REPUBLIWE DU SENEG;\L SECREfARIAT D'ETAT ...
REPUBLIWE DU SENEG;\\L
SECREfARIAT D'ETAT
,,' --m-e--r-..-
A LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
/,,
iJRIi!ATURE
GPPORT d e
STAGE
sur 1lEntomologio effectué à L'IFAN
(DQpartement des Invertébrds terrestres)
du Ier Avril au 30 mai 1980
par M. Abdoulaye il IOP, SR/EntJ
Centre national de Recherches agronomiques
de Bambey
INSTITUT SENEGALAIS UC RECHEl'iCHLY ir\\GRICOLi:S
(I,s.Iw.)
- s 0 14 PI A 1 R E -
M.=-=-=-=r
J. -
i7VAfdT-?RD*CS
a
.
II -
1 flTilODU iT
2 1 ü IF*.
ITI-
HISTORIX!C,
xv -
C'j!J;?S i, 'E:~TilMOLOGIE: GENERALE :
1 - Classification des animaux
;
2 - ;;orphologie externe des insectes ;
3-
ï;orphologi.e interne des insectes ;
ii. - Développement des insectes - Floyens dc défense ;
5 . Grandes lignes
de la classification
des insectes,
v -
PRESENTATION GE LA SALLE DE CDLLECTID!J.
VI -
T~AVTILIX PRATIQUES.
VII-
CONCLUSIOC.
fivant de
rédiger mon rapport, j’adresse mos
sincères remercie..
mente 2 toutes les personnes
qui m'ont aidé au cwrs Je ce stage.
Ce stage
mra permis avant tout dtacqu6rir
dis connaissances
nouvellos dans le domaine de l*entomologic.
Cependant, il faut souligner que les deux m:3is semblent trop
courts pour acquérir
les connaissances indispensables rli l*entomologio
appliqu6c e n p a r t i c u l i e r e t à l~entomoloqic qékrale i3n g é n é r a l .
Eics remerciements
vont tout d'abord ù la Direction du CNRA,
- à la Commission de formation permanente ;
- à m o n C h e f d e s e r v i c e 11. Ndoye ;
et particulikrsmcnt à Pl.
ROY qui a toujours ét6 trbs ouvert
dans les
cours
et les questions qu'on lui posait, toujours disponible à nous
guider par
ses conseils et SOS recommandations, malqr4 son temps trBs
limit6.
Y.los remerciements
v o n t a u s s i à i l . CONDAUI!J, c n t o m o l o q i s t o ,
2 i1. Faye qui nous a montre la préparation et le
montago des insactos.
A tous ceux-là, j'exprime mes sinctreg rcma::ciements.
XI - INTRCDUCTI3N
I;on stage
à l'IFAN avait pour but d'acquérir les connaissances
entomolcgiques indispensables pour participer efficacement au travail de
laboratoire au C.N.R.A.
- Systématique et biologie des insectes ;
- Les problemes que pose 1161evagc ;
- L'ensemble des techniques de base.
fi l'IFAN,
le département des inwsrtébres terrestres
que dirige
.,I.~. ROY s’occupe des questions d'entomologie genérale.
I I I -
Crée le 20 août 1936 par le gouvorneur général Brévié, 1’
IFAN
est
devenu Institut d’Université
de Dakar, on établissament public dote de
.la personnalite juridique
et de l'autonomie financiere, Son organisaLion et
son fonctionnement sont réglementés par le
dccret 73-330 du 30 avril 1973.
Son Directeur est Pl. Amar Samb,
- Susciter e t p r o m o u v o i r d e s travau:: s c i e n t i f i q u e s :se r a p p o r t a n t
a l’Gfri.quc noire
en général, et à LIRfriquc
de 1~Oucst en particulier ;
- Yissurer la
publication et la diffusion des études et des travau;:
C’ordrc scientifique se rapportant
à sa mission 1
- Fieunir
dans ses musées, ses archives
ct sa oibliothèque, les
collections scientifiques et la documentation nécassaire G la connaissance
et à l’étude
des questions intéressant l’Afrique ;
. carticiper
3 ltapplication L!u réglomont corSccrnant l e
claose-
ment des monuments historiques, les fouilles, 1’ exploitation des
ub jets
ethnographiques ou d'art africain 2
- L a p r o t e c t i o n d e s s i t e s n a t u r e l s , d e l a f a u n e e t d e l a f l o r e .
0 rqanisat ion :
L r
IF,',;! est organisé d e l a facon s u i v a n t e :
-
Un Directeur, dont les pouvoirs sont ceux
d‘un doyen de la fa-
culte q u i a d m i n i s t r e e t ropréscntc
l'IFAN ;
- U n c o n s e i l d ’ a d m i n i s t r a t i o n ;
- Des départements
qui constituent l'élément scientifique. Ces
départements constitués chacun d’un ou de plusieurs chercheurs,
ço préoccupent soient des scienLü
7-s na-Lurellrs o u
d e s sciercas
humaines ;
- LBS départements
des sciences naturelles
comprennent : la géologir,
la biologie marine, l a z o o l o g i e d e s Vertébrl;s, l a z o o l o g i e
des
invertébrés
et la botanique ;
- Les dgpartements des sciences humaines comprennent : l’an-thrologi(.l,
p h y s i q u e , llanthrologie c u l t u r e l l e Civilisakions e t l i t t é r a t u r e
i n d o - a f r i c a i n e s ,
h i s t o i r e ,
l i n g u i s t i q u e , is.tamolog.ie, préhistoire,
s c i e n c e s s o c i a l e s p
IV - COUi\\S D'ENTOF~OLOGIE,
’ !
- ,?;~ATC:i~iIc: GENERALE
I
=================
1 - Données qénérales sur
la classification des animaux
La sGiancc de la classification s'appcllo l:i Systématique.
La science de .!a nomenclature s'appcllc la t.axonomie.
Les animaux : *1 million quo l'on connait p
plus de 200.000
que l'on II~ ccinnait pas.
Les végétaux : 300.000
Les animaux et les vegétau:: sont groupés sous le nom llc~'cmb~anci~e-
-I_
monts"
Les trois embranchements les plus importants sont :t
- les wertebrés
(40.0230 espbces)
. les arthropodes
(1.000.000 espùces)
- les mollusques
(60.000 espbccs).
D1apri:ls l a c o m p o s i t i o n d e s o r g a n i s a t i o n s , l e s vertebres o c c u p e n t
une place importante, puis viennent los arthropodes
puis les mollusques.
Chaque embianchcment est subdivise en classes
'
fkammifères +Corps c o u v e r t d e p o i l s ( P r i m a t c e - c a r n i v o r e s -
rongeurs)
Vertébrés
Oiseaux
-f, c o r p s c o u v e r t d o pluates
Reptiles -4 corps
couvert dt6caillcs
Les 2 rachnides sont dos arthropodes
qui n'ont pas d'altcnnes
m a i s
uno p a i r e d e chdlio)res (Araignee -
S c o r p i o n - ncaricns)
Jrthropodes
Ils sont des animaux terrestres,
Les Trustacés :
c a r a c t é r i s e s par la présence de deux [paires
d'antennes - animaux a q u a t i q u e s ( c r e v e t t e s -
c r a b e s -
langoustes).
Lus Yyriapodes : comme les insectes ont une paire
dlantenncs
La différence
SO situe au nivear_r des pattes.
Les Insectes
: sont des Hexapodes = 6 pattes
Chez les l,y-iapodcs,
le ,lombrc de p,attos e s t
p l u s é1L?vo ( 1 8 à 3oo;
Les ilyriapodcs sont tous terrestres tandis quo
l e s insectess o n t d i v e r s i f i é s (aquatiques -
aérions),
il0llUS~UOS
:
caracteris5par un corps mou protége pa:: une coquille calcaire
(Huitces).
LUS ~13s~~~
sont à leur tour divisées en ord.ccs.
c
, 1’intBrieur
dos insectes, on distingue unc trentaine d'o:rdrcs,
Parmi les insectes, les caractères essonticls qui permettent do 12s
d i s t i n g u e r s o n t l i é s a u x pii!cos buccalos,
au développement, aux
ailes,
Les principaux ordres
d'inscctus ont uno terminaison en ptûrcs
(ailes)
gipf-&rcs
(mouches et moustiques = 2 ailes) pièces buccales
piqueuses.
