AURIFERE
PORTAIL DOCUMENTAIRE DE L'INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
Elaboré par
L’Unité d’Information et de Valorisation des Résultats de la Recherche (UNIVAL)
'Un Accès Unique aux Ressources d’Information
et aux Fonds documentaires pour une Recherche d’Excellence
'
A partir de cette page vous pouvez :
Détail de la série
Série International Journal of Biological and Chemical Science
Documents disponibles dans cette série
/ Moustapha Guèye
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol.1, n°2. Effect of planting date on growth and grain yield of fonio millet (Digitaria exilis Stapf) in the Southeast of Senegal [texte imprimé] / Moustapha Guèye, Auteur ; Ghislain KANFANY, Auteur ; Amadou Fofana, Auteur ; Mamadou Guèye, Auteur ; Kandioura Noba, Auteur ; John Hamman Grove, Auteur . - April 2015 . - pp. 581-592,. Langues : Anglais ( eng) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Date de semis, Productivité, Fonio | Index. décimale : | F011-Culture des plantes vivrières et industrielles | Résumé : | A field experiment was carried out during the rainy cropping seasons of 2010 and 2011 in Southeastern
Senegal. The study aimed at investigating the effects of sowing dates on plant growth and grain yield of fonio
millet (Digitaria exilis Stapf). Seven planting times (from early July to mid August with 7-day interval) were
laid out in a randomized complete block design. In general, plant growth and grain yield were significantly
better for the early July sowing dates compared to other sowing dates. However, tillering capacity and grain
size were not influenced by the sowing date. Highest grain yields were obtained on 15-July planting date with
an average of 1,111 kg ha-1 in 2010 and 1,269 kg ha-1 in 2011. Compared to this planting date, the delay in
sowing reduced grain yield by 50% in 2010 and 87% in 2011. Detrimental high rains to seedling vigor,
decreasing sunshine during the plant growth, and rain deficit during the reproductive phase were among the
main limiting factors for late sowings. Hence, the first fortnight of July could be recommended as optimal
sowing period for early maturing cultivars of fonio in Southeastern Senegal.
|
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
IS1500002 | F011-GUE | Article scientifique | UNIVAL | Section Périodiques | Exclu du prêt |
International Journal of Biological and Chemical Science. Effet de la densité de semis sur l'évolution du coefficient d’extinction de la lumière et de l'efficience de conversion du rayonnement absorbé par le couvert végétal de deux variétés de mil et de cycle differente [texte imprimé] / C L A Siene, Auteur ; M Betrand, Auteur ; S Ake, Auteur . - (SN) : ISRA/CERAAS, 2010 . - 18p. ISSN : 1911-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Mil, Densité de semis, Variété de Mil, Cycle Différente, Surface Foliaire | Index. décimale : | F011-Culture des plantes vivrières et industrielles | Résumé : | La production de la biomasse chez les cultures est fonction de la quantité de rayonnement intercepté ou
absorbé par le couvert végétal et de l’efficience de conversion de ce rayonnement en matière sèche. Dans cette
étude, l’effet de la densité de semis sur la croissance et l’interception du rayonnement ainsi que son impact sur
l’évolution du coefficient d’extinction de la lumière (Kdfjour) et de l’efficience de conversion du rayonnement
(εb) absorbé en biomasse ont été examinés. Les variétés SOUNA3 (améliorées de cycle court, 90 jours) et
SANIO (traditionnelle de cycle long, 120 jours) ont été utilisées à 3 densités de semis (D1 = 40 000 poquets.
ha-1; D2 = 12 346 poquets. ha-1 et D3 = 5 917 poquets. ha-1) en 2006 et 2007. L’indice de surface foliaire (LAI)
a été calculé à partir de mesures de surface foliaire. La fraction de rayonnement photosynthétiquement actif,
transmis sous le couvert (PARt), a été mesurée et le Kdfjour ainsi que le coefficient de conversion (εb) ont été
calculés au cours du cycle. La densité de semis a affecté les valeurs de LAI et de PARt. Le Kdfjour a varié au
cours du cycle, mais n’a pas été affecté par la densité de semis. Une corrélation positive a été obtenue entre les
valeurs de Kdf jour et celles de LAI qui est d’ailleurs beaucoup plus importante pour la variété SOUNA3 que
pour la SANIO. Il a été montré que les valeurs de Kdfjour sont plus élevées quand il y a des panicules.
