétL5
sensible servant
d'une part
de rQvdla-
teur d'un inoculL
primaire présent
dans le sol ou ajouté artificiel-
lement,
d'autre F rt de vecteur
de la maladie par
le biais des ar-
ganes
asexués dE cepruduction,
nous paraît @tre la
technique la plus
r a t i o n n e l l e
d'ent rtien d'une pression
de s6lection élevge ; de plus,
c'est la techniqL
qui reproduit le
plus .$?idhlement
possible 10 phé-
nomene tel qu'il
2 p r o d u i t
d a n s les conditions naturelles relative-
ment à l’impartan
! qui semble lige
aux sources secondaires
d'infcctir
35
CHAPITRE
CINOlJIEME
ESTIMATION DES DEGATS
/
51 - PrBlimi
a i r e
Le but
ssentiel de cet essai Ctait d’apprécier
l'impact
reel du mildiou 5 r le rendement ; pour ce faire,
nous avons 0per.S
avec un génotype
ioisi pour sa sensibilité moyenne (E 683 El) et
semé en 4 repétit
ons, chacune comportant
un bloc élémentaire traite-
ment (inocule) et
un bloc élementaire temoin
(non inoculé) comptant
chacun 10 lignes
e 40 plants semés à 30 x 60 cm.
En rais
n des contraintes spatiales (hetérogenéite de
terrain), l'inoc~
a t i o n a r t i f i c i e l l e
i n i t i a l e m e n t p r é v u e
p a r
éta-
blissement préalz
le (15 jours)
de lignes
infestantes, a été réalisi
par enrobaqe + ac
onction-de “poudre oospore”
(de 50 et 250 microns
respectivement) ;
Gzédent cultural Qtait l’arachide.
C h a q u e
bloc élémentaire
tait ceinturé par trois lignes
de SN 29/9
connue
pour
sa bonne rés stance et jouant le 1361e de barriere vis-à-vis
de
l'inoculum exoger
.
52 - Résultz
s :
daiscussion
Nous a\\1
-15 suivi l'évolution du tallage jusqu'au 35e jour
après Levé et avc
s évalué l'incidence et la séverité, ces résultats
ne feront pas l'c jet d'une interprétation
du fait que plusieurs
facteurs
sont ont SS en jeu pour rendre
impossible l'appréciation
de la chut0 de rs
dement imputable au seul S. qraminicola ; parmi
ces sources d’art
facts, n o u s c i t e r o n s : -
1 stress hydrique tres prolongé avant
et pendant
t o u t e l a p é r i o d e
J tallagc (période
du 8 juillet
au 14 ao0t) et ce,
en depit d'un arr
sage manuel visant à “sauver” l’essai ;
3 graves
attaques par
Amsacta moloneyi (chenille
poilue du niébéj
'écha:udage déterminant
une sterilité
partiollo ou
totale
de nombre
3 chandelles
3s attaques d'oiseaux.
L'inser ion de l'incidence et
de la sévérité
dans le pro-
sent chapitre
ne
césente aucun intéret dès lors que le rendement
a v a i t Qté b i a i s e
31: l e s f a c t e u r s procites e t
ue par ailleurs
E 683 El était inc
JS dans l’essai uariabilite s cf chapitre
no1 !.
De plus
toutes
l e s o b s e r v a t i o n s realisées
d a n s l'environno-
m e n t Bambey (col1 s réalisées sur l’essai
':Degâts" n o t a m m e n t ) p e r m e t -
t e n t d ’ a f f i r m e r q
s le sol est infeste en ïnoculum primaire ;
de la
sorte, la
m a l a d i e se manifeste m@me dans les parcelles
temoin ; ce
qui constitue une
restriction supplémentaire pour l’évaluation
de
l'incidence du mi
jiou s u r l e r e n d e m e n t ; à ce propos, cette appre-
ciation ne pourra t se concevoir
que relativement aux parcelles témoin,
elles-memes infes
ses de mildiou ; $3 l'avenir, pour réaliser ce test
il faudrait :
36
ait disposer d'un fongicide efficace permettant
une discriminatio
arcellcs infestees et parcelles saines
&a;, --;;y;;
notre programme 1978 incluera l'étude
,
fongicides en relation avec diverses
techniques d'ap
implanter les parcelles infestees dans une
une forte pression de sélection (Bambey en
témoin (non traitees) dans une aire caracte*
de sblection faible voire nulle (exemple :
marche impliquerait que les deux composantes
de L'essai
ises & deux ecologies différentes, ce qui ma-
kerialise
rigueur scientifique ; neanmoins, nous pensons
facteur eau (irrigation d'appoint) permettrait
ent satisfaisante du probleme,
37
dent que l'ensemble
de ce rapport devra @tre
compris comme une UNITE, chaque composante interférant
de mani$re
s i g n i f i c a t i v e a\\ 3c’
les autres et rr5ciproquement ; ainsi, la
technique d'inocu ation usitee, celle d'obtention de l'inoculum oospo:re
de m8me que les c itères d'appréciation des relations hôte-parasite,
influent si@nific tivement sur les résultats
des interactions
genotypes-environ
ement.
Dans ce te optique, notre programme
de recherche 1978
Cexploitation mu tilocale d'un
diallèle 6 x
6 avec test des croi-
sements directs e
rdciproques avec g&niteurs
de base à inclure,
tests fongicides, essais coapératifs internationaux J constitue
une
tentative de pro1 ngement
et d'approfondissement de notre travail
de
base auquel sera
troitement associ6 le s6lectionneur du Groupa
Amélioration du
M 1.
38
/' R E M E R C I E M E N T S /
/
/
Pour 1
conception et/ou la realisation de ce programme,
nous voudrions r
ercier
tout particuli&rement :
.-C. GIRARD (SR/Patho-Sorgho)
.
SARR'
(GAM/Amél)
'ensemble du personnel
SR/Patho :
. L.D.
FALL
. N.
NGING
SAME!
??
? ?
. N.
SENE
. 5.
SY
.
A N N E (GAV/Amél)
.
DIOP (Stagiaire SAED)
NDIAYE (
ti
ENCRE
pour leur collab
etion scientifique et technique inestimable./-
39
/-
,/ BIBLIDGRAPHIE ,,'
EBERHART S.A., RUS EL W.A. - (1966)
Parameters for
Comparing Varieties - Crop
January - February 1966, vol. 6, 36 b 40.
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R.P., WILLIAMS R.J. (1977)
Pearl millet for resistance
tu downy mildeu, ergot
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1977, I-21.
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alcs and standart drawings for
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millet diseases 1 : douJny
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H S.D., THAKUR R.P. (1976)
ales and standard drat.uings
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rgot and Smut. ICRISAT, Cereal Improvment
program