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Le cactus Opuntia tuna (L.) Mill. et ses formes d’usage dans la zone des Niayes au Sénégal [texte imprimé] . - [s.d.] . - 17p. : tab; cart ; diagramm.
Langues : Français (fre)
Catégories : FORESTERIE Mots-clés : Opuntia tuna, Niayes, Sénégal, usage, valorisation Index. décimale : K100-Production forestières : généralités Résumé : Résumé
Opuntia tuna est une espèce bien adaptée dans la zone des Niayes au Sénégal. Sa prolifération assez rapide est due en partie à une sous exploitation
suscitant ainsi un envahissement de quelques espaces agropastoraux. Dans une perspective de valorisation et de meilleure gestion de l’espèce, cette présente étude a été conduite pour comprendre les formes d’usages et de gestion de la plante par les populations locales afin de la promouvoir pour renforcer leur résilience. L’étude a porté sur cinq villages de la zone nord des Niayes auprès de petits exploitants de maraichers. Des enquêtes qualitatives par entretiens et groupes de discussion ont été conduites. Elles ont porté sur le niveau de connaissance, les pratiques et usages connus du cactus, les contraintes liées à European Scientific Journal June 2020 edition Vol.16, No.16 ISSN: 1857-7881 (Print) e - ISSN 1857-7431
200 sa présence, les solutions adoptées ou envisagées et le niveau de perception sur sa valorisation. Les résultats ont révélé de nombreux usages de la plante et de ses produits. Plus de la moitié des personnes enquêtées utilise le cactus dans le domaine agricole. L’élevage, la pharmacopée et l’alimentation sont d’autres secteurs également concernés par l’usage du cactus. Les analyses ont montré que la plupart des personnes enquêtées (94%) admettent un degré d’envahissement très élevé de Opuntia tuna. Le niveau d’envahissement pourrait être liée à la zoochorie selon 38% des hommes et 33% des femmes. La bonne adaptation de l’espèce dans la zone serait également un facteur de prolifération selon 33% des hommes et 23 % des femmes. Afin de pallier la prolifération rapide du cactus les maraichers ont développé des stratégies de gestion telles que le brulis, la coupe et le dessouchage. Une meilleure gestion de cette espèce qui présente de nombreux usages pour les maraichers de la zone des Niayes est nécessaire. De tels usages de l’espèce, valorisés davantage pourrait contribuer de façon significative à la diversification des sources de revenus des communautés locales et au développement durable de la zone des Niayes.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FT2200042 K100- CAC Article scientifique CNRF Dépot numérique A télécharger
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Cliquer pour voirURL Afrique SCIENCE, Vol10, N°1. Sterculia setigera Del.:influence de quelques facteurs sur la production de gomme / Mamoudou Abdoul Touré
Afrique SCIENCE, Vol10, N°1. Sterculia setigera Del.:influence de quelques facteurs sur la production de gomme [texte imprimé] / Mamoudou Abdoul Touré, Auteur ; Arona Ndiaye Samba Samba, Auteur ; Dame Niang, Auteur ; Kène Yaya Gassama, Auteur . - 2014 . - pp.236-244.
Langues : Français (fre)
Catégories : FORESTERIE Mots-clés : sterculia setigera, mbepp, karaya, saignée. Index. décimale : K100-Production forestières : généralités Résumé : La gomme sterculia est produite par Sterculiasetigera en Afrique. Elle est largement consommée par les populations. Cependant, les pratiques traditionnelles d’exploitation de cette gomme (appelée localement gomme mbepp) par les populations locales constituent la cause principale de la dégradation des peuplements de Sterculia setigera au Sénégal et dans les pays où pousse l’espèce (Mali, Gambie, Niger…). Par ailleurs, peu d’études ont été effectuées dans la région Sahélienne sur les facteurs pouvant influer directement sur la production de cette gomme. Ainsi, la présente recherche qui avait pour objet d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’espèce, a étudié, dans une série d’essais à un ou plusieurs facteurs, l’influence de quatre facteurs : la période de saignée (avec quatre niveaux), le site de récolte, la profondeur des entailles et le diamètre du tronc à 1,30 m (avec deux niveaux pour chacun des trois derniers facteurs) sur la production de gomme mbepp brute, la quantité de gomme nettoyée et le pourcentage de gomme. Les dispositifs expérimentaux ont été installés dans deux sites situés en forêt naturelle dans la région de Tambacounda (Malem Niani et Daoudi). Les résultats