LQpidopt&ras
(papillons) ailos bcaillcuscs, oikcos buccalos
lécheuses ou sucuuses.
Orthoptkrds (criquets) ailles droites,
pièces buccales broyeuses.
Chaque ordre
es;t subdivisé on familles :
Muscidés (mouche ordinaire)
os
: Uiptercs
Glossinidés (mouche tsé ts6)
Culicides (moustiques)
3ans chaque famille, il y a plusieurs qenr-es ct chaque genre
rcnf crmc plusiours
espéces,
0uclquefois
on a besoin de trouver
dos catégories
supplémentaires =
on affecte alors c e s cat6igorios d e s préfixes :
sous : i n f é r i e u r e Z-3 ( l a f a m i l l e )
super : s u p é r i e u r e à ( l a f a m i l l e )
Lc tcrmc tribu
désigne unc catégorie comprise
cntro la sous-famille
et le genre,
Los noms de genre
dlanrmaux sont tous différents
aussi bien que
chez les vég6tau.x.
Notion do type
Pour chaque espèce nouvellemont trouvée, il faut :
- Un échantillon do référence
qui est le type de l'espece : holotype
-) Un échantillon de référence
do sexe apposé ‘: allotype.
Los parat
yps 5 sont les autres référoncus
dféchantillons.
Four
chaque gcnro
on distinguera le type
du genre : générotype.
Les noms dos super-familles sont tc~rninos par
oidoc
Les noms dos familles sont terminés par
idac
Les noms des sous-familles sont terminés
pa? inao
Los noms des tribus sont terminés par Pni
0;; distinguera des sous-gcnros TI l’intérieur
des
gcnri!a, le nom
du
sous-genre est alors mis, entre parentheso entre le
nom du genre et celui
de P'cspecu.
h
JG ex:
Glosçina (UL,lssiila) mi-sitûns
G N
C;los.çin;.l (~Jcr;iorili;-ia: pal palis
mnuche t:;Q .I;sV
,
2 ?‘ ‘ ‘?.;i.
2 j
- le t h o r a x
m-111--....
,
‘1 0
l~rl insecte q u i a 12s ailos bicil
dévoEopp8os oçt
Flacropt6i‘e ;
IJn insocto qui 3 11.23 ailes rûc:coUrcios est k'octlypt)
Un insecte qui a les ailes tri?s réduites à psino
rl'dtrc invisibles ost iXcropti>rc j
Un insecte qui n'a pas d'ailo. est Apt&rc.
On ûppcllc ccllulo UnE rggioi-i dIail drinsoci;i! travcrs6c par d2s
ncrvurcs
loilgitudinalcs et transversalos
(nombreuses ~~11~10s chu2 10s
Libollulos).
Une sou10 cellule chez les papillons par zils.
Lhsz certains
inscctcs, il
n'y a
pas dc ccll~lo
; at
dans certains
cas 10s ncrvuros pouvont etrc ramifiees.
3) - L.'abdomon
m.--..a---""
L'abdomen est form8 dc plusiours sogmonts.
Lo nombru dL! segments
cet c o m p r i s cntro 6 ct
121. Le d e r n i e r
sogmcnt de i'abdomon porte toujours
l’oxtrf3mitb du
tube digestif
tandis quo l'orifice gdnital est situe un peu
avant du cStB ventral.
Chaqua segment o s t compos0 dc 2 partics :
la pûrtio dorsale
appelée tcrgito
10 partio ventrûlc ûppcl6o stcrnito
Certains insectes ont une priro d'oppondiccs à l’cxtr@rnitG
de l'::b-
domen appclQes Czrquas. CJS cerqucs
pcuvcnt etrc formas d'un ou dc plusieurs
articles (ch22 lc criquol ccrques simplas).
On
distingue chez les mBlos des piOccs qui scrvcnt à
l'accXIplC?m2nt
at cht22 1~s
fzmollos un appareil de ponto.
Lzs piSc,s génitales dus m8los sont vsriocs suivanl; les groupes
d’insec,i;cs
; suivant les cas les piùccs gonitnlûs sont symétriques eu dissy-
métriques.
Les piàces génitales proscntcnt tî‘Js souvent des caracti!:ri!s
impor-
t a n t s p o u r r o c o n n a i t r o 10s différcntcs espCcos.
Lhoz 1~s fomcllos, l'apparci.1 dti ponte est zonstitud dc valves.
Lus valv25 formont lloviscapto,
Il y a das appareils
de ponte cxtr8mcmont
lings quo lion oppi:llc
t arihrc (Hymanoptères) .
Au niveau de l'abdomen se trouvent les orifices ros-
pirûtoires
ou stigmates.
12
Le sysiame nerveux est GL~~1S~~iEl.J~ par une masse nerv:?ucz apl:~~l&o
IlûSSC
nerveux cerelroïdc au niveau #Ao :.a tete. Il y a un anneau ,i~5~vcux
lJc!sICJp/laCji.en
CL
u#ie
chaine
nerveuse ver1t~o.i.e avec des ganglions.
28me paire de ganglions : 1s dentocerebron
ervoie ion nczfs DU:;
an~onncs
3ème paire dc Q3:lQI!.ioÏiS : l e tritocerebron
er,voie l e s
ilt:;:?S a u x
. . .
pl';.:es buccales.
Une paire de ganglions thoraci~)ues
dans chaque anneau Ju til~ra::,
Il y a moins de ganglions que cie segments dans l,abdomen.
!1 - Orqanes des sens
- Touches -j les ~~rganos du toucher au niveiau dos ankennzs
E!*L de, pattes ;
- Odorat +.+ les ojrganes de l'odorat au niveau des :lntennes
CL sur les palpes p
- goot
+ l e s insectes s:lnt capables de goût ; les sens
riu IS)O@ n'est pas limité au niveau des pit:i;es
I)u!:c ales mais aussi au niveau des LZI:SCT des
pattes (lepidoptères
-
mouches).
- Vision :
les yeux simol.es r:z permettent qu'une vision :udirren-
ta;ïc, les youx r;e;ilposés 3 facettes sont fc::mGs i;i'un
grand nomb;c ci',1mmûtldies.
LES j.nse(;tes vnj.or~t net h toutes les distnrlcos ; :1c1!
pouvent
distinguer dos details aussi précis i:iais voit
beaucoup mieux les mouvements rapides quo l'l-;onna.
La visibilito
do la couleur rouge est mauvaiss chez
l'insocle.
- Les orrjanos dc l'oquilibie sont localisés au niveau :!u L0
aïtiûie antennoiie ;
- Les organes auditifs n'existent pas chez tous les insectes ;
- Les insectus sonk
::apables aussi d'émektre des sons
J.e grillon in91o chante
?? ? ?
pour appelez 13 ]Rl::i?Yi.;,.
- Certains insectes Qmettent de la lumieie.
fi?;< . ;uciolos - les femelles émettent la lumiuro peur ük-
t i r e r
l e s mr?llus.
’ . i. ,ir” .
., .:. .* 1 ,.<
“%, ‘I / -. ,.. >,. I . <, 1 .a
.i,
.A
.: i;
Chez les inscS.:tes 1 ii est cb:ls-titu6 pc:r Les t u b e s dr-: ;.,a) ;.l.i!jil.i,
L [!s tubes de XalGigI:., qui Lzriqnnnt dans ie sang oi! ils ext;aiant i..s _i !.I -
chct s qui sent ei-,suita i.ibve~:sris Laris i'iiitestin.
En deilors des tutjss I)L? iialpiijhi,
les insectes ont uri aut-.:c. ::royen
[.J:lU:!’
eli,,riner les d4::ilets [>Ii Les accumulant ciaris des cellules $j ,' 6. : _:_ 3 3. :': :j
Zi;l;CJléf2S néphr~oc!;tes.
7
- L'a areil L: ri r ~2 u 1 at 13 i r u
t; iculas
communiquant e:-itrR e.!ies ; elles varient
de 7 2: 11 .
- dans 1.a cI?erm>re ventrale, le vaisseau cil le 1r.iquI.i
ly,npiie jour un rfilc nutriC.ii'I
- et nnfin la r:hambze ~~.s~Qrale.
