I, S, R . 1.4. ‘W c - :a> ...
I, S, R . 1.4.
‘W
c
-
:a>
1
AGRICOLES DE
-+-
UEPARTEUENT DE RECRERCHEi/ SflR Lb SYSThMES
AGRAIRES ET L’ECGNtWE BE LA PRODUCTIQt’
i’
CJOOO3i~
:
RAPPORT A#WL 1886
DU PROGRAkE DE RECmCB SUR LES SYSTWES
DE PRODUCTIUN DU DELTA DU. FLEUVE SENEGAL
.
. .
M. NDjAYE, J. F. TOURRAND, J.Y. JAUIN, Ph. &WBRECUT
.
%l- LES GR+DS AXES DU PROGRAWE..
2 - RECHERqHES EFFECTUEES EN 2986’ - RESULTATS OBTENUS.
3- COLLAB#?At’ION AVEC LE DEVELUPPlWENT.
4 - PROBLE@S RENCONTRES DANS L’EXECUTION DU PROGRAJMFi.
.
5-
*
PERSPE$TIVES POUR 1967.
9
6 - PUBLICA#TIONS ET DOCUMENTS DE TRAVAIL.
--
_
.
I N T R O D U C T I O N ”
le rapport fait le point sur les activitbs du pzqpmne
qecherches /eur les E&s tkmes de Production du Fleuve en 1986. Il donne
en méme tedps quelques rksultats des actions de recherche qui ont
é td mendes.’
Lfze bonne partie du temps a dt4 consacrbau ddpouittement: de
1 ‘enquête W 2 tage ”
et à la r&daction du rapport. Ainsi tes op&qtione
de rechercie SUP té terrain ont btB Aduites au minimum, le probke de
financement 8 ‘4taqt posd au ddbut d’ande.
Ijes que2ques. r&3u ttats érpos438 dans ce rapport seront repris
.
‘plus en dktlail dans des publications ult&rieures.
---
--
.
,
-30
1- LES GRANDS 4xEs Du pRocmwE
1
y tranefert de8 aaquie
de la Reaheruhe n ‘a pas don?&! tek &8ultatss
escomptS8 cdr d’uns part 1 ‘ea?p&imentation n’a pas tenu compte de la diver-
eit8 des eii&atione du milhu r&t, d’autre part te8 m&thodes de diffueion ne
semblant pae( Otre approprihe.
A! moment 02 se prdparent d’ùnportante changements : passage de la
86tpte oulta@ d la double culture, ddeengagement de la SAED d’un certain
nombre d’at$vitPe (approvieionnement en intmnts, cmercialisatkn
de la
pwodwtion wiaee*e) qui doivent 6tre tranefMe8 aux 8twtUtW8 pa~eannee, il
paraCt indie#eneable
de merw des &Mes afin de mieux
ddfinir 1s cadre dans
legusl doit $ ‘opdrer la produotion en vue d Gae meilleure rentabilieation dee
i~eeti88e?W+t8.
C’tjet
en fonction de cette probUmatique gén&rale, qu’un travail
p6&diacip~$uxire sur les 8gsf&ne8 de production a &d d&narr$ dane le tilta.
Ses
obj’ectifs! sont :
- Mlieux uonna~tre le fonctionnement des a~stdmes de production
pal/sana et ds’ leur8 kue-syat4mee (de cuttum,
d’4levage) ainsi quq c$&i
des organisat~ne pa&sannes qui les
regroupent.
8
- *poser et teeter en collaboration étroite avec les reoher&es
t
th&natiquee et le ddueloppement, des modifications dans ce8 eyst&ee, wmpa-
tiblee aveu 14y objectifs
dee paysan et ceux de 1 ‘dtat afin de val&ieer les
ressources dioponibles et leo inve8t’i88ement8 en cours. L’oaoent &ant mie sur
la duubte cu&re, l a diversification, 1 ‘JZevage et la valor+ation de8 SOU~-
p r o d u i t s .
- Udfinir les
modtzlitds de tran8feh de ce8 m&fioation;a.
- P4oposer et testrr avec le d&eloppement des fonts
d’organisa-
tion8 payaand! susosptibles ds g&rer elkwn&ee lea am$wage?n&nta e t l e e
Équipement 8 dcjn8
de8 oond%ona &?o?wmiquee Satie faisantes.
- Fo’wir a= rsuherches 3mont u dee 8 Umente de Af lexion pour
orienter leur81 acti0n8.
2 - RECNRtMESEFF~CTtlEES E N 198&--RMutrATs OBTENUS L-
/
2.1
- CAI,EïW?&
D’ACTIVITES
E
. L&n4e.l986 a QtB wnsqcr0e ma partie au dgpouillement.et L4 la
r$dact$on d u rc@wrt sur 2 ‘enqu&e nv~lluge”.
- 4 -
. un isuivi par~llaim a dtd reconduit pendant 1 ‘hivernqe 88, mais
n’a concemk q& les parcelle8 en
doubZe culture dea concessions suivtss.
i
.
le ;suivi zootechnique a && W en Sèptmbre 1986.
. Le” essais e n station pOPtC& 8%~ 168 téchniquee tWltWZ$%8 e n
double culture ;de r{z ont && reconduit8 en saison skche, chaude et hiverjuxge..
. Le4 essais en niilieu pa@an ont dltd conduit8 pe&ant le8 trots
compag?aes : coetre saison ohaude e$, hivernage pour le riz et contre’saison
fro* p o u r l a jtomate.,
^
. DB~ eru&es pO?aOtuelle8 Ont &d effeotu@es, elle8 poptaient sur :
- 1 identification de8 oontminte8 de8 syst$mes d’blevage ‘;
r,
- la cmercia~isation’ des ovhe d &z veil ‘le de %a Tabaeki
('fnautons de Tabaaki’v;
- le SUiVi de8 PriX d&e pdUit8 WPC&h%P8 du?28
Qacatr’% MUPdd8
d u D e l t a .