ont montré que le rendement en gomme brute a significativement varié en fonction du site (Daoudi : 186,17 g/arbre contre 149,6 g/arbre à Malem Niani). A Daoudi, la quantité de gomme brute a été trois fois plus élevée avec une saignée de 5 cm de profondeur (62,61 g) qu’avec une saignée de 3 cm (21,54 g). A Malem Niani, les arbres de gros diamètre ont produit plus de gomme (78,50 %) que les arbres de petit diamètre (34,56%) durant la période chaude. Le pourcentage annuel moyen de gomme par arbre a été plus élevé chez les arbres de gros diamètre (83,24 %) et plus faible (68,76 %) sur les arbres de petit diamètre. Les résultats obtenus à travers les différents essais conduits en milieu réel permettront (1) d’assurer une meilleure exploitation de la gomme ainsi qu’une meilleure préservation de la ressource et (2) d’améliorer les conditions de vie des populations locales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FT1800005 K100-TOU Article scientifique CNRF Rayons Exclu du prêt Documents numériques
Cliquer pour pdfURL European Scientific Journal. Le cactus Opuntia tuna (L.) Mill. et ses formes d'usage dans la zone des Niayes au Sénégal / Mame Sokhna SARR
European Scientific Journal. Le cactus Opuntia tuna (L.) Mill. et ses formes d'usage dans la zone des Niayes au Sénégal [texte imprimé] / Mame Sokhna SARR, Auteur ; Maimouna Gning,, Auteur ; Diaminatou Sanogo, Auteur ; Katim Touré, Auteur ; Bienvenu Sambou,, Auteur ; Mouhamadou Dieye,, Auteur ; Marième Fall Ba, Auteur ; Moussa Dieng,, Auteur ; Tamsir Mbaye, Auteur ; Adia Madjiguène Diallo, Auteur . - 2020 . - 18p. : diagramme ; ref.
Langues : Français (fre)
Catégories : FORESTERIE Mots-clés : Opuntia tuna, Niayes, Sénégal, usage, valorisation Index. décimale : K100-Production forestières : généralités Résumé : Opuntia tuna est une espèce bien adaptée dans la zone des Niayes au Sénégal. Sa prolifération assez rapide est due en partie à une sous exploitation
suscitant ainsi un envahissement de quelques espaces agropastoraux. Dans une perspective de valorisation et de meilleure gestion de l’espèce, cette présente étude a été conduite pour comprendre les formes d’usages et de gestion de la plante par les populations locales afin de la promouvoir pour renforcer leur résilience. L’étude a porté sur cinq villages de la zone nord des Niayes auprès de petits exploitants de maraichers. Des enquêtes qualitatives par entretiens et groupes de discussion ont été conduites. Elles ont porté sur le niveau de connaissance, les pratiques et usages connus du cactus, les contraintes liées à sa présence, les solutions adoptées ou envisagées et le niveau de perception sur sa valorisation. Les résultats ont révélé de nombreux usages de la plante et de ses produits. Plus de la moitié des personnes enquêtées utilise le cactus dans
le domaine agricole. L’élevage, la pharmacopée et l’alimentation sont d’autres secteurs également concernés par l’usage du cactus. Les analyses ont montré que la plupart des personnes enquêtées (94%) admettent un degré d’envahissement très élevé de Opuntia tuna. Le niveau d’envahissement
pourrait être liée à la zoochorie selon 38% des hommes et 33% des femmes.La bonne adaptation de l’espèce dans la zone serait également un facteur de
prolifération selon 33% des hommes et 23 % des femmes. Afin de pallier la prolifération rapide du cactus les maraichers ont développé des stratégies de gestion telles que le brulis, la coupe et le dessouchage. Une meilleure gestion de cette espèce qui présente de nombreux usages pour les maraichers de la zone des Niayes est nécessaire. De tels usages de l’espèce, valorisés davantage pourrait contribuer de façon significative à la diversification des sources de revenus des communautés locales et au développement durable de la zone des NiayesExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FT2200025 K100-:SAR Article scientifique CNRF Dépot numérique Exclu du prêt Documents numériques
Cliquer pour voirURL Journal of Applied Biosciences. Évaluation de la production en fruits de peuplements naturels de Baobab (Adansonia digitata L.) dans deux zones climatiques au Sénégal / Diaminatou Sanogo
Journal of Applied Biosciences. Évaluation de la production en fruits de peuplements naturels de Baobab (Adansonia digitata L.) dans deux zones climatiques au Sénégal [texte imprimé] / Diaminatou Sanogo, Auteur ; Cheikh Oumar Samb, Auteur ; Marcel Badji, Auteur ; Mouhamadou Diop, Auteur . - 2015 . - pp-7838– 7847p- : cart : tab ; ref.