Les insectes ent un appa~:eil
~.~ospiratoire conckituf2 par des tubos
ap)Jelés trach8cs qui e»nt
des tubes -ccrpPis d'aij: qui sti
ramiFient :jai:,: tout !:s
1~2s parties du corps, LE~; l;ra!;hécs ctouvrent au d e h o r s p a r
d e s ~:!~J.i'i:.:es ai-~-
pelés Stigmates. Le nombio de stigmates vûiie suivant les insi;;ctus ; 1.1~ p?us
suuvent, il y a Ii3 paires de stigmates : 2 paires de stigmates tllil~:Cla:i(JUus
et E paires
de stigmates abdominaux, un dit que I'appar~i.1 ~~espi2r2t~iïle est
hLlopneusti.que,
tiuand il y a '1 pairz d;t s.tigmates,
on dit que 1‘appa:,:ci!. 1 ;?S[Jii'a-
tciire est metapneustiqui.
Chez les insectes aquatiques, LJ. n'y a pas de stigmates du t.i.,Ut,
1
-. 'appareil îespiratoir:s est Ait pneustique. Les échanges gazeux si: Yont UJ
niveau des téguments qu'on appe1J.e des tcachés, branchies ou iji:an.:iiies -
trnchbennes.
9
- Les qland.es endocrines
C e s o n t
d e s g l a n d e s qui Yevetsent le liquide cc la s6cr6t;ii..rr; tians
1s milieu interieur (dans .L’R~rnoly~lpi~c).
Le produit de s é c r é t i o n des g7andes
endocrines sent les hormones.
Les hormones
influer~cent le milieu phyeiologic;ue,
Les glandes endoczinus sont situées & l'avant du CO~~S,
/Au voisinnage de ltocsophsge, il y a 2 paires de glandez ond;-1cui,lc!::
rlue l'on appelle corps
ca~diaquesot corps allates. Il y a ~3 ia 1.i.milc: icritrc
Ls t@tc et ic prothorax
une i,aire de glandes qu'on appelle glandes cr!phaii?-
thoraciciues.
‘
0.’
“:
.‘,i
.
16
4 . 1 - !~6v~ioppcrnent ries i n s e c t e s
l_-----------l---_--l__l__
1) -
..-
-
-
-
- l e dr?ve:.opperncnt h o m o m o r p h e e s t d i t smétabola s i 1.c jwne
e n g r a n d i s s a n t n 'acc~uie~L p a s d ' a i l e s ( s a n s rildtaiilc~~p!;irs:-s) j;
- l e
dévo.I.~pperla;-1.k. horno;~orphe sst d i t pnu~ometak~ol~: s i 2.0
dével.oppo:;lont conciuit ,.: u n a d u l t e a i l é .
D a n s l e c a s hOtE!ri;lO~pile,
3 n d i s t i ii cl u e 2
surtes da dC!vC?ii:,p!,o~ai~nt :
L a mue ii;iagi;ialc 3i.1 ?‘adulLe s o i t d e l’enwElupj32 riz l..û
nymphe (imayo).
Cjuand i i
y a truis s t a d e s s u c c e s s i f s (larve, nymphe:? imqo; an
c1i.i; qua l'insecte est i, Inotüi;'iorpii3ses c:oi~pl~tes
O
U
d’eniupteryl:utos.
L o s insestes ,I motamorphosos incomplétas
O U egopteryqokus.
C h e z 1~s holoi:?etabOl~~~, (jr)i~isti,ngue u n e g r a d e diwersit6
:
- las larves mdlolonthoïdos (larves trapues) ;
- les larves éruciformes (ou chenillus
16pidoptbros) ;
- las larves apodcs ou vcrmiformcs (sans pattes asticots) ;
Chct les inscztos holom~%n~)olcs,
an distingui: 3 sortes do nymphe :
- les nymphes libres (coléoptùrcs) ;
- les nymphes momies ou chrysalides (lcoidoptèrcs) ;
- les pupos (Diptères).
La durée d'une g0ndration est tr5s variable :
- 10s g8nfZrations
qui se succbdent rnpidomcnt
sans diapausc :
on dit que llcspCce est polyvoltinc (pucerons -
mouchoa - thrips) ;
- 23 l'opposé, il y a
une soulc gCnérntion par an : on dit
quo
.ltespèce est monovoltinc. Quolqucfois la g6nération ducc plusieurs annbcs.
- 2 gfinerations par
an : on dit que l'espèce est divoltino,
Ouûnd i l y a 2 gSnérations p a r
a n , il acrivs que l e s 2 gBnérations soiont
&Lus ou moins dissemblables et l'on parle alors
de dimurphisma saisunniur,
2 - La
mue
"W-CI-
Chuz les insectes les mues sont déclcnch6cs par une double action
hormonnlo.
CG sont les collulcs
oxcrétriccs du protocoscbron
qui vont sccré-
ter
u n hormone et c e t hor,Vonc a g i t s u r les g l a n d e s cophalo-thoraciques ot COS
glandes cephalo-thoraciques ainsi activdcs vont socrétor
un hormono qui va
clficlonchcr
l a muc3 : cet hormznc o s t appcl6 :
ecdysonc.
A l’approche d’une
mue, la larve srarr@to dc manger, 12:~ co.llulos
do llhypodorme vont présenter uno grande activité,
ellr~s vont SC multiplier
r:t sncrbtur d u s vnzynos o u diastasca.
Css enzymes vont dig8rur
l'endozuticu l e
les cellules de Ithypodcrmo
vont produire une nouvullo opicuticule puis une
nouvelle cndocuticule, A ce moment çc produit la mue : la larve va faire
Gclatcr
Ilancienne cuticule en absorbant
beaucoup d'air par dos ligtws dc
moindre résistance
lC!ro dBchiruro
do ltanciennc cuticulu se produit au nivcnu
de la tOto et du thorax,
l'animal gonîle d'air sort çomplCtemont de son an-
cicnnc cuticule qu'elle abandonne : on dit que c'est urIo mut ou exuvio.
La mue est variable, mais crest le m@mc nombre pour chaque zspùcc
donnbe ; ~:l gLin6ral
les femelles ont une mue dc plus quo Les mctlos chez lus
criquets.
4 .2
- Moyens do dbfcnse des insectes
-----.--"--l-----1-"-----~-~-"-
1 -
la ddfcnsc active
11 y ci los insectes qui mordent,
toux qui piquent ou
injcctont du venin, ceux qui sdcrùtcnt dos salivos ou
de mauvaises odeurs.
2 - la; défense passiuc
Absence dc mouvcmcnt - l'inscctc qui ne bouge pas a
bcnuccIup plus
de chance quo l'insecte qui bouge,
18
3 - immobilisation rUflcxe
Insectes qui slattûqucnt aux foUill@s dos V6g6tûux
Insectes qui S’3ttaqUCilt XIX
cultures quo la nuit
Insectes qui rucouwront leur corp:+ d'un produit pour
SO c~cuouflor ou passer inaperçus. ox : las cochonillos
qui se rucouvrent de cira,
lus chrysomclidés qui s'en-
duisont le corps d'excrcmcnt.
Los Punaises qui so couvrant le ccrps dos dcbris animaux.
Les insectes qui se couvrent lu corps do fragment de
tcrro.
Des larves d'insoctos qui se couvrent de fourreaux (ha-
bitation - protection) ox. : les Psychidnc.
4 - Phenom$ncs de rcsssmblancc
: Homotypio et ilimétismc
o) Homotynic : ressemblance avec le milieu oh l'insoctc:
SC trouve p SO subdivisant en homomorphic et homochro-
mie :
, homomorphio : rosscmblûnce avec le milieu où l'in-
socto se trouve.
. homomorphio : rdsscmblnnco .zvec la couleur du
milieu où il se trouve.
b) Mimutisme
-
- : rosscmblancc souvont parfaito d'un insocto
ovoc un autre insecte,
Il y a mim6tisnc quand il y a rosscmblanco ontru deux insectes
qui ne sont pas dans lc m8mo groupo c-t qui vivent dans un meme lieu. 3ans
cotte rcssomblancc, il y a :
lc min6 =
celui qui sert de modèle
le mimant =
celui qui a intérf?t à rosscnblor B l'autre.
Pour quo lo mirndtismc soit cfficacc, il faut que les deux Lnscctos
vivent au nitlmc: ondroit (lo mimD et le mimant) ; il ost normal quo 10 mimé
soit plus abondant que le mimant.
