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K121-Systèmes agroforestiers
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Caractérisation du système agroforestier à base de Anacardium occidental L.dans la commune de Toubacouta. Région de Fatick [texte imprimé] / Fatou Seydi Seck, Auteur . - Sénégal : Université Cheikh Anta Diop / Institut des Sciences de l'Environnement, 2017 . - 62p : cart ; tab ; ill. ; graph ; photos ; ref. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Caractérisation, Système agroforestier, Anacarduim occidentale, Toubacouta | Index. décimale : | K121-Systèmes agroforestiers | Résumé : | La commune de Toubacouta renferme de nombreuses plantations d’anacardier. Celles-ci ont constitué un système de production appelé système agroforestier avec l’association faite entre les arbres, les cultures et/ou les animaux. Ce système répond à différents besoins sociaux, économiques et écologiques. Nonobstant l’extension des terres affectées à l’anacardier, ce système agroforestier reste confronté à des problèmes liés à son état de dégradation et une connaissance insuffisante des composantes du système. Cette étude a été conduite dans le but de caractériser le système agroforestier à base de Anacardium occidentale L. Elle a été réalisée dans 31 plantations réparties dans 15 villages dans lesquels 104 producteurs ont été enquêtés. La méthodologie a consisté d’abord en des entretiens structurés et semi- structurés auprès des producteurs et autres acteurs de la filière anacarde et enfin en un inventaire de la flore et de végétation pour déterminer les caractéristiques de la composante ligneuse dans le système. Les résultats montrent que l’agrosylviculture est le système agroforestier le plus pratiqué par 63% des producteurs d’anacarde. Le mil (46,2%) et l’arachide (38,46%) sont les cultures les plus fréquemment associées à l’anacardier. Une richesse spécifique de 60 espèces ligneuses a été répertoriée dans ce système. La structure verticale laisse voir une structure en cloche pour tous les individus et chez l'anacardier. Les classes de hauteur [4-6 m] et ]6-8m] enregistrent la plupart des individus. Le développement en diamètre indique que plus le diamètre augmente, moins il y’a d’arbres dans les classes de diamètre, en plus Anacardium occidentale domine largement et influence la structure du peuplement. C’est l’aspect économique qui anime 57% des producteurs à planter les anacardiers. Les contraintes majeures dans ce système sont la divagation des animaux, les feux de brousse, les vols de noix et les problèmes d’entretien. |
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FT2200016 | K121- FAT | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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Culture de la pastèque (Citrullus lanatus (Thunb.), Matsum. & Nakai) dans les parcs agroforestiers de Niakhar au Centre du Bassin arachidier du Sénégal : Perceptions et conséquences écologiques [texte imprimé] / Ndéye Katérine NDIAYE, Auteur . - Dakar, Sénégal : université cheikh anta Diop/ Département de Biologie Végétale, 2021 . - 63p. : cart ; tab ; ill. ; graph ; photos ; ref. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Pastéque - Régénération - Diversité ligneuse - Sécurité alimentaire - agroécologie - culture de rente - Centre Bassin arachidier - Niakhar - Fatick - Sénégal | Index. décimale : | K121-Systèmes agroforestiers | Résumé : | La zone soudano-sahélienne a connu des épisodes de sécheresses récurrentes depuis 1970. Au Sénégal en particulier dans le Centre Bassin arachidier, celles-ci ont entrainé la diversification et l’adoption d’autres cultures de rentes comme la pastèque (Citrullus lanatus). Cette étude vise à étudier les raisons de l’adoption et les conséquences écologiques de la culture de la pastèque dans les parcs agroforestiers du terroir de Niakhar au Centre du Bassin arachidier du Sénégal. La méthodologie utilisée a consisté à faire des enquêtes (entretiens semis- directifs) et des inventaires des espèces ligneuses dans les champs. Au total 60 ménages dont 30 adoptants de la culture de pastèque et 30 non adoptants de pastèque ont été enquêtés. Pour l’inventaire de la végétation ligneuse, 44 placettes de 2500 m2 ont été inventoriées dont 21 champs