L’efficience de conversion a varié au cours du cycle, mais n’a pas été affectée par la densité de semis.
Néanmoins, elle a été plus forte au niveau des fortes densités. |
| |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CR1000001 | F011- SIE | Article scientifique | CERAAS/Thiès | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science. Utilisation des plantes indigènes à effet insecticide pour la protection des denrées stockées contre des insectes ravageurs à Boukoko (Centrafrique) [texte imprimé] / A L Toumnou, Auteur ; D Seck, Auteur ; S Namkosserena, Auteur ; Ndiaga Cissé, Auteur ; Kandioura Noba, Auteur ; Mbacké Sembène, Auteur . - (SN) : ISRA/CERAAS, 2012 . - 11p. ISSN : 1991-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | PROTECTION DES PLANTES ET DES PRODUITS ENTREPOSES
| Mots-clés : | Plantes Indigènes, Protection, Denrées stockées, Insectes Ravageurs. | Index. décimale : | H119-Produits et équipements de lutte contre les insectes nuisibles | Résumé : | Les paysans utilisent couramment des plantes indigènes pour protéger les denrées des attaques des
ravageurs en Centrafrique. Des enquêtes ethnobotaniques effectuées auprès de 79 paysans centrafricains à
Boukoko ont permis de collectionner 9 plantes indigènes à effet insecticide potentiel. Les données d’enquêtes
ethnobotaniques ont été traitées par une analyse factorielle de correspondance dont les deux premiers axes
expliquent 84,75% de la variance totale. Ces plantes se repartissent en 7 familles dont les Méliacées et les
Huacées sont les plus utilisées ; les écorces étant les parties les plus exploitées. Le dispositif utilisé pour les
tests biologiques à l’égard de Sitophilus zeamaïs et Tribolium castaneum est un bloc complètement randomisé.
Les variables mesurées sont le taux de mortalité et le nombre d’insectes émergés. Ces variables sont soumises à
une analyse de variance modèle fixe à 4 facteurs dans Minitab 14. Les résultats ont montré qu’Afrostyrax
lepidophyllus et Trichilia gilgiana sont les espèces les plus prometteuses. Le logiciel RIZA a été utilisé pour
calculer les CL50. Trichilia gilgiana appliqué à Sitophilus zeamaïs et Tribolium castaneum après 25 jours de
traitement a présenté respectivement une CL50 de 5,13 g/100g et de 5,30 g/100g de spéculations tandis
qu’Afrostyrax lepidophyllus a présenté une CL50 de 5,60 g/100g et de CL 5,86 g/100g. |
| |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CR1200001 | H119- TOU | Article scientifique | CERAAS/Thiès | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir pdfURL | | |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CR1200002 | F031- GUE | Article scientifique | CERAAS/Thiès | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science. Effet du chlorure de sodium sur la germination de graines de Ricinus communis L. [texte imprimé] / Bassirou Diallo, Auteur ; Arona Ndiaye Samba Samba, Auteur ; D Sane, Auteur ; T. Diop, Auteur . - Dakar (Sénégal) : ISRA/LNRPV, 2013 . - 11p. ISSN : 1991-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Ricin, Espèce, Biocarburant, Tolérance au Sel, Teneur en sel, Sénégal. | Index. décimale : | F011-Culture des plantes vivrières et industrielles | Résumé : | Ricinus communis L (ricin) figure parmi les espèces du Programme biocarburant au Sénégal. Sa culture
sur des terrains incultes (terres salées) constitue une alternative pour éviter une concurrence sur les terres à
vocation agricole. C’est pourquoi le taux de germination (TG) de sept accessions de graines de ricin a été
étudié pendant 15 jours sous des concentrations croissantes de NaCl (0; 20; 50; 80; 100; 150 et 200 mM). Les
résultats ont montré une large variabilité de tolérance au sel au stade de la germination. Les accessions 3 et 8
ont été très sensibles avec des TG réduits seulement à la concentration 20 mM NaCl. Les accessions 1, 6 et 7
n’ont pas toléré la concentration 50 mM. L’accession 5 n’a toléré que les teneurs < 80 mM. L’accession 4 a
germé dans les milieux ≤ 100 mM NaCl. Elle n’a manifesté une perte significative de TG qu’en présence de
150 mM NaCl. Elle a été la moins affectée par l’effet ralentisseur du sel sur la vitesse de germination. Ces