2.2 - DETAIL D& ACTIONS DE RECHERCRE EFFECTUEES ET RESULTATS
- Dépouil Fement de 1 ‘enqu&
0
*
cette enqUe%% a permis de disposer de ?aombmu888 &nn&es 8ur la
s&uation agri#ole et socio ~oonomique du Delta.
- L a ouatûva
En raison de8 mouvement8 ancien8 et r&ents qu le1 ts
pp&:
a conru.48,
la pbpulation actuelle du Delta 88 aompo88
d’ethnies tr& diveme8,
mais le8 wolof\\
peu1 et maure dominent largement.
Répartit& de, la popu,lation de la sone d’enqudlte suivant les ethn2es :
I
I
I
I
I
I
I
I
I wolof
I
2382
13,8
1
32 871’
,
61,9
,
I
I
1
Peu1
1006
12,5
I Maure
853
-1 18,s 1
6,2
1
280
,
6,Z ,
5,7
,
: 300 1,
0,6
l
418
,
0,8
1
I
I
I
1
i
Total Delt/a
1
Il,3
I
1
1
*I
5
3
0
5
0
J
1
0
0
,
l
-5-
*L ‘agriculture : Bien que tr& aléatoire, l’agriculture traditionnelle
i.
(cultures pluv:ale et dg dkcrue) est toujours pratiqu(e, mais 8on importance
dan8 les syst+eo de productson a fortement diAau&.
Avec le8 CU2tU~e8 ir&de8
hia, tomate, maraMacqje! on note dati certain8
village8 de8 s~st~mes‘de Culture vari~8 regrOUp& en quatre grande type8
(cf carte p. 61) et afinis uomne suit :
- Tbpe I : Absenae de culture : ce3 sont d6s vit Gages pour te8Q&? t8
soit il n’y a $nnais eu
de culture (villages maures) soit etles ont &&
abandonnde8 d cau8e de 2a sdcheresse. Ce type regroupe 7%
de8 village8 du
Delta.
- !P&e II: : Cultureu diveree8. mais pas de riz : Ce
eont .des
vilJuge qui nT’ont pas
encore aco&s atu
amanagements.
118 font de8 CkltW’e8
ptu’??alBs, du $arakhuge et de la tomate. Ce type regroupe 20% des ,vi~llages
reCsj;nsd8 dan8 jl!e?lq&e.
- &e III ) Ris
plu8 auf&s csultures : Ce sont ,des villages ayant
aecP8 aux p&&tres SAED .ou disposant de foyers de $%~na.~ C8 type raeeemble
62%
de8 Vi2tczgc$8,’
- !l’y@e I V : Riz se&? : Vit @e8 n rayant pas ao& 63 1 ‘eau douce
en saison skhe ou d’accke difficile, 11% de8 village8 sont de ,ce type.
*
*L ;d levage : !dois systènes dDé2evage sont mi8 en dvidence.
La taille du cheptel est àmportante :,en moyenne
.
y
l
Lejsy8tame
t%wre
15 bovin8 et 2
petit8 rwninante par fami22e restreinte. La production laitibe
88 t essent ie 1 t+wnt autotximmmde.
Lkti2isation je8 8OuS-produit8 comne aliment8 d’aptioint en p&rkd% + S&%@-
re88e e8t ta'&incipclte mOdifitXdOn 8uTVenU% dan6 le8 8y8td8&Uq d ‘ble’bage maure.
Par ailleurs tiactiyitd de ocMJRBrce a p1$8 de lPimportan& au sein du 8y8t&ne
de production devetint, ainsi
2a dewkme coqosante principqle.
. k&j 8yet&lIe8 d’ite&Zge Pei41 : Le8 systbes de productioti a&&28
I
de8 peu28 du D$lta aasociek agricukre et dtevage ou emploi 'sala&&
et
d2evage et on &?trouve aes& fr&quer+nent 198 trois
composantes au sein d’un
m&ne
syat&ne, dlors que le8 systkmes de production traditionnels &aient bac+
8W t ‘&WCl#.. .:
--
.-.
on a
distingud Feux tgpes d’d’tevage ches l e s Peuls :
. Le bond 4 tevage, ‘dans teque 1 J en plu8 des sous-pr@uits igsu8
!
de8 cu2ture8 i+g&err, on procade d de8 achat8 d’aliments.
.
Carte
3’
:
LES SYSTEMES DE CULTURE DU DELTA
.
.-.l .l .. l
.
I
!
a)
i
I
;) -
:
- !P
- f
-
.
.
:
.
-
A
.
*
vi11agm cu1tivmt umiquœ-t
du rit
_
- 7-
1
8
.
Lq petit 4tevage, dam teqwt ta
taille du chepta t est r4duite.
L’ktevage y cyppara2t,‘coPnme
une QctivU secondaire par papport uux cuttures
irrigu8ea ou bux act+itdgs extra-agkthotea.
- Le aya
f&p d ‘d tevrige vi 1lage0ia : !Waditionnellement l a wmpoaante
t
dlevage des abatémea
.de production &a;t caract&riake par Zs oonfkge pe&anent
des
animau ab bleveurs peula
et mawea.