3n distingue 2 oos do mimétisme :
- le mfmQtismle batosicn (quand 10 mimant ressomblo à un
animal bien protego vis-&-vis de SOS cnncmis : odeur,,
goot ;
- le mimétisme parasitaire : quand 10 minant vit aux ddpcns
du nimo .- Ressemblance du parasite ~VCC 1thBtc.
insoctcs prir.1i.L iwehl2nt s a n s a i l e s , C i dévci
i - L o s
Collembolus j sous Cl:isse CIOS Oli~f2C:ltO~lli?:;
vivant dans les milieux humides, sous lus pic:crrss,
les ailturcs mclrafchèras.
Ceux qui wivznt c-n compci-
griir clos termites çont dits te-mitopilil.cs.
interne
:-;~rcj3~nisntion
;5as d,: trach6es -
pas dn tubes de lialpighi nais une
p;.'.rc de giandos lnhialzs - i;dy i.me alimentai ::!t :
phyto-
p!-~ûgc - zouphaSe - saprophai;l. - duux SÏJUS-Oi'drES :
2 :.l
Simplifiée à c a u s e d e leur petite taille.
21
- les Diploures
dont les
cerques sont formées de plusieurs
a r t i c l e s e x .
: les CampocleoYdes.
- les Diploures dont les cerques sent formees
d'une seule
piéce solide et pointuo qui forme
une pince ?3 lYextr8-
mite de l'abdomen ex. : les japygoïdes.
4
-
Les Thysanoures
Insectes allongés , peuvent attoindre 2 cm. Ressemble aux
Eiploures
mais leur
abdomen se termine par
un long fila-
ment médian (paracerque) en plus do 2
cerques et 2 ou 4
styles ; ont des antennes langues filiformes. PiOcos
buccales apparentes du type broyeur.
Vivent à la surface
du sol et sont
pourvus d'yeux et pigment& ; les ~tégumerC.9
sont Bcailleux. On distingue 2 sous-ordres :
- les Archeognathes : corps
plus ou moins comprime
(aplati) et ont 3 ocelles en plus des yeux composas.
Vivent dans les écorces
des arbres
set 10s feuilles mortes.
- les Zygentomes : c o r p s deprimé a v e c l e
,thorax elar-
gi, n’ont
pas d'ocelles, sonL saprophages.
ex . : lepioma au "Poisson d’argent” qui vivent h
l ’ i n t é r i e u r d e s
maisons et dans les vieux
livres.
r3
- Ptéryqotes
2 sous-classes :
- Sous-classe des Paleoptères
insectes dont les ailes n'ont pas do région
jugale ;
articulation des ailes sur le thorax simple ne permettant que des
mouvements laté:rau:>c. Les piùces buccales sont de type broyeur et
le
développement est hémimétabole avec larve aquatique st adulte
aérien. Répartis en 2 groupes :
- O r d r e
des, Odonales (libellules)
les larves comme les adultes sont carnassiers y ce
sont
des prédateurs.
PiCces buccales
broyeuses avEc une tete orthognatho
yeux composés tres developpés et en plus 3 oc.olles. Le vol sst
puissant. L'abdomen allong6 et mince se tcrrnine par 2 cerques
simples, les ailes sont membraneuses avec
un tres grand
restau de
nervures. 17 l’extremite
du bord de l’aile, il y a
une tache
appe-
l é e ptérostigma, 3 sous-ordres
dont 2 importants :
- les Anisozygoptères (représentés par quelques espèces asia-
tiques);
- les Zygoptores
"ou demoiscllesfB se trouvent au bord de
l'eau ;
- les Anisopteres : au repos les ailes sont étalées - ospbcos
que l'on peut trouver loin dos points d'eau,
0x : les Brochythemis
les 2 ont une tache sur les ailes
les Ir' ont une tache bien discccète.
Ltintér@t des Cldonates c'est qu'ils sont carnassiers (empeche la
pro1ifératior.r des mouches et moustiques).
Ordre des Ephéneroptères (les Epheaercs)
Les nr:iultas vivant
trhs peu rie slalimentcnt pas. Les larves vivent
en eau douce ; antennes courtes de 2 articles ; yeux camposés et 3 ocelles ;
les ailes son% rnornbraneuses et fines ; abdomen se termine par 2 cerques et
un paracizrque,
Il y a 2 mues in général pour passer iie
la larve à l'adulte le
subimago et l'image. Cette double mue imaginale est spéciale rt cet ordre,
- sous-c lasse des Néoptores : ailes avec Ci-iZLilp j u g a l développd :
SC subdivisent en 3 infra-classes :
t
infrû-classe des Polynooptores (27.00Sj)
* i n f r a - c l a s s e
d e s Paraneopteres (57.003)
. infra-classe des Oligoneoptères (UOO.r100 au moins)
- Infra -classe des Polynéoptercs
!iles avec
champ jugal développé ; piCces buccales do type broyeur.
Toujours des cerques - d>~loppement paurometahole. 5 ordres rossentiels :
-
13rdrc des Dickyoptbres
-
On i:Bunit dans zet ordre doux kypas d'insectes : les Blattes et
les
iant os ; ils ont en commun les caractères suivants :
- antennes filiformes longues, ocelles présents,
cerqucs longs,
styles uniqu;?nent chez les mâles qui ont les piùces geriitales dissymetriquos,
Les porltrs sont groupees en masse (oothoqucs).
- 1:2s 3:att.zs
CO rps
aplati, bun&tre - activitU
nocturne - régime
do toute
sort2
mais surtout de végdtaux - répandent un liquide de rlau-
vais:? ndour.
e :; : Pcriplaneta brunnea
Blatterlla germanica
le genre
Gyna est infoodrj aux excréments de chauve..
s o u r i s
1~ genre Heterogamodes SC trouve
1;: où l'on cultive
l ’ a r a c h i d e
e n t e r r a i n sablou::.
- Les iiCint2S menerit une vie diu:snc, ro~hcrche-rt les endroits cnso-
leillés coloration : vcrtc, b;liQt: ou
L)L‘uht!,
ïegino alimentaire : proies vivantos L
sont carnassiers. ilu
moment d e l'accouplemont l e nale S C f a i t ti6vorcr p a r l a
femoll2,
Li;s femelles sont plus grosses
quo les m91o.s
Los males volent bien - les femollos volant peu.
; ! 3
- Cirdrc des Iscpteres : Termites
Insectes vivant en soci6t6 avec une divisinn du travail.
Une
socibté (de .tc:rinitcs comprend :
.. 1 coupfe reproducteur : un Loi ct une? reine ;
- les ouvriers s'occupent des travaux î
- les so1ciats se rüconnaissi:nt
grfice ü icur grossc t6t.e munie
dc; moycr de défense,
Les termites n'aiment pas la lumi&rc.
Les ospbces nuisibles : ccllcs
Qui attaquant lo bois et les
meubles
dans les maisons (CryptOtCriilG.5
b r e v i s )
Les especzs utiles : les Hacrotcrmos
qui constwisent des termites
de plus de 2 rn ; ces termiti&rcs
o n t u n e f f e t f e r t i l i s a n t s u r l a
t ‘2 r r c .
I Ordre des Chclcutoptares : las phasmes
Insectes allonges qui ont une allure
de brindille sont vEgQtaricns.
a c t i v i t é
nocturne!.
13 x : l’cspbce G r a t i d i a g r a c i l i p c s .
- i;lrdre d e s Orthopteres
T3to orthognatho - Pattes postbriourùs t.cZs
developpécs poLr saute:
.?,bdomon terminé
par 2 cerqucs simples. Ceufs pondus un ti UT' ou
pa: oothbques -, les génitaliû malts sont sym5triqucs.
2 sous-ordres :
_ L o s Cnsiferes :
anterincs longutis c-t f.Lnos ; a p p a r e i l d e ponto
ijos femelles l o n g , lus alyti~os :jcs ni9it.28 formont
u n a p p a r e i l
stridulant ;
-
Les C a o l i f è r o s
: antennes coUrt2.53,
appareil de ponte des fomollcs
COUïtOS,
les clytres
dùs nâlcs jamais transformés en appartiil
stfidulant.