résultats permettent de dire que le mode d’action de NaCl sur la germination est de nature osmotique et/ou
toxique. |
| |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
PV1700001 | F011- DIA | Article scientifique | LNRPV | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science. Effet de la mycorhization et de la salinité sur la croissance, les réponses biochimiques et la productivité de Jatropha curcas L., cultivée sous serre [texte imprimé] / Elhadji Malick Leye, Auteur ; M. Diouf, Auteur ; F Ndiaye, Auteur ; B. Diallo, Auteur ; H. M. Diagne, Auteur ; T. Diop, Auteur . - Dakar (Sénégal) : ISRA/LNRPV, 2012 . - 20p. ISSN : 1991-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES ET PRODUCTIONS VEGETALES
| Mots-clés : | Pourghère, champignons, Salinité, tolérance. Productivité, Jatropha Curcas | Index. décimale : | F600-Physiologie et biochimie végétales | Résumé : | Une étude sous serre a été menée afin de déterminer les effets de différentes concentrations de salinité
sur la culture d’une provenance locale de Jatropha (Nioro) inoculée avec trois souches de champignons
mycorhiziens. Après six semaines de repiquage, les plants étaient soumis à un stress salin pendant soixante
quatorze (74) jours. Des mesures avaient été effectuées sur la croissance et la biomasse des plants et des
analyses réalisées sur l’accumulation de sodium et la teneur relative en eau des feuilles. Les résultats
montraient aussi qu’en présence de la mycorhization, Jatropha tolérait mieux la salinité jusqu’à 300 mM de
salinité et d’eau de mer diluée (50% EM). A des concentrations de 400 mM et d’eau de mer pure (100% EM),
les plants n’étaient plus dépendants de la mycorhization. Les observations montraient également que la
biomasse des plants inoculés était généralement plus élevée que les plants non inoculés et l’accumulation de
sodium qui est négativement corrélée à la teneur relative en eau des feuilles révélait que les champignons
pouvaient aider Jatropha à ajuster sa physiologie pour atténuer le stress et par conséquent améliorer sa
croissance et sa productivité. |
| |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
PV1700008 | K112- LEY | Article scientifique | LNRPV | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol. 12, n°1. Évaluation de l’efficacité biologique d’extrait de neem (Azadirachta indica Juss.) comme alternatif aux pyréthrinoïdes pour le contrôle des principaux ravageurs du cotonnier (Gossypium hirsutum L.) au Sénégal [texte imprimé] / Banna Sané, Auteur ; Djibril Badiane, Auteur ; Momar Talla Guèye, Auteur ; Ousmane Faye, Auteur . - [s.d.] . - pp. 157-167. ISSN : 1991-8631 Langues : Français ( fre) Catégories : | PROTECTION DES PLANTES ET DES PRODUITS ENTREPOSES
| Mots-clés : | Cotonnier, ravageurs, effet insecticide, Azadirachtine A, Sénégal | Index. décimale : | H100-Ravageurs desv plantes - Généralités | Résumé : | Les insectes ravageurs constituent une contrainte majeure à la production du cotonnier. En vue de trouver une alternative à la lutte chimique contre ces nuisibles, l’effet insecticide d’un extrait d’huile de neem (Azadirachta indica Juss.) formulé 1% a été évalué au champ sur les principaux ravageurs du cotonnier au Sénégal. Azadirachtine A 10 g/l à la dose d’un litre à l’hectare a été testé en comparaison avec un insecticide chimique Profénofos 500 g/l à la dose 1,5 litre à l’hectare et un témoin absolu (non traité) dans un dispositif en bloc de Fisher. Les observations et mesures ont porté principalement sur le niveau des populations de piqueurs suceurs et de chenilles et l’incidence des carpophages sur les organes florofructifères du cotonnier. Les résultats obtenus révèlent que l’Azadirachtine a permis de réduire significativement (p<0.05) les populations des ravageurs ainsi que leurs dégâts causés sur le cotonnier. Azadirachtine A 10 g/l a été très efficace sur les chenilles (72% pour les carpophages et 91% pour les phyllophages) tout comme le produit chimique. Cependant, les résultats sur les piqueurs suceurs restent mitigés (60% pour Bemisia tabaci et 32% pour Aphis gossypii). L’extrait d’huile de neem formulé 1% (Azadirachtine A 10 g/l) peut être utilisé dans la lutte intégrée contre les principaux insectes ravageurs du cotonnier. |