d’adoptants de la culture de la pastèque et 23 champs de non-adoptants. Il ressort que l’augmentation et l’acquisition précoce de revenus sont les principales raisons de l’adoption de la culture de la pastèque. Les raisons principales du non adoption de la culture de pastèque sont le manque de terres et de main d’oeuvre. Dans cette zone, la pratique de la culture de la pastèque est une activité agricole conventionnelle intensive avec près de 64% des adoptants qui font deux cultures de pastèque sur une même saison culturale accompagnés de labours. Les adoptants de la culture de la pastèque sont plus exposés à l'insécurité alimentaire que les non pratiquants si l'on considère la durée de la consommation annuelle de leurs produits agricoles (7% des adoptants contre 21% des non adoptants vivent grâce à leur production agricole au-delà de 12 mois). La diversité ligneuse est plus élevée dans les champs des non adoptants de la culture de pastèque que ceux des adoptants avec 34 espèces réparties en 29 genres et de 16 familles contre 19 espèces réparties en 17 genres et de 10 familles. Il en est de même pour la capacité de régénération qui est meilleure dans les champs des non adoptants de la culture de pastèque que dans ceux des adoptants de cette culture (220.43 ind/ha contre 105.39 ind/ha). La culture de la pastèque permet certes aux ménages de se procurer beaucoup de revenus mais elle affecte négativement le potentiel de régénération des champs en raison des labours. |
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FT2200017 | K121-NDI | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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EFFETS DE L’APPORT DES BOIS RAMÉAUX FRAGMENTÉS (BRF) DE PILIOSTIGMA RETICULATUM (DC) HOCHST SUR LE RENDEMENT DU MIL (PENNISETUM GLAUCUM L.) ET DES HERBACÉES DANS LE BASSIN ARACHIDIER [texte imprimé] / Mame Arona Thiaw, Auteur . - Dakar, Sénégal : université cheikh anta Diop/ Département de Biologie Végétale, 2018 . - 59p. : cart ; tab ; ill. ; graph ; photos ; ref. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Bassin arachidier - Bois Raméaux Fragmentés – frais – herbacées – Piliostigma reticulatum - pré-compost – rendements | Index. décimale : | K121-Systèmes agroforestiers | Résumé : | Au Sénégal, la dégradation des terres est l’un des principaux facteurs qui limite la production de l’arachide et du mil. Ce phénomène gagne beaucoup de surface dans le Bassin arachidier (BA) où il affecte prés de 47,09% des terres dégradées du Sénégal (Diouf et al., 2014). Ainsi l’amélioration de la fertilité des sols est devenue une priorité pour contribuer à la sécurité alimentaire. Il est alors une urgence de proposer aux paysans un amendement organique capable de suppléer les engrais chimiques pour augmenter la productivité agricole. La technologie des bois raméaux fragmentés (BRF), qui est à la fois naturelle et écologique, est proposée aux paysans. Cette étude a pour objectif d’évaluer l’effet des BRF de P. reticulatum à l’état frais et pré-compostés sur le rendement du mil (Pennisetum glaucum L. var Souna 3) et le recouvrement en herbacées des sols dans le BA. Un dispositif expérimental en bloc factoriel fractionnaire complètement aléatoire avec six traitements (BRF frais à 3 t/ha, BRF frais à 6 t/ha, BRF pré-compostés à 3 t/ha, BRF pré-compostés à 6 t/ha, « pratique paysanne » et « témoin ») a été mis en place à Keur Serigne Madieng (Com. de Ndiago, Dép. de Guinguinéo, Rég. de Kaolack). Plusieurs des paramètres agronomiques du mil ainsi que la flore herbacée ont été évalués après la récolte. Les résultats ont montré que seule la « pratique paysanne » augmente significativement le diamètre au collet, la hauteur des plants, la longueur des entre-noeuds, la biomasse aérienne sèche, le nombre d’épis fertiles et les rendements avant et après battage comparé au « témoin ». La « pratique paysanne » ne montre aucune différence avec les BRF sur la plupart des paramètres mesurés. Les traitements n’ont aucun effet significatif sur le nombre de talles et la masse de 1000 grains. L’étude a également montré que les familles des Poaceae et des Fabaceae sont les plus représentatives. Le recouvrement en herbacées est plus élevé dans les parcelles amendées avec les BRF pré-compostés