üans la premier
sous-ordre, on distingue
4 super-feuilles dont 3
importnntcs :
- les Tuttigonioïdcs ou Sauterullzs : corps comprime, ccrques
courts, organe
de ponte des Fomollcs largo - couleur vercl%re :
‘i 2 [f, ï 2 : Phaneroptcra
:
- l e s Grylloïdcs o u G r i l l o n s :
c o r p s t r a p u , iorgans d e ponto
des
fdmcllcs mince on forme dlaigu.Lllc - coulo.Jr trunatro.
osp;;cc communi! : Gryllus
bimaculatus.
I 10s l;~yllotalpoïdes ou Courtiliurcs
(lui ne comprennent qu’un
petit nombre d'especcs, corps trapu St ass.;z allonge, pattes
anterieurcs fortement développees ; so rcncontront
dans les
snc!roits humides.
csn&co commune : Gryllotalpa
africana.
oans lc second sous-ordre une super
Fnmillc est trt;s important2 :
- les ,Acridoïdos
ou Criquijts : lus plus nombreux un ospi?c12s,
di! taille ct de COU~SU~ trks variabltjs ; certains vivent i>:l
bande
: CO qu'un appizllc 1~ gTé~â2ism~.
espèces rnigratriccs : Schistoccrca g~cgaria ou ,Zriquot
pc 1 i?r in
c r i q u e t a r b o r i c o l e : :Inacridium
mulanorhodon-non migratouz
135 petites cspi:ccs ou Sautoriau;: qui
son-l; frBgucr-ts
leocalamcnt sont Ciedalouh,
Hokcracris,
Hici.oglyphus, Catantops.
-
3rdro des Dcrmaptkrcs
COLpIS
allongé terminés p a r 2 corqu2s f o r m a n t uno pince à l’ax-
tr6mFtC do l*abdomon. Ce sont les fo~ficulos ou pcrcc4reilla
(forficula :
nom Féi.iinin) . Lzs a i l e s t r è s réduites
laissant l'abdomen ?I d6couvart.
csp:Jcr commune : forficulo soncgalcnsis sont végétariens cl; caus::nt
dos rléghii ç dans l e s c u l t u r e s
d o grnminucs ( m i l - m a ï s - s o r g h o ) .
Infra-classe dos Paranéopt&res
.‘\\ilos avec
c h a m p \\jugal r é d u i t 3
une sculc ;~EL~UT~, gén&ralcmont
inrJi5pcndantc s pzndant 10 v o l . Catégorie d’iriscctos p l u s Bvolués - n’ont p a s
de ccrquzs. Pirczs buccales habituellcncnt conformes-:s pour piquer. Tub~s Lit
i,ialpighi peu nombreux (2 o u 3 pairos;.
üévcloppenc;it paurométabolc gElnGral,.!-
rncnt ,
-~alrc d e s Psoco&a?s
i:spticc do tai.112
petit:-?, piOccs buccales d:,
type bruywr,
c.ntcnnas
allongées, ailor: m e n b r a n c u s c s 21 nervation réduite o u !~LJI.~> ; SO t r o u v e n t saur:
l e s picrrcs, l e s Bcorcos
des arbres, d a n s 10s habitations.
y2nrs :
Liposculis (El l'intk57iuu..~
cies boftus CIo collection mal
entrotsnues).
-i:zdro
des flallophaqss
?ui;its insectes
sans ailes, sont (;es pa::asit;s des Vartébrés ù
s a n (2 chaud ; SY nourrissent
de poil zt dc plunz.
ç:enrû : Trichoductcs.
-Grdrc dzs Anoploures
Inscctos sans ailes, dc petite tailla, a p l a t i s ,
antrnnos c o u r t e s ,
pi.Cccs
buccales sont piqueuses ou sucuusas. Leurs oc?uf:à sont collés aux poi.ls
do 1f;dts (toujours un Uanmifèro).
gonrc : Pédiculus (Pou)
-Ordre des Homoptèrcs
O r d r e i m p o r t a n t ct trhs homogone - C a r a c t é r i s é p a r : leur t@tc dz
type hypagnatl~a
I PiGass buccales do typa piqucuc, rGgi.nw
alimontzi.rc~ .~ypi-
~llLKli2~3t :Jasé SUIT
la sève des végétaux. nn distinguo 3 zOous-ordros
dont 2
sculornant sont inportonts :
1 - Saus-ordre dos AucR6norhynquas :
antchncs ccurtcs,
Oi,
ICS ,
c<
LéO? :-r, i’c
- 1.2s
cicadoïdgs CU Cigales : 1::s nblvs nnt un apy;arcil stridula:>t
- Ics Corcopoïdcs ou Cicadollcs : na zhantznt pas, mais sautrnt b.;c:,
les 1aïv2s sont aorionnos comme les ûc.Jul~:~~~ ot ont la ipa~ticu13riti3 do s3ci~-
konner Lffuni2
riiassc! écumzusc qui 15s camou?flc.
11 0 n r c :
Locris, Poophilus.
- 13s Jassoïdes ou Cicodolltis
sont souvent abondantos dans llhcA>u!>
au bord de l'eau.
c,cnro
: Empoasca, Cicadclln,
- les :icmoracoïdos carûct6risGs Paz lc! graild
3évclopprm0nt du pro-
notum qui a des formes curieuses. Vul-aircnent
cc sont les cicadollcs cornuvs
cx : ganrc Oxyrhachis
- 10s Fulgoroïdos c a r a c t é r i s e s par 10 f r o n t
procminont (trks p r o -
longé 2n avant) les hanches intcrm6diairos 6cartées.
famil.Les : Flatidûo
gcriri2 CryptciClata.
2 L
Sous-ordre
G8.s Stzrnorhynqucs
pztitc taille, antunncs longues - TOgUmc;lt mou.
!3uréc clrun2
gdnérûcion trP:s
courts.
!In les divise o r : 4 super-?ûmillcs.
- l.cs :jsylloïdas o u Psyllcs
pattzs postériourcs
sautzusus, ail~:s devulopp&cs.
g e nr 0 :
Psyllia
- lus
ilcyrodoïd<;s ou Alcurndus.
pattes postbricuros
sautuuscs,
ailos à r;orvation r6duitd ;
beaucoup sont nuisiblos nux cultures marafchkrcs (tomate -
melon) ou aux cultures i:idust::i::llcs (canriv 2.3 sucre - tctba~),
- les
;',pilidoïdcr;
ou PuclXons :
frbqu2mmant aptères,
nc! sautent pas.
t SP?CCS nuisibles a u x
cultures ; ~L’U:S cycles d o roproducticn sonL
trbs varies avec changcmcnt dlhlltzs, partî.lénogonksc et polymarphism:!.
cjcnrz
: Apkis, Chcrws, Gorralis.
- l e s
Cocoïdos ou Cochenilles
rosscmblcnt aux pucerons par leur mode de vie ; no sautont pas,
10s fumollcs sont toujours, aptùres ct souvent fixéos sur la poantc-hdte,
nombrousos espocos nuisibl.es mais cortaincs fournissent le laque, lc carmin
et la manne,
ycnrr : Icarya,
L e c a n i u n .
- _ürdro d e s Hétércptkres
Ordre souvcnt regraupb avec les
HomopL:>ros sous le nom général
dlHcni.ptGrcs
ou i:hynchotcs,.
r'i2ces buccales piqucusos sur t@te hypagnakhe ;
corps dQpri&, les
ailes
sc croisent à plat sur le dos. La li!rc paire Ufail.ss forme
des hémé-
1ytrcs.
On distingue 2 sous-ordres suivant lc mode dc vi0 ot l a t a i l l e des
~~~tciÎn~S :
- les Cryptoceratos
: à ûntnnncs courtes,
menant une vi0 ûquatiquc
toutes cûrnivorcs.
f-:,7nre :
Laccot rephcs
- les Gynnocoratcs
: 3. antennes longues, r&girna alimcntairc,
tantô:
vegétaricn, tantôt carnassier ;
vivant sur i;orrc
au à la surfûco
82 Ireau,
On distingue 8 familles principales :
- las FIoduviidao : t@te allongeo, rostre fort:, sont zarnassiL>rs,
c e r t a i n s s ’ a t t a q u e n t 2 l’homme (SUCE
le sanq OU transmctto
dos
maladies).
- les Cimicidae ou punaisos dos lits ;
.. les Capsidae ou Miridac : LrSs
nuisibles au:: cultures f ccrtaincs
cspCccs s o n t p r é d a t r i c e s ;
- les lygacidao : r o u g e s ot n o i r s o u dc tcinti! tcrnc ;
s o n t phyto-
ÇlhClCJCSS
ot nuisiblss surtout pour l’arachide ;
g 2 n i' o : Lygacus . Dieuchcs.