| |
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CN1800019 | H100-SAN | Publication | CNRA/Bambey | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour le pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, vol 8, n° 4. Evaluation et amélioration du comportement de Atriplex lentiformis (Torr.) S. Watson en milieux salés au Sénégal [texte imprimé] / Elhadji Faye, Auteur ; Mouhameth Camara, Auteur ; Mamoudou Abdoul Touré, Auteur ; Abdou Mbaye, Auteur . - 2014 . - pp. 1697-1709. Langues : Français ( fre) Catégories : | RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
| Mots-clés : | Atriplex lentiformis, mycorhization, salinité, stress, Sénégal | Index. décimale : | P342-Bactériologie et microbiologie du sol : azote dans le sol; inoculation, rhizobium, micorhyse | Résumé : | La salinisation des sols constitue l’une des principales menaces à la productivité agricole dans les zones estuariennes du Sénégal. La mycorhization pourrait améliorer l’efficacité de la méthode biologique de désalinisation des sols. Atriplex lentiformis associé ou non au champignon Rhizophagus irregulare a été observé en milieu réel, et en serre dans un dispositif bi-factoriel (mycorhization et salinité) en blocs complets randomisés avec 3 répétitions. Les variables mesurées sont la hauteur, le diamètre, la litière, la teneur en eau, en sodium des plants, la salinité et l’acidité du sol. Les résultats montrent un taux de mortalité supérieur à 90% en milieu réel. Les individus plantés sur ados ont développé un enracinement superficiel alors que les semis naturels ont présenté un système racinaire pivotant et profond. La mycorhization a entraîné une réduction de la mortalité de 5,56%, une importante persistance des feuilles, une teneur en eau plus élevée dans les tiges et racines que dans les feuilles et enfin un stockage de sodium plus élevé dans les feuilles. La dose de sel 186 g.l-1 a été létale pour Atriplex lentiformis, mycorhizé ou non. La symbiose endomycorhizienne améliore ainsi le comportement de Atriplex lentiformis en milieu salé. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
FT1800004 | P342-FAY | Article scientifique | CNRF | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour le pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol 9; N°1. Etude sous serre du comportement de Gossypium hirsutum L. face au stress salin (Sénégal [texte imprimé] / Boubacar CAMARA, Auteur ; Elhadji Faye, Auteur ; Mamoudou Abdoul Touré, Auteur ; Daouda Ngom, Auteur . - 2015 . - pp.259-269 : tab; photos;. Langues : Français ( fre) Catégories : | RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
| Mots-clés : | Sénégal, salinité, Gossypium hirsutum L., récupération, valorisation | Index. décimale : | P352-Dégradation du sol, toxicité; toxicité; acidité du sol; salinité et déssalage. | Résumé : | Les sols salés occupent depuis 2003 une superficie de 1 700 000 ha au Sénégal. Des stratégies mécaniques, biologiques puis biomécaniques ont été testées pour leur récupération et valorisation. L’objectif de cette étude est de contribuer à l'élargissement de la gamme d'espèces utilisables dans la stratégie biologique ou biomécanique de récupération et de valorisation des superficies affectées par le sel. Le comportement de Gossypium hirsutum L. face au stress salin a été ainsi étudié dans un dispositif complètement aléatoire sous serre. Des jeunes plants de G. hirsutum L. ont été arrosés avec une solution de NaCl pur à des concentrations variant de 0 à 23,36 g.l-1 et suivis pendant deux mois. Par la suite, les plants ont été soumis à un test de toxicité avec des concentrations huit fois plus élevées que les premières. Les résultats obtenus montrent que les