Actuellement on distingue deux aya-
.
t8mea dV te+e vi ttageoie t
. + ayat&me d Vtevage vit hgeois confS& qui ist en tout point oompa-
rabte au ayatme traditiontit et dont 1 rùnpoPtance a tendance d diminuer tl
cause des
di&onibitMa des sous-produits.
i,
.
Lp ayatdme
d’élevage vitbageoia int&gr&
Lpileveur aeawe h&ln&me
ta gestion de; son cheptet. Les
animaux sont alGnent8e en partie avec tee aoua-
p&&a ag2+0 tes.
te tableau c+deaaoua
donne tes effectifs pour tes diffhente ayathea
d’4levage da$ t e ‘Delta.
I
SYii273YES / sgkb 1 .Syat&e 1 SyftQms
*
, grand &le- 1 peftt bZs-
\\
I
, ESPECES
1
1 ‘,vage peut 1 Lu$e P e u t
I
\\I
I
I
1 Bovins
’
/
5
,qox
ho0
’
I
1
5
WX%
gsp
i
1
2 fl2W 040
i
, Petits
4 800
27 600 1’
‘60 000
, Ruminants
(8%)
(4621
, %?tss
I
[ ovine
21450
17%) [1
1 (5%) 750
23 450
35 000
1
(67%)
1
T&es
Î
I
,
I
1 Caprine
1
7; i 7 5 0
Î
9 0 0 0
Î
3 0 0 0
i
7 5 0
I
4 500
2 5 000
I
f?W 1
(36%,I I
(12%) 1
(3%) 1
i
(18%) I
i
T&es
,
*Les
activit84 extra7zgkootaa
1
Le+ tipacta sur
tes ayathes
de production aont varùzb tes 88 ton les
villages. Le, complexe agro-hduatriet de Richard-ToII a une inj’hence td8
nette. .aurlg, fonctionnement-&a s.@n~a Tai?s dea
vil tagee envimmanta.
- -
De marne les
kevenua issus
de la m2gration permettent aux paysans
n’aya?% pas
acc&a
d La @turc trrig~4e de subvenir
d teur . besoin.
La carte P 81 . . . pr4aente ka diff&enta @lea
d’attraction de la #&On..
I
-_.
;-
.
.---
.
<.--
_.-...
..+.‘T.
-8-
m.
--
-‘-1.
y”
.
.
.
.
._a...
-9-
- U~&?S aux~afnd?uageme?tt8 klldpoagricoks et 1 ‘im$ortcznce des
surfaces ad
des dispontiles ;
9@
l
- a+8 aux
du jeeri ;
t e r r e s
- la\\ nature et 2 ‘importance de 2 ‘&levcqe pratip# ; :
- lai prltsénce d’wr, centre agro
industriel polarisant
$a main
d ‘oeuvre vem b8 activitde e~ti0riewee aux
syet&nes & production,
Nousjavone &ai d&eni& sept 80~8 dont ta r&artition spat&+
figL2 8u.r la +arte p . IP.‘. , et qui 88 ddj%aiesent cmme suit :
I
,
. ,l 4 '#MURE" : aon% d’$leveur=s et de @au&erQants, avec tr88 pep
’
dtapiculture ; cette aone dewatt holuer tr08 raphryt,
puisque b@&ficiant’~ pirtir
de 1888 de’DÙma, et t&ant’dk&
’
j choisie
poitr ltinst&ilation d’ezploitants ~AU& a+omtqeg
extdrieurs à l a go*.’
/
.
. 2 ? YVIAh?&WNn: sone a#ant peu de cuhre8 hi434de8 autuel
(fouere uniqmwnt), ,et 09 20 pdduuttin mazdd&e, deet$de
au m&chd .de ‘Saint-Louis, est trh8 hnprtante i e’tte g&+aZt
. 3' :I. TROIS EIARfcoTS" : sone où il # a
ac&uellement tz48 Pei4
d ktititb agricole, ‘en rai.son ds lu 8&&ereese
et de la feme-
turc de8 ucmnes 1 raltientant en euu ; avec Dims, aettq mpm3
; pourrait btioher rcqddment ver8 une situation de tgpe uV$Ab@OUN*f.
. 4 :;HWIMPSAR": sone de cultures imigui$es, dl&Ievage, ds marq$&age,
et de cuttures ptuvkzte8. ~%eiy3 de tunate, 1 ‘I$&I, ta: bQe@ et
la riseris SAED & Ro88-Bdthio fown&ment un
certain nm&r%
d’emplois edad&8.
.5:
.-
- -.
il
/
. .\\,
r..
-
’
‘*
.
\\
\\
\\
\\
\\
’
.
,
..*
-
10
-
.
.
.
.
.
.
- 11 -
.6 1 “%IClMRQhLL” : sona d’influeme d e l a CSS Wompa&ie.
~uor&e ,+dgaiaise) , qui att +a la main d ‘tjeuvre vem ;8es
emplOi8 saladds ; du Po$nt de vw pwement apimle; tm4s
’
sous-aones peuvent Otre disti@es : 1 Ykest &wo&e ,ds la
pane “BGUN&-FLEUW”),
l’Est ‘(avfo u n peu de: F& ma&’
beaucoup de ‘tomate et de mara<ohage), et’ le u cNaonbo-@%iago,
avec tiaiculture et polyuulture), aone d’$~evage.
.7 ‘/,
: “LAC DE,GUIE?W’ : &On% & cultures pluvGlle8, de psahe et
de jardinage de dBcrue (mantic, lbgwnes) ; la tixiculture
_
est encore peu d4velopp4s ; d 1 ‘aven&, cette sone devrait
voir la part de8 culture8 irrigI4ee augmenter et.~voluen ver8
un tgpe “DIAh?DUl.JN” tout en aoneervant ces
sp$a<f kitde Ipche
et cultures pluviale8 de rente).