- lxs Pyrrhocoridac :
so c$isti.ngucnt des lygocidac par lSabscncc:
d'oc:?llcs
; leur
ÛccoUplomont dure trùs
longtemps.
gcnrc : Dysdorcus
- 10s Corcidao : t o u s
phytophages, partio ocmbrnncusc
d o s hdrnélytL::s
brillante,
rostre
souvent tr>s
long.
gonro
: Lcptoglossus mcmbranaecus
Anoplacnamis curvipes
- les oontatomidac : SC distinguont des 4 familles prdc4dcntos par
leur corps élargi et à antcnncs
d e 5 articles
;
s o n t phytophagos
ou carnassiers,
Lo mésonotum est tr&s
devclollpt? chez cortairs
pcntatomidc (gonro
Callidco) (füozara
viridula).
- 10s Cydnidac :: petits, noirs, ont urée odeur trés forte. Vivent
dans 18 sol, C;C n o u r r i s s e n t d e r a c i n e s . Trbs f r é q u e n t s l o r s d u s
pïcmikros
p l u i e s .
. tircirc des ThysanoptBros : Trips
2 13
petite
tailla, sont toujours on grand nombre sur lus
plantes
dont ils se nourrissent ; sont remarquables par leurs ailes frangées ut
,minccs , un corps
allongé, appareil buccal dc type piqueur - suceur,
2 sou s - o r d r e s :
- 1~s Tcrcbrants
: les fcmcllcs sont munics dtun oviscaptc : Ex.
Helioti?rips ;
- les TubilifCres
: les forncllcs n'ont pas dtoviscapte : Ex. Hapla-
t h r i p s .
I n f r a - c l a s s e d e s Oliqonooptarcs
Lr groupe
le plus nombreux cn csp~~cos,
CarnztSrisé
izssentitillcmont
par
le développemont holomi:tabolc ; les pièces buccales présentent
une yranci:>
diversité dc m8mu
que l a formi
d e s ailes q u i o n tzn géntiral
d o s nervures peu
rtombrous~~s. Champ
jugal des ailes réduit û
une sculc ncrvuro comme chez 10s
InrancsptGrcs
; lss ccrques
sont rudimentaires ou nuls.
- Ordre
d e s Coleoptèrcs
Lo plus nombreux cn csp&ccs (300 5 4i)U.UOO osp&ccs
connues).
L e corps est cn général fortcmcnt sclc:ifié
avec 10 pronoturn bien
apparent 10s a i l e s d e l a Grc p a i r e s o n t diffErcnci.éos
cn é l y t r e s
souvent
trtis d u r s , ordinairement
j u x t a p o s é o s s u r la ligne
m6dianc d u c o r p s et rccou-
vrant ios ailes
dû l a
soco*ldc pairo, mcmbr~~neusos e t rcçlliécs. Les pihzes
buccûlos sont toujours
du type broyeur, 10s occllcs
absents.
4 sous-ordres
- Sous-ordre
des Hoteroqastra
- les 11zlacodcrmtzs
: corps
mou, antennes simples, taras ont
5 articli!s,
famille : lampyridac
genre luciola
- les Hétcromhres
: tarses
ont 5 articles,
ontcnnos simples
tarses intcrm6diaircs et postériwrs o n t 4. ar-
ticlos
Famille des Ncloidac : cantharides
(Epicûuta - psalydolytto - Cyancolitta)
13 genre Mylabris
- 13s T o n û b r i o n i c a c : noiratrcs,
n3 v o l a n t p a s .
genre
: Zophosis, Triboliun,
- 10s Lagriidac
: corps
pubcscznt ut 10s Anthicidac dont cortaincs
cspùcos sont mimutiqucs des fourmis.
- les CleroPdes avec la famille des cleridae sont carnassiers,
antennes en massue. Certains snnt floricolzs, d'autres comme
les iJocrobia vivent aux dépens des cadavres dc5ssechés.(rat -
pais9on sec) ;
- les DascilloEdes
: en général corps aUon+, rktréci
en avant
et en arrihre,
tarses ont 5 articles, ûJtc3nes simples dentées
ou pectinées :
famille des Buprcstidae+genrc
S-i;ernocera
- Sphenoptera
famille des Elatcridae ou Taupins.+genrs Tetralobus
renferrne les espticee les plus grandes;
- les
Cucujoïdes ou Clavicornes dont
les représentants sont de
petite taille avec les antennes renfldcs en
massue :
famille des Dermest idae *genre Ljermestas
famille des Bostrychidao+gcnro
,\\pate - Sinoxylon
famille des Silvaniidac +nuisib!!es aux denrées.
EX
: genre Oryzaephilus
famille des Coccinellidae.-+Zpilüchna
chryssmelina.
- les Chrysomelidae :
vivent aux ddpens dos Veuilles 2.1 tous les
stades.
EX
: Aspidomorpha cincta.
- les Bruehidae : se nourrissent
do grainus de légumineuses,
Ex : genre Pachymerus cassiarz s'attaque aux ara-
chides genre Callosobruchus et Caryedan.
- les Cerambycidae :
les adultes longicornes
ont de longues an-
tennes et diverses espèces sont de grande taille :
CX
: genre Pctrognatha gigas.
- les Surculionidae ou charançons :
Ex f genre
Sitophilus ozyzac s'attaque aux graines
de riz les Cylas
s'attac'uent aux patates.
- les Ipidae ou Scolytidae at les PlatypodidEc vivent dans le
bois, les Brenthidae vivent sous les écorces.
Sous-ordre
des Haploqastra
- les StaphylinoSIdes : t a r s e s o n t 5 a r t i c l e s , antenr:es simples
plus ou moins renflées :
famille des Staphylinidac*gcnre
Stonus - Philonthus
- les Scarabées ou Lamellicornes : antennes cn lamelles, se nour-
rissont de
bois, de feuilles, dn fruits,
de détribus vététaux,
Cependant,
la plupart
appartionnent à la famille des Scarabacidae
avec diverses sous-familles :
- les Ci,-,ir;dzli;-laa
: ;l~mdibI~los tranchantos ,
,
‘...
32
Jrdrc d e s Névropttiros
- les Moyalopt~~~:ns : l:~rwe a q u a t i q u e 21 a p p e n d i c e
FL> s
Ll!iil:‘.r- nLi;JX
ûïticulf5s Lx : g131nrfJ Sialis - Corydalus.
- les ïlapiiiciiop-i;.:rl;s : do petite taille ot 3 pronotu,i a!.Lc~lijG
l e u r s 1û1v~;s s o n t terii:strSs : LX :
g e n r e Eaphidia.
- les Plai7nipziirl0s : 031~k
plus importants,
plus r!ivorsi.;‘i6s,
Les larves
sont souvcrit -Lcr;cstros,
parfois ûquatiquos,
Les :'iy r mcloir
iii ci a c 0 U FOU C i;Ii Ii0 ns : ressembl3~1-b
UUX L.i.iI?SJ..lI;.;eS
EX
: lus :jalpartis.
Les :isi:alapiiidas : ont d03 antennes trC:s lcngucs t oï:iI.:-iG.i:; an
massue ; les %arves vi*Jcnt au sol,
tes ravisscures comme celles c:cs ;iantes.
Ce sont l e s
phry-anes, ,.~ztits
insoc%es 5 a l l u r e ci5 pû~ili!,!?.
Les pieces buccales dé:ivenS du type broyeur. Antennes lcng~'cs
et fines, les larves aquat .Lques
vivent riens
l e s faurrea_rn C/U 1 :r!ilCs 0:lb C:iIi~lS-
trtiit ,
Ex : ChOufflal.!,pspi:;il:! " iJecC!tiS - Setoc~cllirP..
Ordre
des Lépidoptcr.es
LdS 1 épi d o pt b 1 o s ( 'l iJ i.~ . 31.1 Lr c s p !I c e s c o n nu c s > c o ns I; i t u L I rt 1. os 11 21 -
;3illons et leurs 1ûïvcs : las chenillr2s
- arcire c a r a c t é r i s é i:tiL> 13. prd~e~-~c~?
dt&c;aillcs rec0uuran.t tout l a c o r p s e t s u r t o u t 1~s a i l e s .