concentrations utilisées durant les deux premiers mois ne sont pas néfastes pour la croissance de G. hirsutum L. Cependant, la concentration 46,72 g.l-1 NaCl est létale pour G. hirsutum L. Jusqu’à une concentration de 23,36g.l-1, G. hirsutum résiste bien au stress, il pourrait donc être testé pour la récupération et la valorisation biologiques ou biomécaniques des sols salés. © 2015 International Formulae Group. All rights reserved. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
FT1800010 | P352-CAM | Article scientifique | CNRF | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour pdfURL | | |
/ Arona Ndiaye Samba Samba
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol 6; N°3. Caractérisation physico-chimique de la gomme Sterculia de trois localités de la région de Tambacounda au Sénégal [texte imprimé] / Arona Ndiaye Samba Samba, Auteur ; Mamoudou Abdoul Touré, Auteur ; Dame Niang, Auteur ; Kène Yaya Gassama, Auteur . - 2012 . - pp.1179-1191. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Acidité, Humidité, pouvoir de gonflement, Sterculia setigera Del., Tambacounda, viscosité. | Index. décimale : | K510-Produits d'origine forestière et sous produits | Résumé : | La gomme sterculia est produite par Sterculia setigera Del. en Afrique. Ses propriétés physicochimiques changent suivant divers facteurs dont l’influence sur sa qualité a été peu étudiée. C’est dans cette perspective que l’humidité, le pH, le pouvoir gonflant et la viscosité de cette gomme ont été évalués au Sénégal (Daoudi, Malem niani et Bala). Les résultats ont montré que son humidité varie en fonction du phénotype (écorce claire ou foncée). Elle a été plus élevée sur la gomme de la période sèche-chaude à Daoudi mais elle n’a pas changé suivant le site après un an de conservation. Son pH a varié en fonction de l’interaction période
de saignée- couleur de l’écorce à Malem Niani alors qu’à Daoudi il a varié suivant la période de saignée seulement. A Malem, son gonflement a aussi varié suivant l’interaction période de saignée-couleur de l’écorce. Après un an de conservation (température ambiante), son pouvoir gonflant a diminué dans tous les sites. Sa
viscosité a été 3,5 fois plus élevée à Bala qu’à Daoudi et Malem Niani. Ces résultats ont permis d’acquérir de nouvelles connaissances et d’identifier Bala comme ayant la meilleure qualité de gomme par rapport aux deux autres sites. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
FT18OOO12 | K510-NDI | Article scientifique | CNRF | Rayons | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol.9, n°5. Gestion intégrée des principaux ravageurs du cotonnier au Sénégal et en Afrique occidentale. [texte imprimé] / Djibril Badiane, Auteur ; Momar Talla Guèye, Auteur ; E.V. Coly, Auteur ; Ousmane Faye, Auteur . - 2015 . - pp 2654-2667 : ill. Langues : Français ( fre) Catégories : | PROTECTION DES PLANTES ET DES PRODUITS ENTREPOSES
| Mots-clés : | Cotonnier, Insecte, Pesticides, Entomologie, Helicoverpa armigera | Index. décimale : | H100-Ravageurs desv plantes - Généralités | Résumé : | Les pertes de récolte dues aux insectes ravageurs, en culture cotonnière, restent importantes au Sénégal et en Afrique occidentale. Les solutions proposées pour combattre ces insectes nuisibles sont axées sur la lutte chimique. Toutefois, compte tenu des effets néfastes de l’utilisation des pesticides (apparition de souches résistantes, pollution de l’environnement, intoxications) la recherche d’alternatives s’impose. Les principales espèces de ravageurs rencontrées, en particulier Helicoverpa armigera (Hübner), insecte redoutable sur cotonnier, peuvent faire l’objet d’une lutte à l’aide de méthodes alternatives utilisant des produits biologiques et la sélection d’espèces résistantes aux attaques du ou des ravageur(s). Les différentes méthodes de protection phytosanitaire du cotonnier pratiquées en alternative ou combinées avec les pesticides ainsi que divers autres aspects de la problématique de gestion des insectes ravageurs du cotonnier sont passés en revue. © 2015 International Formulae Group. All rights reserved. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CT1900002 | H100-BAD | Article scientifique | CRA/Tamba | Dépot numérique | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, vol.10; n°5. Evaluation de l'efficacité de nouveaux programmes de protection phytosanitaire contre les principaux ravageurs du cotonnier gossupium hirsutum L. au Sénégal. [texte imprimé] / M Sarr, Auteur ; Djibril Badiane, Auteur ; Banna Sané, Auteur . - [s.d.] . - pp: 2163-2174 : ill. Langues : Français ( fre) Catégories : | PROTECTION DES PLANTES ET DES PRODUITS ENTREPOSES