L ‘e+wmble des caractkrist~ques
les plus importantes de ces sones
figure au tabteau p. 12.
- Le sa& de parce1 le
l
.
ce suivi, a permis de mettre en 4vidence
la nécess$tb de ,ILi m+nisa-
tion avec une ]gamne vade
du matMe tractd. Celle-ci doit permettre de
- hi la r+ltedattage du riz de contre saison. La ,mise en p+qce des
cultures pluvfilea limite le nombre d’ouvriers agricoles qui 8
‘adonnent d
cette op&ration du ria d!hivernage et qui viennent des AgiovrS de 1 ‘intlrieur
(Louga). Pour: le! p&Mtre de Ngao, le battage 8 ‘est dgroul8 jusqu’en, fdn
Juillet dans jes &r&tiona tr4s difftoiles : le paddg ayant regtc Ila, qluie
avait gem& ; i
- alla pr&wation du sol. Faute de matMe ad@uat, elle n’a pu
dtre effectude ~2 Ngao, empMaant les pausans de faire la culture dthivemage.
I
Lori du suivi on a dgalement constat9 une infestation gMral488e
de cyp&rus d i fomtus.
Cette adventice trt3s petite au moment du tallage se dkve-
f
loppe-tre.s.*iiie et grrive
d *<ner-Le ria
d I ‘~piqr_i-n et verse .&ssus. _.Au-_
stade jeune, il peut être ddtruit par le propanil, mai8 d un stade avanbé, il
,’
faut utiliser ‘un herbicide d base de 2,4 D.
’
*
/
-_ _----A
- . - - -
CARACTERISIIQUES
II
..
0IANtXJW
1 (tmigrrtior)
I villrges I
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P.f. PJ@1
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pluie
i S S
I \\
- 73 -
*
”
*
- La S&i aootechn2que
!
IL. 4 d&marA én Septembre 1388 avec le8 petits, rumiyznts. L’oE(jectif
est double : /
.
r&xAl lir de8 donntSe8 quantitat iv88 en aootechnti &ara&trtaJ
ds
la reproductir&, df la croi8trance de8 j8une8) 8t en &O?Wmie de 1 ‘d 18we
(achats et ve#tee d’an+naux, rai8on8, de8tinakon8 et origine8 de8 fond8
. ...)
ndCei38aire8 p&r 1 ‘anal~8e de8 Contrainte8 et pour, la cunpr&hen&n de8 stra-
tbgies mises +a oeuvr8 p a r lers dleveure ;
. a+oir un kchantillon pour la r9alieatidn de8 tests et essais
en mi lieu psy an.
En plu8 des 7Il j
’
conceskion8, retenu% pour le suivi pluridieciplinaire, 1130
,
aut+we sont cdncetiss, ceci,, afin dk dispossr d’un nombre sqffisant
dfqn&tzwc
par 8y8t&e d~&levage~st bar tranchs d 'bge POU~ z+aliser de8,a?&al&8e8 .8tpti8-
tiqwea.
1
Nombre de conc)essions’, et d’anùnaux par s@&ms d’élevage.
I
/ Nombre de pe- 1 2odo 1
100
1
2010 , I
tifs rufninants
I
I
i
I
I
1100
’
I
6oo
I
I
‘,
I
I
Le syst&me d’>levage maure n’est pa8 encore
oon08rmtl par le suivi, mai8 cela
e s t envisagd
le8 maure8 d&iennent 30 p 100
de8 bovin8 et 20 p 100 de8
petit8 rmi
q8
du Delta.
!
- h8 %88ai8 +
station
118 bnt port& 8u.r le8 technique8 de pr@aration de8 sole’ Bn doble
riaiculture. L!‘accent est mie 8ur l’utilisation du pan
travuil du 801, de
façons euperf&ielles et du travail 80~8 eak Deux 8ucce88ion~ cultukle~ sont
retenue8 : ..rid de eaison 88ch&_chaudk/ris d’hivqrnage.. (avec la vari& K&$, -6
cycle court), bis de %aieon 8Bche froiddriz
d’hivernage ,(a& la vari&~ Sri
Maia~8i4, a ~+ie ttt0p8n).
! <
1
c
.
*Csrtainea co+e88ion8 disposlent d la foi8 d’un syst&me d ‘6levage
confid
et dt+ sl(stbk>rg d ‘8levag8 intbgd,
. e
/
- 14 - :
1
,
Les essais sont me& en grandes parce Iles (4 X 1000 mg pour la premikre
succession, 8 1 1 ti@l y2 tour .la seconde s2.4ccession).
Alter& avec d’autres façons aclturales, le non
travail du sol
i
apparatt tr&s yntdressant pour les intercampagnes od on ne dispose que tr#s
peu & temps (entre saison
s&he chaude et hivernage, et entre hivernage et
saison sache fdoide).
Une util.isation permanente du non travail est possible,
mais les risqu& d Gfestat ion:
d ‘adventices sont tr& Gnportants avec une
colonisation g ei In&alis8e de cyp&rus. Le travail sous eau a les infestations
d’adventiaes l&js plus fatiles.
Ces essais seront poursuivis pour dtudier les effets cumulds au bout de
L
plusieur ann&+.