L e s pi.~cc:s .;clc:cales
dos adultes sont modifiées pou;
P2rmr:r unie trompe suceuse
enrouleo en spii'al.2
ail r e p o s .
Les antennes peuvent e-t:c rit: ?arncs tr8s diverses.
Dimorphismo secucl
souvcnk important.
3r: distinQue;:â 2 g r o u p e s ~itiilSr::'t13S :
Groupn dfinse;ctes hétcrûg&nu trbs d i v e r s i f i é ,
:? antcnnzs ,ii: ;“tii.‘ine
variable mais rarement cn massue, :i VO1 génGralcnont
nol:turnc (papilions de
nuit: .
Les tietcrcrarcs .sc sukri.:ivissrit en 13 super-familles c;U 72 ;‘amillcs ;
Iûs principales familles 2 connaitrc etüni; :
- Les Zossidao
: les cl~onillcs creusant des galeries dans :i.es
branchus dos arbres ; s'attaquent au caféier.
E :: : Xylon.tes armsircrqi.
- Les Tinoidue ou T::igr~es vivent aux dbpens Aes subskances vCg0-
tales ou ani.malGs.
iïx :
Tinea granclla (Tciinc cies grains)
- Les Psychidao : les chz:lii.l(;s vivent à lli.~-rtericuz dc i'our~c:aux
ornés de débris végétaux.
L--X
: Kotochalia junodi (aCtac/uo le flami3oy;lnC)
- Les Gracilariidaa ont LI(:S chenilles qui creusent rues gaia:ics
sinueusrs 5 l'intériouz cItis feuilles (chcn:i~llas minasses:: .
cx : Acroccrcops Jifasciata attaque le cotunnior.
- Les Tortricidae
: le.5 clizzrii.Lles enroulent 1.es fcui.l.I.c;j (chenilLes
tordeuses).
Ex : Tortrisu dinota (attaque le cacauyerj,
- Les Fyralidae (Pyrales)
CLlmptoilt
environ li1.3OO osp!:ucc dont Cor-
tain6s sont nuisibles aux cul-turcs ot aux cienr0es crk!:c:pws6es.
Ex : Syllepta, C.J:rcy.Ca, EpheStia,
Les Nymphula ai-k d;?s t:honilles aquatiques.
- Les Geometri:<ae /ou ?1lalAnes, chenilles trt.s allongees i.1 ~rombre
de faussas paktcs réduit (cl~cnillcs arpenteuses)
- Li?s C~JoctuiCue (~ic~ctuu11os~ constituent la famille !.a plcr~~ impsr-
tante des 1Cpiti:,ptwcs pn? la nsibro des espbcos (ilG.tj!IU> ;
certains gcnros so:it remû:.quables par Jieur tailll? (ilzr.!i;utj:
par
leurs ccïulsurs (Oprridercs - Chrysodeixis) ou par les lié~dks
occasionnés (La~hygma - Carias).
- Les Arctüidon (ou Ecailldsj sent souvent viwcms,rt c..IIc.::GE.
Ex : Utetileiscr prrlci-tc.ï!.3.
- Les iIomt>ycidac : dont les CiJCO!ÏlS
fournissent la eoia.
Ex : 3ombyx mari ?
- Les /Itlaridaa (ou I~aturniiciaej de grando tailla, avol: 6~3 fi.:ail:ir:s
orBl:!ét?s.
& : Llpiphorü I)wtlir!iao (Lhsr-ii1l.c
SUT' le juju:..iio;l
Girina iJui;yrc~spe,.~mi (nuisil3le a u
!<arité>
- Lcç Spnir-igi:Ja:: ( o u !J!)hirlx> v o l p u i s s a n t ,
diwersos q,[;(;cs 0 llk
u n e tr$s lür~e répa::Lition.
Ex :
Acherontia atrupos (sphinx tete-de-mort)
Hl2l?SC
coltvolvuli. (Sphinx du liseron)
Lophostet;ws :1i;malini (sphinx du Sûobab)
Groupe d'inscctcs rfioins nonbrou::, $1 antennes ::n massue, si; 1:
activité Jrdinairesent diul:no (papilloris do jour>
'1n distingua
2 siiper-Fam.iILoc
et 13 familles :
- L e s Hespuïiidûo : antcnnos Lr.5~ écart6es à l e u r B a s 2 ;
S~:~I~
généralement hïunâtics et .je potitc taille,
ix : Sa-Pûngesa, Zorb.
- Les i:)apil~o!~~Td 3~
: n'ont qu'uno nervure ûna.‘.e aux ailes 0 t ’SS-
t6rieurcs
; renferment les plus grand8
papi.i.13ns du ~LI~T :?i; dss
plus beaux ~VI?-: les genzes Papilio et Graphium
Pzipilio
dcnoleus d~inor~:~cus ( p a p i l l o n dz l’oranger’,
- L e s z?ieriJae : o n t en ~~Qnéral l e s a i i e s
b l a n c h e s o u jauiios avec
une bordure c,t tif23 tachc,s noires.
LA :
3elcnois, Colotio, ‘Curema
En : Oanaus chrysippus Copié par
le Nymphalidae i-lypt,3.1mnus nisippus
- Les tlyrnphelidao : ?cs p l u s d i v e r s i f i é s d e s p a p i l l o n s dc jwr rerx~r-
qcrables par lors couleurs.
Ex : genre (Iharaxies - ;?
soudacraea eurytus
- L e s Satyrldae : de
'Laide Isrunâtre
Ex : :jicyc,lus,
Jrdre des Uipturos
$uelquoe '1 zL).:jrjI? espcces ;:onnuos. Chez ces insectes SI:,I'.D .13. jJfC-
mitire paire d'ailes eçk incmi,rarieuso ot fonctionnelle ; la sec:7:-l:.;l: il@i ,:
rcprésentéc par deux petits ;J:~i~L.I~C?fllC?llts appel6s "bali;nciors".
Appareil buuca?.
C;C type suc3ur ou piqueur.
LGS Crach c&ros
Ont le
corps 1j14& ralsncht trapu,
lua ûntf3nni:s courtos I?C ;A:::
palpes ciressés.
On distitkjuo 2 groupes :
- les Cycl~;rraphos pour
lusqucls la numphe Ç'SUV~C gar un
c l a p e t circulnirs L
SOil lI!Xtr@iilité ant&rieure.
- l e s I’luscidoe s o n t d o s m o u c h e s L~U s a n s s t r i c t (4.L2;; r!spi:r.c:s\\
c:X
: P;u SC0 do mest iua
: domestiqua ct commuri
StcJmOXyS CalCibr8nS
transmet lt3 bacille charbonneux
- 1~53 Ulossiniiiaa so0-i; 12s rnouc~~~:s tsd-tsé q u i s o n t l u s aggr;i-ks
uectuurs dc divcrscs trypanosomiases
EX
: glossinr: palpalis transmet la malodio du sommeil.
- les C~llip~lnritiae
: nmuctlos 2 J.arves carnil/omr”
L ‘3, n&ç&’ ‘3 p / j a (7 ,-: C’
2-u >
parasitus
cx : Sarcopt~nya ot C~lliphora
m o u c h e s à viande
1 es 1ciLVCS
I.:Ordyiû~Jia ünthropophaq
: vers d u C2yof
Ruchnorofnyia ll.Jtcc,la : v e r s d e s cases
- If?s Tazhinidac : lwvcs parasites
d'autres insockùs
EX
: Catce1i.i: - Phryxa.
C ’ e s t apr<:s c e l u i d o s coléo!ltures, l ’ o r d r e 3.e
p l u s import:~r;i; p a r
1~ nombre d-s ~sp6cas (25ii.clGc1 ospùccs d6critcs).
C'est lù OU l'on trouva las sociétés d'inszctos les nlcuc organistias
et le psychisme le plUs
dkVclopp6,
Pi&c%s b u c c a l e s d o typr: hro!lcur-lécheur g l e s a i l e s soct n2mbrarieu-
ses à nervulation rGdui.te, 10s a i l e s püstBrisures t o u j o u r s
p l u s pet.itti!s q u o
les ziles a n t é r i e u r e s ; il. y 3 t o u j o u r s 3 ocollcs e n
p l u s d e s yeu:< r.ot:q1os6s
les oritennes
Soi)t de forme osscz u;lrir-i;Jl.c.