| Mots-clés : | Ravageur des plantes, Gossypium hirsitum, Entomologie | Index. décimale : | H118-Méthodes et programmes de lutte contre les insectes nuisibles | Résumé : | Le cotonnier (Gossypium hirsutum L.), deuxième culture de rente au Sénégal, fournit d’importantes ressources financières à la population rurale. Il est exposé à diverses attaques parasitaires essentiellement occasionnées par les chenilles carpophages (Helicoverpa armigera et Earias spp) et les insectes piqueurs suceurs (Bemisia tabaci, Aphis gossypii et Jacobiella fascialis). Les dégâts conduisent à des pertes considérables de rendements en coton-graine, atteignant 50 à 70%, en absence de protection chimique. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de trois nouveaux programmes de protection phytosanitaire
contre ces principaux ravageurs en zones sèche et humide du bassin cotonnier. En plus d’un témoin vulgarisé (PV) et d’un témoin non traité, ces trois programmes innovants, qui diffèrent selon la composition et le positionnement de matières actives, ont été testés dans un dispositif aléatoire complet. Les résultats de l’analyse de la variance (ANOVA) révèlent un bon contrôle des principaux ravageurs par les différents programmes. Les innovations sont plus efficaces que le PV en zone humide, pour le contrôle des carpophages et en zone sèche, pour le contrôle des piqueurs suceurs. Les innovations peuvent être utilisées comme
alternatives au PV pour gérer une éventuelle résistance des ravageurs selon la zone. © 2016 International Formulae Group. All rights reserved. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CT1900003 | H118-SAR | Article scientifique | CRA/Tamba | Dépot numérique | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, vol.12, n°1. Evaluation de l'efficacité biologique d'extrait de neem (azadirachta indica juss.) comme alternatif aux pyrethrinoïdes pour les principaux ravageurs du cotonnier (gossypium hirsutum L.) au Sénégal. [texte imprimé] / Banna Sané, Auteur ; Djibril Badiane, Auteur ; Momar Talla Guèye, Auteur ; Ousmane Faye, Auteur . - [s.d.] . - pp. 157-167 : ill. Langues : Français ( fre) Catégories : | PROTECTION DES PLANTES ET DES PRODUITS ENTREPOSES
| Mots-clés : | Cotonnier, Ravageur, Effet insecticide, Azadirachtine A., Traitement phytosanitaire | Index. décimale : | H100 -Ravageur des plantes - Generalités | Résumé : | Les insectes ravageurs constituent une contrainte majeure à la production du cotonnier. En vue de trouver une alternative à la lutte chimique contre ces nuisibles, l’effet insecticide d’un extrait d’huile de neem (Azadirachta indica Juss.) formulé 1% a été évalué au champ sur les principaux ravageurs du cotonnier au Sénégal. Azadirachtine A 10 g/l à la dose d’un litre à l’hectare a été testé en comparaison avec un insecticide chimique Profénofos 500 g/l à la dose 1,5 litre à l’hectare et un témoin absolu (non traité) dans un dispositif en bloc de Fisher. Les observations et mesures ont porté principalement sur le niveau des populations de piqueurs suceurs et de chenilles et l’incidence des carpophages sur les organes florofructifères du cotonnier. Les résultats obtenus révèlent que l’Azadirachtine a permis de réduire significativement (p<0.05) les populations des ravageurs ainsi que leurs dégâts causés sur le cotonnier. Azadirachtine A 10 g/l a été très efficace sur les chenilles (72% pour les carpophages et 91% pour les phyllophages) tout comme le produit chimique. Cependant, les résultats sur les piqueurs suceurs restent mitigés (60% pour Bemisia tabaci et 32% pour Aphis gossypii). L’extrait d’huile de neem formulé 1% (Azadirachtine A 10 g/l) peut être utilisé dans la lutte intégrée contre les principaux insectes ravageurs du cotonnier. © 2018 International ormulae Group. All rights reserved. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