- Les/ essais en qilieu paysan
j
'.,
~*Essais~ agronomiques : 11s portaient sur le ri?
et la tomate.
sw ris, les essais @aient ax&s sur le désherbage ahùnique, la fertilisation
asotke, les va&&& dt la .fertilieation NP sur
micro-paroelle.
pour le d&herbage chimique, deux essais ont &4,effeotu& : un, pour lequel
I
on comparait trois herbicides, : propanil Uuzbituellement zftilisg par les,
pausans), l e b agran PL 2 et tamaris + herbawl, deux rkkveauzproduits pr&o-
+
nisks pour combattre les uyp&us. Cet essai a et4 men.4 en contre saison s$che
’ a N@O et savo@e, dans la aolne
de Lampsar et en hivernage a Rdi&Bne dans
la sone de Rit&ard-Toll (Ouest ) .
Les Isultats obtenus montrent un bon oonttile des o~p&raodes par
le @maria + herbasol et le basagran PL 2. Avec le propanil, le contnble n’est
efficace
qu’en ‘cas de ddsherbage prdcoce (premkr mois de tigdtationl ce qui
est rarement 14 oas en milieu paysan.
t
Les aodts d 1 ‘hectare sont plus faibles pour le tamaria
et le basagran,
de 1 ‘ordre de 115 000 P/ha oontre 20 000 pour le propanil.
Le d&&me essai
sur le d&herbage portait sur le mode d’appliication
des herbicides.~ Il a &tS me& d Ndombo pendant l’hivernage 86. Il mn&&
deux modes d’ ’
q lication
de l’herbicide : m&thode paysanne : application loca-
litde, cherchant t? minimiser lescoi2ta de t ‘herbicide,. et mdthode vulgaris& :
application s&&natique, g&n&alisant le traitement sur 1 ‘ensemble de la parcelle.
/
L a
'uxi&e
.pr&sente des rendements sup&rieurs, mais du point de vue
dei
dconomique, l a remGre est plus avantageuse. Ceci dans les conditions des* essais
P
car il a Bt& tries difficile de faire pratiquer a u x pansans {‘rrgp-lication tooalitde,
n’at/ant pas achk le produit, ils avaient tsndance a faire un traitement syst&na-
-I
- 15 *
.
Laj fertil&3ation ,axotde.
d e omagne, dea &traintzqe d e
/
E
n
debut
derni8rea minutes (manque d’eau, retard danx 1 ‘e;ckcution’ des fcicona culturalea)
ont fait que
l& .miae en plaoe
a &tk tardive. Lors du euiBi en hivernage 85, on ’
a constate qd tes pa~aam appliquaient
de fortsa
doses de aemia
et d’axots
mdme en semis tardif. Pour
mieux les amener d raisonner
et r&$ater
le8 teah-
niques cultura kea, nou8 avons pen& qu’il &ait utile, dana le cadre dea essais
dialoguda, de taire quelque8 eaaaia
visant d r&juater les doses
d’axote en
fonction
du re$ement espbr&. Cet essai
a &d conduit d Khor, mais sur 15 par-
>
ce 1 les retenu8 / au d$part , 1 ‘essai n’a pu Btre mm4
que eur trois,
IR semis
dtant tardif, la quantit& d’axote a Bt4 Aduite d 150
kg/ha et en deux
fractionnement+, un : 2/3 a u dallage, 1/3 a la montaison et un dedhe, 112, 112.
Le8 r&ultata #entrent surtout
1 ‘&nportance de la Aduction de la dose totale
d ‘u&e en cas #e semis piif. Sur
les parcelle8 paysannes
Wmoin” où on a
apport& de8 doges atqbrieurea
a 1 SO kg/ha, on a not& un taux d’avortement très
tipohant fai+t chuter les Pendements.
I
l
. Leb essais vari&ttw : Dans tes essais de vdrification
me?%&8 par
l
1 ‘ADRAO dans li Moymne Va Il&e, tkie vari&tbe
de C~C le oourt : IR 9784 14-p
13-3, RP 4734,:UPR 307’ 7-l-l 438 ciont kliatingadea
par leur rendement dle&,
Noua lea avow: rets-s afin de lea ,&mpzrer d 1’IKP habituellement utilZaSe
dans l e D e l t a . ’ L’essai a dtd menti! d &tar ohex 4 pa&aas ‘ c h a c u n reprdseytant
6 un ,bloc 012 on b pu faire 2 r&&itions,
I
le8 parce
llea & l&&tairea
mssùryat
8 0 0 a
1000 m2. i
L ‘analg8e dea #onnkea est en cours, Iea premiers
rkaultats donnent une ‘bonne
.
perfo- hi IR 9784..
/
.
l
. La/fertilieation NP : C’est le protooole de 1”hivernage 85 qqi a
I
dtd reconduit,!maix deux aités
seulement ont &6 retenu8 : Diawar et Lamp~a~,
/
. Le/ essais aw tmats : Ila portaient eur la protection phytdea-
f
nitaire. Deux qziveaux de traitement : un, ne uanportant que des insecticides
l
et un deu&me) asaoaiant Enaeatioidea
et fongioCde8, sont t2ompd8 a un Wmoinw
pauean.
:
US Aaultata .fbtenu8 montrent 1 Snportanus de la date de mise en pl&e pour
1 ‘obtention de ‘rew&xnenta dlettia. Ce8 rdaultats m&atrent Qu’en ca8 de slia
tardif, un traiteme&
i:
~82/at&matique d~in8eaticide~fongic&ie F ae
&&tif$e pas
---car le-potenti+l de rendeqent-+e+ f&bte;
_ ._
.-__ ._
_-..-__
1
essais. xockschniquea : Ils portaient SUT la Valorisation ,dea
soua-produita.,Lea test8 &t é!td effecttia en fonction des dieponibilztde en
sous-produits Bes diffbenta érgatdmea d’&tevage. A partir de8 8ou8-produi,t>
disponibles (p,J
:ii!le dè rig et: son de rix) de8 t&zitements de hz p&Xte par
r.i.