Gimnrphismo
S~:;UC~ souvent trcs ûccentuC 42t SB compliquer dans diii'é-
rf:rks cas par ltcxistc(Ic~ Jo castC~. ;~héi~io;iltines dti part1Cnoganhs:: ~‘rJ(;u~nks.
!!n distingue doux sous-ordres :
- 10s ,!\\pocTitcs : plus r;umbïcux, abdomen pédoncule, i.ar-V~S apotJcs,
r
:
(‘?
c..
I, !,. -.. r. .< ‘;,
.;’ :;:>
:
”
:
b) -crites
mod r:
do wic t.ri:s varié, se subdiviscrlt ;!n deux stirics :
- ics TQr$b~ants ou parte-taricro
- Los ~izulQatos ou
prto-aiguillon.
Les tore:-Irants : ont des antennes avtic un niti;b;rt’
variûb.L:2 d%rticlos
( au m o i n s 12) e t 1~s ïerncl.Lcs
ont une tarière PtlrrOiS
tI%ùs lohg.Je.
. les I:yniiJoïdcs : ailcs à norvütion r6ciui%a, leur taillo en yénérni
inP6riourf à 2 mm ; leurs antennes ont do Ii: a 78 articles., Cer-
t a i n s provoquollt 1.3.
f o r m a t i o n SC
g a l l e s zhcz les VGg6tC!UX, d’ZlUt:PSS
soiit parasites do larves d'insectes,
1:::
: 1:yrlipid3.e avec 1s genre CyllipS
- Les Ichn~umunoZtlos : antenncs longues ot t‘inr:s ,jamais coudÉles
a v e c i.ic nor,lbrtiu:< a r t i c l e s ; l e u r s ailes
,rtnt ui~i- ï,c!ïvati:317 imp.Jr-
2.,Xltc, lzur ohdomcn p l u s o u m o i n s
allongé se to2ImilÏo !;C?l: Uni? kû-
I-idi-P > plus ou rroins longue chez les fomcllos. Tous sont pcii,asit2s
Cie iorvos dfinsectes (chenilles).
L 6‘ s
.I c u 1 C at 0 s
Gnt iles anter:nes de 4 ti 13 articles al; les fecl~olles o,:t un air.uil.l.nii
en relation avec UI-ie glûÏ~2e A vanin ; il y a ‘7 super-C-‘aiii.iLles :
- 12s i]Bc, il y :o ICI 00 : 'sont des pr&datours h nezbntiun alaize rGduita
ix : FamiiZs das t36thyl.idac
Famille des Chrysidaa : coloration matailique: bleue, verko,
viol~etic ou rocgo.
. les Scolioïdcs : o n t d e s p a t t e s r o b u s t e s adaptces
CIU ïouissagv
et sont prédateurs do divers inseCtes.
Lx : famille dos Scoliidae
iamilla des îlutillidae
- les F(:jrmico!ideL; sont les fourmis vivant
toutes en soci6tAs
. .
coinpreïinant des rcinos OC; d e s ouvrIsrosI
cx : f a m i l l e dE!S Floneridae~i~altothyrous tarsatus
f a m i l l e rlc.:s i/orylidae3,genrn
Eciton a;,ierizain
genre
?.rwmmn africaiil
I‘ûmi Il0 des i’iyrr;licidae~-ronra iqossor
fa!nil.lc des Formicida(: +gen+o
~8:l~~;OllU~US
r
qeiire i Oriilli:r3
C:c : ::O iCIpi lU S
4 1
v -
P2fSCNTATIOI? GE LA SALLE DE COLLECTION
La sa112 ;.1-, collection de L'IFAN est unc salle de 15 m de long
sur
6m de large, bi.2~ aménagée et bien entretenue, 13ioil &clair$e et clima-
t i s é e ,
Elle dispose do 12 groupes d'etagères où sont placées les bottes de
collection classeos par ordre, famille, genre et espCco ; ces mdmes boftes
sont numc$rotées ci2 1 ?r x boftes,
ce qui facilite aisément les Techerches
qu'on effectue sur les insectes.
La lumiùre est seulement utilisée pour pénetrer à. l'interiour de
la salle ; La salle de collection est toujours sèche car l'humidité Q$ant
un des plus grands ~~C~OU::S do destruction des collecti.ons rlrinscctas.
La lumi2;o Irop vive altàre
aussi les teintes toujours delicates
des insectes.
VI - TRAVAUX PR,",TI IULS
1 - Maration des insectes récoltés
a) les insr-ctes ayant conservé leur souplcsso nakuro, il est
Facile d o l e s é t a l e r a u s s i t ô t a v a n t qu’ils n e p e r d e n t l e u r
couleur,
b) les ins!?ctes qui ont été conservés trhs
loilgtemps, il est
indispensable do leur rendre
leur souplesse p:imitivz car
vouloir
les monter 2 sec expose S des grovcs
rnécomptcs.
P o u r l e s gzossos
especes ( c a r a b e s , scarabcities e t c . . .) elles
doivent @trc ramollies entre
14 heures et :>8 heures.
Far
contre les moyennes et petites esp<iccs (Lepidoptèues, Hyme-
'
noptores, no-ttent beaucoup moins do
temps .1 s’assouplir ; il
faudra
donc les surveiller pour
qu'elles 11~3 s'obimont pas rapi-
dcmunt (trop ramollies ou attaquées par
des champignons),
POUï les Sicrolépidoptbres,
quclquos heuro:? do présence dans
le ramollissoir suffisent pour les obtenir souples.
Evite? a u s s i tic m e t t r e
d a n s le ramollissoi.: trop
d'inscct 3s et
surtout d'osp,)ces différentes.
2 - Préparation
d'un ramollissoir
-.
D o
prefdrcnce pïondrc u n c r i s t a l l i s o i r d i t Ci “CnïClL7;i1’ jJi 1’07
m e t
une épaisseu: du dou:: doigts de sable fin ; ce sable doit r!?tïo stérilisé
auparavant et puis humecté sons excès drcau distilléo ; y ajuutar 2 ou 3
gouttes de créosote do het:ro ou d'essence do miTbanc puer évita- la produc-
tion de moisissuios.
3 - PréparoLipn d'un pot de cyanure (A. Villie::s)
nou r prçl?paroz-
un pot de cyanure,
il
suffit d'avoir du cyanure
d a p o t a s s i u m i n d u s t r i e l en morceaux ( 3 o u 4 s u f f i s o n t ) . ;\\V~S du plåtre h
m o d e l e r ; faire
uno bouilli0 assez consistante pas trop cepondant pour
pouvoir la verser dans le
flacon. Déposer les grains
dc cyanure
de potassium
dans
10 fond du flaco,l, 'verser par-dessus la bouilli2 de pl3trc, jusquI&
une hauteur dc 2 cm cnvi.r,sn
; attendre qu'elle oit faii; "priso"' puis verser
uncorc 1 ou 2 mm Lisune nouvelle bouillie de pletkrc pou:: CLSSU~L:~ plus d'odhb-
rcnco 3 la masse.
llOU~ 10 SéCilClCji>,
laisser
le flacon ouwurt au solui1 pondant six
5 huit heurts au moins afin qu'il ne reste aucune
Lracr! drhumidit6 0. Çay~rii
Entomologiste consaillc Lui :
de d6poscr du plUtrc sec sur lc fond du flacon ; du mcttzc au-dossus Les
grains dc cyanure, cl<: rccouvzir dc pl?,trE soc on trissant avec un petit
pilon ; puis humsctcr avec un pinceau imbibé drcau Et ~ippuy6 SUY la paroi
du bocal.
;~IJ and ;ES i
nscctcs seront
bien rangds
dans ia bofto, mcttrfj dans
un coin de 13 irJ:;fCc uns Louic! de naphtaline piquGc stili~~rne~~I2 ou qu2lcjucs
3 - C0nservatiOn %Os insectes a Sec
Uans In pa2tic tJc!s travaux pratiques, 21 pari; llCtalngc d*in:ssctes
j'ai cl3 ma rk:fGreL sur lo::; livras
mis h notre ~'IiSp~ILiitj.OiÏ pOLIl‘ tr?.itt?r L3J
autres chapitrus.
A l'issue du cc c;tag<, aussi, an 8 subi des irlterrcLati3;1s d~3riEaS
FOUS tester le
niveau de -dre
connaiss3ncc en cntomolrrgic.