CT1900005 | H100-SAN | Article scientifique | CRA/Tamba | Dépot numérique | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour pdfURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science. Facteurs de risque liés à l’apparition de la maladie de Gumboro en aviculture semi-intensive au Sénégal [texte imprimé] / Alkaly Badji, Auteur ; Mamadou Moustapha Lo, Auteur ; Rianatou Bada Alambédji, Auteur . - [s.d.] . - 8 p. Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES, PRODUCTION ET PROTECTION ANIMALES
| Mots-clés : | Epidémiologie, Aviculture, Maladie de Gumboro, Sénégal | Index. décimale : | L735-Pathologie des volailles | Résumé : | Au Sénégal, la maladie de Gumboro constitue un véritable obstacle pour le développement de l’aviculture semi-intensive. Une étude épidémiologique portant sur cette affection dans les exploitations semi-intensives a été conduite en décembre 2015 dans les régions de Dakar et Thiès. Elle a consisté à évaluer l’association entre des facteurs de risque et l’apparition de la maladie. Pour cela, les gestionnaires de 56 exploitations infectées et 112 indemnes ont constitué les cibles de cette enquête. Les foyers étaient suspectés sur la base des manifestations cliniques et confirmés par la détection du virus avec la RT-PCR. Ainsi, les résultats indiquent une faible liaison entre la présence d’oiseaux domestiques ou sauvages et l’apparition de la maladie (Odds Ratio = 1,44). Par contre, la présence de rongeurs (Odds = 22), la gestion des cadavres (Odds Ratio = 7,56) et l’accès des personnes étrangères (Odds Ratio = 4,47) sont fortement liés à l’apparition de la maladie. La sensibilisation sur la gestion des poulets infectés et morts contribuerait à limiter la dissémination du virus et les pertes attribuables à la maladie. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
ZV1900004 | L735-BAD | Article scientifique | LNERV | Dépot numérique | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir le PDFURL | | |
International Journal of Biological and Chemical Science, Vol 13, n°1. Caractérisation moléculaire d’isolats du virus de la maladie de Gumboro provenant d’élevages avicoles semi-intensifs de la région de Dakar au Sénégal [texte imprimé] / Alkaly Badji, Auteur ; Mamadou Moustapha Lo, Auteur ; Rianatou Bada Alambédji, Auteur . - Février 2019 . - pp. 196-206. Langues : Français ( fre) Catégories : | SCIENCES, PRODUCTION ET PROTECTION ANIMALES
| Mots-clés : | Epidémiologie, Aviculture, Caractérisation moléculaire, souches hypervirulentes, Maladie de Gumboro, Sénégal | Index. décimale : | L735-Pathologie des volailles | Résumé : | Au Sénégal, des foyers de la maladie de Gumboro sont souvent observés dans les élevages où elle provoque des pertes économiques importantes. Une étude portant sur cette maladie dans les élevages avicoles semi-intensifs de la région de Dakar a été conduite. Elle a consisté à identifier sur le plan moléculaire les souches circulant et à étudier les liens de parenté génétique qui existent entre les souches sénégalaises et celles étrangères en vue de mieux réadapter les stratégies de lutte. Pour cela, la région hypervariable du génome viral codant pour le « domaine variable de la protéine VP2 » a été séquencée. Les séquences d’acides nucléidiques et aminés comparées à des séquences publiées sur la base de données de GenBank. Ainsi, les résultats indiquent une forte prévalence des souches « hypervirulentes ». Toutes les huit souches étudiées appartiennent au génotype des souches « hypervirulentes ». Parmi ces souches, une est classée dans le sous-génotype VV3 et les autres dans VV2. Les souches de ce sous-génotype sont très proches des souches nigérianes et constituent avec des souches tanzaniennes, zambiennes et éthiopiennes la lignée africaine VV2. Toutefois, des investigations portant sur le segment B permettraient d’apporter plus de précisions sur l’origine des souches qui circulent à Dakar. |
|
Exemplaires
Disponibilité |
---|
ZV1900005 | L735-BAD | Article scientifique | LNERV | Dépot numérique | Exclu du prêt |
Documents numériques
Cliquer pour voir le PDFURL | | |