‘.
.’
.
&nnbre de pa2/8an8 ayant participd fi de8 essais et 8uPface
moyenne d 'e88ai8 mis en place pOW CkUWy p”ySp” [4/0,30 ha)
Protection Phyto8anitairs
Dd8hePbqW
i
i
EP
i
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~LocalisatZon
-ch-unique
l
I
.
I
I
I
i
l
I
1
DIAWM
I
4/Q,30 .%a ;
l
7/300 m2
I
I I
/
I
k
I
I
I
I!
I
i
1. NOAO j
I
32/0,21 ha i
I- ’
i
I
1
.I SAVOId
9/0,21 h a
1
I
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I
I
1
,I‘
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i
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I
‘1
1
1 LMPsAi:
I
8/300 m2 I
I
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I
l
1 TEI~.> _
2/0,30 ha 1
I
I
I
l
I
I
I
1
I
I
I
8/9,50 ha i
410,25 ha
1.
I !DcMBo
I
l
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1
I
1
1
I
.plamR
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I
-1
3/0,50 ha
i
I
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I
I
I
I
I' .NVIETEUE
I
14/0,-21 ha 1
I
-1.
:.
‘,.
-1:
j
.
I
1.
‘-
.
- 77 -
Z~mnoniac et jpclr la m4Qaese ont &O effeotzA3.
/
. G traitement de la paille par l%mon~c
permet de faire w
,
&onomie de 8dn riz cmneroialisab
le ou à donner aw monoga8triquBs
(ohqvaux,
’
volailles) le jplu8 souvent sou8 aZJfnent&.
.
Lfadjonction de mdlasse 6 une ration d base de paille entraqne
c
une augmentat{on de la valeur &aerg&tique de cette ration et augmente &alement
ta
quantité &/g&&e et donc
m&tabotisde par atdmal.
- Les en@&tes ponctuelles
1
. L& enqu&es 8ur le8 syet&nes d’Blevage
;
.k
Lbbjsctif &ait d’ùientif$er et hierarchiser lee’ contrainte@ de8
cinq systkmes jd ‘t$levage mi8 en kvidence en 84-85. Ces oontmintes 8ont :
- \\La’8ou8 alùnentation de8 fumetles. Cette contrainte 8e fait
surtout senti24 dati le8 systdmes petit Jlevage peu1 (&p&rvu8 le plus, souvent
de bovins), 14 a#st&ne d’dlevage maure et le grand c)levage peul, pour 2eyuele
le8 besoin8 e4 lait (autocon8onwnation et vente) sont couverts par le8 petit8
ruminants. Af i:n de d&gager un.
excddent en lait, 288 6 leveur8 de ce8 8yst
*se procurent c+s 8ou8+roduit8 (son de ris
et tourteaux dkraohide) qu$$e
distribuent d !leur8 brebis. Les animaux affaiblie ou malades sont g$&a+ent
I
oa&$ment&8. ;
/
- Lep affections respiratoires en daison 88ohe froide wr le8 petits
I
ruminants. Cee’ affectione de twe bronchopneuponie concernant e88entiel+ment
le8 petits rûmlnunt8 et principalement le8 ovin8, le8 dleveur8 prati&en~ A8
acarif~catio?d au nheau de la t&e .aveo en g&&al de bon8 rdsultatq,
98
prklkvements e1fect,u&i ont, pe:mtis de .mettre en kvzdsnce d<ff&ents ag&ate
parasitaire8 ee microbiens roestres, :pasteurelle . . . . .1. 11 est Jg~lem&#
certain qw le! facteur t hérmique joue un rdle pr&disposant .
- ikf paN8ttO8e8 etier’W8.
Ce sont les tiques en 8ai8on 8PChe et
Z’es taban2dds +t moustiques en hivernuge. Il8 entra$nent un retard .de crois-
8ance de8 jeun+.
C%es, le8 &juine, on a not6 une 8019 alùnenta&on q&’ g$n&-
raie en
8aison~s&?he et de8 boiterie8 chronique8 due8 a’& f&
à une 8u@-
utilisation et
_....
'a
-.-si un.rdgtie al-&nt~~i~ d&fhient.-
.-.-: t
__ .
/
.
Enqzdtejmoutone
de Tabaeki
l
L’oh ‘eot2f Ptait de mettre en Wdence le8 transaction8 d’an- h
4
la veille de 14 Tabaeki et leur mode de conduite.
%
i
- 18 -
,
7 EY( milieu paj!. Le moutoh de tabaski provient du uheptel du &tage,
fp&pmnent Z’~n+nal abattu est un caprin mâle ou un animal de rkfomre;
~
~lquee tilevek mettent leurs
mouton8 de Tabaski à 1 ‘attache et 1 ‘embouche
avec des sous roduits agricole8 sur une courte p&riode (jamais plus de deux
P
mois). Dans lq pdriode prMdant la Tabaski, les ~l&eurs o&rCialisen’k en
foncttin de ldtuw besoins et on ne peut pas parler de sljeculatkon.
- En milieu wolof, le mouton provient soit du cheptel & la .oolesshn,
il est dans ce cas, mis a l’attache plusieurs mois avant la fate et alùnbntB
à l’auge, soit il est achetd quelques mois avant la fkte, g&a&ralement apz+s
la rdcolte de jria d’hivernage. Quelques éleveurs commercialisent des ovin
/
embouchks d
t {approche de ta
f&te. Il est fdquent que
des mouton8 de Tabaski
So*nt dtev&s ipour des parent8 ou amis rdsidant en ‘vit te.
i
- En milieu maure, lt3, on peut parter
de spBaulation, tes bleveurs
c&ercialisant ta p tus grande partie
de teurs ovins
mbtee ~2 ta wi t te de
ta
Tabaaki, lare
te8 prix eont ptus hauts.