à 6 t/ha et les BRF frais à 3 t/ha avec une richesse spécifique plus importante avec les BRF frais à 6 t/ha. L’indice de Shannon traduit un même niveau de diversité alors que l’équitabilité de Piélou traduit une équirépartition des individus dans les espèces entre les traitements. L’apport des BRF frais à 6 t/ha favorise le développement des herbacées tel qu’Alisicarpus ovalifolius et Pennisetum pedicellatum qui sont indicatrices de la fertilité du sol. Il ressort également que les espèces telles que Mitracarpus villosus, Commelina forskalei, Cenchrus biflorus et Hibiscus sp présentent les meilleurs recouvrements quelque soit le traitement. L’étude a montré que les BRF frais de P. reticulatum pourraient répondre à la réduction de l’utilisation des engrais chimiques azotés. Toutefois, il est nécessaire de poursuivre l’étude sur plusieurs années pour évaluer l’effet rémanent des BRF de P. reticulatum sur le rendement des cultures |
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FT2200018 | K121- THI | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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Influence de Faidherbia albida (Del.) A. Chev. sur les caractéristiques du sol, la croissance et le rendement du mil (Pennisetum glaucum (Leek) R Br) à Thilla Ounté (Bassin arachidier du Sénégal) [texte imprimé] / Mountaga MBOH, Auteur . - Dakar, Sénégal : université cheikh anta Diop/ Département de Biologie Végétale, 2020 . - 67p. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Sénégal, F. albida, Pennisetum glaucum, durabilité des systèmes, productivité, microclimat, caractéristiques du sol. | Index. décimale : | K121-Systèmes agroforestiers | Résumé : | Au Sénégal, les pratiques agroforestières traditionnelles ou améliorées visent la stabilité et la durabilité des systèmes de production agricole. Dans le but d’évaluer l’impact de ces pratiques sur les conditions biophysiques du sol, le microclimat et la productivité des cultures, une étude sur l’influence du Faidherbia albida (Del.) A. Chev., sur la culture du mil associé (Pennisetum glaucum), a été conduite au niveau du Bassin arachidier du Sénégal dans le village de Thilla Ounté (Région de Thiès). La teneur en eau et la température du sol (20 cm de profondeur), le potentiel hydrique foliaire, la densité apparente du sol, le développement, l’indice de surface foliaire, l’enracinement et le rendement du mil ont été évaluées dans le site d’étude sous et en dehors du houppier. La teneur en eau du sol et le potentiel hydrique foliaire ont été plus élevés au niveau des placettes sous houppier, en relation avec une évaporation du sol plus faible sous l’ombrage de Faidherbia. La température du sol au cours du cycle n’a pas été significativement différent (P>0.05) entre les deux situations. La densité apparente du sol s’est révélée plus faible sous l’arbre, ce qui a pu faciliter l’infiltration de l’eau à cet endroit. De plus, on a observé un effet positif significatif de la proximité de l’arbre sur l’indice de surface foliaire et le développement aérien du mil. La proximité de l’arbre a contribué également à réduire l’impact des bioagresseurs et des parasites du mil. Les résultats ont montré une production de biomasse racinaire du mil plus élevé sous le couvert de l’arbre. Ces effets positifs de la présence des arbres pourraient expliquer l’impact bénéfique observé sur le rendement du mil. En effet le rendement en grains sous le houppier est en moyenne 2 fois plus élevé que le rendement en dehors du houppier. En conclusion, la présence du Faidherbia albida dans les agrosystèmes présente un avantage significatif sur les caractéristiques du sol et la productivité du mil. |
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FT2200022 | K121- MBO | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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/ Inge Vissers
Icraf. Méthodologie expérimentale et collecte des données en agroforesterie [texte imprimé] / Inge Vissers, Auteur . - [S.l.] : Icraf, 1993 . - 13p.+ annexes I; II; III;IV : Diagramm; Tabl. Langues : Français ( fre)
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FT2300002 | VIS | Rapport | CNRF | Rayons | Exclu du prêt |
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