Langues : Français (fre)
Catégories : FORESTERIE Mots-clés : Sénégal, Adansonia digitata, production, fruits, zone climatique Index. décimale : K100-Production forestières : généralités Résumé : Ce travail vise à évaluer la production en fruits et en pulpe de A.digitata afin de mieux connaître ses potentialités dans deux zones climatiques au Sénégal. Méthodologie et résultats : L’évaluation de la production a porté sur 88 et 54 arbres. Les poids des fruits et de la pulpe ont été étudiés par rapport à des descripteurs physiques de l’arbre. Des équations de régression entre ces variables ont été établies. La production moyenne par arbre est 35,5 kg de fruits en zone soudano-sahélienne contre 64,9 kg de fruits en zone soudano guinéenne. La moyenne de 46,7 Kg de fruits par arbre correspond à une production de pulpe de 28,28 kg par arbre. Il existe des régressions significatives entre les paramètres allométriques de l'arbre et les caractères de productivité. Conclusion et application : L’espèce Adansonia digitata a de grandes potentialités fruitières dans les deux zones climatiques prospectées. A l’issue de ces travaux, il est possible de prédire le potentiel de production d’un baobab à partir des données morphométriques de l’arbre. Les équations de régression établies constituent des outils performants qui peuvent être utilisés par les techniciens forestiers pour évaluer la production des formations naturelles et des parcs agroforestiers, voire la productivité des individus dans le cadre d’une domestication. Ils pourraient également aider les décideurs locaux et les industriels à la prise de décision dans le contexte de la décentralisation et de développement d’entreprises privées. Aussi, la variabilité de la fructification de Adansonia digitata pourra être exploitée par les futurs programmes de sélection et d’amélioration génétique Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FT2200039 K100- SAN Article scientifique CNRF Dépot numérique A télécharger
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Cliquer pour voirURL Mémoire de confirmation. IMPACTS ET CONSEQUENCES DU DEVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION HORTICOLES DES NIAYES SUR LA DURABILITE DE LA BANDE DE FILAO. / MBOW Ma Anta
Mémoire de confirmation. IMPACTS ET CONSEQUENCES DU DEVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION HORTICOLES DES NIAYES SUR LA DURABILITE DE LA BANDE DE FILAO. [texte imprimé] / MBOW Ma Anta, Auteur . - 2017 . - 61 pages : Cart, tab, ref.
Langues : Français (fre)
Catégories : FORESTERIE Mots-clés : Bande de filao, surfaces horticoles, biodiversité ligneuse, Niayes, Sénégal Index. décimale : K100-Production forestières : généralités Résumé : Ce travail a pour objectif d’étudier l’impact de l’augmentation des productions et des surfaces horticoles sur la durabilité de la bande de filao. L’analyse de métadonnées sur la production et les exportations horticoles (données statistiques 2010-2014 de la Direction de
l’Horticulture), l’étude biophysique et les enquêtes ont permis de déterminer l’évolution des surfaces horticoles, l’état actuel de la bande de filao et du couvert végétal mais aussi, l’importance socioéconomique des espèces ligneuses dans les terroirs villageois. L’inventaire
floristique révèle que la flore ligneuse recensée est riche de 29 espèces réparties en 20 familles et 28 genres.L’augmentation de la production de certaines spéculations telles que l’ognon (10 %),la pomme de terre (46 %), le chou (1 %), le melon (11 %) et la tomate cerise (22 %) a entrainé un empiètement dans la bande de filao au profit de l’extension des surfaces horticoles.
L’étude a montré que la bande de filao est globalement dégradée au 1/3 (de 1111
individus ha-1 initialement, sa densité est de 342,22 individus ha-1 aujourd’hui) et au 1/9 dans sa partie nord à Lompoul (204,5 individus ha-1) et à Potou (105,67 individus ha-1). Il a été noté une hétérogénéité du peuplement ligneux selon les terroirs villageois mais aussi selon les systèmes d’utilisation des terres. L’indice de diversité élevé dans les champs découle de la
sélection des espèces ligneuses pratiquée par les populations dans ces systèmes d’utilisations des terres. L’enquête a révélé l’existence dans la mémoire collective des populations de 38 espèces. Quel que soit le village, les personnes âgées connaissent mieux les espèces ligneuses
que les jeunes. Selon le sexe les hommes connaissent mieux les espèces ligneuses que les
femmes et selon l’ethnie, les peuhls connaissent plus les espèces que les wolofs. Neocarya macrophylla est l’espèce prioritaire. Elle est suivie par Acacia tortilis.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FT1900024 K100- MAA Publication CNRF Rayons Exclu du prêt Documents numériques
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