+
9
De8 comnerçanfe maurea importent de Mauritanie de8 ovin8 par milliers el le8
comnercialieedt dan8 lee villes le8 semaines ptiakiant la Tabaski,
I
. Enqu&e sur te8 prix de8 produit8 mara&$Iers
I
.
Grâc/e au’ climat tr48 favorable et à
1 ‘existence de maroM8, le marat-
.
&age tend d se dkvelopper et & occuper
uneIptace importante pamri les cultures
de diversificjtion.
Cependant: on dispose de peu d’infomrations sur la production,
le8 prix et tes fluc&iationi3 saisonnE8res. Afh d e ddtennine~ ta dispon&ilitd,
1 ‘origine et ie prix ‘de vents, un subi hebdomadaire a Qt4 tan& sur quatre
marchds du Delta : Sor
et Ndar-Toute d Saint-Louis,
Rose-B&hio et Richard-Toll.
3 -
COLLMRATI C#l / AVEC LE DEVELOPPEMENT
c
Aveq la eoci&t8 r4gionale de développement, le8 relation8 sont’ ax&es
surtout sur le8 probi&nes t+hniques
concernant la production agricote et 1 ‘or-
ganisat ion de Q:t prod24oteur8.
Dans aette phase de désengagement, on
dtudie tes modatitds de trans-
fert des rdsuitats de la Reoherche. Ainsi
on cherche a associer le p tus ,possibte
-.
le8 cone&+te+ agrico tes dans-ta-geetion des ~e88a+--en grande8 parce 1 tes.-.-- .
POU t lhivernage 1986, de8 essaie sw non travai t du 80 t, $a ferti ti-
sation, les vari&&s et le ddeherbage étaient p&vus, mais
seuls tes essI+ a
Khor et Ndi&j
c
ne dont, noua avons parUsont pu &tre effectues.
.
/
‘..
- 19 -.
kg iheroheur8 du pr~grwne participent d la
formation de8 coneei~~sr8
agricoles en d spensant
4
des cour8 , en animant de8 discqe8ions teohni&es ; en
1986, cette pqticipat,ion d la fomation a concern4 les prob&nes de dia&wstic ~
au champ, pour ’ le ris
et le mats, au fonctionnement ,$es syst&nes de cultulre
pluviaux et de /d&crue,,/ es
% syst&nes dVdlevage.
’
/
Avec / la SAED et le8 autre8 piwgranww8, le8 &er&eure ont cidfini
un programrre d4 reaherche-dgveloppement qui entre dan8 ie
c@re de la, +&ubi-
litation de gr&ade p&im&es du Deit? (IRlfIGATION IV).
/
4-
PROBLEMES REN&!TRES m L’EXECUTIti W PROGRAW
l
Ce s+nt le8 m&mes Prob&es qu’en 1985. , il8 88 situent +4 niveau
de8 .%o??#nes et je8 moyens.
1
!
. per8onn+l de recherche :
LVquipe a
mettre en
plaoe a Qtke@core
inuomp18te e n 9 8 6 : le machiniste parti en Mai 85
n’a pu Btre remplao& qu’en
Novembre 86, ub 8ooiologue est en cour8 d’crffeotation. En Octobre 1986, te
programme a enbegie
tr4 deux dtfparts : celui
d ‘un agronome et du microOcono-
miste, le rempiagant
t
de oe dernier est en poste depuie Juillet 86, inaie tra-
vaille 8ur bon'm&moire
de confitrmation. Un autrs ag*onane est &gaimmt 8n
i
boum dIaffeo&ption.
.
. per8on{l
In
dlex&ution
Le progrcane a reçu un trotsUne ATE
en &@obre,
l
pour 1 ‘agro>zomi’e et 1~&30nunie,
il n$ a toujours pas de techniaiene supdrieurs
pour supervise+ de8 observateurs et le d&ouillement pr&liminaire, freinant en
partie llexplo{tation des donrdes.
j
fonde
‘: Le8
n’ont && disponibles qu’en Juin 86, ce qui a
en ddbut d’tinn4e. Les inveet iaeements’ quant a
eux ne sont to l
our8 pa8 dieponiblee.
k
5- FrFRspEcTIYEs &lR 1987
Suite qux r48ultat8 obtenu8 en 85 et 86, un progrwne minimum est
1
retenu.
-
.- ./
_--.
_
-. - .
.
Pob le 8ui7.6, on reprend le travail pluridi8~~plinuire af& de
mieux afinir
&e* unit&8 de pxwduction agricoles, le travail suant dté fait
jusque-la au n/Tveau de la concesstin. On cherchera ainsi d conna2tre le8 zela-
tiens entre un:‘tda
1
de produckion d’%ne m&ne unit8 de rhùienoe, mais aussi les
>
-‘
- 20 -
n
iI
I
diffdrents actiure au sein de lknit& de productions
*
I
*
Pour 1 fdleva& ‘I
le euivi-mis en place en Novembre 86 va se poursuivp+
1
.
Pc LT tee eseaÊe, ‘le r&seàu en milieu paysan sera 4duit. et’ on
cherchera à & cliquer le filue possible les coneeillers agricoles.
En station, le 1 eeeaie eur’ tee techviiquee oulturalee en doublé cultwa seront
arr&&3 provic Gwment .
.
VT z bonne partis du
tanp@ mra
ooneacti au ddpouil
tement dei donn&es
ce qui devra 1: rrmettre de d&zrrer l’dtude du fowtio?ent dS8 exploitationa
proprement dit !.
l
*
.
-.
.-
.
d
-%
- 21 -
E. CRAUFORV, P.i LAMBRECHT et Ah
: EnquBte ewp la disttibutùm et lktiZi+
sat ion des engraE8 au SgrZggal en 1984.
mpport .final. ~?A+ME, Dakar, Jû;itet 85; .
.
E. CRAWFORD et j P. LAMBRECHT :
L’&laborat&m de budgets ds culture.
(docment jde trauait).
IS@A, Dakar, 3986.
M. & DIALW ii
.
J. Y. JAMIN :
Syst&mes de produotion et ap&ebe ;
@&id@dU8 ?Wte8 Ipw, te8 p--t-@ &b&dutian.
(ContrZbution a ta zdfte
.
travail mr 1s~ rythmer d @
,
.
la ctat lule aprBs-lbarmrgs).
ISRA, Saint-L&&, Mam 15)68,
,;.
J. Y, JAMIN
L ‘agricu t turc de d&m+ dam la y& (h drr
Fleuve SMgat : tors outtumro t*i(*1ros
du, &zalo et du Fato.
1’
(Note a
t ‘attenth dee aoriseitZae’
ISRA, Saint-Louis, Avril 1986.
:
J. Y. JAMIN
vatue du
Fteutre.
:
Note eur la eituatùnz,a&ue~le, le@ perspsa-
tiw, rt l88 r~0herohQs a
sntwp+dm.
- ISRA,
-.--- _ Saint-touie,% 1986.
-.
---.-
J. Y. JAMIN/ :
situatioM a&uelle de l4l double ou;eture
7
dana l a Vattbe du Fhwu Shbgat.
ISR4, Saint-Louis, Jui t tet 1986.
l
- 22 -
J. Y. JAMIN ei Y. NDIAYE :
Analyse des essais N.P. sffectuh
en, hivernage 1985 par 1 %qu@e
SpstBme Fleuve sur ris ++uif.
(Note provisotrs d 1 ~attentiun de la IEDl
ISRA, Saint-Louis, Juillet 1986..
J. Y. JAMIN ei 1. F . TOURRAND :
Rapport Sw’ le8 V O 1 8
eff&dS du?28
le Delta en saison s&he 1$84/1985 poqr
9
1 ~inventaire des botins, 1 %wentaire
d0s ocrmpeanlsnts Peu1 e t Mkwe, 1 %wen*aire
d e 8 UUttUPSS mmtaW*s.
ISRA, Saint-LouQ, F&&er 1.886.
P. LAMBRECRT 4
H. iUN BRANDT :
Note sur 1 ~Olabomtion des budgets :
de cultwe, 1 ‘analuse marginale,: et’ l+s
,
am&3es
de varùzbilit& et de seizsi$~it&
Wr&entation p o u r l a fom+on des
,
.
conssitlers apiaotes).
ISRA/ADRAO, Saint-Louis, Juin 1?8&
M. NDIAYE et (
Y. JAMIN :
R&ultats des essais de saison saahe
f&de
84/85 sur tomate.
ISRA, Saint-Louis, Mars 1 iM6.
.
M. NDIAYE et 4. CLERGET :
Observation des @&ures ir&gu&s
i
et tRZd~th?tSth?S.
Rapport de mission dans la Vall&e du
Fleur S&&al, 17 - 21 F&XP&W 1986.,
-
-
---c
- -4SRA,- SaW-LQu&--F&w2er U86,
a
1
J. F.
!KWWAND
J . F . TOURRAND
Elaboration
d’une tplogie
des 8@tlbrrsB d’blevap.
Conmuniocxtioncucshinaire
I S R A
de Sali i”oh4dal8w loe S@
ISRA, Dakar, F&&ur 1886.
4
P . L~MBRECRT :
~pix st disponibilit4 des
produits
maratah dam les marddb du Delta
du Flsuvs S&a&al, de Novmhu 1385
a Juin 1836.
ISRA, Dakar, 1986,
.
.
, J. Y. JAMIN :
La dowbls oultuma du ri8 dan8 la Val*
de Flet& S&&a1 : Mythe ou R&xlit& P
Cfhauniaatton au s&&naire
CIRAD
16 au 10 Dgdrs Montpullbw 1986.
ISRA, Saint-Louis., Dbmbre 1986.
J . Y . J#MIN stj J . F .
!lWRRAND :
I
Evolution de 1 ~ag&culturs st dB
1 ‘Olevup dwl8 unu POne de gravdrp
amhagmants, lu Del& du Fhwve
SO
Canmcnioation au dminrrire CIW
16 au l$ L4#amhw
Montpal lier 1686.
ISBA, Saint-Louis, Ddaembm 1986.
__ ---. I_i _
.-
_
.-
---- -
_---_ .-._
_--
.-
-.__
J. Y. JAMIN, Pj LAMBRECRT
Le Delta du Flsuiw S&&a1 : Analyse
M. NDIAYE et .J; F. lWRRAND
de la Situation Agricole.
.’
ISRA, Saint-Louis, D&&mbre 1966.
. l
‘8
‘..
. A N N E X E :
(LISTE DU PERSONNEL SYSPRO - FLWVE EN 1988
‘b
I
I
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NOM
SPECIALISTE
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S O N K O R.
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* A g e n t s d u p r o g r a m m e HII‘d
rauliqur Agricole
.
- DCpart e
n
Octobre 198(
*